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15/10/2007

Voiles, burqas, tchadors, tous symboles du même mepris!

f75f57c6ef65a4e55fed196637db883a.jpgIl est des lois promulguées par nos élus puis publiées au journal officiel et il est des lois sociales auxquelles nous nous conformons alors qu’elles n’ont jamais été édictées. Mais il y a aussi la vie au jour le jour qui nous impose ses lois ; insupportables bien des fois. Mais nous pouvons et nous devons y faire quelque chose : être attentifs aux humains, dire non, écrire, nous rebeller et, pourquoi pas, légiférer ensemble pour améliorer notre condition d’êtres sociaux mais pas grégaires ou soumis aux lois qui tombent tout estampillées du ciel.

Il y a deux ans déjà, en ma qualité d’intervenant musulman, j’ai été interpellé lors d’un colloque par des citoyens qui se désolaient de voir se multiplier des tchadors sur la place publique, en plein centre de Marseille. L’indignation et le désarroi d’un photographe était poignants : il ne supportait pas de devoir subir cette horreur noire là où Doisneau surprenait des baisers et la joie de vivre au coin de la rue. « La présence des tchadors, dans l’espace esthétique et social de France, m’insupporte » a-t-il expliqué à l’assistance.

En effet, le tchador est une réclusion ambulante, une exclusion criante et une humiliation flagrante, non seulement en Iran, en Afghanistan ou en Arabie, mais aussi ici et maintenant, parmi nous en France. Cette ségrégation à visage découvert, si je puis dire, teste notre indolence et nous met chaque jour à rude épreuve. Au rythme d’accoutumance de ces dernières années, nous pouvons nous réveiller un beau jour dans un paysage français dont la sensibilité aura été totalement chamboulée. Notre indifférence aux recluses entrera dans la normalité : nos enfants ne s’en étonneront plus et nos photographes auront avalé leur indignation, rangé leurs appareils et renoncé à fixer la laideur de notre quotidien sur leurs pellicules. Nous deviendrons, comme en Arabie ou en Afrique du Nord, totalement indolents à cette séparation des êtres et son atteinte à la dignité humaine.

Nous ne pouvons subir, en silence, la loi de ce regard malsain porté sur le corps de la femme mais aussi sur moi, l’homme, son partenaire dans la vie de tous les jours. C’est toujours dans l’espace public du vide juridique que les musulmanes et les musulmans archaïques testent les limites de notre tolérance et nos points faibles pour imposer le code de leur esthétique et leur regard malsain à toute la société. Je ne l’ai que trop supporté en Afrique du Nord ainsi qu’à la télévision. J’aimerais tant nous éviter cette humiliation au quotidien qu’on commence à nous infliger graduellement aussi ici, en France.

Voiles, burqas et tchadors, je vous hais ! Vous avez étouffé ma grand-mère et ma mère et vous voulez continuer à brimer nos filles et petites filles et à limiter leur liberté en France et en Europe. Je jure sur la tête de ma mère que je soulèverai ciel et terre, s’il le faut, pour vous renvoyer à votre Moyen-Age et à votre désert d’Arabie ; là où il n’y a âme qui vive !

En tant que citoyen révolté par la condition réservée par l’islam classique à ma douce moitié, à mon égale, la femme, je joins mon cri à celui des citoyens marseillais qui m’avaient interpellé et, à mon tour, j’interpelle tous mes concitoyens. C’est regrettable d’en arriver là, mais il me semble que nos députés n’éviteront pas quelques nuits blanches passées à édicter des lois contre ce fléau tout en noir.

Mohamed Pascal Hilout Initiateur du nouvel islam en France

SOURCE: http://nouvel-islam.org (repris sur www.ripostelaique.org)

COMMENTAIRE: quoi dire de plus que notre ami M.P. Hilout n'ait pas dit! Simplement, il faut aller jusqu'au bout du raisonnement et dire que l'OPPRESSION EN GENERAL ET CELLE DE LA FEMME EN PARTICULIER SONT INDISSOCIABLES DE L'ISLAM ORTHODOXE DU CORAN ET DES HADITS! Et l'on connait le sort des apostates depuis 1400 ans.....

09/10/2007

L' islam n'est pas la France, la France n'est pas l'islam!

