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30/06/2008

L'anti-civilisation musulmane et sa barbarie

Hadith Sahih Muslim 17/4206 (authentique)

« Une femme vint dire à Mahomet : « J’ai commis l’adultère, purifie-moi. » (Elle voulait que Mahomet la punisse afin qu’Allah lui pardonne son péché et la laisse entrer au paradis.) Mahomet lui répondit : « Va-t-en jusqu’à la naissance de l’enfant. » Après avoir mis l’enfant au monde, elle revint avec l’enfant et dit : « Voici l’enfant que j’ai mis au monde. » Mahomet répondit : « Va-t-en et allaite-le jusqu’à ce qu’il soit sevré. » Une fois l’enfant sevré, elle vint vers Mahomet avec l’enfant qui tenait un morceau de pain dans sa main. (L’enfant devait avoir deux ans, selon la durée prescrite par le Coran pour l’allaitement.) La femme dit : « Messager d’ Allah, le voici, je l’ai sevré et il mange de la nourriture solide. » Mahomet donna l’enfant à un musulman et prononça ensuite la sentence. La femme fut enterrée dans un fossé jusqu’a la poitrine et lapidée ».

Pour les amateurs de détails croustillants, sachez que la lapidation se termine de la façon suivante (ma traduction) :

« Khalid b Walid lui jeta une pierre sur la tête. Quand une éclaboussure de sang le salit au visage, il insulta la suppliciée. Le Messager d’Allah entendit l’insulte et il ordonna : ”Khalid, fais doucement. Au nom de Celui qui tient dans ses mains ma vie, elle a fait une telle démonstration de sa repentance que même si un collecteur d’impôts injuste s’était repenti ainsi, il aurait été pardonné.” Alors donnant des ordres au sujet de la femme, il pria au-dessus d’elle et elle fut enterrée ».

Pour comparaison :

« Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère ; et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ? Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus, s’étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l’interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s’étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu’aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors s’étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus, va, et ne pêche plus ». Jean 8 : 3-11

Information complémentaire :

Le code pénal de la République Islamique d’Iran sur les conditions de la lapidation.

§ 102 La femme et les sanctions : La lapidation jusqu’à ce que mort s’ensuive est le châtiment pour les adultères. L’homme et la femme adultères sont enterrés dans un trou rempli de sable, le premier jusqu’à la taille, la seconde jusqu’au-dessus des seins, et ils sont lapidés.

§ 104 Les pierres utilisées ne devront pas être trop grosses afin d’infliger la mort d’un coup, elles ne doivent pas être si petites qu’on ne puisse leur donner le nom de pierre. La taille moyenne est choisie généralement afin de faire expier la faute par la souffrance.

SOURCE www.pointdebasculecanada.ca

10/06/2008

Euroislamisation et catastrophe culturelle

Le 1er juin 2008, Geert Wilders a prononcé un discours devant le Parlement danois sur son récent film Fitna. M. Wilders donne également son avis sur l’Islam en général, et sur l’islamisation de l’Europe (« Le projet Eurabia »). Il a été invité au Danemark par la Société danoise de la presse libre.

Traduction de son discours : www.pointdebasculecanada.ca

Mesdames et Messieurs,

Je suis très honoré d’avoir été invité par la Société danoise de la presse libre à m’adresser au Parlement danois, au cœur de la démocratie danoise. Mes remerciements vont à Lars Hedegaard et Katrine Winkel Holm, qui ont eu la gentillesse de m’inviter ici.

Comme vous le savez peut-être, le titre de mon court-métrage sur le Coran et l’islam est Fitna. Fitna est un mot arabe avec de nombreuses significations. La traduction la plus commune est « épreuve ». Le nom Fitna symbolise mon opinion que l’islam est l’épreuve qui confronte actuellement l’Occident. Sommes-nous prêts à défendre nos réalisations, telles que l’égalité des hommes et des femmes, des hétérosexuels et des homosexuels, ainsi que la séparation de l’Eglise et de l’Etat ?

Aujourd’hui, je me propose de jeter un peu de lumière sur la question de savoir si les Pays-Bas et l’Europe seront en mesure de faire face à cette épreuve avec succès. Je vais également expliquer pourquoi j’ai fait Fitna, et relater certaines réactions à mon film ainsi que ma situation personnelle. Enfin, je vous proposerai quelques réflexions sur l’avenir de la liberté et de la démocratie en Europe.

Je vais d’abord vous expliquer pourquoi j’ai fait Fitna

C’est un fait indiscutable que les Pays-Bas et l’Europe sont en voie d’islamisation. Pour ceux qui en doutent encore, permettez-moi de vous donner quelques chiffres. En 1909, il y a un siècle maintenant, il y avait 54 000 musulmans vivant aux Pays-Bas. En 1960, il y en avait 139 000. En 1990, 458 000. Aujourd’hui, il y en a environ un million.

En France, environ 10% de la population est musulmane. En tout, 54 millions de musulmans vivent en Europe. En moins d’un demi-siècle, le nombre de musulmans a considérablement augmenté dans pratiquement toute l’Europe. En l’espace de quelques décennies, les scènes de rue en Europe, en particulier dans les régions à forte densité de population, ont radicalement changé. Dans des pays comme les Pays-Bas, l’Allemagne et le Danemark, les foulards islamiques et les burqas font maintenant partie de notre expérience quotidienne.

L’islamisation de l’Europe

L’islamisation de l’Europe signifie toutefois beaucoup plus que cela. Ce processus affecte également les réalisations européennes du siècle dernier. Il est triste de voir que l’égalité des hommes et des femmes dans l’Europe de 2008 est sous pression. Prenez par exemple l’augmentation du nombre de crimes d’honneur, ou les tentatives d’introduire les testaments basés sur la charia qui accordent aux femmes la moitié de la part dévolue aux hommes, ou le refus par les musulmans radicaux de serrer la main d’une femme. Il en va de même pour l’égalité entre hétérosexuels et homosexuels. À Amsterdam, jadis la capitale gay du monde, les homosexuels sont régulièrement passés à tabac, souvent par des Marocains.

Certains prétendent que l’intolérance islamique et la haine de notre mode de vie et de l’Occident sont le résultat de la colonisation européenne du monde arabo-musulman. D’autres invoquent comme causes possibles l’attaque américano-britannique contre l’Irak de Saddam Hussein, la présence de troupes de l’OTAN en Afghanistan, ou le conflit israélo-palestinien. La pauvreté dans le monde musulman est également souvent mentionnée. Toutefois, à mon avis, aucun de ces facteurs n’explique vraiment la question.

Je suis convaincu que l’explication est l’islam en tant que tel. La base de l’islam est le Coran datant du 7e siècle, ainsi que la vie de Mahomet. Le Coran est très différent de la Bible, dans la mesure où il contient des injonctions qui ne sont pas limitées dans le temps ou le lieu. Cela signifie que les appels aux musulmans à tuer des non-musulmans (par exemple, dans les sourates 4:89 et 47:4) ou à les terroriser (sourate 8:60), ainsi que le devoir de faire la guerre (par exemple, sourate 8:39), en d’autres termes, le djihad, s’adressent directement aux musulmans d’aujourd’hui. Le jugement du Coran sur les Juifs, répété jusqu’à trois fois (sourates 2:65, 5:60 et 7:166), à savoir qu’ils sont des singes et des porcs, n’est pas limité dans le temps, alors il s’applique également en 2008.

