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28/04/2007

Renier l'islam: c'est possible, c'est nécessaire!

VIDEO: http://www.dailymotion.com/related/2928865/video/x4yyf_ex...

PLUS LES MUSULMANS PRENDRONS CONSCIENCE DU MENSONGE CORANIQUE ET DE SES DANGERS, PLUS ILS S'EN ECARTERONS.

LA CULTURE, L'INFORMATION,  LA SENSIBILITE' ET LA RAISON SONT LES PIRES ENNEMIS DE L'ISLAM!

27/04/2007

Hommage à Jacques Pietri

Extrait de www.libertyvox.com: Jacques Pietri, sans doute un peu visionnaire, mettait en garde depuis des années déjà ses concitoyens contre les dangers de l’islamisation intégriste de la France et la possible résurgence des guerres de religion au 21e siècle.

Voici son dernier texte, inachevé, en cours de rédaction au moment de son décès. Nous vous le livrons comme il nous est parvenu, sans retouches, comme un message posthume, une mise en garde adressée aux vivants.

L’Islam d’aujourd’hui (comme celui d'hier et de demain NDR) n’est pas seulement un intégrisme, c’est un totalitarisme, il prend le relais des deux totalitarismes qui ont marqué le 20ème siècle, le communisme et le nazisme. Après le fascisme brun et le fascisme rouge, on est en présence du fascisme vert. L’intégrisme religieux doit être analysé sous le prisme du totalitarisme, système auquel il conduit inéluctablement dès que son triomphe est proclamé.

Le totalitarisme implique la négation de l’individu, seul le groupe, (religieux, politique, racial) existe ; l’individu est nié, ravalé, il est entièrement subordonné à l’intérêt supérieur du groupe. On notera, incidemment que le «libéralisme», qu’il soit radical ou modéré, est exactement le contraire. On sait, en effet, que pour Adam Smith, le père du libéralisme économique, l’individu est au centre de sa réflexion ; après Locke, Montesquieu et bien d’autres, il montre, ce qui est toujours vrai aujourd’hui, que sans liberté économique, il n’y a pas de véritable liberté politique. La France est aujourd’hui, le seul pays européen, où le mot, «libéralisme» est un gros mot.

La règle d’or de l’intégrisme religieux et du totalitarisme est la certitude de détenir la vérité, une vérité univoque, intangible, éternelle, que l’on ne saurait renier sans encourir une punition extrême. L’emprisonnement, la torture, l’extermination, la terreur, sont les instruments habituels du totalitarisme. La coercition ne s’intéresse pas seulement aux corps mais surtout aux esprits : «il est interdit de penser».

La religion se situe, de manière évidente, dans la sphère du privé, et non pas dans celle du public. Toute autre est la conception des théoriciens islamiques contemporains : L’Islam, écrit Hani Ramadan, dans le Bulletin du centre islamique de Genève, « est religion et État, foi et loi, doctrine et mode de vie... il nous enseigne un monothéisme authentique, évident, et aussi une loi qui constitue désormais un système complet reposant sur des sources authentiques applicables en tout lieu et en tout temps».

Un article paru dans un périodique algérien illustre bien ce qu’il en est de la laïcité dans le monde arabe (le mot laïcité étant à peu près intraduisible en arabe) : «L’adage occidental «rendre à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu» n’a pas sa place dans la conception islamique de la société. Tout appartient à Dieu et César lui-même appartient à Dieu». L’Islam, comme le rappelait si bien ce folliculaire, «signifie étymologiquement soumission, celle-ci doit être totale et inconditionnelle à Dieu et à sa foi révélée», c’est bien pourquoi «ne peut rester musulman celui qui s’est converti à la laïcité, cette nouvelle religion qui prône la séparation de la Foi et de la Loi».

Jacques Pietri (mars 2007).

www.libertyvox.com

Negazionismo e revisionismo, perle del "multiculturalismo" inglese

Olocausto e Crociate cancellati dai programmi di alcuni istituti superiori inglesi per paura della reazione degli studenti musulmani
LONDRA (GRAN BRETAGNA) - La storia non viene ancora riscritta come in «1984» di Orwell. Ma semplicemente ignorata. Finendo, per evitare di parlare di argomenti controversi, di spiegare cosa è accaduto per interi secoli. E così si assiste allo spettacolo di insegnanti riluttanti a parlare della Shoah per paura di offendere gli studenti musulmani. Al punto da eliminarla dai programmi di storia per il Gcse, l'equivalente del nostro esame di maturitá. Succede in Inghilterra, dove alcune scuole secondarie hanno deciso di non affrontare l'argomento per non offendere i sentimenti degli studenti di religione islamica che negano l'Olocausto. A riverarlo è il Teaching Emotive and Controversial History, uno studio commissionato dal ministero dell'Istruzione inglese e diffuso dai maggiori quotidiani e siti web britannici.
OLOCAUSTO E CROCIATE - «In certi contesti particolari - afferma il rapporto - gli insegnanti di storia sono contrari a sfidare le interpretazioni storiche altamente controverse che vengono predicate ai ragazzi all'interno delle loro famiglie, nelle loro comunitá o nei luoghi di culto». Il documento porta come esempio una cittá dell'Inghilterra del nord dove alcuni insegnanti hanno deciso di eliminare dai programmi di storia per il Gcse lo studio dell'Olocausto. Tra i motivi, si legge, «il timore di affrontare le reazioni antisemite e negazioniste degli allievi musulmani». Ma non è tutto. In un'altra scuola ad essere bandito è stato invece lo studio delle Crociate, sempre per non turbare la sensibilitá dei musulmani ai quali, nelle moschee, viene insegnata una versione completamente diversa di quell'evento storico.
27 aprile 2007

26/04/2007

Kosovo: voici comment l'islam conquerant s'empare de la Serbie (et de l'Europe)

Le ministre des Affaires étrangères serbe, Vuk Draskovic, est à Paris pour plaider contre l'indépendance de la province albanophone.

