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30/06/2007

Storie di sicari nazislamici

5fb6be5d2275af42a8e65d91a2994675.jpgMILANO - Dounia Ettaib, la vice presidente lombarda dell'Associazione donne marocchine in Italia (Acmid) ha denunciato di essere stata aggredita a Milano nei pressi della moschea di viale Jenner. La circostanza è in corso di accertamento da parte delle forze dell'ordine. L'episodio è avvenuto proprio all'indomani della richiesta, non accolta, dell'Acmid di costituirsi parte civile nel processo per l'omicidio di Hina Saleem, la ragazza pakistana uccisa dai famigliari.

LE MINACCE - Dounia Ettaib ha raccontato che dopo l'aggressione, avvenuta intorno alle 13, si è presentata in questura raccontando l'accaduto. Due connazionali si sarebbero avvicinati a lei per strada, spingendola contro al muro e insultandola: «Devi smetterla di parlare di islamismo» le avrebbero detto. E poi: «Hina è un prostituta come te». Infine uno dei due le avrebbe stretto il viso con le mani dicendole che «la bellezza non dura a lungo». L'esponente dell'Acmid, molto scossa dall'episodio, ha tenuto a replicare che «non sarà questo fatto a fermare l'attività dell'associazione»

29 giugno 2007
NELLA FOTO: HINA, UCCISA DALL'IDEOLOGIA DEL PEDOFILO EPILETTICO AUTOPROCLAMATO PROFETA

29/06/2007

Video: apprendre l'islam tel qu'il est!

CLICK :http://grouik-grouik.blogspot.com/2007/04/islam-ce-que-lo...

27/06/2007

No comment!

Milano - Una coppia di 31enni è stata sequestrati da quattro stranieri che poi, in gruppo, hanno violentato la donna. È accaduto la scorsa notte nel Milanese, tra i comuni di Segrate e Pioltello. La donna e l’uomo, che erano in un parcheggio a chiacchierare, intorno alle 23, sono stati costretti a salire sull’auto degli aggressori sotto la minaccia delle armi e portati in una zona di campagna a Pioltello. Dopo aver immobilizzato l’uomo, i quattro hanno a turno stuprato la donna. La 31enne è stata medicata alla clinica Mangiagalli di Milano, dove i medici hanno confermato la violenza sessuale. Le indagini vengono effettate dai carabinieri della Compagnia di San Donato Milanese. Al momento, però, non sarebbe nemmeno certo se i violentatori siano nordafricani o dell’est europeo.

La dinamica L’uomo e la donna, lui disoccupato di Pioltello, lei cameriera a Segrate, sono stati avvicinati mentre si trovavano dentro una Daewoo Matiz, in un parcheggio, a chiacchierare. La 31enne, infatti, abita poco distante, e stava attendendo di rincasare. Improvvisamente, fuori dalla macchina, sul lato del guidatore, è comparso un giovane, armato di pistola, che ha costretto entrambi a scendere e a seguirlo su un’altra auto, dove attendevano altri tre uomini. Una volta sulla vettura i sequestratori, tutti stranieri e armati di pistole e taglierini, hanno portato la coppia fino ad una cascina che si trova in una frazione di Pioltello. Lì, approfittando della zona isolata, hanno costretto l’uomo a stare accovacciato sotto il sedile, minacciandolo a turno con una pistola, mentre gli altri, fuori dalla macchina, violentavano ripetutamente la donna.

www.ilgiornale.it

24/06/2007

Mutilazioni genitali femminili: una barbarie incoraggiata dall'islam

CAIRO - Una ragazzina egiziana di dodici anni è morta durante un'operazione d'escissione del clitoride a Minya, nell'Egitto meridionale. Lo riferisce il quotidiano egiziano El Masri El Yom. La giovane era stata portata dalla madre in uno studio medico privato per essere sottoposta alla mutilazione genitale, operazione ufficialmente vietata in Egitto, ma che viene praticata sulla maggioranza delle ragazze. Secondo il quotidiano, la giovane sarebbe morta prima del suo trasferimento all'ospedale locale. La madre, che ha pagato l'equivalente di 8 euro per l'operazione, ha accusato di negligenza la dottoressa, sostenendo che la morte della figlia è stato causato dall'anestesia e non dall'asportazione del clitoride. Le due donne sono state fermate dalla polizia.
«ORGANI TROPPO SPORGENTI» - Un portavoce del sindacato dei medici, e uno dei dirigenti dei Fratelli musulmani, Essam al-Aryan, hanno difeso la pratica dell'escissione, accusando le Ong, che la combattono, di puntare solo a finanziamenti dall'estero. «Lavoriamo nel quadro della legge che stabilisce la legittimità dell'escissione nel caso in cui gli organi genitali femminili siano troppo sporgenti» ha detto al quotidiano El-Aryan un dirigente della confraternita islamica.

20/06/2007

Aux sources "théologiques" du nazislamisme: l'apostasie et son châtiment

ATTENTION: TEXTE ORIGINAL DU CHEIK AL QUARADAWI (http://valeursoccidentales.hautetfort.com/archive/2007/06/08/al-quaradawi-l-islam-pour-les-nuls.html)  EXTRAIT LITTERALEMENT DU SITE ISLAMOPHILE.ORG (link en bas de page). ON Y TROUVE LA JUSTIFICATION LEGALE ISLAMIQUE AU MEURTRE DE L'APOSTATE ET PLUS PARTICULIEREMENT DE CELUI QUI OEUVRE A DEMASQUER LE CARACTERE FAUX, VIOLENT, TOTALITAIRE ET INTOLERANT DE LA DOCTRINE ISLAMIQUE. ON Y ATTAQUE LE PRINCIPE DE LAICITE' INEXISTANT EN ISLAM, ET INDIRECTEMENT CELUI DE DEMOCRATIE PLURALISTE. ON Y CONDAMNE LE PROSELITISME ENVER LES MUSULMANS ET LE DROIT DE CEUX-CI A CHANGER DE RELIGION. CES SCRIPTS SONT CONSULTABLES LIBREMENT SUR INTERNET PAR N'IMPORTE QUEL DEBILE RELIGIEUX QUI EST SENSE CROIRE QU'IL S'AGIT DE REGLES DE BONNE CONDUITE. LE BON COTE DES CHOSES EST QUE QUICONQUE PEUT SE RENDRE COMPTE DE L'ABROUTISSEMENT FANATIQUE QUI CARACTERISE CES BONS MUSULMANS.PETIT COMMENTAIRE: LE CHAPITRE FATWA SUR LE SITE ISLAMOPHILE.ORG N'EST PAS ACCESSIBLE LIBREMENT, ILS PREFERENT LE LAISSER A LA DISPOSITION DE LA OUMMA.

OUVREZ LES YEUX ET LES OREILLES BRAVES GENTS!

Le danger le plus terrible auquel est confronté le Musulman est celui qui menace son identité spirituelle, c’est-à-dire celui qui menace sa foi. C’est pour cette raison que l’apostasie — la mécréance après l’Islam — est le danger le plus terrible auquel la société musulmane est confrontée. Le plus grand complot ourdi par les ennemis de cette société consiste à détourner les Musulmans de leur religion, que ce soit par la force et les armes ou par la ruse et la tromperie. Le Très-Haut dit en effet : « Or, ils ne cesseront de vous combattre jusqu’à, s’ils le peuvent, vous détourner de votre religion. » (sourate 2, la Vache, Al-Baqarah, verset 217)

À notre époque, la société musulmane a été la cible de violentes invasions et d’attaques virulentes visant à la déraciner. Ces invasions sont symbolisées par les campagnes d’évangélisation qui ont commencé avec la colonisation occidentale, et qui se poursuivent aujourd’hui encore dans le monde musulman, ainsi qu’au sein des communautés et des minorités musulmanes. Parmi les objectifs de ces campagnes : l’évangélisation des Musulmans dans le monde, comme l’a montré la Conférence du Colorado, tenue en 1978. Au cours de cette conférence, quarante études portant sur l’Islam et les Musulmans ont été proposées. Il y a été question des méthodes d’évangélisation qui pourraient être utilisées spécifiquement avec les Musulmans. Un milliard de dollars ont été récoltés pour mener cette entreprise. On y a fondé l’Institut Zwemer qui forme des spécialistes dans l’évangélisation des Musulmans.

Ces attaques contre la société musulmane sont également symbolisées par l’invasion communiste qui a conquis des pays musulmans entiers en Asie et qui a farouchement œuvré pour la disparition de l’Islam, pour son élimination de la vie quotidienne et pour l’éducation de générations ne connaissant l’Islam ni de près ni de loin.

La troisième attaque revient à l’invasion laïque et athée, qui poursuit sa mission jusqu’à aujourd’hui au cœur même des terres d’Islam. Tantôt elle se manifeste, tantôt elle se dissimule. Sans relâche, elle poursuit l’Islam véritable, tout en célébrant un Islam factice. Ce troisième type d’invasion est probablement le plus vicieux et le plus dangereux.

Le devoir de la société musulmane — si elle veut survivre — est de résister à l’apostasie de quelque origine qu’elle soit et de quelque forme qu’elle apparaisse. Il ne faut pas lui laisser l’opportunité de se propager et de se répandre, comme se répand le feu dans la paille.

C’est ce que firent Abû Bakr et les Compagnons, que Dieu les agrée. Ils combattirent les rénégats qui avaient suivi des imposteurs prétendant à la mission prophétique, comme Musaylimah, Sajâh, Al-Asadî, Al-`Ansî et d’autres, ceux-là mêmes qui faillirent en finir avec l’Islam naissant.

Le danger le plus grave qui puisse être est que la société musulmane soit éprouvée par des apostats hérétiques qui propagent l’apostasie au sein de la Communauté, alors qu’il n’y a personne pour leur faire face ni pour leur résister. C’est ce qu’un savant a exprimé au sujet de l’apostasie qui sévit de nos jours : "Une apostasie, mais point de Abû Bakr pour lui faire face !" [1].