J’ai lu le Coran à plusieurs reprises, et chaque fois j’ai conclu que ce livre incite à la haine, à la violence, à la soumission, au meurtre et au terrorisme et qu’en outre, cela ne se limite pas au 7e siècle. Encore et encore j’en viens à la conclusion que le Coran n’est pas seulement un manuel de guerre, mais qu’il existe un lien inséparable entre le Coran et l’islam en tant que tel, et les atrocités commises par des musulmans.

Outre le Coran, la vie de Mahomet joue un rôle crucial. Mahomet a participé à un grand nombre de guerres sanglantes, entre vingt-cinq et trente. La tradition islamique nous raconte comment il a combattu, en particulier durant la période de Médine, comment il faisait assassiner ses ennemis et exécuter des prisonniers de guerre. Mahomet a régné sur la Mecque et Médine, puis sur toute la péninsule arabe.

Selon la courageuse apostate Wafa Sultan, « le problème, c’est que le Coran dit clairement que Mahomet devrait être un modèle pour tous les musulmans. Vous n’avez pas le droit de le critiquer, et vous devriez suivre ses traces. En tant que musulman, vous avez pour mission de répandre l’islam par l’épée ».

En fait, l’islam est une idéologie plutôt qu’une religion. C’est un système qui définit des règles pour la vie sociopolitique. La loi islamique, la charia, ne légifère pas qu’en matière pénale mais aussi, par exemple, dans les domaines du droit familial. Le professeur belge d’études islamiques, Urbain Vermeulen, a déjà dit que l’islam est 10% religion et 90% idéologie. Bien sûr, il n’y a rien de mal avec les idéologies en tant que tel, prenez par exemple le libéralisme. Mais une idéologie totalitaire est injuste. En fait, l’idéologie islamique montre des analogies frappantes avec le communisme et le fascisme. Mentionnons son caractère antidémocratique, sa volonté d’exercer un contrôle total sur la vie sociale, et l’utilisation de la violence contre les dissidents. L’idéologie islamique a un caractère totalitaire. L’islam n’est pas compatible avec la liberté et la démocratie. Je tiens à souligner que je ne parle pas des gens, les musulmans, mais de l’idéologie islamique.

J’ai mis en garde contre les dangers du Coran et de l’islam dans de nombreuses interviews, articles d’opinion, discours et, bien sûr, les débats parlementaires, mais souvent une image en dit plus que mille mots. C’est pourquoi j’ai décidé l’an dernier de mettre mon point de vue sur l’Islam et le Coran dans un court métrage. Cela a abouti à la première de Fitna à la fin mars. Sans mettre tous les musulmans dans la même catégorie, j’espère avoir réussi à démontrer que le Coran n’est pas un vieux livre poussiéreux, mais qu’il est utilisé aujourd’hui comme une source d’inspiration, et la justification de la haine, de la violence et du terrorisme dans le monde, en Europe, aux Pays-Bas et au Danemark.

Cela m’amène aux réactions à Fitna aux Pays-Bas et dans d’autres pays. Il est devenu connu en novembre de l’année dernière que je travaillais sur un film sur le Coran et l’islam. Cela a déclenché un tumulte aux Pays-Bas, en particulier chez les politiciens. Un membre éminent du Parti démocrate-chrétien néerlandais, le plus grand parti au pouvoir, a dit que j’étais une personne infâme qui devait être arrêtée. Un groupe d’extrême-gauche a tenté d’organiser une manifestation de masse contre moi à Amsterdam. Un porte-parole de la filiale néerlandaise de l’organisation islamique Hizb ut-Tahrir a déclaré que les Pays-Bas étaient dus pour une attaque. Une organisation islamique néerlandaise s’est adressée aux tribunaux pour tenter de prévenir la diffusion de Fitna, mais elle a heureusement perdu. De manière significative, aucun diffuseur néerlandais n’a eu le courage de diffuser Fitna dans son intégralité.

Les réactions ne se sont pas limitées aux Pays-Bas. En dehors des Pays-Bas, il y a également eu de l’agitation. Les Talibans ont menacé d’organiser d’autres attaques contre les troupes néerlandaises en Afghanistan, un site web lié à Al-Qaïda contient un message que je dois être tué, tandis que différents muftis en Syrie et à Jérusalem ont déclaré que je serais responsable de toutes les effusions de sang après la projection du film. Même le Secrétaire général de l’OTAN a été critique à l’égard de Fitna, sans même avoir vu une seule seconde du film.

Dans mon combat pour la liberté, j’ai sacrifié ma propre liberté, mais je ne m’en plains pas parce que j’ai une mission. Toute critique de l’islam reçoit immédiatement une réponse des plus intolérante du monde islamique, qu’il s’agisse des Versets sataniques de Salman Rushdie, du film Soumission par Ayaan Hirsi Ali et Theo van Gogh, du Pape qui cite un empereur byzantin sur l’islam, des caricatures de Kurt Westergaard, ou de Fitna. De nombreux musulmans semblent beaucoup plus préoccupés par la critique de leur idéologie que par les crimes haineux commis au nom de l’islam.

Pendant ce temps, le ministre des Affaires étrangères m’a demandé d’abandonner le projet de film, de même que le président du même groupe parlementaire. Le ministre de la Justice a fait savoir que des procédures pénales pourraient être engagées si le film était montré, ce qui était également l’avis du chef du Parti travailliste néerlandais, qui est aussi membre du cabinet. Le gouvernement a même étudié la possibilité de faire interdire la sortie de Fitna.

Le Premier ministre néerlandais a appelé le président français Sarkozy, le Premier ministre danois et bien d’autres pour de l’aide, tandis que des lettres étaient envoyées à toutes les communes néerlandaises indiquant que des émeutes pourraient se produire après la projection de Fitna.

Les commandants de la police ont reçu une lettre indiquant que la police, après la diffusion de Fitna, devrait enregistrer tous les rapports contre moi, indépendamment de savoir si une infraction avait été commise. Partout dans le pays les maires ont tenu des réunions d’urgence sur l’imminence de la diffusion de mon film. Les ambassades néerlandaises dans les pays islamiques ont été invitées à prendre d’importantes mesures de précaution et élaborer des plans d’évacuation. Le Premier ministre a parlé d’une crise grave et d’attaques potentielles.

La réaction du gouvernement néerlandais avant la projection du film a sans aucun doute créé un sentiment de peur dans la population néerlandaise. Tout ça pour un film d’un quart d’heure qui n’avait même pas été diffusé. Mais même après la diffusion de Fitna, le gouvernement néerlandais a poursuivi ce comportement choquant. Le soir où Fitna a été diffusé, le Premier ministre a marmonné quelque chose dans une brève déclaration sur la liberté d’expression, suivie d’une longue et grave déclaration sur les propos offensants et insultants envers des citoyens, et a déclaré que le gouvernement néerlandais regrettait la présentation de Fitna.

