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13/03/2007

Tarik Ramadan ne respecte pas les "êtres inférieurs"

medium_envahisseurs.4.jpgTarik Ramadan se souviendra de son dernier passage en France. Citoyen suisse (faites-moi rire!), cet "intellectuel" musulman, critiqué notamment en France pour ses déclarations sur la lapidation, se trouvait dimanche soir à Roissy-Charles-de-Gaulle, en transit pour Londres. De source policière, Tarik Ramadan aurait emprunté un itinéraire non autorisé avant qu'une fonctionnaire de police le lui fasse remarquer. Il aurait alors insulté à deux reprises la jeune femme, qui a porté plainte. Tarik Ramadan a été interpellé et placé en garde à vue par la police aux frontières. Il est poursuivi pour « outrage ». Relâché, Tarik Ramadan aurait reconnu les faits et a été convoqué le 6 avril par le parquet de Bobigny après reconnaissance préalable de culpabilité.

www.figaro.fr

COMMENTAIRE : comment ces salauds de kuffars osent-ils interpeller un grand intellectuel, un docteur es sciences de son pédophile de pseudo-prophète analphabète et néanmoins petit-fils du fondateur de ce beau mouvement spirituel que sont les Frères Musulmans!?

 

Bayrou, le preféré d'Allah!

medium_arton9722.2.gifIl existe un "engouement" pour François Bayrou en banlieue, affirment des responsables associatifs interrogés mardi par l'AFP selon lesquels de plus en plus d'électeurs des quartiers sensibles voient dans le président de l'UDF l'homme le plus à même de battre Nicolas Sarkozy.

"C'est lui qui bénéficie du capital sympathie. Les gens en ont soupé de la droite et de la gauche et il apparaît comme un homme neuf", affirme ainsi Stéphane Ouraoui, président de l'association Pas de quartiers, tous citoyens, présente dans toute la région parisienne.

Le candidat de l'UDF, en tournée en Seine-Saint-Denis mardi, a été bien accueilli par la population. En déplacement au Val-Fourré (Yvelines) le 9 février et à Nanterre (Hauts-de-Seine) le 30 janvier, il avait reçu un accueil bienveillant.

"Son côté anti-système plaît", confirme Mohamed Chirani, président de l'association Votez banlieue.

La tendance s'est accentuée au cours de la campagne: "Bayrou est en train de gagner la confiance de la banlieue: il bénéficie de la peur engendrée d'un côté par l'agressivité de Nicolas Sarkozy et de l'autre par les maladresses et l'inexpérience de Ségolène Royal", souligne Mohamed Chirani.

La réflexion de Nicolas Sarkozy, sur TF1, sur ces personnes qui ne respectent pas la France parce qu'elles "égorgent des moutons dans des baignoires", "en a choqué plus d'un", assure Stéphane Ouraoui. "J'étais récemment à une réunion de jeunes partisans du Parti radical de Jean-Louis Borloo à Mantes-la-Jolie. Pas un ne voulait voter pour Nicolas Sarkozy", témoigne-t-il.

A contrario, François Bayrou rassure la communauté musulmane. Sa brève apparition le 16 février au dîner de l'Union des associations musulmanes de Seine-Saint-Denis, où il s'est présenté comme "un croyant" qui "respecte les croyants", a été très appréciée, selon des participants.

Hafid Rahmouni, directeur de l'association Zyva à Nanterre, l'a trouvé "très humain" lors de son passage dans cette ville. "C'est lui qui nous a semblé le plus à l'aise. Il n'y avait pas cette distance que peut provoquer la position d'un homme comme lui. Ca a vraiment fait la différence".

Selon Stéphane Ouraoui, M. Bayrou bénéficie de l'image d'un homme "honnête" et "intègre".

La gifle donnée en 2002 lors d'une visite au quartier de la Meinau à Strasbourg à un jeune garçon qui lui faisait les poches ne lui porte pas préjudice. "Perçue comme une correction de père de famille", elle est oubliée, quand elle n'est pas saluée, selon M. Chirani.

