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01/11/2007

Massacreurs d'innocents au nom du Pédophile

Vous pouvez les admirer en cliquant ici: http://www.elpais.com/graficos/espana/Sentencia/atentados...

25/10/2007

La libanisation de la France n'est pas pour demain mais pour aujourd'hui

Les dealers s'y intimident à la Kalachnikov. Une balle a traversé une école primaire remplie d'enfants et la population a peur.

IRIS, perce-neige, nénuphars... À Sevran (Seine-Saint-Denis), d'inoffensives fleurs ont donné leur nom aux rues de la cité basse. Mais c'est bien le cannabis qui étend ici son emprise sur le terreau de la violence.
Le 18 octobre, une demi-heure avant la sortie des classes, une balle a traversé une salle de cours de l'école François-Villon. Par miracle, aucun enfant n'a été touché. Au pied de ces tours que les habitants qualifient eux-mêmes de « cages à poulet », les riverains ont la conviction que ce tir est l'oeuvre de l'un des jeunes trafiquants qui pourrissent leur quotidien. « Ces petits voyous n'ont peur ni de la justice, ni de la police, ni de leurs parents », s'indigne une mère de famille, pressée de rentrer chez elle. Les animatrices du centre social ne sont guère plus rassurées. Fanta désigne un trou rebouché sommairement dans le mur de la salle de boxe. « Vous voyez, dit-elle, c'est une autre balle. Ils ont même menacé notre directrice ! »
Depuis, la pauvre femme refuse de parler par peur des représailles. « Les enfants sont plus à plaindre, assure son adjointe. Certains se sont mis à ramper dans la classe après le coup de feu. Et il a fallu mettre en place une cellule psychologique à l'école ! »
C'est que la situation se dégrade à Sevran. Depuis l'été, deux personnes ont déjà été blessées par balle : une femme, fin juillet, ainsi qu'un jeune homme ce mois-ci, dont le genou a été perforé pour « dette ». Les dealers ont aussi arrosé à la Kalachnikov la façade d'un appartement. Une mère de famille a même été ligotée par de faux policiers venus s'emparer d'une livraison de stupéfiants. Ils s'étaient visiblement trompés d'adresse.
Le jeune maire communiste de la ville, Stéphane Gatignon, ne se voile pas la face : « Sevran est devenue la plaque tournante de l'Est parisien pour le cannabis, connu ici pour son rapport qualité-prix imbattable », se désole l'élu. « La géographie est idéale pour les trafiquants, à la confluence de la Seine-Saint-Denis, du Val-d'Oise et de la Seine-et-Marne. On vient même de l'Aisne pour s'approvisionner », renchérit un policier du secteur.
En février, la sûreté départementale du 93 a mis à l'ombre quelques caïds du quartier. « Depuis, constate le maire, d'autres bandes veulent profiter de l'aubaine pour leur prendre leur business. » Une opération de prédation en somme, qui amène les dealers des Beaudottes, le quartier voisin, sur les terres de leurs « ennemis héréditaires » pour leur contester par les armes les points de vente les plus juteux.
Sentiment d'abandon
« Avant de tirer, ils sont arrivés déguisés en femme », affirme l'un des « teneurs de murs » de la cité. Pour Saguy, un solide gaillard de 32 ans, présenté comme une sorte de juge de paix du quartier, « les 1 400 euros par mois de salaire d'un travailleur social, ici un revendeur de 20 ans peut se les faire à la minute ». Hamed, éducateur et prof de boxe anglaise, ne craint pas de le dire : « On nous demande de proposer des alternatives aux jeunes désoeuvrés, grâce au sport, à l'école de la troisième chance, à la mission locale. Mais derrière, l'administration ne suit pas et le ressentiment s'installe chez les jeunes. »
Sevran se sent abandonnée. La dernière visite ministérielle en remonte à plus de cinq ans, avec la mise en place du Contrat local de sécurité par Marylise Lebranchu. « De 121 policiers en 2001, le commissariat d'Aulnay, qui coiffe la commune, est passé à moins d'une centaine d'agents », proteste le maire. En une journée, Le Figaro n'a pas croisé une seule voiture de police sérigraphiée aux Beaudottes ou ailleurs en ville. Était-ce le hasard ?
« Je passe mon temps à calmer les pères de famille des enfants de l'école qui menacent de décrocher leur fusil », confie Saguy, inquiet. Pour la première fois depuis les émeutes de 2005, la population pacifique des quartiers commence à perdre ses nerfs. L'exaspération est palpable à chaque coin de rue.SOURCE:www.figaro.fr

20/10/2007

Les "infideles" payent et ils n'ont pas droit de regard

La Cour des comptes n'en finit pas d'ausculter l’IMA, l'Institut du monde arabe. Pendant toute la matinée de ce vendredi 19 octobre, l'organisme de contrôle de l'Etat a ainsi auditionné dans ses locaux de la rue Cambon le secrétaire général du Quai d'Orsay, Philippe Faure, futur ambassadeur au Japon.

