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19/05/2008

Les "vrais" musulmans n'ont-ils pas d'honneur?

CLICK: http://www.youtube.com/watch?v=nAV30FiCaBU

14/05/2008

Immigration ou islamisation: quel est le vrai problème?

EXTRAIT D'UN FORUM INTERNET:

Pour revenir à la question posée par ce topic, je dirais que de tous les immigrants, les musulmans sont ceux qui dérangent ou dérangeront le plus. Leur origine géographique, leur culture, leur couleur de peau ou leur langue maternelle importent peu. C’est en tant qu’adeptes d’une certaine religion qu’ils s’exprimeront, agiront et vivront.
Tous les autres immigrants ont tendance à revendiquer les mêmes droits que les québécois de souche. Les musulmans revendiquent D’AUTRES droits que ceux dont jouissent les québécois fondateurs du Québec, principalement le droit de faire une place à leur religion DANS la société québécoise et pas seulement dans la communauté musulmane.
La Ligue des Noirs du Québec défend les droits des québécois noirs, susceptibles d’être discriminés. Les associations de gays et lesbiennes défendent les droits des gays et lesbiennes susceptibles d’être discriminés....Bref, dans tous les cas, il s’agit de défendre les droits d’un groupe de personnes. Sauf dans le cas des musulmans. Ces gens revendiquent des droits idéologiques non des droits de citoyens pour des personnes humaines. Ils militent pour une religion qui se trouve être en même temps une doctrine idéologique.
Ces militants se trouvent avantagés dans une société occidentale car les occidentaux savent ce qu’est une religion, savent ce qu’est une idéologie, mais ne savent pas ce qu’est cette chose qui est en même temps religion et idéologie, céleste et terrestre à la fois.
Les militants musulmans ne cherchent pas à intégrer des personnes, des citoyens, mais à intégrer une idéologie-religion dans la culture québécoise. Ils frayent un chemin à l’islam, l’exposent, le proposent et parfois l’imposent dans le panorama, dans la gamme des bruits, dans la gamme des couleurs et dans l’air que nous respirons.
Ils ne militent pas pour la présence des musulmans, mais pour la présence et la progression de l’islam à travers les musulmans.
Chaque musulman se perçoit et perçoit son coreligionnaire comme un instrument, un vecteur au service de l’expansion de l’islam. C’est cela qui est dérangeant dans une démocratie permissive. Si les valeurs humaines modernes issues des Lumières placent l’être humain au centre des préoccupations des hommes et des femmes, le monde musulman place l’islam au centre de toutes les préoccupations.
L’islam est en lui même un but, un idéal, et l’homme un instrument pour atteindre ce but. Quand une femme demande à voter voilée, en réalité elle demande à ce que l’islam vote. Quand un musulman demande à prier au travail, il demande en réalité à ce que l’islam pénètre le monde du travail. Quand un musulman exige qu’un restaurant cuisine aussi du hallal, en réalité il demande à ce que l’islam pénètre la cuisine québécoise. C’est une sorte de marquage ou de partage de territoire par des jalons qui rappellent l’islamité des lieux, au moins en partie.
Dans un premier temps, il s’agit de convaincre l’opinion publique que le Québec est certes catholique, mais aussi musulman et qu’il n’y a aucun problème à cela. Bien sûr le québécois moyen n’ira pas fouiner dans la charia des différentes écoles juridiques musulmanes pour vérifier s’il y a problème ou pas. Même nos docteurs Bouchard et Taylor ne le font pas et s’ils le font, ils se gardent bien de souffler un seul mot. Tout le monde ne peut avoir l’honnêteté intellectuelle et le courage de Bat Ye’Or.
