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22/06/2009

Voici comment l'islam traite les minorites

Quelle coïncidence ! Lorsque, ce  dimanche,  16 juifs du Yémen ont atterri en Israël pour s'y établir et faire  leur Aliyah  (organisée par l'Agence Juive),  la cour de cassation du Yémen a prononcé la sanction de la  peine capitale contre El Abad El Aziz El Abadi,  qui a assassiné son compatriote juif, Moshé Yaish-Nahari, en décembre dernier dans un marché de la ville de Raïda, dans le nord du pays, sous prétexte que "tous les juifs doivent se convertir à l’islam". 

Le recours de la famille du défunt a ainsi été accepté par la Cour suprême, après qu'un premier verdict du tribunal n'ait condamné le meurtrier à ne verser que des indemnités, sans même devoir encourir une peine de prison.  

La peine de mort prononcée ce dimanche contre l'assassin de Moshé Yaish  intervient  après que le président Saleh se soit engagé à prendre des mesures concrètes pour la protection des Juifs. Au Yémen le harcèlement, les pressions et les attaques se multiplient dans ce pays où l’islam radical a le vent en poupe. 

Il est quand même incroyable que ce  pays arabe ne puisse tolérer ou protéger la petite communauté juive y vivant alors qu'Israël a deux millions d'arabes sur son sol !  

Ces derniers mois, une trentaine ont émigré en Israël, à la faveur d’opérations spéciales de l’Agence juive. Dix juifs yéménites sont arrivés le 19 février dernier en Israël à la faveur d'une "opération spéciale" de l'Agence juive, à la suite d'agressions contre leur petite communauté au Yémen. Aujourd'hui il n'y a pratiquement plus de juifs en pays arabe du Moyen Orient sauf au Yémen où quelques centaines de personnes sont à nouveau persécutées.  

Au lendemain de la Shoah, entre 1945 et 1970, une civilisation de vingt siècles a disparu.   

Du Maroc à l’Iran en passant par l’Algérie, l’Égypte, le Liban, l’Irak et le Yémen, les Juifs du monde arabo-musulman se sont retrouvés sur les routes de l’exil. Installées pour la plupart avant l’instauration de l’islam, leurs communautés ont vu leur univers s’effondrer dans la violence ou au terme d’une pression plus sournoise. Tel fut le destin d’environ 900 000 personnes, originaires de onze pays, confrontées à l’extrémisme et au nationalisme arabe du lendemain de la Seconde Guerre mondiale. 

Des Juifs avaient fui ou avaient été expulsés, après l’application de lois discriminatoires, des extorsions, des arrestations, des internements et des exécutions. Ceux qui sont restés sont devenus assujettis, otages politiques dans le conflit israélo-arabe. Aujourd’hui, en dehors de quelques 4500 Juifs âgés, les pays arabes sont "nettoyés" de leurs Juifs. Il faut noter qu’en 60 ans les pays arabes ont été vidés de leurs Juifs, alors qu’en Israël et les territoires autonomes, la population musulmane a été multipliée par six. 

La "Nakba" juive ou catastrophe en arabe, n’a pas seulement vidé des capitales comme Bagdad, qui était juive pour un tiers, des ses Juifs, elle a aussi déchiré le tissu culturel, social et économique de ces terres arabes. Les Juifs ont perdu leurs maisons, leurs synagogues, hôpitaux, écoles, cimetières et des terres ayant comme superficie 5 fois la terre d’Israël. Cet héritage ancien, datant de plus de 1000 ans avant l’arrivée de l’Islam, a été entièrement détruit.

 

Ftouh Souhail

http://adnauseam.hautetfort.com/archive/2009/06/22/fin-de...

Si tu respectes les Droits de l'Homme, alors refuse l'islam!

WWW.RIPOSTELAIQUE.COM:

Notre collaboratrice Christine Tasin a reçu, sur son blog, de la part d’un lecteur de RL, Pascal Olivier, une réaction dont j’extrais ce passage.

« La critique de gauche de l’islam que j’appelais de mes vœux, ne peut plus attendre si nous voulons retrouver le peuple. Nous ne pouvons pas continuer à laisser seul “Riposte Laïque” sauver l’honneur de la gauche.

