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30/05/2006

Racisme islamo-noir

RACISME. Trente solides gaillards d'origine africaine ont débarqué dimanche rue des Rosiers, en criant des menaces antisémites. Affirmant chercher des membres du Betar et de la Ligue de défense juive, deux groupuscules juifs, ils ont crié haut et fort vouloir les «karchériser», selon plusieurs témoignages. L'incident, qui a semé la panique, a duré un quart d'heure. Aucun coup n'a toutefois été échangé. Après cette opération d'intimidation, interrompue par l'arrivée de six voitures de police, dix-neuf personnes ont été contrôlées. Aucune interpellation n'a eu lieu.
 
Une enquête de police a été ouverte après le dépôt d'une plainte du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme (BNCVA). Selon son président, Sammy Ghozlan, cette manifestation était organisée par la Tribu Ka, un groupe de «suprémacistes» noirs qui entend, derrière son chef Kemi Seba, «remettre le véritable peuple élu, Kémite, à la tête de l'humanité».
 
Le 19 mai, les militants de la Tribu Ka s'étaient déjà rendus dans une salle du IXe arrondissement où est enseigné un sport de combat pratiqué par l'armée israélienne, le krav maga, en haranguant : «Y a-t-il des Juifs ? Y a-t-il un Cohen ?» Une scène qu'ils ont eux-mêmes filmée comme ils l'ont fait à nouveau rue des Rosiers, dimanche.
 
 
www.lefigaro.fr
 
 

29/05/2006

L'islamophobie est un droit

Dans les miasmes putrides de l'agonie d'une fin de règne, une stature providentielle prend son essor en France. Les maux qui accablent le pays sont graves et nombreux. Il faudra combattre plusieurs en même temps. Mais avant, compte tenu de l'état du malade, il est impératif de poser le bon diagnostic. Après le diagnostic, il faut établir la liste des priorités, pour déterminer l'ordre des soins.

N'importe qui peut citer en vrac, beaucoup des maladies qui affectent la France :
- le chômage chronique et important,
- la paupérisation inexorable des classes moyennes,
- l'effondrement imminent, du système de retraite,
- la déliquescence quasi-totale, de l'Education Nationale,
- l'insécurité de proximité, par opposition au sentiment d'insécurité vague et générale, etc.

Ces menaces génériques, chaque habitant du pays peut les percevoir. Or, l'ensemble des habitants de France, contient le sous-ensemble des Français. Le sous-ensemble des Français perçoit lui, d'autres menaces. Et parmi ces menaces, l'une d'entre elles, multiplie considérablement, toutes les menaces génériques citées plus haut. Notez bien que, la menace en question n'en est pas la cause, mais un facteur aggravant. Par contre, cette menace engendre elle-même, ses propres maux. Il s'agit d'une part, de la perte d'identité française et républicaine, liée d'autre part, à l'instauration de néo-archaïsmes, racistes et totalitaires. Cette menace bien réelle, c'est l'islamisation accélérée du pays.

Beaucoup d'intellectuels lucides et courageux, dont quelques musulmans de naissance, mais peu de Français, expliquent en quoi l'islam littéral actuel est une idéologie dangereuse, comme le furent le nazisme et le communisme. « L'islam littéral », c'est l'islam, tel qu'il est écrit dans ses textes fondateurs. Ces textes fondateurs sont considérés comme sacrés et incritiquables. Pendant longtemps, beaucoup de musulmans ne les appliquèrent pas avec toute la rigueur préconisée. Mais depuis quelques décennies, pour des raisons diverses, des centaines de millions de musulmans remettent en pratique, les préconisations belliqueuses, racistes et xénophobes, toujours en vigueur dans leur gnose.

Les propagandistes prosélytes musulmans utilisent la « taqiya », pour abuser leurs interlocuteurs naïfs, ignorants, ou plus ou moins consentants. La « taqiya », c'est le droit de mentir à des non-musulmans, pour les entraîner à se convertir ou à défaut, à se soumettre. La taqiya est d'abord utilisée pour nier grossièrement l'évidence. Ainsi les nombreux appels aux meurtres d'infidèles, contenus dans les textes sacrés musulmans, sont tout simplement niés par les propagandistes prosélytes. Idem, pour les faits historiques ayant concourus à l'émergence de l'islam primitif. Aujourd'hui, les « taqiyistes » prétendent que la jihad, n'est que l'effort que doit faire sur lui-même, l'individu, pour parfaire sa spiritualité. Pour les taqiyistes, ce ne serait pas cette guerre sainte de conquête du monde, pourtant déjà entreprise par toutes les sectes nazislamistes de la planète. Depuis quelques dizaines d'années, cette guerre de conquête est coupable de la mort de plus d'un million de personnes, assassinées par des jihadistes un peu partout dans le monde. Plus de cinq mille Juifs, et des centaines de milliers de musulmans non fanatiques, en font partie. Ce nombre d'un million risque même d'être largement dépassé, quand on connaîtra mieux l'ampleur des massacres de chrétiens, commis par les jihadistes au Soudan, dans l'indifférence coupable du monde entier. Il sera aggravé par le recensement des victimes « infidèles », dans l'ex Yougoslavie.

