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29/05/2006

L'islamophobie est un droit

Dans les miasmes putrides de l'agonie d'une fin de règne, une stature providentielle prend son essor en France. Les maux qui accablent le pays sont graves et nombreux. Il faudra combattre plusieurs en même temps. Mais avant, compte tenu de l'état du malade, il est impératif de poser le bon diagnostic. Après le diagnostic, il faut établir la liste des priorités, pour déterminer l'ordre des soins.

N'importe qui peut citer en vrac, beaucoup des maladies qui affectent la France :
- le chômage chronique et important,
- la paupérisation inexorable des classes moyennes,
- l'effondrement imminent, du système de retraite,
- la déliquescence quasi-totale, de l'Education Nationale,
- l'insécurité de proximité, par opposition au sentiment d'insécurité vague et générale, etc.

Ces menaces génériques, chaque habitant du pays peut les percevoir. Or, l'ensemble des habitants de France, contient le sous-ensemble des Français. Le sous-ensemble des Français perçoit lui, d'autres menaces. Et parmi ces menaces, l'une d'entre elles, multiplie considérablement, toutes les menaces génériques citées plus haut. Notez bien que, la menace en question n'en est pas la cause, mais un facteur aggravant. Par contre, cette menace engendre elle-même, ses propres maux. Il s'agit d'une part, de la perte d'identité française et républicaine, liée d'autre part, à l'instauration de néo-archaïsmes, racistes et totalitaires. Cette menace bien réelle, c'est l'islamisation accélérée du pays.

Beaucoup d'intellectuels lucides et courageux, dont quelques musulmans de naissance, mais peu de Français, expliquent en quoi l'islam littéral actuel est une idéologie dangereuse, comme le furent le nazisme et le communisme. « L'islam littéral », c'est l'islam, tel qu'il est écrit dans ses textes fondateurs. Ces textes fondateurs sont considérés comme sacrés et incritiquables. Pendant longtemps, beaucoup de musulmans ne les appliquèrent pas avec toute la rigueur préconisée. Mais depuis quelques décennies, pour des raisons diverses, des centaines de millions de musulmans remettent en pratique, les préconisations belliqueuses, racistes et xénophobes, toujours en vigueur dans leur gnose.

Les propagandistes prosélytes musulmans utilisent la « taqiya », pour abuser leurs interlocuteurs naïfs, ignorants, ou plus ou moins consentants. La « taqiya », c'est le droit de mentir à des non-musulmans, pour les entraîner à se convertir ou à défaut, à se soumettre. La taqiya est d'abord utilisée pour nier grossièrement l'évidence. Ainsi les nombreux appels aux meurtres d'infidèles, contenus dans les textes sacrés musulmans, sont tout simplement niés par les propagandistes prosélytes. Idem, pour les faits historiques ayant concourus à l'émergence de l'islam primitif. Aujourd'hui, les « taqiyistes » prétendent que la jihad, n'est que l'effort que doit faire sur lui-même, l'individu, pour parfaire sa spiritualité. Pour les taqiyistes, ce ne serait pas cette guerre sainte de conquête du monde, pourtant déjà entreprise par toutes les sectes nazislamistes de la planète. Depuis quelques dizaines d'années, cette guerre de conquête est coupable de la mort de plus d'un million de personnes, assassinées par des jihadistes un peu partout dans le monde. Plus de cinq mille Juifs, et des centaines de milliers de musulmans non fanatiques, en font partie. Ce nombre d'un million risque même d'être largement dépassé, quand on connaîtra mieux l'ampleur des massacres de chrétiens, commis par les jihadistes au Soudan, dans l'indifférence coupable du monde entier. Il sera aggravé par le recensement des victimes « infidèles », dans l'ex Yougoslavie.

Donc, le grave problème qui se pose aujourd'hui en France, c'est qu'une classe politicarde, en dessous de tout, et une propagande officielle, aussi zélée qu'abjecte, portent aux nues cet islam belliqueux. Il est non seulement encensé, mais en plus, il est facilité. Les lois républicaines sur la laïcité sont « aménagées » pour s'adapter à la chariah islamiste. Les élus du pays rivalisent, c'est à qui construira la plus vaste mosquée dans sa circonscription. Les gangs nazislamistes sont considérés comme de respectables partenaires politiques. Etc., etc. A la base, il y a une profonde perversion du sens des mots.

Ca commence avec la définition du racisme. Le racisme, c'est la négation de l'autre, pour ce qu'il est, en tant qu'individu. Le racisme devient dangereux quand cette négation de l'autre, entraîne la mort de l'autre. Ne pas aimer, voire détester platoniquement les autres, c'est certes peu civil, mais guère dangereux. Dans un pays de droit, il n'existe pas, en principe, de délit d'intention. Bien sûr, en France il existe, à juste titre, des lois réprimant l'apologie de la haine, du racisme, de l'antisémitisme, et de tas d'autres choses, comme la misogynie, l'homophobie, etc. Mais curieusement, ces lois, non seulement ne sont pas appliquées, mais en plus, elles sont détournées, dès que c'est l'islam, qui est coupable de tous ces délits énumérés. Des juges contorsionnent lois et jurisprudences, pour se comporter en bons dhimmis de l'islam.