Il n’y a rien de plus droitier, de plus efficace contre la gauche, de plus gauchicide que l’islam et dans les périodes troubles qui s’annoncent, grande pourrait être la tentation de nos oligarchies d’utiliser ce formidable instrument de coercition qu’est l’islam.

Il faut faire vite avant qu’Obama-Caracalla ne se transforme en Obama-Constantin et n’organise l’islam en religion de l’Empire. L’obscène révérence d’Obama devant le roi d’Arabie Saoudite et le discours du Caire, ne sont qu’un début. »

Dans le même temps, un autre de nos lecteurs, Georges Brousse, membre de la Libre Pensée, se faisait traiter de « bouffeur d’arabe », donc de raciste, par un militant trotskiste de son organisation, pour avoir osé défendre notre journal, dans une réunion interne (1).

Pour rester chez les trotskistes, Alain Bleuzet nous informe que sur le site des amis de la LCR, la rubrique la plus volumineuse s’intitule « La LCR et Riposte Laïque », et nous apprend que notre journal s’y fait régulièrement injurier (2).

Nous n’avons pas oublié, dans un autre registre, certains qualificatifs aimables délivrés à notre encontre par quelques « camarades laïques », qui, à Saint-Denis, nous qualifiaient, eux aussi, de « racistes », pour justifier l’interdiction faite à l’Union des Athées de Saint-Denis de vendre notre livre (3). Nous n’oublions pas davantage les propos de ce philosophe, qui a osé écrire que notre position lors des bombardements de Gaza (condamnation sans réserve du Hamas) était indigne de la laïcité, et que nous encouragions le fameux « choc des civilisations » (4).

Pourtant, quel réconfort de lire, sous la plume de Mohamed Sifaoui, un texte magnifique de courage et de lucidité, qui va encore plus loin que les écrits de Riposte Laïque, lors des événements de Gaza. (5) Pour ce musulman, qui se reconnaît dans les principes laïques et républicains de notre pays, et se dit de gauche, l’ennemi numéro un n’est pas Israël, c’est le Hamas, le vrai danger, c’est bien le fascisme islamique. Un pavé dans la marre de toute une partie de la gauche, qui a osé se joindre aux partisans du Hamas, imposant slogans haineux contre Israël et prières dans la rue, lors des manifestations parisiennes.

Les derniers événements ne donnent-ils pas entièrement raison à l’analyse de Pascal Olivier ? L’islamo-fasciste Ahmadinejab vient d’être élu au premier tour (écoutez la vidéo de Christine Tasin), en Iran. (6) Le Hamas, lui, n’hésite pas à se féliciter du discours d’Obama, au Caire. Comment ne pas approuver la réaction très critique de Wafa Sultan, psychiatre d’origine syrienne vivant aux Etats-Unis, qui affirme vouloir combattre l’islam, et pas l’islamisme ? (7)

Qui peut croire une seule seconde que les islamistes les plus radicaux, après les propos d’Obama, défendant le droit à porter le voile partout, ne vont pas accentuer leur harcèlement contre les démocraties européennes ?

Qui peut croire que le discours de Sarkozy, oubliant carrément de défendre la loi du 15 mars 2004 (qu’il a toujours combattue) dans sa réponse à Obama, ne va pas encourager les islamistes à accentuer les pressions communautaristes, en France ?

Nous sommes agressés depuis vingt ans par une offensive sans précédent contre la laïcité, de la part d’un fascisme politico-religieux qui annonce la couleur : imposer la charia à toute l’Europe. Quand on voit la situation de villes comme Rotterdam, Bruxelles, et de nombreux quartiers français, l’évolution, en vingt ans, est effrayante. Et le président du plus grand pays du monde, dont la complaisance avec l’islam est préoccupante, leur envoie ouvertement ses encouragements, relayé par un président français qui oublie de défendre les principes laïques de son pays.

Pascal Olivier a raison, la gauche devrait être au premier rang, face à l’islam, ses voiles, ses mosquées, son communautarisme et ses demandes permanentes d’accommodements raisonnables avec la laïcité. Ce sont ses valeurs qui sont agressées. Pourtant, elle est, depuis plus de vingt ans, au mieux aux abonnés absents, au pire aux côtés des islamistes, en croyant faire de l’antiracisme !