Les militants musulmans sont des spécialistes de la manipulation des symboles et du remodelage de l’environnement public.
Ils ne procèdent pas en islamisant les personnes une par une, mais en construisant autour d’elles un environnement social et physique teinté de symbolique islamique et de culture islamique. Ils travaillent à rendre cet environnement de plus en plus dense en symboles islamiques et à « repeinturer » au maximum le paysage aux couleurs et aux sons islamiques.
Une fois plongés dans cet environnement, les personnes apparaissent comme musulmanes et au bout de quelques générations, la population devient musulmane. C’est la nouvelle forme de conquête préconisée par les réformistes style Frères Musulmans ou Daâwatistes, Hidjra Wa Takfir, Ahl Salaf etc...
Les Juifs ne dérangent pas en fait. Peut-être dérangeront-ils un peu par leur opulence et leur vie en retrait, mais ils n’ont pas de visées idéologiques et religieuses sur le peuple québécois. En plus, ils ont l’habitude de constituer des diasporas depuis des siècles. Les Juifs reculent toujours quand la société s’en prend à eux. Les musulmans deviennent plus féroces quand ils trouvent de l’opposition et utilisent toutes la armes possibles et imaginables (intellectuelles ou autres).
C’est d’ailleurs pour ça que le monde occidental hésite à les contrarier ouvertement. Les musulmans ne savent pas que si les hostilités sont déclarées, les occidentaux n’en feront qu’une bouchée, aussi bien en occident qu’en plein monde musulman. En plus, les chefs musulmans pensent que les occidentaux ont atteint un niveau d’humanisme, de rationalisme et de sagesse qui ne leur permet plus de faire une guerre totale ou de s’en prendre à des communautés musulmanes vivant en Occident. Cette idée les rassure, les encourage et les rend plus offensifs, de plus en plus hardis, au point de commettre des crimes de sang en plein jour, en pleine rue.
Il faudrait que les intellectuels québécois prennent la parole et analysent le phénomène sous l’angle des sciences humaines au lieu de laisser la parole aux seuls québécois du peuple qui parlent avec leurs tripes. Il faudrait qu’une élite se mette à lire, interpréter et traduire les faits, gestes et paroles des musulmans qui se mettent en première ligne volontairement ou poussés par des chefs agissant dans l’ombre.
Quand le québécois moyen aura compris par exemple pourquoi un père de famille musulman exige que l’école publique fasse attention à ce que son chérubin ne mange pas haram, on aura fait un bon bout de chemin. J’ai posé la question à plusieurs personnes (dont certaines universitaires), et toutes me répondent : parce que sa religion ne lui permet pas de manger n’importe quoi.
En un mot : Pourquoi l’homme est bipède ? Parce qu’il marche sur deux pieds !!.
La question est en réalité : « pourquoi sa religion ne lui permet-elle pas de manger n’importe quelle viande ? »
et là on me répond : « On s’en fout ! qu’il fasse ce qu’il veut ! »
Pourtant, il ne s’agit pas de l’empêcher de faire ce qu’il veut, mais de savoir et révéler au grand public exactement ce qu’il veut et pourquoi il le veut. C’est cela la tâche des intellectuels, journalistes, analystes et chroniqueurs.
Toute cette histoire me rappelle les péripéties de la maladie du Sida. Au début, on n’osait pas en parler, l’assimilant à une maladie honteuse, propre aux « déviants sexuels ». Lorsque le virus fut isolé, étudié et compris, les langues se sont déliées, les tabous sont levés, les malades et les scientifiques ont pris la parole. Aujourd’hui on lutte contre le sida naturellement, on contribue tous, on organise des téléthons et on sensibilise efficacement.