Donc, le grave problème qui se pose aujourd'hui en France, c'est qu'une classe politicarde, en dessous de tout, et une propagande officielle, aussi zélée qu'abjecte, portent aux nues cet islam belliqueux. Il est non seulement encensé, mais en plus, il est facilité. Les lois républicaines sur la laïcité sont « aménagées » pour s'adapter à la chariah islamiste. Les élus du pays rivalisent, c'est à qui construira la plus vaste mosquée dans sa circonscription. Les gangs nazislamistes sont considérés comme de respectables partenaires politiques. Etc., etc. A la base, il y a une profonde perversion du sens des mots.

Ca commence avec la définition du racisme. Le racisme, c'est la négation de l'autre, pour ce qu'il est, en tant qu'individu. Le racisme devient dangereux quand cette négation de l'autre, entraîne la mort de l'autre. Ne pas aimer, voire détester platoniquement les autres, c'est certes peu civil, mais guère dangereux. Dans un pays de droit, il n'existe pas, en principe, de délit d'intention. Bien sûr, en France il existe, à juste titre, des lois réprimant l'apologie de la haine, du racisme, de l'antisémitisme, et de tas d'autres choses, comme la misogynie, l'homophobie, etc. Mais curieusement, ces lois, non seulement ne sont pas appliquées, mais en plus, elles sont détournées, dès que c'est l'islam, qui est coupable de tous ces délits énumérés. Des juges contorsionnent lois et jurisprudences, pour se comporter en bons dhimmis de l'islam.

Aujourd'hui en France, alors que l'antisémitisme le plus grossier, est plébiscité dans la propagande officielle, et ouvertement toléré par les tribunaux, l'islamophobie est déjà considérée comme un délit, voire comme un crime punissable. Or, les islamophobes ne sont pas racistes. Les islamophobes ne souhaitent pas la mort des musulmans, parce qu'ils sont musulmans. Comme le nom l'indique, les islamophobes sont contre l'islam en tant que doctrine nuisible. Au contraire, le monde entier a été témoin de l'extrême intransigeance, et de l'intolérance totale des musulmans, y compris en France, à propos de ces insignifiantes caricatures, de l'assassin antijuif pédophile qui leur sert de modèle. Parmi des milliers d'exemples, nous avons les photos des menaces de morts, proférées par les nazislamistes, lors des manifestations tolérées, par les collabos du Londonistan. Les islamophobes ne tuent pas des musulmans parce qu'ils sont musulmans. Au contraire, plus d'un million de personnes ont été assassinées au nom de l'islam, durant ces deux dernières décennies. Et les assassins sont plus que jamais, décidés à continuer, et à augmenter le nombre de victimes. Ils le clament partout, y compris à la tribune de l'ONU. Pourtant, en France, les politicards font semblant de ne rien voir, et de ne rien entendre.

Dans ce marigot puant, pendant près de cinquante ans, un homme a quasiment tenu seul, le rôle d'épouvantail raciste. Cet homme avait, et a toujours, la réputation d'être un xénophobe, et un antijuif. Notez bien que durant ce demi-siècle, il n'a jamais été qualifié d'islamophobe. Car, si l'on prétend qu'il n'aime pas les Arabes, il semble qu'il n'ait pas la même aversion contre l'islam, en tant qu'idéologie. Cependant, durant près de cinquante ans, il a mis en garde ses concitoyens contre l'invasion « douce » de la France, par des immigrants non européens, inassimilables, et presque toujours musulmans. Pour cette raison, beaucoup de Français devinrent ses électeurs. Le mal ne cessant de s'aggraver, et, toujours seul à le dénoncer, il connut une semi gloire en avril 2002, quand il atteignit le deuxième tour de l'élection présidentielle. Mais voilà, le mal empirant, cet homme n'est plus seul. Il est concurrencé par un homme qui n'a pas sa réputation, ni de raciste, ni d'antijuif. Mieux, ce rival lui, ne s'en prend pas aux individus musulmans, mais à l'islam, la doctrine perverse qui les corrompt.

C'en est trop pour les étrons, qui constituent la propagande officielle française.

Ils ont inventé une nouvelle définition. Désormais, « raciste d'extrême-droite », l'insulte suprême de la langue francaoui, est exclusivement réservée aux islamophobes, à condition qu'il ne soient pas antijuifs.

