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07/05/2007

Facho-communistes à l'attaque du choix libre et démocratique

06.05.07 -  Le calme est revenu tard dans la nuit à Paris, dans sa banlieue et dans les grandes villes de province. Premier bilan medium_anticom2.2.gifd'une soirée agitée : plus de trois cent cinquante voitures incendiées, deux cent soixante dix personnes interpellées et une trentaine de policiers blessés.

On les redoutait. On les appréhendait. Malgré les multiples appels au calme lancés par la classe politique, les violences ont gagné la France dans la nuit de dimanche à lundi avant que la situation revienne au calme tard dans la soirée. D'après un premier bilan de la direction générale de la police nationale (DGPN), trois cent soixante-sept voitures ont été brûlées en France métropolitaine, deux cent soixante dix personnes ont été interpellées et une trentaine de fonctionnaires ont été blessés.
Les premiers incidents ont eu lieu vers 21 heures à Lyon. Près de 500 manifestants de gauche, dont certains directement venus du siège du Parti socialiste, sont descendus jusqu’à la péniche amarrée sur le Rhône et louée par l’UMP pour fêter la victoire de Nicolas Sarkozy. Arrivés au dessus du pont, ils ont lancé des poubelles et des barrières sur le navire, puis ont provoqué des affrontements. Tandis que place Bellecour, des vitrines de magasins ont été endommagées. Deux fonctionnaires de police ont été blessés et trente quatre personnes ont été interpellées. Près de deux cents voitures ont été brûlées en Rhône-Alpes.
En début de soirée, à Lille, 200 militants anarchistes et de l’extrême-gauche se sont regroupés sur la Grand Place, visant avec des pierres les forces de l’ordre. De leur côté, les pompiers ont du faire face aux feux de voitures au sud de la ville. Ils sont intervenus au total une vingtaine de fois.
Affrontements à Paris 
Alors qu’il était 22 heures, des échauffourées ont éclaté à Paris sur la Place de la Bastille où 5 000 manifestants « anti-Sarkozy » s’étaient retrouvés pour exprimer leur colère après la défaite de Ségolène Royal. Plusieurs centaines d’émeutiers masqués par des foulards noirs ont mis le feu à 35 voitures et ont jeté aux alentours de 23 heures des projectiles sur les forces de l’ordre qui ont répliqué à coups de grenades lacrymogènes. Craignant ce regain de tension, le ministère de l’Intérieur avait pourtant pris ses précautions en mobilisant 3 000 policiers dans la capitale et sa banlieue, théâtre d’émeutes à l’automne 2005. Malgré l’important dispositif déployé, plus d’une centaine de voitures ont brûlé dans les départements limitrophes de l’Ile-de-France.
Dans les Hauts-de-Seine, à Rueil-Malmaison et Nanterre, une dizaine de voitures sont parties en fumée. A Antony, des groupes de jeunes armés de battes de base-ball ont voulu en découdre avec la police. A Asnières-sur-Seine, le local d'une association a été calciné.
Dans le Val-de-Marne, neuf feux de véhicules et quatorze de poubelles ont été signalés. Sept personnes ont été appréhendées. En Seine-Saint-Denis, un bus a été attaqué au cocktail molotov et une quarantaine de voitures ont été brûlées. Scènes identiques dans les Yvelines, le Val d’Oise, l’Essonne, la Seine-et-Marne, où quelques véhicules ont fini carbonisé.