SOURCE: www.pointdebasculecanada.ca

Réligion, pouvoir, totalitarisme

«Je touche en ce livre à des choses grandes et délicates, aux choses religieuses.
J’ai refait le rêve des âges de foi ; je me suis donné l’illusion de vives croyances.
C’eut été trop manquer de sens de l’harmonie que de traiter sans piété ce qui est pieux.
Je porte aux choses saintes un respect sincère.
Je sais qu’il n’est pas de certitude hors de la science.
Mais je sais aussi que les vérités scientifiques ne valent que par les méthodes qui y conduisent et que ces méthodes sont inaccessibles au commun des hommes.
C’est une pensée peu scientifique que de croire que la science puisse un jour remplacer la religion.
Tant que l’homme sucera le lait de la femme, il sera consacré dans le temple et initié à quelque divin mystère.
Il rêvera. Et qu’importe que le rêve mente, s’il est beau ?
N’est-ce pas le destin des hommes d’être plongés dans une illusion perpétuelle ? Et cette illusion n’est-elle pas la condition même de la vie ?».


Parmi ceux qui connaissent son œuvre et sa part active dans le combat en faveur de la séparation entre l’Eglise et l’Etat concrétisée par la loi de 1905, nul ne peut taxer de cléricalisme l’auteur de cet exergue dont l’ensemble des œuvres fut condamné et mis à l’index par décret papal «opera omnia» du 31 mai 1922. Pour ceux qui l’ignoreraient, il s’agit de la préface écrite par Anatole France pour son roman «Thaïs». Ce texte n’en prend que plus de relief et éclaire la réalité de la laïcité telle qu’elle fut comprise par ses promoteurs, mais que d’aucuns considèrent comme incompatible avec la foi spirituelle alors qu’elle en est au contraire la meilleure garante.

La foi, qu’elle soit spirituelle, philosophique ou religieuse relève de l’intimité inviolable de chaque individu, de son «rêve», qui fait de chaque être humain un temple respectable et sacré. Mais dès que les tenants ou les entristes d’une foi font intrusion dans le domaine public, avec pour objectif de propager leur foi, de l’imposer ou de forcer les autres à s’y conformer, adapter, elle sort de l’enceinte sacrée du Temple du «rêve» pour déboucher sur l’espace profane du Forum où elle se heurtera aux autres croyances, aux autres convictions. Elle devient objet de discussion, de critique, de contestation ou d’hostilité et le fait que ses promoteurs s’en plaignent, protestent ou recourent aux tribunaux, relève alors de la plus parfaite «mauvaise foi». De privée, intime et sacrée, la foi devient publique, qualificatif qui la désacralise. Elle devient même objet d’hostilité, de rejet et d’irrespect lorsqu’elle entend imposer son suprématisme qui la placerait au-dessus des lois de la Cité et au-dessus des autres croyances. Elle devient une idéologie politique souvent armée et violente, sachant qu’en matière de religion ou d’idéologie, l’Arène n’est jamais loin du Forum déserté.

À moins de se soumettre sans résistance aux plus intolérants, il ne saurait donc être question de dérogation en faveur de telle ou telle prétendue foi qui n’est que le paravent d’une idéologie d’essence totalitaire. Toute concession, tout «aménagement», toute «discrimination positive» en faveur de l’intolérance équivaudrait à retourner notre meilleure arme, la laïcité en l’occurrence, contre nous-mêmes. Hors du Temple tout est politique, ce qui a pour corollaire qu’à l’intérieur du Temple, tout ce qui, faute d’y être proscrit, touche à la politique par le prêche, discours, détournement du rituel rend ce lieu profane.

A prétendre par son suprématisme dominer le pouvoir temporel, voire économique durant plus de quinze siècles, en interdisant le Forum où, à armes égales et à droits égaux, elle se serait trouvée confrontée à des croyances ayant d’autres vérités ou qui vont à la recherche de la Vérité, l’Eglise qui s’en prétendait la seule détentrice s’était désacralisée. Elle était devenue un pouvoir politique coercitif, idéologique, voire économique et, à éviter le Forum, elle s’était retrouvée dans l’Arène en compétition avec d’autres pouvoirs politiques, idéologiques et économiques. Ce fut finalement la Loi de la Séparation de 1905 qui, chez nous, l’aura ramenée à sa vocation première : la Foi.

On mesure le chemin parcouru depuis cette Séparation en lisant dernièrement l’interview d’un prélat accompagnant le Pape aux Etats-Unis et appelant toutes les religions à se mettre ensemble à la recherche de la Vérité, admettant implicitement un certain relativisme par rapport à la vérité. Combien aura-t-on excommunié ou fait condamner au bûcher par le bras séculier avant d’en arriver là ?

Il est vrai que par delà les critiques, l’Eglise pouvait et peut évoluer sans renier sa foi, puisque ses dérives, ses exactions et ses crimes, commis ou prêtés, ne sont pas dictés par les évangiles mais au contraire, les trahissent. D’où d’incessantes contestations au sein même du christianisme qui ont abouti à la Réforme, avec son appel au «libre examen» qui a ouvert la voie aux Lumières et à la séparation définitive, déjà amorcée par les souverains européens, entre le spirituel représenté par les diverses croyances, mais aussi par l’incroyance religieuse, et le temporel représenté par l’Etat et la Société. Loin d’être une rupture, cette séparation est au contraire un retour aux sources, puisqu’elle est déjà inscrite dans le discours prêté à Jésus : «Mon royaume n’est pas de ce monde» ou le fameux «Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu».

