Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/09/2007

Lorsque la raison d'Etat prime sur l'éthique, une ligne rouge est franchie

Une organisation juive américaine a décidé de reconnaître le génocide arménien. Ehoud Olmert a désavoué cette prise de position pour préserver ses bonnes relations avec la Turquie.

POUR les dirigeants israéliens, la question du génocide arménien reste un tabou. La raison d'État l'emporte sur toute autre considération. Résultat : le gouvernement d'Ehoud Olmert a désavoué la décision prise la semaine dernière par la Ligue antidiffamation, une puissante organisation juive américaine, de reconnaître l'existence d'un « génocide » de plus d'un million d'Arméniens durant la Première Guerre mondiale.
Une initiative qui a provoqué la colère d'Ankara. L'ambassadeur de Turquie à Tel-Aviv, absent, est revenu d'urgence à son poste. De son côté, Shimon Pérès, le président, s'est empressé de téléphoner à Recep Tayyip Erdogan, le premier ministre turc, pour lui expliquer qu'il n'était pas question pour le gouvernement israélien d'emboîter le pas de la Ligue antidiffamation.
Une telle attitude reflète le souci de ne pas se mettre à dos la Turquie, le seul pays musulman considéré comme un allié militaire de l'État hébreu. Hasard du calendrier, au moment même où la Ligue antidiffamation lançait sa « bombe », les marines israélienne, turque et américaine participaient à des manoeuvres aéronavales en Méditerranée.
La Turquie est liée par un accord de coopération militaire conclu en 1996 avec l'État hébreu, que les islamistes modérés au pouvoir à Ankara n'ont pas remis en cause. La Turquie est également un client pour les industries militaires israéliennes.
Sur le front politique, l'État hébreu soutient discrètement la candidature de la Turquie à l'Union européenne et a gelé ces dernières années, pour apaiser les dirigeants turcs, ses contacts avec les Kurdes noués dans les années 1970 et 1980. Bref, avec Ankara, Israël marche sur des oeufs. L'essentiel est de ne rien faire qui puisse mécontenter la Turquie qui est aussi le plus important partenaire économique de l'État hébreu dans la région et la destination favorite des touristes israéliens.
Sachant parfaitement combien Israël tient à ces relations, l'ambassadeur turc Namik Tan a clairement annoncé la couleur lors d'une interview au quotidien Jerusalem Post en exigeant que le gouvernement israélien rappelle à l'ordre la Ligue antidiffamation.
Les responsables turcs redoutent qu'une éventuelle intervention du « lobby juif » aux États-Unis relayée par Israël convainque le Congrès de reconnaître l'existence du génocide arménien. « Si vous voulez vous en prendre au coeur du peuple turc, c'est la question numéro un », a prévenu le diplomate. « Nous comprenons qu'il s'agit d'une des organisations juives américaines, mais nous savons tous qu'elles travaillent en coordonnant leurs efforts avec Israël », a poursuivi l'ambassadeur.
« Dette morale »
Le message a été reçu cinq sur cinq. Cette extrême prudence dans un pays qui s'est battu pour que la Shoah soit reconnue a provoqué un certain malaise.
En mars dernier, plusieurs députés ont tenté en vain de faire voter par la Knesset une motion reconnaissant implicitement la réalité du génocide des Arméniens. Selon Haïm Oren, parlementaire d'opposition de gauche, « il est du devoir du Parlement israélien, en tant que représentant du peuple juif, de reconnaître ce fait historique, il s'agit d'une dette morale que nous avons envers le peuple arménien et à l'égard de nous-mêmes ».
Mais cette initiative, qui visait à permettre la participation à une journée internationale de commémoration du génocide arménien, avait été repoussée sous la pression du gouvernement.
COMMENTAIRE: on n'achète pas son salut en marchant sur la memoire des victimes d'un crime effroyable! Olmert qui marche dans les pas d'Erdogan, on aura tout vu!

31/08/2007

Port au Prince? Non, Paris!