Autre atout de François Bayrou en banlieue, et non des moindres: sa position dans les sondages qui le donnent gagnant face au candidat de l'UMP s'il était présent au second tour. "La banlieue cherche un vote pragmatique, l'objectif est de battre Sarkozy et ce n'est pas avec le vote Royal qu'on y parviendra", assure M. Chirani.

Pour certains, Bayrou apparait davantage comme un moindre mal (traduisez: celui qui va nous laisser trafiquer en paix NDR)que comme une vraie solution. "On essaie de prendre le moins mauvais pour nous, franchement, on se dit, +pourquoi pas ?+ On paie pour voir, comme au poker", explique Hamza Bouguerra, président de l'association des jeunes des Tarterêts (Essonne).

Reste à savoir si le candidat tiendra la distance et s'il pourra apparaître jusqu'au bout comme un homme au centre. "Certains en banlieue pourraient se souvenir que M. Bayrou a été ministre dans un gouvernement de droite, a soutenu des gouvernements de droite et a voulu financer les écoles privées", prévient Stéphane Ouraoui.(fin de citation)

COMMENTAIRE: les musulmans n'aiment pas le "juif" Sarkozy, ni  même Ségolène, la "femelle" donc l' "être inférieur" (qui veut soit disant allourdir les peines pour les violences conjugales: de là à qu'elle trouve la sharia incostitutionnelle...dangereux!)

18:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mpf, ump, ps, udf

Volete l'Italia? Prendetela, é vostra!

ROMAGià la prossima settimana il ddl delega di riforma della legge Bossi-Fini sull'immigrazione arriverà in Consiglio dei ministri. Il testo (otto pagine in tutto) a lungo lavorato dagli uffici legislativi del Viminale e della Solidarietà sociale è finalmente pronto e introduce nel sistema una serie di corsie preferenziali per l'assunzione delle colf, delle badanti e dei talenti (tecnici, professori universitari) dando comunque più possibilità di ingresso anche al lavoratore straniero generico. E a tutti quelli che parlano già italiano.

L'ultimo scoglio è stato quello dei Cpt sui quali i ministri Giuliano Amato e Paolo Ferrero hanno visioni diverse, ma poi hanno saputo raggiungere un accordo. Tuttavia, come ha avuto modo di riconoscere anche il ministro di Rifondazione, il meccanismo dei Cpt può essere superato ma non eliminato del tutto perché altrimenti l'Italia sarebbe fuori dal sistema Schengen. Così, la soluzione individuata è quella di un circuito differenziato per i clandestini che finiscono in carcere e per quelli che alla fine collaborano per la loro identificazione. Il ddl, comunque, dovrà superare grossi ostacoli soprattutto al Senato, dove la Cdl farà di tutto per fermarlo. E qualora venisse approvato, il provvedimento concederà al governo in carica dodici mesi per esercitare la delega: con l'emanazione di un decreto legislativo che modifichi il Testo unico sull'immigrazione. Il tentativo del governo, come ha ripetuto ancora una volta ieri a Firenze il ministro Amato, è anche quello di raggiungere gli «invisibili» e di combattere l'evasione dei datori di lavoro che spesso speculano sulle rigidità delle norme in vigore: «Non è ammissibile, per esempio, che ci siano contratti in nero di alloggi dove si ammassano dieci immigrati in 25 metri quadri portando via loro 300 euro a testa». E più a fondo sul lavoro nero, Amato ha aggiunto: «Siamo davanti a una piega che va fermata. Lo so, si fermerebbero anche molte costruzioni ma lo dobbiamo fare e lo stiamo già facendo».

Cambia anche il meccanismo dei flussi. La programmazione sarà triennale, spiega Ferrero nell'introduzione del libro «Viaggio nell'Italia dell'immigrazione»: «Se si ipotizza un fabbisogno di 250-300 mila persone all'anno occorre prevedere un decreto flussi di pari dimensioni». In altre parole, circa un milione di lavoratori ogni tre anni. Ferrero aggiunge che l'immigrazione, in quanto fenomeno strutturale, deve essere in tutti i modi incanalata verso la legalità: «Sottolineo questo elemento perché dei tre milioni di immigrati che oggi vivono in Italia, l'80 per cento è passato prima attraverso la clandestinità».