Ce n’est pas trahir la laïcité que de rappeler en toute objectivité le rôle de l’Eglise durant le premier millénaire, à travers ses divers Ordres religieux, dans la restauration et la sauvegarde de la civilisation gréco romaine disloquée par les invasions barbares, dans la «modernisation» de l’agriculture, dans le développement des réseaux scolaires, des hôpitaux, de sorte qu’on ne peut imaginer la civilisation occidentale sans l’apport, certes non exclusif, du christianisme.

Cette évolution de l’Eglise, plus particulièrement durant la seconde moitié du siècle écoulé, annoncerait des jours meilleurs pour l’esprit de tolérance et de respect mutuel si une autre religion, frustrée par plus de cinq siècles de domination occidentale dans les domaines scientifique, intellectuel, artistique, social et politique sur le monde, ne croyait son heure venue pour prendre sa revanche en n’utilisant ses mosquées que «comme rampe de lancement» et ses «minarets comme des baïonnettes pointées contre l’Europe», selon les termes du premier ministre de la république «laïque» turque si pressée de rejoindre l’U.E, sans oublier Boumédienne selon qui les les ventres féconds des femmes musulmanes rendront superflu l’usage de la force pour submerger l’Europe. Alors que le monde occidental a définitivement abandonné l’idée de conquête et stigmatise tout ce qui rappelle le nationalisme, à commencer par l’identité nationale, l’islam combine jusque sur notre propre sol les nationalismes arabe, turc et autres, avec une religion liberticide dont l’émigration favorise l’expansionnisme et les moyens de pression. Certes, tous les musulmans installés en Europe ne partagent pas forcément, loin s’en faut, ces objectifs totalitaires. Ceux qui se contentent de pratiquer paisiblement leur religion dans leurs foyer et dans les mosquées sont probablement majoritaires. Nous pouvons «porter aux choses saintes (aux yeux des croyants sincères) un respect sincère», sans être tenus pour autant de les ressentir comme saintes, mais ce sont toujours les minorités qui mènent le monde avec l’art de prendre les «masses» en otage.


En s’imposant comme détentrice exclusive de LA Vérité, en prétendant interdire toute critique, toute contestation touchant à ses dogmes, à ses mœurs, à ses méthodes, en recourant aux pressions, au chantage, à l’intimidation, voire à la terreur, l’Islam sorti de son Temple, n’est plus qu’une idéologie totalitaire au milieu de l’Arène que nous sommes en droit de brocarder ou contraints de combattre sous peine de disparaître. N’en déplaise au grand patronat vénal et à nos politiciens carriéristes à courte vue qui déroulent le tapis rouge* sous les pieds de ceux qui veulent nous dominer, c’est en toute légitimité qu’il convient de «traiter sans piété» ce qui n’a plus rien à voir avec la piété ni avec les «choses saintes».

© André Dufour pour LibertyVox

21/04/2008

Le but de l'impérialisme musulman:la conquête du Monde!

Continuez de croîre au Père Noël...

CLICK:http://www.pointdebasculecanada.ca/spip.php?article363

11/04/2008

Fitna: un court-métrage qui en dit...long!

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N'oubliez pas de le visionner et d'en parler autour de vous:

http://www.pointdebasculecanada.ca/spip.php?article338

Le coran c'est cela!

Voici le commentaire très pertinent de nos amis de http://grouik-grouik.org/:

"La montée du Parti National-Socialiste (nazi) du chancelier Hitler était la plus grande menace contre la paix dans le monde à la fin de la première moitié du XXème siècle.
La montée de la Secte Soumission (islam) du "prophète" (pretendu tel NDLR) Mahomet est la plus grande menace contre la paix dans le monde au début de cette première moitié du XXIème siècle.
Charlie Chaplin a lu le livre de Hitler, Mein Kampf ("Mon Combat"), et comparé à ce que les nazis faisaient effectivement, non seulement dans leur pays d'origine (l'Allemagne) mais aussi à l'extérieur de celui-ci, en Europe, il comprit que les nazis appliquaient tout bonnement le projet de Hitler pour l'humanité. Un projet clairement exposé noir sur blanc dans son livre. Un projet qui allait de manière évidente plonger la planète entière dans la guerre.
Geert Wilders a lu le livre de Mahomet, Al Coran ("La Récitation"), et comparé à ce que les musulmans font effectivement, non seulement dans leur pays d'origine (l'Arabie saoudite) mais aussi à l'extérieur de celui-ci, en Europe, il a compris que les musulmans appliquent tout bonnement le projet de Mahomet pour l'humanité. Un projet clairement exposé noir sur blanc dans son livre. Un projet qui va de manière évidente plonger la planète entière dans la guerre.
Charlie Chaplin a fait un film pour alerter le monde : Le Dictateur.
Geert Wilders a fait un film pour alerter le monde : Fitna.
Tant Chaplin que Wilders ont été confrontés EXACTEMENT aux mêmes réactions de la part d'EXACTEMENT les mêmes personnes".

