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28/01/2011

Côte d'Ivoire: poker menteur

Côte d’Ivoire : poker menteur? Le nouveau président ivoirien Alassane Ouattara, invalidé par le Conseil constitutionnel, a affirmé vendredi que le président sortant Laurent Gbagbo devra vite se démettre de gré ou de force. Pourtant, ses fidèles (Jeunes Patriotes, garde présidentielle), qui auraient reçu des renforts en miliciens et en armes du Liberia et de l’Angola, affirment que les masses et les capitales africaines les soutiennent. Certes, l’erreur de Gbagbo est d’être revenu sur sa parole après avoir légitimé son adversaire (en débattant avec lui) et accepté le verdict des urnes. Mais des fraudes ont bien eu lieu dans le Nord et rappelons qu’en 1992, lorsqu’il était premier ministre, Ouattara le « démocrate » réprima l’opposition et emprisonna Gbagbo …

Soutenu par le président angolais « anti-impérialiste » Eduardo Dos Santos, Gbagbo séduit nombre d’Africains lorsqu’il accuse les Occidentaux d’agir en néo-colonisateurs en Côte d’Ivoire au nom de la démocratie tout en soutenant des Etats où les élections sont inexistantes ou truquées : Arabie saoudite, Egypte, etc. Par ailleurs, Gbagbo et son influente épouse Simone, chrétienne évangélique pro-israélienne, accusent Ouattara et son Premier Ministre Guillaume Soro, chef des rebelles musulmans du Nord, qui tenta un coup d’Etat en 2002, de vouloir islamiser la Côté d’Ivoire. Cette ligne de front Islam/chrétienté, qui divise tant d’Etat d’Afrique noire aux frontières artificielles (Nigeria, Soudan, etc), est souvent occultée.
Le Soudan incarne de façon emblématique cette coupure : dimanche, les populations du Sud du Soudan ont commencé à voter pour ou contre l’indépendance du Sud Soudan, qui bénéficie d’un statut d’autonomie depuis la fin de la guerre civile qui opposa de 1983 à 2005 le nord arabe-musulman au sud chrétien-animiste et noir. En cas de victoire du oui, l’actuel vice-président du Sud-Soudan, Salva Kiir Mayardit, deviendrait le premier Président du sud indépendant. Mais le pouvoir islamiste-militaire de Khartoum, qui perpétra un génocide contre le sud (2 millions de morts) et continue de massacrer les populations musulmanes noires du Darfour, peut difficilement accepter de perdre le Sud qui abrite les 2/3 des réserves de pétrole du pays et d’avoir à ses frontières un Etat pro-américain et pro-israélien. Certes, le dictateur soudanais Omar el Bachir, qui est soutenu ou armé par la Chine, la Russie et les pays islamiques, prétend accepter la décision des sud-soudanais afin de tenter d’échapper à une condamnation internationale pour génocide. Mais en attendant les résultats du référendum dans une semaine, les armées du Sud et du Nord sont prêtes à se battre.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) : Deux nouveaux otages français enlevés vendredi par Aqmi ont été tués samedi au Niger. Le sort des 5 otages français déjà détenus au Nord-est du Mali depuis septembre 2010 et que Paris tente de faire libérer est plus incertain que jamais. Les cellules terroristes d’Aqmi se multiplient partout en Afrique saharienne. Ils s’appuient sur les réseaux de trafiquants de drogue, d’immigration clandestine et recrutent maintenant parmi les rebelles du Front Polisario qui veulent l’indépendance du Sahara occidental. Mercredi dernier, les services de sécurité marocains ont démantelé une cellule de 27 jihadistes cherchant à implanter Aqmi au Maroc, fait nouveau. La riposte face à la multiplication des réseaux criminels terroristes doit donc être globale et nécessite plus de coopération entre les pays de la région, hélas souvent en conflits frontaliers et idéologiques.
Faut-il avoir peur de l’islam ? D’après un sondage IFOP publié mardi dernier par Le Monde, 42 % des français voient l’islam comme "une menace" pour leur identité nationale et 75% estiment que les musulmans n'ont pas réussi ni voulu s'intégrer. Ce sondage m’inspire deux commentaires. 1/ les thèmes de l’islam et de l’identité pèseront lourd dans le débat des présidentielles de 2012. Les partis modérés auraient tort de les ignorer et de laisser les extrêmes s’en emparer. 2/ La machine à intégrer doit être relancée d’urgence afin de préserver ce « vouloir-vivre ensemble » dont a parlé Nicolas Sarkozy le 7 janvier devant les responsables religieux, après avoir condamné les agressions de chrétiens en Egypte et en Irak et invité les croyants à ne pas importer les conflits du Moyen Orient sur le territoire français. Par ailleurs, plutôt que de déplorer que la dénonciation des persécutions de chrétiens en pays musulmans ne favorise l’islamophobie, le Président du Conseil français du Culte musulman M. Moussawi et les responsables musulmans du monde entier ne devraient-ils pas aussi réformer les enseignements de la Charià et du Coran qui stigmatisent les non-musulmans ?

