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29/03/2007

La politique des Sudètes

medium_naziislam5.jpgPeu à peu s’éteint la génération témoin des lâchetés et des compromissions face à Hitler qui ont conduit à la catastrophe des années 1939-45. Peu à peu, et le récent décès de Lucie Aubrac nous le rappelle, s’éteint la génération de Résistants qui ont au moins sauvé l’honneur de la France et notre foi en l’humanité. La voie et la voix redeviennent ainsi libres pour les crédules et les naïfs mais surtout, pour les coquins, les lâches, les magouilleurs, les combinards, les défaitistes et collabos en tous genres.

Voici peu, la France chiraquienne déléguait officieusement à Téhéran l’un des Eurabiens les plus corrompus de notre société que Mitterrand en fin de règne avait placés à des postes qui, pour être prestigieux et juteux, leur assurait surtout l’immunité. Nul ne croira en effet que Roland Dumas, ce «socialiste» pervers, inventeur du «caduque» d’Arafat et qui, pour être pourri jusqu’à la moelle, n’en est pas moins un homme cultivé, se rend là-bas juste pour y admirer les chefs d’œuvres de la période Achéménide. Cela doit donc s’inscrire dans le cadre d’une politique d’opposition systématique et de finasseries que le chiraquisme a imprimée à l’Union Européenne face à la fermeté dont les Etats-Unis font preuve à l’encontre du National islamisme chiite et de la barbarie djihadiste sunnite (ce qui n'a malheureusement pas toujours été le cas NDR)

. Nous ne savons pas ce qui s’y est concocté mais en déclarant que l’Iran a le droit de se doter d’un armement nucléaire, Roland Dumas se révèle tel qu’il est, une sorte de Talleyrand de bas de gamme mais, comme son devancier, une merde dans… des souliers de luxe naguère payés par la Putain de la République.

Ainsi, l’UE et la France d’aujourd’hui ne se comportent pas autrement, face au péril djihadiste, que les états européens des années 30 face au péril nazi. À cette époque, au lieu de s’unir face à l’Allemagne qui les menaçait tous sans distinction, chaque pays, muré dans son égoïsme national, finassait, négociait de son côté et essayait de détourner sur d’autres pays la fureur du Führer. Jusqu’au communiste Staline, ce Petit Père des Peuples, qui s’alliait à Hitler pour se partager les dépouilles de la Pologne et lui laissait le champ libre contre les Alliés franco britanniques. Comme quoi «totalitaires de tous les pays, unissez-vous» remplaçait le «Prolétaires de tous les pays, unissez-vous» du Manifeste Communiste naguère pondu par Marx et Engels. Nos Daladier et Chamberlain n’avaient pas fait mieux à Munich en sacrifiant la Tchécoslovaquie, «État de merde» qui, accusée de nous entraîner dans la guerre en s’apprêtant à résister et en voulant que nous respections notre alliance, se voyait sommée de céder à Hitler les territoires sudètes. Quelques semaines ont ensuite suffi pour voir ce pays encombrant rayé de la carte, ce qui n’a pas empêché notre pays de se faire engloutir à son tour. Mais le monde se comporte comme si ce passé n’avait jamais eu lieu.

C’est dans cette lamentable foulée que ce bouffon de guignol qu'est Javier Solana, «ministre» des affaires étrangères de l’Europe, réédite l’exploit de Munich en déclarant au dictateur syrien qu’Israël doit sans préalable «restituer» le Golan à la Syrie. Nous ne sommes décidemment pas rancuniers puisque si Israël tient jusqu’à présent la Syrie terroriste en respect, notre gouvernement qui est le moteur de la politique étrangère européenne au Proche-Orient, tourne la page sur tous les actes de terrorisme dont furent victimes nos otages, nos soldats, nos diplomates et les amis de la France. À croire que notre armée et notre diplomatie sont prêtes à défendre tout le monde, sauf les Français, sauf les Européens. Et tout ça, dans quel autre but que d’affaiblir la position des USA au Proche-Orient ?

Or, loin d’amadouer les totalitaires islamiques qui ont repris le flambeau des nazis, mais dans lesquels nos politiciens voient néanmoins des alliés contre l’Amérique, nous les encourageons à se montrer de plus en plus exigeants, encouragés en cela par notre complaisance à leur égard. Cette politique antiaméricaine initiée par la Vème République et menée par ses Jobert, Dumas, Védrine et autres Villepin de service est comparable au coureur qui, incapable de rivaliser avec un champion, espère gagner la course en lui cassant une jambe. Il ne restera pas moins un coureur médiocre et un perdant. Est-ce là l’illustration de notre «grandeur» ?

Un adage prêté au roi Salomon dit pourtant que «mieux vaut être la queue du lion que la tête du renard» ou du chacal en l’occurrence dont, au train où vont les choses, la France risque même de devenir la queue.

Pour se disculper de leur lâcheté, nos collabos des années 40 répondaient invariablement aux critiques: «que voulez-vous, nous sommes vaincus». Avec l’accélération de l’Histoire, nos modernes collabos n’attendent même pas la défaite pour collaborer avec les ennemis de notre civilisation, de nos valeurs, de notre liberté, de notre dignité et de tout ce qui fait notre identité. Mais comme leurs prédécesseurs, ça leur rapporte gros. Pouah !Beurk !

Palestine, vache sacrée ?

À part le Figaro, sous la signature de l’excellent Ian Riouffol, et nos confrères de France-Echos et Occidentalis, aucun grand quotidien ne semble avoir parlé de la scandaleuse affaire Belmer. Pourquoi ce silence assourdissant ? Or, de quoi s’agit-il ?

Après Louis Chagnon et Robert Redecker, c’est au tour de Christian Belmer de payer son opinion à contre-courant. Mais cette fois-ci, le rituel terrorisme islamiste n’a même plus besoin d’intervenir, ses porteurs de valises de plus en plus actifs dans l’enseignement s’en acquittant fort bien. Pour avoir exprimé sur un blog et sous un pseudonyme une critique contre un tract pro palestinien qu’il a reçu comme tous ses collègues enseignants du Lycée Robert Schuman du Havre, le professeur Christian Belmer se voit poursuivi devant la Justice par le citoyen Croise. Je ne sais pas ce que ce délateur, zélé gardien de la vache sacrée palestinienne a bien pu raconter mais sa victime, en attendant sa comparution devant un tribunal le 24 avril, a subi une humiliante garde à vue et a été suspendu de ses fonctions pour quatre mois. Faut-il croire qu’en République française, on prend désormais moins de risques à tabasser un prof que de blasphémer la Palestine ? On attend la suite. Mais une question s’impose : alors que toute manifestation religieuse est interdite dans nos écoles, comment se fait-il que des tracts à caractère idéologique ou politique puissent circuler librement dans une école laïque ? Ne sont-ce pas les diffuseurs du tract et non celui qui proteste qui devraient être suspendus ?

Mais puisque l’intégration est devenue un thème de la campagne présidentielle, faudrait-il commencer par intégrer nos enseignants du Havre et d’ailleurs à l’identité française faite de valeurs républicaines, de laïcité, de liberté absolue de conscience et d’expression ?