A Toulouse, le rassemblement sur la Place du Capitole a dégénéré. Des manifestants ont dressé des barricades afin de grimper sur la face de l’Hôtel de Ville pour y décrocher les drapeaux bleu-blanc-rouge. Ils ont ensuite caillassé le siège de l’UMP. Quinze personnes ont passé leur nuit en garde à vue.
A Marseille sur le Vieux-Port ou à Bordeaux en plein centre-ville, les manifestants se sont livrés à des jets de bouteilles et de poubelles sur les gendarmes mobiles.
Dans l’Ouest du pays, à Nantes, les policiers ont réussi à disperser les quelques 700 manifestants qui tentaient de s’approcher des locaux de l’UMP. Des heurts se sont également produits à Rennes, Caen et Brest. Comme dans l’Est, à Metz et à Nancy.
07.05.07 - Après plusieurs défilés durant la journée, les manifestations ont pris un caractère plus violent à Paris, où des vitrines ont été brisées, avant une intervention musclée de la police.
Violences. En soirée, 500 manifestants ont continué de manifester aux environs de la place de la Bastille à Paris. Quelques vitrines ont été brisées, alors que des éléments plus violents se joignaient au cortège. La police est intervenue pour disperser les manifestants, arrêtant certains d'entre eux. A Caen, 800 manifestants ont également défilé dans les rues.
Manifestations. Dans la journée, quelques centaines de manifestants ont défilé à Paris jusqu'à la place de la Nation. Vers 14 heures, un autre cortège de 300 lycéens a battu le pavé entre Bastille et Nation. Ils avaient auparavant déployé, sur les marches de l'opéra Bastille, une banderole bleu-blanc-rouge portant l'inscription "Résistance à Sarko". "Nous, on n'a pas pu voter, alors faut bien qu'on se fasse entendre", a expliqué une lycéenne. 
A Lyon, ce sont quelque 200 jeunes qui se sont regroupés dans le centre-ville. Des actes de dégradation ont été observés en marge de la manifestation sur des poubelles et des panneaux d'affichage politique, provoquant deux interpellations, dont celle d'un mineur de 17 ans. Une dizaine de policiers étaient présents sur les lieux, mais l'ambiance était calme et les lycéens ont fini par se disperser.
AG dans deux universités, l'Unef condamne. Deux petites assemblées générales étudiantes se sont tenues à la Sorbonne et au site de Tolbiac (Paris I), pour lancer une mobilisation contre le projet de réforme de l'université de Nicolas Sarkozy. Ces réunions auraient réuni entre 50 et 90 étudiants à la Sorbonne, et 300 à Tolbiac. Le président du syndicat étudiant Unef, Bruno Julliard, a déclaré que ces manifestations et assemblées générales étaient "contre-productives" et n'étaient pas une "réponse adaptée" à son élection.
Lycées bloqués. Plus tôt dans la matinée, la rentrée scolaire a été brièvement perturbée dans sept lycées et collèges parisiens. Des groupes d'une trentaine de lycéens « anti-Sarkozy » se sont postés à l'entrée de ces établissements et ont tenté d'empêcher les élèves d'entrer. Les établissements concernés sont le lycée Voltaire, rue de la République (XIe), le lycée Arago à Nation (XIIe), le lycée Balzac, boulevard Bessières (XVIIe), le lycée Rabelais, Porte de Clignancourt (XVIII), le lycée Paul-Bert (XIV) et le collège Thomas-Mann, avenue de France (XIII).
En Seine-Saint-Denis, c’est le lycée Paul-Eluard de Saint-Denis qui a été perturbé. Un petit groupe a bloqué l'entrée, puis les lycéens se sont dirigés vers un autre lycée, Bartoldi, coupant pendant 10 minutes la route nationale 1.
COMMENTAIRE: LA DEMOCRATIE LIBERALE, UN CONCEPT IMPOSSIBLE A INTEGRER POUR LES PETITS-FILS DE STALINE