Le flot continu d’immigration massive que la France connaît depuis un peu plus d’un demi siècle a implanté chez nous quelques religions, jusque là exotiques, plus particulièrement le bouddhisme, l’hindouisme, à côté de formes de christianisme issues du protestantisme africain ou caraïbe. Ces religions ne semblant pas avoir de répercussions sur la politique et ne revendiquant aucun statut particulier ne posent aucun problème. Qui a donc entendu parler d’un racisme «hindouismophobe», «bouddhismophobe» ou «évangélophobe» ? En l’absence de tels ressentiments de la part de la population d’accueil, ces néologismes, qui enlaidissent notre langue, n’ont pas lieu d’être inventés. Et pour cause, la France, quoi que nos détracteurs de la LDH, du MRAP et autres agents du gavage islamique de notre pays le prétendent, n’est pas raciste. Quand racisme il y a, toujours impuni, il n’est pas le fait des Français «de souche», dès lors toujours couvert par le MRAP, la LDH et tous leurs Tubiana de service qui font de l’anti-racisme très sélectif leur fonds de commerce. Dans la majorité des cas, le racisme se manifeste dans les milieux «indigènes de la République». L’islam mis à part, aucun des groupes religieux qui se sont développés en France n’est impliqué dans les guérillas urbaines récurrentes, dans les incendies de voitures et autobus, dans les agressions contre les pompiers, policiers ou enseignants qui rendent la vie infernale aux habitants de nos «banlieues» et quartiers «difficiles», aucune des revendication de signes ostensibles d’appartenance religieuse ne sont imputables à ceux qui se réclament de ces religions. On n’entendra donc pas notre président de la République s’ériger en défenseur de leurs droits particuliers ni promettre de les aider à «accéder à cette juste place que ces religions revendiquent». Et pour cause, elles ne se sont pas installées en France pour «revendiquer» ou «exiger» mais pour se conformer et s’adapter à nos codes, règles, valeurs et coutumes, et non pour nous imposer leur culture, us et coutumes, non pour subordonner nos règles générales à leurs règles particulières.

Alors, que Monsieur le Président me le permette ou pas, à l’instar d’un nombre croissant de nos compatriotes, j’exprime mon désaccord sur sa politique de discrimination «positive» en faveur de l’islam, alors que seule une minorité d’agitateurs, ne tirant leur «représentativité» qu’en fonction du nombre de mètres carrés de mosquées qu’ils mettent dans la balance, prétendent représenter, s’exprimer et agir au nom de tous ceux qui pratiquent plus ou moins, voire pas du tout cette religion ? Ces derniers sont probablement plus nombreux que l’on essaie de nous faire croire. Or ce sont eux qui sont sacrifiés par cette politique.

Mais là n’est pas le fond du problème. Le problème, c’est la Loi de 1905 stipulant que la République ne reconnaît et ne subventionne aucun culte. Aucun des cultes implantés chez nous ne peut donc «être la France». La République ne reconnaît et ne connaît en conséquence que des hommes et des femmes égaux en droit, citoyens ou résidents légaux étrangers venus non pas en tant qu’éléments impersonnels d’une communauté religieuse mais en tant qu’individus. En cette qualité, ils bénéficient et doivent bénéficier de toutes les libertés, y compris celle d’adhérer individuellement ou de ne pas adhérer à une association, parti politique, religion, club de pétanque, de nudiste ou autres, pour peu que ces associations agissent dans le respect de l’environnement, des lois, des valeurs, des codes et des coutumes qui ont cours dans le pays d’accueil. Mais l’État n’est aucunement concerné ou impliqué par ces options individuelles. Alors autant il est du devoir du gouvernement de protéger les droits des individus français ou résidents étrangers, autant notre président outrepasse son rôle (qu’il usurpe au ministre de l’intérieur qui est aussi celui des cultes), et se place même dans l’illégalité républicaine lorsqu’il s’engage à soutenir les revendications de telle ou telle religion, plus singulièrement l’islam, ce qui implique des subventions plus ou moins déguisées sur fonds publics, quelques concessions discrètes et des dérogations «positivement discriminatoires».

Cette religion a beau «avancer en France» comme Nicolas Sarkozy l’a affirmé avec délectation lors de sa «rupture du jeûne» à la mosquée de Paris, l’islam n’est pas la France. Il ne peut pas l’être, ne serait-ce que du simple fait qu’il s’inscrit non pas dans la nation française mais s’enracine dans une autre nation sans frontières qui transcende et prime sur la nation française : la oumma.

La géographie de l’islam se réduit en effet au dogme qui partage le monde entre le «domaine de l’islam» où la loi de cette religion s’impose sans partage voire, comme c’est le cas de l’Arabie, en interdisant et réprimant durement l’exercice même discret de toute autre religion (bonjour la mythique tolérance à laquelle nos «cireurs de pompes» de l’islam s’efforcent de nous faire croire !), et le «domaine de la guerre», c'est-à-dire le reste du monde, ce qui inclut la France. Là, l’islam se donne le droit et le devoir de conquête dès que le rapport de forces lui est favorable. D’ici là et fidèle à son image retouchée de «religion de paix, d’amour et de tolérance», l’islam nous offre une solution non pas de compromis permanent mais d’attente : soit nous acceptons de devenir un «territoire de pacte», autrement dit placé sous l’autorité et la «protection» des Musulmans, mais dont les biens sont temporairement laissés à leurs anciens propriétaires (merci Monsieur Mahomet !) contre paiement d’un impôt ad hoc bien entendu (les calomniateurs islamophobes désignent cela par le terme racket ), soit nous acceptons le statut de «territoire de trêve», c'est-à-dire un territoire pas encore conquis par les musulmans mais dont les habitants, vous et moi inclus, achètent une paix temporaire contre paiement d’un tribut *. On a comme l’impression que nous sommes déjà engagés dans ce processus.