Bien entendu, le Premier ministre Balkenende aurait dû défendre inconditionnellement la liberté d’expression. Au lieu de cela, il a cédé aux pressions des islamistes et de la rectitude politique. Heureusement, la réaction de la communauté musulmane aux Pays-Bas a été en général beaucoup plus mature que le gouvernement, ce qui m’a amené à complimenter cette communauté en toute sincérité.

Malheureusement, les réactions dans certaines parties du monde islamique ont été différentes. En Afghanistan et au Pakistan le drapeau néerlandais a été brûlé à plusieurs reprises, ainsi que votre beau drapeau suite à la republication des caricatures. En outre, des effigies me représentant ont été brûlées. Le Président indonésien Yudhoyono a annoncé que je ne serais jamais plus admis en Indonésie, tandis que le secrétaire général de l’ONU, M. Ban Ki-moon, et l’Union européenne ont publié de lâches déclarations dans le même sens que celles faites par le gouvernement néerlandais. Je pourrais continuer encore et encore. C’était une honte absolue.

Fitna a quand même été un succès. Des dizaines de millions de gens de partout dans le monde l’ont vu. Toutefois, en faisant Fitna, j’ai également tenté d’engager un débat en profondeur sur les dangers de l’islam. Malheureusement, un tel débat ne s’est pas matéralisé à ce jour parce que toutes mes invitations à un débat avec des représentants des organisations musulmanes, ainsi que des imams et des musulmans « ordinaires » ont été rejetées. J’ai invité six imams, trois modérés et trois radicaux, pour un débat public avec moi. Tous ont rejeté mon offre. Je ne peux que conclure qu’ils ne veulent pas d’un débat.

Avant la présentation de Fitna, dans un article dans la page d’opinion d’un journal néerlandais, j’ai demandé comment le gouvernement néerlandais aurait réagi si je n’avais pas annoncé un film sur le Coran et l’islam, mais plutôt un film sur la Bible et christianisme. La réponse est évidente, rien du tout ne serait arrivé. Le gouvernement n’aurait pas pris de telles mesures de précaution, il n’y aurait pas eu crainte d’émeutes généralisées.

Aux Pays-Bas, ce n’est pas le gouvernement du Premier ministre Balkenende qui gouverne le pays, mais la peur de l’islam. Et c’est toujours le cas après que Fitna ait été diffusé. Par exemple, le ministre de la Justice a annoncé des mesures plus strictes contre le blasphème. Et récemment, un dessinateur néerlandais a été arrêté lors d’une descente par pas moins de dix policiers, un précédent inquiétant, ainsi qu’une frontière franchie. C’est cela les Pays-Bas en 2008. C’est comme si la République démocratique d’Allemagne était ressuscitée aux Pays-Bas. En fait, ce n’est pas seulement l’islam qui sera notre perte, mais aussi le relativisme culturel et l’auto-censure de la part d’une élite politiquement correcte.

Permettez-moi de vous donner un autre exemple éloquent du relativisme culturel aux Pays-Bas : il n’y a pas de drapeau néerlandais au Parlement, mais nous avons le Coran. Il est juste là sur le bureau de notre Madame la Présidente ! C’est le monde à l’envers. Débarrassons-nous du Coran et ramenons notre drapeau national !

Contrairement à ce que certains d’entre vous peuvent penser, dans une perspective historique, mon point de vue sur le Coran et l’islam n’est pas particulièrement original. Nul autre que Winston Churchill a écrit ce qui suit en 1898 : « La religion des mahométans est militante et prosélyte. Il n’y a pas de force plus rétrograde dans le monde. Elle est déjà répartie dans toute l’Afrique centrale, soulevant des guerriers sans peur à chaque étape. La civilisation de l’Europe moderne pourrait s’effondrer comme la civilisation de la Rome antique ». Plus tard, il écrit à propos de Mein Kampf par Hitler : « C’est le nouveau Coran de la foi et de la guerre : emphatique, fastidieux, sans forme, mais plein de son propre message ».

Non seulement Churchill, mais les sociaux-démocrates avaient une image plus honnête de l’islam. Par exemple, le social-démocrate néerlandais et intellectuel Jacques de Kadt a écrit en 1939 que le national-socialisme était le nouvel islam. Et mon grand héros, l’écrivaine italienne Oriana Fallaci, a déclaré : « Un islam modéré n’existe pas. Il n’y a pas de différence entre le bon islam et le mauvais islam. C’est l’islam, un point c’est tout. L’islam est le Coran, et rien d’autre que le Coran. Et le Coran est le Mein Kampf d’une religion qui veut éliminer les non-musulmans qui sont appelés des chiens infidèles, et des créatures inférieures. Lisez le Coran, ce Mein Kampf, encore une fois. Quelle que soit la version, vous verrez que le mal que les fils d’Allah ont perpétré contre nous et contre eux-mêmes vient de ce livre ». Ce sont des paroles sages et véridiques.

On me demande souvent comment je compose avec toutes les critiques et les menaces. Les critiques au sujet de mon point de vue sur l’Islam ne me dérangent pas beaucoup, parce que ces critiques viennent pratiquement toujours de ceux qui n’ont jamais lu une page du Coran ou du Code pénal islamique d’Iran. Ces critiques sont comme l’eau sur un canard qui m’éclabousse. Ce qui pénètre mon âme, c’est lorsque je suis appelé un raciste, un fasciste, un xénophobe, une extrémiste de droite, ou quand je suis comparé à Adolf Hitler, ou lorsqu’on fait des comparaisons avec la Seconde Guerre mondiale.

Alors que le nazisme et le fascisme détruisent la liberté et la démocratie, je m’efforce de renforcer la liberté et la démocratie, de défendre et de protéger ces aspects fondamentaux de notre vie avec tout le pouvoir dont je dispose, contre tout ce qui les menace. Et les menaces personnelles m’affectent à chaque fois, on ne s’y habitue jamais. Dans mon combat pour la liberté, j’ai sacrifié ma propre liberté, mais je ne m’en plains pas parce que j’ai une mission. Je me plains toutefois du fait que notre gouvernement dilapide notre liberté en ne se tenant pas debout face à l’islam.

Permettez-moi maintenant de présenter quelques réflexions sur l’avenir de la liberté et de la démocratie en Europe. Je suis d’avis que partout où l’islam arrive, il y a déclin et les droits fondamentaux sont menacés. La liberté et la démocratie reculent quand l’islam avance. Peter Hammond explique quels sont les droits et libertés qui s’effritent quand l’islam gagne en influence dans une société.

Hammond décrit et prévoit le processus suivant. Lorsque la population musulmane est d’environ 5%, comme c’est le cas dans certains pays d’Europe occidentale, les musulmans exercent une influence disproportionnée sur la société. Avec un pourcentage en légère hausse, ils exigeront de ne pas avoir à se conformer à l’ensemble des lois du pays concerné, et demanderont que la charia soit appliquée dans certains domaines. Lorsque le nombre des musulmans atteint 10% de la population, l’anarchie massive se développe parmi eux, et ils invoquent la discrimination par la population de souche comme excuse. Mentionnons les émeutes dans les banlieues de Paris à titre d’exemple. À ce stade, les non-musulmans qui critiquent l’islam sont menacés. À partir de 40%, comme c’est le cas en Bosnie et au Liban, la terreur s’installe. A partir de 80%, l’État lui-même se charge du nettoyage ethnique, selon Hammond.

