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19/01/2009

La Sarkokratie franchit toutes les bornes

En présentant ses vœux aux forces de l’ordre, ce mercredi, à Orléans, le chef de l’Etat a voulu tenir des propos forts contre le risque d’importation du conflit israélo-palestinien en France. Cela, nul ne peut le lui reprocher, il est dans son rôle. Mais il a prononcé cette phrase terrible : « L’antisémitisme et l’islamophobie seront condamnés avec la même sévérité », il n’y a pas de place dans la République pour des antisémites ou des islamophobes ». (1)

(NDR :Il condamne, il condamne,.... mais donne l'asile politique a une ordure de terroriste assassine comme Petrella, et permet la fuite au Bresil de l'autre ordure Battisti en s'arrangeant avec Lula pour lui faire avoir son asile politique: LA HONTE!)

Le 7 décembre 2007, Nicolas Sarkozy avait tenu des propos semblables à Alger, où il avait emmené Dalil Boubakeur, on se demande encore à quel titre. (2)

Ce n’est donc absolument pas un dérapage verbal, une maladresse, mais une ligne politique. En amalgamant le racisme qu’est l’antisémitisme, et le droit de ne pas apprécier une religion, ce qu’est l’islamophobie, Sarkozy attaque frontalement un principe laïque : le droit à la libre critique de toutes les religions, le droit au blasphème.

Peut-être plus grave encore, il dit clairement à tous : « Critiquer un homme parce qu’il est juif c’est la même chose que montrer les conséquences nuisibles à tous d’une religion ». Non seulement il ose, de cette façon, minimiser l’antisémitisme mais il donne à l’islam des lettres de noblesse ! C’est une réécriture criminelle de l’Histoire. Il fait des amalgames honteux entre Drumont, Charles Maurras ou Hitler, hier, antisémites notoires, comme les islamistes radicaux aujourd’hui, et des militantes comme Ayaan Hirsi Ali, Wafa Sultan ou Taslima Nasreen, qui ne cachent pas leur islamophobie. Les premiers appelaient, et appellent encore à la haine et l’extermination de tout un peuple, sur des bases racistes. Les secondes appellent les populations, et notamment les femmes, à s’émanciper d’une tutelle religieuse qu’elles jugent liberticide, sexiste et totalitaire, et elles se revendiquent des Lumières. Comment le président de la République peut-il renvoyer les deux dos-à-dos ?

Il cède ainsi à la pression des islamistes qui, à l’Onu (3), et partout dans le monde, entendent interdire tout dessin insolent sur le prophète, toute vérité déplaisante sur l’islam. Signalons à nos amis altermondialistes qu’ils reçoivent, entre autres, le soutien de Chavez et de Castro.

L’homme qui disait, avant son élection, « plutôt un excès de caricature qu’un excès de censure » et défendait le journal Charlie Hebdo, donne aujourd’hui des gages à ceux qui, de Mouloud Aounit à Dalil Boubakeur, voulaient interdire les caricatures danoises.

L’homme qui voulait « toiletter la loi de 1905 » instrumentalise le conflit israélo-palestinien pour attaquer frontalement la laïcité, et la liberté d’expression. En faisant un parallèle aussi scandaleux, il envoie un message fort aux dignitaires religieux musulmans :« Aidez-moi à faire régner l’ordre dans les banlieues, pendant cette période chaude, et je vous envoie un message fort, pour limiter la critique de votre religion, ce qui est une de vos revendications ».

Il se montre prêt à brader le combat historique de nos anciens, qui ont payé de leur sang le droit de s’émanciper de la tutelle religieuse, notamment catholique, en France.

Qu’aurait-on dit, dans les années 1990, si, cédant aux demandes des intégristes catholiques, et de leur association l’Agrif, dirigée par Romain Marie, du Front national, on avait répondu positivement à leurs exigeces, qui considéraient que toute critique de la religion catholique était une marque de racisme anti-français ? Toute la gauche serait, à juste titre, montée au créneau.

Pourtant, cette fois, on attend avec impatience les protestations de ceux qui, en soutenant l’offensive du voile, et les revendications communautaristes des islamistes, ont préparé le terrain au discours de Sarkozy. D’autres qui, imprudemment, ont parlé de racisme anti-musulman, ont également donné des verges pour se faire fouetter.

Si Nicolas Sarkozy veut réellement tout faire pour que le conflit israélo-palestinien ne soit pas importé en France, qu’il cesse de donner des gages aux religieux, qu’il cesse de parler de « bondieuseries » dans ses discours officiels, qu’il cesse de faire le signe de croix quand il représente l’ensemble des Français, et qu’il tienne enfin des propos dignes du président d’une République laïque, qui ne reconnaît pas les communautés, religieuses ou autres, mais les individus, à égalité de droits et de devoirs.

Bien entendu, nous serons toujours aux côtés de tous les combats anti-racistes : racisme contre les Juifs, contre les Arabes, contre les Noirs, contre les Blancs…

Bien entendu, nous serons toujours aux côtés de tous ceux qui se donnent le droit de critiquer toutes les religions, catholique, protestante, musulmane, juive, orthodoxe, bouddhiste, hindouiste, etc.

Pour soutenir les dessinateurs danois, des journaux comme France-Soir ou Charlie Hebdo ont reproduit leurs dessins.

Pour défendre le droit à la liberté d’expression, et surtout celui de critiquer l’islam, nous reproduisons les propos de Mustapha Kemal, fondateur de la République laïque de Turquie : « Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’Islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. »

Si l’on en croit les propos présidentiels, qui a même évoqué la « tolérance zéro », nous sommes donc devenus des délinquants. Nous devons donc nous attendre à être poursuivis pour pour avoir relayé les propos de ce dangereux islamophobe, forcément raciste, selon Aounit, Tubiana, Sarkozy, Ramadan, Boubakeur et consorts.

En attendant, nous encourageons tous nos amis laïques à faire de même, à à défendre le droit à être islamophobe, et même à ajouter le mot phobe aux autres religions de leur choix.

SOURCE: www.ripostelaique.com

07/12/2008

Martine Aubry, soit le féminisme au pouvoir!

cirquesocialo.jpgEn consultant la biographie de Martine Aubry,
la nouvelle secrétaire générale du PS, on apprend qu'elle est l'épouse de l'avocat
Jean- Louis BROCHEN surnommé "l'avocat des islamistes" !!!

Défenseur depuis plus de 20 ans de ces fanatiques pseudo-réligieux et des lycéennes voilées,
d'où à Lille la création de piscines réservées aux femmes (musulmanes) !!

Vive la discrimination sexuelle, enfermez ces fémelles "impures" pour qu'elles ne souillent pas la vertu masculine!!!

Concernant une "laïque" théoriquement attachée aux droits des
femmes, je ne comprends pas cette union et suis assez inquiet pour l'avenir si, contre toute logique, elle était candidate aux présidentielles...

Les Français sont tellement aveugles ...

Bien sûr, on n'a jamais entendu parler de ce mariage dans la presse,
puisqu'elle a gardé le nom de son premier mari...

A faire savoir à un maximum de personne...
 

11/09/2008

11 septembre: anniversaire du nihilisme musulman

Aujourd’hui, 2008, cela fait sept ans que l’islam a marqué l’humanité au fer rouge, c’est une date qu’il nous faut commémorer tant en souvenir des victimes de la barbarie idéologique islamique que du courage de ceux qui luttèrent contre, ce jour-là, avant et depuis.

À cette date près de trois mille résidents des États-Unis d’Amérique moururent du fait d’attaques terroristes islamiques, certains y voient la marque des Talibans, d’Oussama Ben Laden, de l’Iraq, du Salafisme, du Wahhabisme, d’autres cachant mal leur antisémitisme sous le masque de l’anti-sionisme, hurlent au complot et dénoncent le Mossad , d’autres encore, mais souvent alliés des précédents et souffrant d’une « occidentalophobie » masochiste accusent les États-Unis d’Amérique d’être responsables de ces attentats.

Pour ma part, mais je sais que je ne suis pas seul, je fais porter la responsabilité de ces attaques à une idéologie et à une partie de ses adhérents ; cette idéologie c’est la religion islamique et si tous ceux qui se disent musulmans n’approuvent pas ces attaques, elles sont pourtant bel et bien justifiées par les préceptes de la religion islamique.

C’est aussi une autre date qu’il convient de se rappeler aujourd’hui, celle du 1683, mes collègues de Point de Bascule l’ayant fait de manière brillante, je leur laisse la parole.1  

J’entends déjà des voix, hurler à l’islamophobie, à l’amalgame, à l’injustice, à l’essentialisation, pourtant à lire les textes canons de l’islam, le Coran (le livre sacré des musulmans), le hadith (les rapports des faits et dires de Mahomet, le prophète de l’islam), le fiqh (la jurisprudence islamique), la sira (la biographie de Mahomet), l’on peut y trouver sans difficulté et sans risque d’erreur d’interprétation l’appel et la justification de la guerre, sous toutes ces formes, contre ceux qui n’adhèrent pas à cette idéologie.

Outre les textes, qui sont longs et fastidieux à lire et à analyser, l’histoire nous montre également ce qu’il en est de cette idéologie que l’on ne cesse de nous présenter comme pacifique et tolérante alors que tant d’éléments factuels nous montrent le contraire.