Alexandre del Valle est géopolitologue, auteur de nombreux articles et ouvrages dont "Le Totalitarisme Islamiste" et "Le Dilemme Turc" parus aux éditions des Syrtes.

Statistiques sur la diffusion mondiale du fascisme vert

 

http://www.islam.wikibis.com/liste_des_pays_avec_populati...

 

Intéressant de voir à quel point la diffusion de cette idéologie néfaste correspond avec un dégré éléve de sous-developpement socio-culturel et économique.

Un vrai cancer de l'esprit et de la raison!

18/01/2011

Besoin d'un copain sur facebook?

Je vous en ai trouvé un vraiment adorable:

http://bs-ba.facebook.com/people/Nacionalna-Garda/1000018...

Ceci est la REALITE de l' ISLAM pauvres bisounours! (en occident de surcroît!)

PS: Maintenant une devinette. Faites-vous photographier avec une kalashnikov et mettez votre avatar sur Facebook ou sur un site par exemple "identitaire"... Combien de temps faudra-t-il pour que vous soyez attaqués (ce qui est normal) par le MRAP, la LICRA, la LDH, etc, etc???

Seuls les fascistes verts peuvent tout se permettre et changer leur peau de loup en agneau!

Pauvres chéris opprimés, snif, snif...

A bientôt les bisounours!

10/01/2011

Soutenez et publicisez ce site!

Agissez contre la barbarie en France!

 

http://www.abattagerituel.com/

Vents de haine soufflés par Muhammad

Dans son message annuel pour la paix, rendu public le 16 décembre et qui sera lu dans toutes les églises le 1er janvier, Benoît XVI appelle les responsables politiques à «mettre fin à toute brimade contre les chrétiens» vivant «en Asie, en Afrique, au Moyen-Orient et spécialement en Terre sainte». Et le pape d'ajouter: «Les chrétiens sont à l'heure actuelle le groupe religieux en butte au plus grand nombre de persécutions à cause de leur foi.»

Du sang, des cris, des larmes. Nul n'a oublié les scènes d'horreur qui se sont déroulées à Bagdad, le 31 octobre dernier, dans l'église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours, la cathédrale syriaque catholique. Bilan de l'attentat perpétré par un commando d'al-Qaida: 2 prêtres et 44 fidèles tués, de même que 7 membres des forces de sécurité et 5 assaillants, ainsi que 60 blessés. C'était il y a deux mois. Mais depuis, combien de victimes anonymes parmi les chrétiens d'Irak?

Quand il est question de la persécution des chrétiens dans le monde, c'est ce pays qui vient immédiatement à l'esprit. Il n'y a pas qu'en Irak, pourtant, que l'appartenance au christianisme se paye au prix fort. Les témoignages que nous avons réunis dans ce dossier l'illustrent abondamment: de l'Afrique à l'Asie et de l'Amérique à l'Europe (songeons au Kosovo), être chrétien, en 2010, peut coûter cher.

Au mois de juin, l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), qui réunit 56 États d'Europe, d'Asie centrale et d'Amérique du Nord, tenait une conférence à Astana, la capitale du Kazakhstan, sur « la tolérance et la non-discrimination ». A l'issue de ce sommet international, le chef de la délégation du Saint-Siège, Mgr Toso, soulignait que «plus de 200millions de chrétiens, partout dans le monde, subissent sous une forme ou une autre la haine, la violence, la menace, la confiscation de leurs biens et d'autres abus, en raison de leur religion, faisant d'eux le groupe religieux le plus discriminé».

Persécutions et discriminations anti-chrétiennes? C'est une impression fondée, mais avec ce qu'il peut y avoir de subjectif dans ce constat. Cerner la réalité sur des bases objectives nécessite des faits, des chiffres, des courbes et des statistiques, capables de rendre compte d'une tendance générale. La carte que nous publions, et qui traduit (en la simplifiant) la situation globale des chrétiens à travers le monde, n'a pas été conçue à partir d'éléments fortuits, mais de deux documents établis selon une méthode scientifique, dont nous avons opéré la synthèse.


Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie.

L'Aide à l'Église en détresse (AED) est une association catholique qui dépend du Saint-Siège et dont l'action d'entraide envers les communautés chrétiennes s'étend à 130 pays. Fin novembre, elle a fait paraître un Rapport 2010 sur la liberté religieuse dans le monde. Ce volume de 500 pages contient 194 fiches de pays présentées par ordre alphabétique. L'ambition, affirment les auteurs, est de fournir un état détaillé de la liberté religieuse à travers le monde, selon des critères rigoureux. Leur rapport, précisent-ils, «s'efforce de donner la parole aux différentes religions, croyances et communautés religieuses, en évitant tout jugement de valeur sur les croyances et les convictions qui sont à la base de leurs pratiques et de leurs enseignements religieux». De ce tour d'horizon, il ressort que 75 % des cas de persécution religieuse concernent les chrétiens, dont la condition se détériore en de nombreux endroits. En tête de liste, outre le Moyen-Orient, l'AED place la Corée du Nord, la Chine, le Vietnam, l'Inde, le Pakistan, le Soudan et Cuba.

Second document que nous avons utilisé, L'Index mondial de la persécution 2010, réalisé par Portes ouvertes, une association protestante. Son indice est calculé d'après différents paramètres, dont le statut juridique et politique des chrétiens dans les pays concernés, et la réalité de leur condition observée. Au sommet de cet affligeant palmarès figure la Corée du Nord («persécution très sévère»). Suivent 9 pays caractérisés par l'«oppression» des chrétiens: l'Iran, l'Arabie saoudite, la Somalie, les Maldives, l'Afghanistan, le Yémen, la Mauritanie, le Laos et l'Ouzbékistan. Puis 18 États où l'on relève de «fortes restrictions» au christianisme, et 21 autres, coupables de «discriminations» antichrétiennes.

Si l'on tente de classer ces phénomènes de christianophobie en fonction de leur origine, il ressort que leur premier vecteur, à l'échelle de la planète, est constitué par l'islam politique ou le fondamentalisme musulman. Sans doute l'islam s'étend-il, du Maghreb à l'Indonésie, sur des États et des aires culturelles différents. Néanmoins, ainsi que le souligne le rapport de l'AED, un trait commun caractérise les pays à majorité musulmane: en sont citoyens, disposant de l'intégralité des droits afférents, uniquement ceux qui professent la religion dominante. Les habitants du pays qui appartiennent aux confessions minoritaires sont, au mieux, tolérés, au pire, regardés comme un danger pour la cohésion sociale, et partant, vite suspects.

Dans le monde musulman, il est ainsi des États dont la Constitution garantit la liberté religieuse, comme l'Algérie, la Tunisie ou la Libye, et où le christianisme est autorisé en théorie. Dans la pratique, cependant, les chrétiens se trouvent sous surveillance, et traités comme un corps étranger. Les autorités algériennes se targuent par exemple d'avoir assuré la restauration de Notre-Dame-d'Afrique, basilique historique qui surmonte la baie d'Alger et dont l'inauguration des travaux vient d'avoir lieu, mais il n'y a plus que 5000 catholiques dans le pays, et les protestants y sont poursuivis. Dans la péninsule arabique (Émirats arabes unis, Bahreïn, Qatar, Arabie saoudite, Yémen et Koweït) vivent 3 millions de chrétiens, mais tous sont des travailleurs immigrés, doublement marginalisés. En Mauritanie, dans le nord du Nigeria ou en Somalie, c'est le règne de la charia, où des actes condamnés par l'islam peuvent entraîner des peines comme la flagellation, l'amputation ou la lapidation. Au Pakistan, la Constitution garantit l'égalité des citoyens devant la loi «sans distinction de race ni de croyance», mais la loi sur le blasphème a permis d'inculper un millier de personnes depuis 1996, sous des prétextes qui n'avaient fréquemment rien à voir avec le Coran.

Même s'il est géographiquement limité, l'hindouisme constitue un deuxième facteur de persécution antichrétienne. Si cette idéologie politico-religieuse est rejetée par le gouvernement central de New Delhi, elle inspire des forces actives dans plusieurs États de la fédération indienne, provoquant des violences qui ont culminé en 2009, mais qui n'ont pas cessé depuis.