Intégration contre identité ?

Comme il fallait s’y attendre, l’idée de créer un ministère de l’immigration et de l’identité française soulève un tollé dans «l’intelligentsia» bobo. Comme si la gestion de l’immigration massive et non sélective que nous subissons ne devait pas être prise en main et gérée ; comme si rien ne devait être fait devant un tel bouleversement démographique et culturel provoqué par une population venue, souvent frauduleusement, en France pour ses valeurs économiques et sociales tout en rejetant ses valeurs culturelles et éthiques.

Simone Veil, pourtant favorable à Sarkozy, fait la moue et prend ses distances. Elle aurait préféré le terme «intégration» à «identité». À se demander si l’intégration ne doit pas déboucher sur l’identification à la langue, à la culture, aux moeurs et aux valeurs du pays d’accueil. «Identité ?» «Cachez-moi ce mot que je ne saurais entendre…». La position de Simone Veil serait presque admissible, mais avec tout le respect et toute la compréhension que je dois à la sensibilité d’une rescapée des camps d’extermination, je crois qu’elle retarde d’une guerre.

C’est immédiatement dans les années d’après guerre, et plus particulièrement durant les «trente glorieuses», alors que l’immigration ne passait pas encore à la vitesse supérieure, qu’il aurait fallu créer un ministère de l’immigration et de l’intégration, sachant que les immigrés, dont l’admission doit être de toute façon sélective, ont vocation de rester en France. Or ni la droite ni la gauche qui se sont relayées au pouvoir ne l’ont envisagé et, comme si Le Pen a été inventé pour ça, nulle n’osait émettre une idée dans ce sens de crainte d’être identifié à la pensée «borgne» du F.N.

Maintenant que la situation est devenue catastrophique face à une communauté majoritairement travaillée par l’islamisme et qui, tout en préservant farouchement son identité, ses valeurs et ses moeurs, combat notre identité et nos valeurs, nous sommes désormais acculés à la défensive. Des mesures de sauvegarde s’imposent d’urgence si nous voulons préserver ce qu’il nous reste de cette identité qui a fait la France. Après avoir été bien veules devant les exigences et dictats identitaires communautaristes, c’est donc bien l’identité tant bafouée de la France qu’il faut sauver, et non, si respectables soient-elles dans leur pays, celles du Maghreb et autres pays musulmans d’Afrique Noire.

Force est pourtant de croire que cette fois-ci, Sarkozy a visé juste, puisque son idée semble rallier la majorité des citoyens et que la Royal, changeant de cap, y va de ses petits drapeaux tricolores et Marseillaises tandis que Bayrou, dont on ne sait trop s’il est lard ou cochon, préconise la remise en cause du droit du sol en Guyane ou à Mayotte où les femmes arrivent illégalement juste pour y accoucher et, en tant que mères d’un enfant français deviennent inexpulsables. On ne voit seulement pas pourquoi cette mesure qu’il juge bonne pour ces DOM ne le serait pas pour la France entière, à croire que l’Hexagone ne connaît pas cette immigration obstétrique venue du continent africain.

Mais derrière les tartufferies, ce sont les cohortes des commissaires politiques, des policiers de la pensée et de leurs indics qui montent en ligne, armés de leur habituel arsenal de mensonges, de désinformation et d’impostures. Même ceux qui font de l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme, même ceux qui professent le négationnisme font soudain preuve de sollicitude envers les Juifs pour peu qu’ils aient été préalablement exterminés. Les Juifs sont certainement les premiers étonnés de se découvrir subitement tant d’amis. L’agitprop de gauche à l’unisson avec les officines islamistes n’ont en effet trouvé rien de mieux que de comparer le projet de Sarkozy au Statut des Juifs et au Commissariat aux affaires Juives de Vichy.

Sans défendre le candidat Sarkozy qui nous laisse bien d’autres sujets d’inquiétude, faut-il rappeler que dans notre langue française «intégration» et «exclusion» ou «rejet» sont antinomiques ?

Faut-il rappeler que le Statut des Juifs les excluait de la communauté nationale française, les privait de tout droit et préparait leur déportation ? Tout à l’opposé, un ministère de «l’immigration et de l’identité nationale» aura pour mission d’intégrer les immigrés et surtout leurs enfants au sein de la communauté nationale à laquelle ils ont vocation de s’identifier. Où donc est le mal ?

Or, l’amalgame entre une chose et son contraire est l’arme des imposteurs.

Nous devinons aisément leurs objectifs. Alors que la France n’a cessé au cours de son histoire d’intégrer ses immigrés, elle n’échoue que devant la soudaine et massive immigration musulmane nourrie, dès le départ, de préventions contre les valeurs de l’Occident. En France, ces communautés sont «travaillées» par des missionnaires agitateurs fondamentalistes souvent venus du Proche-Orient ou du Maghreb où les autorités cherchent parfois à s’en débarrasser. Tout leur est alors bon pour instaurer des barrières pour préserver les musulmans de toute «contamination» occidentale. Dès lors, chaque fois par exemple que nos autorités, sous couvert de tolérance qui n’est jamais réciproque, favorisent l’édification d’une mosquée en lui en donnant le terrain quasi gratuitement et en pleine infraction à la loi de 1905, elles entrent dans la stratégie séparatiste des islamistes dont ce n’est qu’une première étape. Ce n’est pas la pratique religieuse qui est en cause mais la scandaleuse entorse faite en «haut lieu» à nos lois et à nos principes.

Faudrait-il ensuite nous résigner à renoncer à notre façon de vivre à nos libertés, à nos valeurs, à nos mœurs et à adapter nos institutions, notre enseignement, nos équipement collectifs et nos lois à l’islam et à la culture et aux mœurs que cette pseudo-religion véhicule ? Faudrait-il que par un prétendu «respect» toujours unilatéral, nous capitulions devant toutes les phobies, interdits et schizophrénies de l’Islam ? Or non seulement nos «maîtres à penser» l’admettent au nom du multiculturalisme et voient dans ce communautarisme qui s’implante un élément valorisant, mais notre ministre de l’Intérieur fait pression sur Alain Morvan, recteur de Lyon et finit par le faire limoger. Normal, les fondamentalistes islamistes voulaient sa peau, ils l’ont eue ; ça lui apprendra et, à travers lui, ça apprendra aux autres responsables universitaires ce qu’il en coûte de vouloir imposer aux islamistes les règlements que l’on impose habituellement à tout un chacun en matière de qualité de l’enseignement et des normes de sécurité des établissements scolaires. Peu à peu, cette «discrimination positive» instaure sur le territoire de la République deux systèmes de lois. Celle appliquée dans toute sa rigueur à tous les Français et celle, à l’usage des adeptes de Mahomet, faite de dérogations et de passes droits. La France n’est hélas pas seule dans ce processus de dégradation. Nous avons vu que, se fondant sur la loi coranique, une juge de Francfort avait débouté une marocaine qui demandait le divorce en raison des brutalités dont elle était l’objet de la part de son mari. Mais les Allemands, sans être plus «racistes» que nous, n’ont pas manqué de dessaisir cette magistrate et lui rappeler que la loi allemande est applicable à tous ses habitants sans exception.