Depuis le 2001 ce ne sont pas moins de 11.800 attaques terroristes2 que le monde a subi de la part des adeptes mahométans.

Sur la trentaine de conflits qui embrasent le monde en ce moment, la très grande majorité impliquent des pays musulmans.

Au cours de sa vie Mahomet conquit par les armes l’ensemble de la Péninsule Arabe, dans le siècle qui suivit sa mort ses adeptes avaient conquis le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord, la Péninsule Ibérique et se faisaient refouler par Charles Martel à Poitiers à l’ouest et jusqu’à l’Asie centrale à l’Est où ils furent arrêtés par les Chinois.

L’histoire de l’islam, c’est l’anéantissement de l’empire berbère, de l’empire byzantin, de l’empire indo-persan, c’est une trace sanglante dans toute l’histoire de l’humanité.
L’histoire de toute l’humanité est sanglante, elle est faite de guerres, mais dans toute cette histoire on ne retrouve qu’un seul exemple ayant amené à de tels comportements à un tel déferlement de haine de l’autre.

Cette idéologie c’est le nazisme, là, à nouveau, j’entends, ceux qui n’ont pas étudié le sujet se gausser et parler de point Godwin3.
Pourtant le nazisme et l’idéologie islamique présentent bien trois points communs majeurs, si je mentionne l’antisémitisme, l’hégémonisme et le suprématisme aryen du Nazional-Socialisme je n’ai nul besoin de m’expliquer quiconque n’a ne fut-ce que quelques vagues notions de l’histoire du XXème siècle sait de quoi je parle.

Ces trois éléments font également partie de la doctrine islamique.

Antisémitisme

Dans le Coran :

2.75. - Eh bien, espérez-vous [Musulmans], que des pareils gens (les juifs) vous partageront la foi ? Alors qu’un groupe d’entre eux, après avoir entendu et compris la parole d’Allah, la falsifièrent sciemment.

5. 51. Ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes.

5. 72. Ce sont, certes, des mécréants ceux qui disent : « En vérité, Allah c’est le Messie, fils de Marie.» Alors que le Messie a dit : « enfants d’Israël, adorez Allah, mon Seigneur et votre Seigneur.» Quiconque associe à Allah (d’autres divinités) Allah lui interdit le Paradis; et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes, pas de secoureurs !

9. 30. Les Juifs disent : « Uzayr est fils d’Allah » et les Chrétiens disent : « Le Christ est fils d’Allah ». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu’Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ?

Dans le hadith :

Le Messager de Dieu a dit: « Ne soyez pas les premiers à saluer les juifs ou les chrétiens. Si vous rencontrez l’un d’eux sur votre chemin, acculez-le à sa partie la plus étroite ». (Rapporté par Mouslim)

Le Jour du Jugement dernier ne viendra pas avant que les musulmans ne combattent les juifs, quand les juifs se cacheront derrière les rochers et les arbres. Les rochers et les arbres diront, Ô Musulmans, Ô Abdallah, il y a un juif derrière moi, vient le tuer. Seul l’arbre du Gharkad ne le dira pas, parce que c’est un arbre des juifs. (Rapporté par Boukhari 2926 et Mouslim 2921)

Tout juif qui vous tombe sous la main, tuez-le !
Ibn Hichâm (savant musulman mort en 834), La biographie du prophète Mahomet, traduction française de l’historien musulman Wahib Atallah, Paris, Fayard, 2004, p.232.

Historiquement :

624 : Après la victoire de Badr, début de l’élimination des juifs.
626 : Massacre des juifs Banu Khazradj et partage des familles et du butin.
626 : Expédition contre les juifs Banu Qoraizha, insultés par Mahomet: « Ô vous, singes et cochons… ».
626 : Massacre des 700 juifs Banu Qoraïzha, liés pendant trois jours, puis égorgés au dessus d’un fossé, avec les jeunes garçons.
626 : Expédition contre les juifs de Kaihbar.
626 : Meurtre sur ordre de Mahomet du juif Sallam Abou Rafi.
626 : Mahomet fait couper les palmiers de l’oasis des juifs Banu Nadhir.
627 : Élimination du clan juif des Qurayza à Médine.
627 : Massacre des juifs de Médine; partage des familles et des biens.
628 : Mahomet aux juifs Banu Qainoqa: « si vous n’embrassez par l’islam, je vous déclare la guerre ».
628 : Attaque des juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers.
628 : Prise de l’oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet.
628 : Soumission des juifs de Wadil Qora.
630 : Soumission des juifs et chrétiens de Makna, Eilat, Jarba4.

Alors quand certains analystes prétendent que l’antisémitisme chez les musulmans, aujourd’hui, est dû au comportement des Israéliens, il y a de quoi se poser des questions sur la validité de leurs analyses, surtout quand on regarde le verset suivant du coran :

33.21 En effet, vous avez dans le Messager d’Allah [Mahomet] un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment.

Hégémonisme

Dans le Coran :

9.29. Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés.

9.33 C’est Lui qui a envoyé Son messager avec la bonne direction et la Religion de la Vérité, afin qu’elle triomphe sur toute autre religion, quelque répulsion qu’en aient les associateurs.

Dans le Hadith :

D’après Ibnou Omar, l`Envoyé de Dieu, a dit:

Il m’a été ordonné de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils témoignent qu’il n’est d’autre divinité qu’Allah, et que Mohammed est Son Envoyé, qu’ils accomplissent la prière rituelle, qu’ils acquittent la zakat [aumône]. S’ils exécutent ces choses, ils seront, à mon égard, garantis quant à leurs personnes et à leurs richesses, à moins qu’ils ne transgressent (ouvertement) la loi de l’Islâm, mais Dieu réglera le compte de leurs (intentions vraies).

Ce hadith fait partie de ce que les musulmans appellent communément les quarante hadiths5, ce sont ceux dont l’authenticité ne fait aucun doute, afin d’en comprendre la portée pour nous occidentaux de culture judéo-chrétienne, il est assez pertinent de les rapprocher des « Dix commandements »

Historiquement :

Extrait du préambule de la constitution iranienne6

L’armée idéologique
Dans l’organisation et l’équipement des forces défensives du pays, l’attention se porte sur la foi et l’idéologie de façon à ce qu’elles soient le fondement et la règle. Pour cette raison, l’armée de la République Islamique et le corps des Gardiens de la Révolution sont organisés en conformité avec cet objectif et seront chargés, non seulement de la sauvegarde et de la protection des frontières, mais également du fardeau de la mission idéologique, c’est-à-dire le Djihad dans la voie de Dieu et la lutte dans la voie de l’expansion de la souveraineté de la loi de Dieu dans le monde.

Article onze de la charte du Hamas
[…]Cependant, la propriété véritable et la terre même doit être consacrée aux seuls musulmans jusqu’au Jour du Jugement Dernier. […]

(Il s’agit de la Terre entière et si le Hamas est bel et bien classé comme organisation terroriste par de nombreux pays, sa charte est conforme aux textes canons de l’islam.

Suprématisme

Dans le Coran :

1. 7. le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés.

La sourate un est récitée, par le musulman, chaque jour, lors de chacune des cinq prières quotidiennes, « ceux qui ont encouru ta colère » désigne les juifs, « les égarés » désigne les chrétiens, il s’agit pour le moins de propos infâmants envers ces deux communautés, mais cela n’est jamais relevé !

3.110. Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers.

Dans le Hadith :

Aboû Horeîra Abd-er-Rah`mân ben Çakhr) a dit: J`ai entendu l`Envoyé de Dieu, dire:
Ce que je vous ai défendu de faire évitez-le, et ce que je vous ai ordonné, accomplissez- le dans la mesure où cela vous est possible. Ceux qui vous ont précédé ont péri seulement par l’abondance de leurs questions et leurs divergences d`opinions à l’égard de leurs Prophètes.

Ceci est un autre des quarante hadiths, qui lui aussi, bien qu’indirectement, montre le peu de considération dû aux non-musulmans.

