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14/06/2007

On accepte tout...on ferme les yeux!

a7dc3bceee662179dfa850432b006de2.jpgPour le politiquement correct, une discrimination est synonyme d’injustice, un terme péjoratif. La non-discrimination est un dogme moral, le nouveau gadget linguistique des droitsdelhommistes. La moindre trace de discrimination est à dénoncer, elle est forcément négative. La « stigmatisation », mot aussi sujet d’obsession pathologique, en dire ou en acte d’un groupe de personnes partageant les mêmes convictions, la même philosophie, la même nationalité ou que sais-je, est une abomination.

D'un point de vue étymologique, discriminer c’est distinguer, c’est user de discernement, c’est juger à la lumière de la raison, de la morale, de l’ordre public, bref de toutes les catégories d’analyses, d’une attitude humaine. C’est un exercice aussi banalement utilisé dans la vie de tous les jours qu’il en devient suspect quand il traite des humains, avec leurs travers, leurs options politiques ou religieuses, leurs options de vie, bonnes ou mauvaises.

Tétanisés par la perspective d’apparaître dans un rôle de méchant, l’obsession de la non discrimination a poussé la Halde, nouveau jouet des « antiracistes », à dénoncer les établissements scolaires qui refuseraient que les enfants partent en sortie avec des femmes voilées ( dont le port est soit disant leur choix). Ainsi, un enfant régulièrement accompagné par des femmes voilées, pourquoi pas en burka, dans ses sorties scolaires, sera amené à penser que le port du voile est la normalité, une pratique respectable appartenant à une « religion » respectable. Un vêtement sans signification particulière, comme s’il n’était pas un instrument politique, un étendart idéologique, un système de balisage territorial, une oppression de la femme.

La principale fédération de parents (à gauche) la FCPE se satisfait de la délibération de la Halde venant de donner raison à une association de mères de familles musulmanes qui protestait contre le refus de la direction de l’école à ce qu’elles viennent accompagner les enfants.

Xavier Darcos, nouveau Ministre de l’Education nationale, ne donne pas dans la « rupture » et la « droite décomplexée », c’est le moins qu’on puisse dire :

« le choix des parents, auxquels il est proposé d’accompagner les sorties scolaires, doit se faire sans discrimination » A-t-il affirmé suite à la délibération de la Halde, monstruosité Orwellienne.

Darcos est content, il tient son brevet de tolérance, il fallait bien ça pour se défaire de l’étiquette de son maître Sarkozy, « rabatteur de l’extrême droite »…

Ici à l’Observatoire, on avait prévenu depuis longtemps des nombreuses déconvenues à prévoir avec l’UMP face à l’islamisation. Déjà les écoles islamistes de l’UOIF à Lille, Décines et Vitry sont tolérées par l’UMP…Hormis la lutte contre la forme terroriste de l’islamisme, il n’y a rien à attendre du gouvernement face à la forme idéologique et sociale de l’islamisme.

Joachim Véliocas, 13 juin 2007

http://islamisation.hautetfort.com/

COMMENTAIRE: EN DEFINITIVE IL NE S'AGIT PAS DE STIGMATISER CES FEMMES MUSULMANES EN TANT QUE FEMMES. LA QUASI-TOTALITE' D'ENTRE-ELLES SE BACHE LA TETE NON PAS PAR CONVICTION, MAIS PAR OBLIGATION (PERE, MARI,...) OU PAR TRADITION BORGNE,CE QUI REVIENT EGALEMENT A UNE IMPOSITION.

LE VRAI PROBLEME EST L'IDEOLOGIE ISLAMIQUE QUI LES CONTRAINT DE S'HUMILIER EN SE CACHANT COMME UNE "MARCHANDISE" IMPURE. NE PAS ACCEPTER LA BANALISATION DU SYMBOLE QUE LE VOILE REPRESENTE, C'EST TENDRE LA MAIN A CES FEMMES POUR LEUR DIRE: "REFUSEZ L'OPPRESSION, REVENDIQUEZ VOTRE FIERTE ET VOTRE ORGUEUIL D'ETRE FEMMES!".

"VOUS VIVEZ, AU MOINS EN THEORIE, DANS UNE SOCIETE LIBRE ET EGALITAIRE"

LE REFUS DE LES VOIR VOILEES EN COLLECTIVITE' EST DONC LE MEILLEUR MOYEN DE LEUR FOURNIR UNE CHANCE "OPPOSABLE" DE S'AFFRANCHIR DE CETTE DOMINATION MASCULINE EN CLE ISLAMIQUE

A CONTRARIO, ACCEPTER QU'ELLES CONTINUENT DE SUBIR CETTE VIOLENCE IDEOLOGIQUE ET SOUVENT PHYSIQUE EQUIVAUT A LEUR DIRE: "NOUS NE POUVONS RIEN POUR VOUS, NOUS NOUS EN LAVONS LES MAINS, RESTEZ DANS VOTRE CONDITION D'HUMILIATION ET DE SEGREGATION"

LES MALHEURS DES AUTRES NE CONCERNENT PAS LES IDEOLOGUES DU MULTI-CULTURALISME, FORME SUPREME ET REELLE DE RACISME!

Sur ce sujet un livre splendide:

http://www.amazon.fr/Bas-voiles-Chahdortt-Djavann/dp/2070...

08/06/2007

Al Qaradawi: soit l'islam pour les "nuls"

DANS LE BUT DE CLARIFIER A TOUS LES SCEPTIQUES, IGNARES, ET AUTRES IDIOTS UTILES, A QUEL POINT LES IDEOLOGUES DE L'ISLAMISME  ACTUELLEMENT EN VOGUE N'ONT RIEN A ENVIER AUX PIRES ORDURES DU NAZISME HITLERIEN, VOICI TRANSCRITE LA BIOGRAPHIE ESSENTIELLE DU CHEIKH YOUSSEF AL QARADAWI, "PARRAIN " DES "FRERES MUSULMANS" ET DE TOUTES LES ORGANISATIONS CORRELEES (HAMAS, UOIF- qui fait partie du Conseil français du culte musulman-, etc)

IL EST L'AUTEUR, ENTRE AUTRES, DU BEST SELLER ISLAMIQUE " LE LICITE ET L'ILLICITE EN ISLAM" UNE SORTE DE "DOCTRINE ISLAMIQUE POUR LES NULS"  OU SI VOUS PREFEREZ "MEIN KAMPF POUR LES NULS", DANS LEQUEL ON  JUSTIFIE LE MEURTRE POUR APOSTASIE, POUR HOMOSEXUALITE',OU POUR FORNICATION, L'EXCISION, LA VIOLENCE FAITE AUX FEMMES, LA SUPREMATIE DE LA SHARIA SUR LES LOIS REPUBLICAINES, LES ATTENTATS SUICIDES ET LA JUDEOPHOBIE, ETC, ETC...