Certes, nous ne pouvons qu’approuver notre Président lorsqu’il dénonce ceux «qui veulent la violence au nom de l’islam, la détestation de l’autre au nom de l’islam» mais alors, comme c’est le cas de Mein Kampf, il ne lui resterait plus qu’à interdire le coran, tant il fourmille d’appels à la haine, à la violence et aux meurtres ou à le faire réécrire dans une version plus «fréquentable». Monsieur le Président devrait se plonger dans la lecture attentive de ce bouquin pour constater, s’il parvient à en dégager la chronologie, que les propos d’abord lénifiants qu’il contient et qui datent d’avant l’hégire, tournent ensuite rapidement en invectives contre les Chrétiens, les Juifs et autres «insoumis», à l’incitation à la haine et au meurtre ou «au mieux» à la soumission des non croyants. De sorte que la lecture qu’en font les islamistes violents est au moins aussi conforme à l’islam, sinon plus, que celle des islamophiles qui y cherchent à tout prix, et finissent, à force de distorsions et de coupures, par y trouver des propos rassurants. Peut-on imaginer que les «intégristes» ou les «fondamentalistes», c'est-à-dire ceux qui restent fidèles au coran réputé intangible et parfait, soient des mauvais musulmans à l’opposé de ceux auxquels notre président accole un brevet de bons musulmans ? C’est une vue de l’esprit. C’est pourquoi nous ne partageons pas son euphorie lorsqu’il nous révèle, mais on s’en est déjà rendu compte pour bien moins cher que le taux horaire d’un président de la République, que l’islam progresse en France. Mais alors, qu’il nous cite donc un seul pays «pluriculturel» au monde où musulmans et non musulmans cohabitent sans heurts, sans violences, sans effusions de sang. La France a-t-elle vraiment besoin de courir ce risque alors que les faits sont plus têtus que les «vérités» assénées par le bagout présidentiel ? Alors permettre à l’islam «d’accéder à la juste place qu’il revendique» ? Il faudrait d’abord savoir si l’islam connaît une limite à ses revendications. N’oublions pas qu’après avoir établi son pouvoir sur la plus grande partie de l’espace arabique qu’il revendiquait, il a fallu moins d’un siècle après la mort de Mahomet pour que ses cavaliers fassent brouter leurs chevaux sur les berges de la Loire. Or, il est un devoir religieux de rétablir la souveraineté musulmane là où, à un moment donné de l’Histoire, l’islam exerçait sa souveraineté politique ou plus pacifiquement, édifiait ses mosquées. Tout cela appartient-il au passé ? Oui, si nous prêtons notre conception d’Occidentaux à l’islam. Or, la façon dont le coran est rédigé le confirme, l’islam ignore la chronologie. Le contenu du Coran et les propos prêtés au prophète des Arabes est la Vérité et la Loi permanente et ne seront donc jamais «caduques», mot que le fourbe Roland Dumas avait naguère soufflé dans la trompe d’eustache du calamiteux Yasser Arafat. On en viendrait à envier les Lapons et les Esquimaux pour le moment du moins. Alors quelle sera donc l’ampleur de la place revendiquée, et que notre président s’engage d’avance à satisfaire, pour que l’islam représenté par le CFCM daigne la considérer comme juste en attendant de nouvelles revendications ?

Monsieur le Président, je vous en prie, cessez de faire de l’islam pris en tant que religion une institution représentative de la France. Vous appartenez à la France, mais la France, ne l’oubliez surtout pas, ne vous appartient pas. Vous en êtes seulement comptable devant ceux qui vous ont élu, et aussi envers ceux qui ont voté contre vous. Vous devez la partager avec près de soixante millions de copropriétaires. Ne les trompez pas, ne les trahissez pas.

Les ordures

Liberté, égalité, fraternité, nous sommes tous égaux devant la loi ; paraît-il ; encore faut-il que nos magistrats se souviennent de l’adage que l’on trouve déjà dans la Bible et qui condamne l’usage de deux poids et deux mesures.

Ainsi en est-il de José Bové, «paysan» bidon, et de ses bobos vandales dont le postiche de «faucheurs volontaires» ne parvient pas à dissimuler le caractère délictueux, crapuleux et multirécidiviste de leur vandalisme imbécile. On a du mal à croire que la loi contre la récidive a été votée. Car force est de constater que notre justice s’est «dégonflée» et, ce faisant, elle s’est discréditée et déshonorée en ajournant sine die le procès des vandales sous le fallacieux prétexte qu’une nouvelle loi prohibant les cultures OGM pourrait être un jour votée. Naïvement je croyais qu’une loi n’ayant pas d’effet rétroactif, a fortiori lorsqu’elle n’existe même pas, c’est la loi en vigueur au moment des faits qui s’impose. La justice, et le peuple français au nom duquel elle se prononce, ne peuvent que se sentir humiliés et bafoués devant l’indécent spectacle donné sur la place publique de Toulouse par la «bande à Bové», celui-ci, comme il sied à toute ordure, se hissant sur une benne pour singer le procès avorté. Face à l’impéritie de la justice, on a envie de se porter «tondeur volontaire» pour couper la moustache bovésienne et tondre les connards hilares et les pétasses bourgeoises de sa bande.

