12/10/2014
Aujourd'hui les Kurdes...demain...Vous!
Cette affaire du siège de Kobané permet au moins de montrer de manière claire l'univers d'hypocrisie qui entoure l'idéologie islamo fasciste de matrice arabe
Alors que tous les jours nous avons été gavés des actualités en provenance de Sarajevo, de Gaza, de Centrafrique, car il s'agissait de "sanctifier" des pauvres "victimes" musulmanes ( indépendamment du fait que ce soit à tort ou à raison), voici que ni ce mollusque appelé Union Européenne, ni même les USA du "saint Obama" , ne jugent utile d'agir pour stopper les massacre délibéré et ignoble de ce glorieux et héroïque Peuple Kurde AUQUEL VA TOUTE NOTRE ADMIRATION ET NOTRE SOUTIEN et qui se bat contre l'agression des (arabes) sunnites de l'Etat Islamique abreuvés à l'eau du salafisme saoudien
Quel genre de coalition peut on espérer former avec des adorateurs de l'Egorgeur de la Mecque tels que la belle Arabie Saoudite ou le magnifique Qatar?
Des "adorateurs modérés" contre des "adorateurs radicaux"?
Pour quel objectif politique?
Exterminer chiites, yazidis, chrétiens et tout ce qui ne ressemble pas à un arabe sunnite?
Ou simplement les abaisser à devenir des êtres de deuxième rang?
Ou alors s'allier à l'ignoble Turquie de l'ignoble Erdogan, championne du Monde des génocides ethniques et religieux (jamais reconnus!) QUI TUE A L'ARME A FEU plus de 30 manifestants Kurdes, qui laisse passer les Jihadistes mais qui bloque les Kurdes et leur ravitaillement, et contre laquelle PAS UN SEUL PAYS NE S'EST INSURGE, PAS UN SEUL !!!!
A suivre ceux qui voulaient la Turquie en Europe Kobané serait aujourd'hui la FRONTIERE DE L'UE!!!!!
Circulez il n'y a rien à voir!
Silence on extermine!
21:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
Arin Mirkan : portrait d'une héroine tombée pour la libérté contre la barbarie islamique
Arin Mirkan était capitaine des Unités populaires de défense (YPJ), la branche armée du Parti de l’unité démocratique (PYD) aux prises depuis le 16 septembre l’État islamique (EI ou Daesh), qui font le siège de la ville kurde de Kobané, dans le nord de la Syrie. Le 5 octobre, cette jeune femme, à court de munitions, encerclée dans le quartier de Mishténour, a préféré se lancer sur les jihadistes et se faire exploser plutôt que de devenir leur prisonnière et de subir leurs outrages et leur barbarie.
Justement, cette barbarie de l’EI, dont les images circulent sur les réseaux sociaux, ne serait pas un motif pour intervenir militairement contre les jihadistes, selon Edwy Plenel. Car, dans les colonnes de Libération, le fondateur de Médiapart estime que « chacun est le barbare de l’autre »… Ben voyons! D’où elle est, Arin Mirkan appréciera…
Quoi qu’il en soit, son sacrifice traduit la volonté farouche des combattant de l’YPJ de ne pas voir tomber Kobané aux mains des jihadistes.
On a malheureusement eu l’occasion de voir le sort que ces derniers réservent à ceux qu’ils ont vaincu.
Cet acte héroïque de cette fille de ce Peuple Kurde fier et courageux lui fait honneur et nous prions pour que Dieu la reçoit parmi les Anges dans cette lutte contre le Démon Mahométain
20:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
01/10/2014
Le resumé parfait d'Ivan Rioufol
Vu sur Figaro.fr et absolument parfait dans son analyse:
Une constatation : nombreux sont ceux qui, cet été en France, sont descendus dans les rues pour montrer leur solidarité avec le Hamas et son idéologie islamiste, en guerre contre Israël et les juifs. Or ceux-là jugent inutile de montrer leur distance avec l’Etat islamique, qui a égorgé Hervé Gourdel au nom d’Allah. En 2012, seule une centaine de Français musulmans avait répondu à l’appel de l’imam Chalghoumi, pour dénoncer les tueries de Mohamed Merah (mon blog, ici). Vendredi, cinq cents personnes se sont retrouvées devant la Mosquée de Paris pour dire "Non au terrorisme". Mais le recteur Boubakeur lui-même a refusé de parler "d’islam ou d’islamisme", pour désigner la décapitation commise en Algérie. "Les musulmans sont éloignés de tous les extrémismes, de tous les radicalismes", a-t-il déclaré. Une position reprise par Valérie Pécresse (UMP) : "Non, l’islam n’a rien à voir". "Redressez la tête ! Soyez fiers de ce que vous êtes", a dit Mgr Michel Dubost. Abderrahmane Dahmane, du parti des démocrates musulmans de France, a même lancé : "Le djihad c’est la volonté d’être un musulman de paix". Dimanche, place de la République, ce dernier a organisé un maigre contre-rassemblement, avec drapeaux algériens, pour se dissocier du meeting organisé à cinquante mètres par SOS-Racisme, la Licra, le Mrap, Le PCF, etc, qui a regroupé un millier de personnes. Mais là encore, les discours ont justifié le refus de se désolidariser des djihadistes. Dominique Sopo (SOS Racisme ) : "Pour se désolidariser , encore faudrait-il avoir été solidaires". La novlangue et le sophisme sont sortis grands vainqueurs de ces mobilisations.
Les fanatiques du califat peuvent se féliciter du fiasco des dénonciations. La déstabilisation des démocraties ouvertes, recherchée par l’Etat islamique, consiste à séparer de plus en plus les musulmans d’Europe des sociétés déjà méfiantes à leur égard. La confrontation civile est l’objectif final, singulièrement en France. Or, en refusant de faire une distinction entre l’islam et l’islamisme, qui permettrait d’accuser uniquement ce dernier des dérives totalitaires qui caricaturent la religion, les représentants de la communauté et les belles-âmes rendent service à ces croyants bas du front qu’ils disent vouloir combattre. En effet, ils rendent, aux yeux de l’opinion, les musulmans solidaires.La dialectique déployée ces jours-ci par le gratin du politiquement correct, dans sa tentative de récupération et d’étouffement de l'indignation collective, vise au bout du compte à voir le méchant dans celui qui invite le musulman à se dissocier de l’islam radical, et le gentil dans celui qui se dit victime d’islamophobie parce que sa passivité serait suspecte . Dimanche, il a plus été question des musulmans traumatisés d’avoir à dénoncer des égorgeurs, que du martyre des chrétiens d’Orient et du sort des Français désormais désignés comme cibles. Les salafistes, qui investissent les cités et s’adonnent aux lectures littérales du Coran, n’ont rien à craindre de ces faux résistants. Ils ne cherchent qu’à disculper l’islam et ses avatars de leurs responsabilités.
IVAN RIOUFOL www.figaro.fr
19:45 | Lien permanent | Commentaires (0)