Au total, quinze personnes sont mises en examen pour avoir participé aux violents affrontements de la Gare du Nord et de la place Pigalle.

Ils étaient une cinquantaine, dans la nuit de lundi à mardi, à s’affronter autour de la place Pigalle, à Paris, avec des armes de fortunes allant du tesson de bouteille au hachoir.
Finalement, douze de ces jeunes ont été mis en examen vendredi, dont cinq ont été écroués. Un suspect est poursuivi pour « tentative d'assassinat » et a été placé sous mandat de dépôt. Trois autres sont inculpés pour « complicité » de ce crime et sont ressortis libres sous contrôle judiciaire. Cinq autres personnes dont un mineur de 16 ans sont poursuivis pour « participation à un attroupement armé ». Quatre de ces cinq personnes, dont le mineur, ont été placées en détention provisoire. Enfin, trois autres sont poursuivis pour « violences volontaires en réunion sur agent de la force publique ». Ils sont ressortis libres sous contrôle judiciaire.
Trois autres personnes ont été mises en examen et écroués dans le cadre d’un affrontement similaire dimanche soir à la Gare du Nord. Les trois hommes sont poursuivis pour « tentatives d'assassinat, vol avec violence avec incapacité temporaire de travail (ITT) supérieure à huit jours, violence volontaire avec arme avec ITT supérieure à huit jours et en réunion ». Un quatrième suspect est ressorti libre.
Les deux bagarres semblent avoir opposé les deux mêmes bandes, probablement à cause d’une affaire de drogue, selon les sources policières. 

Gli Eurodhimmi scelgono la politica del bavaglio

Il Consiglio di Stato belga ha confermato la decisione del Comune di Bruxelles di vietare una manifestazione contro «l’islamizzazione dell’Europa», in programma nella capitale belga il prossimo 11 settembre. «Stop the Islamisation of Europe» (Sioe), aveva annunciato a luglio l’intenzione di organizzare una protesta davanti alla sede del Parlamento europeo, proprio nel giorno del sesto anniversario dei tragici attentati perpetrati negli Stati Uniti.
Il 9 agosto il sindaco di Bruxelles aveva vietato la manifestazione evocando il rischio di scontri con la vasta comunità islamica. Il Consiglio di Stato ha confermato ora la decisione, dopo che Ugo Ulfkotte, uno degli organizzatori dell’evento, aveva presentato ricorso contro il no del Comune. «Stop the Islamisation of Europe» riunisce, in particolare, il partito danese anti-islamico Siad, il gruppo olandese No Sharia Here e quello tedesco Pax Europa. L’iniziativa ha ricevuto in Belgio il sostegno di alcuni alti responsabili della formazione fiamminga di estrema destra Vlaams Belang.
In un comunicato diffuso a Bruxelles il capo delegazione della Lega Nord a Strasburgo, l’europarlamentare Mario Borghezio, sostiene che con il divieto «vengono violati i diritti fondamentali dell’Unione europea» e ha annunciato una conferenza stampa sul caso con i colleghi di Vlaams Belang. Borghezio assicura che «i promotori dell’iniziativa hanno tutta l’intenzione di non farsi imbavagliare da questo assurdo provvedimento».