D. Mart.
13 marzo 2007
COMMENTO: Abbiamo piu' del 10% di disoccupati in casa, ma dovremmo importare mano d'opera dall'estero secondo un principio che ha già fatto le sue prove in Francia ed altrove con i risultati che conosciamo. La distruzione culturale dell'Italia é ormai gestita ed organizzata a livello governativo grazie soprattutto allo zelo dei marxisti che impongono la loro volonta' dall'alto del loro 5% di voti. Ma la dittatura del proletariato é questo ed altro!

12/03/2007

Pourquoi l'islam est-il un problème?

L’Islam est un projet criminel avant d’être une religion
Rejeté par les siens (à La Mecque), Mahomet fit de sa religion une société secrète puis s’associa à des gens d’armes pour la diffuser. À Médine, il imposa aux Juifs une «constitution» inacceptable puis, devant leur rejet, les traita de traîtres, les chassa, les dépouilla, les massacra et réduisit les survivants en esclavage. Dès lors, tout ce qu’il consomma et utilisa provenait de butins, et c’est de ces actes qu’ont été dérivées les lois de l’Islam – les lois, donc des préceptes à caractère obligatoire. Les lois islamiques, censément divines, autorisent ainsi de fait les Musulmans à chasser, piller, massacrer des gens au prétexte qu’ils sont non-Musulmans et refusent de se soumettre à leur religion – et ils le firent, avec beaucoup d’ardeur. Au sens des lois occidentales actuelles, cela constitue une sanctification du crime organisé. Et cela le reste malgré toute la beauté fascinante des arabesques pseudo-religieuses dont s’entoure ce projet aujourd’hui.

L’Islam est entièrement défini en termes autoritaristes et superlatifs
L’Islam serait la dernière religion révélée, Mahomet serait le «sceau» des prophètes, le Coran serait la parole même de Dieu, l’action de l’Islam n’est limitée que par la réussite totale, c’est-à-dire l’imposition de l’Islam partout sur Terre. Aucune autre religion ne doit subsister – les autres religions du livre sont tolérées mais humiliées. Si ces éléments n’ont pas été si visibles ces dernières décennies, c’est que l’Islam a raté le tournant des lumières et a été vaincu sur tous les plans par l’Occident, tourné lui vers le progrès. L’Occident a commis bien des erreurs, mais il les a dépassées, notamment en s’orientant sur les droits de l’homme, sur la valeur de l’individu – créature de Dieu pour les uns ou simple réussite de l’évolution pour les autres, mais digne en elle-même de respect. L’Islam a gardé ses lois rigides visant la suprématie ultime et fondées sur la séparation inéluctable entre Musulmans et incroyants.

Les textes islamiques sont abjects et chaque Musulman est censé les respecter
L’Islam n’est pas défini par les Musulmans que nous côtoyons, mais par ses textes sacrés. Et ceux-ci sont fort clairs. Mahomet et ses compagnons n’usaient pas de paraboles – ils utilisaient les termes les plus démonstratifs possibles. Ainsi, le comportement des Musulmans, malgré l’apparence de désordre créée par le schisme et le fractionnement qui s’ensuivit, est parfaitement cohérent envers les non-Musulmans. En se tenant aux textes, au Coran et aux traditions du prophète, les Musulmans doivent faire la guerre aux non-Musulmans qui refusent de se soumettre. Ils doivent massacrer, couper la tête des combattants, puis attacher solidement les victimes survivantes (les non-combattants) devant ce spectacle puis faire des esclaves de ces gens psychologiquement brisés, ce qui explique la diffusion de vidéos de décapitation. Car c’est-là la méthode de Mahomet. Que cela soit historique ou mythique joue ici un rôle bien moindre que la foi placée en la véracité de ces textes – par définition, un Musulman est quelqu’un qui les croit véridiques et doit en perpétuer le message.

