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30/06/2008

L'anti-civilisation musulmane et sa barbarie

Hadith Sahih Muslim 17/4206 (authentique)

« Une femme vint dire à Mahomet : « J’ai commis l’adultère, purifie-moi. » (Elle voulait que Mahomet la punisse afin qu’Allah lui pardonne son péché et la laisse entrer au paradis.) Mahomet lui répondit : « Va-t-en jusqu’à la naissance de l’enfant. » Après avoir mis l’enfant au monde, elle revint avec l’enfant et dit : « Voici l’enfant que j’ai mis au monde. » Mahomet répondit : « Va-t-en et allaite-le jusqu’à ce qu’il soit sevré. » Une fois l’enfant sevré, elle vint vers Mahomet avec l’enfant qui tenait un morceau de pain dans sa main. (L’enfant devait avoir deux ans, selon la durée prescrite par le Coran pour l’allaitement.) La femme dit : « Messager d’ Allah, le voici, je l’ai sevré et il mange de la nourriture solide. » Mahomet donna l’enfant à un musulman et prononça ensuite la sentence. La femme fut enterrée dans un fossé jusqu’a la poitrine et lapidée ».

Pour les amateurs de détails croustillants, sachez que la lapidation se termine de la façon suivante (ma traduction) :

« Khalid b Walid lui jeta une pierre sur la tête. Quand une éclaboussure de sang le salit au visage, il insulta la suppliciée. Le Messager d’Allah entendit l’insulte et il ordonna : ”Khalid, fais doucement. Au nom de Celui qui tient dans ses mains ma vie, elle a fait une telle démonstration de sa repentance que même si un collecteur d’impôts injuste s’était repenti ainsi, il aurait été pardonné.” Alors donnant des ordres au sujet de la femme, il pria au-dessus d’elle et elle fut enterrée ».

Pour comparaison :

« Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère ; et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ? Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus, s’étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l’interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s’étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu’aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors s’étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus, va, et ne pêche plus ». Jean 8 : 3-11

Information complémentaire :

Le code pénal de la République Islamique d’Iran sur les conditions de la lapidation.

§ 102 La femme et les sanctions : La lapidation jusqu’à ce que mort s’ensuive est le châtiment pour les adultères. L’homme et la femme adultères sont enterrés dans un trou rempli de sable, le premier jusqu’à la taille, la seconde jusqu’au-dessus des seins, et ils sont lapidés.

§ 104 Les pierres utilisées ne devront pas être trop grosses afin d’infliger la mort d’un coup, elles ne doivent pas être si petites qu’on ne puisse leur donner le nom de pierre. La taille moyenne est choisie généralement afin de faire expier la faute par la souffrance.

SOURCE www.pointdebasculecanada.ca

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