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20/03/2007

Une falsification historique faite religion: l'islam

medium_alcader.jpgComment l'islam pourrait-il accepter une refléxion sur ses origines sachant que l'ignorance est le fondement même sur lequel il s'appuie pour exister?

Si en effet l'islam permettait l'étude de ses origines, la critique textuelle du coran, ou toute autre exégèse coranique, l'on decouvrirait bien vite qu'il a pour origine le judéo-christianisme et qu'il n'apporte aucune révélation nouvelle.

Et la conséquence directe de ces découvertes serait qu'il s'effondrerait de lui-même.

Selon le théologien Landrieux:

"L'islam n'est tenu que par la foi aveugle qui s'interdit toute question , toute réflexion, toute discussion. Il est resté debout parce qu'il y avait interdiction absolue d'y toucher .Mahomet  a mis un bandeau de plomb sur ses fidèles"

Maintenir les musulmans dans l'ignorance en les obligeant à ne s'ébattre toujours que dans le cercle fermé de l'islam, dans un univers clos et entre seuls musulmans et dans la défiance à tout autre mode de penser et d'agir, telle est la volonté pérenne des dirigeants de ce totalitarisme assumé en religion.

A M. Landrieux d'ajouter:

"Cette passivité intellectuelle ne peut perdurer que dans l'ignorance et par l'isolement.Cest pourquoi le monde musulman est si rigoureusement fermé"

EXTRAIT DE "LE VRAI VISAGE DE L'ISLAM" de M. ALCADER Ed.Kyrollos

UN LIVRE INDISPENSABLE AVANT L'APOCALIPSE http://www.amazon.fr/s/ref=nb_ss_w/403-0262797-3646879?__...

"Les musulmans sont les premières victimes de l'islam. Affranchir le musulman de sa religion est le plus grand service qu'on puisse lui rendre"

E. Renan

 

Due per uno (di ritorno dall'Afganistan)

medium_le_vrai_visage_de_l_islam_911x1586.jpgNo, non è una promozione o un’offerta da Supermercato e neppure la prova per vedere se conoscete tutti le tabelline: due per uno è il risultato macabro di uno sgozzamento con "effetti collaterali".
Sono a rendere omaggio, dire una preghiera e ricordare Said Agha, figlio mediatico del "chicazzè", una ricaduta biologico-mediatica dell’effetto "due di picche" che, come si sa, ha valore di scartina.
Daniele Mastrogiacomo, fortunatamente ritornatoci integro, può tenere sulle pareti di casa le tante gigantografie col suo faccione che, per questa quindicina di giorni ci ha infarcito con tanti spasmi e paure, capeggiando su tanti edifici rappresentativi della Repubblica Italiota, a ricordare il dramma che nel quotidiano abbiamo seguito e vissuto.
Da par mio posso solo dire: "Bentornato, Daniele !", ma ricorda - ricordiamo - chi, innocente quanto lui, non ha avuto stessa buona sorte.
E non dimentichiamo la moglie, che ha perso il figlio che aspettava, abortendo dopo avere appreso dell’assassinio del suo amore.
Due per uno: la contabilità elementare dei Talebani è l’unica ricchezza che hanno, in quel mondo di sub-umanoidi.
Sgozzare un capretto o una persona pari è, in una realtà di bipedi similumani ma, dell’umanità, solo il rivestimento in pelle !
Said Agha non potrà neppure riposare vicino al corpicino del suo bimbo e dormire vicino all’amore della moglie, a cui, crudelmente, sarà negato il corpo dopo morto.
I monconi di questo saranno stati gettati assieme all’ossario dove gettano i resti di polli, capre e pecorame di cui quei criminali si cibano.
E pensare che ci sono fessi che vorrebbero mettersi al tavolo con costoro, parlare di pace, filando d’amore e d’accordo.
M’immagino Dadullah o il comandante dei talebani della provincia di Helmand, Ibrahim Hanifi, distrattamente scambiare e gettare Fassino ai cani, comandando loro di riportare indietro...l’ossetto !
Ma fatemi il piacere, salami politici con fette di mortadella sugli occhi !
Said "[...] è stato confermato che era una spia delle forze militari straniere".
E che, Dadullah: t’aveva spiato intanto che ti depilavi o mangiavi un paninazzo mortadellato ?
Mi ricordo quando, in tempi remoti, il signorino di buona famiglia studiava con un maestro privato, che teneva in tra mezzo a loro un povero bimbo, esponente del popolaccio miserabile: il poveretto serviva da tiraschiaffi;
appena il principino sbagliava, o non sapeva rispondere al severo insegnante, partiva una sberla, un ceffone colossale, che spiattellava il muso del povero assorbente sul piano del tavolo.
Serviva a monito e correzione per il piccolo asinello d’altolocata famiglia, ad educarlo a studiare di più.
Il povero Said Agha era questo, solo che, al posto della scuffia gli è arrivata la rasoiata.
hanno così terrorizzato l’Italietta maccheronica, abituata più a guerreggiare nei corridoi che sui campi di Marte !
"Vogliamo il ritiro delle truppe, il rilascio di questo e quello..." e, sottobanco "[...] anche tante palanche !".
E il Lombardo-Veneto ? La Pianura Padana ? La spiaggia di Alassio o l’isola di Capri ?
Potevate ottenere anche questo, e di più: che culo abbiamo avuto, che vi siete accontentati della restituzione di qualche deficiente pari vostro e tanti spicciolini, da ammonticchiare e contare !
Rapire un nostro giornalista è come andare in Mondovisione: avere la propria fotografia, salutare con un bel "Ciao, mammina, sono io: il tuo scarafone, Dadullah" !
Dalle stalle alle stelle, dalla porcilaia al gran mondo: che bel salto di qualità, per tanti straccioni !
Due per uno; riposa in pace, caro Said, accanto a tuo figlio: prego il mio Dio, che è il nostro, perché, assieme, nel cuore di tua moglie, possiate versare miele sui suoi giorni ed alleviarne la sofferenza.
E tu, Dadullah e merdaioli a seguire, che vi sia padrone, d’anima e corpo, il terrificante Saytàn: vostro padre, il diavolo !