Historiquement :

Le pacte d’Omar est sans doute le texte qui montre et justifie le mieux le mépris du musulman pour le non-musulman, à la suite de sa première promulgation il fut appliqué aux juifs et aux chrétiens dans tous les territoires conquis par les musulmans, y compris en Andalousie :

Quand les musulmans ont occupé la Grande Syrie, Omar ibn Al-Khattab a fixé les conditions suivantes à l´attention des chrétiens :

• Ils ne doivent pas construire de nouveaux monastères, églises ou cellules de moines dans leurs villes et leurs alentours
• Ils ne doivent pas reconstruire ceux qui ont été détruits
• Ils ne doivent repousser aucun musulman qui souhaite passer trois jours dans une église, et ont l´obligation de le nourrir
• Ils ne doivent pas héberger d´espions
• Ils ne doivent pas être secrètement déloyaux envers les musulmans
• Ils ne doivent pas enseigner le Coran à leurs enfants
• Ils ne doivent pas faire preuve de polythéisme en public
• Ils ne doivent pas empêcher les membres de leurs familles de se convertir à l´islam s´ils le souhaitent
• Ils doivent faire preuve de déférence face aux musulmans
• Ils doivent céder leurs places assises aux musulmans qui souhaitent s´asseoir
• Ils doivent se différencier des musulmans par leurs tenues vestimentaires
• Ils ne doivent pas porter de noms musulmans
• Ils ne doivent pas conduire sur une selle
• Ils ne doivent pas porter d´épées
• Ils ne doivent pas vendre de vin
• Ils ne doivent pas se couper court la frange
• Ils doivent se revêtir de leur habit chrétien où qu´ils se trouvent
• Ils doivent se ceindre la taille d´une écharpe
• Ils ne doivent pas porter de crucifix ou l´un de leurs livres saints sur le chemin des musulmans
• Ils ne doivent pas enterrer leurs morts à proximité des musulmans
• Ils ne peuvent faire sonner leurs cloches que doucement
• Ils ne doivent pas lire à haute voix dans leurs églises en présence de musulmans
• Ils ne doivent pas porter de rameaux le dimanche des rameaux
• Ils ne doivent pas lever la voix pendant le deuil ne doivent pas porter de bougies pendant leurs funérailles
• Ils ne peuvent pas acheter des esclaves capturés par les musulmans en temps de guerre
• S´ils enfreignent le moindre de ces interdits, ils ne seront plus protégés, et les musulmans pourront disposer d´eux comme ils disposent de ceux qui leur résistent.

Je me suis volontairement limité dans les références aux textes canons afin de ne pas trop alourdir ce texte, il va de soi qu’il y a des centaines d’autres passages de ceux-ci justifiant le mépris des non-musulmans ou la guerre contre ceux-ci.

Cependant ce sont les non-musulmans qui se voient intentés des procès pour intolérance ou discrimination religieuse, il s’agit là aussi d’un moyen de faire progresser la foi islamique, d’en empêcher la critique rationnelle. Critique qui est pourtant étayée, non pas par des paroles oiseuses, par des raisonnements alambiqués mais tout simplement au moyen d’éléments factuels sur le plan historique et des textes fondateurs de l’islam. Cette critique est un devoir pour tout citoyen qui veut sauvegarder les acquis sociaux et la liberté dans nos démocraties.

Il y a un peu plus de deux ans dans un autre texte que j’avais rédigé lors du cinq millième islamique commis depuis le 2001, je posais la question suivante :

Alors encore combien d’ dans le monde avant que nos politiciens ouvrent les yeux et agissent avec un peu plus de conséquence ?

Cinq mille ?
Cinquante mille ?
Cinq cent mille ?

Nous en sommes aujourd’hui à plus de 11.800, nos politiciens ont-ils changé leur fusil d’épaule ?
La grande presse, dans son ensemble, a-t-elle changé d’attitude envers les tenants de cette idéologie ?

Je ne le pense pas, ce qui est sûr par contre c’est que le citoyen lui a commencé à comprendre, la situation économique y est sans doute pour quelque chose, mais ce n’est pas là la seule raison…

Alors je le dis à tous, si vous ne voulez pas que votre pays ressemble à l’ex-Yougoslavie ou au Liban (deux pays qui paient très cher la naïveté occidentale envers l’idéologie islamique), interpellez vos élus pour qu’ils fassent le travail pour lequel ils sont payés, ce travail étant, entre autre de veiller à notre sécurité et à la sauvegarde de nos droits. Les deux étant clairement mis en péril par l’idéologie islamique, pas uniquement par les terroristes.

SOURCE: http://www.bivouac-id.com/2008/09/11/7-ans-et-pourtant-pa...

12/07/2008

Mariage temporaire islamique: le marché aux bestiaux

Adjugé, vendu. C’est un commerce en pleine expansion qui rappelle les marchés d’esclaves d’antan. À la saison touristique, des milliers d’Arabes viennent passer leurs vacances en Égypte et en profitent pour consommer un mariage temporaire islamique. Puis ils disparaissent dans la nature, laissant derrière eux le fruit de quelques nuits d’amour et une femme désemparée ne sachant quoi faire de cet enfant, qu’elle finit par vendre au plus offrant.

Avec l’institution des mariages temporaires (chiites) ou sans obligations (sunnites), du coup le tourisme sexuel islamiquement correct (halal) devient possible et il connaît une vogue grandissante. Malheureusement il ne tombe pas sous le coup de la loi puisqu’il s’agit de mariage légal en bonne et due forme respectant en tous points la charia.

L’Égypte connaît une vague sans précédent d’enfants abandonnés. Les mères victimes de ces mariages temporaires (contractés le plus souvent avec des saoudiens se dépêchent d’abandonner leurs bébés peu de temps après la naissance. D’autres se font littéralement acheter leur nouveaux-nés pendant leur séjour en maternité, c’est souvent les infirmières qui servent d’intermédiaires dans ce commerce d’enfants. Les destinataires sont habituellement des femmes arabes aisées de l’Arabie saoudite, du Koweït ou des Émirats. Atteintes de stérilité, elles vivent dans la hantise de voir leur mari épouser une seconde femme. Elles feignent donc d’être enceintes, prétextent un voyage d’agrément ou pour passer des examens médicaux, se rendent en Égypte où elles se procurent à bon compte un bébé nouveau-né (un garçon dans la totalité des cas) qu’elles enregistrent à leur nom (les certificats de naissance de complaisance s’achètent) et le tour est joué.

Ce n’est ni plus ni moins que le rapt d’enfants et la fraude érigés en système. D’autres sont vendus aux enchères, loués, cédés au plus offrant, dans un commerce qui rappelle les marchés d’esclaves d’antan.

Extraits de l’article « Nulle part ailleurs, 30 000 L.E., adjugé, vendu », par Chahinaz Gheith, paru dans Al-Haram Hebdo, le 24 octobre 2007

05/07/2008

Quand le pourrissement idéologique touche le fond

Le Syndicat de la magistrature (SM, gauche) a appelé aujourd'hui le gouvernement français "à faire preuve d'humanité" en n'extradant pas vers l'Italie l'ancienne membre des Brigades rouges Marina Petrella.

Incarcérée depuis août 2007, visée par un arrêté d'extradition, Marina Petrella "présente, selon ses médecins, un +état dépressif gravissime+" et "avec cette extradition, (elle) est poussée vers la mort (sic,sic,sic!!!!!!!NDLR) dans l'indifférence glaciale de l'administration française", a écrit le SM dans un communiqué.

Le SM "ne peut se résoudre à un tel traitement et appelle le gouvernement, s'il est encore possible d'être entendu, à faire preuve d'humanité".

Marina Petrella a été condamnée en Italie en 1992 en son absence à la réclusion criminelle à perpétuité, notamment pour le meurtre d'un commissaire de police en 1981. La Ligue des droits de l'Homme (LDH) a également demandé à Nicolas Sarkozy de renoncer à l'extradition de l'ancienne membre des Brigades rouges, au moment où il se dit prêt à accueillir les guérilleros colombiens des Farc qui renonceraient à la violence.

SOURCE www.figaro.fr

CECI SE PASSE DE TOUT AUTRE COMMENTAIRE

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02/07/2008

Après le subprime ...les prêts islamiques

EXTRAIT DU FIGARO: Le ministère de l'Économie aimerait pouvoir favoriser le développement des prêts islamiques en France. Baptisé « sukuks », ce type de prêts répond aux principes de la charia. Celle-ci prohibe l'usure c'est-à-dire interdit de réclamer ou de verser des taux d'intérêt ou, encore, n'autorise pas les investissements dans certains secteurs tels que la guerre (le jihad est exclu NDR), l'alcool ou les jeux.

Le stock mondial d'obligations islamiques est pour l'instant évalué à 47 milliards de dollars, mais elles connaissent un développement très rapide, de l'ordre de 15 % par an entre 2004 et 2007. Ce qui pousse le ministère de l'Économie à s'y intéresser de près.

L'idée consisterait à autoriser ce type d'émissions par des banques sur la place de Paris en faisant en sorte que les investisseurs qui en achètent ne soient pas désavantagés par les conditions fiscales qui y sont rattachées, actuellement très pénalisantes. Le projet pourrait être évoqué par la ministre de l'Économie, Christine Lagarde, ce mercredi, à l'occasion des rencontres financières de Paris Europlace.

 MAIS FINALEMENT C'EST QUOI UN PRET ISLAMIQUE? UN VRAIS PRET ALLAH-CONS!!!

EXTRAIT DE L'EXPANSION.FR: Il n'y a aucune raison pour qu'un bon musulman soit pénalisé parce qu'il veut agir en bon musulman. » C'est au nom de ce postulat qu'Iqbal Khan, responsable d'Amanah Finance, la filiale islamique du groupe bancaire HSBC, s'apprête à secouer le marché britannique du prêt hypothécaire. Dans un pays où la location représente moins de 30 % de l'immobilier, des ménages musulmans ont un problème de conscience : les prêts hypothécaires ne sont pas conformes à la charia, la loi coranique interdisant le paiement d'intérêts, ce qui complique l'accès à la propriété.

