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31/01/2008

L'Europe se prépare à son (sombre) avenir musulman

EXTRAIT DE www.libertyvox.com

Uribe, président  colombien «pestiféré» car, sans le dire, on lui préfère les très «marxistes» FARC, Pervez Musharaf du Pakistan, vilipendé pour avoir laissé trucider Benazir Bhutto («Démocrate» condamnée pour escroquerie et exilée pendant des années), deux nouveaux visiteurs de l’Elysée sont en route vers Davos où, tous les deux ans, se réunit la fleure de la planète, sinon pour régler son sort, au moins pour se montrer. Peu probable que l’assistance choisie se penchera sur une dernière étude relative à l’interaction «Occident – Monde musulman».

Pourtant, conduite par le Forum Economique du Monde, en collaboration avec l'université de Georgetown dans 21 pays différents, elle permet d’appréhender la manière dont les sociétés musulmanes et occidentales perçoivent leurs rapports aux niveaux politiques, sociaux, économiques et culturels. On y apprend qu’à l’exception de deux pays (Bangladesh et Pakistan), une minorité inférieure à 30% croit que ces rapports vont en s’améliorant. D’ici à dire que 70% pensent le contraire …

L’étude trouve (on peut se perdre en conjectures pour la France, pour les raisons connues) que le pourcentage de la population d’origine musulmane en Europe passera de 4,3% en 2006 à 10/15% en 2025, avec une concentration supérieure dans les villes et surtout en France, Allemagne et Pays-Bas où elle atteindra les 30%. Les démographes distingués (dont une grande partie accepte l’interdiction française de déterminer, via les recensements de la population, leur origine ethnique) n’hésiteront pas à mettre en doute cette conclusion de l’étude. Comme ils ne se décident pas, pour la France, à souligner qu’au moment où notre pays se targue d’avoir la meilleure natalité d’Europe, 20% des naissances viennent de la population immigrée évaluée à 10% de la population totale (soit 6 millions). Mais si, comme les bonnes âmes  le prétendent, les immigrés ne dépassent pas 4 millions, c’est une autre chose … Dans ce cas, 6% de la population apporterait 20% des naissances, soit trois fois plus que le reste de la population ! Quant à déterminer les ressources propres de cette population (hors RMI, chômage, CMU et autres avantages de l’Etat providence qui distribue des richesses non encore créées), il est naturellement impossible de le faire, mais on peut se hasarder à faire des hypothèses.

En gros, l’étude donne un crédibilité accrue à la profession de M. Boumedienne (1974, AGO de l’ONU) «c’est avec le ventre de nos femmes que nous gagnerons la lutte contre le Nord colonialiste» et à celle du Guide Suprême, M. Khadafi, reçu en grande pompe à Paris «il y a déjà 50 millions de musulmans en Europe, avec la Turquie ils seront 150 et d’ici à la fin du siècle l’Europe sera musulmane». Aucun doute quant au fait que le pourcentage fantaisiste indiqué aujourd'hui (4,3%) est  bien en deçà de la réalité, car ce qui circule parmi les démographes est plutôt le double, voire à minima le triple, ni sur ce que sera la fourchette dans 15/20 ans, mais l'étude faite pour Davos par une université renommée ne peut être que citée en  totalité au risque, à défaut, de «sortir du contexte».

Sur ce, le ban et l’arrière-ban du monde (en commençant par le musulman) crie à la crise humanitaire qui serait imposée par Israël aux pauvres palestiniens de Gaza : au bout de plus de 300 fusées tirées depuis le premier janvier, Israël qui avait déclaré Gaza entité hostile, a osé réduire les fournitures d’énergie. Enfin, pas toutes … car sauf pendant les arrêts de distribution d’électricité décidées par le Hamas, Israël fournit toujours 75% des besoins du territoire et l’Egypte 15%. Ce n’est que sur les 20% que la pénurie aurait pu apparaître mais … voir Gaza toutes lumières éteintes et des enfants avec des bougies … cela a fait le tour de la planète et le Conseil de Sécurité s’est réuni tout de suite. Et la France a demandé, officiellement, à Israël de revenir sur sa décision.

Mme Ferrero-Waldner, au nom de l’Europe, a condamné la décision d’Israël en la qualifiant de «punition collective». C’est la même qui a assuré les palestiniens que «L’Europe ne laissera pas tomber la population de Gaza…» en réussissant l’exploit de payer des fonctionnaires de police dans un territoire «gouverné» par le Hamas. Pourtant le Hamas est une organisation terroriste pour l’Europe et pour la France.

L'Allemagne a éliminé le groupe de Bader Meinhoff, l’Italie les Brigades Rouges, la France Action Directe, les Turcs le PKK Kurde, le Pérou le Sentier Lumineux, le Japon leur Armée Rouge : ils l'ont fait sans leur offrir "un horizon politique". Pourtant, pour les terroristes du Hamas (et en partie pour ceux du Fatah) la communauté internationale impose à Israël de leur donner un horizon politique. En utilisant surtout la formule «paix contre des territoires», tout en sachant pertinemment que le conflit n’est pas de nature territoriale. En plus d’un «l’horizon politique», bien qu’ayant quitté Gaza depuis bientôt trois ans, Israël devrait assurer à une population qui se veut misérable et à laquelle ses dirigeants imposent la misère, des ressources non vitales (pétrole pour les voitures qui transportent les «militants» vers des pas de tir de fusées contre Israël.

Au moment de l’évacuation par Israël de Gaza, sous le contrôle de l’ancien président de la Banque Mondiale on a laissé en place des serres d’une valeur de 15 millions de dollars entièrement opérationnelles. Elles auraient pu continuer à produire des légumes, des fruits ou des fleurs pour l’export. Mais la population locale a préféré laisser les «militants» les détruire pour pouvoir continuer à être des «victimes» aidées par l’UNRWA et le reste de la communauté mondiale. Ces populations ont ensuite élu démocratiquement la direction du Hamas, toujours pour être des victimes, non des citoyens, et utiliser l’argent reçu du monde entier pour acheter des munitions, des armes et des explosifs. Et si Israël ferme des robinets … une crise humanitaire est décrétée de suite et l’Europe, l’ONU et les pays arabes se chargent de condamner Israël pour le traitement des «pauvres palestiniens». En attendant, le Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU, à la demande de la Syrie et du Pakistan (on croit rêver) se réunira d’urgence cette semaine «pour examiner si Israël ne commet pas des abus dans les territoires palestiniens». Les paris sont ouverts, à 100 contre 1 qu’ils trouveront des abus … Les pays d’Europe s’abstenant courageusement de voter ou de tenter d’expliquer que tirer des fusées à jet continu de son territoire sur celui d’un autre pays n’est pas un acte particulièrement inoffensif.

