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07/05/2007

Facho-communistes à l'attaque du choix libre et démocratique

06.05.07 -  Le calme est revenu tard dans la nuit à Paris, dans sa banlieue et dans les grandes villes de province. Premier bilan medium_anticom2.2.gifd'une soirée agitée : plus de trois cent cinquante voitures incendiées, deux cent soixante dix personnes interpellées et une trentaine de policiers blessés.

On les redoutait. On les appréhendait. Malgré les multiples appels au calme lancés par la classe politique, les violences ont gagné la France dans la nuit de dimanche à lundi avant que la situation revienne au calme tard dans la soirée. D'après un premier bilan de la direction générale de la police nationale (DGPN), trois cent soixante-sept voitures ont été brûlées en France métropolitaine, deux cent soixante dix personnes ont été interpellées et une trentaine de fonctionnaires ont été blessés.
Les premiers incidents ont eu lieu vers 21 heures à Lyon. Près de 500 manifestants de gauche, dont certains directement venus du siège du Parti socialiste, sont descendus jusqu’à la péniche amarrée sur le Rhône et louée par l’UMP pour fêter la victoire de Nicolas Sarkozy. Arrivés au dessus du pont, ils ont lancé des poubelles et des barrières sur le navire, puis ont provoqué des affrontements. Tandis que place Bellecour, des vitrines de magasins ont été endommagées. Deux fonctionnaires de police ont été blessés et trente quatre personnes ont été interpellées. Près de deux cents voitures ont été brûlées en Rhône-Alpes.
En début de soirée, à Lille, 200 militants anarchistes et de l’extrême-gauche se sont regroupés sur la Grand Place, visant avec des pierres les forces de l’ordre. De leur côté, les pompiers ont du faire face aux feux de voitures au sud de la ville. Ils sont intervenus au total une vingtaine de fois.
Affrontements à Paris 
Alors qu’il était 22 heures, des échauffourées ont éclaté à Paris sur la Place de la Bastille où 5 000 manifestants « anti-Sarkozy » s’étaient retrouvés pour exprimer leur colère après la défaite de Ségolène Royal. Plusieurs centaines d’émeutiers masqués par des foulards noirs ont mis le feu à 35 voitures et ont jeté aux alentours de 23 heures des projectiles sur les forces de l’ordre qui ont répliqué à coups de grenades lacrymogènes. Craignant ce regain de tension, le ministère de l’Intérieur avait pourtant pris ses précautions en mobilisant 3 000 policiers dans la capitale et sa banlieue, théâtre d’émeutes à l’automne 2005. Malgré l’important dispositif déployé, plus d’une centaine de voitures ont brûlé dans les départements limitrophes de l’Ile-de-France.
Dans les Hauts-de-Seine, à Rueil-Malmaison et Nanterre, une dizaine de voitures sont parties en fumée. A Antony, des groupes de jeunes armés de battes de base-ball ont voulu en découdre avec la police. A Asnières-sur-Seine, le local d'une association a été calciné.
Dans le Val-de-Marne, neuf feux de véhicules et quatorze de poubelles ont été signalés. Sept personnes ont été appréhendées. En Seine-Saint-Denis, un bus a été attaqué au cocktail molotov et une quarantaine de voitures ont été brûlées. Scènes identiques dans les Yvelines, le Val d’Oise, l’Essonne, la Seine-et-Marne, où quelques véhicules ont fini carbonisé.