« JE NE COMPRENDS pas que la France, derrière les États-Unis et la Grande-Bretagne, demande la désintégration de mon État et la constitution d'un deuxième État albanais dans les Balkans, sur le territoire historique de la Serbie ! », s'insurge l'écrivain Vuk Draskovic, ministre des Affaires étrangères de Serbie. Dans un entretien accordé hier au Figaro, l'ancien opposant, que les services secrets de Slobodan Milo­sevic tentèrent par deux fois d'assassiner, explique être venu à Paris pour « tenter d'ouvrir les yeux des élites françaises ». Il espère faire accepter une solution de compromis qui ferait du Kosovo une entité administrée par les Albanais, sans pour autant que la province accède à l'indépendance.
Depuis la résolution 1244 du Conseil de sécurité (10 juin 1999), qui entérina la fin de la guerre de l'Otan contre Belgrade, le Kosovo vit sous un statut spécial : la province est administrée par l'ONU, qui supervise un gouvernement albanophone. Elle est policée par les soldats de l'Otan. Mais elle fait toujours partie, en droit international, de la Serbie. Ni l'ONU, ni l'Otan (OTAN=TURQUIE  NDR) n'ont été capables de construire « le Kosovo multiethnique et pacifié » promis par le président Clinton en 1999. Il n'y a pratiquement plus aucun Serbe à Pristina, Pec ou Prizren, les grandes villes du Kosovo. Quelque 200 000 Serbes et Tziganes ont fui la province. Plus de mille d'entre eux ont été assassinés par des extrémistes albanais.
Un ancien président finlandais, Martti Ahtisaari, chargé par l'ONU de rédiger un rapport sur la question, vient de remettre ses conclusions au Conseil de sécurité, seule instance à même de décider du statut final du Kosovo. Son rapport préconise une indépendance « surveillée » pour la province, à l'image de ce qui avait été décidé pour la Bosnie en novembre 1995 lors des accords de paix de Dayton.
Le mot « surveillée » signifie qu'un haut-commissaire représentant la communauté internationale siégerait aux côtés du gouvernement kosovar albanais, avec le pouvoir d'invalider les décisions qui lui sembleraient contraires aux dispositions de l'ONU (notamment celles destinées à protéger les droits des minorités).
« Deux poids, deux mesures »
Les Kosovars albanais, qui constituent 90 % de la population de la province, sont attachés à l'idée de leur indépendance. Les autorités de Belgrade, soutenues par une très grande majorité des Serbes, savent que la Serbie ne gouvernera plus jamais le Kosovo, mais elles ne veulent pas aller plus loin qu'un statut d'autonomie. Elles refusent d'admettre un nouveau changement des frontières internationales dans les Balkans et que le Kosovo, berceau de l'État serbe au Moyen-Âge,(envahi, puis islamisé à feu et à sang par les ottomans, qui maintenant sont "chez eux"!!! NDR) puisse un jour être admis à l'ONU comme un pays membre.
Les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France soutiennent le plan Ahtisaari. La Russie a prévenu qu'elle opposerait son veto si le plan était maintenu tel quel. La Chine est sur la même ligne.
Le ministre Vuk Draskovic souligne que l'ONU a le devoir de protéger l'intégrité territoriale de ses États membres. Il s'indigne du « deux poids, deux mesures » des trois membres permanents occidentaux du Conseil de sécurité, qui refusent l'autodétermination des Serbes de Bosnie, au nom du principe d'intégrité territoriale de ce pays reconnu par l'ONU (et par la Serbie), mais qui encouragent celle des Albanais du Kosovo.
Il annonce qu'une telle « violation » de la Charte des Nations unies encouragerait immédiatement les Albanais de Macédoine (très majoritaires à l'Ouest du pays) à demander également leur indépendance, facteur de déstabilisation de l'ensemble des Balkans.
« Il faut européaniser les Balkans, pas les kosovariser !, explique le ministre serbe des Affaires étrangères. Le fait que les Serbes soient faibles ne justifie pas que l'on fasse passer la force avant le droit dans la région, même si les Américains ont envie de la quitter au plus vite, à cause de leur implication au Moyen-Orient ! »

www.figaro.fr


25/04/2007

Encore une performance typique de la "réligion d'amour, de tolérance et de paix"

Les trois protestants assassinés mercredi à Malatya (est) auraient été torturés auparavant, a rapporté vendredi la presse turque, tandis que la police poursuivait l'interrogation de 10 suspects, dont les cinq principaux arrêtés sur les lieux du crime.

Un médecin qui a opéré l'une des trois victimes, encore vivante après la descente policière de mercredi dans la maison d'edition chrétienne Zirve (sommet), a expliqué au journal Hürriyet les détails macabres de l'attaque sans précédent contre la petite communauté évangéliste de Malatya.

"Ses cuisses, ses testicules, son anus et son dos avaient été tailladés de dizaines de coups de couteaux. Ses doigts avaient été coupés jusqu'à l'os", a indiqué le chirurgien Murat Ugras qui, malgré une longue intervention, n'a pu sauver Ugur Yüksel, converti au christianisme.

"C'est clair que ces blessures ont été infligées pour le torturer", selon le médecin qui a dû recourir à pas moins de 51 unités de sang de transfusion lors de l'opération.