www.corriere.it

30/08/2007

Olanda, laboratorio dell'inintegrabilità islamica

Aia - Amsterdam dovrebbe essere inserita nel Guinness dei primati per il numero di nazionalità presenti nel suo territorio: 177. Il più alto nel mondo. Ha battuto persino New York, con le sue 150. Senza contare che 123mila dei suoi abitanti hanno la doppia cittadinanza. Questi dati stanno preoccupando sempre più gli olandesi che sino a ora sono stati molto tolleranti e generosi nei confronti degli immigrati, aprendo loro le porte e offrendo loro un tetto. Case pulite, dotate di tutto il necessario per una vita dignitosa: sussidi da far invidia a un lavoratore di qualsiasi Paese. D’altra parte le cifre parlano chiaro: attualmente ad Amsterdam ci sono 64.588 marocchini e 37.421 turchi. Tanto per fare un paragone, gli italiani sono 1.654 e i tedeschi 6.670.
Il primo a ribellarsi a questa «vera e propria invasione » fu il regista Theo van Gogh. Cercò in tutti i modi di attirare l’attenzione dei media sul pericolo della culturanon cultura islamica e dei suoi terroristi. Del suo film Submission si è parlato in tutto il mondo. Soprattutto perché segnò la sua condanna a morte. «Ci elimineranno tutti », ripeteva spesso. E tre anni fa l’hanno ammazzato come un cane, per strada, lasciando un biglietto sul suo corpo, conficcato nella schiena con un coltello. Anche la sceneggiatrice di Submission è diventata «famosa». Parliamo della bella somala Ayaan Hirsi Ali, considerata un’eroina per la lotta che conduce a favore dei diritti delle donne islamiche, deputata del Partito popolare per la libertà e democrazia (Vvd). Ayaan Hirsi ha definito il profeta Maometto «un perverso tiranno ». Per cui pure lei si trova da tempo nella lista nera dei condannati a morte per blasfemia. «Non ho paura di morire - dice -, vengo da un Paese dove ogni giorno ci si confronta con le malattie, la fame, il degrado, la morte. Ci sono abituata. Pertanto continuerò la mia lotta».
C’è un’altra donna del Vvd che da anni si batte per la chiusura delle frontiere, Rita Verdonk, 52 anni, cattolica, che è stata dal 2003 al 2006 ministro dell’Immigrazione. È stata definita la «donna di ferro» proprio per la sua intransigenza nei confronti degli immigrati. Nel 2005 ha fatto approvare una legge molto importante sull’integrazione degli stranieri, grazie alla quale sono stati istituiti corsi obbligatori di conoscenza della lingua olandese e dell’organizzazione sociale per coloro che vogliono ottenere un regolare permesso di soggiorno. Nel suo partito ha militato Geert Wilders, di recente salito alla ribalta delle cronache per aver paragonato il Corano al Mein Kampf di Adolf Hitler, chiedendo al Parlamento che venga proibito «in quanto si tratta di un libro dannoso che istiga alla violenza». Wilders non usa mezzi termini: «Chiudiamo le moschee radicali, mandiamo a casa gli imam e fermiamo l’immigrazione dei Paesi non occidentali, prima che sia troppo tardi. È incredibile quello che sta succedendo in Olanda. Eppure la tv ha mandato in onda una ripresa girata in segreto nella moschea diAmsterdam “al Taweed”, mentre l’imam diceva che gli amici della democrazia erano figli di satana, le donne dovevano essere bastonate e gli omosessuali buttati giù dai tetti. E noi dobbiamo tenerci in casa questi fanatici? Fuori tutti i gruppi estremisti islamici dal nostro Paese».
In quanto a minacce... pure lui ne ha accumulate una serie infinita: alcuni siti internet radicali hanno lanciato una vera e propria campagna pubblicitaria a favore della sua eliminazione. Si passa dall’elargizione di un premio di ben 92 vergini alla promessa del paradiso eterno e dell’eterna riconoscenza di Allah nei confronti di «qualsiasi islamico disposto a decapitarlo ». Secondo alcuni Wilders ha ereditato il pensiero di Pim Fortuyn, leader del partito Leefbaar Nederland. L’aggettivo olandese leefbaar, «vivibile », è già di per sé molto significativo. Fortuyn, che voleva un’Olanda vivibile, fu ucciso il 6 maggio 2002, all’uscita degli studi televisivi dove aveva registrato un programma contro il proliferare del radicalismo islamico. Nella lista dei condannati a morte è entrato da poco anche Ehsan Jami, un ragazzo iraniano di 28 anni che ha fondato un comitato di ex musulmani.
«Il Corano non è credibile. È anacronistico. Se vieni dal mondo islamico non vuol dire che devi per forza essere musulmano», ha detto Jami durante un recente dibattito tv. «Essere musulmano non è un fattore genetico. Con la creazione di questo comitato voglio dire ai giovani che, come me, amano la libertà, di uscire allo scoperto e di ribellarsi a una religione imposta, incivile, inumana».Un discorso coraggioso. E pericoloso. Il giorno dopo, infatti, è stato assalito da tre africani all’uscita di un supermercato e picchiato a sangue.
Maria Cristina Giongo