Il est nécessaire d’opposer une résistance à l’apostasie individuelle afin de la cerner et d’éviter qu’elle ne se développe et que fusent de toutes parts ses étincelles. Elle deviendrait alors une apostasie généralisée, car des petites étincelles naissent les grands incendies.

A partir de cela, les juristes de l’Islam sont unanimement d’avis que l’apostat mérite une peine — même s’ils peuvent diverger sur sa nature. Leur grande majorité estime que cette peine est la peine de mort. C’est l’avis des quatre écoles de jurisprudence islamique prévalantes, voire des huit écoles.

A ce sujet, une somme de hadiths authentiques ont été narrés par un certain nombre de Compagnons : Ibn `Abbâs, Abû Mûsâ, Mu`âdh, `Alî, `Uthmân, Ibn Mas`ûd, `Â’ishah, Anas, Abû Hurayrah et Mu`âwiyah Ibn Haydah.

Ces hadiths sont rapportés selon des formulations différentes. Par exemple, le hadith d’Ibn `Abbâs : « Quiconque change sa religion, tuez-le. » (rapporté par tous les compilateurs de hadiths sauf Muslim ; on retrouve le même hadith chez At-Tabarânî, d’après Abû Hurayrah, avec une bonne chaîne de narration et ce hadith est narré selon Mu`âwiyah Ibn Haydah avec une chaîne de narration dont les maillons sont des hommes de confiance).

Le hadith d’Ibn Mas`ûd : « Le sang d’un Musulman qui atteste qu’il n’y a de dieu que Dieu et que je suis le Messager de Dieu est illicite sauf dans trois cas : l’homicide volontaire, le fornicateur qui a déjà connu le mariage et l’apostat qui abandonne la Communauté. » (rapporté par l’ensemble des compilateurs de hadiths).

Selon d’autres versions de ce hadith, d’après `Uthmân : « …un homme qui a mécru après sa Soumission (Islam) ou qui a forniqué après qu’il a connu le mariage ou qui a tué sans droit une autre âme. » (rapporté par At-Tirmidhî — qui le qualifia de hasan (bon) -, An-Nasâ’î et Ibn Mâjah ; le sens du hadith est confirmé par la version d’Ibn `Abbâs, de Abû Hurayrah et de Anas).

L’érudit Ibn Rajab dit : « Tuer dans chacun de ces trois cas est consensuellement admis par les Musulmans. » [2].

`Alî — que Dieu honore sa face — exécuta la peine de l’apostasie contre un groupe de gens qui l’avaient divinisé. Il les brûla vifs, après qu’il leur eut demandé de se repentir et qu’il les eut réprimandés, mais ils refusèrent de se repentir et de revenir sur leurs prétentions. Il les jeta alors dans le feu, disant :

« Lammâ ra’aytul-amra amram-munkarâ *** Ajjajtu nârî wa da`awtu Qumburâ

Traduction  :

Lorsque j’ai vu que la chose était blâmable *** J’ai allumé mon bûcher, et j’ai appelé Qumbur »

Qumbur étant son serviteur et son page [3].

Ibn `Abbâs désapprouva `Alî, arguant de l’autre hadith : « Ne châtiez pas par le châtiment de Dieu. » Ibn `Abbâs pensait donc qu’il fallait les tuer, mais non les brûler. La divergence d’Ibn `Abbâs concernait donc le moyen employé, non le principe.

De même, Abû Mûsâ et Mu`âdh exécutèrent la peine de mort contre un Juif du Yémen qui s’était converti à l’Islam puis avait apostasié. Mu`âdh dit alors : « C’est le Jugement de Dieu et de son Messager. » (hadith consensuellement reconnu — i.e. rapporté par Al-Bukhârî et Muslim).

`Abd Ar-Razzâq rapporte qu’Ibn Mas`ûd mit en arrestation un groupe de gens, en Irak, qui avaient renié l’Islam. Il écrivit alors à `Umar à leur sujet. Ce dernier lui répondit par une lettre : « Propose-leur la religion de vérité et l’attestation qu’il n’y a de dieu que Dieu. S’ils acceptent, laisse-les en paix. Et s’ils refusent, tue-les. » Certains d’entre eux acceptèrent et ils furent graciés. D’autres refusèrent et ils furent tués [4].

On rapporte d’après Abû `Amr Ash-Shaybânî qu’Al-Mustawrad Al-`Ijlî se convertit au christianisme après avoir embrassé l’Islam. `Utbah Ibn Furqud l’envoya à `Alî, qui lui demanda de se repentir, ce que l’apostat refusa de faire. `Alî le mit à mort [5].

Le Sheikh de l’Islam Ibn Taymiyah mentionne que le Prophète — paix et bénédiction sur lui — accepta le repentir d’un groupe d’apostats mais qu’il ordonna de tuer un autre groupe qui avait rajouté à l’apostasie d’autres crimes comprenant l’atteinte et la nuisance à l’Islam et aux Musulmans. Ainsi, il ordonna de tuer Miqyas Ibn Hubâbah le jour de la conquête de la Mecque, ce dernier ayant ajouté à l’apostasie le meurtre d’un Musulman et la dépossession de ses biens. De plus, il ne s’était pas repenti avant qu’on eût mis la main sur lui. Le Prophète ordonna également de tuer les `Uraynites lorsqu’ils ajoutèrent à leur apostasie des crimes semblables à ceux de Miqyas. Il ordonna aussi de tuer Ibn Khatal qui avait ajouté à son apostasie l’insulte et le meurtre d’un Musulman. Il ordonna de tuer Ibn Abû Sarh qui ajouta à son apostasie la calomnie et la diffamation contre le Prophète. Ibn Taymiyah distingue deux types d’apostasie : d’une part, la simple apostasie, pour laquelle le repentir est accepté ; d’autre part, l’apostasie qui s’accompagne d’une guerre contre Dieu et Son Messager et qui s’accompagne également de la propagation de la corruption sur Terre. Dans ce deuxième cas, la repentance de l’apostat est refusée si celui-ci se repent après son arrestation [6].

`Abd Ar-Razzâq, Al-Bayhaqî et Ibn Hazm rapportent qu’Anas, revenant de Tastur, se rendit chez `Umar. Ce dernier lui demanda : « Qu’ont fait les six de la tribu de Bakr Ibn Wâ’il qui ont renié l’Islam et qui ont rejoint les idolâtres ? » Anas répondit : « Ô Commandeur des Croyants, ce groupe de gens qui ont renié l’Islam et qui ont rejoint les idolâtres ont été tués sur le champ de bataille. » `Umar reprit : « Nous appartenons à Dieu, et c’est à Lui que nous retournerons. » [7] Anas dit : « Mais avaient-ils une autre issue que d’être tués ? » `Umar répondit : « Oui, j’allais leur proposer l’Islam et, s’ils refusaient, j’allais les mettre en prison. » [8].

Le sens de cette tradition est que `Umar a pensé que la peine de mort n’était pas applicable à l’apostat en toute situation. Elle peut être annulée ou reportée si une nécessité impose son annulation ou son report. Dans ce cas précis, la nécessité consiste en l’état de guerre, en la proximité géographique entre ces apostats et les idolâtres et en la crainte que ces apostats ne soient tentés de passer à l’ennemi. `Umar a probablement fait l’analogie avec ce qu’avait dit le Prophète — paix et bénédiction sur lui : « Ne coupez pas les mains pendant les batailles. », et cela de crainte que le voleur, furieux, ne rejoigne l’ennemi.

Il existe une autre possibilité : l’avis de `Umar serait que le Prophète — paix et bénédiction sur lui -, en disant : « Quiconque change sa religion, tuez-le. », avait dit cela en sa qualité de dirigeant de la Communauté et de chef de l’Etat. Cela signifierait que cette décision ferait partie des décrets du pouvoir exécutif, et que c’est un acte faisant partie de la politique légale. Il ne s’agirait pas d’un avis juridique (fatwâ) ou d’un enseignement émanant de Dieu auquel la Communauté doit se soumettre en tout temps, en tout lieu et en toute situation. Ainsi, l’exécution de l’apostat et de tous ceux qui changent leur religion reviendrait de droit au dirigeant. Elle fait partie de ses compétences et des attributions de son pouvoir. S’il prononce la peine de mort, celle-ci doit être exécutée. Sinon, elle ne l’est pas.

Cette possibilité est confortée par ce qu’ont dit les Hanafites et les Malékites au sujet du hadith : « Quiconque a tué une personne, sa dépouille lui revient. » et ce qu’ont dit les Hanafites au sujet du hadith : « Quiconque redonne vie à une terre morte, alors elle devient sa propriété. » (cf. notre livre : Al-Khasâ’is Al-`Âmmah fî Al-Islâm (Caractéristiques générales de l’Islam), page 217).

C’est également l’opinion de Ibrâhîm An-Nakha`î ainsi que celle d’Ath-Thawrî qui a dit : « C’est cette opinion que nous adoptons. » (Al-Musannaf, 10, tradition n° 18697). Il a également dit : « [La peine de mort] doit être reportée tant qu’il y a un espoir de repentance. » [9].

Mon opinion est la suivante. Les savants ont distingué en matière d’innovation (bid`ah), les innovations aggravées et les innovations simples. Ils ont également distingué parmi les innovateurs ceux qui invitent activement à leur innovation de ceux qui n’y invitent pas. De la même manière, il faut faire la différence au niveau de l’apostasie entre l’apostasie aggravée et l’apostasie simple, tout comme il faut faire la différence entre les apostats qui invitent à l’apostasie et ceux qui n’y invitent pas.

Ainsi, lorsque l’apostasie est aggravée — comme l’apostasie de Salmân Rushdî — et que l’apostat invite à son hérésie par la langue ou par la plume, alors il convient dans ce cas de châtier de manière prononcée, donc d’adopter l’avis de la grande majorité des savants de la Communauté, de considérer littéralement les hadiths, afin de déraciner le mal et de fermer la porte à la zizanie. Sinon, dans les autres cas, il est possible d’adopter l’avis d’An-Nakha`î et d’Ath-Thawrî qui s’appuie sur ce qui est rapporté au sujet du Fârûq, `Umar [Ibn Al-Khattâb].