L’analyse d’Hammond n’est pas de bon augure pour l’avenir. Je ne sais pas si Hammond a raison sur les moindres détails, mais le fait est qu’il n’y a pas un seul pays musulman dans le monde où prévaut la liberté, avec une véritable démocratie et un État de droit, où la liberté d’expression et les droits de l’Homme sont respectés, où il y a séparation entre le religieux et l’État.

C’est un fait que le monde islamique traîne derrière l’Occident libre sur tous les fronts, socio-économique, politique, scientifique, militaire et ainsi de suite. L’islam doit certainement jouer un rôle dans tout cela. Il doit aussi y avoir un bonne raison pour que les gens originaires de Turquie, du Maroc, d’Algérie, d’Irak et d’Afghanistan émigrent massivement vers les Pays-Bas, la France, la Suède et le Danemark, et non l’inverse.

Mes adversaires politiques me reprochent souvent que bien que j’identifie les problèmes liés à l’islamisation des Pays-Bas et de l’Europe, je ne propose pas de solutions. Ce n’est toutefois pas la réalité. Je propose des solutions, mais celles-ci ne correspondent pas aux solutions favorisée par l’élite politique, ce ne sont pas des solutions que l’élite politique veut entendre.

Mes adversaires politiques croient que les problèmes liés à l’islamisation et l’immigration de masse peuvent être résolus en dialoguant avec les élites auto-proclamées de la communauté islamique qui n’ont pas tendance à être en contact avec les conditions de la sous-classe islamique, et en imposant des exigences minimales pour l’admission des immigrés. En faisant de la place à l’islam, ils cherchent à résoudre les problèmes existants dans notre société. En fait, donner de l’espace à l’islam est la pire chose qu’ils pouvaient faire.

La solution

Ma solution aux problèmes est double. Premièrement, l’immigration en provenance des pays islamiques doit être arrêtée, sous réserve que, par exemple, un musulman gay persécuté en Iran doit, bien sûr, se voir accorder l’asile politique. Deuxièmement, je plaide pour le soutien de toutes les formes de rapatriement volontaire au pays d’origine. Je suis convaincu que seules ces deux mesures claires et honnêtes permettront de lutter contre l’islamisation des Pays-Bas et de l’Europe. En outre, nous ne devrions pas permettre à davantage de mosquées d’être construites, nous devons fermer les écoles islamiques et proscrire le Coran.

Certains pourraient demander, est-ce que les Pays-Bas sont encore un pays libre ? Il n’est pas libre lorsque le ministre des Affaires étrangères demande à un réalisateur de ne pas montrer un film. Il n’est pas libre quand un représentant élu démocratiquement par le peuple court le risque d’être politiquement persécuté. Il n’est pas libre lorsque le ministre de la Justice annonce des mesures plus strictes contre le blasphème. Il n’est pas libre quand un sondage d’opinion révèle que de nombreux citoyens n’osent pas s’exprimer en public sur l’islam, l’immigration et des questions similaires. Il n’est pas libre quand un caricaturiste est arrêté par une dizaine de policiers pour la production de dessins. Il n’est pas libre quand un photographe d’art se cache à Londres pour avoir produit des photographies d’art. Il n’est pas libre lorsque des musulmans se plaignent des travailleurs de la construction parce qu’ils portent des shorts pour travailler par une chaleur écrasante. Il n’est pas libre quand des peintures illustrant des femmes partiellement nues sont enlevées d’un hôtel de ville néerlandais en raison de plaintes par des musulmans. Le gouvernement néerlandais n’a pas seulement capitulé face à l’islam, mais son comportement pourrait même être considéré comme une trahison de notre culture.

Je crains que les Pays-Bas soient en train de devenir de moins en moins un pays de liberté et de plus en plus un pays de la peur sous couvert de tolérance. Et je suis convaincu que ce problème ne se pose pas seulement aux Pays-Bas, mais dans l’ensemble de l’Europe, et dans l’ensemble du monde occidental.

J’en viens à la conclusion qu’il existe un manque de leadership dans l’Occident libre. Leadership pour défendre notre liberté en notre nom et au nom de nos enfants. Les élites politiques gouvernant les pays occidentaux sont elles-mêmes régies par la peur. La peur d’affronter la vérité. La peur de laisser aller l’idéologie encore répandue du relativisme culturel. La peur de lutter pour la liberté d’expression, en particulier lorsque le message exprime une vérité qui dérange ou est livré par quelqu’un avec une vue critique ou satirique de l’islam. Notre liberté est bradée.

L’élite dirigeante a peur de perdre le soutien croissant des électeurs islamiques, peur des conséquences économiques d’une politique d’anti-islamisation, peur d’être moins populaire auprès des autres chefs de gouvernement dhimmis au Conseil européen. Mais nous savons tous que la peur est mauvaise conseillère. Plutôt que de préserver notre liberté, la peur et la rectitude politique nous coûteront à long terme notre liberté chèrement acquise.

Les partis démocratiques respectables qui visent à lutter contre l’islamisation et à défendre nos libertés devront unir leurs forces pour fournir un contrepoids. Ils devront collaborer plus intensément. Ce n’est qu’alors que le mur de l’Union européenne pourra endiguer la marée islamique de la guerre. Je voudrais prendre l’initiative d’unir les forces de ces partis.

Si nous ne sommes pas prêts à défendre notre mode de vie, l’Europe sera, à terme, transformée en Eurabia. Nous avons le devoir envers nos enfants de défendre notre liberté. Comme je l’ai dit, nous devons défendre notre mode de vie, notre civilisation et notre culture. La séparation de l’Eglise et l’Etat fait partie de notre mode de vie. Il y a près d’un an, notre ministre de l’intégration a dit qu’elle pourrait envisager un avenir pour la société néerlandaise basé sur une tradition judéo-chrétienne-islamique. Je lui ai dit, au Parlement, qu’à mon avis, elle était folle. J’ai suivi le récent débat danois sur le port du voile islamique par les juges. Et je tiens à dire ceci : si un ministre néerlandais disait que les hommes politiques ne devraient pas intervenir dans le débat sur les juges et le voile, le ministre plaidant ainsi en faveur du port du voile par les juges, je les traiterais aussi de fous.

Mais heureusement, il y a un peu d’espoir, car un nombre croissant de citoyens néerlandais sont fâchés contre leur gouvernement parce qu’il refuse de mettre un terme à la progression sans fin de l’islamisation de la société néerlandaise. Il y a un énorme fossé entre l’attitude de l’élite politique vis-à-vis de l’islamisation de nos sociétés, et celle des « citoyens ordinaires ». Un récent sondage représentatif a montré que pas moins de six citoyens néerlandais sur dix voient l’islam comme une menace à notre culture, tandis que six citoyens néerlandais sur dix voient l’immigration de masse comme la plus grande erreur politique depuis la Deuxième Guerre mondiale. Pas moins de 44% des citoyens néerlandais sont d’avis que l’islam cherche à détruire notre civilisation occidentale. Les craintes de ces personnes méritent d’être prises au sérieux par notre gouvernement.