Liberté, égalité, fraternité ; c’est cette devise qui est sans doute inscrite sur le fronton du palais de justice où une primo délinquante nommée Fanny Truchelut doit répondre du crime inexpiable de laïcité opposée à un islamisme fondamentaliste militant. Je crains qu’avec le la donné par un président de la République résolu à satisfaire d’avance les revendications de «l’islam c’est la France», le tribunal ne suive le réquisitoire du procureur général qui, dans sa grande mansuétude imprégnée d’islam, ne demande contre Fanny Truchelut que six mois de prison avec sursis (Merci M’sieur, vous êtes bien bon et bien docile) et 1500 euro, «seulement» de dommages et intérêts au bénéfice de la «victime» Horia Demiati, française, fille de «colonisé» éternel et militante islamiste qui se voit ainsi récompensée pour sa pieuse provoc. Quant à la «méchante», la «raciste» Fanny Truchelut, il lui en coûtera au moins 10 000 euros compte tenu des frais et honoraire des avocats du MRAP, de la LDH et, qui l’eut cru, de la Licra dont on attendait la défense de causes plus dignes et surtout pas en faisant cause commune avec des organisations peu recommandables. Lire à ce sujet l’excellent éditorial de Cyrano dans http://www.ripostelaique.com. J’ai déjà eu l’occasion de donner mon avis sur cette affaire dans un précédent bloc-notes, je n’y reviendrai donc pas.

Ce «procès honteux», qui en annonce d’autres, porte en lui tous les ingrédients de l’Inquisition, de la chasse aux sorcières, des procès de Moscou et des exécutions sommaires perpétrées par Trotski, rival malheureux de Staline, son complice d’un certain temps. Rien d’étonnant à en juger par les parties civiles. Le MRAP, par exemple, est avec la Corée du Nord le dernier vestige du stalinisme. Orphelin d’un totalitarisme, ce Mouvement a trouvé un nouveau refuge dans le totalitarisme islamiste dans lequel il n’est nullement dépaysé et qu’il défend donc bec et ongles, bénéficiant de subventions du gouvernement, sans parler de quelques probables bakchichs occultes. «Faut bien vivre» ! Quant à la LDH, cette Ligue naguère honorable et respectable est le parfait exemple de l’entrisme maoïste et trotskiste de l’équipe de Michel Tubiana. Il faut être comme lui fils à papa pour s’offrir le luxe de donner dans le trotskisme depuis son adolescence. Mais après tout, de quel droit interdirions nous à ce repu d’ânonner Liberté, Egalité, Fraternité, puis chanter l’Internationale à la fin d’un banquet pour se sentir dans la peau d’un damné de la terre et d’un forçat de la faim, puis, en bon humaniste président la Ligue des Droits de l’Homme (et comme ne dirait pas Lapalisse, la Femme n’est pas un Homme et n’a donc aucun droit), insulter grossièrement la présidente de la Ligue des Droits des Femmes qui témoignait en faveur de «l’accusée» ? Il en a sûrement le droit puisque le président du tribunal ne l’a pas rappelé à l’ordre. Pour ce trotskiste comme pour son compère coco Mouloud Aounit, l’islam, c’est la religion du prolétariat. Donc le monde arabo musulman est pur et sans tache raciste. Ils se sont déjà illustrés dans leur plainte contre Louis Chagnon, professeur d’histoire islamo incorrect. On les a vu naguère voler au secours de deux ados maghrébins virés du Lycée Montaigne (où ils étaient scolarisés par dérogation à la sacro-sainte carte scolaire) pour violences et injures antisémites.
Succès complet : les deux petits antisémites maghrébins furent réintégrés et leur victime juive invitée à aller se faire scolariser ailleurs. La prochaine fois, elle tâchera de se faire agresser par deux aryens blonds aux yeux bleus. On pourra alors compter sur Aounit et Tubiana pour les descendre en flammes.

Ces deux compères ne sont pas les seuls à sacrifier le droit des femmes lorsqu’il entre en contradiction avec leurs propres intérêts. Tenez, invitée par notre confrère Riposte Laïque à se joindre à son combat contre le voile islamique qui vaut tant de déboires à Fanny Truchelut, l’insubmersible Caroline Fourest fait savoir à notre confrère, et le confirme sur son site de Pro Choix, que pour lutter contre le voile imposé aux musulmanes (qu’il faut néanmoins tolérer hors de l’école), elle ne peut faire cause commune avec l’extrême droite. On peut se demander qui est dans «l’extrême droite». La Caroline me fait penser aux premières élections législatives après la Libération, en 1945 je crois ; l’Humanité publiait les résultats et les scores de chacun des partis en lice. Parmi ces derniers figuraient les «hitlériens». Après avoir bien cherché, je découvrais que cette appellation désignait les trotskistes. Je vois de quelle branche descend cette boutiquière.


