Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/01/2015

Occident : Dar al-Harb

Dar al-Islam : 1600 ans de guerre, d'oppression, de vols, de viols, de kidnapping, de sous développement mental et culturel

Voici notre présent et notre futur

Ne dites surtout pas que vous ne saviez pas!

LiveLeak-dot-com-392_1421228552-_1421228559.wmv.h264_720p...

23/01/2015

Point de vue d'un philosophe musulman (qui ne fera pas la loi, hélas!)

Pour la plupart des analystes et des politiciens, le carnage de Charlie Hebdo comme la prise d'otages de Vincennes, ces premières offensives de la guerre contre la France et la République, sont des traumatismes auxquels nul ne pouvait s'attendre. Mais pas pour l'élite franco-musulmane, ni pour les soldats de l'ombre qui luttent contre le terrorisme, ni pour les rares journalistes qui osent nommer l'innommable au risque de se faire accuser d'islamophobes. Ces derniers, comme les intellectuels musulmans éclairés, savaient que cela devait arriver un jour. Ils savent que si les gouvernants ne saisissent pas ce drame national pour revoir de fond en comble leur politique d'immigration, d'intégration, d'éducation, de réforme de l'islam et de relations avec certains émirats du Golfe, le pire serait à craindre.

Ce qui vient de se produire était en effet écrit, pas par la main d'Allah dont les islamo-fascistes ont souillé jusqu'à la magnificence et rabaissé la majesté, mais par trente années de laxisme, d'angélisme et de conformisme malséant au pays de Voltaire. Écrit par les concessions aux tenants de l'islam identitaire, holistique et totalitaire, au nom de la démocratie et de la tolérance républicaine. De la question du voile islamique au massacre tragique de Charlie Hebdo, en passant par l'affaire Redeker ou la conférence du pape Benoît XVI à Ratisbonne, que de chemin parcouru dans la capitulation, l'altération de la laïcité et la subversion de la démocratie. Que de reculs des Lumières face à l'obscurantisme! Que de coups portés au modèle de civilisation occidentale devant la barbarie islamiste! Ce modèle universaliste auquel nous avions fini par y croire, nous autres musulmans d'Orient et du Maghreb, avant de nous réveiller un jour du «printemps arabe» aux sommations de certaines voix politiques et intellectuelles occidentales: la charia, pourquoi pas? L'islamisme «modéré», qu'à cela ne tienne!

Nos zélateurs de l'islamisme «modéré» ont vite oublié que lorsqu'on le célèbre à deux heures de vol de la France, l'on risque d'en subir les assauts en plein cœur de Paris. Ils ont oublié que la Terre est devenue un village interconnecté, qu'il n'y pas de démocratie authentique sans sécularisation, que l'islamisme n'est pas la religion des musulmans mais une religion séculière dont le spectre s'étend des Frères musulmans aux néo-talibans de Daech, qui se partagent le même axiome: «Notre constitution c'est le Coran, notre modèle c'est le prophète, notre régime c'est le califat».

 Ils ont surtout oublié que la quintessence de la civilisation occidentale est dans la désacralisation du sacré et la sanctification de la liberté humaine. Parmi ceux que je vois se lamenter sur le sort des 12 morts, je reconnais certains qui s'étaient indignés que des dessinateurs aient osé toucher au «sacré» en reproduisant en 2006 les caricatures du prophète, qui ne s'est d'ailleurs jamais octroyé cette sacralité supposée, celle-ci étant exclusivement réservée à Dieu et à Lui Seul. Je reconnais même certaines figures islamiques qui avaient porté plainte contre Charlie Hebdo, notamment le sempiternel imam de la Mosquée de Paris, ainsi que l'UOIF, qui est membre du Conseil français du culte musulman (CFCM)!

 Passées les jérémiades des fonctionnaires de l'islam, les indignations sincères de la classe politique, l'heure n'est pas seulement à l'unité nationale et au rejet des amalgames, mais aussi à l'autocritique. Le rejet des amalgames ne doit pas nous dispenser de remettre en cause la dogmatique ambiante qui paralyse la pensée et tétanise l'expression. Ce qui est permis en psychanalyse ne doit pas être interdit en politique: mettre des mots sur les maux.

Même si les Kelkal, Merah, Kouachi et les centaines de sociopathes en Syrie restent minoritaires par rapport à la majorité des musulmans de France, on ne peut pas dire que le modèle d'intégration soit une réussite. Encore moins la gestion de l'islam qu'on disait une chance pour la France. La gallicanisation de l'islam a échoué. Cela vaut aussi pour les autres pays européens, notamment le Danemark, où a vu ses citoyens de la «diversité» manifester sous la bannière noire de Daech et aux cris de «A bas le régime, nous voulons le califat»!

Si l'intégration a «échoué», l'intégrisme a en revanche conquis les cœurs. Parce qu'on a laissé la société s'ouvrir à ses ennemis, une microsociété passée de l'islam quiétiste à l'islamisme radical s'est développée grâce au microclimat culturel, éducatif, politique, médiatique et juridique. Le mal, c'est le cancer islamo-fasciste qu'on a laissé se métastaser dans les banlieues, les prisons, les mosquées, les associations, les écoles et même les universités.