Giuseppe Fontana (www.corriere.it)

21.03.07 Le Figaro

Au lendemain de sa libération, le journaliste Daniele Mastrogiacomo raconte l'horreur vécue pendant ses quinze jours aux mains des talibans : «Ils disaient que nous étions des espions et que nous devions tous mourir».

«Je peux le voir encore... Le chef (taliban) a rendu la sentence de mort au nom de l'islam. Il disait que nous étions tous des espions et que nous devions mourir» : l’ex-otage italien, Daniele Mastrogiacomo, livre un récit effroyable de ses quinze jours aux mains des talibans afghans, dans les colonnes de son journal La Repubblica. Le reporter raconte notamment avoir été enchaîné et avoir dormi dans des grottes. Une captivité marquée par l’exécution de son chauffeur afghan, décapité par ses ravisseurs. «Le traducteur pleure. Je ne comprends pas. Je lui demande ce qu'ils ont dit et lui, en larmes, me déclare: 'ils vont nous tuer'».
«Quatre jeunes hommes saisissent le chauffeur et lui mettent le visage dans le sable. Ils lui tranchent la gorge et continuent jusqu'à séparer la tête du corps.»
«Il n'a pu dire un seul mot. Ils nettoient le couteau sur sa tunique et attachent la tête coupée au corps, puis l'emportent à la rivière et l'y jettent.»
Par-delà l’émotion suscitée par ce récit, la mort du chauffeur provoque la colère de ses proches. A Lashkar Gah, capitale de la province d'Helmand, 200 Afghans en colère ont accusé le président Hamid Karzai et le gouvernement d'avoir assuré la libération du reporter de La Repubblica, en échange de la libération de cinq chefs afghans, tout en s’étant désintéressés du sort de leurs propres citoyens retenus en otage. L’interprète du journaliste, Adjmal Nashhbandi, serait selon sa famille toujours aux mains des talibans.

Dhimmitude, quand tu nous tiens...

medium_V2.jpgLa polémique sur les caricatures danoises du prophète Mahomet a rapproché l'ancien Secrétaire général des Nations unies Kofi Annan et Plantu, qui ont eu l'idée d'un rassemblement des dessinateurs pour la paix. En octobre dernier l'ONU et le caricaturiste français ont lancé à New York l'opération "Cartooning for Peace" (Dessiner pour la Paix).

Pour le Français, les dessinateurs se devaient d'apporter une réponse à la condamnation par certains imams des caricatures danoises, mais "il faut le faire avec tact et éviter de tomber dans le piège des attaques frontales".