Explication: financé à 60% par le Ministère des affaires étrangères et à 40% par les 22 pays de la Ligue arabe, l’Institut du monde arabe est en déficit depuis de nombreuses années. Au point qu’en privé, la Cour des comptes dénonce de plus en plus sa gestion financière "hasardeuse", voire "calamiteuse".

Un contrôle effectué l’année dernière ayant révélé la disparition de pièces de musée et d'œuvres des stocks, la Cour souhaite désormais que le Ministère des Affaires étrangères s'implique beaucoup plus dans le fonctionnement de cette institution présidée aujourd’hui par Dominique Baudis.

Elle préconise que le Quai d’Orsay obtienne un fauteuil au conseil d'administration, ce qui n'est curieusement pas le cas.
 


© Capital.fr
www.capital.fr

Pour plus d'information sur les taxes de la honte payés par les dhimmis: http://fr.wikipedia.org/wiki/Jizya

15/10/2007

Jackpot pour les intégristes musulmans et leurs complices

6a6cf46f216a62163d0f7582a98bcbf2.jpgFanny Truchelut a été condamnée, en France, à de la prison avec sursis, au motif de « discrimination religieuse », parce qu’elle n’a pas accepté que, dans les parties communes de son gîte rural, des femmes portent le voile islamique.

Une de ses clientes qui considère que la soumission à son dieu l’oblige à cacher ses cheveux a déposé plainte. La plainte a été reçue et le tribunal, en première instance, a condamné Fanny Truchelut à 4 mois de prison avec sursis, 1000 euros d’amende, 3500 euros pour la femme qui a refusé d’enlever son stigmate d’appartenance religieuse ainsi que pour des membres de sa famille et 1300 euros à la Ligue des droits de l’homme, 1300 euros à la Licra et 1300 euros au Mrap qui se sont portées partie civile aux côtés de la femme soumise à son dieu et contre la femme qui dit non à toute soumission.

La voilée aurait le droit de porter un stigmate qui va la différencier. Se discriminant elle-même, elle a l’impudeur de se plaindre d’être discriminée.

Celle qui refuse ce stigmate, rougi par le sang des femmes musulmanes violées, fouettées, lapidées, étranglées parce qu’elles ont refusé de le porter, n’aurait pas le droit de s’exprimer ! Où est la réciprocité dans le droit des individus ?

On se voile ; si quelqu’un proteste contre ce symbole, on dépose plainte et on touche le jackpot.

C’est intéressant politiquement ; l’objectif des prédicateurs islamistes, faire appliquer la charia dans les pays européens, est atteint. Dénoncer cet attribut archaïque de la domination patriarcale théocratique est sanctionné par un tribunal. De première instance, donc pouvant être réformé en appel.

C’est intéressant financièrement, puisque des amendes, très lourdes par rapport aux revenus de la femme courageuse, permettent à la voilée d’arrondir grassement ses fins de mois.

Les associations de défense des droits de l’homme, confirmant là encore à quel point les droits des femmes leur sont étrangers, sans vergogne, s’associent à cette curée psychologique et à la manne financière. Face à une femme qui ose dire non aux obscurantistes, non seulement ils l’attaquent moralement, mais en plus ils ne se contentent pas de demander l’euro symbolique.

Leur objectif : eux qui cèdent à toutes les demandes dérogatoires au nom d’une tolérance non réciproque, espèrent effrayer les personnes qui refusent les tentatives de régression de l’islam politique. Si vous osez protester, cela vous coûtera moralement et financièrement.

On ne saurait tolérer n’importe quoi, au nom de traditions ou d’une distorsion dévergondée du droit. Ainsi, on a fini par interdire aussi bien le « bizutage » que le « lancer de nains ».

Face aux machocrates, hommes et femmes, qui veulent enfermer les femmes dans un voile obscurantiste, les féministes, femmes et hommes, doivent se réunir pour exiger des parlementaires l’interdiction pure et simple des humiliations envers les femmes, y compris au nom de la religion.