Les deux autres personnes retrouvées mortes par les policiers, le Turc Necati Aydin, un autre converti, et Tilmann Geske, un Allemand, avaient eux aussi subi un supplice de trois heures aux mains de leurs cinq tortionnaires, au cours duquel ils ont été interrogés sur leurs activités de missionnaires.

Le prosélytisme n'est pas interdit par la loi en Turquie, mais est vu d'un mauvais oeil.

"Nous leur avons ligoté les mains et les pieds avant de les bâillonner. C'est Emre (Günaydin, le cerveau présumé de l'attaque qui s'est jeté par la fenêtre et qui est grièvement blessé) qui leur a tranché la gorge", ont déclaré les suspects à la police, selon le quotidien Sabah.

Les autorités gouvernementales d'Ankara ont promis de faire toute la lumière sur cette attaque survenue dans un pays à 99 %, musulman à cheval entre l'Europe et l'Asie et souhaitant rejoindre l'Union européenne.

Apparemment, le principal suspect âgé de 19 ans, hospitalisé pour une fracture du crâne, aurait gagné la confiance de ses victimes en se rendant plusieurs fois dans leurs locaux dans l'intention de s'informer sur le protestantisme.

Les médias estiment que cette tuerie, la première contre une communauté chrétienne, s'inscrit dans la lignée du meurtre l'an dernier à Trabzon (nord) du prêtre catholique italien Andrea Santoro et, en janvier, du journaliste d'origine arménienne Hrant Dink à Istanbul, par un jeune chômeur de Trabzon, un bastion nationaliste du nord-est.

Il y aurait eu à Malatya un regroupement de jeunes dans une cellule islamo-nationaliste d'où seraient issus les auteurs de l'attaque vraisemblablement préméditée, selon les journaux.

Dans leurs aveux ces suspects auraient dit: "Nous l'avons fait pour la patrie" et "notre pays et notre religion étaient menacés".

La presse rapporte en outre que trois des cinq principaux suspects avaient été interpellés par la police deux jours avant les faits pour avoir tiré avec des pistolets à air comprimé sur un terrain vague avant d'être relâchés contre une amende.

Susanne Geske, l'épouse de la victime allemande, père de trois enfants, est intervenue sur une chaîne de télévision turque, déclarant avoir "pardonné" aux tueurs.

Elle a demandé que son époux soit enterré à Malatya, où la famille vit depuis près de dix ans.

La tuerie a été condamnée par la communauté internationale et l'Allemagne, présidente en exercice de l'UE, a enjoint Ankara de prendre des mesures pour protéger la liberté religieuse.

© 2007 AFP

COMMENTAIRE: VOUS EN AVEZ ENTENDU BEAUCOUP PARLER DANS NOS MEDIAS LIBRES ET PROGRESSISTES??? NON, JAMAIS!!! FAUT PAS STIGMATISER LA RELIGION DU PSEUDO-PROPHETE EGORGEUR!!!

LIGOTÉS, bâillonnés, la gorge tranchée. « Le cauchemar se poursuit », titrait hier le journal Milliyet. Le triple meurtre des missionnaires évangélistes, un Allemand et deux Turcs convertis, dans leur maison d'édition, Zirve, qui distribuait la Bible, à Malatya, n'est que le dernier des assassinats commis contre des représentants des minorités religieuses depuis deux ans en Turquie. Mais ce sont les premiers à viser des protestants (3 200 fidèles). Les chefs de cette communauté de missionnaires ont dénoncé hier une « chasse aux missionnaires » qui rappelle selon eux les « chasses aux sorcières » du Moyen Âge.Le triple meurtre a eu lieu alors que l'atmosphère de la campagne pour la prochaine élection présidentielle est particulièrement lourde. Plus de 300 000 personnes ont manifesté samedi dernier à Ankara pour dénoncer les ambitions présidentielles du premier ministre Recep Erdogan, bête noire des milieux laïques et de l'armée, qui craignent une islamisation de la Turquie.Le massacre de Malatya, une ville conservatrice et religieuse à 660 km à l'est d'Ankara, celle d'Ali Agça, l'homme qui avait tenté d'assassiner le pape Jean-Paul II en 1981, intervient alors que le pays est traversé par une forte poussée du nationalisme. Les multiples échéances électorales, mais aussi les réticences de plus en plus fortes de l'Europe vis-à-vis d'une adhésion de la Turquie, favorisent un repli identitaire.Dans ce pays musulman à 99 %, les minorités religieuses sont les premières à en faire les frais. Elles sont montrées du doigt et prises à partie par les ultranationalistes, de gauche comme de droite. L'an dernier, un prêtre italien, Andrea Santoro, a été abattu par un adolescent de 16 ans à Trabzon, sur la mer Noire. Un prêtre français a été blessé à coups de poignard à Samsun, dans le nord.
Cette année, le 19 janvier, un journaliste d'origine arménienne, Hrant Dink, a été abattu par un jeune chômeur (jeune "chomeur" SIC! SIC! SIC! NDR) à Istanbul. Il était détesté des milieux nationalistes parce qu'il écrivait contre la position officielle de la Turquie, qui nie le génocide arménien de 1915.
Les pressions se multiplient contre les chrétiens. Les missionnaires de la maison d'édition de Malatya avaient, selon le responsable, été menacés à plusieurs reprises au cours des derniers jours. Aux policiers qui les interrogeaient, les suspects ont affirmé avoir agi « pour la patrie », parce qu'ils estimaient que « (leur) pays et (leur) religion étaient menacés ». Quant à la visite du pape Benoît XVI l'an dernier, elle a été précédée et suivie de manifestations hostiles.
« Le curé de Malatya et le grand rabbin d'Istanbul ne peuvent plus sortir de chez eux sans protection. Aujourd'hui, en Turquie, il vaut mieux se faire oublier », explique un dignitaire chrétien, qui réclame l'anonymat. Il était selon lui risqué pour les évangélistes de Malatya de s'installer « en pleine Anatolie, dans un pays musulman, à un moment tendu. Mais cela n'excuse pas le crime ».
Le paradoxe, selon le dignitaire chrétien, est que ces dérapages interviennent alors que l'époque n'a jamais été aussi "libérale" (vive le libéralisme musulman! NDR). « Les choses sont plus faciles aujourd'hui qu'il y a vingt ans pour les chrétiens. Il y a moins de pressions. C'est sans doute la perspective d'entrer dans l'Union européenne qui a assoupli le contrôle. Mais les choses sont très compliquées : l'UE exerce une pression permanente pour que l'armée ait moins de pouvoir. Or, ces crimes auraient-ils eu lieu si l'armée était restée aussi puissante qu'avant ? »
En attendant, les chrétiens d'Orient, Arméniens, Grecs orthodoxes ou Assyro-Chrétiens, subissent, en Turquie, un déclin inexorable. Les coups d'État de 1971 et de 1980, la violence politique et religieuse, les ont poussés au départ. Après la Première Guerre mondiale, les non-musulmans représentaient encore un tiers de la population de la vieille Stamboul. Les Assyro-Chaldéens turcs étaient 12 000 en 1980. Ils ne sont plus que 627 aujourd'hui. www.figaro.fr