L'article intégral : http://fr.news.yahoo.com/18032007/202/le-dessinateur-fran....

Plantu a décidé d'adopter le discours des pédo-théocrates sanguinaires qui essayent de nous faire croire que produire des caricatures de Mahomet serait aussi grave que faire des dessins ignobles qui ne sont guère que des plagiats de dessins nazis. 

 En réalité, pour les pédo-théocrates coraniques, faire des dessins de Mahomet c'est impardonnable alors que faire des dessins antisémites, ce n'est absolument pas grave puisque selon l'islam, les Juifs sont des porcs et des singes qui de toute façon vont être exterminés un jour ou l'autre, condition sine qua non de l'arrivée du Jugement dernier selon la Sunna.

Plantu adopte aussi le discours des conquerants en parlant de trêve. Rappelons ce propos d'Alexandre del Valle : "Le but de la théocratie d'Allah est de s'étendre à la totalité du monde. Il faut convertir l'Autre ou l'asservir à ses lois....On doit obligatoirement lui faire la guerre ou le soumettre. La notion de paix (salam) est exclue et ne peut-être concevable qu'au terme d'une conversion ou d'une soumission à l'islam.
Toutefois, le Coran prévoit une exception à cette règle : la "demeure de l'islam" peut contracter une trêve avec la "demeure de la guerre" (territoire non soumis à l'islam, ndlr) si la conjoncture politique l'impose et si cette trêve permet aux Musulmans de prêcher leur doctrine en territoire infidèle sans exiger en contrepartie le même droit de prédication non-musulmane à l'intérieur de la "demeure de l'islam". La trêve, ou conciliation, n'est concevable que si elle est destinée à assurer, à terme, la suprématie totale de l'islam."

Pour mémoire, à l'occasion de la victoire du Hamas aux élections législatives palestiniennes, et devant les pressions internationales qui s'exerçaient, on a commencé à entendre des dirigeants de ce mouvement terroriste parler de "longue trêve possible avec Israël".

Toujours pour mémoire, avant de s'appeler les "Emirats Arabes Unis" le pays s'est un temps appelé "Pays de la Trêve".

Le Droit musulman fixe la durée de la Trêve à 10 ans - renouvelable.

www.france-echos.com

Eric Besson, deputé de la Drôme, parle franc

medium_mseg.jpg« J’avais des inquiétudes depuis longtemps », a déclaré Eric Besson, auteur d’un brûlot contre Ségolène Royal (« Qui connaît Madame Royal ? »). « J’ai failli quitter le PS au moment des jurys populaires », a précisé le député de la Drôme avant d’ajouter ne pas savoir « ce qu’est la démocratie participative »,critiquant l’un des axes majeurs de la campagne de Ségolène Royal dont les jurys populaires étaient une émanation.


Il a au passage remis en cause la méthode de Ségolène Royal qui, selon lui, concentre le pouvoir entre ses mains.

« Je ne roule pour strictement personne. Je souhaite dire ma part de vérité », a-t-il expliqué, rejetant les intentions qu’on lui prête de vouloir détruire la campagne de Ségolène Royal et refusant de dire pour quel candidat il votera le 22 avril.

Les réactions aux violentes critiques qu’il a émises dans son livre ont été, selon lui, réparties entre, d’une part des insultes et des critiques, d’autre part des réactions de solidarité, enfin, a expliqué Eric Besson, certaines personnes, d’accord avec lui pour la présidentielle, lui ont rappelé qu’après cette échéance, il y avait les législatives.


L’ancien secrétaire national du PS à l’économie a dénoncé l’« obscurantisme et l’immobilisme » du PS, évoquant tour à tour la réforme des retraites, la généralisation des 35H, la fiscalité ou le nucléaire. Autant de sujets sur lesquels il avoue ne pas savoir comment les socialistes comptent s’y prendre pour réformer. Il précise même que s’il avait été interrogé un mois plus tôt, alors qu’il était encore au PS, sa réponse aurait été la même. Il a cité comme exemple le nucléaire, domaine dans lequel la candidate socialiste a réclamé un moratoire.    « Chaque fois que la candidate ne sait pas trancher, elle réclame un moratoire. Moi, je réclame un moratoire sur les moratoires », a conclu le député de la Drôme.