Troisième vecteur antichrétien: le marxisme. En Corée du Nord, toute activité religieuse est qualifiée de révolte contre les principes socialistes, et des milliers de chrétiens sont emprisonnés. En Chine, le Parti communiste fait paradoxalement bon ménage avec le capitalisme, mais les vieux réflexes sont loin d'avoir disparu: l'État tient à contrôler les religions. Passé les Jeux olympiques de Pékin et l'Exposition universelle de Shanghaï, où il fallait séduire les Occidentaux, la mécanique s'est remise en marche. Protestants et catholiques disposent de la marge de liberté que les autorités veulent bien leur laisser. Et, après une période de détente, un évêque de l'Église officielle a été nommé dans la province du Hebei, le 20 novembre dernier, sans l'aval du pape, ranimant le contentieux avec le Saint-Siège.

Le Moyen-Orient forme la région du monde où les difficultés s'amoncellent le plus. Dans la mesure où il s'agit du berceau du christianisme, un symbole est en jeu. Bien sûr, il faut prendre garde à ne pas simplifier un état des lieux complexe, et à ne pas l'interpréter selon des schémas occidentaux préconçus, car des surprises peuvent se révéler: c'est ainsi que dans certains pays, les chrétiens servent de tampon entre chiites et sunnites, dont les relations ne sont pas tendres. Mais la tournure générale des événements est évidente: les Églises d'Orient sont en recul. Spécialiste du Moyen-Orient et de l'islam, auteur d'un livre éclairant sur la question (Les chrétiens d'Orient vont-ils disparaître? aux Éditions Salvator), Annie Laurent dresse un constat frappant: «Au VIIesiècle, quand l'islam est arrivé, tout l'espace correspondant à l'Orient arabe, à la Turquie et à la péninsule arabique était habité, à l'exception des communautés juives, par des populations chrétiennes. De nos jours, sur 17pays et 350millions d'habitants, les chrétiens sont 14millions. La Turquie, notamment, comptait 20% de chrétiens vers 1900; ils sont moins de 1% aujourd'hui. Le déclin est considérable.»

Soumis à une pression constante, les chrétiens d'Orient choisissent souvent l'exil, menaçant d'extinction leurs propres communautés. Du 11 au 24 octobre, Benoît XVI a réuni en synode, à Rome, les délégués des sept Églises catholiques du Moyen-Orient, afin que celles-ci se connaissent mieux et, retrouvant le sens de leur vocation, envisagent ensemble les conditions de leur pérennité. Annie Laurent, nommée experte auprès de ce synode et qui y était la seule femme laïque, rappelle que les communautés d'Orient ont un rôle à jouer non seulement pour elles, mais pour tous les habitants de la région: «Les chrétiens sont porteurs de valeurs universelles, comme la gratuité, le don, l'amour et le pardon. Ils le prouvent par leurs œuvres sociales, écoles ou hôpitaux, qui sont ouvertes à tous, sans distinction de religion.»

Le contexte géopolitique aggrave la situation des chrétiens d'Orient, car ils font les frais du conflit israélo-palestinien. Sans le rétablissement d'une paix juste et durable, leur condition ne s'améliorera pas. Mais ils sont aussi victimes d'eux-mêmes: leurs divisions historiques, quand ce ne sont pas leurs rivalités, brouillent le message évangélique. Si l'œcuménisme progresse - Benoît XVI est très soucieux du rapprochement avec les orthodoxes -, un long chemin reste à parcourir. Quand les confessions chrétiennes d'Orient fêteront-elles toutes Pâques à la même date?

Lors de la clôture du synode, le pape a appelé les pays de la région à «élargir l'espace de la liberté religieuse». Face aux États ou aux groupes fanatiques qui aspirent à se débarrasser du christianisme, dans une aire de civilisation où le concept de laïcité, tel qu'il est entendu ici, est incompréhensible, les chrétiens disposent d'une arme: réclamer la réciprocité avec les musulmans, demander l'égalité de tous les citoyens, défendre la liberté de conscience. Pour cela, ils ont aussi besoin du soutien occidental. «C'est bien d'accueillir les blessés irakiens, commente Annie Laurent, mais la compassion n'est pas une politique. Notre crédibilité est en jeu: le monde musulman nous respectera si nous prenons la défense des chrétiens d'Orient, qui sont nos coreligionnaires.»