24/04/2007

Anche Vigevano ha il suo "viale Jenner"

Voglio riprendere il caso di intolleranza successa a Vigevano, per dire alcune cose riguardo al luogo dove è successo.
Bene. Allora i fatti sono questi: un marocchino convertito al Cristianesimo espone una minuscola bandierina vaticana per salutare la visita del Papa a Vigevano. Alcuni egiziani hanno divelto dei sampietrini e lo hanno preso a sassate chiamandolo ''traditore''. Tutto ciò è avvenuto, leggendo i giornali, in Via dei Mulini.
Ora, io passo tutti i giorni per quella via ( non voglio specificare perchè per motivi di sicurezza). E so che via è. E' una zona franca islamica nel centro di Vigevano ( non è molto lontana dalla Piazza Ducale). In Via dei Mulini vi è un centro culturale ( si fa per dire...) islamico, un phone center e un negozio islamico. Ho visto più di una volta un andare e venire di donne velate e imam barbuti.
Ecco, questo è quello che succede nele zone franche. Il marocchino in questione era considerato un traditore di questo piccolo ''stato nello stato'', di questa zona islamizzata.
L'altra sera mi stavo recando a salutare un mio ex compagno di liceo ora sacerdote, che celebrava un messa in una chiesetta appena fuori da questa zona islamica e ho notato quella bandierina: mi ricordo che ho pensato '' che coraggio, proprio qui''.
Non mi stupisce che questo atto di intolleranza sia avvenuto proprio in Via dei Mulini.

Andrea Sartori su www.corriere.it (forum allam)

Paolo Ferrero, uno stalinista che prepara la morte dell'Italia

ROMAGià la prossima settimana il ddl delega di riforma della legge Bossi-Fini sull'immigrazione arriverà in Consiglio dei ministri. Il testo (otto pagine in tutto) a lungo lavorato dagli uffici legislativi del Viminale e della Solidarietà sociale è finalmente pronto e introduce nel sistema una serie di corsie preferenziali per l'assunzione delle colf, delle badanti e dei talenti (tecnici, professori universitari) dando comunque più possibilità di ingresso anche al lavoratore straniero generico. E a tutti quelli che parlano già italiano.

L'ultimo scoglio è stato quello dei Cpt sui quali i ministri Giuliano Amato e Paolo Ferrero hanno visioni diverse, ma poi hanno saputo raggiungere un accordo. Tuttavia, come ha avuto modo di riconoscere anche il ministro di Rifondazione, il meccanismo dei Cpt può essere superato ma non eliminato del tutto perché altrimenti l'Italia sarebbe fuori dal sistema Schengen. Così, la soluzione individuata è quella di un circuito differenziato per i clandestini che finiscono in carcere e per quelli che alla fine collaborano per la loro identificazione. Il ddl, comunque, dovrà superare grossi ostacoli soprattutto al Senato, dove la Cdl farà di tutto per fermarlo. E qualora venisse approvato, il provvedimento concederà al governo in carica dodici mesi per esercitare la delega: con l'emanazione di un decreto legislativo che modifichi il Testo unico sull'immigrazione. Il tentativo del governo, come ha ripetuto ancora una volta ieri a Firenze il ministro Amato, è anche quello di raggiungere gli «invisibili» e di combattere l'evasione dei datori di lavoro che spesso speculano sulle rigidità delle norme in vigore: «Non è ammissibile, per esempio, che ci siano contratti in nero di alloggi dove si ammassano dieci immigrati in 25 metri quadri portando via loro 300 euro a testa». E più a fondo sul lavoro nero, Amato ha aggiunto: «Siamo davanti a una piega che va fermata. Lo so, si fermerebbero anche molte costruzioni ma lo dobbiamo fare e lo stiamo già facendo».