A dater du 1er décembre, HSBC, qui contrôle le CCF en France, sera la première banque internationale à proposer une solution sur mesure. Son plan ressemble plus à un contrat de leasing qu'à un prêt conventionnel. La banque achète le logement au nom de son client et le lui loue pour une période maximale de vingt-cinq ans, au terme de laquelle le client devient propriétaire, à un coût équivalent à celui d'un prêt hypothécaire traditionnel. « La réaction a été phénoménale », affirme Iqbal Khan, qui s'est fixé un double objectif : contrôler 25 à 30 % du marché britannique et à long terme, s'implanter dans le reste de l'Europe. « Notre produit est applicable à tous les pays où existe une bourgeoisie musulmane occidentalisée mais qui souhaite devenir plus musulmane. » Et Iqbal Khan n'en fait pas mystère : « La France est un marché très intéressant... »

COMMENTAIRE : la "bonne" banque musulmane ne prête pas à intêret, elle fait mieux que cela, elle achète le logement puis elle le loue au pauvre con de "bon" musulman contre loyer mensuel  en faisant une sorte de leasing. En d'autres termes elle encaisse ses bonnes plus-values sans les appeler par leur nom! Si le pauvre con decède avant la fin du leasing....il aura tout perdu, aucune assurance ne le couvre pour un bien qui n'est pas (encore) le sien! Ceci s'appele prendre les gens pour des cons mais au Pays de Nicolas Tartuffe ça va être légal. C'est beau l'islam!!  Allah akbar!!!

Touche pas à mon islam

Le parlement iranien a commencé l'examen d'une proposition de loi pour étendre la peine de mort à la promotion de la corruption, de la prostitution et au non respect des valeurs religieuses sur internet.

Les députés iraniens ont accordé mercredi la priorité à l'examen de la proposition de loi intitulée "Renforcer les peines contre les crimes liés à la sécurité morale de la société". La première version du texte punissaient par la peine capitale, la création de réseaux de prostitution ou encore le trafic d'êtres humains. Les députés souhaitent à présent compléter la liste avec "la création de blogs et de sites internet faisant la promotion de la corruption (endemique en islamiland NDR), de la prostitution (dit par les fidèles de le réligion du plus grand Pédophile de l'histoire et par les promoteurs des mariages islamiques temporaires ça ne manque pas de culot NDR) et au non respect des valeurs religieuses ".

La mesure permettrait au juge de décider si l'auteur d'un tel blog ou site internet doit être désigné comme "mohareb (ennemi de Dieu) et corrupteur sur terre" et s'il est punissable de mort.

Selon un récent rapport d'Amnesty international, après la Chine, l'Iran a été le pays ayant eu le plus recours à la peine capitale en 2007 avec 317 personnes exécutées.

Levif.be avec Belga

30/06/2008

L'anti-civilisation musulmane et sa barbarie

Hadith Sahih Muslim 17/4206 (authentique)

« Une femme vint dire à Mahomet : « J’ai commis l’adultère, purifie-moi. » (Elle voulait que Mahomet la punisse afin qu’Allah lui pardonne son péché et la laisse entrer au paradis.) Mahomet lui répondit : « Va-t-en jusqu’à la naissance de l’enfant. » Après avoir mis l’enfant au monde, elle revint avec l’enfant et dit : « Voici l’enfant que j’ai mis au monde. » Mahomet répondit : « Va-t-en et allaite-le jusqu’à ce qu’il soit sevré. » Une fois l’enfant sevré, elle vint vers Mahomet avec l’enfant qui tenait un morceau de pain dans sa main. (L’enfant devait avoir deux ans, selon la durée prescrite par le Coran pour l’allaitement.) La femme dit : « Messager d’ Allah, le voici, je l’ai sevré et il mange de la nourriture solide. » Mahomet donna l’enfant à un musulman et prononça ensuite la sentence. La femme fut enterrée dans un fossé jusqu’a la poitrine et lapidée ».

Pour les amateurs de détails croustillants, sachez que la lapidation se termine de la façon suivante (ma traduction) :

« Khalid b Walid lui jeta une pierre sur la tête. Quand une éclaboussure de sang le salit au visage, il insulta la suppliciée. Le Messager d’Allah entendit l’insulte et il ordonna : ”Khalid, fais doucement. Au nom de Celui qui tient dans ses mains ma vie, elle a fait une telle démonstration de sa repentance que même si un collecteur d’impôts injuste s’était repenti ainsi, il aurait été pardonné.” Alors donnant des ordres au sujet de la femme, il pria au-dessus d’elle et elle fut enterrée ».

Pour comparaison :

« Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère ; et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ? Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus, s’étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l’interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s’étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu’aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors s’étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus, va, et ne pêche plus ». Jean 8 : 3-11

Information complémentaire :

Le code pénal de la République Islamique d’Iran sur les conditions de la lapidation.

§ 102 La femme et les sanctions : La lapidation jusqu’à ce que mort s’ensuive est le châtiment pour les adultères. L’homme et la femme adultères sont enterrés dans un trou rempli de sable, le premier jusqu’à la taille, la seconde jusqu’au-dessus des seins, et ils sont lapidés.

§ 104 Les pierres utilisées ne devront pas être trop grosses afin d’infliger la mort d’un coup, elles ne doivent pas être si petites qu’on ne puisse leur donner le nom de pierre. La taille moyenne est choisie généralement afin de faire expier la faute par la souffrance.

SOURCE www.pointdebasculecanada.ca

18/06/2008

Sarkozy, une fausse paix, un vrai deshonneur

Premier chef d’état étranger à se rendre au Liban après «l’élection» du Général Sleimane, notre Président a pris dans ses bagages les éminents représentants de la classe politique, de droite, du centre et de la gauche. Sauf Olivier Besancenot, Jean-Marie Le Pen et Philippe de Villiers, c’est toute la France officielle qui s’est précipitée à Beyrouth pour frapper du sceau de l’honorable le coup d’état du Hezbollah réalisé sous les ordres de l’Iran et de la Syrie. La France pouvait choisir entre le déshonneur et la guerre, elle a choisi le déshonneur et elle a eu la guerre disait Churchill en 1939. On devrait paraphraser ce dicton et dire : La France pouvait choisir entre la majorité anti-syrienne et le déshonneur, elle a choisi le déshonneur …

Car c’est quoi moins que le déshonneur, pour le pays qui a créé le Liban, quand on accepte la mainmise du Hezbollah sur ses destinées. C’est quoi moins que le déshonneur pour le pays qui a imposé la résolution 1701 (désarmement du Hezbollah) que d’accepter un président après que les trois conditions posées par l’Hezbollah (droit de véto au gouvernement, réseau de communications hors du contrôle de l’Etat Libanais, contrôle de l’aéroport de Beyrouth) eussent été «légalisées» par un accord obtenu par le Qatar ? C’est quoi moins que le déshonneur que de ratifier la mainmise de la Syrie sur le Liban après avoir été éconduit au bout d’un chemin à Damas effectué par deux «hauts» émissaires, vu que notre ministre des affaires étrangères n’a pas réussi à y aller ?

65 morts provoqués par le Hezbollah pour obtenir ce qu’il demandait en utilisant les armes de «la résistance contre Israël». Et notre Président qui disait «je ne serrerai pas a main des ennemis d’Israël» rencontre les dirigeants de 14 partis libanais, Hezbollah y compris. Et il reste de glace quand le nouveau président libanais, en réalité, nommé par l’Iran et la Syrie, après avoir clamé dans son discours d’investiture «Le Liban n’a qu’un seul ennemi, Israël ; le peuple libanais dans son ensemble soutient le conflit armé avec l’entité sioniste», lui demande l’aide pour «récupérer son territoire occupé et assurer le retour des «réfugiés» palestiniens dans «leur pays occupé». Le territoire occupé du Liban ? Les Fermes Shebaa que le président précédent avait accepté après de longues discussions avec l’ONU de considérer comme appartenant à la Syrie (tracé de la ligne bleu). Mais qui «justifie» la «résistance» du Hezbollah. Le pays «occupé» des réfugiés palestiniens ? Israël.

Pendant que l’échelon politique dépensait l’argent de la République à Beyrouth, notre ministre des Armées reprenait une partie du message présidentiel pour dire «il s'agit désormais d'œuvrer pour que le dialogue qui a été entamé entre toutes les parties débouche sur une normalisation durable de la situation politique au Liban et dans la région". "Dans ce contexte fragile, la mission de la Finul est difficile" appelant à "redoubler d'efforts pour aider l'armée libanaise à assurer, seule, le contrôle du Liban sud, à lui faciliter le plein exercice de la souveraineté libanaise dans cette région si sensible». La Finul qui ne contrôle rien car le territoire qui lui est affecté n’est rien d’autre que celui où le Hezbollah règne en maître et où il a reconstitué, et au-delà, sa puissance de frappe.

Pourquoi ? Comment la France est-elle descendue si bas ? Comment peut-elle croire qu’elle gardera encore quelque respect du côté de ceux qui ont été sacrifiés sur l’autel de ses propres ambitions ?