L’apostat qui invite à l’apostasie n’est pas un simple mécréant, ne croyant pas à l’Islam. Il mène de fait une guerre contre l’Islam et contre la Communauté. Il est donc à considérer au même titre que ceux qui font la guerre à Dieu et à Son Messager, répandant la corruption sur Terre. La guerre — comme le dit Ibn Taymiyah — est de deux sortes : la guerre par la main et la guerre par la langue. En matière de religion, la guerre par la langue peut porter encore plus de préjudice que la guerre par la main. C’est pour cette raison que le Prophète — paix et bénédiction sur lui — tuait ceux qui lui faisaient la guerre par la langue alors qu’il graciait des gens ayant porté les armes contre lui. De la même manière, la corruption peut se faire par la main mais aussi par la langue. En matière de religion, la corruption par la langue est bien plus néfaste que la corruption par la main. Il est ainsi établi que faire la guerre à Dieu et à Son Messager par la langue est bien plus terrible, et que la propagation du désordre sur Terre par la langue est plus dangereuse. [10].

Or, comme l’ont dit les sages, la plume est l’une des deux langues. Elle peut même être encore plus terrible que la langue et porter encore plus de préjudice, surtout à notre époque où il est possible d’assurer une large diffusion des écrits.

En outre, l’apostat qui persiste dans son apostasie est condamné à la mort morale de la part de la Communauté musulmane. Ainsi, il ne jouit plus de sa loyauté, de son amour, ni de son aide. Dieu le Très-Haut dit en effet : « Et celui d’entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. » (sourate 5, la Table servie, Al-Mâ’idah, verset 51). Pour des gens doués de raison et qui ont une conscience, cette mort morale est en réalité bien plus grave que l’exécution physique.

Cette sévérité dans la lutte contre l’apostasie est due au fait que la société musulmane est fondée en tout premier lieu sur la foi et la croyance. La foi constitue en effet le fondement de son identité, la règle qui régit son mode de vie et l’essence de son existence.

Pour cette raison, il ne saurait être permis à quiconque de s’en prendre à ce fondement ou de toucher à cette identité. A partir de là, l’apostasie déclarée constitue le plus grand crime aux yeux de l’Islam. Elle est en effet un danger pesant contre la personnalité de cette société et contre son entité morale. En outre, elle est un danger contre la première des cinq nécessités que l’Islam entend préserver, à travers tous ses pans législatifs et éthiques. Ces cinq nécessités sont : la religion, la vie, la filiation, la raison et la propriété. La religion est la première de ces nécessités, car le Croyant peut faire le sacrifice de sa vie, de son pays et de ses biens pour préserver sa religion.

L’Islam ne contraint personne à l’embrasser, ni à sortir d’une religion pour se convertir à une autre religion. Car la foi prise en compte est celle qui découle d’un choix délibéré et d’une conviction. Dieu — Exalté soit-Il — dit dans le Coran mecquois [11] : « Est- ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ? » (sourate 10 intitulée Jonas, Yûnus, verset 99). Il dit également dans le Coran médinois [12] : « Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 256).

Néanmoins, l’Islam n’accepte pas que la religion soit un jeu dans lequel chacun y entrerait aujourd’hui comme il lui plaît et en sortirait demain comme il lui plaît, ainsi que l’ont fait certains Juifs qui disaient : « ‹Au début du jour, croyez à ce qui a été révélé aux Musulmans, mais, à la fin du jour, rejetez-le, afin qu’ils retournent (à leur ancienne religion).› » (sourate 3 intitulée la Famille d’Amram, Âl `Imrân, verset 72).

L’Islam ne condamne pas à la peine capitale l’apostat qui ne professe pas son apostasie ou qui n’y invite pas les autres. Il considère que son châtiment est laissé à Dieu le Jour du Jugement dernier, si du moins il meurt mécréant. Le Très Haut dit en effet : « Et ceux parmi vous qui adjureront leur religion et mourront infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. Voilà les gens du Feu : ils y demeureront éternellement. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 217). Au pire, l’Islam punira un tel apostat par une peine discrétionnaire adaptée.

L’Islam sanctionne uniquement l’apostat qui professe ses opinions, en particulier celui qui s’active à inviter à l’apostasie. L’Islam entend ainsi protéger l’identité de la société et préserver ses fondements et son union. Il n’existe aucune société dans le monde qui ne possède des fondements auxquels il est interdit de s’en prendre, comme par exemple : l’identité, l’affiliation, l’allégeance. Il est ainsi inacceptable pour un membre d’une société donnée de modifier l’identité de celle-ci ou de transformer son allégeance aux ennemis de la société en question.

C’est pour cette raison que la trahison de la patrie et l’alliance avec les ennemis de celle-ci, en leur témoignant de l’amitié et en leur délivrant les secrets, sont considérées comme un crime d’une grande importance. Pourtant, nul n’a jamais dit qu’il faut accorder au citoyen le droit à ce qu’il change son allégeance nationale à qui il veut et quand il veut.

L’apostasie n’est pas seulement une prise de position intellectuelle, pour que le débat se résume au principe de la liberté de conscience. Plus que cela, il s’agit d’un changement d’allégeance, d’une transformation de l’identité, d’une mutation de l’affiliation. L’apostat porte désormais son allégeance et son rattachement d’une Communauté vers une autre communauté, d’une patrie vers une autre patrie, autrement dit de la Terre d’Islam (Dâr Al-Islâm) vers une autre terre. Il se détache de la Communauté islamique dont il faisait partie intégrante, et se rattache de par sa raison, de par son cœur et de par sa volonté aux adversaires de cette Communauté. C’est ce qu’exprime le hadith prophétique, d’après la version consensuelle d’Ibn Mas`ûd : « l’apostat qui abandonne la Communauté ». L’expression « qui abandonne la Communauté » est ici une caractérisation générale, non-restrictive : tout apostat abandonne de facto la Communauté.

Néanmoins, quelle que soit l’importance de son crime, nous n’irons pas lui ouvrir la poitrine pour voir ce que recèle son cœur ; nous n’irons pas non plus envahir sa maison à son insu. Nous ne le jugeons que sur ce qu’il déclare ouvertement par sa propre langue, par sa propre plume ou par ses propres actions. C’est à partir de là que nous établissons s’il a versé dans la mécréance déclarée et explicite, qui n’admet aucune interprétation ni ne fait aucun doute. Tout doute est en revanche considéré au bénéfice et à la faveur de l’accusé d’apostasie.

Le laxisme dans la sanction de l’apostat déclaré, qui s’active à la propagation de l’apostasie, met en péril la société dans son ensemble, et ouvre la porte à une zizanie dont seul Dieu — Exalté soit-Il — connaît les conséquences. Un tel apostat pourrait alors tromper les gens, en particulier les plus faibles et les plus démunis d’entre eux ; il pourrait alors se former une organisation hostile à la Communauté, qui se permettrait de recourir à l’aide des ennemis de celle-ci pour la combattre. Ainsi, la Communauté tomberait dans une lutte et un déchirement intellectuel, social et politique, qui pourrait tourner à une lutte sanglante, voire à une guerre civile qui emporterait tout sur son passage.

C’est par ailleurs exactement ce qui s’est passé en Afghanistan. Un groupe restreint renonça à sa religion et embrassa la doctrine communiste après que tous les membres de ce groupe eurent fait leurs études en Russie, et eurent été embrigadés dans le Parti Communiste. Et sans qu’on ne s’y attendît, ils se jetèrent sur le pouvoir et entamèrent une transformation de l’identité de la société dans son ensemble, grâce aux moyens et à l’autorité dont ils disposaient. Le peuple afghan refusa néanmoins de se soumettre : il résista puis il résista. Et cette résistance s’étendit jusqu’à constituer l’héroïque Jihâd afghan contre les apostats communistes, qui n’eurent aucun scrupule à s’allier aux Russes contre leur peuple et leurs proches. Ils pilonnaient leur patrie avec les chars ; ils la bombardaient avec les avions et la détruisaient par les bombes et les missiles. Telle était cette guerre civile qui dura dix ans et dont les victimes se comptèrent par millions (SIC!) de morts, de blessés, d’orphelins, de veuves et de mères ayant perdu leurs enfants, sans parler de la destruction qui ravagea le pays et décima la terre et le bétail.

Tout cela ne put avoir lieu qu’à cause de la négligence de ces apostats, du laxisme dans la considération de leur cas et du silence initial affiché devant leur crime. Si ces traîtres hérétiques avaient été punis avant leur prise de pouvoir, on aurait épargné le peuple et le pays des maux causés par cette effroyable guerre et des ravages qu’elle fit sur la terre et sur les hommes.

Premièrement, accuser un Musulman d’apostasie est une chose très grave, qui implique qu’il soit privé de toute fidélité et de tout attachement à la famille et à la société. Cela implique également qu’il soit séparé de son épouse et de ses enfants. En effet, il est illicite pour une Musulmane d’être sous la protection maritale d’un mécréant [13]. De plus, l’apostat ne devient plus le garant de ses enfants, sans parler du châtiment corporel au sujet duquel les juristes sont globalement unanimes.

Pour ces raisons, il faut être extrêmement prudent avant de jeter l’anathème sur un Musulman dont l’Islam est avéré. En effet, son appartenance à l’Islam est avérée de façon certaine, et la certitude ne saurait être supprimée par le doute. Parmi les choses les plus graves qui soient, est l’accusation de mécréance lancée contre un non-mécréant. La Sunnah prophétique a prévenu de cela longuement et avec insistance. Par le passé, j’ai rédigé une lettre (Dhâhirah Al-Ghuluww fî At-Takfîr (Le phénomène d’outrance dans l’excommunication)) afin de faire résistance à cette grande vague qui s’est répandue à une époque donnée. On ouvrait alors facilement les portes à l’excommunication. Et malheureusement, il existe encore des gens qui sont convaincus par cette idée.