A Toulouse, le rassemblement sur la Place du Capitole a dégénéré. Des manifestants ont dressé des barricades afin de grimper sur la face de l’Hôtel de Ville pour y décrocher les drapeaux bleu-blanc-rouge. Ils ont ensuite caillassé le siège de l’UMP. Quinze personnes ont passé leur nuit en garde à vue.
A Marseille sur le Vieux-Port ou à Bordeaux en plein centre-ville, les manifestants se sont livrés à des jets de bouteilles et de poubelles sur les gendarmes mobiles.
Dans l’Ouest du pays, à Nantes, les policiers ont réussi à disperser les quelques 700 manifestants qui tentaient de s’approcher des locaux de l’UMP. Des heurts se sont également produits à Rennes, Caen et Brest. Comme dans l’Est, à Metz et à Nancy.
07.05.07 - Après plusieurs défilés durant la journée, les manifestations ont pris un caractère plus violent à Paris, où des vitrines ont été brisées, avant une intervention musclée de la police.
Violences. En soirée, 500 manifestants ont continué de manifester aux environs de la place de la Bastille à Paris. Quelques vitrines ont été brisées, alors que des éléments plus violents se joignaient au cortège. La police est intervenue pour disperser les manifestants, arrêtant certains d'entre eux. A Caen, 800 manifestants ont également défilé dans les rues.
Manifestations. Dans la journée, quelques centaines de manifestants ont défilé à Paris jusqu'à la place de la Nation. Vers 14 heures, un autre cortège de 300 lycéens a battu le pavé entre Bastille et Nation. Ils avaient auparavant déployé, sur les marches de l'opéra Bastille, une banderole bleu-blanc-rouge portant l'inscription "Résistance à Sarko". "Nous, on n'a pas pu voter, alors faut bien qu'on se fasse entendre", a expliqué une lycéenne. 
A Lyon, ce sont quelque 200 jeunes qui se sont regroupés dans le centre-ville. Des actes de dégradation ont été observés en marge de la manifestation sur des poubelles et des panneaux d'affichage politique, provoquant deux interpellations, dont celle d'un mineur de 17 ans. Une dizaine de policiers étaient présents sur les lieux, mais l'ambiance était calme et les lycéens ont fini par se disperser.
AG dans deux universités, l'Unef condamne. Deux petites assemblées générales étudiantes se sont tenues à la Sorbonne et au site de Tolbiac (Paris I), pour lancer une mobilisation contre le projet de réforme de l'université de Nicolas Sarkozy. Ces réunions auraient réuni entre 50 et 90 étudiants à la Sorbonne, et 300 à Tolbiac. Le président du syndicat étudiant Unef, Bruno Julliard, a déclaré que ces manifestations et assemblées générales étaient "contre-productives" et n'étaient pas une "réponse adaptée" à son élection.
Lycées bloqués. Plus tôt dans la matinée, la rentrée scolaire a été brièvement perturbée dans sept lycées et collèges parisiens. Des groupes d'une trentaine de lycéens « anti-Sarkozy » se sont postés à l'entrée de ces établissements et ont tenté d'empêcher les élèves d'entrer. Les établissements concernés sont le lycée Voltaire, rue de la République (XIe), le lycée Arago à Nation (XIIe), le lycée Balzac, boulevard Bessières (XVIIe), le lycée Rabelais, Porte de Clignancourt (XVIII), le lycée Paul-Bert (XIV) et le collège Thomas-Mann, avenue de France (XIII).
En Seine-Saint-Denis, c’est le lycée Paul-Eluard de Saint-Denis qui a été perturbé. Un petit groupe a bloqué l'entrée, puis les lycéens se sont dirigés vers un autre lycée, Bartoldi, coupant pendant 10 minutes la route nationale 1.
COMMENTAIRE: LA DEMOCRATIE LIBERALE, UN CONCEPT IMPOSSIBLE A INTEGRER POUR LES PETITS-FILS DE STALINE

