31/08/2010
Sectarisme musulman: en avant toute!!
Jacques-Edouard Charret doit se préparer à recevoir du courrier. En annonçant ce mardi que quatorze nouveaux restaurants Quick proposeront exclusivement de la viande halal à partir du 1er septembre 2010, le patron de la chaîne de restauration rapide s'est attiré les foudres des maires des communes concernées. Plusieurs d'entre eux ont déjà commencé à rédiger une lettre pour solliciter un rendez-vous avec le patron du groupe.
Ce ne sera pas une première pour Jacques-Edouard Charret. En expérimentant son offre de viande exclusivement halal dans huit des restaurants de la chaîne en fin d'année 2009, il avait déjà créé la polémique. Les édiles de Bry-sur-Marne et Roubaix avaient même décidé de porter plainte pour discrimination contre l'enseigne. «Dans les deux cas l'affaire a été classée sans suite », explique Jacques-Edouard Charret, qui précise que la décision du juge était motivée et reconnaissait qu'il n'y avait qu'une volonté de s'adapter au marché sans aucune malveillance et en toute transparence vis-à-vis des consommateurs.
Blanchi et fort de résultats économiques encourageants - le chiffre d'affaires des restaurants-tests ont doublé et l'enseigne affirme avoir créer 25 emplois par site en moyenne - Quick a donc décidé de poursuivre l'expérience dans 14 autres restaurants, portant à 22 le nombre total de Quick proposant de la viande exclusivement halal. La liste a été dévoilée mardi, et les maires informés par courriers dans la journée… avec des réactions plus où moins virulentes.
« La décision de Quick ne me pose pas de problème», affirme Adeline Hazan. La maire (PS) de Reims estime en effet qu'il «n'y a pas discrimination puisque tout le monde peut aller dans le restaurant». Son confrère de Chelles en Seine-et-Marne, Jean-paul Planchou (PS), se refuse quant à lui à tout commentaire concernant les produits proposés par un commerçant. Mais d'autres se montre en revanche moins compréhensifs.
«Communautarisation»
A Strasbourg, Roland Ries (PS) dénonce une décision «inopportune» qui conduit à la «communautarisation». Quant à Michel Humbert, le maire (PCF) de Fleury Mérogis, s'il n'est pas défavorable à la proposition de nourriture halal, il se dit très attaché à ce que tout ne soit pas halal. «Je vais écrire à la direction de Quick pour lui rappeler l'importance de la mixité dans l'alimentation. Je pense aussi écrire à l'Etat pour qu'il fasse respecter le principe républicain de la diversité qu'il impose dans les cantines scolaires», affirme-t-il. Quant aux arguments techniques opposés par Jacques-Edouard Charret pour justifier l'impossibilité de proposer conjointement viandes halal et «classique» (deux cuisines séparées, traçabilité…), Jacqueline Rouillon les balaie. «Dans les restaurants scolaires, on y parvient bien ! », tranche la maire de Saint-Ouen (93), qui compte bien se fendre d'un courrier à l'attention du Pdg du groupe.
Saura-t-elle mieux convaincre le patron de Quick que Claude Capillon ? Après des fuites dans la presse au mois de juillet, le maire (UMP) de Rosny-sous-Bois a tenté à plusieurs reprises de prendre contact avec la chaîne de restauration pour discuter des conditions de changement dans l'offre de nourriture. Sans succès. «Ma réaction est aujourd'hui une grande déception», affirme Claude Capillon. «C'est une décision économique que je comprends, et je suis tout à fait d'accord pour que Quick propose de la viande halal, mais cette offre exclusive ne correspond pas à l'idée que je me fais du vivre ensemble et je regrette le manque de concertation», poursuit le maire de Rosny qui s'incline cependant devant le choix libre d'une société privée.
Pour Jacques-Edouard Charret, il n'y avait pas lieu de discuter avant que la décision soit prise avec les gérants des restaurants concernés. Mais s'il veut bien désormais écouter les doléances, le patron laisse clairement entendre que le groupe ne fera pas marche arrière. Ultime argument qui a eu raison des réticences du maire de Roubaix, René Vandierendonck : les 22 restaurants concernés proposent à coté des hamburgers, une gamme de produits non-halal, dont bientôt un sandwich à la viande «classique», réchauffé mais non cuisiné sur place.
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Carla Bruni:per l'islam reale, una "prostituta che merita la morte"!