Le mouvement laïque devrait être au premier rang. C’est la laïcité qui est agressée. Pourtant, à l’exception de l’ADLPF, au mieux, les associations laïques font des diversions sur le Vatican et Sarkozy (même si ce qu’ils disent est vrai) pour mieux dissimuler leur silence honteux sur l’islam. Au pire, elles nous insultent, et boycottent, par sectarisme, un ouvrage comme « Les dessous du voile », qui pourtant, devrait susciter un vrai débat, chez des gens se réclamant libres d’esprit. Fait accablant : à notre connaissance, aucune n’a protesté contre les propos d’Obama, ni ceux de Sarkozy !

Le mouvement féministe devrait être au premier rang. Là encore, mis à part notre collaboratrice Annie Sugier et Sihem Habchi, présidentes de la Ligue du Droit International des Femmes et de Ni Putes Ni Soumises, on n’entend guère le Collectif du Droit des Femmes (CNDF) ou les différents collectifs de province, noyautés par des bureaucrates gauchisants, qui, pour la plupart, approuvaient le voile à l’école, et ont combattu la loi du 15 mars 2004.

Le mouvement républicain devrait être au premier rang, c’est la République qui est agressée. Or, qu’il s’agisse de Jean-Pierre Chevènement, qui a, le premier impulsé le création du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), en capitulant sur l’apostasie devant les islamistes, de Jean-Luc Mélenchon, qui ne parle laïcité que contre le dalaï lama ou le Vatican, mais fort rarement contre les fous d’Allah, ou de Nicolas Dupont-Aignan, bien discret sur cette question, nous avons droit à un silence assourdissant.

Pascal Oliver dit que nous sauvons l’honneur de la gauche. Nous sommes flattés. Mais nous ne considérons pas que le combat laïque et républicain appartienne à la seule gauche. Nous connaissons de vrais laïques, qui ne votent pas à gauche, et qui pourtant défendent bec et ongles la séparation du religieux et du politique, et l’esprit de la loi de 1905, avec bien plus de pugnacité que nombre d’élus socialistes, communistes ou écologistes.

Nous ne nous satisfaisons pas de la situation actuelle. Nous sommes convaincus que le cœur des militants de gauche ne peut se reconnaître dans le silence complice de la majorité de ses dirigeants. Nous savons que le combat mené par nos ancêtres contre l’emprise de l’Eglise catholique a laissé des traces, qu’il fait partie de notre histoire, qu’il est dans nos veines. Et, parce que nous avons des amis, dans toutes les organisations, nous savons que les insultes lancées contre notre journal masquent le malaise et la mauvaise conscience de ceux qui les profèrent, car les positions deRiposte Laïque sont populaires chez beaucoup de militants de base.

Nous ne cherchons pas à être seulement « l’honneur de la gauche », comme nous le dit de manière si sympathique Pascal Olivier, nous cherchons surtout, avec d’autres, à susciter le réveil du peuple français, qui a besoin, pour défendre ses valeurs, d’une gauche républicaine et laïque… à l’opposée de celle incarnée par Cohn-Bendit, Aubry, Buffet ou Besancenot.

Donc, quitte à provoquer quelques nouvelles insultes, nous continuerons à écrire ce que nous disons depuis bientôt deux ans : la gauche ne pourra pas reconquérir le peuple si elle ne s’empare pas de la laïcité. Elle devra le faire clairement, sans faux-fuyant, et dire ce que chaque citoyen lucide constate : il faut en finir avec l’offensive islamique contre les valeurs de notre pays, et réaffirmer la République, sinon, c’est l’islam qui va triompher.

Nous encourageons tous ceux qui, comme Georges Brousse, en ont marre des insultes à notre égard, à ne pas se laisser intimider par les petits marquis du politiquement correct, et à leur répondre avec toute l’insolence et la gouaille dont la culture de gauche, forcément frondeuse et rebelle, est capable.

« Le seul esprit libre et indépendant est celui qui ne se soucie pas des conséquences quand il a la certitude d’avoir été fidèle à ses valeurs »

Laurent Martinez

(1) http://www.ripostelaique.com/Militant-de-la-Libre-Pensee-...

(2) http://www.ripostelaique.com/Le-forum-des-amis-de-la-LCR-...

(3) http://www.ripostelaique.com/Comment-j-ai-ete-empeche-de-...

