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26/03/2008

Le "parti d'allah" s'installe en France!

A tous ceux qui ne voient rien venir, attendez encore un peu......

A bon entendeur...salut!

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Presentation PMF.ppt 

 SANS AUTRE COMMENTAIRE

25/03/2008

Pour en finir avec le terme islamophobie

1390306665.jpgL’équation entre islamophobie et racisme est malhonnête. La peur de l’islam n’est pas la même chose que la haine de tous les musulmans. On peut craindre l’islam, à tort ou à raison, et n’avoir aucun préjugé contre l’ensemble des musulmans, et encore moins être raciste. Si la crainte d’une idéologie rend quelqu’un raciste, tous ceux qui craignent le conservatisme ou le libéralisme doivent être considérés racistes. - Dennis Prager
Nous vous suggérons de lire aussi Pour en finir avec le mot "islamophobie" - par le belge Jean Thirion. Des deux côtés de l’Atlantique, on s’insurge contre cette fraude intellectuelle qui fait l’amalgame entre critique légitime d’une religion et racisme dans le but de limiter la liberté d’expression, et qui nuit à la lutte contre le véritable racisme.
Lisez aussi notre article Le rapport de l’Observatoire de l’islamophobie - faux diagnostic, mauvais traitement. Nous y proposons un ensemble de mesures dont nous garantissons qu’elles élimineront définitivement toute peur de l’islam.
Traduction de Why ’Islamophobia’ is a brilliant term, par Denis Prager, WorldNetDaily Commentary, le 31 juillet 2007
Qu’est-ce que l’antisémitisme, le racisme et l’islamophobie ont en commun ?
En fait, rien.
Mais selon des groupes islamistes, les médias occidentaux et l’ONU, ils ont tout en commun. Les antisémites détestent tous les juifs, les racistes détestent tous les membres d’une autre race, et les islamophobes détestent tous les musulmans.
Celui qui a inventé le terme « islamophobie » est tout à fait astucieux. Notez le tour de passe-passe intellectuelle ici. Le terme n’est pas « musulmano-phobie » ou « anti-musulman », c’est islamo-phobie - la peur de l’islam - et pourtant, la peur de l’islam n’est pas du tout la même chose que la haine de tous les musulmans. On peut craindre l’islam, à tort ou à raison, ou des aspects de l’islam, et n’avoir absolument aucun préjugé contre l’ensemble des musulmans, et encore moins être raciste.
L’équation entre islamophobie et racisme est particulièrement malhonnête. Il y a des musulmans de toutes les races, et l’islam n’a rien à voir avec la race. Néanmoins, les principaux médias occidentaux, des groupes islamistes qui se disent des Groupes musulmans de défense des libertés civiles et diverses organisations occidentales déclarent à maintes reprises que l’islamophobie est du racisme.
Pour ne citer que trois des innombrables exemples : The Guardian a publié un éditorial intitulé, « Islamophobia should be as unacceptable as racism ». L’Union européenne a créé l’Observatoire européen des phénomènes racistes et xénophobes, et la B’nai B’rith Anti-Defamation Commission of Australia a fait remarquer que « les musulmans ont aussi été la cible de racisme en Australie, souvent désigné sous l’appellation « islamophobie ».
Même en admettant qu’il y a des gens qui ont peur de l’islam, quel est le lien avec le racisme ? Si la crainte d’une idéologie rend quelqu’un raciste, tous ceux qui craignent le conservatisme ou le libéralisme doivent être considérés racistes.
Bien sûr, d’aucuns pourraient soutenir que le conservatisme et le libéralisme sont des idées, alors que l’islam est une religion, et qu’on peut attaquer des idées mais pas des religions. Il est toutefois tout à fait insultant pour les religions de nier qu’elles sont des idées. Les religions sont certainement plus que des idées – ce sont des systèmes de croyances théologiques - mais elles sont aussi des idées sur la manière dont la société devrait fonctionner, au même titre que le libéralisme et le conservatisme. Par conséquent, l’islam, le christianisme, le judaïsme et le bouddhisme devraient tout autant être l’objet de critiques que le conservatisme ou le libéralisme.
Toutefois, la seule religion dont l’Occident permet la critique est le christianisme. Les gens écrivent des livres, donnent des conférences et des séminaires sur la fausseté des croyances chrétiennes ou les antécédents immoraux du christianisme, et pourtant nul ne les accuse de racisme ou de bigoterie, et encore moins ne les agresse physiquement. Le chef de l’Anti-Defamation League a déclaré que les chrétiens sont la plus grande menace pour l’Amérique d’aujourd’hui, et nul ne l’a accusé de racisme ou de christianophobie.
Sa déclaration peut être une expression d’hystérie et d’ignorance, mais pas de racisme. Mais si l’on dit que l’islam ne semble pas compatible avec la démocratie ou que le traitement islamique de la femme est inférieur à celui de l’Occident, il ou elle sera étiqueté comme raciste islamophobe.
On pourrait contrer que calomnier les gens qui critiquent n’est pas seulement vrai de ceux qui critiquent l’islam, c’est aussi vrai de ceux qui critiquent Israël – ils seraient antisémites - et l’Amérique – ils ne seraient pas « patriotiques ». Ni l’un ni l’autre n’est véridique. Ce sont, et j’utilise ce mot rarement, des mensonges.
Nul n’est étiqueté antisémite simplement pour avoir critiqué Israël. Les gens qui sont identifiés comme antisémites sont ceux qui nient à Israël le droit d’exister, ceux qui se rangent aux côtés de ceux qui veulent l’exterminer, ou ceux qui veulent singulariser l’État juif par rapport à toutes les autres nations du monde pour des critiques que la plupart des autres pays méritent beaucoup plus.
Et nulle personne douée de raison n’a jamais accusé quelqu’un de manquer de patriotisme pour avoir simplement critiqué les États-Unis. La sénateur Hillary Clinton a allégué lors d’un débat présidentiel que le Département de la défense l’avait accusée de manquer de patriotisme pour avoir demandé si le Département avait un plan pour retirer les troupes américaines d’Irak. Pourtant, non seulement le terme « patriotisme » n’a pas été utilisé dans la réponse à la sénateur, on n’y a même pas fait allusion.
Le fait demeure que le terme « islamophobie » a un seul but - réprimer toute critique, légitime ou non, de l’islam. Et compte tenu de la lâcheté des médias occidentaux et de la collusion de la gauche dans la censure de ces critiques (tout en s’en donnant à cœur joie contre le christianisme et les chrétiens), ça marche !