Catastrofi del relativismo culturale

Aja - Geert Wilders, l’uomo politico più discusso in Olanda, ci riceve in Parlamento, nel suo studio, fuori dal quale ci sono ben quattro guardie del corpo. È affabile, deciso, ma per niente arrogante, come generalmente viene descritto dai media del suo Paese. Ha seguito le orme del regista Theo van Gogh, ucciso dai fondamentalisti islamici, ha lo stesso coraggio e gli stessi ideali per cui hanno ammazzato Pim Fortuyn. È sotto scorta da mattina a sera. Signor Wilders, 177 nazionalità presenti in una sola città come Amsterdam non preoccupano?
«Certo, mi batto da anni perché il mio Paese possa tornare alla normalità».
Il suo partito si chiama Partito della Libertà. Libertà di.....
«Libertà di fare con i propri soldi quello che si vuole. Gli olandesi pagano troppe tasse, addirittura il 50%. Mentre si dovrebbe avere il diritto di disporre del proprio denaro, guadagnato con tanta fatica. E poi libertà di gioire di una bella giornata di sole e della vita, di girare per strada senza essere assaliti, derubati, picchiati. Soprattutto libertà di vivere nella propria nazione conservandone la cultura. Infine libertà di esprimere le proprie idee senza per questo essere costretti a girare sotto scorta perché vogliono metterti a tacere per sempre.

La stampa olandese parla ampiamente della decisione del vostro governo di stanziare 28 milioni di euro per far fronte al problema del radicalismo islamico e degli estremisti di destra. Questa somma dovrebbe servire a costituire centri di sostegno per i comuni più colpiti da questa piaga e per instaurare con integralisti e ultrà un proficuo “dialogo interculturale”. Che ne pensa?
«Un pessimo piano (del partito socialista, al governo con i cristiano-democratici del premier Pit Balkenende, ndr). Con loro il dialogo non serve più. Ci abbiamo provato per anni e non abbiamo ottenuto nulla. Anzi, la situazione è peggiorata. Con questo costoso progetto, assolutamente privo di concretezza, trattiamo i colpevoli come vittime. Basta con le parole, con la tolleranza. Si passi ai fatti».
In che modo?
«Prima di tutto se non rispettano le nostre norme, le nostre regole e la nostra cultura devono tornare da dove sono venuti. Se commettono crimini, vanno puniti severamente. Se dopo essere usciti di prigione ricominciamo a delinquere devono essere espulsi. Dobbiamo chiudere le frontiere, riappropriarci della nostra terra e usare invece questi fondi per i nostri vecchi, la sanità, per accudire gli handicappati».
La sua dichiarazione sul fatto che il Corano andrebbe proibito come il Mein Kampf di Hitler ha suscitato molte polemiche, accuse contro di lei, anche da parte degli altri partiti al governo. Non ha forse esagerato con questa che è parsa una provocazione inaccettabile nei confronti di una religione?
«Il Corano è un libro fascista, aggressivo, che semina odio. Non voglio discriminare o provocare, dico solo che la violenza che trasuda dai testi islamici non la si trova in nessun’altra religione: né cattolica, né ebraica, né buddhista. Diciamo piuttosto che il Corano è più un’ideologia che una religione. Non ce l’ho con l’islam, con i musulmani come persone, ma appunto con un’ideologia che vuole privare l’uomo della libertà, che non rispetta le donne, che vuole eliminare gli omosessuali. Il mio idolo è Oriana Fallaci: lei aveva capito la pericolosità dell’invasione islamica! Come lei odio il relativismo, cioè il voler credere che ogni cultura sia la stessa, perché non è vero.