LE PIRE N'EST PAS QUE CELA PUISSE EXISTER, MAIS BIEN LE FAIT QUE CES SCRIPTS SONT EN VENTE LIBRE EN EUROPE AVEC LA COMPLICITE' DE NOS "EURODHIMMIS".

ON PEUT MALGRE TOUT Y VOIR LE BON COTE DES CHOSES: CECI PERMET DE REALISER DE MANIERE TANGIBLE LE NIVEAU D'ABROUTISSEMENT DE CES INDIVIDUS ET D'EN FAIRE PART AUTOUR DE SOI POUR BRISER LA CHAPE DE PLOMB DE NOS MEDIAS

NOUS REVIENDRONS DANS UNE NOTE ULTERIEURE (FIN JUIN OU DEBUT JUILLET) SUR UN TEXTE ORIGINAL QU'IL A ECRIT A PROPOS DE L'APOSTASIE.

BONNE LECTURE  ET ...CONTINUEZ DE CROIRE AU PERE NOEL!!!

Youssef al-Qardaoui ou Yûsuf Al-Qaradâwî [en arabe يوسف القرضاوي] (né en 1926) est un religieux musulman sunnite qatariote d'origine égyptienne.


Biographie

Orphelin de père dès l’âge de deux ans, il grandit dans une famille de paysans attachés à l’islam. Ce fut son oncle paternel qui l’éleva. Il l’envoya à la médersa du village où il acheva la mémorisation du Coran à l’âge de 10 ans.
Yûsuf Al-Qaradâwî poursuivit ses études à l’institut azharite de la ville de Tantâ. Ce fut son premier pas au sein de cette institution de l'Université al-Azhar. À cette époque il rejoignit les Frères musulmans ce qui lui valut d’être emprisonné en 1949, puis entre 1954 et 1956 et en 1962. Neuf années plus tard, il obtint le diplôme sanctionnant le cycle d’enseignement secondaire. Il se rendit alors au Caire où il intégra le cycle universitaire d’Al-Azhar, dans la Faculté des Fondements de la Religion. En 1953, il termina major de sa promotion. Un an plus tard, il passa son examen d'enseignant. En 1957, il obtint une agrégation de lettres arabes, arrivant en tête d’une promotion de 500 étudiants. En 1960, il commença la préparation de sa thèse, sur le thème de la zakâh et son rôle dans la résolution des problèmes sociaux.


Ouvrages

Cheikh Yûsuf Al-Qaradâwî est l’auteur de plus de quatre-vingts ouvrages. Ses écrits ont connu un certain succès en Orient comme en Occident, certains de ses livres ont été édités une dizaine de fois et de nombreux autres traduits dans plusieurs langues étrangères dont Le licite et l'illicite en Islam qui est le livre religieux musulman le plus vendu en Europe après le coran. Certains ont été interdits dans le monde arabe car ils étaient hostiles à certains dirigeants. Il dirige le Conseil européen de la fatwa et apparaît comme consultant religieux sur Al-Jezira. Proche de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), il préside également l'association internationale des savants musulmans. Il est le guide spirituel de plusieurs autres organisations islamistes à travers le monde.


Prises de position (liste non exhaustive)


1-La démocratie

Ses positions sur la démocratie sont fort contradictoires. D'une part, il considère que la démocratie est compatible avec l'islam et la considère comme souhaitable pour les pays musulmans[2] mais soutient que les lois de la charia ne doivent pas être amendées pour se conformer aux valeurs humaines


D'autre part, il dit "the Shari`ah cannot be amended to conform to changing human values and standards, rather, it is the absolute norm to which all human values and conduct must conform ..." [2]. Apparemment,
le fait qu'un vote populaire puisse fournir un majorité pour une option qui n'est pas le choix établi dans le Coran, ou dans les explications du Coran, lui est inacceptable.

En plus, il condamne aussi la séparation de l'état de la religion, principe essentiel dans toute démocratie: "Since Islam is a comprehensive system of `Ibadah (worship) and Shari`ah (legislation), the acceptance of secularism means abandonment of Shari`ah, a denial of the Divine guidance and a rejection of Allah’s injunctions. (...) the call for secularism among Muslims is atheism and a rejection of Islam. Its acceptance as a basis for rule in place of Shari`ah is a downright apostasy."


2-Prépondérance de la loi religieuse
Il considère que le code de conduite musulman, la charia, doit rester invariante et non suivre les variations des standards et valeurs de la société.
Elle doit au contraire rester la norme à laquelle les valeurs et conduites humaines se conforment


3-Traitement de conflit dans le cercle familial
Youssef Al-Qardaoui, dans un passage sur le droit du divorce explique dans son livre comment l'homme doit réagir lorsque son épouse se rebelle contre son autorité au sein du cercle familial :
« après avoir tenté de rectifier de son mieux l'attitude de son épouse à l'aide de mots choisis, en usant de persuasion subtile et en raisonnant. En cas d'échec, il devra faire couche séparée, tachant ainsi d'éveiller son agréable nature féminine de façon à ce que la sérénité soit restaurée [...]. Si cette approche échoue, il lui est permis de la battre légèrement (SIC!), avec ses mains, en prenant soin d'éviter le visage ou d'autres parties sensibles. En aucun cas il ne pourra user d'une canne (stick) ou d'aucun autre instrument pouvant causer de la douleur ou la blesser. En fait, cette "correction" (souligné dans le texte original) doit se conformer à celle dont a usé le prophète de l'islam Mahomet lorsqu'un jour, en colère contre un serviteur, il lui dit, : "si ce n'était de crainte du Jour de la Résurection (jugement dernier), je t'aurai battu avec ce miswak (écorce tendre d'arbuste servant à se nettoyer les dents) (rapporté par Ibn Sa'd dans son Tabaqat) »

4-Excision
Sur l'excision il dit : "Il est important de rappeler que le prophete a dit "ne depassez pas la limite", c’est-à-dire, n'enlevez pas la totalité du clitoris .