Deuxièmement, ceux qui sont aptes à lancer une accusation d’apostasie à l’encontre d’un individu musulman sont les savants très versés dans la science religieuse et les spécialistes de cette question qui savent distinguer ce qui est péremptoire de ce qui est conjectural, ce qui est explicite de ce qui est ambigu, ce qui admet l’interprétation de ce qui ne l’admet pas. Ainsi, ces spécialistes ne prononcent l’excommunication que lorsqu’il n’y a manifestement plus aucune autre issue. Ainsi, l’excommunication peut être prononcée dans des cas tels que : nier de la religion ce qui est connu par nécessité (inkâr al-ma`lûm min ad-dîn bid-darûrah), railler ce qui est certain en matière de foi ou de Législation islamique, insulter publiquement Dieu le Très-Haut, Son Messager ou Son Livre, etc.

On peut ainsi citer l’accusation d’apostasie lancée par les savants contre Salmân Rushdî et contre Rashâd Khalîfah qui a commencé par renier la Sunnah, puis a renié les deux derniers versets de la sourate 9 [14] et a parachevé sa mécréance en se prétendant Messager de Dieu, arguant que Muhammad, paix bénédiction sur lui, était le Sceau des Prophètes mais qu’il n’était pas le Sceau des Messagers ! La décision fut alors prise par le Conseil de Jurisprudence de la Ligue du Monde Musulman. Il ne faut pas laisser ce genre de problèmes entre les mains de personnes hâtives dans leurs conclusions ou à des outranciers ou à des individus possèdant un piètre bagage en sciences religieuses. Tous ceux-là diraient alors au sujet de Dieu des choses qu’ils ne connaissent pas.

Troisièmement, celui qui exécute la peine est le dirigeant légal, après la formulation d’un verdict par la justice islamique spécialisée qui ne se réfère qu’à la Loi de Dieu — Exalté soit-Il — et qui ne s’en remet qu’aux versets ou aux hadiths clairement explicites du Livre de Dieu ou de la Sunnah de Son Messager — paix et bénédiction sur lui. Et c’est à eux (versets et hadiths) que les gens se remettent s’ils divergent : « Puis, si vous vous disputez en quoi que ce soit, renvoyez-le à Dieu et au Messager, si vous croyez en Dieu et au Jour dernier. » (sourate 4 intitulée les Femmes, An-Nisâ’, verset 59).

En principe, le juge musulman doit être de ceux qui sont aptes à fournir un effort intellectuel (Ijtihâd) dans la déduction du jugement légal. S’il ne possède pas cette qualité, alors il doit consulter ceux qui la possèdent, afin que la vérité lui soit évidente et qu’il ne juge pas en méconnaissance de cause ou par passion. Car, dans ce cas, il ferait partie des juges destinés à l’Enfer.

Quatrièmement, la grande majorité des juristes sont d’avis qu’il est obligatoire de demander à l’apostat de se repentir, avant exécution de la peine. Le Sheikh de l’Islam Ibn Taymiyah a même dit dans son livre As-Sârim Al-Maslûl `alâ Shâtim Ar-Rasûl : « Les Compagnons, que Dieu les agrée, sont unanimes (à cet égard). » Certains juristes ont estimé la durée du repentir à trois jours, d’autres l’ont estimé à moins, d’autres l’ont estimé à plus. Quelques-uns pensent que la repentance de l’apostat doit être demandée à l’infini, sans limitation temporelle.

Certains juristes ont exclu l’hypocrite de cette durée de repentance laissée à l’apostat, en ce sens que l’hypocrite laisse apparaître autre chose que ce qui est en son for intérieur. Ainsi, il n’a pas de repentance. Ces mêmes juristes pensent de même en ce qui concerne celui qui insulte le Messager — paix et bénédiction sur lui — à cause de la sacralité et de l’honneur du Messager de Dieu. Un tel apostat verrait alors sa repentance refusée. Ibn Taymiyah a publié son livre à ce sujet.

Cette durée de repentance est octroyée à l’apostat afin de lui donner l’occasion de réviser lui-même ses idées. Ainsi, il peut lui-même lever l’équivoque qui pesait contre lui, ou alors certifier qu’il n’y a aucun doute sur son apostasie. Qu’il recherche loyalement la vérité ou qu’il suive ses propres passions ou encore qu’il soit au service de tierces parties, Dieu le fera accéder au but de sa quête.

Certains contemporains pensent que l’acceptation du repentir revient à Dieu et non à l’homme. Mais ceci concerne les jugements de l’au-delà. En ce qui concerne les jugements d’ici-bas, nous acceptons le repentir, même s’il n’est qu’apparent, et nous acceptons la conversion à l’Islam, même si elle n’est qu’apparente. Nous ne pénétrons pas dans les fors intérieurs des créatures. Nous avons reçu l’ordre de ne juger que selon ce qui est apparent et explicite. Dieu seul est garant de ce qui se trouve dans les âmes. D’après le hadith authentique, ceux qui disent « Il n’y a de divinité que Dieu » épargnent leurs vies et leurs biens ; et leurs comptes seront ensuite réglés par Dieu, c’est-à-dire que leur degré de foi n’est jugé que par Dieu.

En conclusion, nous pouvons dire que donner à tout un chacun le droit d’accuser un individu d’apostasie, de juger ensuite qu’il mérite le châtiment, de décider que ce châtiment ne peut être que la peine de mort et d’exécuter ce verdict sans merci constitue un grave danger pour la vie des gens, pour leurs biens et pour leur honneur. En effet, cela signifierait qu’un individu quelconque — qui n’a ni la science des juristes, ni la sagesse des juges, ni la responsabilité des exécutifs — pourrait accaparer entre ses mains les trois pouvoirs : il prononce un avis juridique — en d’autres termes, il accuse -, il juge et il exécute. Ainsi, il est à la fois le juriste, l’accusateur, le juge et la police !

Certains écrivains contemporains, ne possèdant pas la science législative, se sont opposés à la sanction de l’apostasie, arguant qu’une telle sanction n’a pas été mentionnée dans le Coran et qu’elle n’a été rapportée que par un hadith non-récurrent (hadîth âhâd), alors que les hadiths non-récurrents ne sont pas pris en considération au niveau des châtiments corporels. C’est pour cette raison que ces contemporains renient la sanction de l’apostasie.

Ces arguments sont réfutés à plusieurs égards

  1. La Sunnah authentique est la source des directives pratiques, et ce, d’après le consensus unanime des Musulmans. Dieu — Exalté soit-Il — dit en effet : « Dis : ‹Obéissez à Dieu et obéissez au Messager. › » (sourate 24 intitulée la Lumière, An-Nûr, verset 54) ; « Quiconque obéit au Messager obéit certainement à Dieu. » (sourate 4 intitulée les Femmes, An-Nisâ’, verset 80).

    Les hadiths ordonnant de tuer l’apostat ont été authentifiés, et ont été mis en pratique par les Compagnons, durant le règne des Califes orthodoxes [15].

    Dire que les hadiths non-récurrents ne peuvent être pris en considération au niveau des châtiments corporels est inexact. Toutes les Ecoles de jurisprudence ont pris en considération les hadiths non-récurrents pour déterminer la sanction du buveur d’alcool, alors que ce qui a été rapporté au sujet de la sanction de l’apostasie est bien plus authentique et bien plus fourni que ce qui a été rapporté au sujet de la sanction de la consommation d’alcool.

    Si ceux qui prétendent cela — à savoir que les hadiths non-récurrents ne doivent pas être pris en compte au niveau des affaires juridiques — disaient vrai, cela signifierait l’annulation de la Sunnah en tant que source du droit islamique, tout du moins l’annulation de 95% voire de 99% de ce qu’elle contient. Il n’y aurait alors plus lieu de dire que nous suivons le Coran et la Sunnah.

    Il est bien connu chez les savants que les hadiths non-récurrents constituent la majeure partie des hadiths ayant trait aux questions juridiques. Le hadith récurrent (hadîth mutawâtir), par opposition au hadith non-récurrent, est rarissime. Sa rareté est telle que certains Imâms du Hadith ont affirmé qu’il n’existe quasiment pas, comme cela a été mentionné par l’Imâm Ibn As-Salâh, dans sa célèbre Introduction aux sciences du Hadith.

    En réalité, nombre de ceux qui soulèvent cette question ne saisissent pas précisément ce qu’on entend par « hadith non-récurrent ». Ils croient qu’un hadith non-récurrent est un hadith qui n’a été narré que par une seule personne, ce qui est une erreur. On entend par « hadith non-récurrent » un hadith qui n’a pas atteint le degré de la récurrence. Il peut avoir été narré par deux, trois, quatre Compagnons, voire plus, puis il est rapporté par un nombre démultiplié de narrateurs parmi les Successeurs [16].

    Le hadith concernant l’exécution de l’apostat a été narré par un grand nombre de Compagnons, dont nous en avons mentionné quelques-uns. Il figure parmi les hadiths les plus répandus et les plus célèbres.

  2. L’une des sources du droit islamique en vigueur dans la Communauté est le consensus (Ijmâ`). Or, les juristes de la Communauté, toutes Ecoles confondues, qu’ils soient sunnites ou non, ainsi que les juristes indépendants non rattachés à une Ecole précise, sont consensuellement en accord pour dire que l’apostat mérite une sanction. Il y a quasiment unanimité pour dire que cette sanction est la peine de mort, exception faite de ce qui a été rapporté au sujet de `Umar, d’An-Nakha`î et d’Ath-Thawrî. Il demeure cependant que l’incrimination de l’apostasie est consensuellement reconnue.

  3. Certains savants des siècles passés ont dit que le verset de la guerre mentionné dans la sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah), concerne les apostats : « La récompense de ceux qui font la guerre à Dieu et à Son Messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées. » (sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, verset 33). Parmi ceux qui ont dit que ce verset concerne les apostats, on peut citer entre autres Abû Qilâbah [17].