(4) http://www.ripostelaique.com/Aux-responsables-de-Riposte-...

(5) http://www.ripostelaique.com/A-lire-Gaza-le-grand-mensong...

(6) http://www.youtube.com/watch ?v=qenfmR1WNqc

(7) http://www.bivouac-id.com/tag/wafa-sultan/

La valise ou le c...oran

burka-france3.jpgSi on m’empèche de porter la burqa (ou plutot le Niqab) je ne sors plus ou je retourne dans un pays musulman”C’est la réponse d’une femme à burqa (niqab! ) interwievée ce matin sur France infos.

Cette phrase a été entendue aussi, ici au Canada.

Elle est le fruit d’une manipulation, Effectivement, ils savent que nos Pays sont soucieux de tolerance, alors ils menacent.

Ils pensent que nos Pays ne les laisseront pas partir, mais à un moment il va falloir faire des choix.

Ces femmes voilées font-elles tourner le Pays? Éduquent-elles leurs enfants avec l'amour pour la Patrie dans laquelle elles vivent? Peuvent-elles suivre les Pays dans leur démarche de démocratisation et de liberté? Quels sont les apports bienfaisants qu’elles apportent à leur Pays d’accueil? Seront-elles en mesure d’aller travailler afin de contribuer aux caisses de retraite et aux autres caisses qui fournissent plus de confort aux populations occidentales (pensons sécurité sociale, médecine, logements sociaux, routes, ponts, écoles, gestion des villes, distribution de l’eau et maintien des aqueducs, éducation? Parce qu’en fin de compte, tous ces services que l’on pense gratuits, ils sont payants d’une manière ou d’une autre.

La réponse est : NON

Ces islamistes profitent de tous les bienfaits de l’Occident (alloc en tout genre, soins de santé, système éducatif, transport, démocratie, liberté, etc.) maisi sont incapables de lever le petit doigt pour venir au secours des Pays industrialisés. Au lieu d’améliorer l’état de santé des Pays d’accueil, elles le rendent encore plus malade. Elles le détournent de son chemin vers une vie meilleure. Elles lui volent son avenir. L’étouffent, le tuent.

LE CORAN A ETRANGLE LES PAYS ISLAMISES: IL NE PEUT EN AUCUN CAS SAUVER NOS PAYS.

En plus, ces islamistes sont des lâches, Ce qu’ils viennent réclamer dans nos Pays occidentaux, ils ne peuvent pas en réclamer la moitié d’un quart dans leur pays d’origine. Au lieu de vivre et d’essayer d’évoluer dans leur pays d’origine, ils viennent ici, se disant libres, pour essayer de nous imposer leur vision du futur alors que chez eux, après l’ère du pétrole, ils rentreront dans l’ère des subventions internationales, car comme d’habitude, ils sont incapables de créer de la richesse materielle ou culturelle que ce soit pour eux ou pour les autres.

Les Iraniens, aujourd’hui se battent dans les rues pour essayer d’acquérir cette liberté qu’ils ont perdu ou n’ont jamais eue.

L’islam n’a pas sa place dans aucune société composee d’Étres Humains qui se respectent.

PS: Tournez tous les sujets au masculin, le resultat sera le meme!

 

Democratie versus islam

NEDA_a1.jpgMir Hossein Moussavi, rival malheureux de Mahmoud Ahmadinejad à la présidentielle en Iran, a affirmé dimanche que la contestation contre la fraude était un droit, tout en appelant ses partisans à la "retenue", après la mort d'au moins dix personnes dans une manifestation.

Plus tôt, Téhéran a durci le ton contre l'Occident et en particulier contre la Grande-Bretagne, accusée d'avoir voulu saboter le scrutin présidentiel du 12 juin, alors que la crise la plus grave depuis la fondation de la République islamique en 1979 est entrée dans sa deuxième semaine.

"En tant que personne endeuillée" par les morts de la manifestation de samedi, "j'invite mon cher peuple à la retenue", écrit M. Moussavi, un ancien Premier ministre, dans un communiqué publié par le site internet de son journal Kalemeh.

"Protester contre le mensonge et la fraude est votre droit", poursuit M. Moussavi qui conteste les résultats de l'élection et réclame son annulation.