Le grignotage

Donc, avec l’aide d’une très importante banque française, la Turquie de moins en moins laïque, avec un président et un Premier Ministre islamistes «modérés», s’est offerte un morceau de Science Po. Elle pourra ainsi influencer nos prochaines «zélites» gouvernementales en sa faveur. Gageons qu’elle invitera des profs arméniens à enseigner le génocide que la Turquie s’obstine à nier. Gageons aussi que nos étudiants pourront comprendre comment ce pays, candidat à l’adhésion à l’UE, peut concilier cette candidature avec l’occupation de la moitié du territoire d’un pays membre de l’UE et comment la concilier aussi avec le véritable blocus qu’elle exerce contre la petite république d’Arménie, pays avec lequel l’UE entretien des relations normales.


© André Dufour pour LibertyVox

SOURCE:   http://www.libertyvox.com/article.php?id=273

08/10/2007

France: toujours moins de liberté et d'égalité!

Au sujet de la "criminalisation" islamiste du refus laîque de la banalisation de la soumission sexuelle féminine, volontaire ou non:

LIRE: http://www.ripostelaique.com/

25/09/2007

Banca islamica in Italia, sharia D.O.C.

Nel 2008 aprirà i battenti in Italia la prima banca islamica, un istituto di credito che rispetta le regole della Sharia. Ad annunciare il progetto di sbarco in Italia è Adnan Yousif, presidente dell'Unione delle banche arabe. L'Italia, dunque, dopo la Gran Bretagna, sarà il secondo Paese di espansione per le banche islamiche.

La notizia è stata annunciata nel corso della presentazione del memorandum siglato dall'Associazione bancaria italiana e dall'Unione delle banche arabe (Uab). L'accordo, siglato a Roma, nel corso della seconda giornata del forum internazionalizzazione 2007, dai presidenti dell'Abi Corrado Faissola e dell'Unione delle banche arabe Adnan Yousif, consentirà di rafforzare la collaborazione economica, politica e sociale tra l'Italia e i paesi arabi, oltre che favorire un'intensificazione dei rapporti finanziari attraverso una struttura permanente di dialogo e di cooperazione gestita dalle due associazioni bancarie.

«Questo accordo - spiega Faissola - rappresenta solo un punto di partenza: Abi e Uab si sono date un anno di tempo per organizzare e sistematizzare la collaborazione reciproca. Nelle nostre intenzioni, il passo successivo dovrebbe essere la creazione di una vera e propria federazione bancaria italo-araba che, in prospettiva, può rappresentare un modello da seguire anche per altri paesi dell'Unione Europea». Faissola evidenzia, poi, come «l'intesa rafforzerà la cooperazione economica, politica e sociale tra Italia e Paesi arabi e favorirà la nascita di partnership nel settore bancario, finanziario, delle attività pubbliche e delle imprese private».

Per Yousif, l'accordo «promuoverà e consoliderà ulteriormente il rapporto già esistente tra banche italiane e arabe». Il presidente dell'Uab, che rappresenta 320 banche arabe, annuncia, poi, come, nel 2008, potrebbe aprire la prima banca islamica in Italia, probabilmente con sede a Roma. Per Yousif, infatti, «il sistema bancario islamico è accettabile a livello internazionale: il mio gruppo ha già creato due banche islamiche a Londra, l'Italia è il secondo passo della nostra espansione». Il presidente dell'Uab ha poi aggiunto che «l'Italia possiede banche, normative e regolamenti adatti, quindi merita il business delle banche islamiche, tra l'altro ci sono già ingenti investimenti da parte delle istituzioni finanziarie islamiche in Italia».

Il vice ministro degli Affari esteri Ugo Intini (ex-lustrascarpe del famoso brigante Bettino Craxi NDR), presente alla firma dell'accordo, si è detto entusiasta dell'intesa raggiunta, spiegando come l'accordo va nella direzione di un partenariato speciale tra l'Europa e l'altra sponda del Mediterraneo, ovvero Nord Africa, Medio Oriente e paesi del Golfo. «Tutte le iniziative - sottolinea Intini - che aiutano il dialogo culturale sono importanti e l'economia ne raccoglierà i frutti».
L'intesa, oltre al rafforzamento dello scambio di informazioni, dati ed esperienze manageriali, prevede la costituzione di tavoli di lavoro che vedranno esperti del settore bancario italiano e dei diversi paesi arabi confrontarsi periodicamente per individuare soluzioni condivise alle eventuali criticità e opportunità di investimento e sviluppo da cogliere.