20/03/2007

Eric Besson, deputé de la Drôme, parle franc

medium_mseg.jpg« J’avais des inquiétudes depuis longtemps », a déclaré Eric Besson, auteur d’un brûlot contre Ségolène Royal (« Qui connaît Madame Royal ? »). « J’ai failli quitter le PS au moment des jurys populaires », a précisé le député de la Drôme avant d’ajouter ne pas savoir « ce qu’est la démocratie participative »,critiquant l’un des axes majeurs de la campagne de Ségolène Royal dont les jurys populaires étaient une émanation.


Il a au passage remis en cause la méthode de Ségolène Royal qui, selon lui, concentre le pouvoir entre ses mains.

« Je ne roule pour strictement personne. Je souhaite dire ma part de vérité », a-t-il expliqué, rejetant les intentions qu’on lui prête de vouloir détruire la campagne de Ségolène Royal et refusant de dire pour quel candidat il votera le 22 avril.

Les réactions aux violentes critiques qu’il a émises dans son livre ont été, selon lui, réparties entre, d’une part des insultes et des critiques, d’autre part des réactions de solidarité, enfin, a expliqué Eric Besson, certaines personnes, d’accord avec lui pour la présidentielle, lui ont rappelé qu’après cette échéance, il y avait les législatives.


L’ancien secrétaire national du PS à l’économie a dénoncé l’« obscurantisme et l’immobilisme » du PS, évoquant tour à tour la réforme des retraites, la généralisation des 35H, la fiscalité ou le nucléaire. Autant de sujets sur lesquels il avoue ne pas savoir comment les socialistes comptent s’y prendre pour réformer. Il précise même que s’il avait été interrogé un mois plus tôt, alors qu’il était encore au PS, sa réponse aurait été la même. Il a cité comme exemple le nucléaire, domaine dans lequel la candidate socialiste a réclamé un moratoire.    « Chaque fois que la candidate ne sait pas trancher, elle réclame un moratoire. Moi, je réclame un moratoire sur les moratoires », a conclu le député de la Drôme.

www.figaro.fr

 

medium_arton69-3c2ef.jpgVISITEZ: www.paslesroyal.com

19/03/2007

PCF: l'islam est une "race", et l'islamophobie un crime!

medium_pif.gif"Tout comme l’antisémitisme, l’islamophobie doit être considérée non comme une opinion mais comme un crime et punie comme telle". Cette énormité qui, par (fausse) analogie, confond ethnie et conception du monde, peut être lu dans un document communiste intitulé "Le PCF et la laïcité" une analyse présentée par Pierre Saly à la commission islam et laïcité du PCF dont voici un autre extrait : " les communistes combattent toute forme de législation qui contraindrait au dévoilement les femmes porteuses du « voile islamique », présentées comme exemple visible de refus de la laïcité française".




Ce retour en arrière du PCF, sa compromission qu'il ose appeler "lutter contre le communautarisme"(sic!), est de la plus haute dangerosité tant elle met en cause des dizaines d'années de luttes féminines, et de luttes générales pour l'émancipation de la liberté.

Voilà le danger néocommuniste qui pourrait fort bien avoir l'aval d'une Ségolène Royale pour le second tour, mais qui a aussi ses adeptes à l'UMP...: que sous le couvert de laïcité réaménagée soit mis sur le même pied d'égalité des pratiques qui stigmatisent les femmes en les sommant de se couvrir entièrement afin de les dissocier du regard collectif forgé par le vivre-ensemble de la république française, vivre-ensemble qui s'est construit dans les sillons de son sol et non pas en combinant des principes qui vont à son encontre.

Les communistes continuent donc leur travail de sape visant à détruire celui-ci dans son fond secret articulant puissance individuelle et puissance du groupe, persuadés de pouvoir se servir de l'immigration comme masse de manoeuvre, au même titre, mais en sens inverse, que le FN puisque celui-ci s'en sert de repoussoir alors que le PC s'en veut le fer de lance ; pas étonnant dans ce cas que Aounit ait décidé de défendre les couleurs communistes aux prochaines législatives si précisément le PCF opère ce tournant réactionnaire visant à détruire des siècles d'émancipation en avalisant des pratiques qui, auparavant, auraient été triées à l'aune de l'Universel et qui aujourd'hui sont validées sous le seul prétexte de se réclamer d'un discours religieux sans plus aucun esprit critique ; comme si, par une sorte d'extension de cette pensée momifiante qui préfère la muséification à l'affinement, au fait de créer de nouvelles traditions au lieu de les préserver toutes, il soit considéré comme pertes et profits tout ce que l'on reprochait précisément à l'Eglise catholique lorsqu'elle se prétendait seule détentrice de l'Universel et donc imposait sa façon de voir le corps et les relations entre les sexes.

Maintenant, par un retournement cynique et calculateur, l'on oublie, et l'on esquive que le fond libérateur de l'universel ne doit pas être confondu avec les formes qui prétendent l'exprimer en ce qu'il suffirait qu'elles s'en réclament pour les accepter telles que. Or, l'islam est critiquable en tant que tel et point seulement l'islamisme, comme ce fut le cas pour la pratique sociale du catholicisme que le protestantisme critiqua en son temps... Le PCF dans cas, aurait-il traité le protestantisme de catholicophobe (et vice versa) ? Il est évident que d'autres enjeux entrent en ligne de compte, en particulier le fait de mutiler l'image de la femme en l'obligeant non seulement à se vêtir mais aussi à manger de façon séparée des hommes, de prier, etc...