MILANO - Prima l'accusa di essere una «prostituta», per avere preso le difese di una donna condannata alla lapidazione sulla base della legge islamica. Ma non bastava. Adesso Carla Bruni «merita la morte». Lo scrive oggi il quotidiano ultraconservatore iraniano Kayhan, lo stesso che aveva accusato di meretricio la moglie del presidente francese Nicolas Sarkozy.
«PROSTITUTA ITALIANA» - Il nuovo attacco alla Bruni parte dall'idea che la vita privata della Bruni, definita ancora una volta «prostituta italiana», sia «immorale». «L'analisi del passato di Carla Bruni - si legge sul quotidiano filo-governativo - mostra chiaramente perché questa donna immorale abbia sostenuto una donna iraniana condannata a morte per adulterio e per avere partecipato all'omicidio del marito. E infatti lei stessa merita la morte».
LA PROTESTA UFFICIALE - Per Parigi le offese sulla stampa iraniana contro Carla Bruni-Sarkozy, premiere dame di Francia, sono «inaccettabili» e un messaggio in proposito è stato inviato ufficialmente alle autorità iraniane. «La Repubblica islamica - è stata la replica di Teheran - non approva l'insulto contro i responsabili di iltri Paesi - ha detto il portavoce del ministero degli Esteri, Ramin Mehmanparast -. Spero che tutti i media facciano più attenzione. Si può criticare la politica ostile di certe nazioni o il comportamento delle autorità di altri Paesi e possiamo esprimere la nostra protesta, ma non bisogna utilizzare parole insultanti. Questo non è corretto». Ma se la gran parte della stampa iraniana si è ben guardata dall'andare appresso a Kayhan nella sua campagna anti-Bruni, il sito web del gruppo editoriale governativo Iran, www.inn.ir, ha rilanciato la questione scrivendo che i media occidentali, «documentando i numerosi casi di immemoralità precedenti, hanno implicitamente confermato che Carla Bruni meritava quel titolo».
IL CASO ASHTIANI - Carla Bruni Sarkozy aveva preso posizione il 23 agosto contro l'annunciata lapidazione di Sakineh Mohammadi-Ashtiani, madre di famiglia di 43 anni condannata a morte per lapidazione per adulterio e per avere, secondo l'accusa, avere avuto un ruolo anche nell'omicidio del marito. Teheran aveva annunciato a luglio la sospensione della sentenza proprio per le reazioni che, Carla Bruni a parte, la vicenda aveva sollevato in Europa e in tutto il mondo occidentale. La presa di posizione della première dame di Francia non era però piaciuta a Kayhan, che in passato aveva utilizzato insulti ed epiteti anche nei confronti di personalità iraniane, tra cui la premio Nobel per la pace Shirine Ebadi o il capo di gabinetto di Ahmadinejad, Rahim Machaie. Un altro sito internet conservatore, Asriran, aveva criticato l'atteggiamento di Kayhan spiegando che «i media che si richiamano alla cultura islamica devono mostrarsi cortesi nei loro commenti, anche se riguardano dei nemici. Gli eccessi di un giornalista o di un giornale non rappresentano l'opinione del governo né del popolo iraniano».
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Cultura islamica in Italia
TORINO - I carabinieri del comando provinciale di Torino hanno arrestato un uomo di nazionalità marocchina, accusato di aver sfregiato giovedì scorso a Torino, con un getto di acido muriatico, la giovane Hasna Beniliha, sua connazionale di 19 anni, «colpevole» di averlo respinto. La ragazza, colpita in testa e nella parte superiore del corpo, è tuttora ricoverata e rischia di perdere un occhio. L'uomo arrestato è Abderrahim Soufi, marocchino di 23 anni, pluripregiudicato e senza fissa dimora. L'uomo, rintracciato grazie alla testimonianza della vittima e di alcuni conoscenti e alle intercettazioni telefoniche, stava per lasciare la città per dirigersi nel sud Italia. È stato rintracciato alla stazione di Asti, mentre stava salendo su un treno diretto a Napoli insieme a un connazionale, Marhroum Salah, 24 anni, che è stato arrestato con l'accusa di favoreggiamento. Una volta fermato, l'aggressore avrebbe ammesso parzialmente le sue responsabilità. Secondo la ricostruzione dei carabinieri, da tempo corteggiava la ragazza in modo insistente, venendo però sempre respinto. Fino a giovedì sera quando, dopo averla minacciata telefonicamente di aggredirla con un coltello, l'ha raggiunta alla fermata del bus e l'ha seguita fino davanti a un bar, dove l'ha investita col getto d'acido che ha ferito, in modo meno grave, altre tre persone.