06/04/2008

Notre Dame de Lorette: à qui profite le crime?

A la suite de l'acte ignoble, lâche, et stupide de la profanation des tombes des soldats musulmans au cimitière militaire de Notre Dame de Lorette, voici que le ténors de l'islamisation de la France en profitent pour semer le trouble et relancer les tentatives de museler l'opinion publique.

Commençons par notre Nicolas national qui declare:  «Cet acte relève du racisme le plus inadmissible qui soit et le président de la République partage la douleur de toute la communauté musulmane de France» .

Racisme dit-il ? Quel racisme?

Est-ce que l'islam definit une race? (même si Mahomet proclame la supériorité de la "race" arabe!)

Est-ce que tous les soldats de confession musulmane tombés en 14/18 faisaient partie d'une même "race" ou étaient-ils originaires du même Pays (Sénégal, Mauritanie, Algérie, Maroc...?)

A la rigueur, et avec quelques nuances, on peut dire que l'anti-sémitisme est "raciste" , le judaïsme se transmettant généralement par filiation, donc par voie de sang.

Mais si la profanation de tombes chrétiennes n'est pas un acte raciste mais simplément un acte criminel, il en est tout de même pour l'islam!

Notez comme notre Président souligne le caractère "communautaire" des musulmans de France, bien que parfois cette expression soit utilisée à tort et à travers.

Ce qui banalise encore un peu plus l'idée que nous ne sommes plus un seul Peuple uni par une même culture, mais un ensemble de "communautés" qui se cotoient et qui s'ignorent.

Mais la cerise sur le gateau vient de Moulud Aounit, le président du MRAP.

Cet individu, grand ami de Tarik Ramadan,  président d'un Mouvement financé avec l'argent du contribuable, et  qui avait entre autre refusé de participer au defilé organisé en memoire d'Ilan Halimi, sous différents prétextes, en a profité sur BFM pour pointer du doigt l'"islamophobie".

Par analogie, alors que (presque) tout le monde critique et condamne le nazisme, est-ce qu'il y a beaucoup de profanations de cimitières militaires allemands?

Et combien même il y en aurait, serait-ce une raison pour dedouaner le nazisme?

Ainsi, en faisant un amalgame sordide et malhonnête entre un fait criminel et le droit fondamental de tout homme libre de critiquer toute réligion, idéologie, parti politique, etc, il a bien entendu demandé au pouvoirs publiques de proceder à un ennième tour de vis du baillonnement de l'opinion publique afin que l'oeuvre d'islamisation de la France et à fortiori de l'Europe puisse se poursuivre sans aucune entrave et que la vérité sur l'idéologie violente et totalitaire contenue et colportée par le coran ne soit pas devoilé au grand publique avant que les rapports de force entre la "communauté musulmane" et les "autres" ne changent... 

Je prends le pari qu'il sera entendu par notre Nicolas national.

26/03/2008

Le "parti d'allah" s'installe en France!

A tous ceux qui ne voient rien venir, attendez encore un peu......

A bon entendeur...salut!

POWERPOINT:

