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12/11/2020

Islam: amour, tolérance, respect et paix

À l’annonce d’un cessez-le-feu accablant pour les Arméniens du Karabakh et la République d’Arménie, le président de l’Azerbaïdjan, Ilham Aliev, a eu cette phrase: «J’avais dit qu’on chasserait [les Arméniens] comme des chiens, nous l’avons fait.» Ce n’est, effectivement, que la répétition de la promesse d’anéantissement qu’il a faite dès l’agression azerbaïdjanaise, le 27 septembre dernier, à l’égard des «chiens» de chrétiens qui avaient reconquis leur terre ancestrale du Karabakh ainsi que 7 districts environnants enlevés à la République d’Azerbaïdjan au terme de la guerre de 1992-1994......

Source:  www.figaro.fr

La civilisation islamique avance au Mozambique

Plusieurs dizaines de personnes ont été décapitées dans le nord du Mozambique ces derniers jours par des djihadistes. Selon Emmanuel Macron, plus de 50 personnes ont perdu la vie. Des villages ont été pillés et incendiés et des femmes kidnappées. Europe 1 fait le point sur la situation dans ce pays de l'Est de l'Afrique.

Ces derniers jours, des djihadistes ont massacrés des dizaines de personnes au Mozambique, un pays de l'Est de l'Afrique. Le président de la République Emmanuel Macron a réagi vertement à ces agissements. Europe 1 fait le point sur ce que l'on sait.

Des hommes et des adolescents décapités et des villages pillés

Plusieurs dizaines de personnes ont perdu la vie dans des massacres perpétrés dans le nord du Mozambique au cours des derniers jours. Mercredi 4 novembre, l'AFP faisait état de la découverte le lundi précédent des corps mutilés d'au moins cinq adultes et quinze adolescents dans une forêt du district de Muidumbe. Dans un tweet publié ce mercredi, le président de la République Emmanuel Macron a de son côté indiqué que "plus de 50 personnes ont été décapitées, des femmes kidnappées, des villages pillés puis incendiés".

Les djihadistes sont arrivés dans cette zone, près de la frontière tanzanienne, au moment d'une cérémonie d'initiation auxquels participaient des hommes et des adolescents. Ce rite est dénoncé par les djihadistes, pour lesquels il doit être puni de la peine capitale. Les dizaines d'hommes et adolescents qui participaient à la cérémonie ont donc été rassemblés sur le terrain de football, pour y être décapités puis démembrés à coups de machettes. Les djihadistes ont ensuite pillé les habitations avant d'y mettre le feu. Ils sont repartis en kidnappant les femmes et les jeunes filles.

Les djihadistes, qui ont prêté allégeance au groupe Etat islamique (EI), sont actifs depuis trois ans dans la région de Cabo Delgado. Ils attaquent villages et villageois dans le but d'y semer la terreur et de tenter d'y implanter un califat. La plupart du temps, les combattants islamistes restent pourtant cachés dans les forêts, mais ils en sont sortis au début du mois, pour s’approvisionner en pillant les communautés agricoles locales, comme à leur habitude. En avril, ils avaient déjà décapité une cinquantaine de jeunes gens qui refusaient de rejoindre leurs rangs.

Selon une ONG basée aux Etats-Unis, cette nouvelle branche de l'EI a fait au moins deux mille morts et provoqué le déplacement de plus de 400.000 personnes depuis 2017. Face à ces combattants, l'armée mozambicaine semble impuissante. Elle semble avoir lancé une opération d"assez grande envergure contre les bases arrière de ce mouvement. Mais elle progresse très lentement en raison de difficultés pour accéder à ces zones

Dans son tweet, Emmanuel Macron a dénoncé l'action de "barbares" qui "détournent une religion de paix pour semer la terreur". "Le terrorisme islamiste est une menace internationale qui appelle une réponse internationale", a-t-il conclu.

Source:www.europe1.fr

Islam (politico): l'Austria finalmente agisce!

Istituire il reato di islam politico nel tentativo di proteggere il suo Stato da eventuali pericoli derivanti dal radicalismo religioso e dal terrorismo internazionale di matrice jihadista, questo l'obiettivo dichiarato dal cancelliere austriaco Sebastian Kurz.

Il pacchetto di riforme annunciato dal leader del Partito popolare arriva ad una settimana circa dall'attacco terroristico che ha colpito il cuore della capitale Vienna, con un bilancio complessivo di 5 morti e 23 feriti. Lo scopo delle misure previste, che dovrebbero essere adottate a partire dal prossimo mese di dicembre, è quello di contrastare ogni genere di estremismo, a partire da quello islamico. "Questa non è una lotta tra cristiani e musulmani o tra austriaci e migranti. Questa è una lotta tra le tante persone che credono nella pace e quelle poche che vogliono la guerra", ha twittato il cancelliere austriaco, introducendo alcuni punti cardine delle riforme.

In Austria, quindi, si verrà a delineare"il reato di 'Islam politico' per poter procedere contro coloro che non sono terroristi, ma che creano loro il terreno fertile", ha spiegato Sebastian Kurz.

Sarà compresa in tali misure inoltre "un'estensione delle possibilità di chiudere luoghi di culto", laddove siano riscontrabili delle minacce o rischi di infiltrazioni, e l'introduzione di un vero e proprio registro degli imam diffusi nel paese, oltre che un forte inasprimento sulle leggi riguardanti le associazioni ed i simboli. Come annunciato ancora su Twitter, un aspetto fondamentale della lotta contro l'estremismo islamico sarà quello di adottare dei provvedimenti in grado di "prosciugare i flussi finanziari a sostegno del terrorismo".

Come rilanciato anche dai principali media nazionali, si parla poi della possibilità di introdurre una detenzione a vita, di revocare la cittadinanza austriaca ai condannati e di utilizzare lo strumento della sorveglianza elettronica dopo un eventuale rilascio. Con l'introduzione del reato di Islam politico, inoltre, sarà istituita una Procura anti terrorismo creata ad hoc.

"Finché non saranno de-radicalizzati e anche se avranno scontato la loro pena, creeremo la possibilità di rinchiudere queste persone per proteggere la popolazione", ha spiegato ai giornalisti lo stesso Sebastian Kurz. "Per coloro che sono appena stati rilasciati, ci sarà la sorveglianza elettronica. Questa è una forte interferenza, ma a mio parere è un passo necessario per ridurre al minimo la minaccia per la nostra popolazione", ha concluso il cancelliere.

FONTE: www.ilgiornale.it