Dernier évènement en date, la destruction de la frontière Gaza-Egypte, au point de passage de Rafah, qui aurait dû être gardée par les Européens s’ils ne s’étaient sauvés il y a plus d’un an à la faveur de la première échauffourée créée par le Hamas, préférant attendre et voir venir sur les plages israéliennes d’Ashkelon où ils doivent se trouver encore. Rafah qui, de l’autre côté, devait être gardé par l’Egypte qui a assisté impassible à la destruction de sa frontière et a laissé passer des dizaines de milliers de palestiniens «affamés» dans les deux sens. Quant aux tunnels qui passent sous la frontière, avec la complicité du Caire, ils auraient pu servir à passer des vivres et non des armes et il n'y aurait eu aucune «crise humanitaire».  Mais, dit M. Moubarak, «ils ont faim, il faut les laisser venir manger». En 2005, quelques mois seulement après l’évacuation du territoire par Israël, les palestiniens avaient déjà fait exploser la frontière avec l’Egypte. Et, à l’époque, il n’y avait pas d’affamés ni de crise humanitaire … mais on a pu montrer au monde qu’une frontière ne pouvait pas résister aux masses arabes … Accessoirement, quand 250.000 palestiniens (selon les gazettes) déferlent dans le Nord du Sinaï, ils sont en train de ravir à l’Egypte sa souveraineté sur un bout de territoire. Qui se souvient qu’Israël a rendu le Sinaï à l’Egypte deux fois (en 1956 et après la guerre du Kippour quand Sadate prit l’initiative d’un traité de paix) ?

Avec la finesse qu’on lui connaît, dès qu’il s’agit du conflit proche-oriental, la presse européenne titre maintenant «la fuite des palestiniens en Egypte» pour continuer à diaboliser Israël et les juifs qui d’opprimés se seraient transformés en oppresseurs.

L’Europe, dont le seul enseignement de la dernière guerre sur son territoire est, non pas qu’il faut se battre contre l’ignominie, mais qu’il faut renoncer à la guerre, fut-elle de défense, oublie qu’il fût un temps où on avait le courage de parler de «guerres justes». En ce sens la France tient «le pompon». Et l’Europe -et la France n’est pas étrangère à ce comportement qu’elle a pratiquement instauré dans la politique de l’Union- pour des raisons dites morales, s’accommode du terrorisme et prône l’apaisement (Iran, Tchétchénie, Darfour, Afrique Equatoriale, etc.,) car elle pense avoir ainsi la paix extérieure et intérieure. Par peur aussi de la «rue arabe» de ses villes et de ses cités. Ce faisant elle participe d’une inversion immonde des causes et des effets dès qu’il s’agit du Proche-Orient : les bons, les Palestiniens, les mauvais, les Israéliens. Et elle demande en permanence à Israël de faire des concessions car c’est tout ce qu’elle sait faire.

Qu’au Liban la Syrie empêche l’élection d’un président n’a pas l’air de troubler le monde. Que le responsable d’une armée, le Hezbollah, stipendié par l’Iran et la Syrie, qui a provoqué une guerre pendant laquelle un quart des infrastructures du pays ont été détruites, annonce au monde entier (AFP – 19.01.08)  «Nous avons des têtes, des mains, des pieds des soldats sionistes et nous avons un cadavre presque complet de la tête jusqu'au bassin» n’a l’air d’émouvoir personne et surtout pas l’AFP qui n’a pas joué des guillemets en se transformant en porte-voix pour cette macabre annonce. Le Hezbollah est un «acteur politique» au Liban, à ce titre il a envoyé des délégués à une conférence à Paris et, naturellement, la France s’oppose à ce qu’il figure sur la liste des organisations terroristes de l’Europe.

Et c’est ainsi que l’Europe se prépare à son avenir musulman. Certes, tous les musulmans ne sont pas terroristes, nous dit-on. Tout en occultant le fait qu’une religion qui se fixe comme but ultime la conquête du monde, par les armes, s’il y a opposition, porte en elle-même comme le nuage porte la pluie l’irréfragable nécessité de tuer. Et alors, le terrorisme s’appelle, comme au Proche-Orient, «résistance». Et l’Europe fait semblant de ne pas voir ou de ne pas comprendre qu’au Nord, le Hezbollah, au Sud, le Hamas (avec la complicité active ou passive de l’Egypte) et à l’Est lointain, l’Iran, se sont tous ligués pour la destruction d’Israël. Ne pas voir ? Mais si, elle voit bien la réalité mais pensant retarder autant que faire se peut sa propre conquête par les mêmes, elle a déjà passé Israël par pertes et profits.

Bref rappel du passé : en 1967 quand l’Egypte a provoqué la guerre (appelée ensuite «guerre des six jours»), Israël n’occupait ni Gaza ni la Cisjordanie. Mais trois pays (Egypte, Syrie et Jordanie) ont clamé haut et fort leur détermination d’éliminer Israël. À la fin de la guerre, Israël a proposé immédiatement de rendre les territoires conquis dans le cadre d’un accord de paix. Et elle a eu comme réponse les trois NON de Khartoum (non à la paix, non à la reconnaissance, non aux négociations). 40 ans après, «l’initiative arabe», saluée par l’Europe, propose à Israël la paix à condition de rendre les territoires (cela pourrait se comprendre) et d’accepter le retour de 4,5 millions de «réfugiés» (dont 90 % n’ont jamais connu les foyers d’où ils sont "partis" ou ont été "expulsés", selon l’histoire de chacun). C’est-à-dire, vu la démographie, en renonçant à ce qui fait sa spécificité, le caractère juif de l’état. Rien n’a changé sauf que, bientôt, les quartiers (ou villes ou cités ou banlieues) aujourd’hui interdits aux infidèles en France, aux Pays-Bas ou en Angleterre s’étendront, de plus en plus, pour devenir in fine le nouveau califat. Pessimisme ? Exagération ? Quand en 1922 Hitler disait «si un jour j’ai réellement le pouvoir, la destruction des juifs sera ma première et ma plus importante tâche», on ne l’a pas cru, pourquoi croirait-on Ahmedinejad ?