Du coup, les dégueulis de la propagande se concentrent sur ce rival, qui a la témérité de s'attaquer à la cause du mal. Bizarrement, depuis quelques semaines, la propagande unanime ne parle plus de « lepénisation » des esprits, mais de « villiérisation » des esprits. Il ne se passe pas de jour, sans qu'une de ces déjections ne pollue, ce qui fut autrefois les médias. Mais le vice est poussé encore plus loin. A deux reprises, pour des raisons qui ne seront pas expliquées ici, l'ex-épouvantail raciste a fait allégeance à l'islam. La première fois, lors de la ridicule affaire des caricatures, ce n'est encore pas trop méchant. Mais la deuxième fois, c'est beaucoup plus grave, puisque la nucléarisation des nazislamistes d'Iran, est considérée comme une chose sans importance, voire naturelle. Du coup, l'ex-épouvantail raciste devient un allié objectif. On commence à le ménager. Et pour ce faire, on tape sur le concurrent honni présumé.

C'est dans ce contexte qu'apparaît ce curieux « renversement de tendance », qui verrait les sympathisants de Philippe de VILLIERS rejoindre en nombre, les rangs du Front National, jugé « moins raciste » (par la propagande) que le MPF. Un FN, révélé au plus haut dans les sondages, en tête de toutes les formations politiques françaises. Il est clair que Philippe de VILLIERS serait plus hostile à l'islamisation de la France, que n'importe quel autre candidat à la présidentielle. Que ça plaise ou non, les Juifs de France se rallient à sa candidature. Et c'est vrai, quelques antijuifs « à l'ancienne » quittent dégoûtés, le MPF. Tant mieux.

Toutefois, gardons à l'esprit l'expérience de 1995. L'ami de trente ans caracolait en tête des sondages, deux mois encore avant le scrutin. Et puis, malheureusement, nous connaissons la suite… Sauf qu'en 2007, nous dirons, heureusement !

Charles DALGER, le 28 mai 2006


www.france-echos.com

28/05/2006

Fidarsi del carnefice

di  Magdi Allam

«Pace in cambio dei territori». La formula su cui si è basata la diplomazia internazionale per risolvere il conflitto arabo-israeliano, a partire dalla risoluzione 242 dell'Onu del 1967, oggi si rivela del tutto deleteria e velleitaria. Perché coincidendo la pace con il riconoscimento del diritto di Israele all'esistenza, di fatto si è accreditato il principio della relatività del diritto alla vita altrui, sottintendendo che esso non è né assoluto né definitivo. E perché si è immaginato che la Realpolitik avrebbe fatto prevalere il pragmatismo sul massimalismo di quanti, per fanatismo religioso o nazionalista, credono che Israele debba essere annientato.

Dopo una settimana di full immersion in Israele, sono arrivato al convincimento che l'errore più grave della sua storia sia stato l'aver acconsentito e il continuare a permettere che il suo diritto all'esistenza venga messo all'asta. Promuovendo una sorta di suk dei disvalori, dove i dittatori arabi mercanteggiano sul diritto alla vita altrui chiedendo e, talvolta ottenendo, una contropartita di natura economica, politica e militare. Finendo per incassare, nel migliore dei casi, un riconoscimento formale e de facto, dettato dall'opportunismo politico, che si traduce in una pace fredda, fragile e reversibile. Ben lontano dal riconoscimento sostanziale e strategico, basato sulla condivisione della legittimità storica, etica e politica della presenza dello Stato ebraico. Tanto è vero che le forze religiose, politiche e terroristiche pregiudizialmente ostili a Israele si sono consolidate dopo il ritiro israeliano dai territori occupati in Egitto, Giordania, Libano e Gaza. Perché l'oggetto vero del contendere non sono i territori arabi occupati in guerre preventive e reattive, ma il territorio israeliano, il diritto stesso di Israele a esistere.

Ebbene, sono rimasto sgomento nel constatare che a tutt'oggi c'è una parte della società israeliana che apparentemente si rifiuta di guardare in faccia la realtà, che si illude di dovere e di potere pervenire a un accordo con il proprio carnefice. Basta considerare i titoli del quotidiano Haaretz, diffuso in lingua inglese come inserto dell'Herald Tribune. Il 23 maggio scorso sulla prima pagina dell'Herald, in alto, si legge questo richiamo dal messaggio categorico: «Haniyeh a Haaretz: La pace all'interno dei confini del 1967». Si tratta di un'intervista esclusiva al primo ministro palestinese, dirigente di Hamas. Il titolo di apertura del quotidiano israeliano conferma quella che sembrerebbe essere una svolta storica: «Haniyeh dice a Haaretz: il ritiro ai confini del 1967 porterà alla pace». Ma già nel sommario a fianco di una foto del premier sorridente e poi nel testo dell'intervista, Haniyeh dice tutt'altro: «Se Israele si ritira ai confini del 1967, la pace prevarrà e noi ci atterremo a un cessate il fuoco ( hudna) per molti anni».