www.figaro.fr

 

medium_arton69-3c2ef.jpgVISITEZ: www.paslesroyal.com

19/03/2007

PCF: l'islam est une "race", et l'islamophobie un crime!

medium_pif.gif"Tout comme l’antisémitisme, l’islamophobie doit être considérée non comme une opinion mais comme un crime et punie comme telle". Cette énormité qui, par (fausse) analogie, confond ethnie et conception du monde, peut être lu dans un document communiste intitulé "Le PCF et la laïcité" une analyse présentée par Pierre Saly à la commission islam et laïcité du PCF dont voici un autre extrait : " les communistes combattent toute forme de législation qui contraindrait au dévoilement les femmes porteuses du « voile islamique », présentées comme exemple visible de refus de la laïcité française".




Ce retour en arrière du PCF, sa compromission qu'il ose appeler "lutter contre le communautarisme"(sic!), est de la plus haute dangerosité tant elle met en cause des dizaines d'années de luttes féminines, et de luttes générales pour l'émancipation de la liberté.

Voilà le danger néocommuniste qui pourrait fort bien avoir l'aval d'une Ségolène Royale pour le second tour, mais qui a aussi ses adeptes à l'UMP...: que sous le couvert de laïcité réaménagée soit mis sur le même pied d'égalité des pratiques qui stigmatisent les femmes en les sommant de se couvrir entièrement afin de les dissocier du regard collectif forgé par le vivre-ensemble de la république française, vivre-ensemble qui s'est construit dans les sillons de son sol et non pas en combinant des principes qui vont à son encontre.

Les communistes continuent donc leur travail de sape visant à détruire celui-ci dans son fond secret articulant puissance individuelle et puissance du groupe, persuadés de pouvoir se servir de l'immigration comme masse de manoeuvre, au même titre, mais en sens inverse, que le FN puisque celui-ci s'en sert de repoussoir alors que le PC s'en veut le fer de lance ; pas étonnant dans ce cas que Aounit ait décidé de défendre les couleurs communistes aux prochaines législatives si précisément le PCF opère ce tournant réactionnaire visant à détruire des siècles d'émancipation en avalisant des pratiques qui, auparavant, auraient été triées à l'aune de l'Universel et qui aujourd'hui sont validées sous le seul prétexte de se réclamer d'un discours religieux sans plus aucun esprit critique ; comme si, par une sorte d'extension de cette pensée momifiante qui préfère la muséification à l'affinement, au fait de créer de nouvelles traditions au lieu de les préserver toutes, il soit considéré comme pertes et profits tout ce que l'on reprochait précisément à l'Eglise catholique lorsqu'elle se prétendait seule détentrice de l'Universel et donc imposait sa façon de voir le corps et les relations entre les sexes.

Maintenant, par un retournement cynique et calculateur, l'on oublie, et l'on esquive que le fond libérateur de l'universel ne doit pas être confondu avec les formes qui prétendent l'exprimer en ce qu'il suffirait qu'elles s'en réclament pour les accepter telles que. Or, l'islam est critiquable en tant que tel et point seulement l'islamisme, comme ce fut le cas pour la pratique sociale du catholicisme que le protestantisme critiqua en son temps... Le PCF dans cas, aurait-il traité le protestantisme de catholicophobe (et vice versa) ? Il est évident que d'autres enjeux entrent en ligne de compte, en particulier le fait de mutiler l'image de la femme en l'obligeant non seulement à se vêtir mais aussi à manger de façon séparée des hommes, de prier, etc...

Ce n'est pas parce que les femmes, comme les hommes, sont dévêtus dans la publicité, qu'il faille y opposer l'inverse en les rhabillant complètement. La critique de la vulgarité permet d'éviter de sombrer dans les extrêmes, que choisit le PCF pourtant alors que sa manière de préserver ainsi des pratiques critiquables ne fait au fond que repeindre le vieil universalisme uniformisant, ne cherchant guère à émanciper les peuplades non occidentales, préférant plutôt les laisser dans leurs uses et coutumes afin de pouvoir vivre en paix.

C'est ce que proposent les communistes (et certains PS, UDF, et UMP),  identifiant une idéologie totalitaire autoproclamée religion à une ethnie, sommant tout non occidental à revenir à ses origines, à ne pas les quitter, à s'en offusquer même en stigmatisant ceux qui n'aiment pas le manioc ou préfèrent Sarkozy (alors que lui-même n'est pas très clair sur tous ces sujets), parce qu'ils ne correspondent pas à leur vision du monde de plus en plus obscurantiste, refusant au fond la révolution démocratique qui sait faire la différence entre le nécessaire et le périmé.