Michèle Vianès

présidente de Regards de Femmes

SOURCE: www.regardsdefemmes.com

Voiles, burqas, tchadors, tous symboles du même mepris!

f75f57c6ef65a4e55fed196637db883a.jpgIl est des lois promulguées par nos élus puis publiées au journal officiel et il est des lois sociales auxquelles nous nous conformons alors qu’elles n’ont jamais été édictées. Mais il y a aussi la vie au jour le jour qui nous impose ses lois ; insupportables bien des fois. Mais nous pouvons et nous devons y faire quelque chose : être attentifs aux humains, dire non, écrire, nous rebeller et, pourquoi pas, légiférer ensemble pour améliorer notre condition d’êtres sociaux mais pas grégaires ou soumis aux lois qui tombent tout estampillées du ciel.

Il y a deux ans déjà, en ma qualité d’intervenant musulman, j’ai été interpellé lors d’un colloque par des citoyens qui se désolaient de voir se multiplier des tchadors sur la place publique, en plein centre de Marseille. L’indignation et le désarroi d’un photographe était poignants : il ne supportait pas de devoir subir cette horreur noire là où Doisneau surprenait des baisers et la joie de vivre au coin de la rue. « La présence des tchadors, dans l’espace esthétique et social de France, m’insupporte » a-t-il expliqué à l’assistance.

En effet, le tchador est une réclusion ambulante, une exclusion criante et une humiliation flagrante, non seulement en Iran, en Afghanistan ou en Arabie, mais aussi ici et maintenant, parmi nous en France. Cette ségrégation à visage découvert, si je puis dire, teste notre indolence et nous met chaque jour à rude épreuve. Au rythme d’accoutumance de ces dernières années, nous pouvons nous réveiller un beau jour dans un paysage français dont la sensibilité aura été totalement chamboulée. Notre indifférence aux recluses entrera dans la normalité : nos enfants ne s’en étonneront plus et nos photographes auront avalé leur indignation, rangé leurs appareils et renoncé à fixer la laideur de notre quotidien sur leurs pellicules. Nous deviendrons, comme en Arabie ou en Afrique du Nord, totalement indolents à cette séparation des êtres et son atteinte à la dignité humaine.

Nous ne pouvons subir, en silence, la loi de ce regard malsain porté sur le corps de la femme mais aussi sur moi, l’homme, son partenaire dans la vie de tous les jours. C’est toujours dans l’espace public du vide juridique que les musulmanes et les musulmans archaïques testent les limites de notre tolérance et nos points faibles pour imposer le code de leur esthétique et leur regard malsain à toute la société. Je ne l’ai que trop supporté en Afrique du Nord ainsi qu’à la télévision. J’aimerais tant nous éviter cette humiliation au quotidien qu’on commence à nous infliger graduellement aussi ici, en France.

Voiles, burqas et tchadors, je vous hais ! Vous avez étouffé ma grand-mère et ma mère et vous voulez continuer à brimer nos filles et petites filles et à limiter leur liberté en France et en Europe. Je jure sur la tête de ma mère que je soulèverai ciel et terre, s’il le faut, pour vous renvoyer à votre Moyen-Age et à votre désert d’Arabie ; là où il n’y a âme qui vive !

En tant que citoyen révolté par la condition réservée par l’islam classique à ma douce moitié, à mon égale, la femme, je joins mon cri à celui des citoyens marseillais qui m’avaient interpellé et, à mon tour, j’interpelle tous mes concitoyens. C’est regrettable d’en arriver là, mais il me semble que nos députés n’éviteront pas quelques nuits blanches passées à édicter des lois contre ce fléau tout en noir.

Mohamed Pascal Hilout Initiateur du nouvel islam en France

SOURCE: http://nouvel-islam.org (repris sur www.ripostelaique.org)

COMMENTAIRE: quoi dire de plus que notre ami M.P. Hilout n'ait pas dit! Simplement, il faut aller jusqu'au bout du raisonnement et dire que l'OPPRESSION EN GENERAL ET CELLE DE LA FEMME EN PARTICULIER SONT INDISSOCIABLES DE L'ISLAM ORTHODOXE DU CORAN ET DES HADITS! Et l'on connait le sort des apostates depuis 1400 ans.....

09/10/2007

L' islam n'est pas la France, la France n'est pas l'islam!