Cambia anche il meccanismo dei flussi. La programmazione sarà triennale, spiega Ferrero nell'introduzione del libro «Viaggio nell'Italia dell'immigrazione»: «Se si ipotizza un fabbisogno di 250-300 mila persone all'anno occorre prevedere un decreto flussi di pari dimensioni». In altre parole, circa un milione di lavoratori ogni tre anni. Ferrero aggiunge che l'immigrazione, in quanto fenomeno strutturale, deve essere in tutti i modi incanalata verso la legalità: «Sottolineo questo elemento perché dei tre milioni di immigrati che oggi vivono in Italia, l'80 per cento è passato prima attraverso la clandestinità».

D. Mart.
14 marzo 2007
COMMENTO: CARO IL MIO MINISTRO BOLSCI-SOVIETICO DI "RIFONDAZIONE STALINISTA", CHI LE HA DETTO CHE L'ITALIA HA BISOGNO DI UN MILIONE DI IMMIGRATI OGNI TRE ANNI, QUANDO ESISTONO 10% DI DISOCCUPATI SUL SUOLO NAZIONALE???!!!
QUESTA MANO D'OPERA PRONTA A TUTTO ED AD OGNI PREZZO SERVIRA' A CHI???
AD IMPRENDITORI SENZA SCRUPOLI A DETRIMENTO DEI LAVORATORI ITALIANI OPPURE ALLA CRIMINALITA' ORGANIZZATA???
SONO QUESTI DEMAGOGHI POPULISTI CHE PREPARANO LA NUOVA JUGOSLAVIA DI DOMANI!!!
UN ESEMPIO QUOTIDIANO DELLA PURIFICAZIONE ETNICA ITALICA FAVORITA DA QUESTO TIPO DI PSEUDOPOLITICANTI:
APPIGNANO (Ascoli Piceno) - Un giovane Rom, di 22 anni, Marco Ahmetovic, alla guida di un furgone ha falciato la notte scorsa cinque ragazzi tra i 16 e i 19 anni: quattro sono morti mentre uno è stato operato e si trova in ospedale in gravi condizioni. L'incidente è avvenuto intorno a mezzanotte su una strada nei pressi di Appignano (Ascoli Piceno). L'investitore, completamente ubriaco, è stato arrestato. I ragazzi erano andati insieme a prendere un gelato, quando il furgone è piombato su di loro. È stata una strage.
LE VITTIME - Erano tutti giovanissimi i ragazzi morti. Tra le vittime anche una ragazza, Eleonora Allevi, 19 anni. Gli altri sono Davide Corradetti, 16 anni, Danilo Traini, 17 anni e Alex Luciani, sedicenne. I ragazzi viaggiavano su tre scooter lungo la strada provinciale Appignanese, quando il furgone ha invaso la corsia opposta scontrandosi frontalmente con i motorini. Questi, nell'impatto, sarebbero andati a fuoco: da qui - secondo la ricostruzione fatta dai vigili del fuoco - un incendio che avrebbe parzialmente carbonizzato i corpi delle giovani vittime. Nell'incidente è rimasto coinvolto anche un altro ragazzo, il fratello di Elenora Allevi, Leonardo, di 16 anni, che ha riportato ferite guaribili in 30 giorni. Grazie a lui, ma soprattutto alla testimonianza di un giovane che con l'auto stava percorrendo la stessa strada e per fortuna è scampato alla carambola, i carabinieri hanno potuto in gran parte ricostruire la dinamica dell'incidente. Il giovane Rom, con qualche precedente per reati contro il patrimonio, guidava certamente ad altissima velocità, tanto che sul furgone è stata trovata la quinta marcia innestata.
ARRESTATO E PIANTONATO IN OSPEDALE - Il Rom si trova ora piantonato in ospedale a Ascoli Piceno, dove è stato ricoverato per le lesioni riportate a sua volta nell'incidente. Vive in un accampamento da sempre al centro di polemiche nella cittadina perché considerato incompatibile con la comunità locale. Sulla vicenda indagano i carabinieri, coordinati dal sostituto procuratore di Ascoli Piceno Carmine Pirozzoli.
I ROM SI SONO ALLONTANATI - La comunità Rom cui appartiene Marco Ahmetovic sembra essersi allontanata dall'accampamento. Testimoni hanno visto poco dopo l'incidente tre auto e sei furgoni allontanarsi dal campo dove, a parte i panni stesi e i segni di attività che si sono interrotte bruscamente, non si vede anima viva. La presenza dell'accampamento è stata sempre oggetto di proteste da parte della gente del posto, e anche oggi, fra le persone che sostavano sul luogo dell'incidente, c'era chi si scagliava contro i nomadi per le loro consuetudini e la difficoltà a integrarsi con la comunità locale. Secondo alcuni abitanti, non era inconsueto vedere i Rom girare ubriachi. Ahmetovic, nullafacente, stazionava spesso - ha raccontato chi lo conosceva di vista - in un bar a Castel di Lama, nei pressi di un distributore di benzina, ma non era considerato un attaccabrighe o un uomo dal carattere violento.
24 aprile 2007

Halte à la gauche caviar!

CLIP OFFICIEL:http://www.youtube.com/watch?v=fuCauRh9gCU

TOUT SAUF MARIE SEGOLENE ET SES CLAMPINS!

17/04/2007

Prêcher le coran en Italie

Un prêcheur turinois s'en prenait, dans ses exhortations, aux catholiques, aux juifs et aux femmes.