MILANO - Percossa e accoltellata dal fidanzato marocchino, al punto da farle perdere il bimbo che aveva in grembo. Gli uomini della questura di Bergamo stanno indagando su un episodio di violenza avvenuto sabato scorso in città ai danni di una giovane donna bergamasca di 25 anni, incinta di tre mesi. È stata la stessa vittima, subito dopo l'aggressione, a indicare alle forze dell'ordine il suo fidanzato, quarantenne, come responsabile della violenza.
www.corriere.it
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23/08/2010
"Secours Islamique France" va remplacer "Secours Catholique"
JEANNE DUSSUEIL, LES ECHOS
Pour la première fois, l'ONG Secours Islamique France (SIF), peu connue dans l'Hexagone, s'est offerte une campagne publicitaire massive dans le métro parisien. L'opération, qui a duré une semaine, a coûté 25.000 euros à l'association et a couvert 83% du réseau publicitaire de la RATP, visible chaque jour par plusieurs millions de Franciliens. Crée en 1991 par sa maison-mère internationale, Islamic Relief Worldwide, l'entité française a lancé une nouvelle stratégie pour élargir son éventail de donateurs.
Victime d'un déficit d'image, l'association espère sortir de son «anonymat», après avoir levé 19,4 millions d'euros de fonds en 2009, soit une hausse de 62% de son budget par rapport à 2008. «Les gens pensent que nos dons ne sont destinés qu'aux populations musulmanes. Il nous faut désacraliser le nom de l'association pour être perçu comme les autres ONG», explique Dunia Oumazza, la responsable de la communication au SIF. L'ONG n'est actuellement connue que de 4% du grand public, selon un barème de l'association France générosité, qui mesure la notoriété des ONG françaises.
Un déficit qui est toutefois compensé par un don moyen élevé :100 euros en moyenne par donateur, contre 30-40 euros pour la Croix Rouge. Avec 99% de donateurs musulmans, «la politique de l'association est d'avoir désormais une communication affinitaire plus que communautaire», indique Dunia Oumazza. Grâce à l'opération dans le métro parisien, l'association espère ainsi atteindre 20 millions d'euros de dons pour le budget 2010, après des recettes 2009 historiques en raison du conflit israélo-palestinien.
La mention «France» devant les minarets
L'ONG a conscience de la difficulté rencontrée par la communauté musulmane à diffuser une image positive. En avril dernier, elle a décidé de «relifter» son logo en réduisant la présence des deux minarets, auparavant plus visibles. «Nous avons préféré mettre en avant la mention ‘France' sur le cercle pour souligner notre identité franco-française auprès du grand public», souligne Dunia Oumazza. L'association qui emploie une cinquantaine de salariés, laïcs ou musulmans, dans le nord-est de Paris, et plus de 80 représentants permanents dans le monde, souhaite ainsi éviter la stigmatisation. L'association se défend de faire de la politique... alors que son engagement en Palestine s'est élevé à 3,3 millions d'euros en 2009 -en tête des zones géographiques. «La situation exceptionnelle à Gaza a mobilisé nos donateurs, mais nous ne donnons aucune préférence au Proche-Orient.» Hasard du calendrier, l'ONG compte aussi beaucoup sur la campagne d'affichage pour intervenir après les inondations au Pakistan.
Les négociations avec la RATP sont à l'image de la nouvelle dynamique voulue par l'association. Lorsque l'ONG s'est présentée aux diverses régies publicitaires, l'entreprise s'est d'abord montrée réticente à l'égard de l'association. «Pour obtenir l'accord final, il a fallu montrer que notre but n'était pas religieux. Nous avons ensuite bénéficié des même avantages que la RATP accorde aux ONG», raconte la représentante. Les retours sur cette campagne sont eux significatifs : surpris, les Franciliens ont appris l'existence de l'association.
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22/08/2010
Pakistan: il Paese delle bestie di Satana!
Video insopportabile di una delle molteplici "esecuzioni" quotidiane nel Paese dell'Islam REALE!
http://video.corriere.it/?vxChannel=Dal%20Mondo&vxCli...
Da vomitare!