Le flot continu d’immigration massive que la France connaît depuis un peu plus d’un demi siècle a implanté chez nous quelques religions, jusque là exotiques, plus particulièrement le bouddhisme, l’hindouisme, à côté de formes de christianisme issues du protestantisme africain ou caraïbe. Ces religions ne semblant pas avoir de répercussions sur la politique et ne revendiquant aucun statut particulier ne posent aucun problème. Qui a donc entendu parler d’un racisme «hindouismophobe», «bouddhismophobe» ou «évangélophobe» ? En l’absence de tels ressentiments de la part de la population d’accueil, ces néologismes, qui enlaidissent notre langue, n’ont pas lieu d’être inventés. Et pour cause, la France, quoi que nos détracteurs de la LDH, du MRAP et autres agents du gavage islamique de notre pays le prétendent, n’est pas raciste. Quand racisme il y a, toujours impuni, il n’est pas le fait des Français «de souche», dès lors toujours couvert par le MRAP, la LDH et tous leurs Tubiana de service qui font de l’anti-racisme très sélectif leur fonds de commerce. Dans la majorité des cas, le racisme se manifeste dans les milieux «indigènes de la République». L’islam mis à part, aucun des groupes religieux qui se sont développés en France n’est impliqué dans les guérillas urbaines récurrentes, dans les incendies de voitures et autobus, dans les agressions contre les pompiers, policiers ou enseignants qui rendent la vie infernale aux habitants de nos «banlieues» et quartiers «difficiles», aucune des revendication de signes ostensibles d’appartenance religieuse ne sont imputables à ceux qui se réclament de ces religions. On n’entendra donc pas notre président de la République s’ériger en défenseur de leurs droits particuliers ni promettre de les aider à «accéder à cette juste place que ces religions revendiquent». Et pour cause, elles ne se sont pas installées en France pour «revendiquer» ou «exiger» mais pour se conformer et s’adapter à nos codes, règles, valeurs et coutumes, et non pour nous imposer leur culture, us et coutumes, non pour subordonner nos règles générales à leurs règles particulières.

Alors, que Monsieur le Président me le permette ou pas, à l’instar d’un nombre croissant de nos compatriotes, j’exprime mon désaccord sur sa politique de discrimination «positive» en faveur de l’islam, alors que seule une minorité d’agitateurs, ne tirant leur «représentativité» qu’en fonction du nombre de mètres carrés de mosquées qu’ils mettent dans la balance, prétendent représenter, s’exprimer et agir au nom de tous ceux qui pratiquent plus ou moins, voire pas du tout cette religion ? Ces derniers sont probablement plus nombreux que l’on essaie de nous faire croire. Or ce sont eux qui sont sacrifiés par cette politique.

Mais là n’est pas le fond du problème. Le problème, c’est la Loi de 1905 stipulant que la République ne reconnaît et ne subventionne aucun culte. Aucun des cultes implantés chez nous ne peut donc «être la France». La République ne reconnaît et ne connaît en conséquence que des hommes et des femmes égaux en droit, citoyens ou résidents légaux étrangers venus non pas en tant qu’éléments impersonnels d’une communauté religieuse mais en tant qu’individus. En cette qualité, ils bénéficient et doivent bénéficier de toutes les libertés, y compris celle d’adhérer individuellement ou de ne pas adhérer à une association, parti politique, religion, club de pétanque, de nudiste ou autres, pour peu que ces associations agissent dans le respect de l’environnement, des lois, des valeurs, des codes et des coutumes qui ont cours dans le pays d’accueil. Mais l’État n’est aucunement concerné ou impliqué par ces options individuelles. Alors autant il est du devoir du gouvernement de protéger les droits des individus français ou résidents étrangers, autant notre président outrepasse son rôle (qu’il usurpe au ministre de l’intérieur qui est aussi celui des cultes), et se place même dans l’illégalité républicaine lorsqu’il s’engage à soutenir les revendications de telle ou telle religion, plus singulièrement l’islam, ce qui implique des subventions plus ou moins déguisées sur fonds publics, quelques concessions discrètes et des dérogations «positivement discriminatoires».

Cette religion a beau «avancer en France» comme Nicolas Sarkozy l’a affirmé avec délectation lors de sa «rupture du jeûne» à la mosquée de Paris, l’islam n’est pas la France. Il ne peut pas l’être, ne serait-ce que du simple fait qu’il s’inscrit non pas dans la nation française mais s’enracine dans une autre nation sans frontières qui transcende et prime sur la nation française : la oumma.