SOUAD SBAI est indignée. Cette Marocaine qui a fait de l'intégration des immigrés en Italie le combat de toute sa vie, ne supporte pas le climat de haine et de violence que de prétendus imams prêchent dans leurs mosquées.
Les exemples sont légion. Dernier en date, un imam turinois, Mohammed Khohaila, professe en chaire la défiance du catholique et du juif : « Ne fréquentez aucun étranger (à l'islam, NDLR). Ne faites aucun compromis avec les athées. Il faut les tuer. Un point c'est tout. » À l'égard des femmes, son enseignement est du même acabit : « Elles sont inférieures à l'homme. Soumettez-les. N'hésitez pas à les battre. Elles fileront droit. »
Des mariages arrangés
Mais les invectives de ce marchand de fruits et légumes marocain, émigré en Italie depuis dix-neuf ans et qui s'est un jour improvisé prédicateur de la foi, ne sont pas passées inaperçues. La scène a été filmée par une caméra cachée de la Rai, et diffusée à la télévision où elle a fait grand bruit. Alfredo Mantovano, ancien vice-ministre de l'Intérieur de Silvio Berlusconi et sénateur d'Alliance nationale, demande l'expulsion immédiate du prédicateur. La magistrature a ouvert une enquête.
Ces exemples de fanatisme religieux se multiplient dans les mosquées italiennes. De Turin à Milan en passant par Padoue, l'Italie du Nord pullule de ces imams radicaux. Certains sont proches d'al-Qaida ou de sectes terroristes assimilées. Tel Abou Omar, l'imam égyptien enlevé en 2003 à Milan par un commando de la CIA. Ou encore Boukiri Bousta, le prédécesseur de Khohaila, expulsé d'Italie pour ses discours fanatisés.
Des actes d'intolérance dont les femmes d'immigrés sont les premières victimes, Souad Sbai en cite des dizaines. Cela va du mari, installé à Vérone, qui fracasse la mâchoire de sa femme sans raison apparente et que le juge relaxe au prétexte que cela « fait partie de leurs habitudes culturelles », au médecin syrien qui conseille à ses patients d'avoir plusieurs femmes « parce que cela fait du bien à la prostate ». En passant par des mariages arrangés dès le plus jeune âge, ou des imams qui célèbrent en douce des unions polygames en infraction avec la loi italienne, et d'innombrables cas de séquestration de femmes et de filles à la maison.
« Comment ne pas être révoltée ? », s'indigne Souad Sbai, qui préside la communauté marocaine d'Italie et dirige des publications destinées à faciliter l'intégration des immigrés. Elle part en guerre contre « l'hypocrisie » de la gauche : « Elle se remplit la bouche de multiculturalisme, de respect des diversités culturelles. Sans chercher à dénoncer les pressions et les violences auxquelles les femmes d'immigrés musulmans sont soumises. » Elle poursuit : « De nombreuses Marocaines sont contraintes de porter le voile parce que l'imam a dit à leur mari qu'il n'était pas un homme si sa femme s'y refusait. Elles restent analphabètes» Alors qu'au Maroc, fait-elle valoir, le voile n'est pas obligatoire et le taux d'analphabétisme a régressé de 80 à 35 % en sept ans parmi les femmes grâce à la nouvelle loi sur la famille. Elle réclame davantage de fermeté vis-à-vis des imams radicaux prêchant le djihad : ils devraient, selon elle, être expulsés.

13/04/2007

Mission: detruire le socle laïque de la société

Nous vivons une époque curieuse : une religion , historiquement établie mais émergeant depuis peu, que toutes les enquêtes d’opinion désignent comme très minoritaire dans sa pratique comme dans son influence réelle, suscite une couverture médiatique, une attention bien-pensante, un intérêt politicien tels qu’on peut légitimement se demander ce qu’une telle résonance cache …

Car l’Islam – puisque c’est de lui dont il s’agit- n’est reconnu comme religion de référence que par 4 % de notre population ( enquête « CSA- Le Monde des Religions » de janvier 2007 , confirmée par l’étude parue dans « La Vie » du 01 /03 /07 ) , et pratiqué par à peine un quart de ceux-là mêmes qui le reconnaissent ( et encore : 10 % des 20 000 français de culture musulmane pratiqueraient vraiment dans les Pyrénées Orientales selon les chiffres cités par l’imam de la nouvelle mosquée de Perpignan … alors que 13 mosquées existent dans le 66 – AFP du 18 /12/06 ).
Est-ce par leur activisme , leur dynamisme, leur technique affinée du « lobbying » que les « religieux » de ce culte obtiennent une telle « surface médiatique » ? Est-ce parce qu’ils se considèrent comme « mal servis » en lieux de prières et qu’ils mènent un combat revendicatif pour marquer le paysage français des images matérielles de leur foi que les politiciens locaux ont tendance à les écouter et à aller au-devant même de besoins qu’ils amplifient ? Est-ce parce que les tenants de cette religion ont compris comment il fallait jouer des leviers de la démocratie et des valeurs républicaines qu’ils trouvent les soutiens de la « bien-pensance » médiatico-intellectuelle toujours avide d’exotisme et de minorités à défendre ? Est-ce parce que leur demande de faire valoir comme première leur loi religieuse et coutumière face à la loi générale élaborée par la communauté républicaine leur ouvre une oreille complaisante en tous ceux que le mot « République » ( et l’expression « République indivisible et laïque » ) hérissent au plus haut point ? Est-ce que c’est parce que la menace de l’intégrisme et du terrorisme islamistes fait peur à une société pusillanime , laissant par sa faiblesse s’exprimer la force de ceux qui veulent la détruire de l’intérieur, que le champ libre est donné à ceux qui souhaitent s’organiser « à part » dans une communauté repliée sur elle-même et hostile à notre Histoire et à nos valeurs ? … Toujours est-il que le discours fractionniste des tenants de l’islam politique ( cela fleure bon le pléonasme) , relayé par tout ce que la France compte de défenseurs des « opprimés et stigmatisés » et de partisans de la libre circulation de la main d’œuvre taillable et corvéable « à merci » ,semble s’imposer chaque jour davantage , faisant imaginer à chacun ce que pourrait devenir notre espace politique et sociétal si y triomphait le communautarisme , islamique d’abord , puis de toutes les composantes possibles , et pas seulement religieuses. Discours porteur du danger d’émiettement de notre société, d’introduction dans notre espace politique de la loi des minorités ou des groupes d’influence , au détriment de la loi générale élaborée démocratiquement par tous , et qui se définit non par le suffrage universel mais par « des propriétés sociales, culturelles, économiques, religieuses au nom desquelles une règle peut être produite »( C. Kintzler) . Or notre socle républicain laïque, par le pouvoir qu’il donne au citoyen en tant que tel , par son système législatif, par ses institutions , peut empêcher ce délitement de notre espace politique et sociétal> … pour peu que chacun le veuille et que les représentants du peuple s’y emploient sans arrière-pensées et avec vigueur …