Nous sommes devant un grave danger, alors que nombre de ce gens qui ne sont pas de souche aimeraient qu'on les laisse prendre racine, parmi toutes les autres, en s'en distinguant, mais sans s'en séparer. Les communistes et leurs compères socialo-UMP font l'inverse, ils séparent et refusent la distinction par le matraquage idéologique et fiscal, avides qu'ils sont d'en finir une fois pour toutes avec une certaine idée de la France. Et les Français, comme tous les peuples du monde, répondent comme ils peuvent : en votant avec leurs pieds (ils s'enfuient) ou en tentant, naïvement, mais avec passion, de ralentir le ploiement en votant contre. Ce qui reste insuffisant...

www.resiliencetv.fr

I piccoli martiri assassini di Allah

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Indottrinamento scolastico, religioso, mediatico; cortometraggi di propaganda per bambini, appositamente studiati per annullare la naturale paura della morte; canzoncine e giochi che esaltano il suicidio e il martirio. Sono terribili, eclatanti, illuminanti i documenti raccolti in questo saggio. Oggi un'intera generazione di ragazzini, vittime dell'indottrinamento e della propaganda crede che la morte per Allah in guerra sia la più elevata impresa conseguibile in vita. Questa educazione è un'onta indelebile, un abuso, un terribile pregiudizio per il futuro della regione e del pianeta.

DA LEGGERE CON URGENZA

www.carlopanella.it

Prodi ed i "pacifinti" italiani: il ventre molle della vigliaccheria europea

La totale irresponsabilità politica del governo Prodi e della sua magioranza emerge con drammatica chiarezza in queste ore un cui siamo orripilati per lo sgozzamento del povero autista afghano Saied Agha, piangiamo assieme a sua moglie che per il dolore ha perso la creatura che teneva in seno .

La ferocia dei Talebani è nota, così come è forte il loro radicamento popolare. Ma proprio questo è quello che fa emergere l'irresponsabilità politica non solo di Giordano,del Prc, di Diliberto e Pecoraro, ma anche e soprattutto di Massimo D'Alema.

Quel Daudullah che ha dato l'ordine di sgozzare a freddo il povero dovrebbe essere infatti uno dei primi invitati alla Conferenza di Pace che il nostro Ministero degli Esteri sta invocando, davanti a attoniti interlocutori internazionali, nel momento stesso in cui il governo si rifiuta di mandare nuovi militari per combatterlo. Qari Yousuf Ahmadi, il portavoce dei Talebani dovrebbe essere presente a quella Conferenza.


E' così chiara, stridente, palese l'assurdità di questa posizione condivisa da tutto io centrosinistra, che se ne dovrebbero trarre immediate conseguenze.
Invece no.
Invece si offre al mondo uno spettacolo indecente di una presenza in Afghanistan a fare no si sa cosa, non si dotano i nostri reparti di difese adeguate, si fa parte del fronte europeo degli irresponsabili, con Zapatero, che si rifiutano di mandare nuovi soldati a Kabul e si offre ai Talebani la netta indicazione che serviva loro.


Volete colpire l'anello debole della catena, l'alleato degli americani in Afghanistan che può cedere subito? Rapite un italiano, colpite l'Italia.
 

I Talebani ragionano come i nazisti. Questo è il punto.Solo Prodi & C., sino ad oggi, non se ne erano accorti.

www.carlopanella.it

 

Leggete ''Il cacciatore d'aquiloni'' di Khaled Husseini!