La première explication, le projet d’Union Méditerranéenne. Notre président veut qu’il constitue sa grande œuvre et pour cela il a besoin que le dictateur syrien y participe. Et avec lui tous les autres chefs d’état arabes plus ou moins démocrates (mais qui s’en soucie ?). Mais… comme lesdits chefs d’état ne veulent pas d’une participation israélienne, notre Sarkozy national est soucieux car il s’agit de lancer le projet à Paris le 13 juillet et inviter tout le monde à parader le 14…

La deuxième explication, détacher la Syrie de l’Iran en lui reconnaissant le droit d’ingérence au Liban et en lui promettant un accord d’association avec l’Europe. Accord que notre Président poussera pendant tout le temps que la France assurera la présidence de l’Europe. Le drame qui se joue cependant dépasse par ses implications la diplomatie aux petits pieds de nos diplomates.

L’Iran dont l’ambition première, par delà son objectif géopolitique de devenir la première puissance du Proche-Orient, est de détruire Israël, a appris la leçon de la dernière guerre mondiale : personne n’a levé son petit doigt pour sauver les juifs des nazis. Et l’Iran sait qu’avec suffisamment d’avantages matériels offerts au monde, l’histoire se répétera. En attendant, l’Iran a besoin de temps pour devenir puissance nucléaire. Temps qui lui a été octroyé par l’Europe (Jack Straw pour l’Angleterre, Jaques Chirac pour la France et Yoshka Fischer pour l’Allemagne). Sept années de discussions stériles pendant lesquelles l’Iran n’a rien concédé, n’a renoncé à rien et surtout pas à sa marche forcée vers la bombe. Nicolas Sarkozy, dès son élection, indique que l'Iran nucléaire est «inacceptable» et demande aux sociétés françaises de ne plus faire des affaires avec la République islamique.

Mais ces sociétés ont investi des dizaines de milliards de dollars en Iran. Total continue à espérer la réalisation d’un projet de plusieurs milliards de dollars pour développer les gisements de gaz naturel de l'Iran, deuxièmes plus grands du monde. Mme Merkel s’est engagée «à jeter un nouveau coup d'oeil» au commerce avec l'Iran. Mais pendant que Berlin a coupé quelques crédits à l'exportation, environ 1.700 compagnies allemandes maintiennent un commerce annuel de 5 milliards de dollars avec l'Iran. Gordon Brown pour la Grande-Bretagne indique que Téhéran ne devrait pas douter «du sérieux de notre but» en parlant de l’arrêt des efforts pour acquérir l’arme nucléaire. En attendant, Londres offre des crédits à l'exportation qui assurent plus de 1 milliard de dollars dans le commerce annuel de la Grande Bretagne avec l’Iran. Silvio Berlusconi, de retour au pouvoir, veut que l'Italie se joigne aux entretiens nucléaires avec Téhéran tout en protégeant son commerce annuel de 7 milliards de dollar qui fait de l’Italie le premier partenaire commercial européen de l’Iran. La Suisse signe un contrat gazier pluriannuel de 22 milliards de dollars. L’Autriche fait de même pour presqu’autant.

«La politique de l'Europe est schizophrène : juste assez de soutien aux sanctions imposées sous la pression des États-Unis, mais sans trop affecter les relations commerciales ou risquer la rupture avec l'Iran» explique Charles Powell, un ancien conseiller pour les affaires étrangères de Margaret Thatcher. «L’Europe fait semblant d’agir mais en réalité elle attend des changements politiques qui pourraient intervenir en Iran ou à Washington».
Et le toujours ineffable Javier Solana d’aller de nouveau à Téhéran pour proposer, à répétition, un paquet d’offres économiques identique à celui que l’Iran a rejeté il y a deux ans… A l’encontre du mot de Hemingway, l’Europe montre en permanence qu’elle confond le mouvement avec l’action.

Mais que se passe-t-il dans cette Europe dont la France prendra la présidence le 1er juillet ? Tout d’abord une décomposition induite par la politique d’apaisement et, finalement de collaboration avec les ennemis déclarés. Les faiblesses des démocraties occidentales aidant, leurs centres de résistance (nation, patrie, culture) sont détruits patiemment avec l’aide des dirigeants «réalistes» qui empêchent de se manifester l’instinct de conservation nationale. La France et l’Angleterre ont trahi la Tchécoslovaquie, on connaît la suite.

Les idées de liberté, coopération universelle et amour planétaire, qui sont devenues de vulgates dominantes en Europe ont toujours été exploitées par ceux qui n’ont de cesse que de les détruire. Et on ne veut pas appeler un chat un chat en s’attaquant à tous les profiteurs des situations confuses, les dirigeants des sociétés industrielles (propriétés des Etats ou privées) qui ne s’occupent pas de géopolitique mais uniquement de leurs profits immédiats ou à venir. Total, (ou les pétroliers ou gaziers italiens et autrichiens), les politiciens véreux (voir les diplomates français bénéficiaires de bons de pétrole offerts par Saddam Hussein pour services rendus, ou autres), les maîtres chanteurs déguisés en journalistes de la presse libre mais uniquement bienveillante pour ceux qui n’acceptent pas la liberté de la presse, les chaînes de télévision qui contribuent à inciter contre ceux qui ne sont pas pauvres ou humiliés ou détenteurs du progrès historique (voir Al Dura et Fr2), bref tous les profiteurs qui se soucient du pays comme d’une guigne quand il s’agit des honneurs et profits personnels. Et après eux… le déluge !

Comment comprendre autrement la descente aux enfers de la France ? Naturellement, des philosophes, politologues et autres laveurs de cerveaux, qui ont à peine plus de 18 ans mais les cheveux longs, la moustache bien taillée et un «mental» d’enfant handicapé, sans s’en rendre compte se sont transformés en «5ème colonne» de ceux qui veulent nous détruire et, finalement, les détruire. Pourtant, l’histoire n’arrête pas de nous apprendre qu’il n’y a pas en réalité de «gauche» ou de «droite» : il y a humanisme ou totalitarisme. La dernière fois que cela a été évident, cela a donné la deuxième guerre mondiale. Et quand on regarde les résultats de tout ce que les Administrations américaines, démocrates ou républicaines, ont fait avec l’Iran, on reste coi. Kennedy qui a poussé le Shah vers la démocratie avec comme résultat la création de l’opposition de l’Ayatollah Khomeini. Nixon qui, occupé par le Vietnam, pousse l’Iran à devenir une superpuissance régionale en l’armant jusqu’aux dents. Carter qui a poussé le Shah de nouveau vers la démocratie : la révolution islamique n’a pas attendu une autre occasion, elle a trouvé dans les arsenaux iraniens toutes les armes qu’elle pouvait souhaiter pour se lancer dans une guerre meurtrière contre l’Irak. Et l’Europe ? Sept années de négociations, qui ont servi à faire avancer ses projets nucléaires pour l’Iran, mais à rien pour l’Europe.

C’est à cet Iran-ci que notre président abandonne le Liban. Et à la Syrie qui vient de faire semblant de commencer des «négociations indirectes» de paix avec Israël. Hosanna, dit notre président à Beyrouth. Tandis que le ministre des armées syrien va à Téhéran pour expliquer que «l’Iran et la Syrie ne perdent rien, tandis que la Syrie peut gagner beaucoup de l’Europe et des Etats-Unis». Négociations de paix ? La stratégie de la Syrie est parfaitement claire : négocier, obtenir le Golan et attendre, même cent ans, pour finalement faire disparaître Israël. C’est à cette Syrie-là que notre président vient d’abandonner le Liban. Tout en se préparant pour aller à Jérusalem le 22 juin pour assurer ce pays de l’amitié indéfectible de la France. Tandis que le 17 juin un rapport sur les agissements des services secrets russes en France sera rendu public et montrera, entre autres, l’étendue de la coopération Russie – Iran – Syrie – Hezbollah ! Je vois les sourcils s’élever car la liaison avec le sujet traité n’est pas évidente.

Pourtant, si. Selon des soupçons se faisant jour, des informations sensibles concernant les systèmes de communication par fibres optiques ont été volées aux États-Unis et transférées au SVR russe qui les a mises à la disposition de l’Iran, dans le cadre de la coopération militaire avec Téhéran, ce dernier s’étant engagé à ne pas transmettre les informations à un tiers. Le réseau des communications du Hezbollah installé par des techniciens iraniens en a profité, c’est la raison pour laquelle il a constitué une des conditions dans le bras de fer gagné par le Hezbollah. La France s’inquiète car elle utilise les mêmes technologies… La Russie aussi car cela pourra compliquer à l’avenir ses relations et avec l’Iran et avec les Etats-Unis et… aussi avec la France. La récente visite de Monsieur Poutine en France, semble-t-il, n’a pas été étrangère au souhait russe de trouver une solution discrète à ce qui montre, une fois de plus, le parasitisme russe qui se nourrit de l’incompréhensible irresponsabilité de nos dirigeants. «Nous ne trahirons pas les générations futures en permettant à l'Iran de se doter d'armes nucléaires. L'Iran constitue un souci particulier, car il s’agit d’un proliférateur potentiel et d’un commanditaire actif de la terreur qui n’hésitera pas à mettre son potentiel d’armes de destruction massive à la disposition de groupes de terroristes». Mais cela n’est dit que par John Mc Cain tandis que l’Europe a choisi comme candidat pour les présidentielles américaines Barak Obama…


© Martin Birnbaum pour LibertyVox

www.libertyvox.com

10/06/2008

Euroislamisation et catastrophe culturelle

Le 1er juin 2008, Geert Wilders a prononcé un discours devant le Parlement danois sur son récent film Fitna. M. Wilders donne également son avis sur l’Islam en général, et sur l’islamisation de l’Europe (« Le projet Eurabia »). Il a été invité au Danemark par la Société danoise de la presse libre.