Et qui croît George Bush quand il décrète qu’un traité pour créer un état palestinien sera signé cette année encore entre Israël et les palestiniens ? Avec un Mahmoud Abbas qui ne contrôle ni Gaza ni même la Cisjordanie mais qui a réussi à faire tomber dans l’escarcelle palestinienne plus de 7 milliards de dollars en décembre (ou, au moins, des promesses de dons pour ce montant). Un état palestinien qui serait assuré (et la France et l’Europe demandent la même chose) de la contiguïté de son territoire (Gaza réuni avec la Cisjordanie). Comme on peut supposer qu’ils aient regardé une carte auparavant on n’a pas pu ne pas voir que cela veut dire un territoire israélien qui, lui, ne sera plus contigu …

De toute manière, ceux qui croient à ceci ou à cela, ceux qui grouillent, grenouillent et scribouillent pour dire n’importe quoi sur un conflit qui préfigure, en partie, l’avenir du monde, ne seront plus là pour voir… alors pourquoi s’en occuper !

En attendant, ceux qui ont accompagné notre Président à Riad, quand il a rencontré le monarque éclairé de l’Arabie Saoudite, ont pu trouver dans l’avion de Saudia (y aurait-il le même sur Air France ?) l’avertissement : «le royaume interdit les bibles, crucifix, statues, découpages et autres articles avec des symboles religieux tels que l'étoile de David». Pendant ce temps, d’abord à Rome et ensuite à Londres, on construit les plus grandes mosquées d’Europe.

© Michel Poirier pour LibertyVox

Immigration musulmane: à qui profite la trompérie?

Gérard Pince commente une proposition du rapport Attali à Nicolas Sarkozy :
http://www.liberationdelacroissance.fr/files/home.php
See the translation in english after the original in french.


La Commission Attali : Relance de l’immigration.

Je ne voulais pas parler du rapport de la Commission Attali avant d’en connaître la teneur précise mais comme ses conclusions sont déjà parues dans la presse, de nombreux amis me demandent de commenter sa proposition principale: la relance de l’immigration.

Le mot « relance » constitue une provocation puisque les entrées d’immigrés originaires des pays tiers (extérieurs à l'Union européenne) sont déjà passées de 153.000 en 1999 à 251.000 en 2005 (1). Les clandestins estimés à environ 100.000 s’ajoutent à ces chiffres officiels. On peut donc présumer qu’environ 350.000 personnes sont entrées sur le territoire français en 2005 ce qui représente en 6 ans l’équivalent de la population de Paris intra muros.

En ce qui concerne la contribution de ces flux à notre croissance, contentons nous de citer notre « Bilan économique de l’immigration » : « 6 sur 10 des personnes originaires des pays tiers et en âge de travailler, sont oisives. Le déficit des finances publiques imputable à cette population atteint 48 milliards d'euros soit 80% du déficit total enregistré en 2004. Au niveau du PIB, elle produit 93 milliards de valeur ajoutée et consomme 126 milliards » (2).

Enfin, puisque la commission considère que « l'immigration, facteur de développement de la population, est en tant que telle une source de croissance », rappelons que si le développement allait de pair avec un accroissement de la population, le Yémen et le Niger seraient de grandes puissances économiques et la Suisse un pays pauvre (3).

En réalité, il est vain de critiquer de telles inepties et il faut plutôt rechercher à qui " le crime profite"
A ce titre, il convient de souligner que la Commission Attali compte 22 dirigeants de grandes entreprises. Or, en affaires les choix se fondent plus sur le calcul que sur l’idéologie.

Par exemple, l’accroissement de la population par le biais de l’immigration, augmente la consommation et favorise la grande distribution. Le fait que cette consommation soit payée au moyen d’allocations financées par les contribuables, et que son excès entraîne un déficit massif de notre balance commerciale (40 milliards d’euro en 2007) n’entrent nullement en ligne de compte dans les calculs de ces entreprises.

De même, se faire l’avocat d’une immigration, à 80% islamique dans le contexte français, peut constituer un argument pour vendre des centrales nucléaires aux dictatures du Maghreb ou du Golfe.

Sur un plan plus général, ces grands groupes veulent s’appuyer sur un prolétariat abondant, peu syndiqué, mal payé afin d’accroître leurs profits. Avec la mondialisation, ils peuvent délocaliser le capital dans les pays à bas salaires mais beaucoup d’entreprises ne veulent ou ne peuvent pas se délocaliser. On met donc en place une délocalisation interne qui consiste à importer des travailleurs à bas prix pour remplacer les nationaux, tout en laissant les coûts afférents (éducation, logement, sécurité etc.) à la charge des contribuables.

Concrètement, ce phénomène entraîne la concentration des gains de la croissance au profit d’une élite mondialisée, la relégation de la classe ouvrière nationale dans les trappes de l’assistanat et enfin la paupérisation relative des classes moyennes (y compris aux USA).

J’ajoute que ce recours à l’immigration ne correspond pas à la théorie libérale orthodoxe fondée sur l’avantage comparatif. Il s’agit donc d’une hérésie qui risque de s’avérer fatale au libéralisme dans l’esprit de nos populations (4).

A ces intérêts économiques s’ajoutent les passions. Prétendre que les immigrés paieront nos retraites accrédite l’idée que notre génération est la dernière et que nous serons bientôt tous remplacés. De tels propos expriment la haine pathologique que notre malheureux peuple inspire à certains milieux (5).

En d’autres temps, l’Assemblée nationale aurait renversé le gouvernement et nos grands parents se seraient attroupés pour marcher sur le siège de la Commission. Hélas, ce peuple français authentique ne subsiste plus que sur les monuments aux morts.

Ne soyons donc pas plus royalistes que le roi et tenons aux africains le discours que le politiquement correct nous impose: votre continent compte 750 millions de personnes qui vivent dans la précarité. Venez donc en masse en France. Vous aurez droit à un logement à Paris, à la couverture des soins médicaux (CMU), à l’éducation gratuite et enfin à une multitude d’allocations dès votre régularisation.

Alors, elle est pas belle la vie? Battez le Tam Tam dans tous les villages. Venez tous. Venez le plus vite possible! La Commission Attali vous attend.

Gérard Pince




http://gerardpince.blogspot.com

1- Chiffres extraits du rapport de la Direction de la population et des migrations
2- Se reporter à www.freeworldacademy.com/IMMIG.htm
3- Certes, la croissance de la population contribue à augmenter le produit national brut mais dans certains cas elle peut diminuer le produit par habitant qui est le principal indicateur du développement.
4- Ce point mériterait de plus amples commentaires peu compatibles avec la taille de l’article.
5- Imaginez que ce discours soit tenu dans un pays d’Afrique: « On va faire venir des colons et ce sont eux qui paieront les retraites des indigènes ». Quelle serait la réaction légitime des intéressés?

29/01/2008

Un quartier de Bruxelles déjà soumis à l'autorité de la oumma

689fe12857ef03c7017d07d13d592b0e.jpgVOIR:  http://fr.youtube.com/watch?v=VYDuSptRR00

 

 

 

 

COMMENTAIRE: Français, hollandais.....pas mieux lotis!