Je plaide avec mon coeur et mon âme pour la défense et la protection de notre civilisation occidentale. Nous devrons tous nous mobiliser pour défendre notre liberté. En disant cela je ne prône pas seulement des mesures pour mettre fin à l’immigration et promouvoir le rapatriement librement consenti. Il serait également important pour moi que des méthodes plus honnêtes d’enseignement de l’histoire soient appliquées dans l’éducation de nos enfants. Nous aurons à mettre en garde les générations futures et les convaincre des dangers que pose l’islam. Faisons face à la vérité que l’histoire a tendance à se répéter. En effet, Wafa Sultan dit la vérité, la culture et l’idéologie islamique sont arriérées, primitives et empreintes de barbarie.

Mettons l’immigration massive en Europe en provenance du monde islamique dans une perspective historique et évaluons à leur juste valeur les paroles de M. Erdogan, l’actuel Premier Ministre de la Turquie. Il a cité le poème suivant, « Les minarets des mosquées sont nos baïonnettes, les dômes nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats ». S’il vous plaît, laissez ces paroles vous imprégner un instant. Nous devons donner à nos enfants une image honnête du conflit entre l’Occident et l’Islam. Selon Wafa Sultan : « C’est un choc entre la civilisation et l’arriération, entre le civilisé et le primitif, entre la rationalité et la barbarie ».

Permettez-moi de terminer en répétant ce que j’ai dit au début de mon exposé. Fitna, le titre de mon film, signifie épreuve. L’islam est l’épreuve qui confronte l’Occident, et Fitna est l’épreuve qui permettra de tester la mesure dans laquelle nous valorisonis notre liberté d’expression. J’espère sincèrement que les Pays-Bas et l’Europe seront en mesure de faire face à cette épreuve. Dans cet esprit, permettez-moi de terminer par ma citation favorite de George Orwell : « Parler de liberté n’a de sens qu’à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu’ils ne veulent pas entendre. »

Merci

02/06/2008

Nous sommes tous Danois

523167164.jpgCa y est, les nazi-fascistes verts islamiques ont encore frappé!

Cette fois-ci c'est au Pakistan, avec l'Ambassade du Danemark reduite en miettes, toujours pour venger l'affaire des vignettes sur le Pedophile en chef de la Mecque.

Que ces ordures sachent qu'on les EMMERDE!

On continuera de se foutre de leur pédophile égorgeur de faux prophète à la con quoi qu'il arrive!!

30/05/2008

L'islam avance, la liberté recule

« SI JE N'AVAIS pas été vierge le jour de mon mariage, ma famille m'aurait tuée », martèle Myriam, 20 ans, qui a épousé cet été un Marocain au village de ses parents. Elle se défend d'exagérer, raconte les coups et les claques, évoque des cousines retenues à la maison ou renvoyées au bled pour avoir fréquenté un garçon : elle tremblait d'être découverte. Entendant parler de la réfection d'hymen, elle n'a pas hésité. Elle s'est rendue dans un hôpital du nord de Paris, a supplié le médecin... qui a cédé. Grâce à une simple opération, elle a taché de sang le drap lors de son mariage, sauvant « l'honneur de la famille ».Comme elle, des centaines de jeunes filles se refont chaque année une virginité
à l'hôpital.
Le phénomène a démarré à la fin des années 1980, lorsque les filles maghrébines nées en France se sont retrouvées prises entre les tentations de la vie française et les moeurs des parents. Depuis, les demandes de réfection d'hymen ne font qu'augmenter dans les services de gynécologie des hôpitaux, symptôme de la montée en puissance des pressions religieuses et machistes.
Confrontés à l'angoisse des jeunes filles, les médecins hésitent. Longtemps, ils ont accepté de rédiger des « certificats de virginité », usant de formules subtiles pour se couvrir en cas de contre-expertise. « Ils écrivaient : »À ce jour, mademoiselle est vierge* », raconte Sonia, régulièrement envoyée chez le médecin par un père soupçonneux. Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) a clarifié les pratiques. Désormais, les médecins sont invités à refuser de rédiger de tels certificats « qui n'ont pas de finalité médicale, selon le Pr Jacques Lansac, président du CNGOF. C'est une atteinte à la dignité des femmes. Et puis, nous n'avons pas à faire des faux...»
Si la disparition de ces certificats de complaisance fait l'unanimité, les praticiens sont plus divisés sur la réfection d'hymen. À Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le chef de l'obstétrique, Stéphane de Saint-Léger, ne pratique cette intervention que lorsque la jeune fille court des risques physiques. « C'est une chirurgie réparatrice, relativise-t-il. Nous faisons bien de la chirurgie esthétique, pourquoi refuser cet acte ? » Le professeur Lansac, lui, se bat pour que cessent ces actes : « Nous ne devons pas cautionner les obscurantistes. »
« On est conditionnées... »
« Avant, les gens se pliaient aux règles, résume Stéphane de Saint-Léger, maintenant ils veulent imposer les leurs. » Les pressions viennent des nouvelles populations immigrées, notamment les Pakistanais ou les Turcs, mais aussi et surtout des enfants de l'immigration. La première génération de filles d'Algériens a bien tenté de s'émanciper dans les années 1980, mais beaucoup de mariages mixtes ont échoué et ces divorces sont devenus, dans l'esprit des familles conservatrices, la preuve qu'il ne fallait pas s'aventurer hors de la communauté. L'arrivée de migrants plus pieux a fait le reste.
Aujourd'hui, les adolescentes assument mal une rupture avec le modèle familial. « On est trop conditionnées, explique Safia, 25 ans. Les parents nous inculquent ce tabou depuis toutes petites, nous gardent à la maison dès qu'on prend des formes, font passer la coquetterie pour de l'aguichage. »
QUESTION: A QUAND L'EXCISION DES FILLETTES AUTORISEE ET REMBOURSEE PAR LA SECU?!!!!

22/05/2008

Les nouveaux fascistes sont parmi nous

Voyez vous même:

http://www.dailymotion.com/related/842215/video/xi1a0_isl...

Comment nos  IRRESPONSABLES politiques ont pu nous amener la?

Averroes était un opportuniste quelconque!

Voyez comment nos "élites" nous prennent pour des cons, par ignorance ou par soumission aux totalitaristes verts:

 http://www.dailymotion.com/relevance/search/remy%2Bbrague...

 Même Ardisson, le prototype de l'opportuniste qui flotte dans le sens du vent, arrive à faire dire quelques vérités:

http://www.dailymotion.com/relevance/search/remy%2Bbrague...

Algérie: l' Etat Musulman persécute et discrimine les chrétiens

                    Interpellée en possession de bibles et d'évangiles, Habiba Kouider est accusée de «pratiquer un culte non musulman, sans autorisation». Notre correspondant a suivi son procès mardi.