L’Islam est un appel à un éternel retour au barbarisme médiéval
Mahomet a résolu tous ses problèmes par la violence – adversaires politiques, poètes insolents, peuples rétifs – tous ont été soumis à force de tueries. Jamais cet homme n’a résolu ses conflits par la conciliation autrement que pour se préparer à rompre ses engagements dès que les circonstances lui étaient à nouveau favorables. C’est le cas de nombreux souverains médiévaux, certes, mais Mahomet est le seul qui ait fondé une religion sur cette base. Les Musulmans qui étudient leurs textes originaux avec foi, et ils sont de plus en plus nombreux de nos jours, sont irrésistiblement attirés vers la manière expéditive du prophète de résoudre ses problèmes. Et, évidemment, de mentir aux non-Musulmans à leur propos lorsque cela est judicieux, comme l’a autorisé le prophète.

Le Coran lui-même est une terrible incitation à la haine
Aucun autre thème n’est plus présent dans le Coran que la haine de l’autre, de celui qui ne croit pas. L’Islam s’assimile à la volonté de Dieu et considère tous ceux qui lui résistent comme fondamentalement opposés à cette volonté. Le Coran prononce d’innombrables malédictions à leur encontre, les déclare perdus à jamais et depuis toujours, les voue aux gémonies dans la majorité de ses sourates, en insistant, même, pour dire que rien ne pourra les sauver, que personne, jamais, ne prendra leur défense. Le Coran prononce également des ordres meurtriers concrets à leur égard. Les Musulmans apologistes, parfois par ignorance, mais plutôt par malhonnêteté lorsqu’ils sont érudits, affirment volontiers que ces ordres doivent être compris dans un certain contexte. Mais celui-ci n’est pas dans le Coran, il est déduit des traditions du prophète, et tous les juristes islamiques classiques ont considéré ces actes comme faisant autorité dans des situations analogues. Car aucune autre déduction n’est possible si l’on croit aux malédictions proférées de manière répétitive, routinière, par ce livre censé contenir la parole même de Dieu.

Les Musulmans sont incapables de résister à l’incitation de leurs textes
Le Musulman qui met en doute le bien-fondé de l’Islam se met en position d’apostasie. Or cela est extrêmement difficile, pour plusieurs raisons. D’abord, être musulman, c’est croire appartenir à la meilleure religion, croire notamment, donc, que le sang versé l’a toujours été pour de bonnes raisons. Même l’abattage au sabre d’une centaine de milliers de non-Musulmans sans défense en une seule journée a pu paraître parfaitement légitime à des Musulmans, et même, s’il faut en croire les récits des Musulmans eux-mêmes, à ceux d’entre eux qui, sinon, répugnaient à se battre. Cesser de croire en la perfection de ces lois, c’est faire face, d’une part, au risque de s’en retrouver la victime – menacé par sa propre famille, rejeté par les siens, dénigré par tout l’établissement musulman – et, d’autre part, à la culpabilité accumulée par les pensées et les actes que cette religion a inspirés. Certains franchissent ce pas tout de même – ce sont des héros. Mais la grande majorité d’entre eux ont besoin pour cela d’un coup de main. Une interdiction assortie d’une amnistie totale à l’issue d’une réforme pourrait apporter à ceux qui ne trouveraient pas en eux-mêmes le courage nécessaire la motivation à jeter enfin un regard objectif sur les préceptes de leur religion. Et cela seul suffirait.

Il est illusoire d’espérer réformer l’Islam par le contact avec l’Occident
L’Islam semble avoir fait des progrès – l’esclavagisme n’y est plus officiellement autorisé, par exemple, et de nombreux pays «musulmans» ont des lois proches des codes occidentaux. Mais ces progrès ne sont pas dus à une remise en question des bases légales islamiques par des Musulmans – ce sont les résultats de contraintes exercées par des puissances coloniales et des despotes inspirés par l’Occident. Et aussi longtemps que Mahomet sera considéré comme un modèle, tous les Musulmans qui connaissent leurs textes sacrés seront tenus de se comporter comme ce que nous appelons aujourd’hui des terroristes. L’Islam modéré, occidentalisé, n’est en fait qu’une très mince couche de vernis. En favorisant l’Islam, en acceptant sa légitimité, malgré toutes les belles paroles dont nous pouvons enrober cette louable intention, nous donnons en fait un regain d’impact aux raisons mêmes pour lesquelles les Musulmans deviennent «islamistes».