Les "idiots utiles" de l'islam

bbb28c9d17207cc861e8e353a8facb8a.jpgL’islam bénéficie d’alliés nombreux et influents parmi les non-musulmans : Une nouvelle génération d’ « idiots utiles », le genre de personnes que Lénine identifiait comme celles qui vivent dans les démocraties libérales et font progresser l’idéologie du communisme. Cette nouvelle génération d’idiots utiles vit également dans les démocraties libérales, mais sert la cause de l’islamofascisme - une autre forme virulente d’idéologie totalitaire. – Amil Imani

Traduction de Islam’s Useful Idiots, par Amil Imani, le 7 août 2006

Les Idiots Utiles sont naïfs, ils sont bêtes, ils sont ignorants des faits, ils sont des idéalistes irréalistes, ils sont rêveurs et ils sont dans le déni ou délibérément trompeurs. Ils viennent des rangs des mécontents chroniques. Ils sont anarchistes, ils sont des révolutionnaires en herbe, ils sont des névrosés qui sont en guerre avec la vie, ils sont des mécontents aliénés du gouvernement, des entreprises et d’à peu près toutes les institutions de la société. L’Idiot Utile peut être un milliardaire, une star de cinéma, un universitaire de renom, un homme politique, ou venir de tout autre segment de la population. Sans doute la plus dangereuse variante de l’Idiot Utile est le « Politiquement Correct ». Il maîtrise l’art de l’euphémisme, de l’évitement, du double langage, et de la tromperie pure et simple

L’Idiot Utile tire satisfaction d’être anti-establishment.

Il trouve une gratification perverse à aider les forces qui visent à démanteler l’ordre existant, quel qu’il soit : un ordre qu’il n’approuve pas  et auquel il ne sent pas qu’il appartient.

L’Idiot Utile est en conflit et il est malhonnête. Il ne parvient pas à regarder à l’intérieur de lui-même et à découvrir la cause de son propre malheur et de ses problèmes, alors il s’engage facilement dans des causes qui valident sa perception tordue de la réalité.

Naturellement, il est plus facile de blâmer les autres et le monde extérieur que de s’examiner soi-même dans un but d’auto-critique et d’auto-amélioration. De plus, critiquer et se plaindre - une pratique libérale de l’Idiot Utile - nécessite peu de talent et d’énergie. L’Idiot Utile est un grand philosophe de salon et un « quart arrière du lundi matin ».

L’Idiot Utile ne se compare pas à la personne qui a honnêtement un point de vue différent. Une société sans divergences de vues ouvertes et honnêtes est une société morte. La critique, les idées nouvelles et différentes sont nécessaires à la vitalité d’une société – un anathème pour les autocraties pour qui la position officielle est sacro-sainte.

Même une personne « normale » consacre beaucoup plus d’énergie à fixer les choses là-bas qu’à travailler pour surmonter ses propres défauts et lacunes, ou contribuer positivement à la société en général. Les gens n’aiment pas faire le bilan de ce qu’ils font ou ne font pas et qui est responsable des conditions qu’ils désapprouvent.

Mais les Idiots Utiles vont beaucoup plus loin. L’Idiot Utile, entre autres choses, est un maître dans l’art de la désignation de boucs émissaires. Il assigne le blâme aux autres tout en se dégageant de responsabilité, il a à portée de la main une longue liste de candidats à blâmer pour tout et n’importe quoi, et en vivant une vie tordue, il contribue aux maux de la société.

L’Idiot Utile peut même se livrer à la désinformation et à la tromperie volontaire quand ça lui convient. Des termes tels que « islam politique » ou « islam radical », par exemple, sont des contributions de l’Idiot Utile. Ces expressions n’existent même pas dans le jargon de l’Islam, tout simplement parce qu’ils sont superflus. L’islam, de par sa nature et selon sa charte, le Coran, est un mouvement politique radical. C’est l’Idiot Utile qui assainit l’islam et induit la population en erreur en affirmant que le « vrai islam » constitue le corps principal de la religion, et que ce corps est apolitique et modéré.

Malheureusement, une grande partie de la population accepte ces euphémismes absurdes dépeignant l’islam, car elle préfère les croire. Il est moins menaçant de penser que seule une petite partie détournée de l’Islam est radicale ou d’ordre politique et que le corps principal de l’islam est en effet modéré et apolitique.

Mais le cœur de l’islam est politique. Dans l’islam, la mosquée et l’État sont confondus, la mosquée est l’État. Cet arrangement remonte à l’époque de Mahomet lui-même. L’islam est aussi radical à l’extrême. Même l’islam « modéré » est radical dans ses croyances ainsi que ses actes. Les musulmans croient que tous les non-musulmans, sans exception, sont voués à l’enfer et méritent amplement d’être maltraités par rapport aux musulmans.

Aucun acte radical de dépravation barbare n’est impensable pour les musulmans dans leurs relations aux autres. Ils ont détruit de précieuses statues de Bouddha, nivelé les monuments sacrés des autres religions, et bulldozé les cimetières des non-musulmans - quelques exemples de leur mépris extrême et absolu envers les autres.

Les musulmans sont radicaux même dans leurs relations intra confessionnelles. Diverses sectes et sous-sectes condamnent à mort d’autres sectes et sous-sectes déclarées hérétiques ; les femmes sont traitées comme des biens meubles, privées de nombreux droits ; les mains sont coupées pour le vol, même d’un morceau de pain ; l’inconduite sexuelle est punie de lapidation, et beaucoup plus. Ceci constitue la norme au jour le jour des musulmans « modérés » vivant à l’âge de pierre de la charia.

La « modération » de l’islam dominant a été purement et simplement un génocide depuis ses débuts. Leurs propres historiens rapportent qu’ Ali, le premier imam des chiites et le gendre de Mahomet, a décapité 700 hommes juifs avec l’aide d’un autre homme, en présence du Prophète lui-même. Le Prophète d’Allah et ses disciples ont pris les femmes et les enfants des hommes assassinés en esclavage. Les musulmans ont été, et continuent d’être, les praticiens de l’esclavage les plus vicieux et sans scrupules. La traite négrière, aujourd’hui encore, est une entreprise florissante dans certains pays islamiques où les cheikhs riches et pervers achètent des trafiquants les enfants pauvres pour leur plaisir sadique.