Claudio Tucci

 www.ilsole24ore.com

COMMENTO:

IL DENARO ,SI SA, NON HA ODORE.

DETTO QUESTO, I CIALTRONI CHE CI AMMINISTRANO (SI FA PER DIRE) SPALANCANO LE PORTE ALLA SHARIA, IN OGNI SUO ASPETTO, COMPRESO QUELLO FINANZIARIO.

LA PRESA PER IL CULO DELLE COSIDDETTE BANCHE ISLAMICHE, CONSISTE A FAR CREDERE CHE QUEST'ULTIME PRESTINO SOLDI SENZA INTERESSI. O PERLOMENO, SOLO AI FEDELI DEL PEDOFILO DEL DESERTO.

INUTILE DIRE CHE SI TRATTA DI UNA PRESA PER IL CULO. LA REALTA' E' CHE QUESTE PSEUDO-BANCHE CERCANO DI CAPTARE IL RISPARMIO DELL'HOMO ISLAMICUS E DI DIRIGERLO VERSO UN ISTITUTO FINANZIARIO DI TIPO COMUNITARIO. IN SECONDO LUOGO ESSE SERVONO DA INTERMEDIARIO PER LA PRESA DI POSSESSO DELLE NOSTRE CITTA' E DELLE NOSTRE IMPRESE DA PARTE DEI PARASSITI CHE SI ABBEVERANO ALLA SORGENTE DEL PETRODOLLARO

LA SHARIA E' INCOMPATIBILE CON IL NOSTRO CONCETTO DI CIVILTA' UMANISTICA MA GLI EURODHIMMI FANNO FINTA DI NON SAPERLO.

PER SAPERNE DI PIU' SU QUESTE PSEUDO-BANCHE ISLAMO-BUFFONICHE:

http://www.altalex.com/index.php?idstr=34&idnot=29373

21/09/2007

Reconnaître l'arbre...à ses fruits!

Deux documents annoncent une radicalisation des actions d’al-Qaida au Maghreb, au Darfour, et au Pakistan.

Les interventions médiatiques d’al-Qaida se succèdent actuellement à un rythme effréné. Les deux dernières indiquent une radicalisation des actions de la nébuleuse terroriste à travers le monde.
Ayman al-Zawahiri, le numéro 2 d’al-Qaida, apparaît dans une nouvelle vidéo intitulée « La puissance de la vérité ». Sur plus de 1h20, cette vidéo publiée sur plusieurs sites que lefigaro.fr a pu visionner, mêle des images d’archives d’Oussama Ben Laden et d’autres figures d’al-Qaida, des reprises d’interventions médiatiques d’occidentaux, et, plus inattendu, un extrait sonore attribué à Malcolm X, le leader du mouvement noir musulman « Nation of Islam ». Le tout est entrecoupé de déclarations d’al-Zawahiri. Il y appelle notamment les djihadistes à « débarrasser le Maghreb des fils de Français et d'Espagnols » . Un appel à la branche locale al-Qaida au Maghreb, ex-GSPC, à viser les intérêts européens.
Guerre déclarée à Musharraf
Zawahiri, qui s’exprime devant une bibliothèque et une mitraillette, invite également les musulmans à aller combattre les Occidentaux présent ou à venir au Darfour. Il estime que la guerre y a été déclenchée par les « Croisés » dans le but de pouvoir y envoyer par la suite des soldats (espèce de salaud de connard! NDR). Il condamne également le président soudanais el-Béchir, accusé d’avoir fait preuve de faiblesse, notamment face au Conseil de sécurité de l’Onu. Il promet enfin la guerre au président pakistanais Pervez Musharraf, coupable selon Zawahiri d’avoir fait donné l’assaut à la Mosquée Rouge (Allah akbar! NDR).SOURCE: www.figaro.fr

Falce e carrello

d1b1bf92ecae090fe9e7e398ef28c44d.gifBernardo Caprotti ha scritto un libro-j'accuse contro gli ostacoli posti al suo gruppo (Esselunga)  nelle regioni rosse. Seguirà esposto in precura
MILANO - Da tempo denuncia la sua difficoltà ad accedere al mercato della grande distribuzione in alcune regioni italiane, dove a suo dire vige un vero e proprio regime di sudditanza nei confronti delle Coop. La protesta di Bernardo Caprotti, 81enne fondatore di Esselunga, è diventata ora un libro dall'evocativo titolo di «Falce e carrello», edito da Marsilio. E scaturirà presto anche in una vera e propria azione penale: il patron della catena di supermercati più diffusa del nord Italia ha infatti annunciato di voler presentare in procura un esposto proprio per denunciare questa sorta di conventio ad excludendum che amministrazioni locali e operatori economici vicini alla sinistra starebbero attuando nei suoi confronti.
«MERCATO DISTORTO» - Già o scorso gennaio Caprotti aveva parlato della questione con il commissario della Ue alla concorrenza, Neelie Kroes: «Le ho raffigurato la situazione di cui sono stato vittima e testimone - ha raccontato Caprotti alla presentazione del libro -: una distorsione della Repubblica attraverso un vero e proprio controllo territoriale che ti impedisce di entrare in certe zone del Paese con vari sistemi: piani regolatori, decisioni delle sovrintendenze, velate minacce ai costruttori. Il controllo del territorio comporta una tendenza al monopolio: è questa che abbiamo denunciato all'Unione europea». E «Falce e carrello» è dedicato proprio «a ciò che ho dovuto subire per mani delle Coop».