Ce n'est pas parce que les femmes, comme les hommes, sont dévêtus dans la publicité, qu'il faille y opposer l'inverse en les rhabillant complètement. La critique de la vulgarité permet d'éviter de sombrer dans les extrêmes, que choisit le PCF pourtant alors que sa manière de préserver ainsi des pratiques critiquables ne fait au fond que repeindre le vieil universalisme uniformisant, ne cherchant guère à émanciper les peuplades non occidentales, préférant plutôt les laisser dans leurs uses et coutumes afin de pouvoir vivre en paix.

C'est ce que proposent les communistes (et certains PS, UDF, et UMP),  identifiant une idéologie totalitaire autoproclamée religion à une ethnie, sommant tout non occidental à revenir à ses origines, à ne pas les quitter, à s'en offusquer même en stigmatisant ceux qui n'aiment pas le manioc ou préfèrent Sarkozy (alors que lui-même n'est pas très clair sur tous ces sujets), parce qu'ils ne correspondent pas à leur vision du monde de plus en plus obscurantiste, refusant au fond la révolution démocratique qui sait faire la différence entre le nécessaire et le périmé.

Nous sommes devant un grave danger, alors que nombre de ce gens qui ne sont pas de souche aimeraient qu'on les laisse prendre racine, parmi toutes les autres, en s'en distinguant, mais sans s'en séparer. Les communistes et leurs compères socialo-UMP font l'inverse, ils séparent et refusent la distinction par le matraquage idéologique et fiscal, avides qu'ils sont d'en finir une fois pour toutes avec une certaine idée de la France. Et les Français, comme tous les peuples du monde, répondent comme ils peuvent : en votant avec leurs pieds (ils s'enfuient) ou en tentant, naïvement, mais avec passion, de ralentir le ploiement en votant contre. Ce qui reste insuffisant...

www.resiliencetv.fr

13/03/2007

Bayrou, le preféré d'Allah!

medium_arton9722.2.gifIl existe un "engouement" pour François Bayrou en banlieue, affirment des responsables associatifs interrogés mardi par l'AFP selon lesquels de plus en plus d'électeurs des quartiers sensibles voient dans le président de l'UDF l'homme le plus à même de battre Nicolas Sarkozy.

"C'est lui qui bénéficie du capital sympathie. Les gens en ont soupé de la droite et de la gauche et il apparaît comme un homme neuf", affirme ainsi Stéphane Ouraoui, président de l'association Pas de quartiers, tous citoyens, présente dans toute la région parisienne.

Le candidat de l'UDF, en tournée en Seine-Saint-Denis mardi, a été bien accueilli par la population. En déplacement au Val-Fourré (Yvelines) le 9 février et à Nanterre (Hauts-de-Seine) le 30 janvier, il avait reçu un accueil bienveillant.

"Son côté anti-système plaît", confirme Mohamed Chirani, président de l'association Votez banlieue.

La tendance s'est accentuée au cours de la campagne: "Bayrou est en train de gagner la confiance de la banlieue: il bénéficie de la peur engendrée d'un côté par l'agressivité de Nicolas Sarkozy et de l'autre par les maladresses et l'inexpérience de Ségolène Royal", souligne Mohamed Chirani.

La réflexion de Nicolas Sarkozy, sur TF1, sur ces personnes qui ne respectent pas la France parce qu'elles "égorgent des moutons dans des baignoires", "en a choqué plus d'un", assure Stéphane Ouraoui. "J'étais récemment à une réunion de jeunes partisans du Parti radical de Jean-Louis Borloo à Mantes-la-Jolie. Pas un ne voulait voter pour Nicolas Sarkozy", témoigne-t-il.

A contrario, François Bayrou rassure la communauté musulmane. Sa brève apparition le 16 février au dîner de l'Union des associations musulmanes de Seine-Saint-Denis, où il s'est présenté comme "un croyant" qui "respecte les croyants", a été très appréciée, selon des participants.