"Espérez obtenir vos droits et ne permettez pas que ceux qui veulent vous mettre en colère réussissent", déclare le candidat conservateur modéré, disant aussi souhaiter "que la police et l'armée n'agissent pas de manière irréparable envers le peuple".

La télévision d'Etat a affirmé que 10 personnes avaient été tuées et plus de 100 blessées samedi dans des manifestations, mettant en cause des "agents terroristes" munis d'armes à feu et d'explosifs, qu'elle n'a pas identifiés. La chaîne de télévision publique en anglais Press-TV a fait état de 13 morts.

Ces décès portent à au moins 17 le nombre de personnes tuées depuis lundi dernier lors des manifestations contre la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad.

De son côté, le président ultraconservateur a demandé à Londres, mais aussi à Washington, de cesser leurs "ingérences" dans les affaires iraniennes.

"Ce n'est pas en tenant des propos hâtifs que vous entrerez dans le cercle des amis de la nation iranienne", a déclaré Mahmoud Ahmadinejad sur son site internet. "Pour cette raison, je vous demande de cesser vos ingérences."

Peu auparavant, son ministre des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a accusé Londres de complot contre l'Iran, affirmant que "des "+éléments+ liés aux services secrets britanniques" avaient afflué en Iran avant l'élection.

A Londres, ces accusations ont été balayées.

"Je rejette catégoriquement l'idée que les manifestants en Iran sont manipulés ou motivés par des pays étrangers", a déclaré le secrétaire britannique au Foreign office, David Miliband.

De même, à Washington, la démocrate Dianne Feinstein, qui dirige la commission du Renseignement au Sénat, a déclaré que les services de renseignement américains n'avaient que peu de prise sur ce qui se passe en Iran.

Au-delà des simples déclarations, les autorités iraniennes ont aussi décidé d'expulser le correspondant permanent de la BBC à Téhéran, Jon Leyne, sommé de quitter le pays sous 24 heures pour avoir "soutenu" les émeutiers, selon l'agence Fars, proche du gouvernement.

Le ministère iranien de la Culture a en outre menacé les médias britanniques de "mesures de rétorsion" s'ils continuaient "d'interférer dans les affaires intérieures de notre pays en diffusant des informations mensongères ou inexactes de l'Iran".

Selon l'organisation Reporters sans frontières, trois journalistes iraniens ont été arrêtés et incarcérés depuis samedi, portant à 33 le nombre de journalistes et cyberdissidents iraniens derrière les barreaux.

Un journaliste canadien qui travaille en Iran pour Newsweek, Maziar Bahari, a été arrêté par les autorités iraniennes, a annoncé pour sa part l'hebdomadaire américain.

La chaîne de télévision d'informations en continu à capitaux saoudiens, Al-Arabiya, a annoncé que la fermeture de son bureau de Téhéran, en vigueur depuis le 14 juin, avait été prolongée "jusqu'à nouvel ordre".

Et le gouvernement iranien a convoqué les ambassadeurs et représentants des 27 pays européens en poste à Téhéran, selon le ministre tchèque des Affaires étrangères, Jan Kohout, dont le pays assure la présidence de l'Union européenne.

Le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel ont pris dimanche la tête des critiques contre les autorités iraniennes, le premier réclamant "que la lumière soit faite" sur l'élection présidentielle, la seconde appelant à "un nouveau décompte des voix".

Tous deux ont réclamé la fin de la répression et des violences contre les manifestants.

20/06/2009

Lisez cela, tout commentaire est superflu!

Les musulmans, les non musulmans, et une MUTILATION SEXUELLE appelee CIRCONCISION:

 

http://www.mejliss.com/showthread.php?p=4028589

 

PS: appreciez: l'ouverture d'esprit, la tolerance vis-a-vis de la critique, la legitimation de la tricherie, et tout le reste.....

19/06/2009

Islam, culture des Lumieres

Le gouvernement français n'a pas exclu vendredi une loi pour interdire le port du niqab ou de la burqa, devant le débat lancé par des parlementaires qui dénoncent ce voile intégral revêtu par certaines femmes musulmanes en France.

Une enquête "doit nous permettre de voir plus clair sur le sujet", de "mesurer l'ampleur du phénomène et puis ensuite de prendre les décisions qui s'imposeront", a affirmé le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel. "Pourquoi pas" une loi, a-t-il dit.