Encore faut-il que, chez nous, cette volonté se manifeste. Le 10 décembre dernier a été publié, à Vienne, un rapport de l'Observatoire sur l'intolérance et les discriminations contre les chrétiens en Europe, concernant les années 2005-2010. Ce document recense les actes de vandalisme contre les églises et les symboles religieux, les manifestations de haine et les brimades contre les chrétiens observées sur le continent européen au cours des dernières années. La liste est impressionnante, mais les faits incriminés ont suscité une émotion bien discrète ici. Aux facteurs aggravants de la situation des chrétiens dans le monde, peut-être faudrait-il ajouter l'indifférentisme religieux en Occident: si les Européens ne respectent pas le christianisme chez eux, comment aideraient-ils les chrétiens persécutés aux quatre points de l'horizon?

www.figaro.fr

04/01/2011

Préparez vous à affronter le jihad!

Voici le premier article d'une page publiée cette semaine dans Le Figaro et consacrée à la menace djihadiste posée par des extrémistes du camp de réfugiés palestiniens d'Ein Héloué. Chassés de Nar el-Bared, une vingtaine de terroristes se seraient infiltrés en Grèce, en Allemagne et en France.

On les surnomme les «reclus de Tamir». Une cinquantaine de dangereux djihadistes, confinés entre un barrage de l'armée libanaise et l'entrée du camp de réfugiés palestiniens d'Ein Héloué, situé en lisière de Saïda, à 30 km au sud de Beyrouth.

Certains, comme Ahmad al-Doukhi, ont planifié des attentats contre la Force des Nations unies au Liban (Finul). D'autres sont responsables d'attaques contre l'armée libanaise. La majorité d'entre eux sont des réfugiés palestiniens ; les autres des activistes syriens, saoudiens, yéménites, et quelques Maghrébins venus profiter de l'impunité dont jouissent les camps palestiniens du Liban, où l'armée ne s'aventure pas.

Issus pour la plupart du Fatah al-Islam, mouvement inspiré d'al-Qaida, ces terroristes ont trouvé refuge à Ein Héloué après leur éviction du camp de Nahr al-Barid par l'armée libanaise en 2007. Depuis, ils refusent tout dialogue avec les représentants palestiniens, qui contrôlent le camp avec les services de renseignements de l'armée.

Impossible d'approcher tous ces «wanted». Certains vivent cachés. D'autres ne se déplacent de leur maison à la mosquée qu'entourés d'impressionnantes mesures de sécurité.

Face aux pressions, quelques-uns ont choisi l'exil en direction de l'Europe. «Depuis un an, une vingtaine ont fui en Grèce et en Bulgarie. Certains d'entre eux ont réussi ensuite à s'infiltrer en Allemagne, en France et aussi en Belgique», révèle au Figaro le colonel palestinien Mahmoud Issa, principal responsable de la sécurité à Ein Héloué. «Nous avons leurs noms, ajoute-t-il. Nous essayons de les suivre à la trace, en coordination avec les autorités des pays concernés. Mais ce n'est pas facile, ils ont parfois changé d'identité et modifié leur faciès.» Les services de sécurité français nous ont confirmé l'existence de cette nouvelle filière djihadiste vers l'Europe.

Dans une de leurs notes, classée «confidentiel défense», que nous avons pu consulter, les noms de trois djihadistes - Imad Karoum, Youssef Kayed et Ahmad Sidawi - étaient cités. Après avoir réussi à gagner la Syrie, puis la Turquie, ils auraient rejoint l'Europe en empruntant des filières d'immigration clandestine. Des passeurs en Syrie puis en Turquie les ont acheminés, sans passeport, jusqu'en Grèce et en Bulgarie, où ils se sont fait établir de faux papiers d'identité pour quelques centaines de dollars. Certains de ces djihadistes ont été appréhendés à Sofia. D'autres ont été expulsés par les services grecs et bulgares. «Mais pas tous», regrette le colonel Issa.

«Ils représentent une menace pour votre sécurité», prévient-il. «S'ils ne sont pas allés en Irak ou en Afghanistan, comme d'autres auparavant d'Ein Héloué, c'est parce qu'on leur a demandé d'aller mener le combat en Europe.» «On?» Al-Qaida? D'autres sponsors régionaux? Le militaire se contente de sourire. Une chose, selon lui, est sûre: «Ces gens-là sont des instruments entre les mains de certaines puissances. Ils n'ont pas de problèmes d'argent. Ils peuvent rester des mois dans leurs maisons à attendre des consignes.»

liban djihadistes.jpg

Si leur capacité opérationnelle est jugée faible, «le danger vient du fait qu'en Europe, ils vont nouer des contacts avec les réseaux dormants de la mouvance djihadiste globale», reconnaît un expert de la sécurité à Beyrouth. En 2005 déjà, un activiste français était parti se former dans un camp au nord de Beyrouth. L'année suivante, deux Libanais avaient été arrêtés en Allemagne, alors qu'ils s'apprêtaient à passer à l'action.