Mais revenons en France

Si un Français qui, lui, n’a pas de patrie de rechange, demande que la loi française s’impose à tous, sans discrimination ou dérogation, s’il demande à être respecté dans son pays et estime que ce n’est pas à lui de s’adapter à une culture d’importation mais aux immigrés de s’adapter aux valeurs du pays d’accueil et de s’y soumettre, comme tout un chacun, aux lois et règlements en vigueur, serait-il aussitôt catalogué comme raciste et poursuivi pour ce délit ? Résistons donc à ce jugement de bas de gamme.

Nous ignorons comment fonctionnerait un ministère de l’immigration et de l’identité française ou de l’intégration. Il faudrait déjà que soit élaborée une charte de l’immigration. Chaque candidat à l’immigration devrait savoir qu’il est le bienvenu en France s’il y vient pour vivre de son travail mais qu’il doit y respecter les valeurs, mœurs, coutumes et lois et s’y adapter, à l’exclusion de toute autre loi, code et système de valeurs. Il doit savoir que tout manquement, constituant une rupture de pacte, entraînera son expulsion (ce qui implique l’acceptation de la prétendue double peine). Moyennant quoi, au moment venu, il aura vocation de devenir français et bâtir avec nous un avenir commun. Dans le cas contraire, il doit être invité à déguerpir dare-dare ; il trouvera toujours assez de pays et assez d’espace où son comportement, ses mœurs et ses lois se fondront dans le paysage.

Nous n’avons pas d’autre choix si nous ne voulons pas voir une France truffée de zones de non droit.

Mais nos «zélites» et autres nantis de gauche ou de droite parlent-ils encore le français ? Il est déjà notoire que nombre de Français titulaires d’un bac +, voire sortis des grandes écoles, ne connaissent plus la grammaire, ni l’orthographe ni même le sens des mots. Alors oui, il est grand temps de reconquérir notre propre identité, il est temps de la faire respecter par ceux qui veulent vivre avec nous. Mais encore faudrait-il que celui qui inscrit l’identité française dans son programme commence par se souvenir que dans une démocratie, a fortiori dans une république laïque, tous les hommes sont égaux devant la loi. Ni plus égal ni moins égal. Sans discrimination négative ou positive. Même Ségolène Royal, qui est allergique au mot «intégration», même Nicolas Sarkozy, maniaque de la discrimination positive, même Bayrou qui en est à chercher d’où souffle le vent, devraient le prendre en compte et s’y engager sans équivoque.

Fascination ou fascisation des bobos ?

Le crime fascine la gauche bobo, la gauche caviar. Oh, non pas n’importe quel crime crapuleux, encore que celui-ci soit aussitôt imputé à une société injuste dont le criminel est lui-même victime et mérite plus de sollicitude que la personne assassinée. Non, la gauche, hostile à la peine de mort lorsqu’elle est prononcée par un tribunal dans le cadre de la loi, entre en pâmoison devant un assassinat à motivation idéologique. Et le terrorisme entre dans cette honorable catégorie absolutoire.

Ainsi en allait-il de l’attentat terroriste palestinien commis en septembre 1972 aux Jeux Olympiques de Munich par l’organisation Septembre Noir. Cette action devait coûter la vie aux athlètes israéliens pris en otage et à un policier allemand. Pour une fois, toute la classe politique, y compris les Maos condamnait cet acte criminel. Mais pas Jean-Paul Sartre, père spirituel du quotidien Libération. Celui qui, pour ne pas désespérer Billancourt, mentait ou «au mieux», couvrait de son silence complice les crimes du régime communiste dont il était le compagnon de route, s’extasiait en ces termes : «C’est une guerre entre un État et un peuple, entre Israël et les Palestiniens … La seule arme dont disposent les Palestiniens est le terrorisme».

Passons sur le fait que pour Sartre, qui n’était pas connu pour professer l’antisémitisme, le peuple juif n’existe pas, les Juifs n’existant que dans le regard des autres. Donc seuls les Palestiniens sont un peuple, de sorte que les otages n’étaient pas des hommes avec ce que cela comporte de singularité, d’unique et d’irremplaçable pour chacun d’entre eux, mais un État.

À force de manier des concepts globaux tels que peuple, masse, État, classe ou Cause, l’homme dans sa singularité humaine n’existe plus chez les idéologues. L’homme devenant une abstraction, seuls le «Peuple», la «Cause», la «Classe», les «masses» sont des réalités.

Dès lors, un militant, un terroriste ne tue, ne déchiquette pas un être humain, il frappe un État ou une classe sociale. Il n’a donc pas à en répondre devant un tribunal puisqu’il n’y a pas homicide pour une abstraction. C’est ainsi que l’Italie, la France, l’Allemagne, le Japon, ont connu dans les années 70 les Brigades Rouges, «Prolétaires armés pour le peuple» par ci, ou la «Rote Armee Fraction» et autres organisations de même inspiration, mais toutes vouées aux enlèvements, aux prises d’otage et assassinats «révolutionnaires».

En nous en tenant à la logique sartrienne, Cesare Battisti n’avait donc pas à comparaître devant un tribunal pour quelque «prétendus» homicides commis durant les «années de plomb». Sa condamnation par contumace dans un procès où il bénéficiait de l’assistance d’avocats et de toutes les garanties légales n’a donc aucune valeur. Soit. Mais le scandale n’est pas dans cette «logique» qui n’est pas l’apanage de la seule gauche, n’est pas cette «logique» qui nous scandalise le plus. Le scandale, c’est la mansuétude dont il a bénéficié en se réfugiant en France où le «socialiste» Mitterrand l’a accueilli comme un réfugié politique persécuté par des «méchants» et lui a accordé sa protection, manifestant par là un profond mépris pour les Italiens, y compris ceux de gauche. Les crapuleries et perversions d’un Mitterrand qui a également protégé son ami Bousquet, maître d’œuvre des grandes rafles de Juifs, engagent-elles la République Française ? A cette aune, nous devrons aussi respecter les engagements du gouvernement de Vichy.

Battisti, ne s’estimant pas criminel, avait pris le large et ne pouvait donc être jugé que par contumace, ce qui le privait d’un procès normal où, contrairement à ses victimes, il aurait pu se défendre et être défendu. Il l’a du reste été ; il ne s’agit donc pas d’un jugement arbitraire et expéditif rendu par un tribunal d’exception. Son arrestation au Brésil et, espérons le, son extradition vers l’Italie permettront sans doute de faire enfin appliquer une décision de la justice d’un pays qui a rompu avec le fascisme. La peine de mort y étant de surcroît abolie, son sort restera de toute façon plus enviable que celui de ses victimes. Et dans le débat soulevé par le réseau mafieux idéologique qui soutient ce criminel, la vie des victimes et les conséquences dramatiques pour leurs familles comptent pour zéro.