La géographie de l’islam se réduit en effet au dogme qui partage le monde entre le «domaine de l’islam» où la loi de cette religion s’impose sans partage voire, comme c’est le cas de l’Arabie, en interdisant et réprimant durement l’exercice même discret de toute autre religion (bonjour la mythique tolérance à laquelle nos «cireurs de pompes» de l’islam s’efforcent de nous faire croire !), et le «domaine de la guerre», c'est-à-dire le reste du monde, ce qui inclut la France. Là, l’islam se donne le droit et le devoir de conquête dès que le rapport de forces lui est favorable. D’ici là et fidèle à son image retouchée de «religion de paix, d’amour et de tolérance», l’islam nous offre une solution non pas de compromis permanent mais d’attente : soit nous acceptons de devenir un «territoire de pacte», autrement dit placé sous l’autorité et la «protection» des Musulmans, mais dont les biens sont temporairement laissés à leurs anciens propriétaires (merci Monsieur Mahomet !) contre paiement d’un impôt ad hoc bien entendu (les calomniateurs islamophobes désignent cela par le terme racket ), soit nous acceptons le statut de «territoire de trêve», c'est-à-dire un territoire pas encore conquis par les musulmans mais dont les habitants, vous et moi inclus, achètent une paix temporaire contre paiement d’un tribut *. On a comme l’impression que nous sommes déjà engagés dans ce processus.

Certes, nous ne pouvons qu’approuver notre Président lorsqu’il dénonce ceux «qui veulent la violence au nom de l’islam, la détestation de l’autre au nom de l’islam» mais alors, comme c’est le cas de Mein Kampf, il ne lui resterait plus qu’à interdire le coran, tant il fourmille d’appels à la haine, à la violence et aux meurtres ou à le faire réécrire dans une version plus «fréquentable». Monsieur le Président devrait se plonger dans la lecture attentive de ce bouquin pour constater, s’il parvient à en dégager la chronologie, que les propos d’abord lénifiants qu’il contient et qui datent d’avant l’hégire, tournent ensuite rapidement en invectives contre les Chrétiens, les Juifs et autres «insoumis», à l’incitation à la haine et au meurtre ou «au mieux» à la soumission des non croyants. De sorte que la lecture qu’en font les islamistes violents est au moins aussi conforme à l’islam, sinon plus, que celle des islamophiles qui y cherchent à tout prix, et finissent, à force de distorsions et de coupures, par y trouver des propos rassurants. Peut-on imaginer que les «intégristes» ou les «fondamentalistes», c'est-à-dire ceux qui restent fidèles au coran réputé intangible et parfait, soient des mauvais musulmans à l’opposé de ceux auxquels notre président accole un brevet de bons musulmans ? C’est une vue de l’esprit. C’est pourquoi nous ne partageons pas son euphorie lorsqu’il nous révèle, mais on s’en est déjà rendu compte pour bien moins cher que le taux horaire d’un président de la République, que l’islam progresse en France. Mais alors, qu’il nous cite donc un seul pays «pluriculturel» au monde où musulmans et non musulmans cohabitent sans heurts, sans violences, sans effusions de sang. La France a-t-elle vraiment besoin de courir ce risque alors que les faits sont plus têtus que les «vérités» assénées par le bagout présidentiel ? Alors permettre à l’islam «d’accéder à la juste place qu’il revendique» ? Il faudrait d’abord savoir si l’islam connaît une limite à ses revendications. N’oublions pas qu’après avoir établi son pouvoir sur la plus grande partie de l’espace arabique qu’il revendiquait, il a fallu moins d’un siècle après la mort de Mahomet pour que ses cavaliers fassent brouter leurs chevaux sur les berges de la Loire. Or, il est un devoir religieux de rétablir la souveraineté musulmane là où, à un moment donné de l’Histoire, l’islam exerçait sa souveraineté politique ou plus pacifiquement, édifiait ses mosquées. Tout cela appartient-il au passé ? Oui, si nous prêtons notre conception d’Occidentaux à l’islam. Or, la façon dont le coran est rédigé le confirme, l’islam ignore la chronologie. Le contenu du Coran et les propos prêtés au prophète des Arabes est la Vérité et la Loi permanente et ne seront donc jamais «caduques», mot que le fourbe Roland Dumas avait naguère soufflé dans la trompe d’eustache du calamiteux Yasser Arafat. On en viendrait à envier les Lapons et les Esquimaux pour le moment du moins. Alors quelle sera donc l’ampleur de la place revendiquée, et que notre président s’engage d’avance à satisfaire, pour que l’islam représenté par le CFCM daigne la considérer comme juste en attendant de nouvelles revendications ?