Il dit aussi "Celui qui pense que l'excision peut avoir des effets positifs sur ses filles, devrait la pratiquer, et personnellement, je soutiens cette pratique que je juge nécessaire dans le monde moderne. Mais si quiconqu
e choisit de ne pas la faire il ne commet aucun pêché.


5-Laïcité
Youssef Al-Qardaoui refuse la laïcité. Ses positions sur la laïcité de l'État sont conformes au droit musulman le plus classique. Celle-ci est en effet indissociable de l'aspect religieux et ne se conçoit pas sans lui, ce que Al-Qardaoui rappelle : « Dans la mesure où l'islam est un système où l'aspect spirituel (`Ibadah) et législatif (charia) sont liés, accepter le sécularisme revient à abandonner la loi, nier la guidance divine et rejeter les injonctions de Dieu. » C'est ainsi que
les musulmans militant de la laïcité sont qualifiés d'apostats « Ceux parmi les musulmans qui militent pour un état laïc sont athées, ils ont rejeté l'islam. Accepter des lois autres que celles de la charia n'est que pure apostasie »[6].


6-Apostasie
Selon Al-Qardaoui, « Tous les juristes musulmans s'accordent à dire que l'apostat doit être puni »  A partir du lien référencé on peut lire "Its acceptance as a basis for rule in place of Shari`ah is a downright apostasy." C’est-à-dire qu'accepter la sécularisation dans une société musulmane à la place de la Sharia est l'equivalent de l'apostasie.


7-Les attentats suicides
À une question lui demandant dans quelles circonstances le recours aux attentats suicides était justifié quand il n'y a pas d'autres alternatives en Israël ou en Irak par exemple, Al-Qardaoui répond en juillet 2004 que les « opération martyrs sont l'arme que Dieu a donné aux pauvres pour combattre les forts. C'est la compensation divine. La société israélienne est une société militaire. Leurs hommes sont des soldats, et leurs femmes le sont également, soit d'active, soit de réserve. En conséquence, on ne peut pas considérer les femmes comme des innocentes. Concernant les enfants, ce ne sont que des dommages collatéraux ».


8-Les caricatures de Mahomet
Al-Qardaoui n'admet aucune critique sur Mahomet, ni sur l'islamisme violent et intolérant qui a été si vivement caricaturisé. Lors de la Crise internationale des caricatures de Mahomet, il a appelé à manifester contre le Danemark ».


9-L'homosexualité
Dans son livre Le licite et l'illicite en Islam, il se pose cette question : "Est ce qu'on tue l'actif et le passif, par quels moyens les tuer, est ce avec un sabre ou le feu ou on les jetant du haut d'un mur, cette sévérité qui semblerait inhumaine n'est qu'un moyen de
débarrasser la société islamique de ces êtres nocifs qui conduisent à la perte de l'humanité".


10-Loi française contre le port de signes religieux ostensibles
Il s'est déclaré hostile à la loi française contre le port de signes religieux ostensibles. Au cours d'un meeting au Bourget, il préconise au citoyen français musulman de ne pas voter pour un candidat d'un parti qui aurait soutenu la loi française contre le port du voile islamique à l'école.

SOURCE www.wikipedia.org

05/06/2007

Nos anciens ont combattu Hitler et le Bolscevisme, aujourd'hui nous acceptons cela!

EURABIA AVANCE A GRANDS PAS :CLICK http://www.youtube.com/watch?v=le8uWM550Po

Chaldéens d'Irak et djihad anti-chrétien

"Un groupe armé a tué par balles le prêtre Ragheed Ganni, 31 ans, et trois de ses assistants, devant l'église de l'Esprit saint de Mossoul. L'assassinat a été perpétré dimanche 3 juin, peu de temps après la messe dominicale", selon l'agence de presse Asianews. Une information confirmée par la police de la ville.

"La messe a pris fin à 19h30 (16h30 à Paris), le prêtre et les diacres sont partis en voiture, mais à une centaine de mètres de l'église, une voiture a bloqué la route devant eux et quatre homme armés en sont sortis", a raconté un agent de police. "Les hommes armés ont obligé le prêtre et les diacres à descendre de leur voiture et ils les ont tués à bout portant", a-t-il ajouté.

Le patriarche de l’Église chaldéenne, Emmanuel Delly III, a qualifié l'homicide de "Crime abominable". "Un acte honteux que toute conscience ne peut que refuser". "Ceux qui ont commis ce crime", peut-on lire dans une note signée par tous les évêques chaldéens irakiens et publiée lundi sur le site en arabe Ankawa.com, "ont commis un acte horrible contre Dieu et contre l’humanité, contre leurs frères qui étaient des citoyens fidèles et pacifiques, en plus d’être des hommes de religion".

Les évêques "s’en remettent au Seigneur afin que la paix, la sécurité et la stabilité soient rétablies en Irak". Invitant les fidèles à la cohésion, le patriarche et les évêques de l’Église chaldéenne irakienne soulignent que cet homicide "évoque ce que nous avons dénoncé lors de précédents communiqués sur la persécution des chrétiens en Irak (…) en ce difficile moment, nous demandons aux autorités irakiennes et internationales de prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin à ces actes criminels et éviter qu’ils ne se reproduisent".

Dimanche, le secrétaire d'Etat du Vatican Tarcisio Bertone a indiqué dans un entretien au quotidien des évêques italiens Avvenire, que le pape Benoît XVI évoquerait le "problème" de l'Irak et de "la situation dramatique des chrétiens irakiens qui se dégrade toujours plus" avec le président américain George W. Bush lors de leur audience du 9 juin.

L’Eglise chaldéenne convoque un synode en Irak en pleine persécution

Vendredi dernier s’est ouvert à Al Qosh, à 25 kilomètres de Mossoul, le Synode de l’Eglise chaldéenne en Irak.

