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15/08/2007

Quand la vermine meurt dans son lit, d'autres n'ont pas eu cette chance

fb22b67d895a012d8c7175397b00b57b.jpgL’ancien nazi Heinz Barth avait été impliqué dans le massacre de 642 civils, dont 247 enfants, le 10 juin 1944 dans cette commune du sud de la France.

Le criminel de guerre Heinz Barth est décédé. Surnommé « l'assassin d'Oradour-sur-Glane » pour son implication dans le massacre commis en France par des SS à la fin de la Seconde guerre mondiale, il s’est éteint à l’âge de 86 ans à son domicile de Gransee, près de Berlin.
« L'enterrement aura lieu en septembre et je me suis déjà déclaré prêt à le présider, car tout le monde a le droit à un enterrement », a déclaré Heinz-Dieter Schmiedkte, le pasteur de Gransee (le bon Dieu est miséricordieux, n'est-ce pas mon père?http://www.nobeliefs.com/nazis.htm  NDR)
L'ancien lieutenant nazi avait été condamné à la prison à vie en 1983 en RDA pour crime de guerre, et libéré en juillet 1997 en raison de son âge et de son état de santé. Au total, 642 civils, dont 247 enfants, avaient péri le 10 juin 1944 dans le village d'Oradour-sur-Glane, dans le sud de la France. Ils avaient été fusillés, noyés ou brûlés vifs par des SS de la division blindée « Das Reich ».

Le Liban méridional sous le joug des nazislamistes hezbollah

Un an après la guerre de trente-trois jours avec Israël, les villages détruits se reconstruisent lentement sous la férule de la milice chiite.