Le président français Nicolas Sarkozy a fait savoir qu'il s'exprimerait sur le sujet lundi, lors d'un discours devant le Parlement, destiné à présenter de nouvelles réformes.

Une demande de commission d'enquête parlementaire sur le port de la burqa, signée par une soixantaine de députés a ravivé ces derniers jours la polémique sur la laïcité en France, seul pays européen à avoir légiféré, en 2004, pour interdire le voile islamique à l'école.

Signe de la sensibilité du sujet en France, où vivent 5 millions de musulmans, la question divise les associations, la classe politique, et jusqu'au gouvernement.

La secrétaire d'Etat à la Ville Fadela Amara, d'origine algérienne, a prôné vendredi "l'interdiction totale de la burqa" et qualifié le niqab de "cercueil qui tue les libertés fondamentales".

En revanche, le ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale Eric Besson a réaffirmé son "scepticisme" face à une loi qui serait "inefficace". La veille, il avait déjà jugé "inopportun de relancer une polémique" sur les signes religieux et "dangereux" de remettre en cause l'équilibre trouvé par la loi de 2004.

D'autant que le port du voile intégral est considéré comme "très marginal" par les organisations musulmanes. Quelque 2.500 femmes, se réclamant du salafisme, un islam puritain et ritualiste, seraient concernées, selon des enquêtes récentes.

L'opposition socialiste a appelé à éviter les solutions "simplistes". "Bien sûr qu'on est opposés à la burqa, au voile intégral, mais ce que je souhaite d'abord c'est qu'on s'occupe de l'insertion de ces populations", a expliqué sa dirigeante Martine Aubry, faisant référence au chômage qui frappe particulièrement les banlieues défavorisées à forte population musulmane.

C'est dans la périphérie des grandes villes, comme Paris et Lyon (centre-est), que le phénomène du niqab est le plus visible et en augmentation, selon les parlementaires favorables à son interdiction.

Le Conseil français du culte musulman (CFCM), organe représentatif de la communauté, s'est élevé contre l'idée d'une enquête parlementaire, craignant un "amalgame" et la "stigmatisation des musulmans".

Une idée partagée par Cyrille Aillet, spécialiste de l'islam à l'université de Lyon II: "ce débat n'a pas lieu d'être dans la mesure ou c'est un phénomène ultra-minoritaire et ou il y a déjà un dispositif législatif en France".

"Légiférer sur ce point c'est faire le jeu des extrémismes car quand ce type d'insigne (burqa, niqab) est porté c'est le signe d'une pratique puritaine de la religion", dit-il.

Pour Dounia Bouzar, ex-membre du CFCM spécialiste de l'islam en France, poser le débat sur le niqab dans des termes religieux est une erreur. Elle estime que "l'argument sécuritaire" doit être utilisé, comme en Belgique, où dans certaines villes toute personne qui masque son visage hors période de carnavals est passible d'amende. "C'est du droit commun. Cela ne stigmatise pas de religion", dit-elle à l'AFP.

 

13/06/2009

Gheddafi a Roma: per il petrolio l'Occidente vende la sua dignita'

GHE.jpgIncredibile ma vero! Dopo la visita trionfale a Parigi alla corte dell'imperatore Nicolas I Sarko, dopo i tappeti rossi (o meglio verdi) spiegati a Madrid da Zapatero, ecco che il dittatore criminale Muhammar Gheddafi, mandante della strage di Lockerbie, alleato del genocidario Omar Al Bechir, paladino notorio dei diritti umani e delle minoranze etniche e religiose, viene ricevuto in gran pompa in Italia. Palazzo Chigi, Quirinale, Parlamento, ci manca solo il Vaticano, ma di quello Muhammar se ne frega, almeno finche' non sia trasformato in moschea, come Santa Sofia ad Istanbul.
Le innumerevoli vittime di questo lurido assassino si rigirano nella tomba, ma poco importa...Paris vaut bien une messe, ed il petrolio Agip vale almeno una leccatina di piedi...anzi due,tre,...

GHEDDAFI GO TO HELL, YOU AND YOUR FAMILY!!!!!!!!