Les musulmans apprennent la tromperie et le mensonge dans le Coran lui-même, quelque chose que Mahomet a pratiqué au cours de sa vie quand il le jugeait opportun. Les dirigeants et gouvernants islamiques successifs ont fait de même. Par exemple, Khomeiny, le fondateur de la révolution iranienne de 1979, a rallié les gens sous la bannière de la démocratie. Tout ce temps son appui à la démocratie n’était pas l’engagement d’un honnête homme, mais une ruse. Dès qu’il a conquis les rênes du pouvoir, Khomeiny s’en est pris aux Idiots Utiles de son temps avec vengeance. Après avoir été complètement trompés et utilisés par le faux et rusé religieux populiste, ces meilleurs enfants de l’Iran ont dû fuir le pays pour éviter le sort de dizaines de milliers de personnes qui ont été emprisonnées ou exécutées par l’imam au double langage.

Près de trois décennies après la tragique Révolution islamique de 1979, l’étouffant régime de l’islam déploie son ombre de mort sur les Iraniens. Un peuple fier au patrimoine enviable est systématiquement purgé de son sentiment d’identité et contraint à penser et se comporter comme des musulmans barbares et intolérants. Par exemple, les Iraniens qui ont toujours traité les femmes à égalité les ont vues réduites au statut de sous-humains par les enseignements islamiques du clergé de l’âge de pierre. Toute tentative par les femmes de l’Iran pour contrer les diktats des misogynes mollahs de Mahomet est impitoyablement réprimée. Les femmes sont battues, emprisonnées, violées et tuées tout comme les hommes sont abattus sans procès ni miséricorde.

La leçon est claire. Méfiez-vous des Idiots Utiles qui vivent dans des démocraties libérales. Sciemment ou non, ils servent comme les plus grands soldats volontaires et efficaces de l’islam. Ils préparent le terrain pour le progrès de l’islam et ils vont assurément figurer parmi les toutes premières victimes de l’islam dès qu’il aura assumé le pouvoir.

Source : Islam’s Useful Idiots, par Amil Imani, le 7 août 2006

Publié sur:  www.pointdebasculecanada.ca

28/01/2008

France: encore quelques années et ce sera comme au Kosovo

L’église de la ville de Beaujeu ( 69 ) a été saccagée ce week-end (05/01/08), et le, ou les vandales se sont acharnés sur le mobilier de l’église. De nombreuses dégradations ont été constatées hier matin par le responsable de l’édifice parmi lesquels, la veilleuse rouge du Saint-Sacrement, le tabernacle de la chapelle Saint-Joseph grand ouvert, des livres de messe déchirés et des présentoirs renversés.

Ce n’est pas la première fois, la veille de Noël déjà, une statue de Balthazar avait été décapitée.
C’est la troisième église du département du Rhône qui subit des dégradations importantes en un peu plus d’un an. Deux églises lyonnaises, celle du quartier de la Duchère ainsi que l’église Saint Nizier avait subi des tentatives d’incendie en novembre 2006 et novembre 2007.

Comme à chaque fois, il est précisé qu’une enquête a été ouverte par les gendarmes de Beaujeu. De leur côté les médias ne rapportent pas ou peu les saccages d’Eglises, pourtant toujours plus nombreux, contrairement aux autres édifices religieux ! Naïvement, je pose la question, pourquoi ?

SOURCE: http://carrefourdelinsurrection.hautetfort.com/archive/20...

COMMENTAIRE: pour tentative de compréhension, on pourrrait par exemple comparer la carte de l'islamisation de France avec celle des dégradations des batiments chrétiens...toute rélation étant bien entendu purement fortuite!

Teocrazia coranica iraniana: i "non conformi" devono morire

133237905c7f62b4c93d9240100aaa61.jpgDue giovani iraniani sono stati arrestati perché gay e ora rischiano di essere impiccati. Lo denuncia il Gruppo EveryOne, organizzazione no profit per la difesa dei diritti umani, che si è già occupata in passato della vicenda della lesbica iraniana Pegah Emambakhsh, rifugiatasi a Sheffield, nel Regno Unito, dove le è stato negato l'asilo come rifugiata, e dove è ancora in attesa della decisione della magistratura inglese.

ARRESTO E TORTURE - I due ragazzi sono arrestati nell'Azerbaijan iraniano il 23 gennaio scorso. L'accusa, emessa nei loro confronti dal Tribunale islamico, è di «mohareb», ovvero nemico di Allah, e «lavat», ovvero sodomia. «Le autorità usano metodi di tortura fisica e psicologica per ottenere le confessioni delle persone che cadono nelle loro mani, e i due giovani hanno ammesso di amarsi, di avere una relazione sentimentale», riferisce EveryOne. La confessione dei due giovani, secondo il Gruppo, è bastata perché il tribunale islamico li rinviasse a giudizio con due accuse gravissime: «Mohareb», il reato di chi è «nemico di Allah» e «Lavat», sodomia. Il codice penale iraniano prevede la forca per gli omosessuali, che sono considerati «nemici di Allah».

PETIZIONE- Per salvare la vita a Hamzeh Chavi e Loghman Hamzehpour, di 18 e 19 anni, EveryOne ha lanciato una raccolta di firme. Una petizione destinata a figure istituzionali che vanno dall'Onu al presidente iraniano Mahmoud Ahmadinejad e al suo ministro della Giustizia, dalle ambasciate a organismi Ue quali la presidenza del Parlamento europeo e della Commissione Ue.

PRECEDENTE- Appena del 5 dicembre scorso è il «barbaro assassinio» con l'accusa di «Lavat» di un altro giovane gay iraniano, Makwan Moloudzadeh, 21 anni, avvenuto nella prigione di Kermanshah, altro caso denunciato da EveryOne nella «campagna per la vita in Iran».


28 gennaio 2008 www.corriere.it

15/01/2008

Toutes les vérités...sont bonnes à dire!

cdda21111254aaf035cfb752f459e54f.jpg« Cette idée occidentale qui veut que si nous les « respectons », ils nous respecteront, que si nous sommes conciliants ou accommodants, le problème disapraîtra, est un leurre. Le problème [de l’islam] ne disparaîtra pas. Affrontez-le, ou il deviendra de plus en plus massif. »
- - - Ayaan Hirsi Ali

Extraits traduits d’une interview de Ayaan Hirsi Ali dans le magazine Reason le 12 octobre 2007

Reason : Devrions-nous reconnaître que la religion a parfois déclenché des mouvements d’émancipation qui pourraient faire entrer l’islam dans la modernité ? Pensez-vous que l’islam pourrait être à l’origine de changements politiques et sociaux similaires ?

Hirsi Ali : Uniquement si l’islam est vaincu. Car actuellement, c’est le versant politique de l’islam, expansionniste et avide de pouvoir, qui a pris le dessus sur le soufisme et l’islam « pacifique ».