Or c’est là que le « bât » blesse …

Alors que la stricte application des principes de la loi fondamentale de 1905 et de l’ensemble des textes institutionnalisant la laïcité permettrait la mise en sommeil de toutes les revendications communautaristes islamiques ou autres, alors que le « paysage » spirituel de notre pays impose encore davantage aujourd’hui qu’hier la laïcité par la prédominance de la non-religion (1 français sur 3 ne se reconnaît en aucune, 50% des catholiques avouent ne pas croire en Dieu…), on assiste à une triple instrumentalisation de la religion musulmane, claironnée comme la deuxième religion de France (4% de la population totale…et encore !) dont il faut tenter de comprendre les raisons et les mécanismes .
Il est de grande évidence que cette religion, nouvellement implantée vraiment à cause des flux migratoires du Maghreb et d’Afrique sub-saharienne, est instrumentalisée par ses religieux eux-mêmes et les adeptes d’un islam plus politique que spirituel, tant ils ressentent le besoin de conserver sur ces populations déracinées l’emprise qu’ils ont sur les populations des pays d’origine. Construire ici une communauté autour de la religion, avec mosquée, centre social, école coranique, c’est réaliser dans le nouveau pays l’espace sociétal de l’ancien et maintenir sous la coupe aliénante du « prophète » ceux qui auraient des velléités de fuite au contact d’un monde nouveau, apaisé, développé matériellement, socialement, culturellement … Vieux procédé de toute religion dominante qui ne se contente pas du salut des âmes mais veut décider du corps de chacun et du corps social en général.. Quand on arrive dans un pays où seulement 23% de la population répondent positivement à la question « la religion est-elle importante dans votre vie quotidienne ? » ( AFP. Novembre 2006), on peut être tenté de relativiser la nécessité de se conformer à des lois, des rites, des préceptes dont la pertinence est toute relative…. Ce n’est pas pour rien que l’Arabie Saoudite a dépêché en Occident des milliers d’imams pour encadrer les « fidèles » expatriés ! Que l’immigré musulman soit contrôlé, pris en charge, modelé par le religieux permet de garder la main sur lui comme sur ceux qui sont restés, de construire une base solide à un prosélytisme dont l’islam s’est toujours recommandé, d’affaiblir les démocraties d’accueil dont les valeurs, les systèmes de pensée, les modes d’organisation nient, de fait, l’islam lui-même. Aussi ces nouveaux missionnaires n’ont-ils pas manqué d’œuvrer en direction de ceux qui étaient déjà établis, jouant de leurs difficultés sociales, culturelles , intellectuelles , pour les réinsérer dans le giron d’une religion qu’ils avaient souvent quittée , la situation internationale se révélant pour ces convertis un prétexte commode et un exutoire rédempteur. …Il n’est qu’à se tourner vers les « cités » de Trappes, de Mantes ou des Mureaux (exemples parmi d’autres… ) pour se rendre compte comment une « islamisation rampante et à petits pas » les a transformées en espaces communautarisés que les leaders musulmans du secteur régissent d’une main ferme et où ils imposent une loi qui n’est plus celle d’une République qui a déserté les lieux, utilisant d’ailleurs leur influence religieuse pour peser sur les élus du suffrage universel …