 

 www.ilgiornale.it

29/08/2007

I tiranni designati a tutelare i diritti umani con l'assenso dell' Europa

Le Nazioni Unite hanno incaricato la Libia di presiedere e hanno invitato l'Iran a partecipare a un comitato ristretto di 20 Stati che si riunirà domani a Ginevra per «analizzare le misure contro le discriminazioni e la xenofobia già adottate a Durban nel 2001». Una delle pagine più vergognose dell’Onu.
È del tutto evidente che se nel nostro mondo globalizzato la gestione dei diritti umani viene affidata prima al dittatore libico Gheddafi e poi al regime nazi-islamico iraniano di Ahmadinejad, vuol dire che abbiamo perso la certezza della sostanza dei valori fondanti della nostra umanità e ci siamo di fatto sottomessi all’arbitrio di coloro che strumentalizzano la libertà e la democrazia per annientare la comune civiltà dell’uomo.
Come interpretare diversamente la notizia, diffusa dal quotidiano israeliano Yedioth Ahronot, secondo cui le Nazioni Unite hanno incaricato la Libia di presiedere e hanno invitato l’Iran a partecipare a un comitato ristretto di venti Stati che si riunirà domani a Ginevra per «analizzare le misure contro le discriminazioni e la xenofobia già adottate a Durban nel 2001»? È dal gennaio del 2003 che la Libia presiede la Commissione Onu per i diritti umani, grazie a una sconcertante disponibilità dell’Unione Europea a favorirla scontrandosi apertamente con gli Stati Uniti. L’Italia ha avuto un ruolo cruciale nello sdoganamento di un regime che, per sua stessa ammissione, è stato uno dei maggiori sponsor del terrorismo internazionale e continua a capeggiare un fronte radicale arabo pregiudizialmente ostile al diritto di Israele all’esistenza e legittimante del terrorismo palestinese.
E poi c’è l’Iran. Proprio due giorni fa anche il nostro giornale mostrava in prima pagina l’immagine terrificante della punizione corporale tramite flagellazione di un giovane colpevole di bere alcol e di aver avuto rapporti extraconiugali. Dall’inizio dell’anno sono già stati giustiziati almeno 161 iraniani, con delle impiccagioni nelle pubbliche piazze. Il governo Prodi ha coraggiosamente denunciato la violazione dei diritti umani in Iran e si è offerto per dare asilo politico a Pegah Emambakhsh, una lesbica fuggita dall’Iran nel 2005 e che ora rischia la condanna a morte tornando in patria dopo il rifiuto della Gran Bretagna di accoglierla. Peccato che contemporaneamente consideri irrinunciabile la salvaguardia dei rapporti commerciali con il regime iraniano, ciò che l’ha obbligato a fare una mezza smentita dopo che Teheran ci ha accusato di interferire nei suoi affari interni. E peccato che tanta disponibilità nei confronti di una vittima della discriminazione sessuale, non ci sia stata nei confronti di Mohamed Hegazi, il giovane egiziano condannato a morte perché convertito al cristianesimo e che simboleggia la persecuzione e l’esodo forzato a cui sono sottoposti migliaia di cristiani in Medio Oriente.
E poi c’è Durban. Una delle pagine più vergognose dell'Onu dove nel settembre del 2001 si arrivò a redigere un documento in cui si equiparava il sionismo al razzismo e si accusava Israele di «pratiche razziste» nei confronti dei palestinesi. Come è possibile che oggi si rivalutino e si ripropongano quelle aberranti dichiarazioni?
Ebbene se oggi finiamo per prendere lezioni di democrazia dai fascisti e dai nazisti islamici, ciò si deve al fatto che a furia di relativizzare la conoscenza, l’etica, la cultura e la religione, ci stiamo impiccando con le nostre stesse mani accettando ciecamente di salire sulla forca del politicamente corretto, per cui tutto e tutti hanno pari dignità a prescindere dai contenuti e dagli obiettivi conflittuali, e di metterci al collo il cappio della par condicio, per cui si accreditano e legittimano come interlocutori se non partner anche i nostri aspiranti e prossimi carnefici.
Magdi Allam
26 agosto 2007
COMMENTO: buffoni infami!