Tout le reste n’est que tartufferies, vaines polémiques, procès d’intention et parfaite mauvaise foi. Tel est le cas d’un «intellectuel» membre du comité de soutien à Battisti, qui, dans un débat sur France Culture, déclarait que la société doit savoir pardonner. Mais le pardon, notion qui nous est léguée par le Judéo-christianisme, a pour préalable le repentir. Or, à ma connaissance, aucun criminel condamné pour ses assassinats «révolutionnaires» n’a regretté son crime ou manifesté le moindre repentir.

Je disais plus haut que le fait de voir dans les hommes une abstraction n’est pas spécifique à la seule gauche. Monsieur Raymond Barre, dans le soutien qu’il apporte à Papon resté en poste sous Vichy, estime que «l’Etat doit fonctionner» envers et contre tout, quitte à ce que ses fonctionnaires prêtent main forte à la machine d’extermination de Juifs «puisque leur sort ne relève pas de l’intérêt supérieur de l’Etat» ; il n’a pas besoin d’être antisémite pour autant, encore que ça aide ; il est simplement inhumain, au même titre que les idéologues «de gauche». À ses yeux, seul l’Etat est quelque chose de concret et tout doit lui être sacrifié (sauf la vie de Barre et de ses amis hauts fonctionnaires sans doute puisque nécessaires au fonctionnement de l’Etat) alors que les êtres humains, Juifs en l’occurrence mais pas exclusivement, ne sont que des abstractions. L’homme n’est qu’un «consommable» dont les restes sont jetables après usage, un carburant dont l’Etat Moloch a besoin pour tourner. Mais puisque vous et moi faisons partie de ces «consommables» de la machine Etat, de la machine Idéologie, de la machine Grande Cause, il nous est permis de voir tous ces individus «abstractionnistes», ces Barre, ces Papon, ces Sartre, ces Battisti et consorts tels qu’ils sont à la lumière du plein jour : des ordures.

Il était une fois

Il était une fois la Rhodésie, pays prospère. Mais c’était une colonie dont la population autochtone était subordonnée à quelques centaines de milliers de colons britanniques. Le colonialisme est une bien vilaine chose, c’est entendu. Par bonheur, la résistance Mau Mau a accéléré le processus de décolonisation que la Grande Bretagne avait déjà entamée et voilà le pays enfin libéré qui rejette son appellation qui perpétue le nom de Cecil Rhodes, ce colonialiste british. La Rhodésie est morte, vive le Zimbabwe. Et vive les Zimbabwinais enfin libérés du joug colonialiste. Le hic c’est qu’au lieu d’être gouvernés par des administrateurs importés du Royaume Uni, pas toujours commodes mais au moins responsables devant le gouvernement de Sa Majesté, ils ont un dirigeant bien de chez eux, mais un psychopathe idéologue (c’est presque un pléonasme). Commence la chasse aux Blancs généralement nés de parents également nés dans ce pays. N’en concluez pas que c’est du racisme. Le racisme est anti-noir, anti-jaune, anti-musulman, anti-arabe mais jamais anti-blanc, jamais anti-français ; ça n’existe pas. Beaucoup de descendants des «colons» de Rhodésie fuient leur pays natal, en y abandonnant leurs biens. Majoritairement cultivateurs, leurs fermes et leurs terres sont confisquées. Mais au moins redistribuées aux paysans sans terres ? Ne rêvons pas. Ces terres son distribuées aux apparatchiks du régime qui, n’étant pas des paysans, sont incapables d’y produire quoi que ce soit. La pénurie et la famine s’installent dans ce pays naguère prospère et exportateur de produits agricoles. Le peuple ne voit pas ce qu’il a gagné dans l’indépendance mais il sait déjà ce qu’il a perdu. Encore une conséquence de l’abstraction. Mais ne me faites pas dire ce que je ne pense pas. Le colonialisme devait impérativement être aboli, mais par quoi est-il donc remplacé ? Une dernière question : comment qualifierait-on la France si elle spoliait et expulsait sa population d’origine africaine ?


André Dufour pour LibertyVox

27/03/2007

Les albanais peuvent enfin achèver le nettoyage ethnico-réligieux des serbes

L'OTAN a réussi à surmonter ses divergences internes pour apporter un soutien unanime au plan des Nations unies prévoyant pour le Kosovo une indépendance sous supervision internationale. Par le passé, l'OTAN avait davantage manifesté son soutien au ''processus'' onusien qu'au contenu du plan lui-même. Cette prudence prenait en compte l'inquiétude suscitée par l'accession de la province serbe à l'indépendance chez des pays membres comme l'Espagne et la Grèce.

www.figaro.fr

LA CASSE DE LA REPUBLIQUE SERBE SE POURSUIT SANS FIN AVEC LA LEGALISATION DE LA LOI DU NOMBRE ET DANS L'INDIFFERENCE GENERALE:  L'ANCIEN ENVAHISSEUR OTTOMAN ETANT DEVENU MAJORITAIRE LE POUVOIR LUI REVIENT DE DROIT ET A JAMAIS!

DEMAIN CE SERA L'INDEPENDANCE DU 93, du 95, du 69, du 59....

LA FIN DE LA CIVILISATION CHRETIENNE EN VIDEO: http://www.youtube.com/watch?v=fkgHkxIfgBc

26/03/2007

Notre dénominateur commun qui gêne tant!

medium_kruisahenny.jpg« On ne peut pas penser construire une vraie maison commune en négligeant l'identité propre des peuples de notre continent (...), une identité historique, culturelle et morale (...) constituée d'un ensemble de valeurs que le christianisme a aidé à forger », a dit Benoît XVI devant les délégués des épiscopats européens, réunis à Rome pour ce cinquantenaire. Ces valeurs « constituent l'âme du continent » et doivent rester un « ferment de civilisation ».

Même s'il a reconnu à l'Europe des succès économiques et la fin du rideau de fer, Benoît XVI a estimé qu'aujourd'hui « elle perd confiance dans son propre avenir ». L'Europe avance « péniblement ». Sa dénatalité pourrait la mettre « en congé de l'histoire ». Surtout, « le processus d'unification européenne n'est pas partagé par tous, à cause de l'impression diffuse que différents chapitres du projet sont écrits sans tenir compte des attentes des citoyens ».

www.figaro.fr

SANS TOMBER DANS LE "CLERICALISME" ET TOUT EN GARDANT A L'ESPRIT QU'" IL FAUT RENDRE A CESAR CE QUI EST A CESAR ET A DIEU CE QUI EST A DIEU" (POUR CEUX QUI ONT LA FOI) , IL EST CLAIR QUE NIER NOS RACINES CHRETIENNES C'EST NIER L'ESSENCE MEME DE NOTRE CIVILISATION OCCIDENTALE.

UNE CIVILISATION INCONCILIABLE AVEC LE PROJET DE HAINE SECTAIRE ET TOTALITAIRE DU CORAN

LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE, C'EST LE CHRIST QUI A DIT CELA IL Y A 2000 ANS

24/03/2007

Encore un pas vers l'apocalipse coranique

medium_arton9993.3.gifVers la guerre ? Quelle autre issue que la mobilisation graduelle lorsque les khomeynistes s'emparent ainsi de quinze soldats alliés ? Un coup de semonce semble nécessaire, les tergiversations sont inutiles. Puisqu' en accentuant les menaces de rétention financière il fallait s'attendre à une telle réaction. J'ai toujours dit ici que ces menaces ne servaient à rien pour l'heure sinon à souder le régime et à mener dans la guerre. Or, il me semble qu'il faille laisser venir les khomenystes, ce qui signifie qu'on les laisse afficher leur réel visage alors que pour le moment il est flou, et qu'il a pu sans doute rassurer les Saoudiens en envoyant leur assassin en chef négocier sans doute une proposition d'alliance.