 Plutôt que de ressasser pas d'amalgames, mettre des mots sur les maux, c'est reconnaitre que les terroristes qui ont commis cet abominable crime sont des musulmans. Mais leur islam n'est pas mon islam, ni celui des 5 millions de Français paisibles, ni celui des 1,700 milliards de coreligionnaires dans le monde. Leur islam génétiquement modifié est celui des Talibans, d'Al-Qaïda et de Daech.

Les musulmans de France, pourront-ils encore dire dans leur prière quotidienne, «Allah Akbar», sans s'attirer la suspicion, voire même la haine? Devront-ils bannir de leur vocabulaire cette expression qui marque la transcendance, la grandeur et l'unicité divine dans la liberté humaine? Devront-ils taire cette invocation de l'Eternel, désormais associée au nihilisme des barbares?

Ces musulmans de France que chacun prétend représenter et dont nul n'incarne le quiétisme sont doublement atteints. Ils ont été frappés au centre de leur patrie et au cœur de leur foi. Ils pleurent l'assassinat de leurs compatriotes et la mort de Dieu.

 

MEZRI HADDAD  sur www.figaro.fr

18/01/2015

Société islamique: mode d'emploi

Alors qu'on estime à près de 5 000 le nombre de femmes et d'enfants actuellement détenus comme esclaves sexuels dans les régions de Syrie et d'Irak passées sous contrôle de Daech pour former l'Etat Islamique, plusieurs documents sont venus ces dernières semaines dépeindre les terribles traitements qui leur seraient réservés. En décembre dernier, notamment, le Mail Online a relayé un document signalé par le Memri (Institut de recherche des médias du Moyen-Orient qui étudie la menace terroriste particulièrement via les médias), rédigé et diffusé par le "Département des prisonniers et des affaires de la femme", dirigé par un certain Abu Suja. Intitulé "Questions et réponses sur l'emprisonnement et les esclaves", ce mode d'emploi -qu'il reste difficile d'authentifier- à l'adresse des djihadistes présenterait en 27 points les règles de l'esclavage sexuel.

On y apprend que les femmes pouvant être traitées d'esclaves sont les "non-croyantes", autrement dit, toutes celles qui ne seraient pas de confession musulmane, c'est-à-dire, comme explicitement énuméré dans le texte, les chrétiennes, les juives et les polythéistes, mais aussi les Yézidis, cette communauté persécutée par l'EI dont les croyances (monothéistes) trouvent leur source le zoroastrisme, la religion de la Perse antique.
Une fois achetées ou attribuées à un "maître" qui peut en posséder plusieurs, celles-ci peuvent être violées à volonté, et battues et punies si elles n'obéissent pas ou si elles tentent de s'enfuir. Ce guide précise également que les jeunes filles vierges peuvent être déflorées immédiatement après leur acquisition, que les relations sexuelles avec des esclaves pré-pubères mais "aptes" sont autorisées mais que les femmes ayant déjà eu des rapports doivent d'abord avoir l'utérus "purifié", sans qu'il soit expliqué comment. Pour justifier ces règles, le texte s'appuie sur la Charia telle que l'interprète l'Etat Islamique et cite des textes soi-disant tirés du Coran comme "Allah récompense les musulmans qui sont chastes avec leurs femmes et ce qu'ils possèdent" (sous-entendu pour les djihadistes, leurs esclaves) lorsqu'il s'agit d'interdire toute relation sexuelle avec l'esclave d'un autre.

 
Si cet abject mode d'emploi, dénoncé par de nombreux médias, n'a pas pour autant été officiellement revendiqué par l'EI, il fait étrangement écho à un autre document, révélé par le site Iraqinews puis largement diffusé il y a quelques semaines et contenant la grille tarifaire des esclaves. En fonction de leur âge, de leur beauté, ou même de la couleur de leur yeux, elles seront vendues entre 30 et 2000€, le plus haut prix étant réservée aux enfants de moins de 10 ans. Plusieurs ONG et médias ont également recueilli de nombreux témoignages de jeunes filles et femmes ayant échappé à leur "maître" tandis que la situation de communauté Yézidi présente en Irak et en Syrie et dont les femmes sont réduites à l'esclavage a été décriée par ces mêmes associations et médias qui ont tiré la sonnette d'alarme et n'hésitent pas à parler de génocide.

SOURCE www.aufeminin.com

11/01/2015

Islamisme : ça pue la haine!

Voici une belle vidéo de (sous) culture islamique: anti philosophique, anti démocratique, violente (notez les gestes d'égorgement du barbu qui dirige la bande de décérébrés) et machiste

Notez bien, cet hymne à la haine n'est pas censuré par l’État Français malgré qu'il s'agisse d'une déclaration de guerre

Depuis des années nous alertons sur le fait que le premier volet de la lutte contre le totalitarisme mahométain est de nature IDEOLOGIQUE, bien avant l'aspect policier

 

https://www.youtube.com/watch?v=E7B45h_lAEk

 islam-and-violence-3.jpg

PS : aujourd'hui pas de représentant marocain à la marche pour CHARLIE!

Quant aux autres Pays arabes on sait ce qu'ils ont fait pendant la publication des caricatures