Come è possibile che Haniyeh proponga un «cessate il fuoco» e Haaretz lo traduca nei suoi titoli come "pace"? Possibile che non sappiano che Hamas e persino Bin Laden offrono ai loro nemici la hudna, rifacendosi al precedente della tregua di Hudaibiya stipulata da Maometto con i nemici meccani nel febbraio del 628 quando era in una posizione di inferiorità, violandola nel gennaio del 630, una volta consolidate le proprie forze, con l'occupazione della Mecca? Ecco perché, calandoci nel contesto islamico estremista, la hudna è esattamente la negazione della pace, è l'altra faccia della medaglia della guerra ad oltranza, conferma l'ostilità preconcetta nei confronti del diritto all' esistenza di Israele. Mi domando ancora: come mai Haaretz non ha fatto mezza domanda a Haniyeh sul suo rifiuto di riconoscere Israele, sulla sua legittimazione del terrorismo suicida che massacra gli israeliani, sulla sua violazione dei trattati internazionali sottoscritti dall'Autorità nazionale e dal Parlamento palestinese?

Eppure non pochi israeliani, quando ho espresso loro il mio convincimento che Hamas non riconoscerà mai Israele perché lo considererebbe un sacrilegio e una negazione della loro fede islamica, hanno reagito con rassegnazione: «Sono stati liberamente eletti. Con chi altri potremmo trattare?». Ebbene la mia risposta netta è stata: oggi più che mai, in un mondo in cui il terrorismo islamico ha violato e oltraggiato il valore della vita di tutti, non si può e non si deve trattare sul diritto all'esistenza di Israele. Hamas non può e non deve essere legittimato come partner negoziale dal momento che disconosce il diritto alla vita del suo interlocutore. Aveva ragione Yitzhak Shamir quando sostenne il principio «Pace in cambio della pace». Perché si può trattare sui termini della pace, non sul principio della pace. Aveva ragione Yitzhah Rabin quando a Oslo nel 1993 vincolò ogni cessione territoriale al radicamento della cultura della vita tra i palestinesi. Scontrandosi con il doppiogiochismo di Arafat, fino a quando nel 2000 si tolse la maschera preferendo la guerra alla pace. Perché Arafat al pari di Hamas, anche se in modo più subdolo, per pace intendeva la tregua armata. E oggi, dopo il ritiro unilaterale da Gaza e il probabile prossimo ritiro unilaterale dalla Cisgiordania, Israele conferma che il problema di fondo non sono i territori occupati, bensì il suo diritto ad esistere. Eppure troppi nel mondo, perfino in Israele, sembrano ignorarlo.

 

www.corriere.it

26/05/2006

La Serbia vittima della diagonale verde

La Serbia vittima della « diagonale verde »

 

Che cos’è la “diagonale verde”? Si tratta di un progetto geostrategico americano che ha visto la luce all’inizio degli anni 90.

Questo progetto, sostenuto dalla Germania e dalla Turchia aveva per obiettivo la creazione di una diagonale verde cioè l’ottenimento da parte delle popolazioni musulmane dei Balcani dell’indipendenza o di una larga autonomia al fine di disegnare un continuum geopolitico musulmano che parta dalla Tracia orientale turca sino alla Bosnia, passando dalla Tracia occidentale greca, dalla Bulgaria, dalla Macedonia (dove vivono importanti comunità musulmane),sino al sud del Montenegro, e beninteso il Kosovo.

Tutto questo passava attraverso la disgregazione della Yugoslavia.

Ognuno degli attori del progetto vi trovava il proprio conto.

 

-         Per gli americani la disgregazione della Yugoslavia aveva per obiettivo di ridurre l’influenza della Russia post-comunista  ed aumentare la penetrazione della NATO

-         Per i tedeschi l’interesse era di distrurre quello stato yugoslavo creato nel 1918 in chiave anti-germanica e favorire l’indipendenza della Slovenia e della Croazia suoi alleati “naturali”

-         Per i turchi era l’occasione di rimettere sotto influenza una larga parte dell’ex impero ottomano. Per questo la Turchia non ha mai smesso di incoraggiare la secessione dei musulmani della Bosnia nel 92, del Kosovo nel 98, della Macedonia nel 2001 ed ora di quelli del Montenegro ( 20% di musulmani, tutti schierati per l’indipendenza nell’attesa di far fuori gli ortodossi fra qualche anno, come i loro compari del Kosovo)

 

Oggi gli americani ed i tedeschi avendo raggiunto il loro obiettivo, la diagonale verde non è piu’ per loro una priorità strategica. Oltretutto l'11 settembre ha fatto cadere la maschera dei nazislamici.