Mais comme le vin est tiré il faut le boire. On ne discute plus tactique quand le dénouement approche. Blair doit donc taper du point sur la table et immédiatement. Chirac doit suivre. On ne comprendrait pas sinon qu'ils aient cherché à provoquer puis ne fassent rien. C'est le moment de montrer les muscles. Parler vigoureusement. Dramatiser. Jamais De Gaulle ou Reagan auraient permis une telle chose.

Les khomeynistes ont donné des gages aux wahhabites, même s'il n'est pas sûr que ces subtilités réussissent à souder les populations arabo-musulmanes derrière eux, mais on ne sait jamais puisque le Hamas mange déjà dans la main khomeyniste.

Aussi un autre front doit être couvert, celui, déjà ouvert, du Darfour, en exigeant la suspension du Soudan de l'ONU, de la Ligue Arabe, de la Conférence islamique mondiale, en demandant que toutes les organisations musulmanes prennent position à ce sujet.

Parce qu'il nous faut, et le plus vite possible, avant que la guerre ne vienne brouiller les cartes, découpler les populations nord africaines et africaines de leur supposée unique identité qui serait celle de l'islam. Il faut à tout prix indiquer que l'on ne doit pas mélanger religion et ethnie, ou réduire la culture au religieux, même si certains le font. Ce qui permet de
critiquer l'islam des wahhabites et des khomenystes sans faire un amalgame avec l'origine ethnique comme veulent le faire ceux-ci afin de souder tous les musulmans dans la guerre totale qui vient.

Ils sont aidés de leurs alliés altermondialistes et autre collabos, et aussi comme cette juge allemande qui naïvement souligne la réalité même de l'islam alors qu'elle aurait dû l'alléger dans de l'islamo-correct comme on le parle désormais un peu partout et de plus en plus ; elle n'avait pas à dévoiler le pot aux roses, même si battre sa femme n'est pas un apanage uniquement réservé à l'islam....

Pour faire ce découplage, il faut critiquer ce dernier en prenant l'exact contre pied des juges ayant condamné Charlie Hebdo lorsqu'ils  parlent de "choc" et de "blessures" alors que la vie est aussi faite de ces chocs salutaires qui rectifient des trajectoires en faisant prendre conscience de certaines choses.

Il est en tout cas étrange que ces dernières se déroulent de plus en plus comme dans un rêve, dans lequel certains, tels Léonidas et les 300, voient clairs dans la stratégie et la tactique de l'ennemi, alors que les autres font là où on leur dit de faire : devant la maison des Bush et Blair. Et laissent tranquilles les tyrans parce qu'ils ne sont pas occidentaux.

Pendant ce temps, on accuse la Chine au Darfour, les USA en Irak, tandis que le Hezbollah et le Hamas s'arment, les khomeynistes aussi. Et ceux-ci ne perdent pas de temps, de peur que la fenêtre d'opportunité s'estompe, celle qu'ils ont réussi à ouvrir au Liban et en Israël même puisque certains veulent le persuader qu'il suffirait d'évacuer 500 000 personnes des territoires contestés, d'en faire une terre nettoyée de toute présence juive, pour que la paix s'installe, la compréhension mutuelle et le développement réciproque.

Ceux qui pensent cela sont des irresponsables qui nous ont amené à la situation actuelle en créant cette atmosphère défaitiste qui fait dorénavant dire à une juge allemande qu'un non européen doit être jugé au nom de sa culture d'origine, ce qui la rend immédiatement captive comme marquée par un fer rouge, et efface d'un trait de plume des siècles d'acheminement de la culture allemande vers l'universel (mais ce ne serait pas la premère fois...).

D'aucuns veulent également effacer Israël d'un train de plume (atomique), croyant ainsi réparer ces méfaits qui sont supposés avoir été la cause unique du maintien de la quasi totalité des Etats islamiques dans le sous-développement : la colonisation (à quand une condamnation de l'Italie par l'Europe et l''Afrique : n'est-elle pas descendante de Rome ?). Une telle veulerie est admise et est même enseigné dans les lycées français et lorsqu'un professeur émet des réserves il reçoit un blâme.

Il est dommage que nos amis anglosaxons (et pas seulement eux) ne comprennent pas qu'ils ne feront pas l'économie d'une critique de l'islam, pour le bien même des populations qu'ils ont peur de choquer alors qu'en réalité ils les effraient en les poussant précisément vers ces racines qui les ont fait fuir...

Aussi, il ne sert à rien de dire qu'il ne s'agit pas de faire une guerre à l'islam mais à des régimes l'instrumentalisant alors que ces populations voient bien que c'est faux, que ces régimes sont bien islamiques, qu'ils ont bien compris l'islam et que c'est précisément pourquoi elles sont parties (certaines personnes fuient, d'autres viennent pour coloniser et reçoivent le pouvoir de représentance pour mieux sévir..., NDR), même si maintenant leurs enfants, éduqués dans des écoles où les "alter" font désormais la loi, apprennent le faux par les faux...

Nous héritons d'une situation qui a vu nos aînés et la génération qu'ils ont fabriqué aggraver la crise multiforme actuelle ; ne croyons pas que le kidnapping de ces marins n'y soit pas lié, et ce même s'ils sont libérés demain matin...en échange des khomeynistes pris la main dans le sac par les Américains il y a quelques temps en Irak. Ne croyons pas que nous sommes sortis d'affaire. Bien au contraire.

EXTRAIT ET MODIFIE DE www.resiliencetv.com

22/03/2007

Une juge allemande applique la loi coranique

medium_arton11697.jpgLa magistrate avait refusé d'accorder le divorce à une femme battue par son mari marocain parce que le Coran ne condamne pas les mauvais traitements entre époux. Elle a été dessaisie du dossier hier.