Comment de tels suspects ont-ils pu sortir d'un camp verrouillé par l'armée libanaise? L'histoire d'Abed Fidda est éclairante. Ce membre de Fatah al-Islam, recherché à Beyrouth, a été arrêté puis emprisonné par une faction djihadiste rivale, Osbat al-Ansar, au lendemain d'affrontements qui ont éclaté au printemps à Ein Héloué. Le colonel Issa exigeait sa remise aux autorités libanaises, alors que le chef du Fatah al-Islam menaçait de représailles Osbat al-Ansar si cet activiste était livré.

En dépit des injonctions du responsable palestinien, Osbat al-Ansar a décidé d'organiser discrètement la fuite d'Abed Fidda hors du camp. «Il a échappé à la vigilance de ses gardiens alors qu'il se rendait à la mosquée», se défend un leader du groupe. Où est-il aujourd'hui? En Afghanistan ou en Irak, où Osbat al-Ansar dispose de relais auprès d'al-Qaida? Ou bien tapi dans l'ombre en Europe? D'autres, soumis actuellement à de fortes pressions, pourraient à leur tour prendre la direction du Vieux Continent.


Qui finance les factions djihadistes?

Les groupes djihadistes sont tributaires de mentors - libanais ou étrangers (Syrie, monarchies du Golfe) - qui les soutiennent financièrement, et peuvent donc à tout moment les instrumentaliser.

Fatal al-islam : des membres arrêtés après un attentat perpétré à Damas en 2008 ont déclaré publiquement avoir été financés par l'Arabie saoudite. Le groupe disposerait encore de quelques 200 militants dispersés à travers le Liban. 

Osbat al Ansar ( 2 à 300 combattants à Ein Héloué): l'envoi d'activistes auprès d'Al Qaida en Irak lui a permis de bénéficier du soutien financier de la mouvance terroriste et de réseaux extrémistes sunnites. Osbat al Ansar a également reçu de l'argent de l'Arabie saoudite et de la famille Hariri. Depuis 2008, le Fatah finance Osbat al Ansar pour s'assurer ses faveurs.

Jund al Sham (70 combattants à Ein Héloué): composé de dissidents d'Osbat al Ansar et d'anciennes recrues d'Abou Moussab al-Zarqaoui, l'ex chef d'Al Qaida en Irak, le groupe reçoit des soutiens financiers des monarchies du Golfe, voire de la Syrie. Bahia Hariri, la soeur de l'ancien Premier ministre assassiné, est soupçonnée de financer Jound al Sham. .




info ein héloué.jpg
http://blog.lefigaro.fr/malbrunot/2010/12/liban-une-filie...

EN APPENDICE A CET ARTICLE DE GEORGES MALBRUNOT, VOICI LE COMMENTAIRE D'UN LECTEUR ( très croyant!) DU FIGARO QUI RESUME PARFAITEMENT BIEN L'IDEOLOGIE MAHOMETAINE (avec ses fautes d'orthographe, son niveau de langage terre-à-terre, son abroutissement cérébral, etc):