Monsieur le Président, je vous en prie, cessez de faire de l’islam pris en tant que religion une institution représentative de la France. Vous appartenez à la France, mais la France, ne l’oubliez surtout pas, ne vous appartient pas. Vous en êtes seulement comptable devant ceux qui vous ont élu, et aussi envers ceux qui ont voté contre vous. Vous devez la partager avec près de soixante millions de copropriétaires. Ne les trompez pas, ne les trahissez pas.

Les ordures

Liberté, égalité, fraternité, nous sommes tous égaux devant la loi ; paraît-il ; encore faut-il que nos magistrats se souviennent de l’adage que l’on trouve déjà dans la Bible et qui condamne l’usage de deux poids et deux mesures.

Ainsi en est-il de José Bové, «paysan» bidon, et de ses bobos vandales dont le postiche de «faucheurs volontaires» ne parvient pas à dissimuler le caractère délictueux, crapuleux et multirécidiviste de leur vandalisme imbécile. On a du mal à croire que la loi contre la récidive a été votée. Car force est de constater que notre justice s’est «dégonflée» et, ce faisant, elle s’est discréditée et déshonorée en ajournant sine die le procès des vandales sous le fallacieux prétexte qu’une nouvelle loi prohibant les cultures OGM pourrait être un jour votée. Naïvement je croyais qu’une loi n’ayant pas d’effet rétroactif, a fortiori lorsqu’elle n’existe même pas, c’est la loi en vigueur au moment des faits qui s’impose. La justice, et le peuple français au nom duquel elle se prononce, ne peuvent que se sentir humiliés et bafoués devant l’indécent spectacle donné sur la place publique de Toulouse par la «bande à Bové», celui-ci, comme il sied à toute ordure, se hissant sur une benne pour singer le procès avorté. Face à l’impéritie de la justice, on a envie de se porter «tondeur volontaire» pour couper la moustache bovésienne et tondre les connards hilares et les pétasses bourgeoises de sa bande.

Liberté, égalité, fraternité ; c’est cette devise qui est sans doute inscrite sur le fronton du palais de justice où une primo délinquante nommée Fanny Truchelut doit répondre du crime inexpiable de laïcité opposée à un islamisme fondamentaliste militant. Je crains qu’avec le la donné par un président de la République résolu à satisfaire d’avance les revendications de «l’islam c’est la France», le tribunal ne suive le réquisitoire du procureur général qui, dans sa grande mansuétude imprégnée d’islam, ne demande contre Fanny Truchelut que six mois de prison avec sursis (Merci M’sieur, vous êtes bien bon et bien docile) et 1500 euro, «seulement» de dommages et intérêts au bénéfice de la «victime» Horia Demiati, française, fille de «colonisé» éternel et militante islamiste qui se voit ainsi récompensée pour sa pieuse provoc. Quant à la «méchante», la «raciste» Fanny Truchelut, il lui en coûtera au moins 10 000 euros compte tenu des frais et honoraire des avocats du MRAP, de la LDH et, qui l’eut cru, de la Licra dont on attendait la défense de causes plus dignes et surtout pas en faisant cause commune avec des organisations peu recommandables. Lire à ce sujet l’excellent éditorial de Cyrano dans http://www.ripostelaique.com. J’ai déjà eu l’occasion de donner mon avis sur cette affaire dans un précédent bloc-notes, je n’y reviendrai donc pas.

Ce «procès honteux», qui en annonce d’autres, porte en lui tous les ingrédients de l’Inquisition, de la chasse aux sorcières, des procès de Moscou et des exécutions sommaires perpétrées par Trotski, rival malheureux de Staline, son complice d’un certain temps. Rien d’étonnant à en juger par les parties civiles. Le MRAP, par exemple, est avec la Corée du Nord le dernier vestige du stalinisme. Orphelin d’un totalitarisme, ce Mouvement a trouvé un nouveau refuge dans le totalitarisme islamiste dans lequel il n’est nullement dépaysé et qu’il défend donc bec et ongles, bénéficiant de subventions du gouvernement, sans parler de quelques probables bakchichs occultes. «Faut bien vivre» ! Quant à la LDH, cette Ligue naguère honorable et respectable est le parfait exemple de l’entrisme maoïste et trotskiste de l’équipe de Michel Tubiana. Il faut être comme lui fils à papa pour s’offrir le luxe de donner dans le trotskisme depuis son adolescence. Mais après tout, de quel droit interdirions nous à ce repu d’ânonner Liberté, Egalité, Fraternité, puis chanter l’Internationale à la fin d’un banquet pour se sentir dans la peau d’un damné de la terre et d’un forçat de la faim, puis, en bon humaniste président la Ligue des Droits de l’Homme (et comme ne dirait pas Lapalisse, la Femme n’est pas un Homme et n’a donc aucun droit), insulter grossièrement la présidente de la Ligue des Droits des Femmes qui témoignait en faveur de «l’accusée» ? Il en a sûrement le droit puisque le président du tribunal ne l’a pas rappelé à l’ordre. Pour ce trotskiste comme pour son compère coco Mouloud Aounit, l’islam, c’est la religion du prolétariat. Donc le monde arabo musulman est pur et sans tache raciste. Ils se sont déjà illustrés dans leur plainte contre Louis Chagnon, professeur d’histoire islamo incorrect. On les a vu naguère voler au secours de deux ados maghrébins virés du Lycée Montaigne (où ils étaient scolarisés par dérogation à la sacro-sainte carte scolaire) pour violences et injures antisémites.
Succès complet : les deux petits antisémites maghrébins furent réintégrés et leur victime juive invitée à aller se faire scolariser ailleurs. La prochaine fois, elle tâchera de se faire agresser par deux aryens blonds aux yeux bleus. On pourra alors compter sur Aounit et Tubiana pour les descendre en flammes.