28/04/2007

Renier l'islam: c'est possible, c'est nécessaire!

VIDEO: http://www.dailymotion.com/related/2928865/video/x4yyf_ex...

PLUS LES MUSULMANS PRENDRONS CONSCIENCE DU MENSONGE CORANIQUE ET DE SES DANGERS, PLUS ILS S'EN ECARTERONS.

LA CULTURE, L'INFORMATION,  LA SENSIBILITE' ET LA RAISON SONT LES PIRES ENNEMIS DE L'ISLAM!

27/04/2007

Hommage à Jacques Pietri

Extrait de www.libertyvox.com: Jacques Pietri, sans doute un peu visionnaire, mettait en garde depuis des années déjà ses concitoyens contre les dangers de l’islamisation intégriste de la France et la possible résurgence des guerres de religion au 21e siècle.

Voici son dernier texte, inachevé, en cours de rédaction au moment de son décès. Nous vous le livrons comme il nous est parvenu, sans retouches, comme un message posthume, une mise en garde adressée aux vivants.

L’Islam d’aujourd’hui (comme celui d'hier et de demain NDR) n’est pas seulement un intégrisme, c’est un totalitarisme, il prend le relais des deux totalitarismes qui ont marqué le 20ème siècle, le communisme et le nazisme. Après le fascisme brun et le fascisme rouge, on est en présence du fascisme vert. L’intégrisme religieux doit être analysé sous le prisme du totalitarisme, système auquel il conduit inéluctablement dès que son triomphe est proclamé.

Le totalitarisme implique la négation de l’individu, seul le groupe, (religieux, politique, racial) existe ; l’individu est nié, ravalé, il est entièrement subordonné à l’intérêt supérieur du groupe. On notera, incidemment que le «libéralisme», qu’il soit radical ou modéré, est exactement le contraire. On sait, en effet, que pour Adam Smith, le père du libéralisme économique, l’individu est au centre de sa réflexion ; après Locke, Montesquieu et bien d’autres, il montre, ce qui est toujours vrai aujourd’hui, que sans liberté économique, il n’y a pas de véritable liberté politique. La France est aujourd’hui, le seul pays européen, où le mot, «libéralisme» est un gros mot.

La règle d’or de l’intégrisme religieux et du totalitarisme est la certitude de détenir la vérité, une vérité univoque, intangible, éternelle, que l’on ne saurait renier sans encourir une punition extrême. L’emprisonnement, la torture, l’extermination, la terreur, sont les instruments habituels du totalitarisme. La coercition ne s’intéresse pas seulement aux corps mais surtout aux esprits : «il est interdit de penser».

La religion se situe, de manière évidente, dans la sphère du privé, et non pas dans celle du public. Toute autre est la conception des théoriciens islamiques contemporains : L’Islam, écrit Hani Ramadan, dans le Bulletin du centre islamique de Genève, « est religion et État, foi et loi, doctrine et mode de vie... il nous enseigne un monothéisme authentique, évident, et aussi une loi qui constitue désormais un système complet reposant sur des sources authentiques applicables en tout lieu et en tout temps».

Un article paru dans un périodique algérien illustre bien ce qu’il en est de la laïcité dans le monde arabe (le mot laïcité étant à peu près intraduisible en arabe) : «L’adage occidental «rendre à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu» n’a pas sa place dans la conception islamique de la société. Tout appartient à Dieu et César lui-même appartient à Dieu». L’Islam, comme le rappelait si bien ce folliculaire, «signifie étymologiquement soumission, celle-ci doit être totale et inconditionnelle à Dieu et à sa foi révélée», c’est bien pourquoi «ne peut rester musulman celui qui s’est converti à la laïcité, cette nouvelle religion qui prône la séparation de la Foi et de la Loi».

Jacques Pietri (mars 2007).

www.libertyvox.com

25/04/2007

Encore une performance typique de la "réligion d'amour, de tolérance et de paix"

Les trois protestants assassinés mercredi à Malatya (est) auraient été torturés auparavant, a rapporté vendredi la presse turque, tandis que la police poursuivait l'interrogation de 10 suspects, dont les cinq principaux arrêtés sur les lieux du crime.

Un médecin qui a opéré l'une des trois victimes, encore vivante après la descente policière de mercredi dans la maison d'edition chrétienne Zirve (sommet), a expliqué au journal Hürriyet les détails macabres de l'attaque sans précédent contre la petite communauté évangéliste de Malatya.

