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18/08/2011

Imam poligami si, Papa no!

MADRID: LA MANIFESTAZIONE ANTI-PAPA - Tesa, però la situazione tra indignados e pellegrini della Giornata Mondiale della Gioventù su Puerta del Sol. Diverse centinaia di indignados, al termine della manifestazione organizzata per protestare contro il costo eccessive della visita del Papa, hanno occupato la emblematica piazza madrilena, che ha visto nascere in maggio il loro movimento. Dopo diversi scambi accesi con i numerosi pellegrini presenti, questi ultimi sono stati invitati dalla polizia ad allontanarsi dalla piazza. Gli indignados hanno circondato una delle uscite della metropolitana, coprendo di fischi e gridando «Fuera» (Andatevene), «Verguenza» (Vergogna) e «Non siete i benvenuti» ai numerosi giovani cattolici che ne uscivano, molti tenendosi per mano, protetti da un cordone di polizia. Ci sono stati spintonamenti, ma senza gravità. Numerosi furgoni della polizia sono stati fatti confluire nella zona. Gli agenti, in tenuta antisommossa, hanno caricato due volte i giovani indignados per cercare di allontanarli dalla piazza. Un giovane accusato di avere lanciato una bottiglia contro gli agenti è stato fermato, identificato e poi rilasciato.................[]

 

www.corriere.it

PS: immaginate una manifestazione anti "barbuti" con cartelli tipo "islam no!", "poligami fuori" ecc...

Reazione dei Burocrati Massoni di Bruxelles e Strasburgo?

Razzisti! Fascisti! Intolleranti! E' uno scandalo!.............

17/08/2011

Les Grands Maîtres sont nus!

Ne sous-estimons pas ce qui est en train de se passer en Europe. Ce que l’on voit aujourd’hui, c’est une sorte de super-volcan financier, qui crache sa vapeur depuis 18 mois maintenant. L’an dernier, le souci principal était les déficits budgétaires en périphérie de l’Union européenne. Aujourd’hui, il s’agit plutôt de déterminer si le projet européen dans son ensemble est en mesure de survivre.

Eh oui. Vous pensez peut-être que je dramatise… Mais on ne prend pas un super-volcan à la légère. La solvabilité du projet européen n’est plus garantie. Quoi qu’il se passe en Europe au cours des prochains mois, les effets tectoniques seront ressentis dans le monde entier.

La possibilité d’une éruption immédiate semble avoir diminué. La Banque centrale européenne (BCE) a réactivé son marché d’obligations souveraines (SMP, pour Securities Market Programme) la semaine dernière. Le SMP a acheté près de 31 milliards de dollars d’obligations gouvernementales à 10 ans auprès des gouvernements espagnol et italien. Les taux d’intérêts ont ainsi diminué, passant de 6% à 5% environ pour la dette espagnole à 10 ans

Mais il suffit de jeter un oeil aux chiffres pour constater qu’il va bien falloir que quelque chose finisse par sauter en Europe. L’Union monétaire européenne pourrait être rayée de la carte. Les politiques budgétaires nationales pourraient exploser, si l’Eurobond entre en jeu. Sans parler des nerfs de millions d’Allemands et de Français, qui pourraient bien se mettre très en colère si l’Europe devait collectiviser son passif.

Le problème, ce n’est plus la Grèce. Le Fonds européen de stabilité financière d’origine (FESF) était tout à fait capable de financer le second renflouage, de 109 milliards d’euros. Ce fonds était financé jusqu’à 750 milliards d’euros. Sur cette somme, environ 420 milliards ont déjà été promis au Portugal, à l’Irlande et à la Grèce. Ce qui nous laisse 300 milliards d’euros. A une époque, il s’agissait d’une grosse somme d’argent.

Mais même 300 milliards d’euros sont loin d’être suffisants pour couvrir les besoins de l’Italie et de l’Espagne en termes de refinancement. Ces deux pays auront besoin de près de 750 milliards d’euros de refinancement et de nouveaux déficits budgétaires au cours des deux années qui viennent. Sans oublier que les banques européennes — bourrées d’obligations gouvernementales — pourraient bien avoir besoin de près de 250 milliards d’euros pour disposer d’un capital suffisant, selon le journal britannique Telegraph.

Le FESF n’est pas capable de renflouer l’Espagne, l’Italie et toutes les banques européennes en difficulté. Leurs déficits dépassent les capacités des nations européennes à s’autofinancer. Elles doivent devenir ensemble un seul et unique emprunteur, en tous cas en termes financiers, pour réussir à abaisser le coût de l’emprunt et à atteindre leur but.

▪ L’Europe est une économie de 13 000 milliards de dollars. Si on choisit de collectiviser la dette des divers gouvernements nationaux, celle-ci s’élève à environ 87% du PIB. C’est un chiffre important. Mais le seuil de 90%, désigné par Rogoff et Reinhart comme étant le moment où la dette commence à être un handicap pour l’économie, n’est pas encore atteint. Et les déficits fiscaux cumulés ne sont que de 4,4% du PIB, grâce à des politiques fiscales plus saines en Allemagne.

Bien entendu, ce n’est là qu’un miroir aux alouettes. Le seul moyen de minimiser un peu les problèmes de l’Italie et de l’Espagne, c’est de les exprimer en pourcentages de l’économie européenne. C’est un tour de passe-passe. C’est également l’ultime extension logique de l’idée d’une Europe collective.