Reason : Voulez-vous dire si l’islam radical est vaincu ?

Hirsi Ali : Non. L’islam tout court. Une fois qu’il sera vaincu, il pourra muter en quelque chose de pacifique. Il est extrêmement difficile de parler de paix actuellement. La paix ne les intéresse pas. Je pense que nous sommes en guerre contre l’islam. Et qu’il n’y a pas de demi-mesure dans la guerre. (…) Il vient un moment où un ennemi doit tout simplement être écrasé.

Reason : Militairement ?

Hirsi Ali : De toutes les façons possibles. Et si vous ne le faites pas, il vous faudra vivre alors en vous apprêtant à être écrasé. (…)

Il n’existe pas d’islam modéré. Il existe des musulmans passifs, qui ne suivent pas toutes les règles de l’islam, mais il n’y a bien qu’un seul islam, défini comme la soumission à la volonté de Dieu. Et il n’y a rien de modéré en cela

. (…)

Cette idée occidentale qui veut que si nous les « respectons », ils nous respecterons, que si nous sommes conciliants ou accommodants, le problème disapraîtra, est un leurre. Le problème [de l’islam] ne disparaitra pas. Affrontez-le, où il deviendra de plus en plus massif. [lire la version longue]

Reason : Allons-nous réellement vers quelque chose de si terrible ?

Hirsi Ali : Oui, je pense que c’est vers cela que nous allons. Parce que l’Occident est dans le déni de la réalité depuis longtemps. Il n’a pas répondu à certains signaux qui étaient moins forts et plus faciles à traiter. Il faut maintenant faire des choix. Voila le dilemme : l’Occident est une célébration de la vie, de la vie de tout le monde, même de celle de ses ennemis. Comment pouvez-vous être à la fois fidèle à cette philosophie et en même temps vous défendre contre un ennemi puissant qui cherche à vous détruire ?

Reason : George Bush, qui n’est pas la personne la plus conciliante que l’on connaisse, a déclaré à maintes occasions que nous ne sommes pas en guerre contre l’islam.

Hirsi Ali : Si l’homme le plus puissant de l’Occident déclare cela, alors, sans le vouloir, il laisse les islamistes radicaux penser qu’ils ont déjà gagné. Il n’existe pas d’islam modéré. Il existe des musulmans passifs, qui ne suivent pas toutes les règles de l’islam, mais il n’y a bien qu’un seul islam, défini comme la soumission à la volonté de Dieu. Et il n’y a rien de modéré en cela.

Reason : Et lorsque même un critique de l’islam aussi virulent que Daniel Pipes déclare : « L’islam radical est le problème, mais l’islam modéré est la solution », a-t’il tort ?

Hirsi Ali : Il a tort. Désolé. (…)

Reason : En Hollande, vous vouliez introduire un permis spécial pour les écoles islamiques.

Hirsi Ali : Je voulais que ces écoles disparaissent. Je voulais qu’elles soient fermées, mais mon parti a dit que cela ne serait pas voté. Les dirigeants m’ont dit en privé qu’ils étaient d’accord avec moi, mais que nous n’obtiendrions pas de majorité. Ca n’a pas abouti.

Reason : Votre proposition allait à l’encontre de la constitution hollandaise qui garantie la liberté d’enseignement des mouvements religieux. Vous battriez-vous de nouveau contre cela ?

Hirsi Ali : Absolument

Reason : Et ici aux USA, vous militez pour l’interdiction…

Hirsi Ali : l’interdiction de toutes les écoles musulmanes. Fermez-les. Cela semble extrémiste, je sais. Il y a 10 ans, les choses étaient différentes, mais maintenant le génie jihadiste est sorti de la bouteille. J’ai dit la même chose en Grande-Bretagne et en Australie, et on me répond toujours : “la constitution ne l’autorise pas”. Mais d’où viennent ces constitutions ? Il n’existait aucune école musulmane quand ces constitutions ont été rédigées. Il n’y avait pas de jihadistes. Ils ne pouvaient même pas y penser.

Les constitutions occidentales ne sont pas infaillibles. Elles sont le produit de la raison et la raison nous enseigne que l’on ne progresse que quand on analyse la situation et que l’on agit en conséquence. Aujourd’hui, les circonstances sont différentes, la menace est différente. Les constitutions peuvent être adaptées. Et parfois elles le sont. La constitution américaine a été amendée plusieurs fois. Les constitutions ne sont pas comme le coran, non négociables, intangibles et figées.

Je suggère de fermer les écoles musulmanes. Vous me répondez « non, ça n’est pas possible ». Le problème que je pointe du doigt devient de plus en plus massif. Vous me dites alors « OK, nous allons les décourager d’en ouvrir. » Et malgré cela, le problème continue de prendre de l’ampleur. Et dans quelques années, la situation sera si mauvaise que vous prendrez la décision que je préconisai. Mais trop tardivement (…)

Reason : Pensez-vous que les musulmans sont mieux intégrés aux USA qu’en Europe ?

Hirsi Ali : (…) Oui, j’ai l’impression que les musulmans sont beaucoup mieux intégrés ici qu’en Europe. Etre assimilé ne veut pas dire que vous ne deviendrez pas jihadiste, mais la probabilité semble beaucoup moins forte qu’en Europe.

Tout d’abord, aux USA, il n’y pas réellement d’Etat providence. En Hollande, Mohammed Bouyeri avait tout le temps nécessaire pour préparer le meurtre de Theo Van Gogh. Aux Etats-Unis, les musulmans doivent trouver du travail. Ce qui pousse les gens à s’assimiler ici, c’est parce que c’est cela qu’on exige d’eux. Les gens ne sont pas chouchoutés par le gouvernement et les allocations.

Il existe une forte culpabilité aux Etats-Unis, mais elle est liée aux noirs américains et aux indiens, pas aux musulmans ou aux autres immigrés. L’américain moyen ne fait pas de différence entre les immigrés, qu’ils viennent de Chine, du Vietnam ou de pays musulmans.

La culpabilité en Europe est très différente. Elle se réfère au colonialisme, à l’apartheid en Afrique du Sud, à l’holocauste… La situation est beaucoup plus complexe, et les européens sont plus réticents quand il s’agit de dire « non » aux immigrés.