28/08/2007

Paolo Ferrero: il perfetto retorico stalinista anti-italiano

Firenze - La sinistra torna a dividersi su una delicata questione che riguarda la sicurezza, come già in passato era avvenuto a Bologna, con il sindaco-sceriffo Cofferati, e a Padova, per il muro antispacciatori di via Anelli. Questa volta il "putiferio" è scoppiato a Firenze, dove un'ordinanza del Comune - guidato dalla sinistra - ha di fatto posto fuorilegge i lavavetri: da oggi chi sarà trovato con secchi e spugne ai semafori rischia una denuncia penale e fino a tre mesi di carcere, oltre naturalmente al sequestro degli "attrezzi". La decisione è stata apprezzata e in parte criticata, com'era inevitabile che fosse. Ma a far divampare le polemiche sono state le parole del ministro della Solidarietà sociale, Paolo Ferrero, che ha duramente stigmatizzato la misura adottata dall'amministrazione comunale del capoluogo toscano.

L'ordinanza è l’effetto della esasperazione dei fiorentini, che hanno fatto piovere denunce ai comandi di polizia, segnalando maniere violente da parte dei lavavetri, soprattutto ai danni di donne sole al volante: un clima che ha spinto l’amministrazione comunale a emettere un’ordinanza urgente con effetto da oggi. Sono già almeno 15 le denunce contro i lavavetri sorpresi questa mattina in varie zone di Firenze. Il dato è confermato dalle forze di polizia.

Oltre al sequestro degli attrezzi, il lavavetri sarà denunciato e dovrà andare dal giudice che deciderà se fargli scontare fino a 3 mesi di carcere o fargli pagare un’ammenda da 206 euro. "Negli ultimi tempi stiamo ricevendo numerosi reclami da parte di cittadini che hanno notato una modifica nell’atteggiamento dei lavavetri, diventati molto aggressivi soprattutto nei confronti delle donne ancor di più se sole in auto", hanno dichiarato in una nota diffusa ieri Graziano Cioni, assessore alla sicurezza e vivibilità urbana, e Silvano Gori, assessore alle attività produttive.

La novità di questo giro di vite, che alcuni osservatori politici definiscono provocatoriamente di stampo "leghista", ma che invece è proposta da un’amministrazione storicamente di centrosinistra, è nel risvolto penale del "mestiere girovago" dei lavavetri. Finora, infatti, a poco o a nulla sono valsi i meno drastici interventi (529 dall’inizio di quest’anno), tradotti in molte fughe, e i 79 verbali da 50 euro a carico dei lavavetri, non pagati. Da qui la soluzione: poiché "quello del lavavetri è classificato come mestiere girovago e siccome il Comune che ha delega in materia non ha mai rilasciato autorizzazioni, lo si riconosce come abusivo", si legge nell’ordinanza 774 del 25 agosto scorso, proposta dalla direzione del corpo di polizia municipale e firmata dall’assessore Cioni, che in questi giorni sostituisce il sindaco Leonardo Domenici ancora in ferie. Il provvedimento dovrà essere applicato da tutte le forze di polizia, inclusi carabinieri e poliziotti, e non sarà a tempo indeterminato: la validità è fino al 30 ottobre. Poi se ne riparlerà.

www.ilgiornale.it

COMMENTO: In NESSUN Paese CIVILE dell'area occidentale viene permesso a dei clandestini senza arte né parte di importunare in maniera arrogante gli automobilisti ai semafori!

Solo in Italia si vedono tali cose.

E' dunque del tutto normale che questa gente, come anche gli eserciti di "vo' cumprà" che spacciano contraffazioni di marche italiane e straniere sulle spiaggie e sulle strade in tutta impunità, frodando diritti d'autore, IVA e fisco, sia rispedita SEDUTA STANTE nei loro Paesi di origine!