"Ses cuisses, ses testicules, son anus et son dos avaient été tailladés de dizaines de coups de couteaux. Ses doigts avaient été coupés jusqu'à l'os", a indiqué le chirurgien Murat Ugras qui, malgré une longue intervention, n'a pu sauver Ugur Yüksel, converti au christianisme.

"C'est clair que ces blessures ont été infligées pour le torturer", selon le médecin qui a dû recourir à pas moins de 51 unités de sang de transfusion lors de l'opération.

Les deux autres personnes retrouvées mortes par les policiers, le Turc Necati Aydin, un autre converti, et Tilmann Geske, un Allemand, avaient eux aussi subi un supplice de trois heures aux mains de leurs cinq tortionnaires, au cours duquel ils ont été interrogés sur leurs activités de missionnaires.

Le prosélytisme n'est pas interdit par la loi en Turquie, mais est vu d'un mauvais oeil.

"Nous leur avons ligoté les mains et les pieds avant de les bâillonner. C'est Emre (Günaydin, le cerveau présumé de l'attaque qui s'est jeté par la fenêtre et qui est grièvement blessé) qui leur a tranché la gorge", ont déclaré les suspects à la police, selon le quotidien Sabah.

Les autorités gouvernementales d'Ankara ont promis de faire toute la lumière sur cette attaque survenue dans un pays à 99 %, musulman à cheval entre l'Europe et l'Asie et souhaitant rejoindre l'Union européenne.

Apparemment, le principal suspect âgé de 19 ans, hospitalisé pour une fracture du crâne, aurait gagné la confiance de ses victimes en se rendant plusieurs fois dans leurs locaux dans l'intention de s'informer sur le protestantisme.

Les médias estiment que cette tuerie, la première contre une communauté chrétienne, s'inscrit dans la lignée du meurtre l'an dernier à Trabzon (nord) du prêtre catholique italien Andrea Santoro et, en janvier, du journaliste d'origine arménienne Hrant Dink à Istanbul, par un jeune chômeur de Trabzon, un bastion nationaliste du nord-est.

Il y aurait eu à Malatya un regroupement de jeunes dans une cellule islamo-nationaliste d'où seraient issus les auteurs de l'attaque vraisemblablement préméditée, selon les journaux.

Dans leurs aveux ces suspects auraient dit: "Nous l'avons fait pour la patrie" et "notre pays et notre religion étaient menacés".

La presse rapporte en outre que trois des cinq principaux suspects avaient été interpellés par la police deux jours avant les faits pour avoir tiré avec des pistolets à air comprimé sur un terrain vague avant d'être relâchés contre une amende.

Susanne Geske, l'épouse de la victime allemande, père de trois enfants, est intervenue sur une chaîne de télévision turque, déclarant avoir "pardonné" aux tueurs.

Elle a demandé que son époux soit enterré à Malatya, où la famille vit depuis près de dix ans.

La tuerie a été condamnée par la communauté internationale et l'Allemagne, présidente en exercice de l'UE, a enjoint Ankara de prendre des mesures pour protéger la liberté religieuse.

© 2007 AFP

COMMENTAIRE: VOUS EN AVEZ ENTENDU BEAUCOUP PARLER DANS NOS MEDIAS LIBRES ET PROGRESSISTES??? NON, JAMAIS!!! FAUT PAS STIGMATISER LA RELIGION DU PSEUDO-PROPHETE EGORGEUR!!!