Le tribunal correctionnel de Tiaret a abrité, mardi, un procès surréaliste. L'accusée, Habiba Kouider, une chrétienne de 37 ans, est éducatrice dans une crèche. Elle comparaît pour détention de livres religieux, un délit passible de ­prison depuis l'adoption, en février 2006, de la loi qui régle­mente «les cultes non musulmans». Le 29 mars 2008, alors qu'elle se rendait en bus d'Oran, où elle fréquente l'école biblique, à Tiaret, son lieu de résidence, elle est interceptée par des gendarmes. Dans son sac, ils découvrent les pièces à conviction : des bibles et des évangiles. Ils l'arrêtent et la transfèrent à la police, qui la place en garde à vue. Plusieurs officiers se relaient alors pour un interrogatoire humiliant de la «mécréante». Le lendemain, elle est présentée au procureur, qui lui propose un curieux marché : «Tu réintègres l'islam, et je classe le dossier ; si tu persistes dans le péché, tu subiras les foudres de la justice !» Réservée, presque timide, Habiba Kouider a peur, mais elle refuse de renier sa foi.

Trois ans de prison requis

Mardi, face au juge qui la presse de questions ironiques, elle répond avec dignité. «Quelle est ta religion ?» demande le magistrat. «Je suis chrétienne. Je me suis convertie en 2004 à l'église d'Oran», répond-elle d'une voix presque inaudible. Avec un sourire méprisant, le juge reprend : «Les curés t'ont fait boire leur eau bénite qui mène au Paradis.» Elle ne répond pas. En remarquant la présence de journalistes dans la salle, le juge les interpelle : «Avez-vous une autorisation pour prendre des notes ?» Me Khelloudja Khalfoun, qui défend l'inculpée, intervient : «L'audience est publique, les journalistes ont le droit d'être là.» ­Lorsque les robes noires de Tiaret, sollicitées pour «défendre la chrétienne», se sont défaussées, les dignitaires de l'Église protestante se sont tournés vers cette avocate du barreau de Tizi-Ouzou, rompue aux procès sensibles. Le juge perd son calme, menace de «prendre des mesures», avant de confisquer les carnets des journalistes ! Sous le regard de la presse, les magistrats perdent de leur arrogance. Sans conviction, le procureur rappelle que «l'islam est religion d'État» avant de requérir trois ans de prison ferme. Me Khalfoun plaide «la liberté de conscience garantie par la Constitution» et demande la relaxe de sa cliente. Un résumé de deux visions antago­nistes qui s'affrontent dans la société algérienne. Le verdict sera rendu le 27 mai. Le même jour, devant le même tribunal, six autres chrétiens comparaîtront pour «distribution de tracts visant à ébranler la foi des musulmans». Depuis janvier 2008, les procès pour «délit de chrétienté» se sont multipliés dans l'Ouest algérien, notamment à Oran, Mascara et Bel-Abbès. Comme les militants d'opposition de la dictature du parti unique, les néoconvertis sont contraints de vivre leur foi dans la clandestinité. Sans rire, le ministre algérien des Affaires religieuses se veut rassurant : «La communauté chrétienne jouit de tous les droits ; mais nous luttons contre les sectes !»

  SOURCE: www.figaro.fr

 

COMMENTAIRE: sourtout ne critiquez pas l'islam.......vous n'y connaissez rien!!!!
Donc puisque vous n'y connaissez rien et que seuls les musulmans ont le droit de parler de la secte mahométaine, lisez aussi ça:

http://www.kabyle.com/sale-temps-pour-les-evangeliques-11...

 

05/02/2008

Occident-islam: le suicide de la raison

Source : Blind Faiths, Traduction de l’article Blind Faiths, par Ayaan Hirsi Ali dans le New Yorks Times du 6 janvier 2008.

Lee Harris soutient que le fanatisme est le principe fondamental de l’Islam et que la vénération des occidentaux pour la raison en fait des proies faciles pour un prédateur sans pitié, malhonnête et agressif. Il anticipe la destruction de l’Occident par un lent « suicide » culturel. Il y a un côté urgent à son message qui cherche à confronter l’échec des leaders occidentaux à comprendre qu’ils sont en guerre contre un ennemi qui lutte selon la loi de la jungle. Ayaan Hirsi Ali n’est pas aussi pessimiste.

Plusieurs auteurs ont publié des livres sur la menace de l’Islam radical en Occident depuis cet infâme matin de septembre il y a six ans. Avec « The Suicide of Reason, » Lee Harris rejoint leurs rangs. Mais il se distingue en allant plus loin que la plupart de ses collègues : il considère la pire des possibilités — la destruction de l’Occident par l’Islam radical. Il y a un coté urgent à son écriture, un désir de secouer les dirigeants de l’Occident pour les réveiller, les mettre en face de leur échec à comprendre qu’ils sont en guerre avec un adversaire qui lutte selon la loi de la jungle.
Harris, l’auteur de « Civilization and Its Enemies : The Next Stage of History », consacre la plus grande partie de son livre à identifier et distinguer deux sortes de fanatisme. Le premier est le fanatisme islamique, un ennemi formidable dans la lutte pour la survivance culturelle. Selon Harris, ce fanatisme agit comme un « mécanisme de défense », en protégeant l’Islam des pressions d’un monde changeant et en lui permettant de se développer dans des territoires et des cultures où il était auparavant inconnu. Avec peu d’exceptions, Harris voit l’expansion Islamique comme permanente. Bien que ce point soit discutable, il essaie courageusement de démontrer que l’entrée de l’Islam dans une autre culture produit des changements à chaque niveau, de la politique à l’individu : « Partout où l’Islam s’est répandu, il y a eu une transformation totale et révolutionnaire dans la culture de ceux qui ont été conquis ou convertis. »

En décrivant la nature impérialiste de l’Islam, Harris suggère qu’il est différent des empires romains, britanniques et français. Il voit l’impérialisme Islamique comme une expansion résolue de la religion elle-même ; l’empire que l’Islam envisage est gouverné par Allah. Dans ce sens, l’idée de djihad est moins celle d’une lutte intérieure pour la paix et la justice mais plutôt une grande mission de conversion. On doit dire, pourtant que l’argument d’Harris est incomplet, puisqu’il n’adresse pas la propagation de Christianisme dans les empires romains, britanniques et français.

L’expansion de l’Islam est peut-être plus puissante que l’expansion des empires chrétiens (y compris Rome après Constantinople) parce que le concept de séparer le sacré du profane n’a jamais été acceptable dans l’Islam de la façon dont il l’a l’été dans le Christianisme. Les Romains, les Britanniques et les Français sont partis annexer de grandes parties du monde pour obtenir des gains terrestres ou matériels plutôt que pour la dominance spirituelle. Sous ces empires, on a permis au clergé de propager sa foi aussi longtemps qu’il n’a pas compromis les intérêts impériaux.