Restano i turchi che continuano ad operare per quest’asse neo-ottomano,  il che promette disordini a venire in Macedonia , in Bulgaria e probabilmente nell’est della Grecia.

GLI EUROPEI PAGHERANNO CARA LA DISGREGAZIONE DELLA YUGOSLAVIA E L’UMILIAZIONE DELLA SERBIA

 http://limes.hautetfort.com/archive/2006/05/23/la-serbie-...

Un Uomo coraggioso e giusto

Discorso di premiazione del Dan David


Sua Eccellenza il presidente di Israele e signora Katsav, l’ex Primo ministro d’Israele Ehud Barak, Egregi signore e signora Dan e Gabriella David, Illustre presidente dell’Università di Tel Aviv Itamar Rabinovich, cari amici

A nome dei prestigiosi scienziati, artisti e giornalisti premiati, voglio dirvi che noi ci sentiamo onorati e orgogliosi di essere stati scelti per questo importante e nobile premio internazionale Dan David. Leggendo le motivazioni del premio e riflettendo sulla realtà di Israele e degli israeliani, emerge con chiarezza che tutti noi siamo uniti dalla fede nel valore della sacralità della vita di tutti e dalla volontà di difendere il diritto alla vita e la libertà di tutti. Il messaggio forte di questo premio è che il valore della vita e il bene della libertà sono il fondamento della comune civiltà dell’uomo.


Cari amici, non vi nascondo la mia profonda emozione da cittadino italiano di origine egiziana, di fede musulmana e di mentalità laica, nel testimoniare qui in Israele la mia strenua difesa del diritto inequivocabile all’esistenza dello Stato di Israele. Per me, cari amici israeliani, cari amici ebrei, la vostra battaglia per il diritto di Israele all’esistenza corrisponde alla mia battaglia per il diritto alla vita di tutti. Perché l’ideologia manichea, nichilista e negazionista che nega il diritto di Israele all’esistenza e alimenta il terrorismo contro gli ebrei, è la stessa ideologia del rifiuto dell’altro, dell’odio e della violenza che massacra cristiani e musulmani, occidentali e arabi ovunque nel mondo.
Il messaggio che vogliamo diffondere e consolidare nel mondo è che il valore della vita o vale per tutti o non vale per nessuno. Anche la storia recente del Medio Oriente ci insegna che si è cominciato dalla criminalizzazione degli ebrei, poi dei cristiani, poi dei musulmani laici condannati come apostati e traditori, fino a legittimare il massacro indiscriminato dei musulmani che non si sottomettono alla tirannia dei terroristi islamici. Teniamo presente che nel fenomeno del terrorismo islamico globalizzato i carnefici sono musulmani ma anche la gran parte delle vittime sono musulmani.
Ebbene proprio perché noi abbiamo a cuore il diritto alla vita di tutti, perché vogliamo la giustizia, la libertà, la sicurezza e la pace per israeliani e palestinesi, ebrei, cristiani, musulmani, occidentali e orientali, dobbiamo impegnarci insieme a sradicare la radice dell’odio che alimenta il terrorismo. Dobbiamo dire che il terrorismo non è mai giustificabile e non è mai legittimo, che il terrorismo è sempre di natura aggressiva e non reattiva. Dobbiamo dire che non si possono mettere sullo stesso piano il terrorismo che massacra perché rinnega il diritto alla vita degli altri, e le vittime del terrorismo che usano la forza delle armi per difendere il loro diritto alla vita. E’ tempo che la comunità internazionale consideri il terrorismo islamico globalizzato un crimine contro l’umanità. E’ tempo che le nazioni civili del mondo considerino un crimine contro l’umanità la negazione del diritto di Israele all’esistenza, l’istigazione a distruggere Israele, la condanna degli ebrei come miscredenti o nemici di Dio.

Magdi Allam

www.corriere.it

25/05/2006

L'appello all'invasione islamica é lanciato!

 

LAMPEDUSA (Ag) - Un nuovo decreto che potrà regolarizzare 484 mila persone immigrate in Italia è stato annunciato dal ministro della Solidarietà sociale, Paolo Ferrero, durante un incontro con i giornalisti che si è svolto a Lampedusa. «Non ci piace definirla sanatoria di immigrati», ha detto Ferrero, «ma si tratta di rendere visibile queste persone che già nei mesi scorsi avevano chiesto di essere regolamentate attraverso le domande inoltrate. Si tratta dunque di migranti che in Italia possono avere o hanno già un datore di lavoro e andrebbero regolarizzati». Il sottosegretario agli Interni, Marcella Lucidi, ha riferito che le domande inviate il 17 marzo per chiedere la regolarizzazione degli immigrati presenti sul territorio nazionale che avevano un posto di lavoro sono risultate 484.065. Il decreto flussi 2006 prevede l’ingresso di 170 mila lavoratori extracomunitari e 20 mila lavoratori stagionali.
 