Parmi les thèmes à l’ordre du jour figurent le problème de la sécurité des chrétiens en Irak – dont le nombre est désormais réduit de moitié en raison de l’émigration forcée , l’avenir du Collège Babel (seule et unique faculté de théologie dans le pays, déplacée de Bagdad à Ankawa, dans le Kurdistan) et la situation des diocèses à l’intérieur et en dehors de l’Irak.

La tenue de ce synode a été confirmée par le procureur chaldéen près le Saint-Siège, Mgr Philip Najim qui, comme le rapporte l’agence italienne SIR, a fait part de l’inquiétude des évêques quant aux dures persécutions dont est victime la minorité chrétienne.
« Malgré le climat d’insécurité qui règne dans le pays, le Patriarche en personne et les évêques ont choisi de tenir leur synode chez eux et non à l’étranger, comme signe important de solidarité à notre peuple, pour leur dire qu’ils sont présents et que leur vie leur tient à cœur » a déclaré Mgr Najim à l’agence de l’Institut Pontifical des Missions étrangères « Asia News » (cf. asianews.it).

Le dernier synode chaldéen s’était tenu à Rome en novembre 2005.

Le synode de al Qosh sera également suivi par les évêques chaldéens de la diaspora, venus des Etats-Unis, du Canada, d’Australie et du Liban, et par le nonce apostolique en Irak, Mgr Francis Chullikat.

Ce synode est aussi une manière d’attirer à nouveau l’attention de la communauté internationale sur la situation tragique des chrétiens en Irak, cible d’un véritable nettoyage ethnique.

Pour cette raison, mercredi à Stockholm (Suède), où réside une forte communauté de chaldéens, mille personnes environ ont marché dans le centre ville jusqu’au parlement suédois, en brandissant des banderoles sur lesquelles était inscrite la phrase « Ne tuez pas les chrétiens en Irak ». Cette manifestation a également connu la participation de plusieurs députés suédois qui ont lancé un appel en faveur d’une meilleure protection des chrétiens. (ZF)

http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=040607...

COMMENTAIRE: ISLAM, ENCORE ET TOUJOURS, RELIGION D'AMOUR DE TOLERANCE ET DE PAIX

04/06/2007

Circoncision: une pratique "religieuse" remboursée par la SECU

a49e9da6960f1668acbd15a5c8ec5328.jpgA l'heure où l'on demande à ce qui payent leur cotisations de payer encore plus pour se faire soigner, personne ne parle du scandale des circoncisions, pratique "religieuse" imposée par des traditions barbariques, et qui est couramment realisée en fraude au frais de la SECU en la faisant passer pour une pratique thérapeutique (phimosis).

Bien sûr il vaut mieux parler de la chirurgie plastique du nez masquée sous forme de rhinoplastie....on ne risque pas de se faire égorger ou même traiter de "sale raciste"!

Chape de plomb sur EURABIA!

31/05/2007

L'imposture Erdogan et ses mentors Eurabiens

UN MOMENT CRUCIAL POUR LA TURQUIE

par Daniel Pipes
New York Sun
15 mai 2007

Version originale anglaise: A Critical Moment For Turkey

Adaptation française: Alain Jean-Mairet

Ma visite à Istanbul cette semaine a pour décor le plus important défi posé à la république laïque turque depuis sa création en 1923.

Fondée par Mustafa Kemal Atatürk pendant le naufrage de l'Empire ottoman, la république est apparue à l'apogée de la confiance en l'Occident, alors que l'exemple européen semblait devenir le modèle mondial. Atatürk imposa une série vertigineuse de changements, y compris les lois européennes, l'alphabet latin, le calendrier grégorien, l'usage de noms de familles personnels, le chapeau au lieu du fez, la monogamie, le dimanche comme jour de repos, l'interdiction des derviches, le droit de boire de l'alcool et le turc comme langage liturgique.

De nombreuses réformes ont pris racine – il est inconcevable aujourd'hui de revenir à l'écriture arabe ou de renoncer aux noms de famille. Mais d'une manière générale, le pays a retrouvé les usages islamiques. L'instruction religieuse plus intensive dans les écoles et le nombre accru de mosquées financées par l'État y vont de pair avec l'accroissement du nombre de femmes voilées.

Cette évolution est due à plusieurs facteurs: la réaction prévisible aux excès d'Atatürk; la démocratisation avancée de la Turquie, qui a permis aux masses de s'exprimer; la croissance démographique plus élevée des Anatoliens, plutôt sceptiques devant les réformes d'Atatürk; et la poussée d'islamisme qui a démarré au milieu des années 1970.

Cette montée en puissance s'est traduite par une forte représentation islamique au parlement, laquelle a passé d'un seul siège dans les années 1960 à une majorité de près des deux tiers aujourd'hui, aidée en cela par les particularités électorales turques. Par deux fois, des partis islamiques ont contrôlé le Premier Ministère, en 1996-1997 et depuis 2002. La première fois, la personnalité impétueuse et le programme ouvertement islamiste de Necmettin Erbakan ont convaincu les militaires, gardiens des traditions d'Atatürk, de l'exclure du pouvoir en une année.

Après la chute d'Erbakan, son ex-lieutenant, Recep Tayyip Erdoğan, fonda le parti de la justice et du développement (AKP), maintenant au pouvoir. Erdoğan et son équipe tirèrent la leçon du fiasco de 1996-1997 et adoptèrent une démarche beaucoup plus prudente vers l'islamisation. Ils firent également preuve de compétence de gouvernance en gérant bien les dossiers de l'économie, de l'Union européenne, de Chypre et autres.

Mais le mois dernier, Erdoğan alla trop loin en choisissant Abdullah Gül, un proche associé, pour assumer la présidence de la république. Au cours d'une succession rapide d'événements, Gul ne parvint pas à obtenir le quorum, la Cour constitutionnelle annula l'élection, des millions de partisans de la laïcité descendirent dans les rues, l'armée fit allusion à un coup et Erdoğan prononça la dissolution du parlement. De nouvelles élections – pour le parlement et la présidence – devraient se tenir sous peu.

Les questions se pressent: l'AKP peut-il reconquérir une majorité des sièges? S'il échoue, peut-il former une coalition gouvernementale? Parviendra-t-il à faire élire un des siens à la présidence?