La solution réside dans l’examen à froid des textes par les Musulmans
Les textes qui dictent aux Musulmans de se comporter comme des criminels envers les incroyants (ou les mauvais croyants) sont, en dépit de toute la sacralité qui leur est attribuée, ou peut-être justement à cause de celle-ci, extrêmement fragiles devant un examen scientifique objectif. Les seules écritures dont l’origine est censée remonter directement à Mahomet sont celles contenues dans le Coran. La totalité du reste n’est reliée aux faits que par une masse formidable de ouï-dire sans aucune crédibilité valable en regard des critères ordinaires des historiens dignes de ce nom. Contrairement à l’impression donnée par la profusion de détails avec laquelle les textes sacrés islamiques décrivent Mahomet et ses compagnons, les historiens ne disposent d’aucune confirmation solide des événements en question. Tout repose sur des sources dont nous n’avons que les noms, des noms que personne d’autre ne mentionne sinon les collecteurs de traditions et les biographes musulmans, tous se citant les uns les autres et s’abreuvant aux mêmes sources, lesquelles, de manière symptomatique, livrent d’autant plus de détails sur les événements originaux qu’elles en sont éloignées dans le temps. Et quant au Coran, il contient tant d’erreurs, de contradictions, de contre-vérités flagrantes, de propos haineux excessifs, de décisions visiblement dictées par des considérations terre-à-terre, bref tant de choses médiocres qu’un esprit clair, libéré de la fascination artificielle créée par le rituel et la terreur, ne peut qu’en rejeter le message.

Il faut donc, en plus de l’interdiction de la pratique de l’Islam partout où cela est possible, favoriser la recherche et surtout la vulgarisation de l’examen des textes islamiques au sein même de l’Islam – autant que possible directement à La Mecque. Or cet effort de recherche est déjà en cours, et même déjà fort bien avancé, voire pour ainsi dire achevé. Le gros du matériel nécessaire à ladite vulgarisation est déjà recensé, connu, étudié, classé, traduit, compris, assimilé, par des gens qui y ont consacré des efforts des plus méritoires. Il ne reste plus, donc, qu’à mettre en place un dispositif qui permettra aux Musulmans d’ouvrir les yeux. C’est là avant tout un travail politique. Un travail auquel l’interdiction de l’Islam en Occident peut fournir une impulsion déterminante. Et c’est pour cela surtout qu’il faut interdire l’Islam.

http://precaution.ch

11/03/2007

Le "pire d'entre nous" nous quitte

medium_chiraca3xb.jpgCa y est, Chirac nous fait grâce de ne pas se représenter à la prochaine élection Présidentielle!

Quelle bonté et quelle grandeur!!

Fabuleux bilan de cet "immense" homme politique: 40 ans de pouvoir avec la droite comme avec la gauche, pourvu qu'on ait du pouvoir!

Celui qui n'a jamait été condamné pour differentes affaires de detournement d'argent publique, celui des frais de bouche impériaux à la Maîrie de Paris, celui qui a explosé le budget de l'Elisée au frais du contribuable, celui qui voulait faire de l'Europe une province de l'axe franco-allemand, parce que "nous" sommes les meilleurs.

Celui qui delivrait des leçons de conduite à tout le monde.

Celui dont la femme avait trois secrétaires à l'Elysée, et qui collectionnait les "pièces jaunes".

Celui qui soit disant était de droite mais condamnait le libéralisme.

Celui qui n' a rien reformé et qui nous laisse plus de milles milliards d'euros de dettes à payer.

Celui qui a été un des maîtres principaux de l'invasion généralisée "desintégrée" de la France et porte drapeau du rélativisme culturel.

Celui qui a contribué par ses choix démagogiques à faire en sorte que l'extrème droite passe de 2% à 25% en l'espace de quinze ans.

Celui du monument aux morts "musulmans" de Verdun, aussi gros ou presque que celui de tous les "autres" morts, ceux sans confession, tout simplement morts pour la France. (*)

Le grand pôte à tous les dictateus Africains et Proches Orientaux, pourvu qu'on fasse "business" ensemble (My god, horreur, un mot anglais, je m'en vais!).