Chiunque voglia comprendere perché è giusto e sacrosanto che anche i soldati italiani combattano, armi alla mano, contro i Talebani, legga questo fantastico best seller.
E' un romanzo, non ha nessuna pretesa ideologica, ma racconta, con uno stile perfetto, storie vere sull'Afghanistan dei Talebani.
I colori, gli odori, i personaggi, le strade, i bus, le scudisciate, le violenze, tutto, tutto è perfetto. Un libro che è l'Afghanistan.
Un libro che prende l'anima

Battisti, un criminel protégé par Mitterrand et ses disciples

L'éditorial de Stéphane Marchand

Dans une démocratie, la capture d'un criminel est toujours une bonne nouvelle. Saluons donc l'arrestation, hier au Brésil, de Cesare Battisti, l'ancien membre, en fuite, des Prolétaires armés pour le communisme, condamné à la réclusion à perpétuité par un tribunal de Milan pour quatre assassinats commis en 1978-1979, à la fin des sanglantes « années de plomb ». Devenu auteur à succès sur les berges de la Seine, entouré de la sollicitude d'un certain milieu littéraire et politique, Battisti a vécu un exil paisible. Il n'a jamais eu un geste de regret, jamais un mot de compassion pour les victimes de son organisation, pas même pour le fils du bijoutier Torregiani, resté paraplégique après le meurtre de son père.
À Rome, hier, le gouvernement de Romano Prodi se félicitait de la « brillante opération », à laquelle a participé la police française. L'affaire avait longtemps empoisonné les relations entre Paris et Rome, après que François Mitterrand eut offert l'asile en 1985 à l'ancien terroriste, en échange d'une vague promesse de renonciation à la violence et en dépit des charges extrêmement graves qui pesaient sur lui. Il a fallu attendre 2004 pour voir Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin effacer l'insulte faite à l'Italie et signer enfin l'extradition de Battisti vers son pays natal. L'intéressé prenait aussitôt la fuite, assuré du soutien sonore d'une bonne partie de la gauche française, fascinée par cette résurgence inespérée des émotions guerrières de sa jeunesse.
Qu'on nous pardonne de ne pas y céder. S'offusquer que la promesse faite par Mitterrand n'ait pas été tenue permet à nos beaux esprits de masquer une réalité historique. Les violences des années 1970 en Italie n'étaient nullement une guerre juste contre un « état fasciste », comme on l'entend parfois encore à Saint-Germain-des-Prés. Les dirigeants démocrates-chrétiens qui tombaient sous les balles des activistes essayaient simplement de sauver l'Italie du naufrage. Alors, le Paris radical chic a le droit de vibrer de romantisme révolutionnaire, on lui concédera aussi que les crimes de Battisti ne dispensent en rien l'Italie d'appliquer à celui-ci une justice exemplaire, mais les diatribes du Tout-Paris de la plume et de la scène au nom du fugitif avaient l'allure d'une farce ? Fallait-il que Bernard-Henri Lévy, suivi de Guy Bedos et précédant Georges Moustaki, ose mettre sur le même plan les meurtres des PAC et les déboires judiciaires de Silvio Berlusconi ? Quel besoin Bertrand Delanoë avait-il de placer Battisti sous « la protection de la Ville de Paris », si tant est que la formule ait le moindre sens ? Au nom de quoi les Verts exigeaient-ils que lui soit octroyée la distinction de « citoyen d'honneur » ?
On pourra vérifier dans les prochains jours si les groupies du terroriste ont repris leurs esprits. Faisons le pari que, à un mois du premier tour de la présidentielle, Julien Dray, un proche de Ségolène Royal, hésitera cette fois à déclarer qu'« au nom du PS », il faut voler au secours de Battisti pour « défendre l'honneur de la République ».

16/03/2007

Islam laïque: un fantasme intellectuel qui rassure

medium_av-646.jpgLes 4 et 5 mars 2007, en Floride, s’est tenu le premier sommet mondial de l’islam laïque.

Parmi les intervenants, on note la présence (entre autres) de Ibn Warraq, auteur de “Pourquoi je ne suis pas musulman”, de Wafa Sultan ou Ayaan Hirsi Ali.
A l’issue des débats, les intervenants ont publié la “Déclaration de Saint Petersburg”:

"Nous sommes des musulmans laïques, et des laïcs issus de sociétés musulmanes. Nous sommes des croyants, des sceptiques, et des non-croyants, qui nous sommes rassemblés en raison du grand combat qui a lieu actuellement. Ce combat ne se déroule pas entre l’islam et l’occident, mais entre ceux qui sont libres et ceux qui ne le sont pas.

Nous voulons affirmer ici l’inviolable liberté de conscience de chacun, et notre croyance en l’égalité entre tous.