source: www.pointdebascule.ca

Magdi ovvero l'abbandono del corano, radice del male

Milano - Ora è Magdi Cristiano Allam, ed è una svolta «radicale e definitiva». La conversione è rottura dei ponti con il passato: «Quando credevo che potesse esistere un islam moderato». Scrittore e giornalista, vicedirettore ad personam del Corriere della Sera, Magdi Allam è diventato cattolico la notte di Pasqua, quando Benedetto XVI l’ha battezzato con le sue mani in san Pietro.

Come è cambiata la sua vita da sabato?
«È cambiata la gioia interiore che provo dentro di me, il senso di assoluta sintonia fra i valori in cui ho sempre creduto e il contesto spirituale, culturale e sociale del cattolicesimo a cui ho aderito. Mi sento forte e determinato nel mio percorso per affermare la verità, la vita e la libertà».

A quali valori si riferisce?
«Quelli assoluti, universali, che rappresentano l’essenza della nostra umanità e che devono essere la base inconfutabile del dialogo».

Un esempio?
«Se il dialogo si limita a una dissertazione su ciò che dicono il Corano, il Vangelo o l’Antico Testamento, o a una verifica se il Dio di una religione corrisponda a quello delle altre, allora non si potrà realizzare alcuna civiltà comune dell’uomo. La grandezza di Benedetto XVI è quella di aver affermato che, se parti dai valori inconfutabili che sono l’essenza della nostra umanità e ti accerti che su tali principi ci sia piena sintonia, allora è possibile avviare un percorso di vero riavvicinamento fra culture e religioni diverse».
Nella lettera al Corriere parla di una svolta radicale e definitiva.

Rispetto a che cosa?
«Rispetto a un passato dove ho immaginato che ci potesse essere un islam moderato. E in cui credevo si dovesse difendere a tutti i costi una realtà nella sua essenza dottrinale e teologica. Ma ora ho definitivamente rotto i ponti con l’islam e con ciò che costituisce».