LIGOTÉS, bâillonnés, la gorge tranchée. « Le cauchemar se poursuit », titrait hier le journal Milliyet. Le triple meurtre des missionnaires évangélistes, un Allemand et deux Turcs convertis, dans leur maison d'édition, Zirve, qui distribuait la Bible, à Malatya, n'est que le dernier des assassinats commis contre des représentants des minorités religieuses depuis deux ans en Turquie. Mais ce sont les premiers à viser des protestants (3 200 fidèles). Les chefs de cette communauté de missionnaires ont dénoncé hier une « chasse aux missionnaires » qui rappelle selon eux les « chasses aux sorcières » du Moyen Âge.Le triple meurtre a eu lieu alors que l'atmosphère de la campagne pour la prochaine élection présidentielle est particulièrement lourde. Plus de 300 000 personnes ont manifesté samedi dernier à Ankara pour dénoncer les ambitions présidentielles du premier ministre Recep Erdogan, bête noire des milieux laïques et de l'armée, qui craignent une islamisation de la Turquie.Le massacre de Malatya, une ville conservatrice et religieuse à 660 km à l'est d'Ankara, celle d'Ali Agça, l'homme qui avait tenté d'assassiner le pape Jean-Paul II en 1981, intervient alors que le pays est traversé par une forte poussée du nationalisme. Les multiples échéances électorales, mais aussi les réticences de plus en plus fortes de l'Europe vis-à-vis d'une adhésion de la Turquie, favorisent un repli identitaire.Dans ce pays musulman à 99 %, les minorités religieuses sont les premières à en faire les frais. Elles sont montrées du doigt et prises à partie par les ultranationalistes, de gauche comme de droite. L'an dernier, un prêtre italien, Andrea Santoro, a été abattu par un adolescent de 16 ans à Trabzon, sur la mer Noire. Un prêtre français a été blessé à coups de poignard à Samsun, dans le nord.
Cette année, le 19 janvier, un journaliste d'origine arménienne, Hrant Dink, a été abattu par un jeune chômeur (jeune "chomeur" SIC! SIC! SIC! NDR) à Istanbul. Il était détesté des milieux nationalistes parce qu'il écrivait contre la position officielle de la Turquie, qui nie le génocide arménien de 1915.
Les pressions se multiplient contre les chrétiens. Les missionnaires de la maison d'édition de Malatya avaient, selon le responsable, été menacés à plusieurs reprises au cours des derniers jours. Aux policiers qui les interrogeaient, les suspects ont affirmé avoir agi « pour la patrie », parce qu'ils estimaient que « (leur) pays et (leur) religion étaient menacés ». Quant à la visite du pape Benoît XVI l'an dernier, elle a été précédée et suivie de manifestations hostiles.
« Le curé de Malatya et le grand rabbin d'Istanbul ne peuvent plus sortir de chez eux sans protection. Aujourd'hui, en Turquie, il vaut mieux se faire oublier », explique un dignitaire chrétien, qui réclame l'anonymat. Il était selon lui risqué pour les évangélistes de Malatya de s'installer « en pleine Anatolie, dans un pays musulman, à un moment tendu. Mais cela n'excuse pas le crime ».
Le paradoxe, selon le dignitaire chrétien, est que ces dérapages interviennent alors que l'époque n'a jamais été aussi "libérale" (vive le libéralisme musulman! NDR). « Les choses sont plus faciles aujourd'hui qu'il y a vingt ans pour les chrétiens. Il y a moins de pressions. C'est sans doute la perspective d'entrer dans l'Union européenne qui a assoupli le contrôle. Mais les choses sont très compliquées : l'UE exerce une pression permanente pour que l'armée ait moins de pouvoir. Or, ces crimes auraient-ils eu lieu si l'armée était restée aussi puissante qu'avant ? »
En attendant, les chrétiens d'Orient, Arméniens, Grecs orthodoxes ou Assyro-Chrétiens, subissent, en Turquie, un déclin inexorable. Les coups d'État de 1971 et de 1980, la violence politique et religieuse, les ont poussés au départ. Après la Première Guerre mondiale, les non-musulmans représentaient encore un tiers de la population de la vieille Stamboul. Les Assyro-Chaldéens turcs étaient 12 000 en 1980. Ils ne sont plus que 627 aujourd'hui. www.figaro.fr

24/04/2007

Halte à la gauche caviar!

CLIP OFFICIEL:http://www.youtube.com/watch?v=fuCauRh9gCU

TOUT SAUF MARIE SEGOLENE ET SES CLAMPINS!