    Nous avons précédemment rapporté les propos d’Ibn Taymiyah selon lesquels la guerre contre Dieu et Son Messager par la langue est bien plus terrible que la guerre par la main. Il en est de même quant à la propagation de la corruption sur Terre. Parmi les faits qui soutiennent cette hypothèse formulée sur le verset de la guerre, il s’avère que les hadiths, ayant légitimé dans trois situations la peine de mort contre un Musulman, existent sous la forme suivante, par exemple le hadith de `Â’ishah : « […] et un homme qui part combattre Dieu et Son Messager. Celui-ci doit être tué ou crucifié ou exilé. ». On trouve ainsi cette expression au lieu de « qui apostasié après sa Soumission (Islâm) » ou bien « l’apostat qui abandonne la Communauté ». Ceci indique que le verset précédent s’applique également aux apostats qui invitent à leur apostasie.

    Par ailleurs, Dieu — Exalté soit-il — dit dans le Coran : « Ô les Croyants ! Quiconque parmi vous apostasie de sa religion… Dieu va faire venir un peuple qu’Il aime et qui L’aime, modeste envers les Croyants et fier et puissant envers les mécréants, qui lutte dans le sentier de Dieu, ne craignant le blâme d’aucun blâmeur. » (sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, verset 54).

    Ce verset indique que Dieu a préparé pour les apostats des gens, parmi les Croyants, qui leur résisteront, des gens qui luttent pour la Cause de Dieu, et que le Très Haut a décrits dans le verset. On peut citer l’exemple de Abû Bakr et des Croyants qui, avec lui, sauvèrent l’Islam de la sédition apostate.

    De la même manière, un certain nombre de versets concernant les hypocrites montrent que ces derniers ont préservé leur vie en arborant une foi mensongère, et en prêtant de faux serments afin d’obtenir l’agrément des Croyants. Le Très Haut dit : « Prenant leurs serments comme boucliers » (sourate 58 intitulée Al-Mujâdilah, verset 16) ; « Ils vous font des serments pour se faire agréer de vous. » (sourate 9 intitulée le Repentir, At-Tawbah, verset 96) ; « Ils jurent par Dieu qu’ils n’ont pas dit (ce qu’ils ont proféré), alors qu’en vérité ils ont dit la parole de la mécréance et ils ont rejeté la foi après avoir été Musulmans. » (sourate 9 intitulée le Repentir, At-Tawbah , verset 74). Tous ces versets soutiennent que les hypocrites déniaient leur apostasie, et appuyaient leurs dires par des serments, jurant qu’ils n’avaient nullement prononcé la parole de mécréance. Cela prouve que si leur apostasie était dûment avérée, leurs boucliers leur deviendraient bien futiles, et leurs serments pervers ne leur seraient d’aucun secours.

L’apostasie la plus dangereuse est celle du chef de l’Etat, celle du dirigeant, qui est censé être le gardien de la foi de la Communauté, qui est censé lutter contre l’apostasie, pourchasser les apostats et les éliminer de la société musulmane. Si alors c’est lui qui se met à diriger l’apostasie, secrètement et ouvertement, en répandant la corruption de manière déclarée et dissimulée, en protégeant les apostats, en leur ouvrant bien grandes les portes et les issues et en les distinguant par des médailles et des titres, la chose deviendrait alors tel que l’a décrite le poète arabe :

Wa râ`ish-shâti yahmidh-dhi’ba `anhâ

Fakayfa idhar-ru`âtu lahâ dhi’âbu

Traduction :

Le berger de la brebis la défend contre le loup.

Qu’en serait-il si les bergers devenaient eux-mêmes les loups ?

Ce type de dirigeants existe, et nous le voyons prendre en amitié les ennemis de Dieu, prendre en inimitié les amis de Dieu, méprisant la foi, dédaignant la Sharî`ah, n’observant ni les commandements ni les interdictions divins et prophétiques, rabaissant tous les éléments sacrés et tous les symboles de la Communauté : les pieux Compagnons, la pure famille prophétique, les meilleurs Califes, les éminents savants, les héros de l’Islam. Ces dirigeants considèrent que s’attacher aux obligations islamiques est un crime et un symbole d’extrémisme. Ainsi, avec eux, les hommes sont interdits de prière à la mosquée et les femmes sont interdites de voile (Hijâb). Mais ils ne se limitent pas uniquement à cela : ils s’activent à appliquer le principe du « tarissement des sources », principe dont ils se sont fait les tenants au niveau de l’enseignement, des médias et de la culture. Ils agissent ainsi afin de couper court à tout développement d’une mentalité et d’un état d’esprit islamiques. Pis encore, ils vont jusqu’à pourchasser les véritables activistes musulmans (Du`âh), bloquant ainsi la voie à tout appel ou tout mouvement sincère, cherchant à rénover la religion et à reconstruire les bases de la vie matérielle.

Le plus étrange est que ces individus — malgré leur apostasie déclarée — veillent à ce qu’ils demeurent considérés comme les tenants de l’Islam, et ce, afin d’en profiter pour, précisément, détruire cet Islam. Ils veulent que la Communauté interagisse avec eux en tant que Musulmans, alors qu’eux cherchent à ébranler de l’intérieur les fondements de cette Communauté. Certaines de ces parties s’efforcent d’afficher une religiosité apparente, en encourageant une bigoterie factice et en rapprochant d’elles ceux qui lui brûlent de l’encens, ceux-là mêmes que certains appellent désormais « les savants du système, les suppôts de la police » (« `ulamâ’ as-sultah `umalâ’ ash-shurtah »).

C’est alors que la situation devient délicate. Qui donc va punir ces dirigeants ? Mais avant même de parler de punition, qui donc lancera contre eux une accusation d’apostasie, alors qu’il s’agit d’une apostasie déclarée (kufr bawâh), comme la caractérise le hadith prophétique [18] ? Qui donc les jugera pour leur apostasie, alors que les appareils législatif et judiciaire de l’Etat sont entre leurs mains ?

Il ne reste alors plus que « l’opinion publique » musulmane, et la conscience collective islamique entraînée par des savants, des activistes et des intellectuels indépendants. Cette conscience — si on lui claque au nez toutes les issues possibles — pourra dès lors se transformer, à tout moment, en volcan explosant à la face de ces tyrans apostats. Il ferait beau voir que la société musulmane renonce à sa personnalité islamique, ou à abandonner sa foi et son message, lesquels constituent sa raison d’être et le secret de son existence.

La colonisation occidentale française a pu faire l’expérience à ses frais en Algérie, de même que la colonisation orientale russe dans les républiques islamiques d’Asie. Malgré l’âpreté et la longueur de l’expérience ici et là, elle ne put déraciner l’identité ni la personnalité islamique de ces territoires. La colonisation et la tyrannie sont partis, l’Islam et les peuples musulmans sont restés.

Néanmoins, la guerre lancée contre l’Islam et ses partisans par certains « nationalistes » laïques occidentalisés, dans certaines régions du monde musulman — après l’indépendance de celles-ci — fut d’une inimitié encore plus virulente et d’un acharnement encore plus terrible que la guerre imposée par les colonisateurs.

Nous ne devons pas oublier, à cet égard, de lancer un avertissement contre une forme d’apostasie qui ne fanfaronne pas sa jactance à tout bout de champ, comme le font les apostats déclarés. Ce type d’apostasie est bien plus malin que cela : il ne s’affiche pas expressément, mais se dissimule sous différents masques. Il pénètre ainsi furtivement dans les cerveaux tel le microbe dans le corps humain. On ne le voit pas lorsqu’il attaque l’organisme, mais on ne le reconnaît qu’après l’apparition de la maladie et de ses symptômes. Il ne tue pas par une balle sifflante : il tue par un poison lent entremis dans le miel et les sucreries. Ce type d’apostasie est découvert par les savants versés dans la science, clairvoyants dans la religion. Néanmoins, ils ne peuvent pas grand chose face à ces criminels de profession, qui ne se laissent pas prendre, ni ne laissent à la justice l’opportunité de se saisir d’eux. Ceux-là sont les « hypocrites » destinés au fin fond de l’Enfer.

Il s’agit de « l’apostasie intellectuelle », qui nous montre quotidiennement ses méfaits, à travers des journaux publiés, des livres édités, des revues commercialisées, des débats diffusés, des émissions regardées, des coutumes mises à la une et des lois adoptées.

Cette apostasie enveloppée est, à mon sens, plus dangereuse que l’apostasie déclarée, car elle œuvre continuellement, et sur une grande échelle. Par ailleurs, elle n’est pas combattue comme l’apostasie expresse, qui crée tout un tumulte, qui attire les regards et qui excite les foules.

L’hypocrisie est bien plus dangereuse que la mécréance explicite. Ainsi, l’hypocrisie de `Abd Allâh Ibn Ubayy et de ses acolytes parmi les hypocrites de Médine était plus dangereuse pour l’Islam que la mécréance de Abû Jahl et de ses acolytes parmi les idolâtres de la Mecque. C’est pour cette raison que le Coran dénigre au début de la sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, « ceux qui ont mécru » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 6) — c’est-à-dire ceux qui ont expressément fait acte de leur mécréance — deux fois seulement, alors qu’il mentionne les hypocrites dans treize versets.

C’est cette apostasie qui se réveille avec nous le matin et qui se couche avec nous la nuit, qui se montre à nous, un coup par-ci, un coup par-là, ne trouvant personne pour lui opposer résistance. Comme l’a dit le Sheikh de l’Islam An-Nadwî : « Une apostasie, mais point de Abû Bakr pour lui faire face ! »

Le devoir impérieux à ce niveau est de combattre ce type d’apostats par leurs propres armes : la pensée par la pensée, jusqu’à leur faire jouer toutes leurs cartes, leur faire tomber leurs masques et répondre à toutes les équivoques qu’ils soulèvent, par des arguments irréfutables.