LE CORAN pèse-t-il plus lourd en Allemagne que le Code civil ? Sans doute pas, car une juge de Francfort qui en donnait l'impression a été dépossédée du dossier litigieux pour suspicion de partialité. Mais cette affaire, qui a été révélée hier par le quotidien de gauche Frankfurter Rundschau, est une illustration des problèmes de l'intégration.
Originaire du Maroc, mais née et élevée en Allemagne dont elle a également la citoyenneté, une jeune femme de 26 ans, mère de deux enfants de deux et trois ans, demande à divorcer de son mari, Marocain du Maroc, lui. Il la bat, la police en a pris acte dans un procès-verbal de mai 2006, à la suite duquel il a par voie de justice été interdit du domicile conjugal.
Mais il continue à la terroriser, à la « menacer de mort » selon Barbara Becker-Rojczyk, l'avocate de la plaignante. En octobre dernier, la jeune mère introduit une demande en divorce. En principe, la législation impose un délai d'un an de séparation des époux, mais elle prévoit le cas de figure de « rudesse excessive » pour trancher dès avant. « Il s'agit de menaces de mort et cela constitue bel et bien un cas de rudesse excessive », fait valoir l'avocate.
Et pourtant. Le 12 janvier 2007, une juge de Francfort récuse la demande et renvoie pour cela au Coran. Dans la mesure où les époux proviennent tous les deux de « milieux marocains », il convient de constater que « l'exercice du droit au châtiment (par le mari) ne permet pas d'invoquer une rudesse excessive » telle que prévue à l'article 1565 du Code civil allemand. La plaignante devait « s'y attendre » en convolant avec un Marocain.
La crainte d'un « crime d'honneur »
Dans sa quatrième sourate sur les femmes, le Coran stipule en effet que « vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre la désobéissance (...) vous les battrez ». Mais que cette injonction garde toute sa valeur à Francfort, à l'ombre de la tour de la BCE, ne convainc pas l'avocate. Sa demande de retirer le dossier à la juge pour suspicion de partialité lui vaut de la part de celle-ci une réponse, le 8 février, dont l'argumentaire est à nouveau fondé sur le Coran et « l'honneur de l'homme ». L'affaire ayant fait des va-gues, son appel de cette décision a abouti hier, la juge a été dessaisie du dossier. Quant au divorce, il pourrait finalement être prononcé avant le délai d'un an de séparation qui court jusqu'en mai.
À condition que le mari ou sa famille ne décide pas de se substituer à la justice. Deux ans plus tard, l'Allemagne se souvient encore de l'assassinat par son propre frère de Hatun Sürücü, une jeune femme turque de 23 ans qui avait fait le choix de vivre à Berlin « à l'occidentale » au lieu de se soumettre aux canons de la loi islamique. Mineur au moment de faits, son meurtrier Ayhan a avoué et a été condamné à neuf ans et trois mois de prison alors que deux autres frères, sans doute également impliqués, ont été relaxés faute de preuve. Les « crimes d'honneur » de ce genre ont fait une cinquantaine de morts en Allemagne dans les dix dernières années.

21/03/2007

Torpillé pour s'être opposé aux islamistes...en France!

medium_francelibre.jpgAlain Morvan paie sa trop grande liberté de ton et redevient professeur d'anglais à l'université.

LE RECTEUR de Lyon, Alain Morvan, a été démis de ses fonctions mercredi et paye ainsi sa trop grande liberté de ton. C'est Roland Debbash, actuel directeur de l'enseignement scolaire qui devrait le remplacer. Alain Morvan, lui, reprendra sa chaire de professeur d'anglais à l'université. Un camouflet pour cet homme qui aurait manqué à son obligation de réserve de haut fonctionnaire. « Même si les valeurs qu'il défend sont respectables, il n'aurait pas dû commenter des décisions de justice », indique-t-on dans l'entourage du ministre de l'Éducation.
Alain Morvan s'était récemment opposé à l'ouverture du lycée musulman al-Kindi dans la banlieue de Lyon, qui a fini par ouvrir début mars. Il avait publiquement qualifié les porteurs du projet d'« intégristes » et déclarait vouloir se battre « jusqu'au dernier souffle pour l'intérêt des enfants ». Il avait aussi indiqué avoir subi des pressions de la part du ministère de l'Intérieur pour s'être opposé à cette ouverture. En huit mois, il aura refusé trois dossiers, mettant notamment en cause des salles trop petites, des sanitaires hors norme, une « direction fictive » ou encore la présence d'une conduite de gaz à l'air libre. Autant d'arguments rejetés par la justice administrative et le Conseil supérieur de l'éducation.
« Lutte contre l'extrémisme »
En 2005, le recteur avait également pris une part active dans la suspension puis l'exclusion de Bruno Gollnisch, professeur d'université de langue et civilisation japonaise et numéro deux du Front national, de l'université de Lyon-III pour ses propos sur les chambres à gaz. Il avait indiqué que de telles personnes n'avaient pas leur place dans l'université française et devaient être « éradiquées », assumant l'attitude « partiale et sans nuance » qu'on lui prêtait alors.
La semaine dernière, des associations étudiantes ont envoyé une lettre au président de la République pour le défendre. « Aux yeux de tous, en pleine période électorale, il serait incompréhensible et choquant de mettre un terme aux fonctions d'un homme qui, à Lyon, a su incarner avec honneur et courage la lutte contre l'extrémisme et toutes les tentatives communautaristes de ceux qui, masqués ou non, s'évertuent à brader la République à la découpe. »
VOICI ENCORE UNE PREUVE,S'IL EN FALLAIT, DE LA CONVERGENCE IDEOLOGIQUE DE TOUS LES TOTALITARISMES, ET DE L'ABIME QUI SEPARE LA CULTURE LIBERALE ET HUMANISTE LAIQUE (D'INSPIRATION CHRETIENNE), PAR RAPPORT AUX MOUVANCES PHILO-NAZISTES ET PHILO-ISLAMISTES, QUI SE REJOUISSENT ENSEMBLE DE L'EVICTION DU RECTEUR.
RAPPELONS QU'EN MEME TEMPS QUE LA FRANCE AUTORISE L'INDOCTRINEMENT SCOLAIRE MUSULMANS ANTI-OCCIDENTAL, L'ALGERIE CONTRAINT A LA FERMETURE LES ECOLES FRANCOPHONES AU NOM DE L'ISLAM!
MERCI MONSIEUR MORVAN, VOUS ETES UN HOMME D'HONNEUR ET DE COURAGE DANS UN MONDE DE LACHES, DE BORGNES, D'IGNORANTS, DE TRAITRES!

 

20/03/2007

Une falsification historique faite religion: l'islam

medium_alcader.jpgComment l'islam pourrait-il accepter une refléxion sur ses origines sachant que l'ignorance est le fondement même sur lequel il s'appuie pour exister?

Si en effet l'islam permettait l'étude de ses origines, la critique textuelle du coran, ou toute autre exégèse coranique, l'on decouvrirait bien vite qu'il a pour origine le judéo-christianisme et qu'il n'apporte aucune révélation nouvelle.

Et la conséquence directe de ces découvertes serait qu'il s'effondrerait de lui-même.

Selon le théologien Landrieux:

"L'islam n'est tenu que par la foi aveugle qui s'interdit toute question , toute réflexion, toute discussion. Il est resté debout parce qu'il y avait interdiction absolue d'y toucher .Mahomet  a mis un bandeau de plomb sur ses fidèles"

Maintenir les musulmans dans l'ignorance en les obligeant à ne s'ébattre toujours que dans le cercle fermé de l'islam, dans un univers clos et entre seuls musulmans et dans la défiance à tout autre mode de penser et d'agir, telle est la volonté pérenne des dirigeants de ce totalitarisme assumé en religion.