Celui qui s'est mis à égale distance entre les totalitaristes et  les Etats Unis, faisant de la France un Pays non aligné

Celui qui pense qu'on peut négocier avec Hezbollah et Hamas.

Celui qui a refusé d'admettre les racines chrétiennes de l'Europe, vrai dénominateur commun de nos valeurs humaines universelles.

Celui qui a affirmé que l'Europe avait aussi des racines musulmanes! Comme si on disait que la France avait des racines nazies parce qu'elle a été envahie par Hitler.

Le paladin de l'entrée de la Turquie dans l'UE, parce que les affaires sont les affaires, et tout se negocie.

Adieu Monsieur Chirac, la France ne vous regrettera pas.

L' Europe encore moins!

(*) http://valeursoccidentales.hautetfort.com/archive/2006/06/25/la-honte-de-verdun.html

22:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ump, mpf

Liberatelo, il fronte marxislamico ve lo domanda!

L'imam rapito dalla Cia in Italia nel 2003 chiede dall'Egitto ai talebani la liberazione del giornalista di «Repubblica»
MILANO - Abu Omar, l’imam rapito dalla Cia in Italia nel 2003 e di recente riparato in Egitto, chiede la liberazione dell'inviato di «Repubblica» Daniele Mastrogiacomo, rapito dai talebani in Afghanistan. Attraverso i microfoni di Sky Tg24, Abu Omar si rivolge così ai suoi sequestratori: «Generosi Fratelli ho appreso tramite le agenzia di stampa che avete sequestrato il giornalista italiano di origini pachistane Daniele Mastrogiacomo, corrispondente del quotidiano italiano la Repubblica, accusato di spionaggio a favore della Gran Bretagna.
«L’associazione Reporters senza Frontiere e il direttore del quotidiano italiano hanno negato che egli sia una spia - dice ancora Abu Omar - Anzi, giovedì 8 marzo, persino lo sceicco Samialhaq vi ha rivolto un appello per la sua liberazione attraverso le agenzie di stampa italiane. Per onorare me stesso e per misericordia verso i vostri fratelli musulmani residenti in Italia, se l’accusa di spionaggio nei confronti di Mastrogiacomo non viene confermata, io mi appello a voi per la sua immediata liberazione. Fratelli membri del Movimento Talebano - ricorda Abu Omar - il popolo italiano ha aperto il suo cuore a me ed ai musulmani residenti in Italia. Ci ha dato da mangiare e da bere e ci ha offerto luogo sicuro e lavoro permanente. Il popolo italiano, inoltre, è contro la partecipazione del suo governo all’invasione dell’Iraq e dell’Afghanistan».
11 marzo 2007
www.corriere.it

COMMENTO: se un grande uomo, un democratico, un pluralista, un progressista, come il "povero" Abu Omar vi chiede di liberare il marxigiornalista di Repubblica, liberatelo dunque.

In cambio vi offriamo il ritiro dall'Afganistan, mille nuove moschee al posto delle nostre Cattedrali, ed il diritto di trombare le nostre donne a vostro piacimento.

Italiani, brava gente!