Hafid Rahmouni, directeur de l'association Zyva à Nanterre, l'a trouvé "très humain" lors de son passage dans cette ville. "C'est lui qui nous a semblé le plus à l'aise. Il n'y avait pas cette distance que peut provoquer la position d'un homme comme lui. Ca a vraiment fait la différence".

Selon Stéphane Ouraoui, M. Bayrou bénéficie de l'image d'un homme "honnête" et "intègre".

La gifle donnée en 2002 lors d'une visite au quartier de la Meinau à Strasbourg à un jeune garçon qui lui faisait les poches ne lui porte pas préjudice. "Perçue comme une correction de père de famille", elle est oubliée, quand elle n'est pas saluée, selon M. Chirani.

Autre atout de François Bayrou en banlieue, et non des moindres: sa position dans les sondages qui le donnent gagnant face au candidat de l'UMP s'il était présent au second tour. "La banlieue cherche un vote pragmatique, l'objectif est de battre Sarkozy et ce n'est pas avec le vote Royal qu'on y parviendra", assure M. Chirani.

Pour certains, Bayrou apparait davantage comme un moindre mal (traduisez: celui qui va nous laisser trafiquer en paix NDR)que comme une vraie solution. "On essaie de prendre le moins mauvais pour nous, franchement, on se dit, +pourquoi pas ?+ On paie pour voir, comme au poker", explique Hamza Bouguerra, président de l'association des jeunes des Tarterêts (Essonne).

Reste à savoir si le candidat tiendra la distance et s'il pourra apparaître jusqu'au bout comme un homme au centre. "Certains en banlieue pourraient se souvenir que M. Bayrou a été ministre dans un gouvernement de droite, a soutenu des gouvernements de droite et a voulu financer les écoles privées", prévient Stéphane Ouraoui.(fin de citation)

COMMENTAIRE: les musulmans n'aiment pas le "juif" Sarkozy, ni  même Ségolène, la "femelle" donc l' "être inférieur" (qui veut soit disant allourdir les peines pour les violences conjugales: de là à qu'elle trouve la sharia incostitutionnelle...dangereux!)

18:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mpf, ump, ps, udf

06/03/2007

Les socialos montrent l'exemple (coeur à gauche,portefeuille à droite)

medium_SEGOLENE.jpgLe Canard enchaîné à paraître mercredi affirme que le patrimoine du couple Ségolène Royal-François Hollande a fait l'objet de "sous-évaluations immobilières" et qu'ils auraient dû verser en 2006 "sept fois plus que ce qu'ils ont effectivement payé" au titre de l'ISF.

Sollicités par l'AFP, ni l'un ni l'autre n'avaient encore réagi mardi en début de soirée.

Selon le journal satirique, la déclaration patrimoniale du couple "pulvérise les records de sous-évaluation immobilière" en ce qui concerne une maison à Mougins, près de Cannes (Alpes-Maritimes), en mentionnant le montant de 270.000 euros.

Or, si l'on ajoute à la surface déclarée de la maison (120 m2) celle du terrain (1.500 m2), "l'ensemble se monte à quelque 615.000 euros", affirme le Canard en se basant sur "les statistiques" de la chambre départementale des notaires portant sur la vente d'une centaine de villas à Mougins.

La valeur totale "avoisine les 700.000 euros" si l'on prend en compte la superficie (140 m2) de la maison enregistrée au service de l'urbanisme de la mairie, précise l'hebdomadaire.

Le Canard ajoute que, pour une autre maison distante de 100 m, d'une superficie de 120 m2 et datant "de la même époque", "le vendeur exige 1 million d'euros net".

Le quotidien Le Monde rapporte pour sa part que sur neuf agences immobilières interrogées, "aucune ne valide l'estimation de 270.000 euros". L'une d'elles affirme que "le prix médian" pour ce type de maison, début 2006, "était d'environ 540.000 euros sans la piscine, le terrain et la vue" que possède le bien du couple.

Quant à l'appartement de Boulogne-Billancourt acheté par Mme Royal, M. Hollande et les parents de ce dernier, il a été déclaré par le couple pour une valeur de "750.000 euros". C'est, soutient Le Canard, "nettement moins que sa valeur d'achat en 1990 (5.750.000 F, soit 876.000 euros)!".

Selon l'hebdomadaire, "les agences immobilières, fin 2005, valorisaient l'appartement autour de 1,2 million" d'euros.