www.corriere.it

COMMENTO: il catto-comunismo all'italiana scopre ed esalta le virtu' del capitalismo...in salsa egemonica. Lo chiameremo "liberal-bolscevismo"!

18/09/2007

Debat sur les origines de l'islam

Texte très intéressant à lire:

origines_islam.pdf

SOURCE: http://voxdei2.free.fr/docs/origines_islam.pdf

COMMENTAIRE: il convient néanmoins de rappeler que l'existence réélle de Mahomet, l'épileptique analphabète, est loin d'être une certitude.

A ce propos lire aussi: http://www.bernard-raquin.fr/spiritualite/superstitions-c...

Resistenza anti-moschea di Bologna

Fi: non si farà niente fino alle lezioni del 2009 «Per evitare la costruzione della moschea a Bologna si sono mobilitati in molti, soprattutto i cittadini e oggi sembra che ce l’abbiano fatta: il progetto moschea riparte da zero. Attenzione però, la tattica della sinistra è sempre la stessa: tornare indietro di un passo per farne altri cento in avanti. Che stia facendo proprio così Cofferati? Oggi fa tabula rasa del progetto, si prende un periodo di riflessione di un mese e mezzo, magari continua a riflettere fino alla fine dell’anno e poi ancor un annetto, così i bolognesi al momento del voto non si ricordano della moschea e lo votano di nuovo, il Cofferati». È l’ipotesi che lancia il presidente del gruppo assembleare di Forza Italia in Regione Emilia Romagna Giorgio Dragotto, commentando la decisione dell’amministrazione comunale di Bologna di revocare la delibera sulla nuova moschea. «Vinte di nuovo le lezioni del 2009 Cofferati che fa?» domanda Dragotto. «Potrebbe far costruire una gigantesca moschea a Bologna - azzarda l’esponente azzurro - dimenticandosi le proteste dei cittadini e sostenendo di essere assolutamente legittimato dal consenso popolare». Di qui l’invito ai bolognesi a «non cadere in questo tranello».

La Lega: non abbasseremo la guardia Il sindaco di Bologna fa marcia indietro sul progetto della nuova moschea «speriamo perchè ha capito l’errore e non per prendere tempo». È l’auspicio del presidente federale della lega, Angelo Alessandri. Cofferati «sappia che la Lega Nord sarà sempre vigile - assicura - e non permetterà, nè oggi nè mai, che progetti di questo tipo si realizzino. La difesa della nostra cultura e delle nostre città dall’invasione di chi ci vuole conquistare sarà sempre prioritario per noi e non abbasseremo di certo la guardia».

www.ilgiornale.it

13/09/2007

Le mois de la coercition a debuté

Le mois du jeûne s'ouvre demain matin en France. Les musulmans non pratiquants sont souvent amenés à observer les prescriptions contre leur gré.