Quelles sont au fond les intentions des dirigeants de l'AKP? Échaudés par le sort d'Erkaban, ont-ils simplement appris à dissimuler leurs ambitions réelles et nourrissent-ils en fait un programme islamiste secret? Ou ont-ils abandonné ces objectifs et accepté le principe laïque?

Ces questions d'intention ne peuvent déboucher que sur des spéculations. Je concluais ainsi à l'été 2005 après un voyage en Turquie que de chercher à déterminer si l'AKP a un tel programme secret ressemble à un «puzzle intellectuel complexe», avec des éléments de preuve en faveur des deux alternatives. Après ma visite actuelle, deux ans plus tard, je constate que c'est toujours le cas. Il y a simplement plus de données à intégrer et à interpréter.

Chacun des Turcs doit se faire sa propre opinion sur l'AKP, de même que les principaux gouvernements étrangers. Alors que les sondages montrent que les électeurs turcs restent indécis, des leaders étrangers ont accordé leur faveur à Erdoğan. Le Conseil de l'Europe condamna l'intervention militaire. La secrétaire d'État américaine Condoleezza Rice alla plus loin, félicitant l'AKP d'«attirer la Turquie vers l'Occident, vers l'Europe» et approuvant explicitement son action tendant à rendre les lois turques conformes à celles de l'Europe dans le domaine des libertés individuelles et religieuses.

Mais ses déclarations font l'impasse sur les efforts de l'AKP visant à appliquer la loi islamique en criminalisant l'adultère et en créant des zones sans alcool, sans parler du fait qu'il privilégie les tribunaux islamiques au détriment des cours laïques, qu'il fait usage d'argent sale, qu'il prend parti contre les minorités religieuses et qu'il persécute ses adversaires politiques. De plus, l'adhésion à l'Union européenne fournit un énorme avantage à l'AKP: paradoxalement, en diminuant le rôle politique des dirigeants militaires turcs résolument laïques, elle facilite l'application des lois islamiques. La prudence de l'AKP survivrait-elle à la neutralisation du corps d'officiers turcs? Enfin, la secrétaire Rice ignore les tensions dans les relations entre les États-Unis et la Turquie provoquées par l'AKP.

Mais son analyse superficielle présente aussi un avantage fortuit: compte tenu de la ferveur anti-américaine actuelle en Turquie, les encouragements américains à l'AKP risque de lui faire perdre des voix. Humour cynique mis à part, Washington devrait cesser de soutenir l'AKP et se tourner plutôt vers ses alliés naturels: les sécularistes.

25/05/2007

Le meilleur allié du Jihad et de la Dhimmitude? La "Civiltà Cattolica"!

par Sandro Magister



ROMA, le 8 novembre 2006 – Le dernier numéro d'octobre de "La Civiltà Cattolica", l'influente revue des jésuites de Rome publiée sous le control des autorités vaticanes, s'ouvre avec un éditorial sur l'islam qui laisse pantois.

L'éditorial livre une description très détaillée et alarmante de l'islam fondamentaliste et terroriste derrière lequel "il y a de grands et puissants États islamiques". C'est un islam projeté à la conquête du monde et nourri de violence "dans la cause d'Allah".

Mais il le fait sans faire aucune critique du lien entre violence et foi.

C'est comme si ce lien était un fait inéluctable contre lequel l'Occident et l'Église devraient faire peu ou rien; peu sur le plan pratique – il suffit de voir la carence de mesures antiterroristes proposées – et rien sur le plan théorique.

Surtout, c'est comme si Benoît XVI n'avait pas donné sa leçon le 12 septembre à Ratisbonne.

Dans cette leçon, pape Joseph Ratzinger visait justement à libérer la foi – toutes les fois – du lien avec la violence cherchant, par contre, à l'unir indissolublement à la raison dans le but d'entamer un dialogue positif et constructif entre le christianisme et les autres cultures et religions, y compris l'islam.

L’éditorial de “La Civiltà Cattolica” apparaît plutôt comme un manifeste des théories multiculturelles selon lesquelles l'islam est fait comme ça et il faut l'accepter tel quel.

Mais regardons de près ce qu'écrit "La Civiltà Cattolica” dans son éditorial non signé intitulé “Quale lotta al terrorismo? Cinque anni dopo l’11 settembre 2001 [Quelle lutte contre le terrorisme? Cinq ans après le 11 septembre 2001]."

* * *

L’éditorial souligne qu'après le 11 septembre 2001 “les actes de terrorisme se sont multipliés”.

Cette “recrudescence” du terrorisme islamiste – selon “La Civiltà Cattolica” – est principalement la “conséquence” de la guerre déclenchée par les États-Unis en Afghanistan et en Iraq.

Que la guerre en Iraq soit une erreur pour le Saint-Siège est bien connue. Mais l’éditorial de “La Civiltà Cattolica” en fait une règle générale. Elle écrit que toute guerre dans "des pays qui accueillent des terroristes, les financent et leur offrent une formation" est toujours une "grave erreur politique".

Et elle explique sa thèse ainsi:

“La raison est simple: l'invasion militaire d'un pays islamique comme l'Afghanistan ou l'Iraq est considérée par toute l'oumma islamique comme une grave offense contre Allah; elle est la négation de ses droits et une usurpation de son autorité qui s'exprime dans la charia.

“De cela découle la nécessité, pour l'islam fondamentaliste, de la lutte armée (al-jihad bi-l-saif) contre ceux qui attaquent un État islamique sous prétexte de le démocratiser. L'État islamique, selon l'interprétation radicale, est par sa nature 'théocratique', c'est-à-dire régie seulement par le Coran et la Sunna, et donc, selon les extrémistes, ne peut pas être 'démocratique' et encore moins 'laïc'; il ne peut pas ne pas faire de l'islam la 'religion d'État'. Cela est écrit dans la Déclaration islamique universelle, approuvée en 1980 par le Conseil islamique d'Europe. 'L'assujettissement des peuples musulmans et l'occupation de leurs terres dans quelques régions du monde sont pour nous une grave préoccupation. La plus pénible d'entre elles est l'usurpation et l'occupation de la ville sainte de Jérusalem (al-Quds). C'est le devoir sacré de l'oumma de mobiliser toutes ses forces et combattre sans répit afin de libérer Jérusalem et toutes les terres musulmanes. Les pays musulmans considèrent que l'agression contre un d'eux est une agression contre tout le monde musulman'."