RESTA CPA A LAMPEDUSA - Il centro di prima accoglienza (Cpa) di Lampedusa non sarà chiuso ma sarà realizzata una nuova struttura per una capienza maggiore (500 posti al posto degli attuali 190), ha spiegato Ferrero dopo aver ispezionato il Cpa dell'isola. «La legislazione vigente sull'immigrazione non ci piace e faremo in modo di modificarla». Il ministro ha sottolineato che le condizioni delle persone rinchiuse nei centri di accoglienza dovranno migliorare e saranno riviste molte regole. Dai dati forniti emerge che da gennaio a oggi sono sbarcati a Lampedusa 412 minorenni su un totale di 5.145 persone. Nel 2005 i migranti approdati sull'isola sono stati in totale 14.855.
LE REAZIONI - «Prodi faccia tacere il ministro Ferrero, se ne ha la forza e l'autorevolezza», sbotta l'ex ministro Calderoli. Per il leghista «gli annunci del neoministro non portano altro che a promuovere le partenze degli irregolari, a viaggi della speranza che spesso si concludono tragicamente nel canale di Sicilia, ed innescano un'invasione che porterà, inevitabilmente, ad una concorrenza sleale, e quindi alla disoccupazione, per i nostri concittadini e ad un'impossibilità di un'integrazione sociale, creando così presupposti per degli scontri». Critiche a Ferrero vengono mosse anche da Mantovano (An), ex sottosegretario dell'Interno. «Quanto hanno dichiarato oggi il ministro Ferrero e il sottosegretario Lucidi - spiega Mantovano - fa tornare l'Italia indietro di cinque anni, nega la stessa differenza fra immigrato regolare e irregolare, contrasta con le risoluzioni dell'UE, rischia in concreto di richiamare in Italia clandestini dall'intero bacino del Mediterraneo, e oltre».
24 maggio 2006

23/05/2006

Le Danemark sous la menace des nazislamiques

Danemark:  Flemming Rose se sent dans la peau d'un condamné en sursis comme les douze caricaturistes danois, mais il ne regrette pas son initiative.

QUATRE MOIS après la tempête soulevée dans le monde musulman par les douze caricatures de Mahomet publiées dans le Jyllands-Posten, le rédacteur culturel du quotidien danois est toujours un homme traqué. A l'instar des douze caricaturistes, menacés de mort et surveillés nuit et jour par la police, Flemming Rose se sent dans la peau d'un condamné en sursis. Pour se faire oublier et échapper aux pressions encore trop fortes qui pèsent sur lui et sa famille, il envisagerait de s'exiler, pour un temps, aux Etats-Unis.
Mis en congé par sa rédaction en février, Flemming Rose s'est rendu en Amérique pour participer à des débats sur cette affaire et écrire une série d'articles sur la société américaine. Même si l'affaire s'est apaisée, les menaces subsistent sur celui qui a invité, pendant l'été 2005, douze dessinateurs à faire des portraits du prophète, au nom de la liberté d'expression. Des amis qui craignent pour sa sécurité lui ont recommandé de s'exiler quelques mois outre-Atlantique. Mais le journaliste hésite encore. «Il ne s'agit pas uniquement de moi, mais de ma famille, de mon travail et d'un tas d'autres choses à régler.» Mercredi dernier, au terme des deux mois de silence imposé par sa direction, il n'a regretté qu'une chose : la situation difficile dans laquelle se trouvent les douze caricaturistes «obligés de se cacher», et qui connaissent «des difficultés pour travailler». «C'est ce qui me désole le plus», a-t-il confié à l'issue de la dernière série d'émissions sur cette crise, «Adam et Asmaa», diffusée par la chaîne nationale DR2 avec une présentatrice musulmane voilée, une première au Danemark, et un athée.
Dans la peur perpétuelle d'être abattu
Depuis plusieurs mois, les caricaturistes vivent dans la peur perpétuelle d'être abattus. «A chaque fois que l'on croit l'affaire terminée, de nouvelles menaces surgissent (récemment celles d'al-Qaida), et le sentiment d'angoisse vous reprend de nouveau», raconte l'un d'entre eux. «C'est dur psychologiquement. Il faut que cela cesse, que l'on retrouve une vie normale avec la famille, les amis, le travail, loin des projecteurs.»
Malgré tout, Flemming Rose ne regrette pas son initiative. «Ces dessins n'enfreignent pas l'article de loi sur le racisme ni celui sur le blasphème. Le procureur général du royaume l'a affirmé», en rejetant les plaintes d'associations musulmanes, rappelle-t-il. «Les musulmans (3% de la population) doivent être traités sur le même pied d'égalité que les autres groupes au Danemark», martèle-t-il. Ne pas les caricaturer reviendrait à «leur accorder un traitement particulier, à les marginaliser, comme s'ils ne faisaient pas partie intégrante de notre communauté.» «Les musulmans dans ce pays bénéficient de droits qui sont de loin beaucoup plus respectés dans la société danoise que dans les pays musulmans», ajoute-t-il.