Traduction de son discours : www.pointdebasculecanada.ca

Mesdames et Messieurs,

Je suis très honoré d’avoir été invité par la Société danoise de la presse libre à m’adresser au Parlement danois, au cœur de la démocratie danoise. Mes remerciements vont à Lars Hedegaard et Katrine Winkel Holm, qui ont eu la gentillesse de m’inviter ici.

Comme vous le savez peut-être, le titre de mon court-métrage sur le Coran et l’islam est Fitna. Fitna est un mot arabe avec de nombreuses significations. La traduction la plus commune est « épreuve ». Le nom Fitna symbolise mon opinion que l’islam est l’épreuve qui confronte actuellement l’Occident. Sommes-nous prêts à défendre nos réalisations, telles que l’égalité des hommes et des femmes, des hétérosexuels et des homosexuels, ainsi que la séparation de l’Eglise et de l’Etat ?

Aujourd’hui, je me propose de jeter un peu de lumière sur la question de savoir si les Pays-Bas et l’Europe seront en mesure de faire face à cette épreuve avec succès. Je vais également expliquer pourquoi j’ai fait Fitna, et relater certaines réactions à mon film ainsi que ma situation personnelle. Enfin, je vous proposerai quelques réflexions sur l’avenir de la liberté et de la démocratie en Europe.

Je vais d’abord vous expliquer pourquoi j’ai fait Fitna

C’est un fait indiscutable que les Pays-Bas et l’Europe sont en voie d’islamisation. Pour ceux qui en doutent encore, permettez-moi de vous donner quelques chiffres. En 1909, il y a un siècle maintenant, il y avait 54 000 musulmans vivant aux Pays-Bas. En 1960, il y en avait 139 000. En 1990, 458 000. Aujourd’hui, il y en a environ un million.

En France, environ 10% de la population est musulmane. En tout, 54 millions de musulmans vivent en Europe. En moins d’un demi-siècle, le nombre de musulmans a considérablement augmenté dans pratiquement toute l’Europe. En l’espace de quelques décennies, les scènes de rue en Europe, en particulier dans les régions à forte densité de population, ont radicalement changé. Dans des pays comme les Pays-Bas, l’Allemagne et le Danemark, les foulards islamiques et les burqas font maintenant partie de notre expérience quotidienne.

L’islamisation de l’Europe

L’islamisation de l’Europe signifie toutefois beaucoup plus que cela. Ce processus affecte également les réalisations européennes du siècle dernier. Il est triste de voir que l’égalité des hommes et des femmes dans l’Europe de 2008 est sous pression. Prenez par exemple l’augmentation du nombre de crimes d’honneur, ou les tentatives d’introduire les testaments basés sur la charia qui accordent aux femmes la moitié de la part dévolue aux hommes, ou le refus par les musulmans radicaux de serrer la main d’une femme. Il en va de même pour l’égalité entre hétérosexuels et homosexuels. À Amsterdam, jadis la capitale gay du monde, les homosexuels sont régulièrement passés à tabac, souvent par des Marocains.

Certains prétendent que l’intolérance islamique et la haine de notre mode de vie et de l’Occident sont le résultat de la colonisation européenne du monde arabo-musulman. D’autres invoquent comme causes possibles l’attaque américano-britannique contre l’Irak de Saddam Hussein, la présence de troupes de l’OTAN en Afghanistan, ou le conflit israélo-palestinien. La pauvreté dans le monde musulman est également souvent mentionnée. Toutefois, à mon avis, aucun de ces facteurs n’explique vraiment la question.

Je suis convaincu que l’explication est l’islam en tant que tel. La base de l’islam est le Coran datant du 7e siècle, ainsi que la vie de Mahomet. Le Coran est très différent de la Bible, dans la mesure où il contient des injonctions qui ne sont pas limitées dans le temps ou le lieu. Cela signifie que les appels aux musulmans à tuer des non-musulmans (par exemple, dans les sourates 4:89 et 47:4) ou à les terroriser (sourate 8:60), ainsi que le devoir de faire la guerre (par exemple, sourate 8:39), en d’autres termes, le djihad, s’adressent directement aux musulmans d’aujourd’hui. Le jugement du Coran sur les Juifs, répété jusqu’à trois fois (sourates 2:65, 5:60 et 7:166), à savoir qu’ils sont des singes et des porcs, n’est pas limité dans le temps, alors il s’applique également en 2008.

J’ai lu le Coran à plusieurs reprises, et chaque fois j’ai conclu que ce livre incite à la haine, à la violence, à la soumission, au meurtre et au terrorisme et qu’en outre, cela ne se limite pas au 7e siècle. Encore et encore j’en viens à la conclusion que le Coran n’est pas seulement un manuel de guerre, mais qu’il existe un lien inséparable entre le Coran et l’islam en tant que tel, et les atrocités commises par des musulmans.

Outre le Coran, la vie de Mahomet joue un rôle crucial. Mahomet a participé à un grand nombre de guerres sanglantes, entre vingt-cinq et trente. La tradition islamique nous raconte comment il a combattu, en particulier durant la période de Médine, comment il faisait assassiner ses ennemis et exécuter des prisonniers de guerre. Mahomet a régné sur la Mecque et Médine, puis sur toute la péninsule arabe.

Selon la courageuse apostate Wafa Sultan, « le problème, c’est que le Coran dit clairement que Mahomet devrait être un modèle pour tous les musulmans. Vous n’avez pas le droit de le critiquer, et vous devriez suivre ses traces. En tant que musulman, vous avez pour mission de répandre l’islam par l’épée ».

En fait, l’islam est une idéologie plutôt qu’une religion. C’est un système qui définit des règles pour la vie sociopolitique. La loi islamique, la charia, ne légifère pas qu’en matière pénale mais aussi, par exemple, dans les domaines du droit familial. Le professeur belge d’études islamiques, Urbain Vermeulen, a déjà dit que l’islam est 10% religion et 90% idéologie. Bien sûr, il n’y a rien de mal avec les idéologies en tant que tel, prenez par exemple le libéralisme. Mais une idéologie totalitaire est injuste. En fait, l’idéologie islamique montre des analogies frappantes avec le communisme et le fascisme. Mentionnons son caractère antidémocratique, sa volonté d’exercer un contrôle total sur la vie sociale, et l’utilisation de la violence contre les dissidents. L’idéologie islamique a un caractère totalitaire. L’islam n’est pas compatible avec la liberté et la démocratie. Je tiens à souligner que je ne parle pas des gens, les musulmans, mais de l’idéologie islamique.

J’ai mis en garde contre les dangers du Coran et de l’islam dans de nombreuses interviews, articles d’opinion, discours et, bien sûr, les débats parlementaires, mais souvent une image en dit plus que mille mots. C’est pourquoi j’ai décidé l’an dernier de mettre mon point de vue sur l’Islam et le Coran dans un court métrage. Cela a abouti à la première de Fitna à la fin mars. Sans mettre tous les musulmans dans la même catégorie, j’espère avoir réussi à démontrer que le Coran n’est pas un vieux livre poussiéreux, mais qu’il est utilisé aujourd’hui comme une source d’inspiration, et la justification de la haine, de la violence et du terrorisme dans le monde, en Europe, aux Pays-Bas et au Danemark.

Cela m’amène aux réactions à Fitna aux Pays-Bas et dans d’autres pays. Il est devenu connu en novembre de l’année dernière que je travaillais sur un film sur le Coran et l’islam. Cela a déclenché un tumulte aux Pays-Bas, en particulier chez les politiciens. Un membre éminent du Parti démocrate-chrétien néerlandais, le plus grand parti au pouvoir, a dit que j’étais une personne infâme qui devait être arrêtée. Un groupe d’extrême-gauche a tenté d’organiser une manifestation de masse contre moi à Amsterdam. Un porte-parole de la filiale néerlandaise de l’organisation islamique Hizb ut-Tahrir a déclaré que les Pays-Bas étaient dus pour une attaque. Une organisation islamique néerlandaise s’est adressée aux tribunaux pour tenter de prévenir la diffusion de Fitna, mais elle a heureusement perdu. De manière significative, aucun diffuseur néerlandais n’a eu le courage de diffuser Fitna dans son intégralité.

Les réactions ne se sont pas limitées aux Pays-Bas. En dehors des Pays-Bas, il y a également eu de l’agitation. Les Talibans ont menacé d’organiser d’autres attaques contre les troupes néerlandaises en Afghanistan, un site web lié à Al-Qaïda contient un message que je dois être tué, tandis que différents muftis en Syrie et à Jérusalem ont déclaré que je serais responsable de toutes les effusions de sang après la projection du film. Même le Secrétaire général de l’OTAN a été critique à l’égard de Fitna, sans même avoir vu une seule seconde du film.