""ce n est qu une fin logique... ces fameux humains... qu ont attaque chez eux, a qui on vole le petrole et leur honneur, leur argent, leur avenir, a qui on tut la famille, femmes enfants grands parents... nos dirigeants savent bien que leurs affaires personnelles de mercenaires finira par creer le kaos en europe mais s en foute car ceci leur servira a passer leur lois xenophobe et encore plus faire la chasse aux etrangers... les lus dangereux ne sont pas les djihadistes mais ceux qui provoquent ce genre d actes... car ne croyez pas que ces peuples prennet ça pour une partie de plaisir, voir sa famille dechiqueté sous les bombes, leur avenir brisé... un kamikaze ne se fait pas peter pour l argent... non, aucun rapport financier... mais sachons deja que la religion est sacrée et que nous n avons aucun droit de critiquer, salir ne serait qu un prophete par respect fondamental... ceux la meme qui mettent des sanctions pour des sifflets sur la marseillaise des colons eux meme caricature les prophetes ou les crucifit... reforme la religion comme on reforme les horaires d une entreprise...
mais c est sur que des cellules reposent en europe... et le pire ce n est pas ces cellules, ce sont nos irigeant raciste qui s epanouissent au milieu de nos aveuglemnt et phobies collectives controlés par le processus des crack boursier et crise financieres, du racisme controler par l argent aux stigmatisations, le pire sera pour dans 10 ans quand l afrique sera devellopé et l orient liberer.... la attendez vous a une sacrée invasion armée en europe pour tout les pillages et surtout un probleme sacré dont l europe s obstine a salir... vous verrez, d ici 10 ans... un croyant n oublie jamais, ne ment pas... et ne tolere aucun mepris sur un prophete... l europe sera submergé... car ce ne sont pas 70 djihadistes qui vont arriver mais des millions par dizianes qui chaques jours viendront reprendre ce qu on leur a voler... sans oublier que l euroep sera a 50 % metisse... c est historique, on ne badinepas avec la religion, avec la foi, avec dieu ou avec un prophete, tout les coupable le paieront... c est sur... cette verité restera authentique tot ou tard... l europe n avait qu a anticiper ses emotions et creusé son esprit et redonner la liberté a tout les croyants au lieu de les soummetre a la democratie qui ne sait que faire la guerre a l esprit globale.. l europe n est plus puissante et devient de plus en plus precaire contrairemnt a tout les pays emergeant... sachons que la religion concerne 80 % du monde ... nous qui sommes le pays le plus athé du monde, ça va faire drole quand l heure de la revanche aura sonner...

et conte ça c est pas avec des armes qu on se defend mais avec du respect... chose dotn nos dirigeants, leurs milices et militaires ont oublier... mais c est trop tard, l irak l afghanistan le pakistan la palestine le liban la syrie... et sans oublier tout les pays africain exploiter et donc les usa manipulent le terrorrisme sur des points strategique... autant dire la franc esurtout est dans une sale posture, ça aller du temps de chirac... mais avec sarkozy et hortefeux... c est clair que ça ne les incite pas a respecter la france...""

FIN DE CITATION

TOUT COMMENTAIRE SERAIT INUTILE!

03/01/2011

Touches pas à momolepédo!

Au Pakistan, 2010 s'est achevée sur une note inquiétante pour la liberté religieuse. Vendredi, à l'appel des partis islamiques, une grève générale a paralysé le pays. Les religieux entendaient protester contre un éventuel amendement de la loi anti-blasphème, qui permet de condamner à des années de prison, voire à la peine de mort, tout citoyen suspecté d'avoir insulté le coran ou le "prophète" mahomet. 

Emblème de ces véritables persécutions qui touchent d'abord les minorités religieuses, la Chrétienne Asia Bibi, condamnée à mort pour avoir "insulté" le nom du "prophète". Elle se trouve toujours en prison et n'a pas du tout été graciée, comme certains l'avaient laissé entendre. Son mari et ses cinq enfants se cachent depuis qu'Asia a fait appel de la sentence prononcée par la Cour de justice d'une petite localité proche de Lahore, la capitale du Pendjab pakistanais. Il a peur des représailles. 

Reste que de nombreux musulmans souffrent aussi de cette loi anti-blasphème. La communauté des Ahmadis est carrément traitée en paria ; la minorité chiite est régulièrement la cible de violences des Sunnites. Ce qui n'arrange rien, Hakimullah Mehsud, le chef des talibans pakistanais (TTP, Mouvement des talibans du Pakistan) a, de son côté, juré de "décimer" la communauté chiite dans le pays.

Vendredi 31 décembre, croyant pouvoir enrayer le mouvement de protestation des partis islamiques, espérant peut-être aussi amadouer les talibans, le gouvernement d'Islamabad a répété haut et fort qu'il n'était nullement question d'amender la loi anti-blasphème entrée en vigueur sous le régime du dictateur militaire Zia-ul-Haq, en 1986. Inquiétant, juge le quotidien The News, affirmant que si le parti du clan Bhutto actuellement au pouvoir n'ose pas s'attaquer à un tel tabou, il y a bien peu de chances que d'autres en aient le courage.

Le PPP (le parti du président Asif Ali Zardari) a peur de voir voler une coalition gouvernementale qui ne tient déjà qu'à un fil, relève notamment l'éditorialiste de The News.