17/05/2006

Israël-Cisgiordanie, en quelques mots

Ce n'est pas Israël qui a attaqué les pays arabes en 1967 ou 1973. Ce sont les pays arabes mais ils ont perdu. C'est depuis ce temps qu'Israël est en Cisjordanie. Et puis assez d'hypocrisie. Pourquoi les Palestiniens ne se sont jamais révoltés contre l'occupation egyptienne de la bande de Gaza avant la victoire israélienne de 1967. Peut-être bien parce que les Egyptiens sont musulmans. Cela prouve qu'il ne s'agit pas d'un conflit nationaliste mais religieux. Si demain Israël devenait majoritairement musulman le Hamas et Compagnie déposeraient les armes comme par magie même si la Cisjordanie devait rester sous domination israélienne. Ah, encore un détail. Il n'y a JAMAIS eu dans l'histoire un Etat portant le nom de PALESTINE. Ceci expliquant peut-être cela.

COMMENTAIRE: Bravo à Pierre pour avor resumé le conflit israëlo-arabe en quelques lignes

http://limes.hautetfort.com

 

L'alleanza verde-rosso-bruna colpisce ancora

Danneggiate le tombe di un cimitero ebraico
Ribaltati i cippi, ma nessun segno di profanazione. Non ci sono rivendicazioni. Moratti: «Frutto della campagna di odio»
 
 
Ad accorgersene sono stati gli addetti alla manutenzione. Circa 40 tombe sono state danneggiate durante la notte nel cimitero ebraico di via Jona, a Milano. Sul luogo e sulle tombe non sono state trovate scritte, né le tombe risultano profanate: sono stati ribaltati i cippi del settore 8, la zona più vicina alla strada, alle spalle del Cimitero Maggiore, nella periferia nord-ovest della città. Non ci sono al momento rivendicazioni di stampo antisemita.

REAZIONI - «Si tratta di un nuovo episodio della campagna di odio e di disprezzo antisemita che da mesi è in corso in Europa, in Italia e a Milano - ha dichiarato Letizia Moratti, candidato sindaco di Milano per la Cdl - Tutta la mia solidarietà va alla comunità ebraica milanese colpita nel profondo delle memorie più care, ma le deplorazioni non sono più sufficienti. Lo sdegno non basta più. È necessario l'isolamento culturale e politico di chi compie questi atti sacrileghi e la denuncia esplicita dell'area di consenso per queste violenze ancora molto, troppo vasta nella nostra città». Dura anche la reazione di Alfonso Arbib, rabbino della comunità ebraica di Milano: «È un episodio gravissimo. Per adesso preferisco non fare troppe dichiarazioni. Aspetto di capire meglio la vicenda, che è gravissima
Corriere della Sera
CITATION:
"Nous avons affaire à une sorte d’hitlérisme bien plus dangereux et violent que l’autre, plus intelligent aussi, parce qu’il se fonde moins sur un nationalisme que sur une religion"
Jean Paulhan, dans une lettre à Malraux

 

15/05/2006

Mazara del Vallo:esempio concreto di "integrazione" islamica

Mazara del Vallo - Arabo e francese, Corano e disciplina. Niente italiano e soprattutto niente aperture alla comunità locale. Anzi. Gli insegnanti della scuola tunisina di Mazara del Vallo sono stati cambiati di recente. Quelli di prima erano troppo integrati, qualcuno aveva anche una moglie siciliana, i nuovi professori, invece, non parlano neanche l´italiano. E così, naturalmente, anche i loro alunni. Bambini di origine tunisina, ma con documenti italiani, che a 11-12 anni, quando finiscono le sei classi del primo ciclo del loro paese, si iscrivono alla scuola media italiana senza sapere né scrivere né leggere la lingua del paese in cui vivono e nel quale, con tutta probabilità, costruiranno il loro futuro.

Ecco Khaled, 10 anni, nato a Mazara del Vallo. La lingua che parla, oltre la sua, è il dialetto mazarese. Di mattina sui banchi della scuola tunisina, di pomeriggio su quelli di uno dei tre centri della Caritas ad imparare l´italiano con i volontari della fondazione San Vito guidata da Vincenzo Bellomo. «Non ce la facciamo più, abbiamo 160 bambini e ragazzi da seguire. Questo non è più un lavoro da volontari, questa è diventata una scuola alternativa. Abbiamo chiesto alle autorità tunisine di introdurre lo studio dell´italiano nella scuola ma fanno orecchie da mercante, non capisco perché - dice don Francesco Fiorino, direttore della Caritas diocesana - . Alla fine la scuola tunisina è un ghetto, è la negazione dell´integrazione. E´ giusto che loro vogliano far studiare ai bambini la loro lingua e la loro cultura, ma non si può ignorare quella del paese in cui vivono».