Il est vrai qu’ils sont dotés des plus grandes tribunes dans la presse et dans les médias audio-visuels. Néanmoins, la puissance de la vérité est de notre côté, le crédit de la foi remplit les cœurs de nos peuples, le soutien de Dieu — Exalté soit-Il — est avec nous. Tout cela est digne de détruire leurs tromperies sur leurs têtes : « Bien au contraire, Nous lançons contre le faux la vérité qui le subjugue, et le voilà qui disparaît. » (sourate 21 intitulée les Prophètes, Al-Ambiyâ’, verset 18) ; « Ainsi l’écume s’en va, au rebut, tandis que [l’eau et les éléments] utiles aux hommes demeurent dans la terre. » (sourate 13 intitulée le Tonnerre, Ar-Ra`d, verset 17). Et Dieu est le plus Véridique.

NUL BESOIN D'ECRIRE DE SON POING POUR ACCUSER L'ISLAM D'ETRE UN DANGER POUR L'HUMANITE: ILS SE CHARGENT EUX MEMES DE NOUS LE MONTRER!

SOURCE: www.islamophile.org/spip/article458.html

15/06/2007

La "Palestina" é morta: Allah l'ha uccisa!

383ace18a1a47c5dddf36d4aefc9b937.jpgÈ ora che qualcuno a Gaza, divisa in due fra un nucleo urbano ancora martoriato dagli scontri tra Hamas e Fatah e il resto della striscia dove Hamas ha vinto ed è passata ai rastrellamenti e alle esecuzioni degli oppositori, gridi forte che il re è nudo. A gridare non sarà Massimo D'Alema, che ancora qualche settimana fa prevedeva la nascita di uno Stato palestinese entro il 2007. Né Romano Prodi, per cui le tensioni nei Territori sono sempre colpa di Israele, che questa volta non ha mosso un dito.
Ma bisogna gridarlo lo stesso: il progetto di Stato nazionale palestinese è morto ora, nel giugno 2007. Ha ragione - sul punto - Bat Ye'or, la studiosa inglese autrice di Eurabia, da poco tradotto in italiano: i palestinesi a rigore non esistono, e l'uso del termine - certo, ispirato agli antichi Filistei della Bibbia - è diventato corrente solo nel XX secolo. Prima esistevano arabi che vivevano nell'area che comprende gli attuali Israele, Giordania ed Egitto a Est del Canale di Suez, così come esistevano nella stessa regione ebrei e cristiani. La sistemazione del 1948 - allora accettata da Onu, Stati Uniti, Unione Sovietica ed Europa - lasciava agli ebrei lo Stato d'Israele e ripartiva gli arabi fra Egitto e Giordania. Sono state le aggressioni arabe a Israele a far nascere «i Territori»: porzioni di Egitto (Gaza) e Giordania (la Cisgiordania) che Israele ha occupato nel corso delle varie guerre, e che sarebbe ben lieta di restituire agli egiziani e ai giordani, che però non le vogliono. Infatti, con una politica miope, per decenni i governi arabi hanno giocato con il fuoco, inventando i palestinesi come eterni profughi, apolidi dovunque. Il loro destino non detto è impadronirsi di Israele buttando a mare gli ebrei, ma per ora si comincia a chiedere uno Stato nazionale che peraltro nascerebbe come composto da due regioni non comunicanti, la Cisgiordania e Gaza. Dal momento che i «palestinesi» - il cui nazionalismo inventato ma furibondo è stato alimentato dall'Unione Sovietica in funzione anti-americana e dal mondo arabo in funzione anti-israeliana - hanno ripetutamente morso la mano che li nutriva in Giordania e altrove, giordani ed egiziani hanno solennemente dichiarato di rinunciare alla sovranità rispettivamente sulla Cisgiordania e su Gaza.
Anche le nazionalità inventate, dopo qualche anno, esistono. E ai «palestinesi» è stata ripetutamente data l'occasione di esistere: l'Occidente gli ha offerto il loro Stato, purché accettassero le risoluzioni Onu e l'esistenza di Israele. Arafat ha perso ripetutamente l'occasione, temendo che il riconoscimento di Israele ne mettesse in pericolo il potere e le enormi ricchezze che aveva accumulato. Morto Arafat, l'occasione è stata offerta ad Hamas, con cui Sharon era perfino disposto a trattare. Ma anche Hamas ha fallito, preferendo la tutela dell'Iran al dialogo con l'Occidente. Non rimane nessuno, e l'idea dello Stato palestinese è morta perché forse né Fatah né Hamas ci hanno mai creduto. A parole chiedevano uno Stato nei Territori, ma in realtà volevano la distruzione di Israele, un sogno maligno per cui non ci sono né ci saranno mai le condizioni morali, politiche e militari.
Non è bello, non è gentile, non è politicamente corretto dirlo. Ma il dramma di questi giorni prova che i «palestinesi» - "laici" (esistono? dove? NDR) o religiosi - non sono in grado non solo di gestire, ma neppure di pensare un loro Stato. Forse la soluzione della crisi sta in un'eresia: Giordania ed Egitto, che hanno eserciti e polizie piuttosto efficienti, si riprendano la Cisgiordania e Gaza.
Massimo Introvigne

www.giornale.it

14/06/2007

On accepte tout...on ferme les yeux!

a7dc3bceee662179dfa850432b006de2.jpgPour le politiquement correct, une discrimination est synonyme d’injustice, un terme péjoratif. La non-discrimination est un dogme moral, le nouveau gadget linguistique des droitsdelhommistes. La moindre trace de discrimination est à dénoncer, elle est forcément négative. La « stigmatisation », mot aussi sujet d’obsession pathologique, en dire ou en acte d’un groupe de personnes partageant les mêmes convictions, la même philosophie, la même nationalité ou que sais-je, est une abomination.

D'un point de vue étymologique, discriminer c’est distinguer, c’est user de discernement, c’est juger à la lumière de la raison, de la morale, de l’ordre public, bref de toutes les catégories d’analyses, d’une attitude humaine. C’est un exercice aussi banalement utilisé dans la vie de tous les jours qu’il en devient suspect quand il traite des humains, avec leurs travers, leurs options politiques ou religieuses, leurs options de vie, bonnes ou mauvaises.

Tétanisés par la perspective d’apparaître dans un rôle de méchant, l’obsession de la non discrimination a poussé la Halde, nouveau jouet des « antiracistes », à dénoncer les établissements scolaires qui refuseraient que les enfants partent en sortie avec des femmes voilées ( dont le port est soit disant leur choix). Ainsi, un enfant régulièrement accompagné par des femmes voilées, pourquoi pas en burka, dans ses sorties scolaires, sera amené à penser que le port du voile est la normalité, une pratique respectable appartenant à une « religion » respectable. Un vêtement sans signification particulière, comme s’il n’était pas un instrument politique, un étendart idéologique, un système de balisage territorial, une oppression de la femme.

La principale fédération de parents (à gauche) la FCPE se satisfait de la délibération de la Halde venant de donner raison à une association de mères de familles musulmanes qui protestait contre le refus de la direction de l’école à ce qu’elles viennent accompagner les enfants.

Xavier Darcos, nouveau Ministre de l’Education nationale, ne donne pas dans la « rupture » et la « droite décomplexée », c’est le moins qu’on puisse dire :

« le choix des parents, auxquels il est proposé d’accompagner les sorties scolaires, doit se faire sans discrimination » A-t-il affirmé suite à la délibération de la Halde, monstruosité Orwellienne.

Darcos est content, il tient son brevet de tolérance, il fallait bien ça pour se défaire de l’étiquette de son maître Sarkozy, « rabatteur de l’extrême droite »…

Ici à l’Observatoire, on avait prévenu depuis longtemps des nombreuses déconvenues à prévoir avec l’UMP face à l’islamisation. Déjà les écoles islamistes de l’UOIF à Lille, Décines et Vitry sont tolérées par l’UMP…Hormis la lutte contre la forme terroriste de l’islamisme, il n’y a rien à attendre du gouvernement face à la forme idéologique et sociale de l’islamisme.

Joachim Véliocas, 13 juin 2007

http://islamisation.hautetfort.com/

COMMENTAIRE: EN DEFINITIVE IL NE S'AGIT PAS DE STIGMATISER CES FEMMES MUSULMANES EN TANT QUE FEMMES. LA QUASI-TOTALITE' D'ENTRE-ELLES SE BACHE LA TETE NON PAS PAR CONVICTION, MAIS PAR OBLIGATION (PERE, MARI,...) OU PAR TRADITION BORGNE,CE QUI REVIENT EGALEMENT A UNE IMPOSITION.

LE VRAI PROBLEME EST L'IDEOLOGIE ISLAMIQUE QUI LES CONTRAINT DE S'HUMILIER EN SE CACHANT COMME UNE "MARCHANDISE" IMPURE. NE PAS ACCEPTER LA BANALISATION DU SYMBOLE QUE LE VOILE REPRESENTE, C'EST TENDRE LA MAIN A CES FEMMES POUR LEUR DIRE: "REFUSEZ L'OPPRESSION, REVENDIQUEZ VOTRE FIERTE ET VOTRE ORGUEUIL D'ETRE FEMMES!".

"VOUS VIVEZ, AU MOINS EN THEORIE, DANS UNE SOCIETE LIBRE ET EGALITAIRE"

LE REFUS DE LES VOIR VOILEES EN COLLECTIVITE' EST DONC LE MEILLEUR MOYEN DE LEUR FOURNIR UNE CHANCE "OPPOSABLE" DE S'AFFRANCHIR DE CETTE DOMINATION MASCULINE EN CLE ISLAMIQUE

A CONTRARIO, ACCEPTER QU'ELLES CONTINUENT DE SUBIR CETTE VIOLENCE IDEOLOGIQUE ET SOUVENT PHYSIQUE EQUIVAUT A LEUR DIRE: "NOUS NE POUVONS RIEN POUR VOUS, NOUS NOUS EN LAVONS LES MAINS, RESTEZ DANS VOTRE CONDITION D'HUMILIATION ET DE SEGREGATION"

LES MALHEURS DES AUTRES NE CONCERNENT PAS LES IDEOLOGUES DU MULTI-CULTURALISME, FORME SUPREME ET REELLE DE RACISME!