"Assis sur un tel matelas, assure Le Canard, la candidate et son compagnon auraient été contraints de régler l'année dernière plus de 6.000 euros au titre de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Sept fois plus que ce qu'ils ont effectivement payé (862 euros)".

Ségolène Royal avait rendu public son patrimoine, le 16 janvier, en détaillant sa part propre (celle que tous les candidats à la présidentielle doivent adresser au Conseil constitutionnel), à l'exclusion de celle de son conjoint. Elle déclarait un montant de 108.000 euros pour la maison de Mougins et de 197.800 euros pour l'appartement de Boulogne.

AFP

COMMENTAIRE: normal qu'ils declarent moins....ils n'aiment pas qu'on les appelle "riches"!

19:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mpf, ump, ps

08/02/2007

Bienfaits et performances de l' Education National-Socialiste

Orthographe: un 5e de 2007=un CM2 de 1987

Le niveau des élèves en orthographe a "régressé de manière notable" en 20 ans et les élèves de cinquième sont au niveau de ceux de CM2 en 1987, à en croire un ouvrage-enquête à paraître fin février et rédigé par deux professeurs en sciences du langage et deux professeurs des écoles.

www.figaro.fr

21:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ump, mpf, ps

01/12/2006

Lettre ouverte aux candidats à la Présidentielle 2007

PAR AREZKI BAKIR ET NAFA KIRECHE

A vous tous et à vous toutes, candidat(e)s à la présidence de la République française.

Tout d'abord, nous nous présentons : Messieurs BAKIR Arezki, 29 ans et KIRECHE Nafa, 34 ans. Citoyens de la République française, nous assistons impuissants à la montée des communautarismes, notamment musulman. Attachés à la République et à ses valeurs de laïcité, d'égalité des chances et de liberté, nous souhaitons vous alerter contre l'erreur grossière que font beaucoup d'entre vous : considérer tous les citoyens originaires d'Afrique du Nord comme des sujets religieux et non comme des citoyens !

Le communautarisme impliquant que des individus se regroupent sur leurs spécificités et que les pouvoirs publics les reconnaissent en tant que tels, nous pouvons considérer que les hérauts du communautarisme musulman en France ont gagné la partie. Des gadgets communautaires (CFCM, UOIF...) ont été crées pour porter la voix d'une soit-disant communauté musulmane homogène, foulant au pied la constitution française.

Ne pouvant accepter ce fait accompli, nous souhaitons faire entendre notre propre partition (qui est celle de la majorité silencieuse des citoyens originaires d'Afrique du nord) afin que tout amalgame et tout lien avec ces groupuscules religieux qui gesticulent entre eux soit écarté.

Les citoyens français que nous sommes veulent s'inscrire dans la droite lignée des précédentes vagues d'immigration (polonaise, italienne, ibérique...) et ne réclament absolument aucune faveur (reconnaissance de nos spécificités) et aucun passe-droit (discrimination positive). Nous voulons, ni plus, ni moins, les mêmes droits et les mêmes devoirs que le reste de nos concitoyens.

Une gravissime erreur a été commise lorsque l'on a parqué entre elles des populations originaires d'Afrique. L'absence de mixité sociale a entraîné un reflexe communautaire, un repli sur soi sur des valeurs qui ne sont à l'opposé de celles de la République. Les jeunes y ont grandis en développant un rejet de la société française, idéalisant leur identité d'origine et développant des comportements violents ainsi que des codes linguistiques qui sont devenus de véritables obstacles à leur intégration (notamment professionnelle) tout en suscitant la peur et le rejet d'une part grandissante de la population française, exaspérée par l'arrogance de certains d'entre eux.

Les citoyens français ont tous été marqué et choqué par les récents "évènements" de banlieue pendant lesquels les actes les plus barbares, les provocations les plus gratuites et la haine la plus abjecte ont pu s'exprimer sous le regard condescendant et protecteur de certains acteurs politiques et sociaux continuant de considérer les voyous comme des êtres victimes de la société et méritant de ce fait la mansuétude des pouvoirs publics.