Ces deux compères ne sont pas les seuls à sacrifier le droit des femmes lorsqu’il entre en contradiction avec leurs propres intérêts. Tenez, invitée par notre confrère Riposte Laïque à se joindre à son combat contre le voile islamique qui vaut tant de déboires à Fanny Truchelut, l’insubmersible Caroline Fourest fait savoir à notre confrère, et le confirme sur son site de Pro Choix, que pour lutter contre le voile imposé aux musulmanes (qu’il faut néanmoins tolérer hors de l’école), elle ne peut faire cause commune avec l’extrême droite. On peut se demander qui est dans «l’extrême droite». La Caroline me fait penser aux premières élections législatives après la Libération, en 1945 je crois ; l’Humanité publiait les résultats et les scores de chacun des partis en lice. Parmi ces derniers figuraient les «hitlériens». Après avoir bien cherché, je découvrais que cette appellation désignait les trotskistes. Je vois de quelle branche descend cette boutiquière.


Le grignotage

Donc, avec l’aide d’une très importante banque française, la Turquie de moins en moins laïque, avec un président et un Premier Ministre islamistes «modérés», s’est offerte un morceau de Science Po. Elle pourra ainsi influencer nos prochaines «zélites» gouvernementales en sa faveur. Gageons qu’elle invitera des profs arméniens à enseigner le génocide que la Turquie s’obstine à nier. Gageons aussi que nos étudiants pourront comprendre comment ce pays, candidat à l’adhésion à l’UE, peut concilier cette candidature avec l’occupation de la moitié du territoire d’un pays membre de l’UE et comment la concilier aussi avec le véritable blocus qu’elle exerce contre la petite république d’Arménie, pays avec lequel l’UE entretien des relations normales.


© André Dufour pour LibertyVox

SOURCE:   http://www.libertyvox.com/article.php?id=273

08/10/2007

France: toujours moins de liberté et d'égalité!

Au sujet de la "criminalisation" islamiste du refus laîque de la banalisation de la soumission sexuelle féminine, volontaire ou non:

LIRE: http://www.ripostelaique.com/

21/09/2007

Reconnaître l'arbre...à ses fruits!

Deux documents annoncent une radicalisation des actions d’al-Qaida au Maghreb, au Darfour, et au Pakistan.

Les interventions médiatiques d’al-Qaida se succèdent actuellement à un rythme effréné. Les deux dernières indiquent une radicalisation des actions de la nébuleuse terroriste à travers le monde.
Ayman al-Zawahiri, le numéro 2 d’al-Qaida, apparaît dans une nouvelle vidéo intitulée « La puissance de la vérité ». Sur plus de 1h20, cette vidéo publiée sur plusieurs sites que lefigaro.fr a pu visionner, mêle des images d’archives d’Oussama Ben Laden et d’autres figures d’al-Qaida, des reprises d’interventions médiatiques d’occidentaux, et, plus inattendu, un extrait sonore attribué à Malcolm X, le leader du mouvement noir musulman « Nation of Islam ». Le tout est entrecoupé de déclarations d’al-Zawahiri. Il y appelle notamment les djihadistes à « débarrasser le Maghreb des fils de Français et d'Espagnols » . Un appel à la branche locale al-Qaida au Maghreb, ex-GSPC, à viser les intérêts européens.
Guerre déclarée à Musharraf
Zawahiri, qui s’exprime devant une bibliothèque et une mitraillette, invite également les musulmans à aller combattre les Occidentaux présent ou à venir au Darfour. Il estime que la guerre y a été déclenchée par les « Croisés » dans le but de pouvoir y envoyer par la suite des soldats (espèce de salaud de connard! NDR). Il condamne également le président soudanais el-Béchir, accusé d’avoir fait preuve de faiblesse, notamment face au Conseil de sécurité de l’Onu. Il promet enfin la guerre au président pakistanais Pervez Musharraf, coupable selon Zawahiri d’avoir fait donné l’assaut à la Mosquée Rouge (Allah akbar! NDR).SOURCE: www.figaro.fr