Sur ce sujet un livre splendide:

http://www.amazon.fr/Bas-voiles-Chahdortt-Djavann/dp/2070...

Medio Oriente: la "purificazione religiosa" in chiave islamica

Salviamo i cristiani del Medio Oriente. Stiamo assistendo in modo pavidamente e irresponsabilmente inaccettabile alla persecuzione e all'esodo massiccio di centinaia di migliaia di cristiani che sono i veri autoctoni della regione. Alla vigilia della conquista araba e islamica nel settimo secolo, i cristiani costituivano il 95% della popolazione della sponda meridionale e orientale del Mediterraneo. Oggi, con 12 milioni di fedeli, sono precipitati a meno del 6% e si prevede che nel 2020 si dimezzeranno ancora.

Dalla prima guerra mondiale circa 10 milioni di cristiani sono stati costretti a emigrare. Una fuga simile alla cacciata degli ebrei sefarditi che, da un milione prima della nascita dello Stato di Israele, si sono assottigliati a 5 mila. Si tratta della prova più eloquente della tragedia umana e dell'imbarbarimento civile in cui è precipitato il mondo arabo-musulmano, in preda al fanatismo ideologico degli estremisti islamici e all'intolleranza religiosa delle dittature al potere.

Il caso più grave è quello che colpisce i cristiani in Iraq. Da circa un milione e mezzo prima dell'inizio della guerra scatenata da Bush il 20 marzo 2003, si sono ridotti a circa 25 mila. Un «accorato appello» per la «preoccupante situazione in Iraq» e per le «critiche condizioni in cui si trovano le comunità cristiane», era stato lanciato dal papa Benedetto XVI nel corso del suo incontro con Bush sabato scorso. Proprio ieri, in una dichiarazione raccolta da Avvenire, il vescovo ausiliare di Bagdad, monsignor Shlemon Warduni, ha alzato il tiro denunciando che anche «i cristiani non stanno facendo nulla mentre qui si muore, si viene rapiti, costretti a convertirsi all'islam o a pagare per ottenere protezione, a cedere le proprie figlie a dei delinquenti per evitare ritorsioni o a fuggire lasciando tutto il lavoro di una vita. Dagli Usa e dall'Europa solo silenzio». Dal canto suo il nunzio apostolico in Iraq e Giordania fino al 2006, monsignor Fernando Filoni da poco nominato sostituto Segretario di Stato del Vaticano, in un'intervista a
Tracce si era detto pessimista: «Fin quando durano la guerriglia e gli attentati c'è poco da fare. Solo la pace potrà riportare la speranza».
Lo scorso maggio sul sito http://iraqichristians.ne/petitionir.php era stato lanciato un vibrante appello alla comunità internazionale per porre fine alla «più feroce campagna di assassinii, sequestri, esproprio di beni e case, cacciata e dispersione, liquidazione dei diritti religiosi e civili da parte di gruppi estremisti religiosi per il semplice fatto che non siamo musulmani».

Insieme all'Iraq l'altra grande tragedia dei cristiani orientali è nei territori palestinesi. All'inizio dello scorso secolo i cristiani rappresentavano un quarto della popolazione araba; nel 1948 erano il 20%; con l'avvento al potere dell'Autorità nazionale palestinese di Yasser Arafat nel 1994 si registra la fuga di tre quarti dei cristiani, vittime di persecuzioni e del drastico calo del tenore di vita. Ed è così che i cristiani, perfino nelle città sante cristiane, sono diventati minoranza. A Betlemme erano l'85% della popolazione nel 1948, oggi sono solo il 12%. A Gerusalemme dal 53% della popolazione nel 1922, sono precipitati al 2%.

Quanto al Sudan si tratta di un vero e proprio genocidio, con una sanguinosa guerra civile — scatenata dai regimi islamici di Khartum — che ha provocato l'eccidio di circa un milione e mezzo di cristiani e animisti, colpevoli di non sottomettersi alla sharia, la legge coranica. Così come fu genocidio il massacro di 1,5 milioni di cristiani armeni in Turchia, dove oggi non rimangono che circa 100 mila cristiani. Il Libano, che dal 1840 ha registrato quattro guerre intestine a sfondo confessionale, ha visto il numero dei cristiani crollare dal 55% della popolazione dall'indipendenza nel 1932, a circa il 27% odierni. Con il risultato che rispetto al milione e mezzo di cristiani residenti in Libano, ci sono circa 6 milioni di cristiani profughi dispersi nel mondo. La situazione è molto pesante anche in Egitto, dove i copti — che rappresentavano il 15-20 % della popolazione all'inizio dello scorso secolo, oggi sono soltanto circa il 6%. La repressione e le violenze contro i copti sono esplose nel decennio di Sadat quando, alleandosi con i Fratelli Musulmani, lasciò loro mano libera nel promuovere un nefasto processo di islamizzazione forzata della società. In Siria le comunità cristiane che rappresentavano circa un quarto della popolazione all'inizio dello scorso secolo, oggi sono calate a circa il 7%.

Più in generale, in quasi tutti i paesi musulmani, dall' Algeria al Pakistan, dall'Indonesia alla Nigeria, dall'Arabia Saudita alla Somalia, i cristiani sono vittime di vessazioni e discriminazioni. E si tratta di una catastrofe per tutti: certamente per le vittime cristiane, ma anche per i musulmani che si ritrovano a essere sottomessi all'arbitrio di spietati carnefici e di tiranni che si fanno beffe della libertà religiosa. Ebbene non possiamo più continuare ad assistere inermi a queste barbarie. Ecco perché propongo di indire una manifestazione nazionale a difesa dei cristiani perseguitati in Medio Oriente e altrove nel mondo, da svolgersi a Roma e che potrebbe coincidere con il 30 giugno, la festa liturgica dei protomartiri romani. Una grande manifestazione per la vita, la dignità e la libertà dei cristiani e per il riscatto dell'insieme della nostra civiltà umana.

Magdi Allam
13 giugno 2007
COMMENTO: NON SONO SOLO I CRISTIANI AD ESSERE "PURIFICATI", MA IN GENERALE TUTTO CIO' CHE SI SCOSTA DAL DOGMA TOTALITARIO ISLAMICO (APOSTATI, ATEI, EBREI, OMOSESSUALI....)

08/06/2007

Al Qaradawi: soit l'islam pour les "nuls"

DANS LE BUT DE CLARIFIER A TOUS LES SCEPTIQUES, IGNARES, ET AUTRES IDIOTS UTILES, A QUEL POINT LES IDEOLOGUES DE L'ISLAMISME  ACTUELLEMENT EN VOGUE N'ONT RIEN A ENVIER AUX PIRES ORDURES DU NAZISME HITLERIEN, VOICI TRANSCRITE LA BIOGRAPHIE ESSENTIELLE DU CHEIKH YOUSSEF AL QARADAWI, "PARRAIN " DES "FRERES MUSULMANS" ET DE TOUTES LES ORGANISATIONS CORRELEES (HAMAS, UOIF- qui fait partie du Conseil français du culte musulman-, etc)

IL EST L'AUTEUR, ENTRE AUTRES, DU BEST SELLER ISLAMIQUE " LE LICITE ET L'ILLICITE EN ISLAM" UNE SORTE DE "DOCTRINE ISLAMIQUE POUR LES NULS"  OU SI VOUS PREFEREZ "MEIN KAMPF POUR LES NULS", DANS LEQUEL ON  JUSTIFIE LE MEURTRE POUR APOSTASIE, POUR HOMOSEXUALITE',OU POUR FORNICATION, L'EXCISION, LA VIOLENCE FAITE AUX FEMMES, LA SUPREMATIE DE LA SHARIA SUR LES LOIS REPUBLICAINES, LES ATTENTATS SUICIDES ET LA JUDEOPHOBIE, ETC, ETC...

LE PIRE N'EST PAS QUE CELA PUISSE EXISTER, MAIS BIEN LE FAIT QUE CES SCRIPTS SONT EN VENTE LIBRE EN EUROPE AVEC LA COMPLICITE' DE NOS "EURODHIMMIS".

ON PEUT MALGRE TOUT Y VOIR LE BON COTE DES CHOSES: CECI PERMET DE REALISER DE MANIERE TANGIBLE LE NIVEAU D'ABROUTISSEMENT DE CES INDIVIDUS ET D'EN FAIRE PART AUTOUR DE SOI POUR BRISER LA CHAPE DE PLOMB DE NOS MEDIAS

NOUS REVIENDRONS DANS UNE NOTE ULTERIEURE (FIN JUIN OU DEBUT JUILLET) SUR UN TEXTE ORIGINAL QU'IL A ECRIT A PROPOS DE L'APOSTASIE.

BONNE LECTURE  ET ...CONTINUEZ DE CROIRE AU PERE NOEL!!!

Youssef al-Qardaoui ou Yûsuf Al-Qaradâwî [en arabe يوسف القرضاوي] (né en 1926) est un religieux musulman sunnite qatariote d'origine égyptienne.


Biographie

Orphelin de père dès l’âge de deux ans, il grandit dans une famille de paysans attachés à l’islam. Ce fut son oncle paternel qui l’éleva. Il l’envoya à la médersa du village où il acheva la mémorisation du Coran à l’âge de 10 ans.
Yûsuf Al-Qaradâwî poursuivit ses études à l’institut azharite de la ville de Tantâ. Ce fut son premier pas au sein de cette institution de l'Université al-Azhar. À cette époque il rejoignit les Frères musulmans ce qui lui valut d’être emprisonné en 1949, puis entre 1954 et 1956 et en 1962. Neuf années plus tard, il obtint le diplôme sanctionnant le cycle d’enseignement secondaire. Il se rendit alors au Caire où il intégra le cycle universitaire d’Al-Azhar, dans la Faculté des Fondements de la Religion. En 1953, il termina major de sa promotion. Un an plus tard, il passa son examen d'enseignant. En 1957, il obtint une agrégation de lettres arabes, arrivant en tête d’une promotion de 500 étudiants. En 1960, il commença la préparation de sa thèse, sur le thème de la zakâh et son rôle dans la résolution des problèmes sociaux.