Nous n’appuyons pas là où ça fait mal parce que nous nous réjouissons du chômage, de la faim et de la pauvreté. Nous insistons sur ces points parce que l’idée même au coeur des démocraties socialistes — à savoir le fait que tout le monde peut vivre aux dépens de tout le monde — est, littéralement, en faillite. En Europe, “égalité” équivaut aujourd’hui à “devenir pauvre tous ensemble”. Faire ensemble des sacrifices signifie aujourd’hui que l’Etat doit confisquer des biens privés pour les rationner jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien.

On pourrait s’attendre à ce qu’au moins un pays décide de mettre un terme au projet dans son ensemble avant que les choses n’aillent aussi loin. Ce sera ça ou boire la coupe jusqu’à la lie et se joindre au suicide économique de masse. Hmm…

Et d’ailleurs, tous ces discours sur l’austérité ? Ce n’est que du vent. Dans la plupart des cas, les politiciens parlent en termes de réduction du taux de croissance de la dette et pas en termes de réduction absolue. Ce sont des clowns, qui manquent à la fois de sérieux et d’humour. La plupart d’entre eux regrettent sans doute déjà de s’être présentés, et espèrent avoir siphonné suffisamment d’argent sur leurs comptes bancaires en Suisse pour pouvoir s’échapper avant que le désastre ne soit total.

Author Image for Dan Denning

Dan Denning

Rédacteur en Chef de Strategic Investor

www.lachroniqueagora.com

Rachid va payer!

Il avait promis de régler toutes les amendes des femmes  qui seraient verbalisées pour port du voile intégral, alors que la loi  interdisant le port du niqab dans les lieux publics est entrée en vigueur le 4 avril dernier. L’homme d’affaire Rachid Nekkaz va devoir mettre la main au  portefeuille ce mercredi au tribunal de Roubaix, pour payer la première contravention de ce type, selon Nord-Eclair. Le quotidien signale que cette  amende a été dressée le 18 mai dernier, et concerne une femme qui portait le  niqab dans une rue de la  ville. Elle a été condamnée à 75 euros d’amende par le tribunal  de police.

Création d’un fonds d’un million  d’euros

Rachid Nekkaz avait déjà été sollicité pour régler deux  amendes à Nice et Cergy-Pontoise, mais elles avaient été annulées à cause d’une  erreur de procédure. Si l’homme d’affaire s’est ouvertement déclaré contre le  port du voile intégral, il est en revanche défavorable à son interdiction sur la  voie publique. L’an passé, il avait donc créé un fonds « de défense de la  laïcité et de la liberté », qu’il avait doté d’un million d’euros, lui  permettant de payer chaque contravention infligées aux femmes qui porteraient le  niqab en France, mais aussi en Belgique.

www.elle.fr

Moins de frontières = plus d'insecurité

En juillet dernier, un Américain de 21 ans, fils de deux fonctionnaires de l'ONU, est agressé la nuit par une douzaine d'individus, sur l'un des ponts qui enjambent le Rhône, à Genève. Après l'avoir grièvement blessé, les voyous tentent de le jeter à l'eau. Le jeune homme ne doit sa survie qu'à l'arrivée d'un cycliste. Des délits de cette nature se produisent tous les soirs à New York ou à Paris. Mais habituellement pas dans cette ville suisse réputée pour sa sécurité. Résultat, les Nations unies ont aussitôt mis en garde leurs milliers d'employés, leur conseillant vivement de ne plus sortir "seuls la nuit à Genève".

L'affaire a aussitôt pris une dimension nationale. Micheline Calmy-Rey, présidente de la Confédération et ministre des Affaires étrangères, s'est aussitôt déclarée "préoccupée par la détérioration de la situation de la sécurité à Genève ces derniers mois". Elle doit rencontrer prochainement Isabel Rochat, conseillère d'État (ministre du canton de Genève), en charge de la police et de la sécurité, pour évoquer la protection du personnel onusien. La cité de Calvin ne compte pas moins de 17 organisations internationales, comme l'Organisation mondiale de la Santé, l'Organisation internationale du Travail ou l'Organisation mondiale du commerce, employant 25 000 personnes.

Les ambassades cambriolées

Pour les sept premiers mois de l'année, les agressions ont explosé, passant de 227, en 2010, à 331 cette année. Isabel Rochat, la responsable de la sécurité, a elle-même reconnu que la fille d'un diplomate de l'Institut des Nations unies pour la formation et la recherche (Unitar) avait également été agressée cet été, et que les missions diplomatiques "n'ont pas échappé à la vague de cambriolages". Le 17 août, Louise Kasser, une élue Verte, raconte dans La Tribune de Genève qu'un homme armé d'un couteau lui a volé son ordinateur et son téléphone portable en mai dernier en plein centre-ville. Et que son fiancé, conseiller municipal, s'est fait tabasser par des inconnus en pleine rue, dans le même quartier, le 5 août.

Des incidents particulièrement préjudiciables pour Genève. En effet, la ville du bout du lac Léman n'attire pas seulement les multinationales et les riches contribuables pour ses avantages fiscaux, mais aussi pour son calme et sa quiétude. Il n'y a pas si longtemps, les Genevois oubliaient de fermer à clé leurs voitures. Comme boutade, on racontait que la nuit, sur les bords du lac Léman, une jeune fille risquait tout au plus de se faire draguer par un policier. Les temps changent.

www.lepoint.fr

MERCI AUX FRANCS MASSONS QUI NOUS GOUVERNENT!