Nous insistons sur la nécessité de la séparation entre l’église et l’état et sur la nécessité du respect des droits de l’homme. Nous pensons qu’il existe une tradition de liberté, de raison, de tolérance dans l’histoire des sociétés islamiques et pré-islamiques, et que ces valeurs n’appartiennent ni à l’occident ni à l’orient ; elles sont l’héritage commun de l’humanité.

Nous ne voyons aucun colonialisme, aucun racisme ou aucune soit-disant islamophobie dans le fait de critiquer les pratiques de l’islam ou dans le fait de les condamner lorsqu’elles violent la raison ou les droits humains.

Aux gouvernements du monde entier, nous demandons :
- de rejeter la charia, les tribunaux islamiques, la loi cléricale et la religion d’état sous toutes leurs formes
- de s’élever contre toute condamnation pour blasphème ou apostasie, en vertu de l’article 18 de la déclaration des droits de l’homme
- d’ éliminer toutes les pratiques qui contribuent à l’oppression des femmes : excision, meurtres pour l’honneur, voile obligatoire, mariages forcés.
- de protéger les minorités sexuelles contre toute forme de persécution et de violence
- de reformer les programmes scolaires sectaire qui enseignent l’intolérance et les préjugés à l’égard des non-musulmans
- d’entretenir et de développer une sphère publique où tout les questions puissent être soulevées sans coercition et sans intimidation.

Nous exigeons que l’islam soit libéré de la captivité dans laquelle une orthodoxie rigide et des ambitions totalitaires le tiennent enfermé.

Nous encourageons les intellectuels et les chercheurs du monde entier à enquêter avec détermination sur les origines et les sources de l’islam, et à diffuser largement les principes de la démarche scientifique et spirituelle libre, grâce à des traductions et des publications croisées.

Nous voulons dire aux croyants musulmans : l’islam a un bel avenir en tant que foi privée, mais pas en tant que doctrine politique.

A tous les Chrétiens, Juifs, bouddhistes, hindus, bahias, à tous et à tous les croyants non musulmans, nous dison : nous sommes a vos cotés , en citoyens libres et égaux.E t à tous les non croyants, nous disons : nous défendrons votre liberté inaliénable de douter et de ne pas croire.

Avant d’être membre de l’umma, du corps du chirst, ou du peuple élu, nous sommes tous membres d’une même communauté , la communauté de ceux qui décident par eux-mêmes"

Les premiers signataires sont : Ayaan Hirsi Ali, Magdi Allam, Mithal Al-Alusi, Shaker Al-Nabulsi, Nonie Darwish, Afhin Ellian, Tawfik Hamid, Shahriar Kabir, Hasan Mahmud, Wafa Sultan, Amir Taheri, Ibn Warraq, Manda Zand Ervin, Banafsheh Zand-Bonazzi

COMMENTAIRE: L'intelligence, la culture et le courage de ces signataires ne font pas de doute. Dommage que le terme islam ne puisse pas s'accomoder d'une quelconque civilisation humaniste, car les fondations sont minées. L'islam sans Mahomet, sans coran et sans hadits reste à INVENTER!

15/03/2007

Cet islam dit "modéré"

medium_charlie_20Hebo.jpgLe procès des caricatures est à bien des égards un révélateur montrant que sur l’essentiel, les principaux acteurs de l’islam en France convergent vers une même voie : celle qui demain, espèrent-ils, mènera la France à faire sienne une nouvelle identité islamique, affirmée et protégée.

Depuis des années, les médias s’évertuent tant bien que mal à opérer des distinctions artificielles entre «des» islams. D’un côté, l’islam intégriste wahhabite et salafiste, respectivement incarnés par l’Arabie Saoudite et les Frères musulmans. De l’autre «l’islam modéré», «du juste milieu», incarné par le Maghreb et donc Dalil Boubakeur. Postulat permettant de ne pas jeter le bébé islamiste avec l’eau du bain de l’islam qui, nous dit-on, peut parfaitement s’intégrer à la civilisation française.