In che senso?
«Oggi estremismo e terrorismo rappresentano la prima emergenza internazionale e la più grave minaccia alla sicurezza nazionale. Ma penso che l’estremismo si alimenti di una sostanziale ambiguità insita nel Corano e nell’azione concreta svolta da Maometto».

Perciò ha scritto che l’islam è «fisiologicamente violento»?
«Il fatto che le efferatezze e le nefandezze dei terroristi trovino una legittimità islamica e coranica obbliga ad approfondire il discorso sulla radice del male. Così ho toccato con mano una realtà incompatibile con quei valori che considero non negoziabili».

Quando è cominciato il percorso di avvicinamento al cattolicesimo?
«Sul piano della conoscenza quando avevo 4 anni, al Cairo. Mia madre decise di affidare la mia educazione alle suore comboniane: lì frequentai asilo ed elementari. Alle medie e al liceo studiai dai salesiani dell’istituto Don Bosco. Ho vissuto in collegio: non ho soltanto studiato la Bibbia, ho sperimentato la convivenza con religiosi cattolici e con ragazzi italiani cattolici. E ho apprezzato la testimonianza di chi, attraverso le opere che mirano al bene comune, attesta la propria fede».

Sua madre era religiosa?
«Sì, musulmana praticante. Scelse le suore perché credeva che i valori fossero fondamentali. Poi se ne pentì un po’. Perché non ho mai condiviso un certo zelo nel praticare l’islam, ho sempre avuto molta autonomia. È così che mi sono reso conto che il cattolicesimo corrisponde perfettamente ai valori che albergano in me».

Quando è arrivata la svolta?
«Cinque anni fa, quando mi sono ritrovato costretto a vivere con la scorta per le minacce degli estremisti. E questo nonostante il mio impegno per diffondere in Italia un islam moderato. Ma questa azione si è rivelata sterile e quelle stesse persone che ritenevo moderate non lo erano affatto: mi sono dovuto ricredere».

La sua conversione è una sconfitta dell’islam moderato?
«Non si può parlare di islam moderato ma, piuttosto, di musulmani moderati. Il dialogo è possibile solo con chi, in partenza, aderisce ai valori assoluti. Primo fra tutti la sacralità della vita. È il principio fondamentale: ma la vita è oltraggiata e vilipesa al punto che, per alcuni, come i terroristi suicidi, la massima spiritualità cui ambire è la morte».

Che altro ha influito sulla sua conversione?
«Negli ultimi anni ho incontrato molte persone cattoliche di buona volontà. In Comunione e liberazione, in religiosi semplici di grande spiritualità, come suor Maria Gloria Riva e don Gabriele Mangiarotti. Ma il ruolo primario l’ha avuto il Papa, Benedetto XVI».

Perché?
«Mi ha convinto della bontà di una religione fondata sull’indissolubilità di fede e ragione. Ha detto che la base per accreditare una religione come vera è l’accettazione dei diritti fondamentali della persona, la sacralità della vita, la libertà di scelta, la parità fra uomo e donna».

Difese il Papa già dopo il discorso di Ratisbona nel 2006.
«Sono orgoglioso di averlo difeso, da musulmano. E non l’ho fatto solo per il diritto formale alla libertà di espressione: l’ho sostenuto anche nel merito della sua analisi sull’espansione dell’islam».

Il cammino è stato lungo, ma a un certo punto si sarà detto: «Mi converto». Quando?
«Circa un anno fa. Mi sono confidato con monsignor Rino Fisichella, che mi ha seguito nel mio percorso. Un lungo tragitto che ha trovato il culmine sabato sera».

Essere battezzato dal Papa non è da tutti. Che cosa si prova?
«Un’emozione fortissima. Sono rimasto teso per tutta la cerimonia. Lo considero il dono più grande che la vita potesse riservarmi».

E le polemiche?
«In Italia esistono alcune migliaia di convertiti dal cristianesimo all’islam, e nessuno li ha mai condannati o minacciati. Viceversa, se un musulmano si converte succede il finimondo ed è condannato a morte per apostasia. In Italia ci sono migliaia di convertiti che vivono la loro fede in segreto, per paura di non essere tutelati. Mi sono convertito pubblicamente per dire a queste persone: uscite dalle catacombe, vivete in modo chiaro la vostra fede. Non abbiate paura».