Quale governo cialtrone puo' permettere che l'Italia diventi la terra di nessuno??

Qual'é il senso del termine SOVRANITA' NAZIONALE per il quale milioni di nostri avi si sono battuti perdendovi la vita?

Ma dove esiste che il primo stronzo che arriva fa quello che cazzo vuole peggio che a casa sua??

Ma vaffanculo, va!

23/08/2007

Histoire canadienne de culs-bénits d'Allah

Le propriétaire de l'Érablière au sous-bois, une cabane à sucre de Mont-Saint-Grégoire, en Montérégie, a interrompu la fête d'un groupe de clients pour permettre à d'autres clients, une cinquantaine de musulmans, de faire leur prière sur la piste de danse.

Selon le chanteur country Sylvain Boily, qui a fait partie des gens invités à cesser de fêter, le 11 mars dernier, son groupe venait d'entrer dans la salle et lorsque sa tante a commencé à jouer de l'accordéon, quelqu'un leur a demandé d'arrêter pendant 20 minutes pour permettre la prière musulmane.

Offusqués, M. Boily et son groupe ont choisi de claquer la porte.

Le propriétaire de l'Érablière au sous-bois, Roch Gladu, croit que M. Boily se plaint pour rien. Il rappelle que les musulmans constituaient un groupe de 260 invités, beaucoup plus nombreux que celui du plaignant.

Quant au porte-parole des musulmans, Adel Larabi, il explique que la visite à la cabane à sucre était une occasion d'initier son groupe à une tradition québécoise (et de la remplacer par une tradition musulmane NDR).

Il affirme n'avoir pas entendu quiconque se plaindre pendant la prière (sic!).

À la loi du nombre invoquée par M. Gladu, Sylvain Boily réplique qu'il s'agit d'une cabane à sucre québécoise et que les gens y viennent pour avoir du plaisir.

http://www.cyberpresse.ca/article/20070319/CPACTUALITES/7...

 

Quest'Italia che puzza di putrefazione morale e materiale

«Fuga» di inglesi (ma non verso l'Italia)
La top ten dei Paesi dove emigrano di più i cittadini britannici
1) Australia 71.000
2) Spagna 58.000
3) Francia 42.000
4) Nuova Zelanda 30.000
5) USA 25.000
6) Canada 17.000
7) Emirati 7.000
8) Germania 6.000
9) Sudafrica 6.000
10) Olanda 6.000
Fonte: Office of National Statistics Londra
dati 2004-2005
L'Italia dell'intrallazzo, del dissesto urbano, stradale e sanitario,
quella della mafia, della n'drangheta e della camorra,
quella delle toghe rosse,
quella del Vaticano che legifera al posto dello Stato,
quella della mondezza permanente dei cassonetti
quella dei programmi televisivi per QI <50
quella degli incendi dolosi
quella che va a puttane extracomunitarie (e la domenica va a messa)
quella che nega il merito ed esalta il nepotismo
quella dell'Unipol e di Consorte
quella di Mediaset e di Craxi
quella di Mastella e di Corona
quella dei rumeni e degli albanesi
ed anche quella dell'UCOII
non ci andar se non la vuoi!!

LA FRASE DELLA FINE: "Quando in un Paese la forza organizzata non è in nessun luogo, il dispotismo è dappertutto."    

(Louis Blanc (1811-1882) storico e uomo politico francese.)

Iran:80 coups de fuet pour sexe hors mariage!

78fd42756b18e76f4d17fdbfdf288d93.jpgLes nazislamiques iraniens donnent encore spectacle sur la voie publique en fuettant à sang un jeune de 25 ans coupable, soit disant, de sexe hors mariage!!

Comme chacun le sait, l'islam est très à cheval sur la "moralité" et la "vertu", et Muhammad en est d'ailleurs le meilleur exemple!

Pour le texte intégral en anglais:  www.dailymail.co.uk/pages/live/articles/news/news.html?in...

En avant la barbarie!!!