09/03/2007

Italabia Wahabita, nuova Yugoslavia

medium_arton9993.2.gifMILANO—Siete già al corrente che a Milano in via Padova 366 potrebbe sorgere la seconda moschea più grande d’Italia su una superficie di 3.100 metri quadri?
Sapete che sarà di proprietà dell’Ucoii (Unione delle comunità e organizzazioni islamiche in Italia), che si trasformerà in un centro di indottrinamento all’ideologia dell’odio dei Fratelli Musulmani? Se tutto ciò vi lascia indifferenti, allora non serve leggere oltre. Ormai le notizie sulla costruzione di nuove grandi moschee a Bologna, Firenze, Genova, Colle Val d’Elsa, Modena, Verona, Vicenza, Napoli, tutte di proprietà dell’Ucoii, sono tutt’al più oggetto di polemiche a livello locale, mentre non riscuotono un interesse significativo dall'insieme della classe politica nazionale, salvo poche eccezioni perlopiù in seno alla destra. Piaccia o meno, è un dato di fatto che l’Italia ha legittimato questi estremisti islamici da quando l’ex ministro degli Interni, Giuseppe Pisanu, del centrodestra, designò il presidente dell’Ucoii, Nour Dachan, nella «Consulta per l’islam italiano », affermando che l’Ucoii ha assunto delle «posizioni di grande apertura al dialogo e di ferma condanna del terrorismo», così come andava «assecondata» l’«evoluzione positiva del movimento dei Fratelli Musulmani in tutto il mondo» (intervista alla Radio Vaticana del 7 febbraio 2006).
E non è un caso che proprio all’epoca di Pisanu, l’allora segretario nazionale dell’Ucoii, Hamza Roberto Piccardo, annunciò trionfalmente il 10 gennaio 2006 che «stiamo per acquistare altri 40 o forse 50 luoghi di culto per trasformarli in moschee». Ebbene se l’Ucoii poté elaborare questa strategia di conquista islamica con un governo di centrodestra, perché mai il centrosinistra — che è maggiormente in sintonia con le istanze ideologiche dei gruppi islamici militanti — dovrebbe fare marcia indietro? Ciò che destra e sinistra sottovalutano è l’atteggiamento tendenzialmente ostile degli italiani. Per la precisione, dei residenti nelle aree dove si dovrebbero, si stanno o sono già state costruite delle moschee. Per un’immediata ragione economica: laddove sorgono le moschee, si creano dei ghetti islamici e il prezzo delle case crolla. Se si considera il caso specifico di via Padova a Milano, si sta formando un comitato di cittadini contrari alla moschea perché, sottolineano, quella zona è già fortemente pressata da realtà destabilizzanti, quali il campo nomadi di via Idro, la baraccopoli sulla riva destra del Lambro in prossimità dell’incrocio con il Naviglio Martesana, il terminal dei pullman da e per il Marocco, il Mercato del Baratto gestito da ambulanti dell’Europa orientale.
Aggiungere a tutto ciò un flusso quotidiano di musulmani, favorito dalla fermata della metropolitana di Cascina Gobba e dalla tangenziale Est, che potrebbe raggiungere 2 o 3 mila unità il venerdì, rischia di accentuare la perdita di identità del quartiere che ha la più alta densità di immigrati, accrescere la microcriminalità, incentivare l’esodo degli autoctoni e sfociare nella formazione di un ghetto straniero. Eppure a fronte dello sgretolamento del tessuto sociale e nazionale, si assiste a una sconcertante mistificazione della realtà. Da un lato, l’Ucoii ricorre all’espediente giuridico e amministrativo della costituzione di «centri culturali» con annessi «luoghi di preghiera», registrati come Onlus, sia per aggirare gli ostacoli concernenti la costruzione di moschee vere e proprie, sia per poter beneficiare dei finanziamenti pubblici e privati previsti per le organizzazioni culturali senza scopo di lucro. Dall’altro il «fronte filo-islamico», che annovera politici, magistrati, imprenditori, accademici e settori della Chiesa, considera l’Ucoii un gruppo di «musulmani moderati». Consiglierei loro di leggersi la fatwa, il responso giuridico, di Youssef Qaradawi, il referente spirituale dei Fratelli Musulmani in Europa, promulgata il 2 dicembre 2002 e relativa alla «conquista islamica di Roma» che, a suo avviso, «avverrà con la predicazione, non con la spada». Cioè con le moschee dell’Ucoii che ci ostiniamo a voler costruire a tutti i costi.
Magdi Allam
09 marzo 2007

06/03/2007

Les socialos montrent l'exemple (coeur à gauche,portefeuille à droite)

medium_SEGOLENE.jpgLe Canard enchaîné à paraître mercredi affirme que le patrimoine du couple Ségolène Royal-François Hollande a fait l'objet de "sous-évaluations immobilières" et qu'ils auraient dû verser en 2006 "sept fois plus que ce qu'ils ont effectivement payé" au titre de l'ISF.

Sollicités par l'AFP, ni l'un ni l'autre n'avaient encore réagi mardi en début de soirée.

Selon le journal satirique, la déclaration patrimoniale du couple "pulvérise les records de sous-évaluation immobilière" en ce qui concerne une maison à Mougins, près de Cannes (Alpes-Maritimes), en mentionnant le montant de 270.000 euros.