LES DEUX filles étaient en train de prendre un verre dans un bar de la Seine-Saint-Denis. En plein mois du ramadan. « Le frère de l'une d'elles est entré et leur a enjoint sans mesure de vider les lieux », raconte, un an plus tard, un élu local du département qui, « du fait de (ses) responsabilités », préfère conserver l'anonymat. « Énervé du ton employé par le frère, un consommateur s'est interposé et la bagarre a commencé. » Pour l'élu, d'origine marocaine, ce type d'incident reste « isolé » mais est caractéristique des dérives d'une pratique religieuse « devenue massive » à l'occasion du ramadan.
Selon un sondage CSA-La Vie de 2006, si 49 % des musulmans interrogés ne vont jamais à la mosquée, 88 % des sondés respectent cependant les prescriptions du mois "saint" (mon cul NDR) en matière de jeûne, de prières ou d'exercice de la charité. Ils étaient 60 % à déclarer jeûner en 1989 et 70 % en 2001.
L'élu de Seine-Saint-Denis se sent particulièrement concerné, lui qui s'apprête à jeûner pendant un mois sans pour autant être croyant. Il affirme simplement vouloir « être sur la même tonalité que les autres » mais reconnaît que « la culpabilité est parfois vive pour ceux qui ne suivent pas le ramadan dans un environnement musulman ».
C'est le cas de Saïd, 35 ans, qui redoute d'annoncer à sa mère - chez laquelle il vit en banlieue parisienne - son intention de ne pas suivre le ramadan cette année. « Je viens de prendre un nouveau boulot et je ne peux pas prendre le moindre risque de fatigue ou de stress. Mais je crains sa réaction et celle de mon entourage. » Saïd sait qu'il va devoir feindre le jeûne devant les voisins.
De plus en plus formalistes
La pression est valable pour les jeunes générations, « mais aussi pour les seniors qui veulent montrer l'exemple », note Sonia Imloul, présidente de l'association Respect 93. Selon elle, la pratique religieuse attire les familles qui ne savent pas comment sortir leurs enfants de la délinquance. « Lors du ramadan, elles sont donc particulièrement sensibles aux discours des religieux, dont les enfants ne traînent pas dans les rues ou dans les commissariats. » Au risque, par ignorance, de suivre des prescriptions de plus en plus formalistes.
Sur Internet, les forums de discussion regorgent ainsi de questions du type : « Est-il possible de se laver les dents au risque de boire de l'eau ? » Et, sur le site de la Grande Mosquée de Lyon, on apprend même que le vomissement involontaire est toléré « à condition qu'une fois (les aliments) arrivés à la bouche, de n'en rien retourner à l'estomac » (sic,sic,sic!).
Face à cette situation, l'intellectuel musulman Ghaleb Bencheikh tire la sonnette d'alarme. « Jusque dans les cours de récréation on ressent cet engouement croissant pour le jeûne et l'opprobre dont sont victimes ceux qui ne suivent pas les préceptes. Des zélateurs de bazar en profitent et donnent dans la crétinisation des esprits. » L'occasion pour lui d'appeler « au réveil des cadres musulmans responsables ». Sinon, prévient-il, « ceux qui cherchent à restaurer lors du ramadan une identité culturelle ou religieuse prétendument blessée resteront à la merci des imams ignares ».

www.figaro.fr


12/09/2007

Segnali di resa

Nella nostra civilissima Europa si può, per fortuna, manifestare pro o contro tutto. Contro e per le Chiese, le leggi, i governanti. Si può scendere in piazza contro l'Europa, e spazi di manovra pubblica vengono concessi persino a gruppi di neonazisti e di pedofili. Ieri, però, nell'Unione Europea è stato ufficializzato un nuovo tabù: quello di dimostrare contro l'islamizzazione del nostro continente. Beninteso, nel corteo proibito dal sindaco di Bruxelles Freddy Thielemans, per l'anniversario dell'11 settembre, ci sarebbero stati anche elementi di deprecabile xenofobia, razzisti e estremisti di destra con i quali è meglio non avere a che fare. La Sioe (Stop the islamization in Europe), però, aveva lo scopo più che condivisibile di presentare al Parlamento comunitario una petizione contro le leggi possibiliste sulla sharia, che hanno già avuto applicazioni ambigue in Danimarca, in Germania, e anche in Italia, sulla poligamia e sul «diritto» di picchiare moglie e figli. Non si trattava, dunque, delle vecchie diatribe - peraltro importanti - sulla liceità del velo o sui simboli religiosi negli edifici pubblici, ma di una questione che entra nel cuore del nostro diritto e della nostra civiltà.
Ma ammettiamo pure si trattasse di una nuda e cruda volontà di opporsi all'islamizzazione dell'Europa, come sintetizzavano i cartelli «No Eurabia». È una protesta legittima che invece viene considerata a priori xenofoba, di odio religioso o addirittura razzista. Se in alcuni casi è così, non si vuole mai tenere conto che accettare una sempre maggiore penetrazione della cultura islamica nelle nostre società è oggettivamente un pericolo. Perché quella musulmana è una cultura che, fondendo i piani civile e religioso, la sharia, appunto, rischia di riportare l'Europa e gli europei a una situazione che fortunatamente (e sanguinosamente) abbiamo superato da secoli. Inoltre è palese che il terrorismo islamico fa sempre più proseliti anche fra giovani musulmani nati nel nostro continente, come dimostrano gli ultimi attentati in Gran Bretagna, figurarsi fra i nuovi arrivati.Oltre al ricatto del politicamente corretto a tutti i costi, c'è il ricatto della paura. Secondo le agenzie di stampa internazionali, il sindaco di Bruxelles temeva la reazione dei più fanatici tra la comunità musulmana locale. La stessa paura che hanno avuto tutti gli Stati europei ai tempi delle vignette danesi su Maometto. In quell'occasione noi, che liberamente ironizziamo su papi e santi, ci siamo censurati sulla libertà di fare satira sul Profeta. Abbiamo ammantato quella scelta come una prova di sensibilità verso l'«altro». E però l'«altro» l'ha recepita come una debolezza, come una dimostrazione che l'islamizzazione dell'Europa è possibile e che verrà favorita dalla nostra paura, come sostenevano Oriana Fallaci e, prima di lei, Bat Yeor e Ida Magli. Che a Bruxelles si sia preferito mettere in galera dei parlamentari europei, pur di non offendere l'Islam, è un altro pessimo segno di resa.

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