Or, voici que Dalil Boubakeur, a porté plainte au pénal contre Charlie Hebdo avec la Ligue islamique mondiale, organisation wahhabite, et l’UOIF, branche française des Frères musulmans, en mai 2006. Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) est coincé. Coincé entre la volonté d’afficher un islam «ouvert et tolérant», pour le rendre comestible à l’opinion publique française, et l’obligation de prendre en considération la volonté de la oumma afin de légitimer sa représentativité. Boubakeur a tranché, mais la participation du parangon de «l’islam modéré» à ce procès d’un autre âge, relooké par l’idéologie anti-raciste, n’étonnera que les imbéciles. Le 26 mars 2005, Dalil Boubakeur rendait visite aux dirigeants l’UOIF lors de leur congrès annuel, «une amitié d’une décennie» déclara-t-il à un journaliste de oumma.com. Au journaliste, il s’expliquait sur les anicroches qu’il avait pu avoir dans le passé avec l’UOIF qui surgit renforcée en 2003 après les premières élections du CFCM. Le partage du gâteau de la représentation de l’islam avait passablement irrité le monopole tranquille de l’institutionnel Recteur. Cependant, solidarité islamique oblige, Boubakeur se garderait bien de ranger dans la case «islamiste» l’UOIF afin de s’en démarquer. La volonté d’excommunier une organisation vouant un culte au Hamas, et ayant pour guide théologique Yussuf al-Qaradawi, favorable à l’extermination physique des homosexuels et des apostats, aurait pourtant été de bon ton pour un «modéré». Non, Boubakeur, lors de la même interview, confie que «nos objectifs sont tous convergents (avec l’UOIF ndlr), seules nos méthodes peuvent différer». Au moins, c’est clair.

Dans un livre indispensable, «Quand le Maroc sera islamiste» (La découverte), Nicolas Beau et Catherine Graciet ont parfaitement exposé la vacuité des espérances de ceux qui diagnostiquent une réforme libérale de l’islam contemporain. Au Maghreb autant qu’ailleurs, les mouvements politiques islamiques conservateurs n’ont jamais été aussi puissants. Les modernes qui, par exemple, relativiseraient la pertinence de la peine bien établie du délit de blasphème, sont des traîtres roulant pour l’Occident.

Pour Boubakeur, la Ligue islamique et l’UOIF, c’est très simple, Charlie Hebdo, en osant faire un lien entre la violence, Mahomet et les islamistes, a fait preuve de «racisme». Montrer un personnage accueillant les «martyrs» au paradis en leur demandant de rebrousser chemin car le lieu est à court de vierges, est "un véritable délit d'expression de la haine raciale" pour Boubakeur, comme si l’idéologie politico-religieuse de l’islam était une race ! Ne craignant pas le ridicule, cette accusation délirante ne convaincra pas le quidam qui voit quotidiennement à la télévision des islamistes, personnifiés par le Hamas, le Djihad islamique ou les Talibans, justifiant leurs méfaits par une référence constante au Prophète.

Mohammed Sifaoui, courageux journaliste d’investigation, a simplement apporté son témoignage en faveur de l’hebdomadaire en exposant le drapeau de l’Arabie saoudite où se déroule la chahada soulignée d’un sabre. De même, il présente le blason des Frères musulmans, soit deux sabres entrecroisés. Il rappelle à juste titre que les premiers à avoir associé islam et violence sont les musulmans radicaux, et non les journaux occidentaux. Abdel Wahab Meddeb, fin connaisseur de l’islam, témoigne également en affirmant avoir ri en visionnant la caricature de Charlie Hebdo. Ces deux hommes seraient-ils donc racistes pour les représentants du Conseil français du culte musulman, Etat dans l’Etat à dissoudre d’urgence ?

La mise sur pied du CFCM est, maintenant c’est indéniable, une faute de Nicolas Sarkozy, dépassé par sa créature à laquelle il s’oppose publiquement en soutenant Charlie Hebdo. Islam «de» France ? Non, un islam conquérant «EN» France, qui a de plus l’indécence de déplorer la politisation du procès des caricatures, alors que l’islam est justement une idéologie qui politise la religion. Pour finir et éviter toute confusion, Mohamed Sifaoui, s’il se dit musulman, a gardé de l’islam «civilisationnel» le vernis culturel et non la foi militante enracinée. Considéré comme apostat, il vit sous la menace des radicaux. Meddeb, lui, le concède ouvertement, n’est pas un croyant. Ce procès aura au moins comme mérite de montrer le parfait décalage entre ces partisans –très occidentalisés- d’un «islam des lumières», mythe n’existant que dans leur esprit, flattant les désirs trop optimistes de l’Occident, et les organisations musulmanes représentatives.



Joachim Véliocas pour LibertyVox.
Auteur de "L'islamisation de la France" aux éditions Godefroy de Bouillon