10/06/2009

SOS racisme + Socialos = mise en cause pour abus de biens sociaux

Le président de SOS Racisme, Dominique Sopo, a été placé en garde à vue mardi par les policiers de la Brigade financière qui ont également perquisitionné le siège de l'association dans l'enquête sur des mouvements de fonds suspects sur les comptes du socialiste Julien Dray.

M. Sopo et cinq membres de SOS Racisme sont entendus depuis mardi matin par les policiers dans les locaux de la rue du Château des Rentiers (XIIIe), a indiqué une source judiciaire.

"Certains de ces six membres de SOS Racisme, dont le président, sont entendus sous le régime de la garde de vue", a-t-on précisé de même source.

Leur garde à vue est susceptible de durer 48 heures.

Une perquisition était également "en cours" mardi en fin de journée au siège de SOS Racisme, situé avenue de Flandre (XIXe arrondissement), selon cette source, sans fournir plus de précisions.

Ni SOS Racisme ni l'avocat de l'association, Me Jacky Benazerah, n'avaient pu être joints mardi par l'AFP.

Les policiers enquêtent, sous la direction du parquet de Paris, sur de mouvements de fonds suspects décelés sur des comptes bancaires du député (PS) de l'Essonne par la cellule antiblanchiment de Bercy, Tracfin.

Ils soupçonnent l'élu socialiste, âgé de 54 ans, d'avoir bénéficié, par l'intermédiaire de proches collaborateurs, de fonds issus de comptes de l'association Les Parrains de SOS Racisme et de l'organisation lycéenne Fidl, depuis janvier 2006.

M. Dray, qui est un des co-fondateurs de SOS Racisme et de la Fidl, aurait bénéficié d'une partie d'une somme estimée à 351.027 euros.

Depuis l'ouverture de cette enquête le 10 décembre pour "abus de confiance", plusieurs membres de SOS Racisme, notamment du département de l'Essonne, ont été entendus par la police.

Outre les liens historiques qui unissent M. Dray à l'association, celle-ci a employé ses deux plus proches collaborateurs par lesquels aurait transité une partie des sommes.

Selon plusieurs sources proches de l'enquête, d'autres auditions pourraient être menées "prochainement", les enquêteurs ayant attendu la fin de la campagne des élections européennes pour entendre les principaux protagonistes de l'affaire, éventuellement sous le régime de la garde à vue......

 

SOURCE :http://news.fr.msn.com/article.aspx?cp-documentid=147878316

07/06/2009

Obama: retorica e ignoranza in pasto alle masse

Sarebbe bello vivere nel mondo disegnato ieri da Obama al Cairo, ma il senso di realtà suggerisce che non sarà possibile. Tralasciamo le ovvie parole di apprezzamento per la volontà di pace e per il coraggio politico del presidente americano: chi potrebbe negarli. Obama ha tentato al Cairo di creare con la forza della sua magia una svolta epocale, quella in cui non esiste il conflitto fra islam e Occidente. Ne è risultato il ritratto un po’ banale di un giovane presidente buono. Obama immagina il mondo a partire dalla sua autobiografia: non a caso non ha nemmeno citato la parola terrorismo. Il presidente americano si è presentato come la prova vivente della negazione del conflitto di civiltà, un giovane uomo cresciuto senza conflitto fra islam e cristianesimo, il padre e il nonno musulmani, la madre cristiana e bianca, gli Stati Uniti il porto d’arrivo, dove anche l’islam è una componente indispensabile. Obama ha parlato un’ora intera, ma il mondo ha sentito bene solo alcune cose: la prima riguarda il tono apologetico, in fondo abbiamo principi simili, quelli dei diritti umani. Ma non è andata così.

Prima di tutto la storia dei diritti umani è saldamente ancorata all’Europa e agli Usa, non giace anche in qualche anfratto delle satrapie mediorientali pronta a saltare fuori. In secondo luogo la storia delle due culture è sempre stata conflittuale, e mentre le nostre masse lo hanno dimenticato quelle islamiche invece ne fanno la bandiera di ogni giorno, a scuola, in piazza. Non si tratta di fenomeni marginali: lo testimoniano le enormi piazze di Hamas e degli hezbollah, la determinazione dei talebani e di Al Qaida, la laboriosa strategia atomica e terrorista dell’Iran che dal 2005 minaccia prima di tutto gli arabi moderati (per poco Mubarak non veniva deposto da una recente sovversione). Il più grande problema musulmano è la guerra intraislamica, non quella con gli Usa. Gli Usa, come Israele, non sono in guerra con l’islam, ne sono attaccati. Dal ’79, attacco all’ambasciata americana a Teheran, poi Nairobi nel ’98, la Tanzania, giù fino all’11 settembre, l’islam radicale ha attaccato, mentre si creava intorno agli attacchi un consenso di massa.