Mais cette instrumentalisation de cette religion par ceux qui la structurent ne serait pas possible ici sans une autre instrumentalisation qui la permet et la sous-tend , celle perpétrée par les politiciens locaux, qu’ils viennent de « l’humanitarisme bien-pensant d’une gauche révolutionnaro-caviar » ou , tout simplement, qu’ils soient représentants du libéralisme économique triomphant. Pour ceux-ci, l’enfermement de l’immigré musulman dans le cadre strict de son espace religieux est une aubaine : outre que la libre circulation de la main d’œuvre (demandée même par un Krivine de haute volée…) leur apporte des travailleurs malléables et dociles, la prise en mains communautariste de cet afflux le soumet à la loi religieuse au détriment de la loi générale et freine par là même tout combat politique et social en transférant les difficultés , les revendications, dans le champ du sociétal où se nouent des conflits humains entre les groupes et non plus entre ceux qui possèdent l’outil de travail et ceux qui n’ont que leur force de travail à négocier… Qui ne voit ici que les « donneurs d’ordre » dans les domaines des activités non-délocalisables ont tout intérêt à laisser la main d’œuvre « délocalisée » aux mains de la communauté religieuse, surtout musulmane, afin d’économiser un combat social et politique qui est celui de l’émancipation démocratique et de l’affirmation de l’identité individuelle ? Mais, dans cette perspective, les forces dominantes du marché libéral sont rejointes ( consciemment ou non) par les tenants d’une idéologie « humanitariste » et « gauchisante » qui deviennent les apôtres d’un islam politique organisant dans l’espace sociétal unique de la République des espaces communautaires où les lois de la République(qu’ils honnissent le plus souvent) sont bafouées. Théorisant l’adage imbécile « les ennemis de mes ennemis sont mes amis » ( puisque les pays théocratiques musulmans sont les ennemis supposés des USA, et que « l’islam politique » s’oppose à la République… ), ils essaient d’exploiter là un nouveau « lumpenprolétariat » ( issu d’une immigration non-stop et de toutes les régularisations possibles et imaginables) qui leur donnerait des couleurs « électorales », à eux qui n’arrivent plus à influencer le monde du travail dans notre pays… Portant au plus au point leur rejet de notre Histoire et de son processus de création d’une République indivisible et laïque, ils espèrent de l’émiettement en communautés religieuses et/ou autres ( mais ils n’aimeraient pas des communautés évangélistes…allez savoir pourquoi !) un affaiblissement de la nation, courant de ce fait au-devant des intentions de tous ceux qui veulent construire l’Europe politique sur la « déstructuration » des nations et l’éclatement sociétal en un modèle anglo-saxon. Le bal des « faux-culs » ,ici, est rythmé par les muezzins…

Pourtant, il faut essayer d’aller « plus loin » pour mieux comprendre cet engouement « médiatico-intelletuel » pour l’islam… et s’intéresser à un évènement auquel on n’a peut-être pas suffisamment porté attention : l’élection d’un pape allemand … à un moment « géopolitique » où s’engage l’un des processus historiques les plus déterminants de l’époque actuelle, la construction politique européenne dont la réalisation est à moyen terme. Il convient de s’attacher à l’action immédiate et permanente de l’ancien cardinal Ratzinger : de sa réception le 30 /03 /06 des dirigeants du parti populaire européen à celle , toute récente, de la chancelière allemande… du discours de Ratisbonne aux foudres lancées régulièrement contre « le laïcisme »… , Benoît XVI n’en finit pas de vouloir faire jouer à son Eglise un rôle politique majeur en Europe … et le travail permanent, auprès de la Commission Européenne qui la considère comme un interlocuteur privilégié, de la COMECE ( commission des épiscopats de la communauté européenne) est là pour conforter cette analyse : ne vient-elle pas le 18 octobre dernier, avec les représentants de la Conférence des Eglises d’Europe et ceux du parlement et de la commission européens, de tenir un séminaire pour examiner de quelle manière l’église catholique pourrait participer aux services sociaux et de santé en Europe ? L’élargissement de l’Europe aux anciens « pays de l’est », la diversité des statuts qui , en Europe, régissent les rapports des églises et des Etats ( de la laïcité française au concordat et à la sécularisation à l’allemande, à la néerlandaise, à l’italienne, sans oublier la religion d’état anglicane ou polonaise…) montrent, à l’évidence, que l’église vaticane y a une position de force et que , dans cette diversité, détonne la spécificité française… dont le délitement ne pourrait que servir les intérêts d’une religion qui , chassée de l’espace public par la loi de 1905 , ne rêve que d’y revenir à l’occasion de la construction politique européenne… Il ne faut pas s’étonner, alors, de l’appui plus ou moins discret apporté aux différentes revendications de la religion musulmane en France par les représentants de l’église catholique : tout ce qui sera concédé à la demande religieuse et communautariste islamique ne pourra être refusé à l’église catholique, et l’effacement progressif des principes fondateurs de la loi de 1905 sous prétexte d u financement de la construction de mosquées , du respect des lois et des comportements coutumiers , de la limitation de la liberté de conscience et d’expression accusée d’aller trop loin , sert , en fait, à préparer le retour dans la production de la loi de la spiritualité dominante ici et en Europe… Ne pas voir comment l’Eglise vaticane, sans le dire, instrumentalise l’émergence d’une autre religion dans l’espace européen qu’elle est sûre de contrôler pour obtenir des futurs pouvoirs nationaux et communautaire un rôle dominant dans l’organisation politique et sociétale de la future Europe, c’est faire preuve d’une cécité intellectuelle dont on pourra très bientôt mesurer les conséquences tragiques pour l’organisation et le mode de fonctionnement de notre société … D’où la nécessité redoublée de lutter contre tous les discours , toutes les dérives communautaristes , en particulier quand il s’agit de l’islam en France… contre toutes les atteintes , notamment politiques et législatives, aux principes essentiels édictés par la loi de 1905 .
Il serait important qu’une réflexion s’instaure autour de ces axes d’analyse pour en étayer encore la pertinence… Mais il serait encore plus important que tous ceux qui sont accrochés à la défense et au confortement du socle laïque de notre République se rassemblent et agissent pour élaborer un « cordon sanitaire laïque » susceptible d’enfermer les futurs élus du peuple dans le respect strict et total de la « laïcité à la française ».

R. ALBAREDES

http://www.laic.fr/defendre_6.htm

COMMENTAIRE: DE CE POINT DE VUE LA, NICOLAS SARKOZY A FAIT PREUVE D'ETRE UN HOMME PRET A TOUS LES COMPROMIS. IL A PROMIS DES A PRESENT UNE MODIFICATION DE LA LOI DE 1905.

IL NE FAUDRAIT QUAND MEME PAS S'ATTENDRE A MIEUX DE LA PART DE BAYROU OU DE ROYAL...