Harris continue en soutenant que le monde Musulman, puisqu’il est gouverné par la loi de la jungle, rend la survie du groupe fondamentale. Cela explique partiellement la volonté des Musulmans à devenir des martyrs pour le bien de la grande communauté, l’umma — des gens unis malgré les limites géographiques, les différences de cultures, d’héritages et de langues. Selon Harris, ce sens de la solidarité ne peut durer qu’avec l’arme du fanatisme, qui contraint chaque membre de l’umma à convertir les infidèles et menacer de mort ceux qui essaient quitter la religion. Ainsi, le but de la culture Musulmane, si différent de celui de l’Occident, est autant de préserver que de convertir et c’est ce qui lui permet de s’étendre à travers le globe.

Le deuxième fanatisme que Harris identifie est celui qui contamine les sociétés Occidentales ; il l’appelle le « fanatisme de la Raison ». La raison, dit-il, peut être fatale parce qu’elle aveugle les dirigeants Occidentaux quant à la vraie nature des cultures influencées par l’Islam. Les Occidentaux voient ces cultures simplement comme de différentes versions du monde qu’ils connaissent, avec des valeurs dominantes semblables à celles épousées par leur propre culture. Mais ceci, selon Harris, est une faute fatale. Cela implique que l’Occident se trompe dans son appréciation aussi bien de son histoire que de la vraie nature de son ennemi.

Cette erreur d’appréciation, nous dit Harris, n’est pas liée à une perspective politique particulière. Les libéraux et les conservateurs partagent pareillement cette misperception. Noam Chomsky et Paul Wolfowitz étaient d’accord, Harris écrit, quand ils disaient « on ne peut pas vraiment blâmer les terroristes, puisqu’ils sont simplement les victimes d’un mauvais système — pour Chomsky, l’impérialisme américain, pour Wolfowitz, les régimes corrompus et despotiques du Moyen-Orient. » C’est-à-dire que si la droite et la gauche ne sont pas d’accord sur les causes et les remèdes, elles négligent toutes les deux le fanatisme inhérent à l’Islam lui-même.

Suivant leur foi aveugle en la raison, ils interprètent le problème d’une façon qui leur est familière, pour trouver une solution qui colle avec leur doctrine de raison. Il en va de même pour des intellectuels proéminents tels que Samuel Huntington et Francis Fukuyama. Harris ne considère pas le fanatisme Islamique comme un déviance ou une folie qui affecte quelques Musulmans et en terrifie beaucoup. Il soutient plutôt que le fanatisme est le principe fondamental de l’Islam. « Les Musulmans sont, dès le premier âge, endoctrinés dans un code de honte qui demande un refus fanatique de tout ce qui menace de déstabiliser la suprématie de l’Islam, » écrit-il. Pendant les années durant lesquelles ce code de honte est inculqué aux enfants, le sens du collectif est mis en exergue au-dessus de l’individu et de ses libertés. Un bon Musulman doit renoncer à tout : ses biens, sa famille, ses enfants, même sa vie pour l’Islam. On apprend aux garçons en particulier à dominer et être implacable, ce qui a l’effet de créer une société de guerriers saints.

Par contraste, l’Occident a cultivé une philosophie d’individualisme, de raison et de tolérance et un système compliqué dans lequel chaque acteur, de l’individu à l’État nation, cherche à résoudre les conflits par les mots. Le système entier est construit sur l’idée de l’intérêt personnel. Cette philosophie rejette le fanatisme. Le mâle alpha est apaisé et élevé pour faire de dures études, trouver un bon emploi et planifier prudemment sa retraite : « pendant que nous en Amérique nous droguons nos garçons alpha avec de la Ritalin, » écrit Harris, « les Musulmans font tout pour encourager leurs garçons alpha à être résistants, agressifs et sans pitié. »

L’Occident a essayé de différentes manières de convertir, assimiler et séduire des Musulmans vers la modernité, mais, nous dit Harris, aucune de ces approches n’a réussi. Pendant ce temps, notre vénération pour la raison fait de nous des proies faciles pour un prédateur sans pitié, malhonnête et extrêmement agressif et contribue peut-être à un lent « suicide » culturel. Le livre de Harris est si intéressant qu’il est difficile de le poser et ses évaluations inquiétantes risquent d’empêcher le lecteur de dormir la nuit. Il a le mérite de soulever des questions sérieuses. Mais ses arguments ne sont pas entièrement solides.

Je ne suis pas d’accord, par exemple, que la façon de sauver la civilisation Occidentale de sa trajectoire de suicide est de remettre en question sa tradition de raison. En effet, malgré sa compréhension de l’augmentation du fanatisme en général et de sa manifestation Islamique en particulier, l’utilisation par Harris du terme « raison » est défectueuse.

Les Lumières, préoccupées autant par la liberté individuelle que par la nécessité d’un gouvernement laïc et limité, ont soutenu que la raison humaine est faillible. Ils ont compris que la raison est plus qu’une pensée juste rationnelle ; c’est aussi un processus d’essai et d’erreur, la capacité d’apprendre à partir des fautes passées. On ne peut pas complètement apprécier les Lumières sans avoir fortement conscience de la fragilité de la raison humaine. C’est pourquoi les concepts comme le doute et la réflexion sont centraux à n’importe quelle forme de prise de décision basée sur la raison.

Harris est pessimiste d’une façon que les penseurs des Lumieres ne l’étaient pas. Il a une vue darwinienne de la lutte entre les cultures qui s’affrontent, critiquant l’Occident pour une philosophie d’égoïsme et il suit Hegel en affirmant que quand l’intérêt de l’individu heurte celui de l’état, c’est l’état qui devrait prédominer. C’est pourquoi il attribue une telle force au fanatisme Islamique. La collectivité de l’umma met l’intérêt commun au-dessus de celui du croyant individuel. Chaque Musulman est un esclave, d’abord de Dieu, ensuite du califat. Bien que Harris n’approuve pas cette subversion extrême du moi, on sent une pointe d’admiration dans ses descriptions de la solidarité féroce de l’Islam, son adhérence à la tradition et la volonté des Musulmans de se sacrifier pour le plus grand bien.

En plus, Harris loue l’exceptionnalisme américain et Hegel comme s’il n’y avait aucune contradiction entre les deux. Mais ce qui rend l’Amérique unique, surtout par contraste avec l’Europe, est sa résistance à la philosophie de Hegel et son concept d’un esprit mondial unifiant. C’est l’individu qui importe le plus aux États-Unis. Et plus généralement, ce sont les individus qui font les cultures et qui les cassent. L’évolution sociale et culturelle a toujours compté sur les individus — pour réformer, persuader, cajoler ou forcer. La culture est formée selon l’accord collectif d’individus. En même temps, il est essentiel que nous ne tombions pas dans le piège qui supposerait que la tactique de survie d’individus vivant dans les sociétés tribales — comme le mensonge, l’hypocrisie, le secret, la violence, l’intimidation, et cetera — est dans l’intérêt de l’individu moderne ou de sa culture.

Je ne suis pas née en Occident. J’ai été élevée avec le code de l’Islam et dès la naissance j’ai été endoctrinée dans un façon de penser tribale. Pourtant j’ai changé, j’ai adopté les valeurs des Lumières et par conséquent je dois vivre en rejetant mon clan natal aussi bien que la tribu Islamique. Pourquoi l’ai-je fait ? Parce que dans une société tribale, la vie est cruelle et terrible. Et je ne suis pas seule. Les musulmans ont émigré en Occident en masse depuis des décennies maintenant. Ils sont à la recherche d’une meilleure vie. Pourtant leurs contraintes tribales et culturelles ont émigré avec eux. Et le multiculturalisme et le relativisme moral qui règnent en Occident s’en sont accommodés.