UN AN après la fin de la guerre entre Israël et le Hezbollah, la bourgade chiite d'Aït ash-Shaab est encore en pleine reconstruction. Pas une maison n'est sortie indemne des féroces combats de rue de l'été 2006. Cachés dans les caves, les guérilleros du Hezbollah ne sortaient que très rarement, et à chaque fois pour frapper. Soit pour détruire un char Merkava en incursion en le tirant à la roquette filoguidée, soit pour lancer à l'aveugle des fusées Katioucha contre les bourgades israéliennes du nord de la Galilée. Mal préparée à cette guerre asymétrique, Tsahal avait répliqué avec la brutalité d'un marteau-pilon essayant d'écraser une mouche, avec des bombardements aériens, des pilonnages au canon de 155 mm à longue portée, et des tirs directs des blindés contre toute habitation un tant soit peu suspecte.
De chez le professeur de collège Abou Hamid (son nom a été changé pour raisons de sécurité, NDLR), à la lisière d'Aït ash-Shaab, le relief descend, sur deux cents mètres de garrigue, vers un talweg où, derrière une haute barrière barbelée, court une route sinueuse : la frontière israélienne. C'est là que tout a commencé, le matin du 12 juillet 2006 : le Hezbollah enleva deux militaires israéliens, incident qui déclencha la guerre.
Les parpaings de la villa qu'Abou Hamid reconstruit aujourd'hui montent jusqu'au deuxième étage, mais le toit n'est pas encore entamé. Aide financière iranienne ? « Non. L'Iran a donné un petit pécule à toutes les familles lors de leur retour dans le sud, mais, ici, c'est le Qatar qui finance la reconstruction des habitations. On a droit à 40 000 dollars par foyer, en trois versements. J'ai déjà touché le premier, j'attends le second. Quant à l'éclairage public, ce sont les Italiens qui nous l'ont rétabli », explique ce professeur d'arabe de 53 ans, les mains blanches de ciment. Son salaire mensuel de 800 dollars versé par l'État libanais n'aurait jamais permis à Abou Hamid de se lancer aussi vite dans les travaux.
Le village où l'on ne voit pas encore la moindre femme, ni le moindre enfant, est couvert de banderoles à la gloire du Hezbollah, avec citations de son charismatique secrétaire général, Hassan Nasrallah : « L'époque des défaites est bel et bien révolue ! » Juste après le cessez-le-feu du 14 août 2006, imposé par la résolution 1701 de l'ONU puis, une fois n'est pas coutume, scrupuleusement respecté par Israël et le Hezbollah, Nasrallah avait parlé de « victoire divine ». Loin d'être démantelée, sa milice avait montré sa capacité d'arroser la Galilée de roquettes Katioucha jusqu'au dernier jour de la guerre.
« La paix, même avec les juifs ! »
Au coin d'une ruelle qu'encombre un énorme camion à benne rempli de sable, se dresse un immense poster représentant les visages juvéniles des huit « chahids » (martyrs), miliciens du Hezbollah morts au combat dans le village. Les neuf civils qui ont également été tués n'ont pas droit à cet honneur du portrait affiché en public.
Des jeunes hommes traversent le village à vive allure, chevauchant, en paires, des motos tout-terrain : les mêmes engins qu'on voyait, pendant la guerre, guider les camions lance-roquettes du Hezbollah vers leurs aires de lancement, puis vers les garages des villas où ils se cachaient, en attendant leur prochain ordre de frappe. Ces jeunes chiites croisent un convoi au ralenti de véhicules de patrouille de la Finul, toisant les Casques bleus, sans hostilité ni sympathie apparentes : juste de l'indifférence.
Aït ash-Shaab ne connaît pas le multilinguisme : toutes les inscriptions, panneaux officiels comme placards commerciaux, sont en arabe, à l'exception d'une affiche de l'Unicef, rédigée en anglais. Au village chrétien voisin, tout change : le français est omniprésent, dans les boutiques comme sur les bâtiments publics.
Lorsqu'on demande à Abou Hamid si le Hezbollah a eu raison d'attaquer Israël le 12 juillet, l'instituteur, visiblement plus proche du parti chiite laïc Amal que de son allié politique islamiste Hezbollah, articule une prudente réponse, en deux temps : « Depuis que je suis né, j'ai toujours vécu avec ce voisin israélien, qui ne cesse de nous créer des problèmes. Dans sa résistance, le Hezbollah a fait preuve de beaucoup de courage. Mais, en tant que Libanais, je ne me sens pas concerné par la libération de la Palestine : c'est un combat qui incombe aux Palestiniens, pas à nous. Les Libanais rêvent de vivre en paix avec tout le monde, même avec les juifs ! Je suis ravi que notre armée libanaise soit enfin déployée sur la frontière... » Soudain, Abou Hamid se tait, jetant un regard derrière lui, comme un signal. Arrive un homme d'une quarantaine d'années, à la barbe finement taillée, qui nous demande poliment s'il peut nous être utile. C'est le responsable administratif local du Hezbollah. Fin des épanchements politiques...
Sur la route qui conduit, vers l'ouest, en direction de la mer et du village frontière de Naqoura, on traverse la bourgade de Yarim. Elle est pleine de portraits de Rafic Hariri, l'ancien premier ministre libanais, leader sunnite assassiné en février 2005 pour s'être éloigné du régime de Damas. Au Liban, les portraits signent l'appartenance confessionnelle et politique des places de village qu'ils ornent. Yarim est donc un village sunnite. Il est pratiquement sorti indemne de la guerre, comme Ramesh, le village chrétien où Abou Hamid avait trouvé refuge à la mi-juillet. Preuve que les bombardements de Tsahal, tout maladroits qu'ils furent, n'ont pas été totalement indiscriminés. La punition collective infligée par Israël au Liban-Sud à l'été 2006 n'a grosso modo frappé que la communauté chiite.
SOURCE:www.figaro.fr

11/08/2007

Apostasie: une "faute" mortelle, même en Occident!

L'agression par des islamistes d'un jeune Iranien néerlandais qui venait de créer un comité d'apostats de l'islam fait resurgir les tensions.