Cette lecture des évènements, maintenant la tête des jeunes délinquants sous l'eau en refusant de les placer devant leurs responsabilités, montre à quel point il est difficile, pour certains acteurs politiques et associatifs de considérer les individus issus de cette vague d'immigration comme des citoyens à part entière avec des droits mais également des devoirs. N'insistant pas suffisamment sur les devoirs du citoyen, le discours victimaire érigé au rang de slogan politique continue de produire ses effets désastreux dans la société française...

Les jeunes qui ont sombré dans la délinquance et la marginalisation sociale sont une cible idéale pour les idéologues de l'islam le plus radical. Sensibles à un discours trompeur qui les flatte et leur donne le sentiment d'exister en tant que membres d'une communauté, ceux-ci sont de plus en plus endoctrinés et s'éloignent de manière quasi-irrémédiable des valeurs de la République.

Confortés par un discours dominant d'auto-flagellation perpétuel et la caution implicite des tenants du discours victimaire, les jeunes méprisent un pays qui se méprise lui-même. Et, par extension, idéalisent un pays d'origine qu'ils ne connaissent pas et qui n'a, le plus souvent, que misère, souffrances et répression à offrir à ses habitants.

Comment ne pas s'inquiéter de cet état de fait dont personne ne semble mesurer les dangers à terme ?

Issus de cette vague d'immigration prise au piège du communautarisme, nous voulons proposer un autre chemin que celui de l'infantilisation de la communauté à laquelle on nous assimile par commodité : la communauté musulmane (en fait nord-africaine). Cette communauté, partie intégrante de la nation, n'a cependant pas à réclamer d'avantages particuliers en tant que telle. La République ne reconnait que les individus et une seule communauté : la communauté nationale. Lorsque nous entendons certains représentants auto-proclamés des "musulmans de France" réclamer la construction de mosquées supplémentaires alors que la majorité des musulmans ne demande rien et que même, une partie non négligeable d'entre eux, dont nous faisons partie est soit athée, soit agnostique ou tout simplement indifférente, nous mesurons à quel point la classe politique française est sous l'emprise des théologiens musulmans et complexée par l'islam.

Non seulement la construction de mosquées supplémentaires financée par l'état n'est pas souhaitable mais nous affirmons également que l'argent qui servirait à ces constructions devraient au contraire permettre la construction de lieux de vie, d'espaces pédagogiques susceptibles d'arracher la jeunesse de banlieue à l'impasse obscurantiste et de l'intégrer à la République laïque. Face à ces revendications religieuses, l'arme de la laïcité doit être utilisée sans aucun complexe et aucune concession !

Que dire de l'antisémitisme scandaleux ou le racisme anti-occidental manifestés sans vergogne par certains jeunes "musulmans" ? Comment accepter que le citoyen juif, ou d'origine juive, soit systématiquement pris pour cible par des jeunes sous influence ? Comment accepter qu'un conflit extérieur (israëlo-palestinien) soit importé chez nous pour alimenter la haine anti-juive ?

N'y a-t-il pas là un racisme totalement passé sous silence et que semblent ignorer certaines personnalités soi-disant "anti-racistes" (en fait communautaristes) comme Mouloud Aounit ?

Pourquoi ne pas reconnaître que la plupart des personnalités ou organisations ayant fait de la lutte contre le racisme leur raison d'être ne font le plus souvent que défendre une chapelle contre une autre ? Pourquoi ne pas reconnaître que l'anti-racisme institutionnalisé n'est rien d'autre que l'institutionnalisation du communautarisme ?

Pour conclure, nous souhaitons, au nom de la liberté d'expression, apporter notre soutien à Robert Redeker, à Ayaan Hirsi Ali et à tous ceux et toutes celles, journalistes, artistes, intellectuels, hommes et femmes politiques ou simples citoyens, qui se battent pour que les fondamentalistes ne gagnent pas l'âpre combat qui les oppose à la liberté.

Mesdames et Messieurs les candidats, nous ne voulons pas que la France devienne une juxtaposition de communautés antagonistes. Nous voulons apporter nos spécificités au service de notre pays. Mais nous devons mettre ces spécificités au service de notre citoyenneté et non notre citoyenneté au service de nos spécificités. La France est notre avenir et nous ne voulons pas assister silencieusement au processus de démantèlement de la République.

Vive la République, vive la France !

Arezki BAKIR et Nafa KIRECHE.