Harris est correct, je crois, quand il dit que beaucoup de dirigeants occidentaux ont de gros problèmes de compréhension au sujet du monde Islamique. Ils sont déplorablement mal informés et n’ont souvent pas la volonté d’affronter la nature tribale de l’Islam. Le problème n’est pourtant pas trop de raison, mais trop peu. Harris manque aussi d’adresser les ennemis de la raison en Occident : la religion et le mouvement Romantique. C’est par refus de la religion que les Lumières ont émergé ; le Romantisme était une révolte contre la raison.

Le mouvement Romantique et la religion organisée ont tous les deux contribués beaucoup aux arts et à la spiritualité de l’esprit Occidental, mais ils partagent une hostilité à la modernité. Le relativisme moral et culturel (et leur manifestation populaire, le multiculturalisme) sont les caractéristiques des Romantiques. Soutenir que la raison est la mère du désordre actuel dans lequel l’Ouest se trouve, c’est rater l’impact important que ce mouvement a eu, d’abord en Occident et peut-être encore plus profondément en dehors de l’Occident, particulièrement dans les pays Musulmans.

Ainsi, ce n’est pas la raison qui s’accommode et encourage la persistance de la ségrégation et du tribalisme dans les populations Musulmanes immigrées en Occident. C’est le Romantisme. Le multiculturalisme et le relativisme moral promeuvent une idéalisation de la vie de tribu et se sont montrés imperméables à la critique empirique. Les reproches que je fais aux dirigeants occidentaux sont différents de ceux de Harris. Je les vois gaspiller une belle opportunité de rivaliser avec les agents de l’Islam radical pour les esprits des Musulmans, surtout ceux qui vivent dans leurs frontières. Mais pour saisir cette opportunité, ils doivent permettre à la raison de prédominer sur le sentiment.

Arguer, comme Harris semble le faire, que les enfants, nés et élevés dans des cultures superstitieuses qui prisent le fanatisme et créent des phalanges de mâles alpha, sont condamnés — et condamnent les autres — à une existence gouvernée par la loi de la jungle, c’est ignorer les leçons du passé propre à l’Occident. Il y a eu des périodes où l’Occident était moins que noble, quand il s’est livré aux croisades, à l’Inquisition, quand il brûlait les sorcières et faisait des génocides. Beaucoup d’Occidentaux qui étaient nés dans la loi de la jungle, avec ses mâles alpha et femmes soumises, ont depuis découvert la culture de la Raison et l’ont adoptée. Ils sont même — et cela devrait sûrement soulager Harris d’un peu de son pessimisme — disposés à mourir pour cela, peut-être même avec le même fanatisme que les jihadists prêts à mourir pour leur tribu. Bref, bien que ce conflit soit incontestablement une lutte mortelle entre cultures, ce sont les individus qui en détermineront le résultat.

28/01/2008

France: encore quelques années et ce sera comme au Kosovo

L’église de la ville de Beaujeu ( 69 ) a été saccagée ce week-end (05/01/08), et le, ou les vandales se sont acharnés sur le mobilier de l’église. De nombreuses dégradations ont été constatées hier matin par le responsable de l’édifice parmi lesquels, la veilleuse rouge du Saint-Sacrement, le tabernacle de la chapelle Saint-Joseph grand ouvert, des livres de messe déchirés et des présentoirs renversés.

Ce n’est pas la première fois, la veille de Noël déjà, une statue de Balthazar avait été décapitée.
C’est la troisième église du département du Rhône qui subit des dégradations importantes en un peu plus d’un an. Deux églises lyonnaises, celle du quartier de la Duchère ainsi que l’église Saint Nizier avait subi des tentatives d’incendie en novembre 2006 et novembre 2007.

Comme à chaque fois, il est précisé qu’une enquête a été ouverte par les gendarmes de Beaujeu. De leur côté les médias ne rapportent pas ou peu les saccages d’Eglises, pourtant toujours plus nombreux, contrairement aux autres édifices religieux ! Naïvement, je pose la question, pourquoi ?

SOURCE: http://carrefourdelinsurrection.hautetfort.com/archive/20...

COMMENTAIRE: pour tentative de compréhension, on pourrrait par exemple comparer la carte de l'islamisation de France avec celle des dégradations des batiments chrétiens...toute rélation étant bien entendu purement fortuite!

11/01/2008

L' islam est tolérant et nous allons vous le prouver!

7559e9108de0542a227e7a4a5adc9186.gifUn hebdomadaire catholique malaisien a été enjoint d’abandonner l’utilisation de « Allah », comme condition de renouvellement de son permis d’éditer.

Les chrétiens de langue arabe utilisent généralement le mot « Allah » pour Dieu - à l’exception notable des Coptes. Mais ils ne font pas allusion, bien sûr, au dieu du coran mais au Dieu de la Bible.

Si les deux groupes étaient en Malaisie, cependant, ce serait une autre histoire. Les porte-parole des musulmans en Occident nous disent sans cesse que les musulmans, les juifs, les chrétiens et tous les cultes vénèrent le même Dieu - en accord avec le verset 29 :46 du coran. Et quand certains font observer que la vision musulmane de Dieu est tout à fait différente de la vision chrétienne ou juive de Dieu, et qu’il est donc difficile de soutenir que tous adorent le même Dieu, ils sont calomniés et rejetés. Mais cette décision en Malaisie indique que ce n’est pas eux qui sont à l’origine de ces idées ; elles sont soutenues par de nombreux musulmans.

The Associated Press :

KUALA LUMPUR, Malaisie : Un hebdomadaire catholique en Malaisie doit abandonner l’utilisation du mot « Allah » dans son édition en langue malaise s’il veut que son permis d’édition soit renouvelé, a déclaré vendredi un haut fonctionnaire du gouvernement.

« The Herald, l’organe de l’Église catholique en Malaisie, a traduit le mot Dieu comme « Allah », mais c’est erroné car Allah fait référence au dieu des musulmans », a déclaré Din Che Yusoff, un haut fonctionnaire de l’unité de contrôle des publications du Ministère de la Sécurité intérieure.

« Les chrétiens ne peuvent pas utiliser le mot Allah, qui ne s’applique qu’aux musulmans. Allah est seulement pour le dieu musulman. Il s’agit d’un plan pour confondre le peuple musulman, » a dit Che Din à Associated Press.

«  L’hebdomadaire devrait plutôt utiliser le mot « Tuhan" qui est le terme générique pour Dieu », dit-il

N.D.L.R.

Certains prétendront qu’il s’agit probablement « encore » de « savants » musulmans « égarés » et soi disant « minoritaires » qui ne comprennent pas l’islam ou qui ont pris l’islam en otage...

Lien via DhimmiWatch, Malaysian Catholic weekly told to drop use of ’Allah’ in order to renew publishing permit, le 22 décembre 2007