“On peut comprendre comment l''agression' contre deux pays musulmans – l'Afghanistan et l'Iraq – a mobilisé les mouvements islamiques radicaux les poussant au 'militantisme armé dans la cause d'Allah’ (jihad fi sabil Allah), que les ‘croisés’ occidentaux appellent ‘terrorisme’, mais qui, pour les musulmans radicaux, est une juste action dans la défense des droits de Dieu et de la "Maison de l’islam’ (Dar al-islam). Cette défense est un 'devoir' que chaque individu, que chaque musulman, doit assumer jusqu'à sacrifier sa vie quand un pays islamique est attaqué par les juifs et les 'croisés'. Tel devoir peut comporter sa propre mort qui est proprement parlant un martyre, car subie dans la 'cause d'Allah' et la défense de ses droits, ouvrant ainsi les portes du paradis (sourates 3, 140 et 191; 9, 111; 61, 12-13).

“Il faut enfin se rendre compte que, pour les mouvements islamiques radicaux, l'Occident avec ses styles de vie libertaires et hédonistes exerce une très grande attraction sur les masses islamiques, en particulier les jeunes. Ils craignent donc que l'Occident ne contamine l'Islam et que ce dernier ne devienne 'mécréant' et 'corrompu'. Pour les mouvements islamiques radicaux, l'Occident représente un très grand danger, voire un danger mortel, pour la survie même de l'islam. Cela explique à la fois l'effort de 're-islamiser' les musulmans émigrés dans les pays occidentaux – effort pour empêcher que ces derniers s'intègrent dans les sociétés occidentales et en absorbent l'idéologie, qui est contraire à la lettre et à l'esprit de l'islam – et le combat contre les pays islamiques 'amis' des États-Unis et de l'Europe".

* * *

Puis, l’éditorial de “La Civiltà Cattolica” précise que l'idéologie décrite auparavant "n'est pas celle ce tous les musulmans, même pas d'une majorité." Mais il en souligne cependant sa grande influence:

“D'une part, derrière les idéologies terroristes qui s'inspirent des Frères musulmans d'al-Banna et d'al-Qutb, de la Jama’at-i-Islami de Mawdudi et du salafisme, il y a de grands et puissants États islamiques qui ont un intérêt à combattre l’Occident; d'autre part, il y a une forte aversion pour l’Occident.

“Il ne faut pas oublier que pour la pensée musulmane, l’Occident, au cours des 19e et 20e siècles, s'est emparé de territoires musulmans dont il a exploité les richesses. Surtout, il a tenté de diffuser parmi les peuples islamiques sa religion, ses institutions politiques et ses propres styles de vie au détriment de la religion islamique et de son institution politique, le califat. Pour les peuples de l'islam, cela a été une fitna (une tentation, une épreuve) pour leur foi, qui doit être effacée, selon les fondamentalistes, par la lutte contre l'Occident et la soumission de ce dernier à l'islam".

Forts ce cette idéologie religieuse, souligne “La Civiltà Cattolica”, les organisations terroristes islamiques "savent comment recruter un grand nombre de jeunes issus de couches sociales culturellement et économiquement aisées et de profonde foi religieuse; ils savent aussi comment les orienter vers 'le militantisme armé dans la cause de Dieu' et en faire des 'combattants de Dieu' (moudjahidine) prêts à sacrifier leur vie".

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En conclusion, ayant décidé que la guerre n'est pas une option, l’éditorial de “La Civiltà Cattolica” fixe en cinq points ce qu'il faut "faire pour combattre efficacement le terrorisme".

Premièrement, il faut “tisser [avec l’islam] des liens d'amitié et de collaboration afin de résoudre les grands problèmes d'aujourd'hui et d'instaurer un dialogue interculturel serein et loyal".

Deuxièmement, il faut “éviter des gestes politiques et militaires qui peuvent apparaître comme des actions visant à combattre, à humilier et à moquer les peuples islamiques. En particulier, il faut trouver une juste solution au conflit israélo-palestinien. La Palestine, dans la pensée commune de tout le monde islamique, reste une grande blessure, parce que l’Occident a pris un territoire sacré pour Allah, donc de propriété islamique 'par droit divin' jusqu'à la fin des temps (SIC, SIC, SIC! NDR), pour le donner aux juifs. C'est vrai que des éléments de l'autorité nationale palestinienne et une partie du peuple palestinien sont prêts à accepter l'existence de l'État d'Israël, mais l'article 15 de la Charte du Hamas, adoptée le 18 août 1988, dit: 'Le jour où les ennemis usurpent une terre qui appartient aux musulmans, le combat devient une obligation religieuse individuelle qui incombe à chaque musulman. Face à l'usurpation de la Palestine par les juifs, il faut brandir l'étendard du djihad.' Cela peut exiger, non pas le suicide, qui est interdit en islam, mais le 'martyre'. Contrairement au suicide, considéré un geste égoïste, le martyre est un geste altruiste exécuté pour défendre l'honneur d'Allah et les droits, piétinés, de l'islam. Le martyre est un geste ‘religieux’ qu’Allah récompense avec le paradis.”

Troisièmement, il faut “abandonner l'idée d'imposer la démocratie dans sa forme occidentale aux peuples musulmans, car elle est fondée sur le suffrage populaire en tant que source d'autorité et nie, selon les fondamentalistes, l'autorité absolue d'Allah sur les 'croyants' en faisant du consentement des citoyens la base des lois. En islam, Allah est la source des lois, qui sont d'origine divine, révélées à Mahomet et codifiées dans la charia. On peut bien évidemment souhaiter que le système démocratique se répande dans les pays islamiques, mais cela doit se faire avec le consentement et par l'initiative des peuples islamiques eux-mêmes, dans le respect de leur culture et de leurs valeurs.”

Quatrièmement, il faut “privilégier les mesures de police et surtout les actions des services de renseignements".