Obama misura dentro di sé l’equilibrio delle sue componenti e le proietta in un universo pacificato. Fa così anche sul conflitto israelo-palestinese che ha citato prima della questione iraniana, lasciando Israele di stucco: ha ribadito la forza del rapporto con Israele, ma ha anche messo sullo stesso piano il comportamento di due popoli di cui in realtà uno ha offerto molte volte di sgomberare i territori occupati per fare spazio a uno Stato palestinese e l’altro ha fatto del rifiuto la sua bandiera. Ed è difficile immaginare che proprio a Hamas, che fa della distruzione di Israele la sua ragione sociale, la proposta di Obama di due Stati possa suonare realistica. Non lo è stata ieri quando Arafat ha rifiutato tutte le offerte, non lo è stata poco fa quando Abu Mazen ha detto no a Olmert. Oggi che c’è di nuovo? Quanto all’Iran, troppe poche parole ha dedicato Obama a quello che è oggi il Paese più pericoloso del mondo, l’islam più aggressivo e feroce. Forse è proprio la sua inconciliabilità con l’islam obamocentrico che lo ha spinto a dire che il Paese degli ayatollah può farsi la sua energia atomica per usi domestici. Risibile ipotesi. Manca lo sfondo: Obama quando parla della tolleranza islamica percorre luoghi comuni. La sua citazione della Spagna era sbagliata: Cordoba, Granada furono testimoni di eccidi musulmani di ebrei, come anche il Marocco, l’Algeria, la Libia, l’Irak, la Siria, l’Iran, lo Yemen, l’Egitto.

Lo scontro con il cristianesimo, poi, è così lungo e profondo che non basterà il viso contrito e deciso di Obama a portare pace. Abbiamo già visto Shimon Peres proclamare ai tempi dell’accordo di Oslo che il Nuovo Medio Oriente era stato realizzato. Ma l’attrattiva dei vantaggi della stabilità non ferma l’aspirazione islamica a primeggiare. Obama ha sbagliato a non farne una promessa all’Egitto: forse solo l’aiuto concreto contro l’estremismo iraniano potrebbe confederare l’islam in un sogno di pace.
Fiamma Nirenstein  www.ilgiornale.it

05/06/2009

Germania presa in ostaggio dai Turchi

 

 

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In Italia la Turchia non è al centro di dibattito politico, perlomeno non in questo periodo, ma in Germania sì; soprattutto da quando la Merkel, d’intesa con Sarkozy, si è detta contraria all’adesione della Turchia all’Unione europea. Eppure in questi giorni anche in Germania il tema è sparito dal dibattito e su iniziativa proprio della Merkel, come spiega il New York Times in questa corrispondenza.

La cancelliera si è accorta che ben 690 mila degli oltre due milioni di turchi residenti, sono naturalizzati tedeschi e che le loro preferenze vanno al partito socialdemocratico e per i verdi. Ma a settembre si vota per le legislative e, come nel 2005, la Cdu-Csu e i liberali rischiano di non superare il 50% dei seggi. In settembre conterà ogni voto. Anche quello dei turchi; per questo la Merkel ha dato ordine di cancellare la parola Turchia dai comizi elettorali e, anzi, di iniziare a corteggiare un elettorato finora ignorato.

Potrebbero essere loro a decidere se la Germania avrà un governo di centro-destra o un’altra Grosse Koalition; a conferma che quando una minoranza diventa consistente riesce sovente a esercitare un potere di condizionamento politico superiore alla sua forza numerica. Oggi Berlino è costretta ad annacquare la sua posizione antiturca, fra non molto capiteranno situazioni analoghe in altri Paesi europei, come l’Italia, con l’elettorato di origine maghrebina o sudamericano.

Quanto tempo sarà necessario? Dieci, quindici anni? A vantaggio, com’è logico, della sinistra…

FONTE : blog di Marcello Foa / ilgiornale.it