Les immigrés musulmans ne sont pas venus en Europe avec l’idée de s’assimiler : ils sont d’abord venus pour travailler, gagner de l’argent et repartir. Les générations suivantes sont venues non pas pour travailler mais pour profiter de l’Etat-providence et des allocations de toutes sortes. L’assimilation ne les préoccupe pas vraiment. (…)

Reason : le mot « tolérance » est probablement l’un des plus importants pour définir la façon dont les hollandais se voient eux-mêmes. Cela fait qu’il est très facile quand l’on est critiqué de se dire victime d’intolérance, et de là, discriminé, ou victime d’islamophobie, ou de racisme…

Hirsi Ali : Il faut revenir au sens premier du mot « tolérance ». Il signifiait que l’on pouvait être en désaccord, mais sans recourir à la violence. Cela impliquait une réflexion critique sur soi, cela ne voulait pas dire tolérer l’intolérance. Cela signifiait aussi un haut degré de liberté individuelle.

Puis les musulmans sont arrivés. Et ils n’avaient pas grandi avec cette compréhension de la tolérance. Très vite, la tolérance s’est retrouvé redéfinie par le « multi-culturalisme » et l’idée que toutes les cultures et toutes les religions sont égales.

Cela a créé de grandes attentes parmi les musulmans. On leur a dit qu’ils pouvaient conserver leur propre culture, leur religion etc… Et le vocabulaire s’est rapidement transformé et désormais, si vous critiquez une personne de couleur, vous êtes raciste, et si vous critiquez l’islam, vous êtes islamophobe.

Reason : Le corollaire du mot « tolérance » est probablement « respect ». Le supposé manque de respect est devenu un abcès de fixation entre l’islam et l’occident. (…) Pensez-vous que c’est cela que les musulmans veulent réellement, du respect ?

Hirsi Ali : Cela n’a rien à voir avec le respect. Cela a à voir avec le pouvoir. L’islam est une idéologie politique. Mais je pense qu’en réalité, le problème n’est pas l’islam. C’est l’Occident le problème. L’Occident est persuadé que son système est invincible, que tout le monde se modernisera de toute façon, que ce que l’on voit dans les pays musulmans est une demande de respect. Ou que c’est à cause de la pauvreté, ou de la colonisation, ou que sais-je encore…

Cette idée occidentale qui veut que si nous les « respectons », ils nous respecterons, que si nous sommes conciliants ou accommodants, le problème disparaîtra, est un leurre.

Le problème [de l’islam] ne disparaitra pas. Affrontez-le, où il deviendra de plus en plus massif.

www.pointdebasculecanada.ca

12/01/2008

Fascisme islamique en route vers le nucléaire

a0d396dfdb68e9a9dfe2dc2a7c7dd418.jpgAprès plusieurs mois de négociations, Total, Suez et Areva ont conclu vendredi un partenariat exclusif en vue de construire, puis d'exploiter deux réacteurs nucléaires de type EPR à Abou Dhabi. Cet accord, qui devrait être officialisé lundi, coïncide avec la visite de Nicolas Sarkozy dans trois monarchies du Golfe : l'Arabie saoudite, le Qatar et les Emirats arabes unis.Il est surtout le fruit d'un longue négociation entamée à la demande des Emiratis eux-mêmes.

Voilà quelques temps déjà, l'Autorité d'Abou Dhabi de l'eau et de l'électricité (l'ADWEA) a fait savoir à ses interlocuteurs français qu'elle entendait se doter de deux tranches nucléaires pour répondre à la forte croissance de la demande électrique locale, et fournir l'énergie nécessaire aux procédés de dessalement d'eau de mer (on nous prends pour des imbéciles NDLR). Une décision en ce sens pourrait intervenir dans les tout prochains mois.

Total, Suez et Areva se tiennent donc prêts. Le moment venu, grâce au partenariat qui vient d'être scellé, le trio tricolore remettra une offre commune aux autorités locales.

A l'occasion, mardi, de la visite de Nicolas Sarkozy, la signature d'un accord de coopération dans le nucléaire civil entre la France et les Emirats arabes unis symbolisera l'entrée de ce pays dans la " grande famille nucléaire ". Après le Maroc, l'Algérie et la Libye, les Emirats sont le quatrième pays arabe à conclure un accord de ce type.


PASCAL POGAM www.lesechos.fr
COMMENTAIRE: Leurs régimes sont anti-démocratiques, anti-occidentaux, totalitaires et xénophobes, il regorgent de pétrole et de gaz, ils n'ont pas d'industries, à quoi le nucléaire peut bien leur servir?
Qu'on ne vienne pas nous dire que civil et militaire n'ont pas de rapport entre eux, le prémier est le préalable au deuxième et toute technologie peut être detournée de son utilisation primitive. Rien que les dechets radioactifs pourraient constituer une source de pollution meurtrière à bas bruit...
L'occident irresponsable fournit la technologie qui sera  retournée contre lui.
Préparons nous au PIRE!

11/01/2008

Finance islamique: un enorme piège Allah-con!

5b4753d32b1b40308475189d9fe922e7.jpgSelon Timur Kuran, alors titulaire de la chaire « King Faisal Professor of Islamic Thought and Culture » de l’Université de Californie du Sud, l’économie islamique a échoué dans ses 3 objectifs : abolir l’intérêt, engendrer l’égalité économique et établir une éthique commerciale supérieure.

Sciences économiques islamiques ? par Daniel Pipes

Sans que le monde extérieur en prenne vraiment conscience, une quantité d’argent importante et en croissance rapide est gérée aujourd’hui suivant la loi islamique, la charia. Selon une étude, « à la fin 2005, plus de 300 institutions de plus de 65 juridictions géraient des actifs d’une valeur globale de l’ordre de 700 milliards à un billion de dollars d’une manière compatible avec la charia ».

L’économie islamique prend une ampleur de plus en plus incontournable grâce à une profusion de portefeuilles d’exportateurs de pétrole et une multiplication d’instruments financiers islamiques (tels que des emprunts sans intérêts et des obligations sukuk). Mais à quoi rime tout cela ? Les instruments conformes à la charia peuvent-ils concurrencer l’ordre financier international ? L’instauration d’un régime économique islamique va-t-il vraiment de pair, comme l’affirme un enthousiaste, avec la fin de l’injustice grâce à « l’intervention de l’État pour le bien de tous » ?

Pour comprendre ce système, le meilleur point de départ est Islam and Mammon, un brillant ouvrage que Timur Kuran a écrit alors qu’il occupait (paradoxalement, vu le soutien saoudien à l’économie islamique) la chaire « King Faisal Professor of Islamic Thought and Culture » (pensée et culture islamiques) de l’université de Californie du Sud.

Kuran, qui enseigne actuellement à Duke University, estime que l’économie islamique ne remonte pas à Mahomet, qu’elle est une « tradition inventée » qui a émergé en Inde, dans les années 1940. La notion de discipline des sciences économiques « qui serait clairement et ouvertement islamique est très récente ».