Ha detto che la Chiesa ha paura ad accogliere pubblicamente i convertiti: perché?
«La Chiesa teme di non poterli tutelare. E per le rappresaglie che possono subire i cristiani nei Paesi musulmani. Ma è sbagliato: l’estremismo e il terrorismo sono fenomeni di natura aggressiva, non reattiva. Giovanni Paolo II condannò la guerra in Irak: e in Irak i cristiani sono massacrati».

Andrà a Messa. Ha paura?
«Purtroppo vivo sotto scorta da 5 anni: andrò blindato anche in chiesa. Ho intitolato un mio libro Vincere la paura: perché l’obiettivo dei terroristi islamici è raggiunto se ci lasciamo sopraffare dalla paura. È questa la loro arma».

Si aspettava critiche?
«Ho messo in conto reazioni violente da parte di alcuni, ma non mi lascio intimidire. È una battaglia di civiltà, che va combattuta e vinta tutti insieme. Altrimenti sarà la fine della nostra civiltà occidentale e dell’Italia come nazione. Ma sono confortato da un fiume di telefonate, messaggini ed email di tantissimi italiani. La maggior parte della gente perbene ha condiviso il mio gesto. È questo che conta».

 

21/03/2008

Bruxelles, Europe, la catastrophe culturelle qui se dessine pour les générations futures

La capitale européenne sera musulmane dans vingt ans. C'est du moins ce qu'affirme une étude publiée la semaine dernière dans le quotidien La Libre Belgique. Près d'un tiers de la population de Bruxelles étant déjà musulmane, indique Olivier Servais, sociologue à l'Université catholique de Louvain, les pratiquants de l'islam devraient, en raison de leur forte natalité, être majoritaires «dans quinze ou vingt ans». Depuis 2001, Mohamed est, chaque année, et de loin, le premier prénom donné aux garçons nés à Bruxelles.

«Il faut relativiser ces chiffres, insiste Mahfoud Romdhani, député socialiste et vice-président du Parlement francophone bruxellois. Les immigrés de pays musulmans ne sont pas tous musulmans ! Moi-même, je suis de culture musulmane, mais agnostique.» Olivier Servais se veut d'ailleurs prudent sur les projections à long terme, Bruxelles subissant des flux de population importants en tant que capitale de l'Union européenne.

Reste, constate La Libre Belgique, que «si leurs parents n'étaient guère pratiquants», pour faciliter l'intégration dans leur pays d'accueil, «les jeunes marquent un retour important vers le fait religieux». Quelque 75 % des musulmans s'estiment aujourd'hui pratiquants. Auteur d'Infiltrée parmi les islamistes radicaux *, la journaliste flamande Hind Fraihi va plus loin : «Les jeunes sont de plus en plus radicalisés, affirme-t-elle. Ils rejettent les valeurs occidentales, même leurs parents s'en inquiètent. À Bruxelles, il existe des îlots, comme Molenbeek, où l'on a parfois du mal à se croire en Belgique…»

Du bazar Tafoukte à la bijouterie Mohammed, les musiques du Maghreb envoûtent le passant. Encombrée de seaux en plastique multicolores, de chaussures de sport et de caftans chatoyants, la ruelle piétonnière du Prado conduit à la mairie de Molenbeek, le quartier marocain de Bruxelles. Presque toutes les femmes sont voilées et les commerçants parlent arabe. «On se sent mieux, ici, qu'en France ou en Espagne, assure Akim, gérant d'un magasin de vêtements. Peut-être parce qu'on est une grande communauté. C'est comme au pays !»

Il y a quelques années, raconte Philippe Moureaux, le bourgmestre PS de Molenbeek, «des musulmans sont venus me trouver : ils voulaient que je sois le “président” de leur nouvelle mosquée…». C'est dire si cet ancien ministre, pourtant agnostique, est bien vu par le «gros tiers» de musulmans parmi ses 83 000 administrés. Création d'un Conseil consultatif des mosquées doté d'allocations de la mairie, ouverture d'un abattoir municipal pendant la fête du sacrifice, présentation d'une liste électorale comprenant une majorité de musulmans… «Ce sont des gestes de respect qui m'ont valu la confiance de cette communauté, explique le bourgmestre. On a été très loin, certains disent trop loin. Mais pour moi, la seule solution, c'est l'ouverture.»