Cinquièmement, il faut priver le terrorisme “des grands financements dont il bénéficie aujourd'hui, financements qui viennent des grandes banques islamiques, de la dîme (zakat) recueillie dans les mosquées, de grandes compagnies pétrolières, et des organisations non gouvernementales islamiques".

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Voilà donc ce que dit l’éditorial de “La Civiltà Cattolica” sur l'offensive islamique.

L’éditorial est parfait si pour battre son ennemi il faut le connaître avant tout. Il décrit la logique de violence qui est présente dans l'islam – à la fois celle de type terroriste et fondamentaliste que celle de l'oumma dans son ensemble – avec une précision scientifique.

Mais il décrit si bien cette logique de violence qu'il finit pour lui donner raison sur presque tout. Il le fait si bien qu'il finit aussi par désavouer les musulmans qui s'éloignent de la doctrine orthodoxe. Les paragraphes sur Israël en sont un exemple. Les Palestiniens qui en acceptent l'existence doivent savoir que "la pensée commune de tout le monde islamique" leur est contraire et que Hamâs et ses 'martyrs' la représentent de façon plus cohérente. Israël doit être extirpé d'une terre qui est "propriété islamique 'par droit divin' jusqu'à la fin des temps".

Les passages sur la démocratie en disent aussi beaucoup. “La Civiltà Cattolica” refuse qu'on l'impose aux peuples islamiques, mais espère que ces derniers la choisissent librement. Dans un autre passage, le même éditorial soutient cependant que la démocratie est incompatible avec l’islam. Dans un autre éditorial, publié le 12 février 2004, la revue avait même affirmé que la démocratie était "offensante pour la communauté islamique".

L'espoir de voir les groupes terroristes privés de leurs financements aussi apparaît contradictoire. Après avoir dit, page après page, que le monde musulman est inviolable et intouchable, il est difficile de comprendre comment, dans les dernières lignes de son éditorial, “La Civiltà Cattolica” peut proposer d'intervenir avec force dans les mosquées et dans les associations de bienfaisance islamiques d'où viendraient les fonds des terroristes.

Mais la contradiction la plus flagrante est celle du premier point, notamment quand “La Civiltà Cattolica” parle de "dialogue interculturel serein et loyal" avec l'islam.

Cet éditorial, loin d'être un exemple de dialogue, en est plutôt la négation.

En neuf pages, il n'y a pas une seule ligne, pas une seule parole, qui soumette à critique "comme de raison" l'impressionnant lien entre foi et violence qui a été décrit comme étant présent dans l'islam d'aujourd'hui.

À Ratisbonne, Benoît XVI l'avait fait avec du rare courage.

“La Civiltà Cattolica” – qui, par sa charte, doit refléter la pensée du pape et en faire l'apologie – ne l'a même pas cité.

Et elle ne pouvait pas le faire non plus dans un éditorial qui ne peut qu'être lu dans le monde islamique que comme un acte de capitulation.

http://chiesa.espresso.repubblica.it/dettaglio.jsp?id=956...

COMMENTAIRES: CET EDITORIAL, D'UNE GRAVITE' INOUIE PUISQU'IL EMANE D'UNE REVUE VATICANE OFFICIELLE, MONTRE A QUEL POINT DES LARGES COMPOSANTS DE L'EGLISE CATHOLIQUE MENENT UNE POLITIQUE DE COLLABORATION ACTIVE SUICIDAIRE ENVERS LES NAZISLAMISTES, SUR FOND D'ANTI-JUDAISME  ET DE DHIMMITUDE. HITLER LUI-MÊME N'AURAIT PAS ECRIT MEILLEUR ARTICLE!

22/05/2007

Fatah al-Islam: un "Etat coranique" dans l'Etat communautariste libanais

EXTRAIT DE www.figaro.fr:

LES SPÉCIALISTES de la lutte antiterroriste braquent de nouveau leurs radars sur le Liban, où, depuis un an, les signaux d'alarme se multiplient. Au printemps 2006, deux Libanais et un Palestinien ont été accusés par les États-Unis de vouloir faire exploser un train sous la rivière Hudson à New York. L'été dernier, six personnes, originaires du pays du Cèdre ont été arrêtées en Allemagne, alors qu'elles s'apprêtaient à placer des bombes sur une voie ferrée. À Beyrouth, on craint désormais l'implantation clandestine de cellules liées à al-Qaida. La mouvance terroriste chercherait à exploiter l'aggravation des frictions confessionnelles entre chiites et sunnites et la faiblesse des services de sécurité, deux ingrédients du chaos irakien, dont l'extension au Liban est redoutée. Deux ans après le départ forcé de l'armée syrienne dans la foulée de l'assassinat de l'ancien premier ministre Rafic Hariri, les intérêts de l'Occident, qui soutient le gouvernement Siniora contre ses opposants pro-syriens et pro-iraniens, sont désormais menacés. Pour le général français Alain Pellégrini, qui a quitté en début d'année le commandement de la force des Casques bleus au Liban (Finul), « des petits groupuscules sunnites affiliés d'al-Qaida » constituent aujourd'hui « le danger numéro un ».           