Dans mon combat pour la liberté, j’ai sacrifié ma propre liberté, mais je ne m’en plains pas parce que j’ai une mission. Toute critique de l’islam reçoit immédiatement une réponse des plus intolérante du monde islamique, qu’il s’agisse des Versets sataniques de Salman Rushdie, du film Soumission par Ayaan Hirsi Ali et Theo van Gogh, du Pape qui cite un empereur byzantin sur l’islam, des caricatures de Kurt Westergaard, ou de Fitna. De nombreux musulmans semblent beaucoup plus préoccupés par la critique de leur idéologie que par les crimes haineux commis au nom de l’islam.

Pendant ce temps, le ministre des Affaires étrangères m’a demandé d’abandonner le projet de film, de même que le président du même groupe parlementaire. Le ministre de la Justice a fait savoir que des procédures pénales pourraient être engagées si le film était montré, ce qui était également l’avis du chef du Parti travailliste néerlandais, qui est aussi membre du cabinet. Le gouvernement a même étudié la possibilité de faire interdire la sortie de Fitna.

Le Premier ministre néerlandais a appelé le président français Sarkozy, le Premier ministre danois et bien d’autres pour de l’aide, tandis que des lettres étaient envoyées à toutes les communes néerlandaises indiquant que des émeutes pourraient se produire après la projection de Fitna.

Les commandants de la police ont reçu une lettre indiquant que la police, après la diffusion de Fitna, devrait enregistrer tous les rapports contre moi, indépendamment de savoir si une infraction avait été commise. Partout dans le pays les maires ont tenu des réunions d’urgence sur l’imminence de la diffusion de mon film. Les ambassades néerlandaises dans les pays islamiques ont été invitées à prendre d’importantes mesures de précaution et élaborer des plans d’évacuation. Le Premier ministre a parlé d’une crise grave et d’attaques potentielles.

La réaction du gouvernement néerlandais avant la projection du film a sans aucun doute créé un sentiment de peur dans la population néerlandaise. Tout ça pour un film d’un quart d’heure qui n’avait même pas été diffusé. Mais même après la diffusion de Fitna, le gouvernement néerlandais a poursuivi ce comportement choquant. Le soir où Fitna a été diffusé, le Premier ministre a marmonné quelque chose dans une brève déclaration sur la liberté d’expression, suivie d’une longue et grave déclaration sur les propos offensants et insultants envers des citoyens, et a déclaré que le gouvernement néerlandais regrettait la présentation de Fitna.

Bien entendu, le Premier ministre Balkenende aurait dû défendre inconditionnellement la liberté d’expression. Au lieu de cela, il a cédé aux pressions des islamistes et de la rectitude politique. Heureusement, la réaction de la communauté musulmane aux Pays-Bas a été en général beaucoup plus mature que le gouvernement, ce qui m’a amené à complimenter cette communauté en toute sincérité.

Malheureusement, les réactions dans certaines parties du monde islamique ont été différentes. En Afghanistan et au Pakistan le drapeau néerlandais a été brûlé à plusieurs reprises, ainsi que votre beau drapeau suite à la republication des caricatures. En outre, des effigies me représentant ont été brûlées. Le Président indonésien Yudhoyono a annoncé que je ne serais jamais plus admis en Indonésie, tandis que le secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, et l’Union européenne ont publié de lâches déclarations dans le même sens que celles faites par le gouvernement néerlandais. Je pourrais continuer encore et encore. C’était une honte absolue.

Fitna a quand même été un succès. Des dizaines de millions de gens de partout dans le monde l’ont vu. Toutefois, en faisant Fitna, j’ai également tenté d’engager un débat en profondeur sur les dangers de l’islam. Malheureusement, un tel débat ne s’est pas matéralisé à ce jour parce que toutes mes invitations à un débat avec des représentants des organisations musulmanes, ainsi que des imams et des musulmans « ordinaires » ont été rejetées. J’ai invité six imams, trois modérés et trois radicaux, pour un débat public avec moi. Tous ont rejeté mon offre. Je ne peux que conclure qu’ils ne veulent pas d’un débat.

Avant la présentation de Fitna, dans un article dans la page d’opinion d’un journal néerlandais, j’ai demandé comment le gouvernement néerlandais aurait réagi si je n’avais pas annoncé un film sur le Coran et l’islam, mais plutôt un film sur la Bible et christianisme. La réponse est évidente, rien du tout ne serait arrivé. Le gouvernement n’aurait pas pris de telles mesures de précaution, il n’y aurait pas eu crainte d’émeutes généralisées.

Aux Pays-Bas, ce n’est pas le gouvernement du Premier ministre Balkenende qui gouverne le pays, mais la peur de l’islam. Et c’est toujours le cas après que Fitna ait été diffusé. Par exemple, le ministre de la Justice a annoncé des mesures plus strictes contre le blasphème. Et récemment, un dessinateur néerlandais a été arrêté lors d’une descente par pas moins de dix policiers, un précédent inquiétant, ainsi qu’une frontière franchie. C’est cela les Pays-Bas en 2008. C’est comme si la République démocratique d’Allemagne était ressuscitée aux Pays-Bas. En fait, ce n’est pas seulement l’islam qui sera notre perte, mais aussi le relativisme culturel et l’auto-censure de la part d’une élite politiquement correcte.

Permettez-moi de vous donner un autre exemple éloquent du relativisme culturel aux Pays-Bas : il n’y a pas de drapeau néerlandais au Parlement, mais nous avons le Coran. Il est juste là sur le bureau de notre Madame la Présidente ! C’est le monde à l’envers. Débarrassons-nous du Coran et ramenons notre drapeau national !

Contrairement à ce que certains d’entre vous peuvent penser, dans une perspective historique, mon point de vue sur le Coran et l’islam n’est pas particulièrement original. Nul autre que Winston Churchill a écrit ce qui suit en 1898 : « La religion des mahométans est militante et prosélyte. Il n’y a pas de force plus rétrograde dans le monde. Elle est déjà répartie dans toute l’Afrique centrale, soulevant des guerriers sans peur à chaque étape. La civilisation de l’Europe moderne pourrait s’effondrer comme la civilisation de la Rome antique ». Plus tard, il écrit à propos de Mein Kampf par Hitler : « C’est le nouveau Coran de la foi et de la guerre : emphatique, fastidieux, sans forme, mais plein de son propre message ».

Non seulement Churchill, mais les sociaux-démocrates avaient une image plus honnête de l’islam. Par exemple, le social-démocrate néerlandais et intellectuel Jacques de Kadt a écrit en 1939 que le national-socialisme était le nouvel islam. Et mon grand héros, l’écrivaine italienne Oriana Fallaci, a déclaré : « Un islam modéré n’existe pas. Il n’y a pas de différence entre le bon islam et le mauvais islam. C’est l’islam, un point c’est tout. L’islam est le Coran, et rien d’autre que le Coran. Et le Coran est le Mein Kampf d’une religion qui veut éliminer les non-musulmans qui sont appelés des chiens infidèles, et des créatures inférieures. Lisez le Coran, ce Mein Kampf, encore une fois. Quelle que soit la version, vous verrez que le mal que les fils d’Allah ont perpétré contre nous et contre eux-mêmes vient de ce livre ». Ce sont des paroles sages et véridiques.

On me demande souvent comment je compose avec toutes les critiques et les menaces. Les critiques au sujet de mon point de vue sur l’Islam ne me dérangent pas beaucoup, parce que ces critiques viennent pratiquement toujours de ceux qui n’ont jamais lu une page du Coran ou du Code pénal islamique d’Iran. Ces critiques sont comme l’eau sur un canard qui m’éclabousse. Ce qui pénètre mon âme, c’est lorsque je suis appelé un raciste, un fasciste, un xénophobe, une extrémiste de droite, ou quand je suis comparé à Adolf Hitler, ou lorsqu’on fait des comparaisons avec la Seconde Guerre mondiale.

Alors que le nazisme et le fascisme détruisent la liberté et la démocratie, je m’efforce de renforcer la liberté et la démocratie, de défendre et de protéger ces aspects fondamentaux de notre vie avec tout le pouvoir dont je dispose, contre tout ce qui les menace. Et les menaces personnelles m’affectent à chaque fois, on ne s’y habitue jamais. Dans mon combat pour la liberté, j’ai sacrifié ma propre liberté, mais je ne m’en plains pas parce que j’ai une mission. Je me plains toutefois du fait que notre gouvernement dilapide notre liberté en ne se tenant pas debout face à l’islam.

Permettez-moi maintenant de présenter quelques réflexions sur l’avenir de la liberté et de la démocratie en Europe. Je suis d’avis que partout où l’islam arrive, il y a déclin et les droits fondamentaux sont menacés. La liberté et la démocratie reculent quand l’islam avance. Peter Hammond explique quels sont les droits et libertés qui s’effritent quand l’islam gagne en influence dans une société.

Hammond décrit et prévoit le processus suivant. Lorsque la population musulmane est d’environ 5%, comme c’est le cas dans certains pays d’Europe occidentale, les musulmans exercent une influence disproportionnée sur la société. Avec un pourcentage en légère hausse, ils exigeront de ne pas avoir à se conformer à l’ensemble des lois du pays concerné, et demanderont que la charia soit appliquée dans certains domaines. Lorsque le nombre des musulmans atteint 10% de la population, l’anarchie massive se développe parmi eux, et ils invoquent la discrimination par la population de souche comme excuse. Mentionnons les émeutes dans les banlieues de Paris à titre d’exemple. À ce stade, les non-musulmans qui critiquent l’islam sont menacés. À partir de 40%, comme c’est le cas en Bosnie et au Liban, la terreur s’installe. A partir de 80%, l’État lui-même se charge du nettoyage ethnique, selon Hammond.