Selon Alain Escada, président de l'association Belgique et chrétienté, «on va d'abandon en abandon». «De plus en plus de cantines introduisent des menus halal aux dépens des chrétiens, déplore-t-il. Les autorités ne font plus leur travail : les politiques, qui, avec une vision à court terme, sont prêts à tout pour séduire un nouvel électorat, mais aussi le clergé, qui met les musulmans et les chrétiens sur un pied d'égalité, alors que c'est loin d'être réciproque : voyez cet archevêque assassiné récemment en Irak !»

Pour l'instant, «l'essentiel de l'islam belge est paisible et familial, souligne Olivier Servais, mais un jour il y aura peut-être une revendication claire d'islam. Je n'exclus pas des explosions sociales.» Des partis communautaristes, redoute-t-il, pourraient capitaliser sur le taux de chômage très élevé à Bruxelles (plus de 20 % de la population), qui frappe notamment la population musulmane.

Jean-François Bastin, un Belge de 65 ans coiffé d'un turban à carreaux et la barbe teinte au henné, s'appelle aujourd'hui Abdullah Abu Abdulaziz Bastin. Converti à l'islam, il a fondé en 2004 le Parti des jeunes musulmans. Abdullah ne serre pas la main des femmes. «C'est tromper Allah, lâche-t-il. C'est aussi tromper celle à qui l'on donne la main, en lui faisant croire que vous êtes égaux. Mais je vous fais un grand sourire !» s'empresse-t-il d'ajouter.

Lui-même clame que les sourires, que certains politiques font aux musulmans ne sont qu'une «instrumentalisation grossière : Il y en a assez de cette sorte de néocolonialisme, s'emporte-t-il. Ils prétendent qu'ils vont nous défendre, et ensuite ils interdisent le foulard à l'école !». Aux dernières élections municipales, le PJM, qui ne se présentait que dans deux quartiers de Bruxelles, a rassemblé moins de 5 000 voix. «Nous pourrions prendre appui sur cette étude pour exiger plus de mosquées visibles, des appels à la prière, des cimetières, des écoles, des maisons de retraite…, s'emballe le converti. Moi je dis aux musulmans : “Perdez cet esprit de colonisé ! Les colons se sont fait bouter hors d'Algérie, c'est peut-être ce qui se passera ici.”» Les immigrés, conclut-il, en ont assez fait, et «même trop» pour s'intégrer : «c'est désormais à la Belgique de s'adapter».

SOURCE: http://www.lefigaro.fr/international/2008/03/21/01003-20080321ARTFIG00068-l-islam-premiere-religiona-bruxelles-dans-vingt-ans.php

Les promoteurs de la sharia preparent l'après-pétrole

RYAD (Reuters) - L'Arabie saoudite envisage de mettre sur pied un fonds souverain de taille modeste, doté de six milliards de dollars (3,9 milliards d'euros), le royaume préférant concentrer ses ressources sur des projets domestiques.

"Nous en sommes au stade de la conception mais le fonds ne sera pas très important. Il disposera de seulement six milliards de dollars environ et sera géré par le fonds d'investissement public", déclare Hamad el-Sayyari, à la tête de l'Agence monétaire de l'Arabie saoudite (SAMA), l'équivalent de la banque centrale, dans une publication de l'Oxford Business Group dont Reuters s'est procuré une copie vendredi.

La question des fonds souverains préoccupe les dirigeants occidentaux, qui se demandent ce que des pays comme la Chine, la Russie ou encore des Etats du Golfe comptent en faire.

L'Autorité d'investissement d'Abou Dhabi (ADIA), piloté par l'émirat d'Abou Dhabi, est considérée comme le plus important fonds souverain du monde avec 800 milliards de dollars gérés.

Dans l'article de l'Oxford Business Group, le patron de la banque centrale saoudienne précise que la priorité du pays est de se "concentrer sur le développement de l'économie nationale, de la diversifier et de créer des emplois".

Le numéro deux de la banque centrale, Mohammed el-Jasser, avait dit en janvier que l'Arabie saoudite, premier exportateur mondial de pétrole et allié des Etats-Unis, qu'un fonds souverain était en préparation.

Des membres de la famille royale et des hommes d'affaires saoudiens ont déjà fait nombre d'investissements à l'étranger.

Andrew Hammond, version française Benoit Van Overstraeten

SOURCE: www.latribune.fr