Presentation PMF.ppt 

 SANS AUTRE COMMENTAIRE

25/03/2008

Pour en finir avec le terme islamophobie

1390306665.jpgL’équation entre islamophobie et racisme est malhonnête. La peur de l’islam n’est pas la même chose que la haine de tous les musulmans. On peut craindre l’islam, à tort ou à raison, et n’avoir aucun préjugé contre l’ensemble des musulmans, et encore moins être raciste. Si la crainte d’une idéologie rend quelqu’un raciste, tous ceux qui craignent le conservatisme ou le libéralisme doivent être considérés racistes. - Dennis Prager
Nous vous suggérons de lire aussi Pour en finir avec le mot "islamophobie" - par le belge Jean Thirion. Des deux côtés de l’Atlantique, on s’insurge contre cette fraude intellectuelle qui fait l’amalgame entre critique légitime d’une religion et racisme dans le but de limiter la liberté d’expression, et qui nuit à la lutte contre le véritable racisme.
Lisez aussi notre article Le rapport de l’Observatoire de l’islamophobie - faux diagnostic, mauvais traitement. Nous y proposons un ensemble de mesures dont nous garantissons qu’elles élimineront définitivement toute peur de l’islam.
Traduction de Why ’Islamophobia’ is a brilliant term, par Denis Prager, WorldNetDaily Commentary, le 31 juillet 2007
Qu’est-ce que l’antisémitisme, le racisme et l’islamophobie ont en commun ?
En fait, rien.
Mais selon des groupes islamistes, les médias occidentaux et l’ONU, ils ont tout en commun. Les antisémites détestent tous les juifs, les racistes détestent tous les membres d’une autre race, et les islamophobes détestent tous les musulmans.
Celui qui a inventé le terme « islamophobie » est tout à fait astucieux. Notez le tour de passe-passe intellectuelle ici. Le terme n’est pas « musulmano-phobie » ou « anti-musulman », c’est islamo-phobie - la peur de l’islam - et pourtant, la peur de l’islam n’est pas du tout la même chose que la haine de tous les musulmans. On peut craindre l’islam, à tort ou à raison, ou des aspects de l’islam, et n’avoir absolument aucun préjugé contre l’ensemble des musulmans, et encore moins être raciste.
L’équation entre islamophobie et racisme est particulièrement malhonnête. Il y a des musulmans de toutes les races, et l’islam n’a rien à voir avec la race. Néanmoins, les principaux médias occidentaux, des groupes islamistes qui se disent des Groupes musulmans de défense des libertés civiles et diverses organisations occidentales déclarent à maintes reprises que l’islamophobie est du racisme.
Pour ne citer que trois des innombrables exemples : The Guardian a publié un éditorial intitulé, « Islamophobia should be as unacceptable as racism ». L’Union européenne a créé l’Observatoire européen des phénomènes racistes et xénophobes, et la B’nai B’rith Anti-Defamation Commission of Australia a fait remarquer que « les musulmans ont aussi été la cible de racisme en Australie, souvent désigné sous l’appellation « islamophobie ».
Même en admettant qu’il y a des gens qui ont peur de l’islam, quel est le lien avec le racisme ? Si la crainte d’une idéologie rend quelqu’un raciste, tous ceux qui craignent le conservatisme ou le libéralisme doivent être considérés racistes.
Bien sûr, d’aucuns pourraient soutenir que le conservatisme et le libéralisme sont des idées, alors que l’islam est une religion, et qu’on peut attaquer des idées mais pas des religions. Il est toutefois tout à fait insultant pour les religions de nier qu’elles sont des idées. Les religions sont certainement plus que des idées – ce sont des systèmes de croyances théologiques - mais elles sont aussi des idées sur la manière dont la société devrait fonctionner, au même titre que le libéralisme et le conservatisme. Par conséquent, l’islam, le christianisme, le judaïsme et le bouddhisme devraient tout autant être l’objet de critiques que le conservatisme ou le libéralisme.
Toutefois, la seule religion dont l’Occident permet la critique est le christianisme. Les gens écrivent des livres, donnent des conférences et des séminaires sur la fausseté des croyances chrétiennes ou les antécédents immoraux du christianisme, et pourtant nul ne les accuse de racisme ou de bigoterie, et encore moins ne les agresse physiquement. Le chef de l’Anti-Defamation League a déclaré que les chrétiens sont la plus grande menace pour l’Amérique d’aujourd’hui, et nul ne l’a accusé de racisme ou de christianophobie.
Sa déclaration peut être une expression d’hystérie et d’ignorance, mais pas de racisme. Mais si l’on dit que l’islam ne semble pas compatible avec la démocratie ou que le traitement islamique de la femme est inférieur à celui de l’Occident, il ou elle sera étiqueté comme raciste islamophobe.
On pourrait contrer que calomnier les gens qui critiquent n’est pas seulement vrai de ceux qui critiquent l’islam, c’est aussi vrai de ceux qui critiquent Israël – ils seraient antisémites - et l’Amérique – ils ne seraient pas « patriotiques ». Ni l’un ni l’autre n’est véridique. Ce sont, et j’utilise ce mot rarement, des mensonges.
Nul n’est étiqueté antisémite simplement pour avoir critiqué Israël. Les gens qui sont identifiés comme antisémites sont ceux qui nient à Israël le droit d’exister, ceux qui se rangent aux côtés de ceux qui veulent l’exterminer, ou ceux qui veulent singulariser l’État juif par rapport à toutes les autres nations du monde pour des critiques que la plupart des autres pays méritent beaucoup plus.
Et nulle personne douée de raison n’a jamais accusé quelqu’un de manquer de patriotisme pour avoir simplement critiqué les États-Unis. La sénateur Hillary Clinton a allégué lors d’un débat présidentiel que le Département de la défense l’avait accusée de manquer de patriotisme pour avoir demandé si le Département avait un plan pour retirer les troupes américaines d’Irak. Pourtant, non seulement le terme « patriotisme » n’a pas été utilisé dans la réponse à la sénateur, on n’y a même pas fait allusion.
Le fait demeure que le terme « islamophobie » a un seul but - réprimer toute critique, légitime ou non, de l’islam. Et compte tenu de la lâcheté des médias occidentaux et de la collusion de la gauche dans la censure de ces critiques (tout en s’en donnant à cœur joie contre le christianisme et les chrétiens), ça marche !