 

www.figaro.fr

No all'islamizzazione d'Italia

Abdel Hamid Al Shaari, presidente della moschea di viale Jenner a Milano, il cui imam Abu Imad è stato condannato per aver praticato il lavaggio di cervello ai fedeli trasformandoli in terroristi suicidi islamici che si sono fatti esplodere in Iraq massacrando decine di innocenti, ha annunciato che parteciperà alle prossime elezioni comunali con la lista “Milano nuova” promossa dalla stessa moschea di viale Jenner. Shaari ha rassicurato che “non sarà una lista islamica ma laica”, che “non sarà contro gli italiani anzi contiamo di avere con noi degli italiani”.

A Shaari rispondiamo che se la democrazia in Italia dovesse consentire la partecipazione alle elezioni ai burattinai del terrorismo, significherebbe che la nostra democrazia è già stata violata e sconfitta. Che se la laicità dovesse accogliere nel suo seno gli integralisti, i radicali e i terroristi islamici che predicano l’odio, la violenza e la morte, significherebbe che la nostra laicità è già stata snaturata e uccisa. Che se ci fossero degli italiani pronti ad allearsi con i loro aspiranti carnefici, significherebbe che questi italiani sono tal punto succubi all’ideologia dell’islamicamente corretti da essere di fatto morti dentro svendendo la loro dignità e rinunciando alla loro libertà.

A Shaari assicuro che noi Protagonisti di “Io amo l’Italia” ci opporremo alla presenza e all’attività di qualsiasi lista islamica, anche sotto mentite spoglie, a Milano e ovunque in Italia. Noi siamo il fronte di prima linea a difesa di un’Italia che concepiamo come fondata sulle radici giudaico-cristiane, sulla fede nei valori non negoziabili e sulla certezza delle regole; un’Italia che coltiva una democrazia sostanziale non formale dove non vi può essere spazio per chi crede in un’ideologia islamica tirannica; un’Italia che è autenticamente laica e pertanto non ha nulla a che fare con chi seppur cinicamente aspira ad imporci uno stato islamico che rinnega la laicità; un’Italia che consta di una comunità di persone perbene e di buona volontà che non hanno paura dell’arbitrio e della violenza degli islamici e sono orgogliosi di essere pienamente italiani a casa propria.

“Io amo l’Italia” dice “no” alla lista islamica a Milano; no allo sdoganamento dei burattinai del terrorismo islamico di viale Jenner; no alla sottomissione all’ideologia dell’islamicamente corretto che fa immaginare persino al cardinale Tettamanzi che si debba consentite la creazione di una mega-moschea a Milano. Al tempo stesso diciamo “sì” ai musulmani perbene e di buona volontà che rispettano la Costituzione e le leggi italiane, che condividono i valori non negoziabili della sacralità della vita, la dignità della persona e la libertà di scelta, che operano per la costruzione dell’Italia delle regole che si sostanziano di diritti e doveri che garantiscono ma al tempo stesso vincolano tutti indistintamente, senza discriminare nessuno.

Magdi Cristiano Allam

La religione del beduino pedofilo uccide ancora

Un saluto al 2010, «l'anno migliore della mia vita», e un pensiero carico di entusiasmo per i «tanti desideri» da realizzare nel 2011. Maryam Fekry i suoi desideri, le sue speranze le aveva scritte fu Facebook pochi minuti prima di andare in chiesa per la messa di mezzanotte. Maryam, Mariouma per gli amici di Facebook, 22 anni, a messa è andata nella chiesa copta dei Santi Marco e Pietro, ad Alessandria d'Egitto. A casa, continuai i suoi post non c'è più tornata. Mariouma è una delle 21 vittime della strage di Capodanno.

 «Il 2010 è ormai passato - questo il messaggio scritto da Maryam - Quest'anno porta con sé i migliori ricordi della mia vita. Spero che il 2011 sia ancora meglio. Ho così tanti desideri per il 2011. Per favore, Dio, stammi vicino e aiutami a realizzarli». Nella pagina di Facebook una giovane donna, abbigliata elegantemente con un vestito di seta salmone e una rosa tra i capelli. Ora sotto ci sono decine e decine di saluti pieni di commozione: «non ti dimenticheremo mai, sei un angelo», scrive una donna. «La gente muore a causa dell'odio. Non riesco ancora a crederci. Sarai sempre nel nostro cuore», afferma un'altra ragazza. La sua testimonianza è divenuta simbolo del martirio dei copti in Egitto. Molti siti e forum copti riproducono le sue parole mentre su Youtube circola un video con le sue foto.

 

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