A M. Landrieux d'ajouter:

"Cette passivité intellectuelle ne peut perdurer que dans l'ignorance et par l'isolement.Cest pourquoi le monde musulman est si rigoureusement fermé"

EXTRAIT DE "LE VRAI VISAGE DE L'ISLAM" de M. ALCADER Ed.Kyrollos

UN LIVRE INDISPENSABLE AVANT L'APOCALIPSE http://www.amazon.fr/s/ref=nb_ss_w/403-0262797-3646879?__...

"Les musulmans sont les premières victimes de l'islam. Affranchir le musulman de sa religion est le plus grand service qu'on puisse lui rendre"

E. Renan

 

Dhimmitude, quand tu nous tiens...

medium_V2.jpgLa polémique sur les caricatures danoises du prophète Mahomet a rapproché l'ancien Secrétaire général des Nations unies Kofi Annan et Plantu, qui ont eu l'idée d'un rassemblement des dessinateurs pour la paix. En octobre dernier l'ONU et le caricaturiste français ont lancé à New York l'opération "Cartooning for Peace" (Dessiner pour la Paix).

Pour le Français, les dessinateurs se devaient d'apporter une réponse à la condamnation par certains imams des caricatures danoises, mais "il faut le faire avec tact et éviter de tomber dans le piège des attaques frontales".

L'article intégral : http://fr.news.yahoo.com/18032007/202/le-dessinateur-fran....

Plantu a décidé d'adopter le discours des pédo-théocrates sanguinaires qui essayent de nous faire croire que produire des caricatures de Mahomet serait aussi grave que faire des dessins ignobles qui ne sont guère que des plagiats de dessins nazis. 

 En réalité, pour les pédo-théocrates coraniques, faire des dessins de Mahomet c'est impardonnable alors que faire des dessins antisémites, ce n'est absolument pas grave puisque selon l'islam, les Juifs sont des porcs et des singes qui de toute façon vont être exterminés un jour ou l'autre, condition sine qua non de l'arrivée du Jugement dernier selon la Sunna.

Plantu adopte aussi le discours des conquerants en parlant de trêve. Rappelons ce propos d'Alexandre del Valle : "Le but de la théocratie d'Allah est de s'étendre à la totalité du monde. Il faut convertir l'Autre ou l'asservir à ses lois....On doit obligatoirement lui faire la guerre ou le soumettre. La notion de paix (salam) est exclue et ne peut-être concevable qu'au terme d'une conversion ou d'une soumission à l'islam.
Toutefois, le Coran prévoit une exception à cette règle : la "demeure de l'islam" peut contracter une trêve avec la "demeure de la guerre" (territoire non soumis à l'islam, ndlr) si la conjoncture politique l'impose et si cette trêve permet aux Musulmans de prêcher leur doctrine en territoire infidèle sans exiger en contrepartie le même droit de prédication non-musulmane à l'intérieur de la "demeure de l'islam". La trêve, ou conciliation, n'est concevable que si elle est destinée à assurer, à terme, la suprématie totale de l'islam."

Pour mémoire, à l'occasion de la victoire du Hamas aux élections législatives palestiniennes, et devant les pressions internationales qui s'exerçaient, on a commencé à entendre des dirigeants de ce mouvement terroriste parler de "longue trêve possible avec Israël".

Toujours pour mémoire, avant de s'appeler les "Emirats Arabes Unis" le pays s'est un temps appelé "Pays de la Trêve".

Le Droit musulman fixe la durée de la Trêve à 10 ans - renouvelable.

www.france-echos.com

19/03/2007

PCF: l'islam est une "race", et l'islamophobie un crime!

medium_pif.gif"Tout comme l’antisémitisme, l’islamophobie doit être considérée non comme une opinion mais comme un crime et punie comme telle". Cette énormité qui, par (fausse) analogie, confond ethnie et conception du monde, peut être lu dans un document communiste intitulé "Le PCF et la laïcité" une analyse présentée par Pierre Saly à la commission islam et laïcité du PCF dont voici un autre extrait : " les communistes combattent toute forme de législation qui contraindrait au dévoilement les femmes porteuses du « voile islamique », présentées comme exemple visible de refus de la laïcité française".




Ce retour en arrière du PCF, sa compromission qu'il ose appeler "lutter contre le communautarisme"(sic!), est de la plus haute dangerosité tant elle met en cause des dizaines d'années de luttes féminines, et de luttes générales pour l'émancipation de la liberté.

Voilà le danger néocommuniste qui pourrait fort bien avoir l'aval d'une Ségolène Royale pour le second tour, mais qui a aussi ses adeptes à l'UMP...: que sous le couvert de laïcité réaménagée soit mis sur le même pied d'égalité des pratiques qui stigmatisent les femmes en les sommant de se couvrir entièrement afin de les dissocier du regard collectif forgé par le vivre-ensemble de la république française, vivre-ensemble qui s'est construit dans les sillons de son sol et non pas en combinant des principes qui vont à son encontre.

Les communistes continuent donc leur travail de sape visant à détruire celui-ci dans son fond secret articulant puissance individuelle et puissance du groupe, persuadés de pouvoir se servir de l'immigration comme masse de manoeuvre, au même titre, mais en sens inverse, que le FN puisque celui-ci s'en sert de repoussoir alors que le PC s'en veut le fer de lance ; pas étonnant dans ce cas que Aounit ait décidé de défendre les couleurs communistes aux prochaines législatives si précisément le PCF opère ce tournant réactionnaire visant à détruire des siècles d'émancipation en avalisant des pratiques qui, auparavant, auraient été triées à l'aune de l'Universel et qui aujourd'hui sont validées sous le seul prétexte de se réclamer d'un discours religieux sans plus aucun esprit critique ; comme si, par une sorte d'extension de cette pensée momifiante qui préfère la muséification à l'affinement, au fait de créer de nouvelles traditions au lieu de les préserver toutes, il soit considéré comme pertes et profits tout ce que l'on reprochait précisément à l'Eglise catholique lorsqu'elle se prétendait seule détentrice de l'Universel et donc imposait sa façon de voir le corps et les relations entre les sexes.

Maintenant, par un retournement cynique et calculateur, l'on oublie, et l'on esquive que le fond libérateur de l'universel ne doit pas être confondu avec les formes qui prétendent l'exprimer en ce qu'il suffirait qu'elles s'en réclament pour les accepter telles que. Or, l'islam est critiquable en tant que tel et point seulement l'islamisme, comme ce fut le cas pour la pratique sociale du catholicisme que le protestantisme critiqua en son temps... Le PCF dans cas, aurait-il traité le protestantisme de catholicophobe (et vice versa) ? Il est évident que d'autres enjeux entrent en ligne de compte, en particulier le fait de mutiler l'image de la femme en l'obligeant non seulement à se vêtir mais aussi à manger de façon séparée des hommes, de prier, etc...

Ce n'est pas parce que les femmes, comme les hommes, sont dévêtus dans la publicité, qu'il faille y opposer l'inverse en les rhabillant complètement. La critique de la vulgarité permet d'éviter de sombrer dans les extrêmes, que choisit le PCF pourtant alors que sa manière de préserver ainsi des pratiques critiquables ne fait au fond que repeindre le vieil universalisme uniformisant, ne cherchant guère à émanciper les peuplades non occidentales, préférant plutôt les laisser dans leurs uses et coutumes afin de pouvoir vivre en paix.