Or, si l'on ajoute à la surface déclarée de la maison (120 m2) celle du terrain (1.500 m2), "l'ensemble se monte à quelque 615.000 euros", affirme le Canard en se basant sur "les statistiques" de la chambre départementale des notaires portant sur la vente d'une centaine de villas à Mougins.

La valeur totale "avoisine les 700.000 euros" si l'on prend en compte la superficie (140 m2) de la maison enregistrée au service de l'urbanisme de la mairie, précise l'hebdomadaire.

Le Canard ajoute que, pour une autre maison distante de 100 m, d'une superficie de 120 m2 et datant "de la même époque", "le vendeur exige 1 million d'euros net".

Le quotidien Le Monde rapporte pour sa part que sur neuf agences immobilières interrogées, "aucune ne valide l'estimation de 270.000 euros". L'une d'elles affirme que "le prix médian" pour ce type de maison, début 2006, "était d'environ 540.000 euros sans la piscine, le terrain et la vue" que possède le bien du couple.

Quant à l'appartement de Boulogne-Billancourt acheté par Mme Royal, M. Hollande et les parents de ce dernier, il a été déclaré par le couple pour une valeur de "750.000 euros". C'est, soutient Le Canard, "nettement moins que sa valeur d'achat en 1990 (5.750.000 F, soit 876.000 euros)!".

Selon l'hebdomadaire, "les agences immobilières, fin 2005, valorisaient l'appartement autour de 1,2 million" d'euros.

"Assis sur un tel matelas, assure Le Canard, la candidate et son compagnon auraient été contraints de régler l'année dernière plus de 6.000 euros au titre de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Sept fois plus que ce qu'ils ont effectivement payé (862 euros)".

Ségolène Royal avait rendu public son patrimoine, le 16 janvier, en détaillant sa part propre (celle que tous les candidats à la présidentielle doivent adresser au Conseil constitutionnel), à l'exclusion de celle de son conjoint. Elle déclarait un montant de 108.000 euros pour la maison de Mougins et de 197.800 euros pour l'appartement de Boulogne.

AFP

COMMENTAIRE: normal qu'ils declarent moins....ils n'aiment pas qu'on les appelle "riches"!

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05/03/2007

Arabia Saudita: prima violentata, poi frustata

medium_Sharia3.jpgRyiahd - La sharia, la legge islamica, è inflessibile. Non si possono avere contatti in pubblico tra uomini e donne estranei. E una ragazza saudita di 19 anni, rapita sotto minaccia di un coltello, stuprata, e picchiata in seguito da suo fratello, è stata condannata a 90 frustrate per aver incontrato da sola un uomo che non era suo parente. In un’intervista al giornale Saudi Gazette, la ragazza, indicata solo come "G", racconta di essere stata minacciata oltre un anno fa da un uomo che, se lei avesse rifiutato di incontrare, avrebbe raccontato alla famiglia della sua relazione al di fuori del matrimonio. Ma dopo aver lasciato in macchina il centro commerciale dove si erano incontrati, l'uomo e la ragazza sono stati sequestrati da un gruppo di uomini armati di coltelli da cucina, i quali li hanno portati in una fattoria dove la giovane è stata stuprata 14 volte.

Le condanne Per lo stupro sono stati arrestati cinque uomini e condannati a pene da dieci mesi a cinque anni di carcere. Ma i giudici della città di Qatif, nell'Est del Paese, hanno anche deciso di condannare la ragazza e l'uomo alla fustigazione per essersi appartati in auto. "Sono rimasta scioccata", ha detto la giovane - che ha fatto ricorso in appello - aggiungendo che uno dei giudici le aveva detto che era stata fortunata a non essere stata condannata al carcere. La ragazza ha inoltre rivelato al giornale di essere stata picchiata dal fratello, perché lo stupro aveva attirato vergogna sulla famiglia. Fouziyah al Ouni, definita una militante per i diritti delle donne dalla Saudi Gazette, ha commentato indignata: "Condannandola a 90 colpi di frusta, fanno passare il messaggio che è colpevole. Nessuna vittima di stupro è colpevole".

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