Attaquer la Finul
Zones de non-droit depuis des décennies, les camps de réfugiés palestiniens offrent un terreau propice. En lisière de Saïda, au sud de Beyrouth, Ein Héloué et sa milice salafo-djihadiste Osbat al-Ansar (la ligue des partisans) ont longtemps représenté le principal foyer d'instabilité. Désormais, le curseur est pointé à 90 km au nord de la capitale, dans le camp de Nar el-Bared, haut lieu de la contrebande, où une centaine de combattants arabes, membres d'un groupe jusque-là inconnu, Fatah al-Islam, qui se reconnaît des affinités idéologiques avec al-Qaida, sont encerclés par l'armée libanaise.
Depuis que les autorités ont annoncé, à la mi-mars, l'implication de quatre membres du groupe dans un double attentat contre un minibus dans la montagne au-dessus de Beyrouth, l'armée menace de déloger les irréductibles. Ces derniers, retranchés dans trois usines désaffectées, disposent de l'arsenal le plus puissant parmi les factions du camp (orgues de Staline, canons, jeeps). À la tombée de la nuit, des barbus portant lance-roquettes antichars ou fusils mitrailleurs s'entraînent près d'une permanence gardée par des sentinelles armées. « Notre objectif est de combattre les juifs en Palestine, nous voulons y implanter la bannière de l'islam », jure Abou Salim, le visage masqué.
Damas accusé de « récupération »
Fauteurs de troubles pro-syriens ? Djihadistes liés à la mouvance terroriste al-Qaida ? « Il s'agit d'une création syrienne pour semer le chaos », assure le général Ashraf Rifi, patron des Forces de sécurité intérieure (FSI). Affiliés au Fatah Intifada, un groupe palestinien pro-syrien basé à Damas, leurs dirigeants auraient été retournés pendant leur détention en Syrie, avant d'être envoyés au Liban. Fatah al-Islam ne compterait qu'une demi-douzaine de Palestiniens aux côtés de Syriens, de Saoudiens, d'autres djihadistes arabes ayant combattu en Irak, ainsi que d'une cinquantaine de radicaux sunnites libanais. Deux membres du Fatah al-Islam, livrés aux FSI par des milices rivales, auraient raconté aux policiers avoir reçu instruction d'attaquer la Finul, qui est déployée au sud du Liban.
Pour se disculper, le groupe se baptise alors Fatah al-Islam, et fin novembre, ses troupes s'installent à Nar el-Bared, en prenant possession des bases et de l'armement du Fatah Intifada. Sans la moindre résistance, preuve supplémentaire que Fatah al-Islam n'est alors qu'une couverture islamiste du "laïc" (laïc mon cul! NDR) Fatah Intifada. Mais aujourd'hui, les Syriens contrôlent-ils toujours leurs « agents » ? Entre vrais salafistes et néo-islamistes, des tensions ont surgi. Des intégristes libanais et des salafistes saoudiens ont quitté le camp ces dernières semaines. « Nous en avons arrêté trois qui s'apprêtaient à sortir du pays, indique le général Rifi, l'un est un chef religieux, convaincu que le groupe n'est pas vraiment islamiste, mais plutôt manipulé. » Méfiant, Fatah al-Islam vient de riposter en emprisonnant un salafiste, qui voulait prendre la fuite.
« Les méthodes du Fatah al-Islam ne ressemblent en rien à celles d'al-Qaida, affirme cheikh Omar Bakri Mohammed, proche de la mouvance terroriste à Tripoli. Jamais al-Qaida ne se déclare avant un attentat. » « Nous ne sommes liés à aucun pays, à aucune organisation », répète le chef du Fatah al-Islam, Shaker Absi, après avoir pourtant reconnu des liens avec l'organisation de Ben Laden. En 2003, les Syriens avaient condamné cet ancien pilote palestinien, formé en Libye, à trois ans de prison, en « découvrant » ses connexions avec Abou Moussab al-Zarqaoui, le représentant d'al-Qaida en Irak. Mais pour des responsables libanais, les Syriens se servent de lui, comme des groupes palestiniens qui leur sont inféodés, pour encadrer puis canaliser, en Irak ou au Liban, des djihadistes qui transitent par leur pays. Damas dément ces accusations de « récupération ». « Nous redoutons que d'autres cellules du Fatah al-Islam soient implantées dans la banlieue sud de Beyrouth », conclut le général Rifi, pointant ainsi le danger de djihadistes évanouis dans la nature, plus ou moins liés à al-Qaida, mais prêts à frapper.

21/05/2007

La Suisse a compris, et parle clair!

La récolte des signatures pour l'initiative populaire «contre la construction de minarets» a été lancée le 1er mai 2007. Cette initiative contient une exigence précise: «La construction de minarets est interdite». Cette disposition est ajoutée à l'article 72 existant de la Constitution fédérale. L'art. 72 cst. charge la Confédération et les cantons de la responsabilité de préserver la paix religieuse en Suisse.

Le minaret en tant que bâtiment n'a pas de caractère religieux. Il n'est même pas mentionné dans le coran et dans les autres écritures saintes de l'islam. En fait, le minaret est le symbole d'une revendication de pouvoir politico-religieuse qui, au nom d'une dite liberté religieuse, conteste des droits fondamentaux, par exemple l'égalité de tous, aussi des deux sexes, devant la loi. Il symbolise donc une conception contraire à la Constitution et au régime légal suisse.

Celui qui, comme c'est le cas dans l'islam, place la religion au-dessus de l'Etat, donc qui donne aux instructions religieuses une importance plus grande qu'au régime légal institué par l'Etat de droit, se place forcément en contradiction avec la Constitution fédérale. Cette contradiction est impossible à éviter. Le minaret est précisément le symbole extérieur de cette revendication de pouvoir politico-religieuse qui remet en question certains droits fondamentaux garantis par la Constitution. L'interdiction des minarets demandée par cette initiative vise à garantir durablement en Suisse la validité illimitée du régime légal et social défini par la Constitution. Les tentatives de milieux islamistes d'imposer en Suisse aussi un système légal fondé sur la sharia sont ainsi stoppées.

Cette initiative ne restreint en revanche pas la liberté de croyance qui est garantie dans la Constitution comme un droit fondamental.

L'initiative «contre la construction de minarets» lancée le 1er mai est supportée par un comité qui réunit les parlementaires fédéraux suivants: Ulrich Schlüer (UDC ZH), Christian Waber (UDF BE) et Walter Wobmann (UDC SO) en tant que co-présidents ainsi qu'Oskar Freysinger (UDC VS) et Jasmin Hutter (UDC SG). Le comité d'initiative compte 16 personnes dont 14 représentants de l'UDC et 2 de l'UDF. Cinq membres sont des femmes. 

www.minarets.ch

Femmes au bûcher! Allah akhbar!

Le groupe armé radical palestinien Djihad islamique a menacé, hier, de recourir à des « dizaines » de kamikazes femmes pour commettre des « opérations suicides » en cas d'intervention terrestre israélienne dans la bande de Gaza.
« Les Brigades al-Qods (la branche armée du Djihad) disposent de dizaines de kamikazes femmes prêtes à se livrer à des opérations suicides pour faire face à toute incursion de forces terrestres (israéliennes) dans la bande de Gaza », a-t-il prévenu dans un communiqué.

La semaine dernière, la branche armée du Hamas avait déjà menacé de reprendre les attentats suicides en Israël

www.figaro.fr