IL y a quatre mois, le philosophe Afshin Ellian, Iranien néerlandais connu pour son combat contre les islamistes, recevait un appel de Jami Ehsan, 22 ans. Ce juvénile conseiller municipal du parti travailliste PvdA à Voorburg, en banlieue de La Haye, lui expliqua vouloir créer un comité d'apostats de l'islam, destiné à défendre « la liberté de religion » aux Pays-Bas. « C'est une activité dangereuse », lui répondit Ellian qui, depuis l'assassinat du cinéaste Theo Van Gogh par un islamiste en 2004, est sous protection policière.
« Je sais, répondit Jami, mais c'est très important. Nous devons conquérir notre liberté de croire ou de ne pas croire, une liberté que nous refuse l'islam ! » Arrivé aux Pays-Bas à l'âge de 9 ans, éduqué par des parents iraniens modérés, le jeune garçon avait été foudroyé, à 16 ans, par la destruction des tours jumelles du World Trade Center, le 11 septembre 2001. Sa première réaction fut de s'emparer d'un Coran pour comprendre pourquoi, au nom de l'islam, de telles attaques pouvaient être menées. Une fois le livre refermé, il abjurait sa religion. « C'est très intéressant, note Afshin Ellian, car l'assassin de Theo Van Gogh, Mouhamad Bouyeri, s'est radicalisé après le 11 Septembre, alors que chez Jami, c'est le contraire. Il incarne tous ces jeunes musulmans qui veulent échapper à la religion et à la tradition. Ils veulent être des laïques, pouvoir par exemple prendre femme parmi les chrétiens. Quand le 11 Septembre est arrivé, beaucoup d'Occidentaux ont dit : »Où sont les musulmans dans le débat ?* Le comité des apostats est la réponse de Jami à cette question. Une réponse qui concerne toute l'Europe, où il fait école. »
Le comité des ex-musulmans prévoit de tenir une conférence inaugurale en septembre. Mais entre-temps, Jami Ehsan a été violemment agressé samedi par trois hommes qui l'ont roué de coups. Deux d'entre eux seraient marocains et le troisième somalien, selon lui. Ils l'auraient traité de « sale juif » et de « sale homosexuel », avant de prendre la fuite. Ehsan avait multiplié les déclarations publiques sur « l'islam totalement arriéré ». Victime de menaces téléphoniques, dont celle d'« être pendu », il est maintenant sous haute protection.
À fleur de peau
L'affaire a provoqué de nouveaux remous dans une classe politique néerlandaise où les tensions liées à l'islam restent à fleur de peau, depuis l'assassinat du politicien Pim Fortuyn et du cinéaste Theo Van Gogh. Hier, dans le quotidien Volkskrank, le chef du Parti travailliste, Wouter Bos, répondait à Ehsan Jami - qui avait déploré le faible soutien de son parti - en rappelant que le PvdA était le seul « à prendre ouvertement position... en faveur du droit à abandonner sa religion, même s'il s'agit de la religion musulmane ». « Jami a parfaitement le droit de s'exprimer. Mais si on me demande s'il est nécessaire de faire des déclarations blessantes sur Mahomet pour plaider en faveur de l'apostasie, je réponds que non », ajoutait-il.
Le populiste Geert Wilders, chef de file d'une formation d'extrême droite, a demandé « l'interdiction du Coran » aux Pays-Bas, suscitant un tollé (voilà une proposition qui prend le "problème" à sa source NDR). Hier, le Telegraaf signalait pourtant que le Conseil des musulmans avait proposé à Wilders un « dialogue constructif, afin de lutter contre la peur et la polarisation de la société néerlandaise » (Les "persécuteurs" jouent les "victimes" NDR).