Il y a encore un siècle, même les plus savants des Musulmans auraient été interloqués par l’« économie islamique ».

L’idée a été forgée à l’origine par un intellectuel islamiste, Abul Ala Maududi (1903-79), pour qui l’économie islamique servait de moyen vers de nombreuses fins : minimiser les relations avec les non-Musulmans, renforcer le sentiment collectif d’identité musulmane, étendre l’Islam dans un nouveau domaine d’activité humaine et moderniser sans occidentaliser.

Les sciences économiques islamiques ont pris leur essor en tant que discipline universitaire vers la moitié des années 1960. Elles ont bénéficié d’un élan institutionnel pendant le boom pétrolier des années 1970, lorsque les Saoudiens et d’autres Musulmans exportateurs de pétrole, qui entraient alors pour la première fois en possession de fortes sommes d’argent, ont apporté un « vaste soutien » au projet.

Les partisans de l’économie islamique avancent deux propositions fondamentales : que le système capitaliste a échoué et que l’Islam fournit la solution. Pour évaluer cette dernière assertion, Kuran se penche avec beaucoup d’attention sur le fonctionnement concret de l’économie islamique et sur ses trois principales affirmations, à savoir qu’elle abolit l’intérêt sur l’argent, qu’elle engendre l’égalité économique et qu’elle établit une éthique commerciale supérieure. Sa conclusion est qu’elle échoue totalement à ces trois niveaux.

« Nulle part l’intérêt n’a disparu des transactions économiques et l’islamisation économique ne bénéficie nulle part d’un soutien massif ». Les opérations exotiques et complexes de participation aux pertes et profits comme ijara, mudaraba, murabaha et musharaka font toutes intervenir des paiements d’intérêts déguisés. En fait, les banques qui se prétendent islamiques « ressemblent davantage aux autres instituts financiers modernes qu’à un quelconque héritage de l’Islam ». Bref, il n’y a pratiquement rien d’islamique dans les pratiques bancaires islamiques – ce qui explique en grande partie pourquoi Citibank et d’autres grandes banques occidentales détiennent des dépôts conformes à l’Islam beaucoup plus considérables que les banques spécifiquement islamiques.

L’ambition de réduire les inégalités en imposant la zakat n’a réussi « nulle part ». Kuran estime que cet impôt « ne génère pas nécessairement un transfert de ressources vers les pauvres et peut même en fait conduire à un transfert de ressources négatif pour eux ». Pire encore, en Malaisie, l’imposition de la zakat, supposée aider les pauvres, semble plutôt servir de « prétexte fort commode pour promouvoir des objectifs islamiques et pour enrichir les responsables religieux ».

« Le nouvel accent porté sur la morale économique n’a eu aucun impact sensible sur les comportements économiques ». Ceci en raison du fait que, comme dans le socialisme, « certains éléments du programme économique islamique sont contraires à la nature humaine ».

Kuran rejette la notion même de sciences économiques islamiques. « Il n’existe pas de manière spécifiquement islamique de construire un bateau, de défendre un territoire, de guérir une épidémie ou de faire des prévisions météorologiques », alors pourquoi l’argent ? Il conclut que l’importance de l’économie islamique réside non pas dans l’économie, mais dans l’identité et la religion. Ce projet « a promu la propagation de courants de pensées antimodernes (…) dans l’ensemble du monde islamique. Il a aussi favorisé la formation d’un milieu encourageant le militantisme islamiste ».

En fait, l’économie islamique contribue à l’instabilité économique mondiale en « empêchant les réformes sociales et institutionnelles nécessaires à un développement économique sain ». Ainsi, si les Musulmans avaient bel et bien l’interdiction de verser et de facturer des intérêts, ils seraient relégués « dans la marge de l’économie internationale. »

Bref, l’économie islamique ne fournit qu’une contribution insignifiante aux sciences économiques, mais elle constitue un important et pernicieux danger politique.

Source : Sciences économiques islamiques ? par Daniel Pipes, Association francophone d’études du Moyen-Orient, afemo.fr, le 26 septembre 2007 http://www.afemo.fr/002.008.001.htm

L' islam est tolérant et nous allons vous le prouver!

7559e9108de0542a227e7a4a5adc9186.gifUn hebdomadaire catholique malaisien a été enjoint d’abandonner l’utilisation de « Allah », comme condition de renouvellement de son permis d’éditer.

Les chrétiens de langue arabe utilisent généralement le mot « Allah » pour Dieu - à l’exception notable des Coptes. Mais ils ne font pas allusion, bien sûr, au dieu du coran mais au Dieu de la Bible.

Si les deux groupes étaient en Malaisie, cependant, ce serait une autre histoire. Les porte-parole des musulmans en Occident nous disent sans cesse que les musulmans, les juifs, les chrétiens et tous les cultes vénèrent le même Dieu - en accord avec le verset 29 :46 du coran. Et quand certains font observer que la vision musulmane de Dieu est tout à fait différente de la vision chrétienne ou juive de Dieu, et qu’il est donc difficile de soutenir que tous adorent le même Dieu, ils sont calomniés et rejetés. Mais cette décision en Malaisie indique que ce n’est pas eux qui sont à l’origine de ces idées ; elles sont soutenues par de nombreux musulmans.

The Associated Press :

KUALA LUMPUR, Malaisie : Un hebdomadaire catholique en Malaisie doit abandonner l’utilisation du mot « Allah » dans son édition en langue malaise s’il veut que son permis d’édition soit renouvelé, a déclaré vendredi un haut fonctionnaire du gouvernement.

« The Herald, l’organe de l’Église catholique en Malaisie, a traduit le mot Dieu comme « Allah », mais c’est erroné car Allah fait référence au dieu des musulmans », a déclaré Din Che Yusoff, un haut fonctionnaire de l’unité de contrôle des publications du Ministère de la Sécurité intérieure.

« Les chrétiens ne peuvent pas utiliser le mot Allah, qui ne s’applique qu’aux musulmans. Allah est seulement pour le dieu musulman. Il s’agit d’un plan pour confondre le peuple musulman, » a dit Che Din à Associated Press.

«  L’hebdomadaire devrait plutôt utiliser le mot « Tuhan" qui est le terme générique pour Dieu », dit-il

N.D.L.R.

Certains prétendront qu’il s’agit probablement « encore » de « savants » musulmans « égarés » et soi disant « minoritaires » qui ne comprennent pas l’islam ou qui ont pris l’islam en otage...

Lien via DhimmiWatch, Malaysian Catholic weekly told to drop use of ’Allah’ in order to renew publishing permit, le 22 décembre 2007