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08/08/2010
Afganistan: umanismo occidentale versus bestialità islamica
KABUL - Una strage. Anzi, una vera e propria esecuzione. «Abbiamo ucciso nove missionari cristiani. Portavano bibbie. Ed erano spie». La comunicazione, terribile, di un portavoce dei Talebani, fa luce sul ritrovamento di una decina di cadaveri nella provincia del Nouristan, nel Nord dell'Afghanistan. Secondo quanto riferisce il quotidiano britannico Daily Telegraph, le vittime sono state messe in fila, rapinate e uccise poi con dei kalashnikov. Uccisi perché cristiani, colpevoli di avere delle Bibbie. «Avevano bibbie in dari, carte, sistemi Gprs, facevano una mappa delle posizioni dei combattenti talebani», ha sostenuto il portavoce dei talebani. Giustificando così la spietata esecuzione di medici volontari. Su una pagina web i talebani definiscono invece il gruppo di medici «nove agenti dell'invasore Nato». Un resoconto dell'accaduto, scrive il portavoce dei ribelli Zabihullah Mujahid, «indica che le spie del nemico sono entrate nell'area di nascosto e quando i mujaheddin le hanno affrontate uccidendole immediatamente quando hanno cercato di fuggire». Peccato che nel minuzioso resconto di quanto portavano con sé i «nove agenti Nato», gli stessi talebani non abbiano menzionato alcuna arma, nemmeno un coltello.
Afghanistan, strage di medici perché «cristiani»
CHI ERANO - Con il passare delle ore, dopo l'annuncio, si sono meglio precisati particolari e le nazionalitá degli occidentali uccisi. Erano accompagnati da due interpreti afghani. Si trattava di una donna medico britannica, una collega tedesca e sei medici oculisti americani, tra i quali anche un'altra donna. La nona vittima è uno dei due interpreti afghani. L'altro si è salvato, ha raccontato, mostrando di essere musulmano praticante. Il gruppo era formato da medici volontari, per lo più oculisti, in Afghanistan per aiutare l'ospedale oftalmico Noor di Kabul, gestito dall'Ong cristiana International Assistance Mission (Iam).
I CORPI - Prima dell'annuncio dei talebani, era arrivata la notizia della macabra scoperta di corpi crivellati di colpi da parte della polizia di Badakhshan. Secondo il racconto dell'unico sopravvissuto, stavano spostandosi dal Badakhstan alla provincia del Nouristan per un intervento di assitenza medica. «L'ultimo giorno, è arrivato un gruppo di uomini armati, li ha fatto mettere in fila e li ha abbattuti. Poi hanno rubato tutto». È stato proprio nel momento dell'esecuzione che l'uomo ha recitato alcuni versetti del Corano e i Talebani, rendendosi conto che era un musulmano, lo hanno graziato. Secondo Noor Kintoz, capo della polizia del Badakhshan dove è avvenuta la strage, che ha riportato le dichiarazioni dello scampato alla strage, gli abitanti avevano avvertito il gruppo che la zona poteva essere pericolosa. «Loro hanno risposto - ha raccontato l'interprete - che erano medici e che sarebbe andato tutto bene perché "siamo qui per aiutare le persone"». Il governatore della vicina provincia del Nuristan Jamaluddin Badr ha detto che il gruppo aveva visitato diversi distretti nella sua provincia e in quella di Badakshan aiutando la popolazione locale.
LA IAM - La International Assistance Mission (Iam) ha ammesso che le persone trovate morte facevano parte della loro organizzazione: «Un gruppo che partecipava ad una operazione sul terreno di carattere oftalmologico». Il gruppo, si dice ancora in un comunicato, «era stato in Nuristan (provincia orientale afghana al confine con il Pakistan) su invito delle comunità locali. Dopo aver completato il loro lavoro medico l'equipe stava rientrando a Kabul. Si tratta di una uccisione insensata di persone che non hanno fatto altro che servire i poveri. Alcuni degli stranieri coinvolti hanno lavorato per decenni spalla a spalla con gli afghani». Questa tragedia, conclude il comunicato, «ha un impatto negativo sulla nostra capacità di continuare a servire il popolo afghano come l'Iam fa» da 44 anni e «speriamo che l'episodio non fermi il nostro lavoro che di cui beneficiano ogni anno oltre 250.000 afghani».
Redazione online
07 agosto 2010
21:32 | Lien permanent | Commentaires (0)