La vecchia kasbah tunisina a Mazara non esiste più. I circa tremila immigrati vivono ormai "spalmati" nel centro storico. E se quest´anno la prima campanella della scuola islamica non è ancora suonata, di ragazzini nordafricani con lo zaino in spalla per strada se ne vedono tanti. Niente velo per le ragazzine, per carità, jeans a vita bassa e minigonna hanno conquistato anche loro. E picco di iscrizioni alla scuola italiana che, ormai da cinque anni, con risultati apprezzabili, ha aperto la strada all´istruzione mista: i bambini arabi studiano l´italiano e gli italiani studiano l´arabo.

Primo circolo didattico Daniele Ajello, istituto d´avanguardia in una bella costruzione mussoliniana nel cuore del centro storico di Mazara. Dall´atrio ai corridoi, ovunque cartelloni colorati bilingue. E decine di foto delle feste di fine anno, con bambini italiani e tunisini che si tengono per mano. Da dietro la porta di una terza elementare filtrano le note di una canzone: due strofe in italiano, due strofe in arabo. «E la sanno tutti, anche i bambini che non seguono i corsi di arabo», dice compiaciuta la direttrice Mariella Corte. Appeso al muro, nel suo ufficio, il disegno di Habel. «Me lo ha fatto l´anno scorso per la festa della mamma da lui vissuta con grande emotività per motivi personali: guardi che bello, tanti cuori rossi, alberi verdi e un bel cielo azzurro, segno di un grande legame con me e con tutta la scuola». Dalla stanza della direttrice è appena uscita una coppia di coniugi tunisini: «Sono venuti a ringraziarmi per come abbiamo accolto le loro bambine che si sono iscritte quest´anno. Sono qui da cinque giorni e si sono trovate così bene che il papà e la mamma hanno sentito il bisogno di manifestarci la loro gratitudine». Qui si studia l´italiano e l´arabo in grande armonia. «E mi creda, abbiamo finito il primo quinquennio sperimentale e i ragazzi tunisini sono usciti con la stessa preparazione dei nostri». Le tensioni della scuola islamica di Milano qui sono lontane mille miglia. «Per noi sarebbe come tornare indietro di 20 anni - dice Mariella Corte - abbiamo già vissuto l´esperienza della scuola tunisina e sappiamo i guasti che ha prodotto. Il futuro è nell´integrazione ma nelle scuole italiane».

E così, tutto sommato, la pensa anche Mohamed Zitoun, ex consigliere comunale "aggiunto" a Mazara. «Quello che noi chiediamo è di istituzionalizzare la lingua e la cultura araba nelle scuole italiane. Noi siamo una minoranza etnica da tutelare.(sic!) E come a Gorizia o nelle città di confine del nord si studia il tedesco, qui si dovrebbe studiare l´arabo in tutte le scuole».

http://www.alef-fvg.it/immigrazione/info/2005/sett/22set-...

 

COMMENTO PERSONALE: notare come solo gli  islamici esigano di fare come a casa loro pur stando a casa degli altri. Nessun'altra cultura (per quanto quella islamica si possa definire "cultura") ha tali pretese.

In altri tempi si invadevano nuove terre con la spada. Si vinceva, si perdeva, perlomeno le cose erano chiare.

Oggi si arriva,si posano le valigie, si reclama una casa, si dichiara la propria ostilità alla cultura del Paese di accoglienza, si reclamano tutti i diritti e si rifiutano i doveri correlati.

Si crea un ghetto culturale e territoriale chiuso e si cerca di modificare gli usi e costumi del Paese ospitante, pur rifiutando di adattare i propri, anzi meglio ci si dichiara "minoranza etnica da tutelare"! (Notare bene l'amalgama equivoca fra, lingua, cultura, etnia e...islam)

 La volontà segregazionista farà si che quando e dove la minoranza diventerà maggioranza, ci sarà secessione in nome del diritto.....all'autodeterminazione! (vedi Cipro, Kosovo, Cachemire,...)

I figli dei filippini, dei cinesi, dei polacchi, dei romeni, si chiamano Paolo, Gino e Lorenzo, i figli dei musulmani si chiamano Mohamed, Khaled, Yussef.....chissà perché?

L'islam é insolubile, l'islam rifiuta l'integrazione, l'islam rifiuta il pluralismo, l'islam invade, reprime, sottomette.