Aujourd'hui en France, alors que l'antisémitisme le plus grossier, est plébiscité dans la propagande officielle, et ouvertement toléré par les tribunaux, l'islamophobie est déjà considérée comme un délit, voire comme un crime punissable. Or, les islamophobes ne sont pas racistes. Les islamophobes ne souhaitent pas la mort des musulmans, parce qu'ils sont musulmans. Comme le nom l'indique, les islamophobes sont contre l'islam en tant que doctrine nuisible. Au contraire, le monde entier a été témoin de l'extrême intransigeance, et de l'intolérance totale des musulmans, y compris en France, à propos de ces insignifiantes caricatures, de l'assassin antijuif pédophile qui leur sert de modèle. Parmi des milliers d'exemples, nous avons les photos des menaces de morts, proférées par les nazislamistes, lors des manifestations tolérées, par les collabos du Londonistan. Les islamophobes ne tuent pas des musulmans parce qu'ils sont musulmans. Au contraire, plus d'un million de personnes ont été assassinées au nom de l'islam, durant ces deux dernières décennies. Et les assassins sont plus que jamais, décidés à continuer, et à augmenter le nombre de victimes. Ils le clament partout, y compris à la tribune de l'ONU. Pourtant, en France, les politicards font semblant de ne rien voir, et de ne rien entendre.

Dans ce marigot puant, pendant près de cinquante ans, un homme a quasiment tenu seul, le rôle d'épouvantail raciste. Cet homme avait, et a toujours, la réputation d'être un xénophobe, et un antijuif. Notez bien que durant ce demi-siècle, il n'a jamais été qualifié d'islamophobe. Car, si l'on prétend qu'il n'aime pas les Arabes, il semble qu'il n'ait pas la même aversion contre l'islam, en tant qu'idéologie. Cependant, durant près de cinquante ans, il a mis en garde ses concitoyens contre l'invasion « douce » de la France, par des immigrants non européens, inassimilables, et presque toujours musulmans. Pour cette raison, beaucoup de Français devinrent ses électeurs. Le mal ne cessant de s'aggraver, et, toujours seul à le dénoncer, il connut une semi gloire en avril 2002, quand il atteignit le deuxième tour de l'élection présidentielle. Mais voilà, le mal empirant, cet homme n'est plus seul. Il est concurrencé par un homme qui n'a pas sa réputation, ni de raciste, ni d'antijuif. Mieux, ce rival lui, ne s'en prend pas aux individus musulmans, mais à l'islam, la doctrine perverse qui les corrompt.

C'en est trop pour les étrons, qui constituent la propagande officielle française.

Ils ont inventé une nouvelle définition. Désormais, « raciste d'extrême-droite », l'insulte suprême de la langue francaoui, est exclusivement réservée aux islamophobes, à condition qu'il ne soient pas antijuifs.

Du coup, les dégueulis de la propagande se concentrent sur ce rival, qui a la témérité de s'attaquer à la cause du mal. Bizarrement, depuis quelques semaines, la propagande unanime ne parle plus de « lepénisation » des esprits, mais de « villiérisation » des esprits. Il ne se passe pas de jour, sans qu'une de ces déjections ne pollue, ce qui fut autrefois les médias. Mais le vice est poussé encore plus loin. A deux reprises, pour des raisons qui ne seront pas expliquées ici, l'ex-épouvantail raciste a fait allégeance à l'islam. La première fois, lors de la ridicule affaire des caricatures, ce n'est encore pas trop méchant. Mais la deuxième fois, c'est beaucoup plus grave, puisque la nucléarisation des nazislamistes d'Iran, est considérée comme une chose sans importance, voire naturelle. Du coup, l'ex-épouvantail raciste devient un allié objectif. On commence à le ménager. Et pour ce faire, on tape sur le concurrent honni présumé.

C'est dans ce contexte qu'apparaît ce curieux « renversement de tendance », qui verrait les sympathisants de Philippe de VILLIERS rejoindre en nombre, les rangs du Front National, jugé « moins raciste » (par la propagande) que le MPF. Un FN, révélé au plus haut dans les sondages, en tête de toutes les formations politiques françaises. Il est clair que Philippe de VILLIERS serait plus hostile à l'islamisation de la France, que n'importe quel autre candidat à la présidentielle. Que ça plaise ou non, les Juifs de France se rallient à sa candidature. Et c'est vrai, quelques antijuifs « à l'ancienne » quittent dégoûtés, le MPF. Tant mieux.

Toutefois, gardons à l'esprit l'expérience de 1995. L'ami de trente ans caracolait en tête des sondages, deux mois encore avant le scrutin. Et puis, malheureusement, nous connaissons la suite… Sauf qu'en 2007, nous dirons, heureusement !

Charles DALGER, le 28 mai 2006


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