18/09/2007

Debat sur les origines de l'islam

Texte très intéressant à lire:

origines_islam.pdf

SOURCE: http://voxdei2.free.fr/docs/origines_islam.pdf

COMMENTAIRE: il convient néanmoins de rappeler que l'existence réélle de Mahomet, l'épileptique analphabète, est loin d'être une certitude.

A ce propos lire aussi: http://www.bernard-raquin.fr/spiritualite/superstitions-c...

13/09/2007

Le mois de la coercition a debuté

Le mois du jeûne s'ouvre demain matin en France. Les musulmans non pratiquants sont souvent amenés à observer les prescriptions contre leur gré.

LES DEUX filles étaient en train de prendre un verre dans un bar de la Seine-Saint-Denis. En plein mois du ramadan. « Le frère de l'une d'elles est entré et leur a enjoint sans mesure de vider les lieux », raconte, un an plus tard, un élu local du département qui, « du fait de (ses) responsabilités », préfère conserver l'anonymat. « Énervé du ton employé par le frère, un consommateur s'est interposé et la bagarre a commencé. » Pour l'élu, d'origine marocaine, ce type d'incident reste « isolé » mais est caractéristique des dérives d'une pratique religieuse « devenue massive » à l'occasion du ramadan.
Selon un sondage CSA-La Vie de 2006, si 49 % des musulmans interrogés ne vont jamais à la mosquée, 88 % des sondés respectent cependant les prescriptions du mois "saint" (mon cul NDR) en matière de jeûne, de prières ou d'exercice de la charité. Ils étaient 60 % à déclarer jeûner en 1989 et 70 % en 2001.
L'élu de Seine-Saint-Denis se sent particulièrement concerné, lui qui s'apprête à jeûner pendant un mois sans pour autant être croyant. Il affirme simplement vouloir « être sur la même tonalité que les autres » mais reconnaît que « la culpabilité est parfois vive pour ceux qui ne suivent pas le ramadan dans un environnement musulman ».
C'est le cas de Saïd, 35 ans, qui redoute d'annoncer à sa mère - chez laquelle il vit en banlieue parisienne - son intention de ne pas suivre le ramadan cette année. « Je viens de prendre un nouveau boulot et je ne peux pas prendre le moindre risque de fatigue ou de stress. Mais je crains sa réaction et celle de mon entourage. » Saïd sait qu'il va devoir feindre le jeûne devant les voisins.
De plus en plus formalistes
La pression est valable pour les jeunes générations, « mais aussi pour les seniors qui veulent montrer l'exemple », note Sonia Imloul, présidente de l'association Respect 93. Selon elle, la pratique religieuse attire les familles qui ne savent pas comment sortir leurs enfants de la délinquance. « Lors du ramadan, elles sont donc particulièrement sensibles aux discours des religieux, dont les enfants ne traînent pas dans les rues ou dans les commissariats. » Au risque, par ignorance, de suivre des prescriptions de plus en plus formalistes.
Sur Internet, les forums de discussion regorgent ainsi de questions du type : « Est-il possible de se laver les dents au risque de boire de l'eau ? » Et, sur le site de la Grande Mosquée de Lyon, on apprend même que le vomissement involontaire est toléré « à condition qu'une fois (les aliments) arrivés à la bouche, de n'en rien retourner à l'estomac » (sic,sic,sic!).
Face à cette situation, l'intellectuel musulman Ghaleb Bencheikh tire la sonnette d'alarme. « Jusque dans les cours de récréation on ressent cet engouement croissant pour le jeûne et l'opprobre dont sont victimes ceux qui ne suivent pas les préceptes. Des zélateurs de bazar en profitent et donnent dans la crétinisation des esprits. » L'occasion pour lui d'appeler « au réveil des cadres musulmans responsables ». Sinon, prévient-il, « ceux qui cherchent à restaurer lors du ramadan une identité culturelle ou religieuse prétendument blessée resteront à la merci des imams ignares ».

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