L’analyse d’Hammond n’est pas de bon augure pour l’avenir. Je ne sais pas si Hammond a raison sur les moindres détails, mais le fait est qu’il n’y a pas un seul pays musulman dans le monde où prévaut la liberté, avec une véritable démocratie et un État de droit, où la liberté d’expression et les droits de l’Homme sont respectés, où il y a séparation entre le religieux et l’État.

C’est un fait que le monde islamique traîne derrière l’Occident libre sur tous les fronts, socio-économique, politique, scientifique, militaire et ainsi de suite. L’islam doit certainement jouer un rôle dans tout cela. Il doit aussi y avoir un bonne raison pour que les gens originaires de Turquie, du Maroc, d’Algérie, d’Irak et d’Afghanistan émigrent massivement vers les Pays-Bas, la France, la Suède et le Danemark, et non l’inverse.

Mes adversaires politiques me reprochent souvent que bien que j’identifie les problèmes liés à l’islamisation des Pays-Bas et de l’Europe, je ne propose pas de solutions. Ce n’est toutefois pas la réalité. Je propose des solutions, mais celles-ci ne correspondent pas aux solutions favorisée par l’élite politique, ce ne sont pas des solutions que l’élite politique veut entendre.

Mes adversaires politiques croient que les problèmes liés à l’islamisation et l’immigration de masse peuvent être résolus en dialoguant avec les élites auto-proclamées de la communauté islamique qui n’ont pas tendance à être en contact avec les conditions de la sous-classe islamique, et en imposant des exigences minimales pour l’admission des immigrés. En faisant de la place à l’islam, ils cherchent à résoudre les problèmes existants dans notre société. En fait, donner de l’espace à l’islam est la pire chose qu’ils pouvaient faire.

La solution

Ma solution aux problèmes est double. Premièrement, l’immigration en provenance des pays islamiques doit être arrêtée, sous réserve que, par exemple, un musulman gay persécuté en Iran doit, bien sûr, se voir accorder l’asile politique. Deuxièmement, je plaide pour le soutien de toutes les formes de rapatriement volontaire au pays d’origine. Je suis convaincu que seules ces deux mesures claires et honnêtes permettront de lutter contre l’islamisation des Pays-Bas et de l’Europe. En outre, nous ne devrions pas permettre à davantage de mosquées d’être construites, nous devons fermer les écoles islamiques et proscrire le Coran.

Certains pourraient demander, est-ce que les Pays-Bas sont encore un pays libre ? Il n’est pas libre lorsque le ministre des Affaires étrangères demande à un réalisateur de ne pas montrer un film. Il n’est pas libre quand un représentant élu démocratiquement par le peuple court le risque d’être politiquement persécuté. Il n’est pas libre lorsque le ministre de la Justice annonce des mesures plus strictes contre le blasphème. Il n’est pas libre quand un sondage d’opinion révèle que de nombreux citoyens n’osent pas s’exprimer en public sur l’islam, l’immigration et des questions similaires. Il n’est pas libre quand un caricaturiste est arrêté par une dizaine de policiers pour la production de dessins. Il n’est pas libre quand un photographe d’art se cache à Londres pour avoir produit des photographies d’art. Il n’est pas libre lorsque des musulmans se plaignent des travailleurs de la construction parce qu’ils portent des shorts pour travailler par une chaleur écrasante. Il n’est pas libre quand des peintures illustrant des femmes partiellement nues sont enlevées d’un hôtel de ville néerlandais en raison de plaintes par des musulmans. Le gouvernement néerlandais n’a pas seulement capitulé face à l’islam, mais son comportement pourrait même être considéré comme une trahison de notre culture.

Je crains que les Pays-Bas soient en train de devenir de moins en moins un pays de liberté et de plus en plus un pays de la peur sous couvert de tolérance. Et je suis convaincu que ce problème ne se pose pas seulement aux Pays-Bas, mais dans l’ensemble de l’Europe, et dans l’ensemble du monde occidental.

J’en viens à la conclusion qu’il existe un manque de leadership dans l’Occident libre. Leadership pour défendre notre liberté en notre nom et au nom de nos enfants. Les élites politiques gouvernant les pays occidentaux sont elles-mêmes régies par la peur. La peur d’affronter la vérité. La peur de laisser aller l’idéologie encore répandue du relativisme culturel. La peur de lutter pour la liberté d’expression, en particulier lorsque le message exprime une vérité qui dérange ou est livré par quelqu’un avec une vue critique ou satirique de l’islam. Notre liberté est bradée.

L’élite dirigeante a peur de perdre le soutien croissant des électeurs islamiques, peur des conséquences économiques d’une politique d’anti-islamisation, peur d’être moins populaire auprès des autres chefs de gouvernement dhimmis au Conseil européen. Mais nous savons tous que la peur est mauvaise conseillère. Plutôt que de préserver notre liberté, la peur et la rectitude politique nous coûteront à long terme notre liberté chèrement acquise.

Les partis démocratiques respectables qui visent à lutter contre l’islamisation et à défendre nos libertés devront unir leurs forces pour fournir un contrepoids. Ils devront collaborer plus intensément. Ce n’est qu’alors que le mur de l’Union européenne pourra endiguer la marée islamique de la guerre. Je voudrais prendre l’initiative d’unir les forces de ces partis.

Si nous ne sommes pas prêts à défendre notre mode de vie, l’Europe sera, à terme, transformée en Eurabia. Nous avons le devoir envers nos enfants de défendre notre liberté. Comme je l’ai dit, nous devons défendre notre mode de vie, notre civilisation et notre culture. La séparation de l’Eglise et l’Etat fait partie de notre mode de vie. Il y a près d’un an, notre ministre de l’intégration a dit qu’elle pourrait envisager un avenir pour la société néerlandaise basé sur une tradition judéo-chrétienne-islamique. Je lui ai dit, au Parlement, qu’à mon avis, elle était folle. J’ai suivi le récent débat danois sur le port du voile islamique par les juges. Et je tiens à dire ceci : si un ministre néerlandais disait que les hommes politiques ne devraient pas intervenir dans le débat sur les juges et le voile, le ministre plaidant ainsi en faveur du port du voile par les juges, je les traiterais aussi de fous.

Mais heureusement, il y a un peu d’espoir, car un nombre croissant de citoyens néerlandais sont fâchés contre leur gouvernement parce qu’il refuse de mettre un terme à la progression sans fin de l’islamisation de la société néerlandaise. Il y a un énorme fossé entre l’attitude de l’élite politique vis-à-vis de l’islamisation de nos sociétés, et celle des « citoyens ordinaires ». Un récent sondage représentatif a montré que pas moins de six citoyens néerlandais sur dix voient l’islam comme une menace à notre culture, tandis que six citoyens néerlandais sur dix voient l’immigration de masse comme la plus grande erreur politique depuis la Deuxième Guerre mondiale. Pas moins de 44% des citoyens néerlandais sont d’avis que l’islam cherche à détruire notre civilisation occidentale. Les craintes de ces personnes méritent d’être prises au sérieux par notre gouvernement.

Je plaide avec mon coeur et mon âme pour la défense et la protection de notre civilisation occidentale. Nous devrons tous nous mobiliser pour défendre notre liberté. En disant cela je ne prône pas seulement des mesures pour mettre fin à l’immigration et promouvoir le rapatriement librement consenti. Il serait également important pour moi que des méthodes plus honnêtes d’enseignement de l’histoire soient appliquées dans l’éducation de nos enfants. Nous aurons à mettre en garde les générations futures et les convaincre des dangers que pose l’islam. Faisons face à la vérité que l’histoire a tendance à se répéter. En effet, Wafa Sultan dit la vérité, la culture et l’idéologie islamique sont arriérées, primitives et empreintes de barbarie.

Mettons l’immigration massive en Europe en provenance du monde islamique dans une perspective historique et évaluons à leur juste valeur les paroles de M. Erdogan, l’actuel Premier Ministre de la Turquie. Il a cité le poème suivant, « Les minarets des mosquées sont nos baïonnettes, les dômes nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats ». S’il vous plaît, laissez ces paroles vous imprégner un instant. Nous devons donner à nos enfants une image honnête du conflit entre l’Occident et l’Islam. Selon Wafa Sultan : « C’est un choc entre la civilisation et l’arriération, entre le civilisé et le primitif, entre la rationalité et la barbarie ».

Permettez-moi de terminer en répétant ce que j’ai dit au début de mon exposé. Fitna, le titre de mon film, signifie épreuve. L’islam est l’épreuve qui confronte l’Occident, et Fitna est l’épreuve qui permettra de tester la mesure dans laquelle nous valorisonis notre liberté d’expression. J’espère sincèrement que les Pays-Bas et l’Europe seront en mesure de faire face à cette épreuve. Dans cet esprit, permettez-moi de terminer par ma citation favorite de George Orwell : « Parler de liberté n’a de sens qu’à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu’ils ne veulent pas entendre. »

Merci