C'est ce que proposent les communistes (et certains PS, UDF, et UMP),  identifiant une idéologie totalitaire autoproclamée religion à une ethnie, sommant tout non occidental à revenir à ses origines, à ne pas les quitter, à s'en offusquer même en stigmatisant ceux qui n'aiment pas le manioc ou préfèrent Sarkozy (alors que lui-même n'est pas très clair sur tous ces sujets), parce qu'ils ne correspondent pas à leur vision du monde de plus en plus obscurantiste, refusant au fond la révolution démocratique qui sait faire la différence entre le nécessaire et le périmé.

Nous sommes devant un grave danger, alors que nombre de ce gens qui ne sont pas de souche aimeraient qu'on les laisse prendre racine, parmi toutes les autres, en s'en distinguant, mais sans s'en séparer. Les communistes et leurs compères socialo-UMP font l'inverse, ils séparent et refusent la distinction par le matraquage idéologique et fiscal, avides qu'ils sont d'en finir une fois pour toutes avec une certaine idée de la France. Et les Français, comme tous les peuples du monde, répondent comme ils peuvent : en votant avec leurs pieds (ils s'enfuient) ou en tentant, naïvement, mais avec passion, de ralentir le ploiement en votant contre. Ce qui reste insuffisant...

www.resiliencetv.fr

15/03/2007

Cet islam dit "modéré"

medium_charlie_20Hebo.jpgLe procès des caricatures est à bien des égards un révélateur montrant que sur l’essentiel, les principaux acteurs de l’islam en France convergent vers une même voie : celle qui demain, espèrent-ils, mènera la France à faire sienne une nouvelle identité islamique, affirmée et protégée.

Depuis des années, les médias s’évertuent tant bien que mal à opérer des distinctions artificielles entre «des» islams. D’un côté, l’islam intégriste wahhabite et salafiste, respectivement incarnés par l’Arabie Saoudite et les Frères musulmans. De l’autre «l’islam modéré», «du juste milieu», incarné par le Maghreb et donc Dalil Boubakeur. Postulat permettant de ne pas jeter le bébé islamiste avec l’eau du bain de l’islam qui, nous dit-on, peut parfaitement s’intégrer à la civilisation française.

Or, voici que Dalil Boubakeur, a porté plainte au pénal contre Charlie Hebdo avec la Ligue islamique mondiale, organisation wahhabite, et l’UOIF, branche française des Frères musulmans, en mai 2006. Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) est coincé. Coincé entre la volonté d’afficher un islam «ouvert et tolérant», pour le rendre comestible à l’opinion publique française, et l’obligation de prendre en considération la volonté de la oumma afin de légitimer sa représentativité. Boubakeur a tranché, mais la participation du parangon de «l’islam modéré» à ce procès d’un autre âge, relooké par l’idéologie anti-raciste, n’étonnera que les imbéciles. Le 26 mars 2005, Dalil Boubakeur rendait visite aux dirigeants l’UOIF lors de leur congrès annuel, «une amitié d’une décennie» déclara-t-il à un journaliste de oumma.com. Au journaliste, il s’expliquait sur les anicroches qu’il avait pu avoir dans le passé avec l’UOIF qui surgit renforcée en 2003 après les premières élections du CFCM. Le partage du gâteau de la représentation de l’islam avait passablement irrité le monopole tranquille de l’institutionnel Recteur. Cependant, solidarité islamique oblige, Boubakeur se garderait bien de ranger dans la case «islamiste» l’UOIF afin de s’en démarquer. La volonté d’excommunier une organisation vouant un culte au Hamas, et ayant pour guide théologique Yussuf al-Qaradawi, favorable à l’extermination physique des homosexuels et des apostats, aurait pourtant été de bon ton pour un «modéré». Non, Boubakeur, lors de la même interview, confie que «nos objectifs sont tous convergents (avec l’UOIF ndlr), seules nos méthodes peuvent différer». Au moins, c’est clair.

Dans un livre indispensable, «Quand le Maroc sera islamiste» (La découverte), Nicolas Beau et Catherine Graciet ont parfaitement exposé la vacuité des espérances de ceux qui diagnostiquent une réforme libérale de l’islam contemporain. Au Maghreb autant qu’ailleurs, les mouvements politiques islamiques conservateurs n’ont jamais été aussi puissants. Les modernes qui, par exemple, relativiseraient la pertinence de la peine bien établie du délit de blasphème, sont des traîtres roulant pour l’Occident.

Pour Boubakeur, la Ligue islamique et l’UOIF, c’est très simple, Charlie Hebdo, en osant faire un lien entre la violence, Mahomet et les islamistes, a fait preuve de «racisme». Montrer un personnage accueillant les «martyrs» au paradis en leur demandant de rebrousser chemin car le lieu est à court de vierges, est "un véritable délit d'expression de la haine raciale" pour Boubakeur, comme si l’idéologie politico-religieuse de l’islam était une race ! Ne craignant pas le ridicule, cette accusation délirante ne convaincra pas le quidam qui voit quotidiennement à la télévision des islamistes, personnifiés par le Hamas, le Djihad islamique ou les Talibans, justifiant leurs méfaits par une référence constante au Prophète.

Mohammed Sifaoui, courageux journaliste d’investigation, a simplement apporté son témoignage en faveur de l’hebdomadaire en exposant le drapeau de l’Arabie saoudite où se déroule la chahada soulignée d’un sabre. De même, il présente le blason des Frères musulmans, soit deux sabres entrecroisés. Il rappelle à juste titre que les premiers à avoir associé islam et violence sont les musulmans radicaux, et non les journaux occidentaux. Abdel Wahab Meddeb, fin connaisseur de l’islam, témoigne également en affirmant avoir ri en visionnant la caricature de Charlie Hebdo. Ces deux hommes seraient-ils donc racistes pour les représentants du Conseil français du culte musulman, Etat dans l’Etat à dissoudre d’urgence ?

La mise sur pied du CFCM est, maintenant c’est indéniable, une faute de Nicolas Sarkozy, dépassé par sa créature à laquelle il s’oppose publiquement en soutenant Charlie Hebdo. Islam «de» France ? Non, un islam conquérant «EN» France, qui a de plus l’indécence de déplorer la politisation du procès des caricatures, alors que l’islam est justement une idéologie qui politise la religion. Pour finir et éviter toute confusion, Mohamed Sifaoui, s’il se dit musulman, a gardé de l’islam «civilisationnel» le vernis culturel et non la foi militante enracinée. Considéré comme apostat, il vit sous la menace des radicaux. Meddeb, lui, le concède ouvertement, n’est pas un croyant. Ce procès aura au moins comme mérite de montrer le parfait décalage entre ces partisans –très occidentalisés- d’un «islam des lumières», mythe n’existant que dans leur esprit, flattant les désirs trop optimistes de l’Occident, et les organisations musulmanes représentatives.



Joachim Véliocas pour LibertyVox.
Auteur de "L'islamisation de la France" aux éditions Godefroy de Bouillon