Ideologia della segregazione islamica

Venerdì islamico, matrimonio in moschea, poligamia consentita, potrebbero non essere un pericolo lontano. Diario d’estate da Itabia (arabizzazione dell’Italia). Occhio ai movimenti e alle esternazioni del ministro dell’Interno. «Da una legislatura e mezzo la legge sulla libertà religiosa va aggiornata». Lo ha detto Giuliano Amato durante la sua visita al Centro di Coordinamento Polizia Dogane del confine italo-francese a Ventimiglia. «L’Islam, e non solo per la specificità che rappresenta, è rimasta l’unica religione importante che in Italia viene regolata in base alla legge sui culti ammessi, una legge che ha più di 70 anni. Le altre religioni sono regolate con intese». Con chi intende stilare questa intesa il ministro Amato, e quali mediazioni si sono svolte sulla cosiddetta legge, un’idea dei valdesi acchiappata al volo dagli integralisti, magari con mediatori doc come Luciano Violante, o come Oliviero Diliberto, che gli estremisti dell’Ucoii, trattati da questo governo come gli interlocutori principali, un anno fa invitavano a votare?
La legge in discussione al Parlamento e la contesa alla Consulta islamica sono due cose separate, ma corrono parallele e ugualmente pericolose. All’accettazione di una Carta dei Valori condivisibile da tutti i componenti della Consulta, ovvero i moderati e i liberali, firmata guarda caso dopo la generosa donazione del ministro Ferrero alle moschee, e dopo la promessa che l’inutile e pericolosa moschea numero 2 a Bologna si farà, l’Ucoii ha fatto seguire subito una lettera di obiezioni, eccezioni e richieste. È nello stile dei suoi dirigenti, tenere l’interlocutore in scacco e ricatto continuo. Naturalmente non è trapelato niente, come se la vicenda delle regole per l’Islam in Italia non interessassero agli italiani, come se i giornali non avessero il dovere di conoscere e pubblicare, ma l’atteggiamento è stato tale da irritare persino il ministro Amato, che non ha risposto. La situazione resta dunque sospesa, i membri democratici della Consulta vengono ulteriormente mortificati, le danze le guida l’Ucoii, ovvero Mohammed Nour Dachan, il medico che esalta la poligamia. In Italia c’è già il diritto alla libertà religiosa, i musulmani hanno già le loro moschee, è nei Paesi musulmani, è nella Cina comunista, che sono perseguitati i cristiani. La libertà religiosa, insomma, priorità nelle campagne dei diritti umani, nel senso che dovrebbe venire ben prima di una moratoria sulla pena di morte, non si sa quanto efficace, non riguarda l’Europa.
Ma quella che abbiamo noi non è la libertà di religione che intende l’Ucoii, e la legge che sta per arrivare, vista anche la gran fretta di Amato e colleghi, potrebbe consegnare noi all’islamizzazione rapida, consegnare al ghetto la maggioranza dei musulmani, sancendo la segregazione delle donne.
Sentite che cosa ha chiesto, parlando alla Commissione in Parlamento, Dachan: «Concedere i giorni festivi ai musulmani che lo richiedono (per la festa di fine Ramadan e la festa del Pellegrinaggio)»; «concedere l’ora di uscita per la preghiera del venerdì ai musulmani che lo richiedono»; «elasticità nel mese di Ramadan e concessione delle ferie nel periodo del Pellegrinaggio»; «la concessione di pochi minuti per la preghiera quotidiana». Queste concessioni, per uno studente e ancor più per un lavoratore, sarebbero discriminanti. Le aziende che organizzano il lavoro in turni non posso permettersi di modificare gli orari degli altri dipendenti per la presenza di un musulmano che deve «recuperare» le ore dedicate alla preghiera. I cattolici se devono lavorano anche la domenica, la preghiera e la religiosità sono questioni personali e private, non pretese da mettere a contratto. Tant’è vero che su 56 Paesi arabi il venerdì è applicato solo in tre, l’Italia diventerebbe il quarto.
Sentite che cosa ha risposto in quella stessa riunione della Commissione, Souad Sbai, presidente delle Comunità marocchine: «La nostra associazione si occupa anche delle donne immigrate, migliaia di donne senza diritto, prive di alcuna garanzia: prima moglie, seconda e terza moglie. Nel matrimonio musulmano è un adul, un notaio, a celebrare un matrimonio in casa dei futuri sposi: non c’è nessun matrimonio in moschea, nessun matrimonio si fa in quel luogo. Si tratta di una minaccia seria all’istituto della famiglia monogamica su cui si regge la civiltà occidentale».Eppure nella legge «Norme sulla libertà religiosa e abolizione della legislazione sui culti ammessi», l’articolo 11 afferma che il ministro di culto islamico non sarà tenuto a pronunciare, durante il rito in moschea, gli articoli del codice civile sulla parità di diritti e doveri tra marito e moglie (143, 144 e 147 del codice civile), «qualora la confessione non abbia optato per la lettura al momento della pubblicazione». Vedete che il pericolo è serio?
 

Maria Giovanna Maglie

http://www.ilgiornale.it/a.pic1?ID=198633