source: www.pointdebascule.ca

21/03/2008

Bruxelles, Europe, la catastrophe culturelle qui se dessine pour les générations futures

La capitale européenne sera musulmane dans vingt ans. C'est du moins ce qu'affirme une étude publiée la semaine dernière dans le quotidien La Libre Belgique. Près d'un tiers de la population de Bruxelles étant déjà musulmane, indique Olivier Servais, sociologue à l'Université catholique de Louvain, les pratiquants de l'islam devraient, en raison de leur forte natalité, être majoritaires «dans quinze ou vingt ans». Depuis 2001, Mohamed est, chaque année, et de loin, le premier prénom donné aux garçons nés à Bruxelles.

«Il faut relativiser ces chiffres, insiste Mahfoud Romdhani, député socialiste et vice-président du Parlement francophone bruxellois. Les immigrés de pays musulmans ne sont pas tous musulmans ! Moi-même, je suis de culture musulmane, mais agnostique.» Olivier Servais se veut d'ailleurs prudent sur les projections à long terme, Bruxelles subissant des flux de population importants en tant que capitale de l'Union européenne.

Reste, constate La Libre Belgique, que «si leurs parents n'étaient guère pratiquants», pour faciliter l'intégration dans leur pays d'accueil, «les jeunes marquent un retour important vers le fait religieux». Quelque 75 % des musulmans s'estiment aujourd'hui pratiquants. Auteur d'Infiltrée parmi les islamistes radicaux *, la journaliste flamande Hind Fraihi va plus loin : «Les jeunes sont de plus en plus radicalisés, affirme-t-elle. Ils rejettent les valeurs occidentales, même leurs parents s'en inquiètent. À Bruxelles, il existe des îlots, comme Molenbeek, où l'on a parfois du mal à se croire en Belgique…»

Du bazar Tafoukte à la bijouterie Mohammed, les musiques du Maghreb envoûtent le passant. Encombrée de seaux en plastique multicolores, de chaussures de sport et de caftans chatoyants, la ruelle piétonnière du Prado conduit à la mairie de Molenbeek, le quartier marocain de Bruxelles. Presque toutes les femmes sont voilées et les commerçants parlent arabe. «On se sent mieux, ici, qu'en France ou en Espagne, assure Akim, gérant d'un magasin de vêtements. Peut-être parce qu'on est une grande communauté. C'est comme au pays !»

Il y a quelques années, raconte Philippe Moureaux, le bourgmestre PS de Molenbeek, «des musulmans sont venus me trouver : ils voulaient que je sois le “président” de leur nouvelle mosquée…». C'est dire si cet ancien ministre, pourtant agnostique, est bien vu par le «gros tiers» de musulmans parmi ses 83 000 administrés. Création d'un Conseil consultatif des mosquées doté d'allocations de la mairie, ouverture d'un abattoir municipal pendant la fête du sacrifice, présentation d'une liste électorale comprenant une majorité de musulmans… «Ce sont des gestes de respect qui m'ont valu la confiance de cette communauté, explique le bourgmestre. On a été très loin, certains disent trop loin. Mais pour moi, la seule solution, c'est l'ouverture.»