Ouvrages

Cheikh Yûsuf Al-Qaradâwî est l’auteur de plus de quatre-vingts ouvrages. Ses écrits ont connu un certain succès en Orient comme en Occident, certains de ses livres ont été édités une dizaine de fois et de nombreux autres traduits dans plusieurs langues étrangères dont Le licite et l'illicite en Islam qui est le livre religieux musulman le plus vendu en Europe après le coran. Certains ont été interdits dans le monde arabe car ils étaient hostiles à certains dirigeants. Il dirige le Conseil européen de la fatwa et apparaît comme consultant religieux sur Al-Jezira. Proche de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), il préside également l'association internationale des savants musulmans. Il est le guide spirituel de plusieurs autres organisations islamistes à travers le monde.


Prises de position (liste non exhaustive)


1-La démocratie

Ses positions sur la démocratie sont fort contradictoires. D'une part, il considère que la démocratie est compatible avec l'islam et la considère comme souhaitable pour les pays musulmans[2] mais soutient que les lois de la charia ne doivent pas être amendées pour se conformer aux valeurs humaines


D'autre part, il dit "the Shari`ah cannot be amended to conform to changing human values and standards, rather, it is the absolute norm to which all human values and conduct must conform ..." [2]. Apparemment,
le fait qu'un vote populaire puisse fournir un majorité pour une option qui n'est pas le choix établi dans le Coran, ou dans les explications du Coran, lui est inacceptable.

En plus, il condamne aussi la séparation de l'état de la religion, principe essentiel dans toute démocratie: "Since Islam is a comprehensive system of `Ibadah (worship) and Shari`ah (legislation), the acceptance of secularism means abandonment of Shari`ah, a denial of the Divine guidance and a rejection of Allah’s injunctions. (...) the call for secularism among Muslims is atheism and a rejection of Islam. Its acceptance as a basis for rule in place of Shari`ah is a downright apostasy."


2-Prépondérance de la loi religieuse
Il considère que le code de conduite musulman, la charia, doit rester invariante et non suivre les variations des standards et valeurs de la société.
Elle doit au contraire rester la norme à laquelle les valeurs et conduites humaines se conforment


3-Traitement de conflit dans le cercle familial
Youssef Al-Qardaoui, dans un passage sur le droit du divorce explique dans son livre comment l'homme doit réagir lorsque son épouse se rebelle contre son autorité au sein du cercle familial :
« après avoir tenté de rectifier de son mieux l'attitude de son épouse à l'aide de mots choisis, en usant de persuasion subtile et en raisonnant. En cas d'échec, il devra faire couche séparée, tachant ainsi d'éveiller son agréable nature féminine de façon à ce que la sérénité soit restaurée [...]. Si cette approche échoue, il lui est permis de la battre légèrement (SIC!), avec ses mains, en prenant soin d'éviter le visage ou d'autres parties sensibles. En aucun cas il ne pourra user d'une canne (stick) ou d'aucun autre instrument pouvant causer de la douleur ou la blesser. En fait, cette "correction" (souligné dans le texte original) doit se conformer à celle dont a usé le prophète de l'islam Mahomet lorsqu'un jour, en colère contre un serviteur, il lui dit, : "si ce n'était de crainte du Jour de la Résurection (jugement dernier), je t'aurai battu avec ce miswak (écorce tendre d'arbuste servant à se nettoyer les dents) (rapporté par Ibn Sa'd dans son Tabaqat) »

4-Excision
Sur l'excision il dit : "Il est important de rappeler que le prophete a dit "ne depassez pas la limite", c’est-à-dire, n'enlevez pas la totalité du clitoris .

Il dit aussi "Celui qui pense que l'excision peut avoir des effets positifs sur ses filles, devrait la pratiquer, et personnellement, je soutiens cette pratique que je juge nécessaire dans le monde moderne. Mais si quiconqu
e choisit de ne pas la faire il ne commet aucun pêché.


5-Laïcité
Youssef Al-Qardaoui refuse la laïcité. Ses positions sur la laïcité de l'État sont conformes au droit musulman le plus classique. Celle-ci est en effet indissociable de l'aspect religieux et ne se conçoit pas sans lui, ce que Al-Qardaoui rappelle : « Dans la mesure où l'islam est un système où l'aspect spirituel (`Ibadah) et législatif (charia) sont liés, accepter le sécularisme revient à abandonner la loi, nier la guidance divine et rejeter les injonctions de Dieu. » C'est ainsi que
les musulmans militant de la laïcité sont qualifiés d'apostats « Ceux parmi les musulmans qui militent pour un état laïc sont athées, ils ont rejeté l'islam. Accepter des lois autres que celles de la charia n'est que pure apostasie »[6].


6-Apostasie
Selon Al-Qardaoui, « Tous les juristes musulmans s'accordent à dire que l'apostat doit être puni »  A partir du lien référencé on peut lire "Its acceptance as a basis for rule in place of Shari`ah is a downright apostasy." C’est-à-dire qu'accepter la sécularisation dans une société musulmane à la place de la Sharia est l'equivalent de l'apostasie.


7-Les attentats suicides
À une question lui demandant dans quelles circonstances le recours aux attentats suicides était justifié quand il n'y a pas d'autres alternatives en Israël ou en Irak par exemple, Al-Qardaoui répond en juillet 2004 que les « opération martyrs sont l'arme que Dieu a donné aux pauvres pour combattre les forts. C'est la compensation divine. La société israélienne est une société militaire. Leurs hommes sont des soldats, et leurs femmes le sont également, soit d'active, soit de réserve. En conséquence, on ne peut pas considérer les femmes comme des innocentes. Concernant les enfants, ce ne sont que des dommages collatéraux ».


8-Les caricatures de Mahomet
Al-Qardaoui n'admet aucune critique sur Mahomet, ni sur l'islamisme violent et intolérant qui a été si vivement caricaturisé. Lors de la Crise internationale des caricatures de Mahomet, il a appelé à manifester contre le Danemark ».


9-L'homosexualité
Dans son livre Le licite et l'illicite en Islam, il se pose cette question : "Est ce qu'on tue l'actif et le passif, par quels moyens les tuer, est ce avec un sabre ou le feu ou on les jetant du haut d'un mur, cette sévérité qui semblerait inhumaine n'est qu'un moyen de
débarrasser la société islamique de ces êtres nocifs qui conduisent à la perte de l'humanité".


10-Loi française contre le port de signes religieux ostensibles
Il s'est déclaré hostile à la loi française contre le port de signes religieux ostensibles. Au cours d'un meeting au Bourget, il préconise au citoyen français musulman de ne pas voter pour un candidat d'un parti qui aurait soutenu la loi française contre le port du voile islamique à l'école.

SOURCE www.wikipedia.org

Un libro assolutamente indispensabile

5109446259c7c7cf38bbedffeccdaba0.jpgAlexandre Del Valle, Synopsis,  "Il totalitarismo islamista. All’assalto delle democrazie "

Dopo il totalitarismo rosso, basato sulla lotta di Classe, il bruno, sulla lotta delle Razze, l’Occidente deve affrontare il totalitarismo verde (colore dell'islamismo), che si fonda sulla lotta tra le Civiltà e tra le Religioni. Solo in apparenza, questo terzo totalitarismo è più debole dei primi due: non trova certo espressione in uno Stato totalitario, come fu il caso del nazismo o dello stalinismo, non dispone di un arsenale nucleare e strategico paragonabile a quello degli Stati Uniti o  della Cina, benchè il Pakistan, come dice Bin Laden, detenga la « bomba nucleare dell’Islam », e benchè l'Iran di Ahmadinagiad stia per ottenerla. 
Il totalitarismo verde non é che al suo esordio.  Perchè non è solo terroristico ma prima di tutto ideologico. Per questa ragione sarà ancora più difficile da sconfiggere dei precedenti. 
L’islamismo è fondamentalmente intollerante e razzista, un razzismo a base religiosa, « leggittimato» da Dio, e per ciò molto più difficile da combattere. 
Come il Nazismo, il Totalitarismo Verde considera che il Resto dell’umanità non-musulmana faccia parte della categoria dei sotto-uomini, preparando cosi’ una nuova soluzione finale, in particolare per i Satanici Giudeo-Crociati, che devono pagare per le Crociate, la Colonizzazione, il Sionismo e l’Imperialismo, dunque responsabili di tutti i mali di cui soffrirebbero le nazioni arabo-islamiche umiliate. 
Come il Nazismo, l’islamismo è intrinsecamente antisemita, ma anche anticristiano e contro tutto cio’ che non è islamico, a comincire dai « falsi musulmani » occidentalizzati, prime vittime della spada della Jihad. 

Dall’11 settembre in poi, non si è mai parlato tanto dell’islamismo e della religione musulmana. Eppure non siamo mai stati cosí disinformati sulla natura vera dell’ideologia che  ispiro’ i Kamikaze d’Allah quando colpirono il cuore del mondo occidentale. Alcuni  commentatori rifiutarono per principio di mettere in relazione tra loro i termini Islam e terrorismo, preferendo parlare di « caos » o di « minaccia eversiva», denunciando cosi’ la « politicizzazione » dell’islam. Altri si affannarono a spiegare l’islamismo come un « integralismo » religioso ne peggiore ne migliore di quello ebraico o cristiano, precisando altresi’ che i musulmani « si sarebbero un giorno non lontano, evoluti e modernizzati come noi ». Praticando la politica dello struzzo, e rassegnandosi nel vedere il mondo islamico abbracciare la barbarie, tanti « autorevoli » analisti non sono stati capaci di definire chiaramente la nuova minaccia neo-totalitaria islamica.

www.alexandredelvalle.com