Selon Alain Escada, président de l'association Belgique et chrétienté, «on va d'abandon en abandon». «De plus en plus de cantines introduisent des menus halal aux dépens des chrétiens, déplore-t-il. Les autorités ne font plus leur travail : les politiques, qui, avec une vision à court terme, sont prêts à tout pour séduire un nouvel électorat, mais aussi le clergé, qui met les musulmans et les chrétiens sur un pied d'égalité, alors que c'est loin d'être réciproque : voyez cet archevêque assassiné récemment en Irak !»

Pour l'instant, «l'essentiel de l'islam belge est paisible et familial, souligne Olivier Servais, mais un jour il y aura peut-être une revendication claire d'islam. Je n'exclus pas des explosions sociales.» Des partis communautaristes, redoute-t-il, pourraient capitaliser sur le taux de chômage très élevé à Bruxelles (plus de 20 % de la population), qui frappe notamment la population musulmane.

Jean-François Bastin, un Belge de 65 ans coiffé d'un turban à carreaux et la barbe teinte au henné, s'appelle aujourd'hui Abdullah Abu Abdulaziz Bastin. Converti à l'islam, il a fondé en 2004 le Parti des jeunes musulmans. Abdullah ne serre pas la main des femmes. «C'est tromper Allah, lâche-t-il. C'est aussi tromper celle à qui l'on donne la main, en lui faisant croire que vous êtes égaux. Mais je vous fais un grand sourire !» s'empresse-t-il d'ajouter.

Lui-même clame que les sourires, que certains politiques font aux musulmans ne sont qu'une «instrumentalisation grossière : Il y en a assez de cette sorte de néocolonialisme, s'emporte-t-il. Ils prétendent qu'ils vont nous défendre, et ensuite ils interdisent le foulard à l'école !». Aux dernières élections municipales, le PJM, qui ne se présentait que dans deux quartiers de Bruxelles, a rassemblé moins de 5 000 voix. «Nous pourrions prendre appui sur cette étude pour exiger plus de mosquées visibles, des appels à la prière, des cimetières, des écoles, des maisons de retraite…, s'emballe le converti. Moi je dis aux musulmans : “Perdez cet esprit de colonisé ! Les colons se sont fait bouter hors d'Algérie, c'est peut-être ce qui se passera ici.”» Les immigrés, conclut-il, en ont assez fait, et «même trop» pour s'intégrer : «c'est désormais à la Belgique de s'adapter».

SOURCE: http://www.lefigaro.fr/international/2008/03/21/01003-20080321ARTFIG00068-l-islam-premiere-religiona-bruxelles-dans-vingt-ans.php

Les promoteurs de la sharia preparent l'après-pétrole

RYAD (Reuters) - L'Arabie saoudite envisage de mettre sur pied un fonds souverain de taille modeste, doté de six milliards de dollars (3,9 milliards d'euros), le royaume préférant concentrer ses ressources sur des projets domestiques.

"Nous en sommes au stade de la conception mais le fonds ne sera pas très important. Il disposera de seulement six milliards de dollars environ et sera géré par le fonds d'investissement public", déclare Hamad el-Sayyari, à la tête de l'Agence monétaire de l'Arabie saoudite (SAMA), l'équivalent de la banque centrale, dans une publication de l'Oxford Business Group dont Reuters s'est procuré une copie vendredi.

La question des fonds souverains préoccupe les dirigeants occidentaux, qui se demandent ce que des pays comme la Chine, la Russie ou encore des Etats du Golfe comptent en faire.

L'Autorité d'investissement d'Abou Dhabi (ADIA), piloté par l'émirat d'Abou Dhabi, est considérée comme le plus important fonds souverain du monde avec 800 milliards de dollars gérés.

Dans l'article de l'Oxford Business Group, le patron de la banque centrale saoudienne précise que la priorité du pays est de se "concentrer sur le développement de l'économie nationale, de la diversifier et de créer des emplois".

Le numéro deux de la banque centrale, Mohammed el-Jasser, avait dit en janvier que l'Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole et allié des Etats-Unis, qu'un fonds souverain était en préparation.

Des membres de la famille royale et des hommes d'affaires saoudiens ont déjà fait nombre d'investissements à l'étranger.

Andrew Hammond, version française Benoit Van Overstraeten

SOURCE: www.latribune.fr