19/03/2007
Prodi ed i "pacifinti" italiani: il ventre molle della vigliaccheria europea
La totale irresponsabilità politica del governo Prodi e della sua magioranza emerge con drammatica chiarezza in queste ore un cui siamo orripilati per lo sgozzamento del povero autista afghano Saied Agha, piangiamo assieme a sua moglie che per il dolore ha perso la creatura che teneva in seno .
La ferocia dei Talebani è nota, così come è forte il loro radicamento popolare. Ma proprio questo è quello che fa emergere l'irresponsabilità politica non solo di Giordano,del Prc, di Diliberto e Pecoraro, ma anche e soprattutto di Massimo D'Alema.
Quel Daudullah che ha dato l'ordine di sgozzare a freddo il povero dovrebbe essere infatti uno dei primi invitati alla Conferenza di Pace che il nostro Ministero degli Esteri sta invocando, davanti a attoniti interlocutori internazionali, nel momento stesso in cui il governo si rifiuta di mandare nuovi militari per combatterlo. Qari Yousuf Ahmadi, il portavoce dei Talebani dovrebbe essere presente a quella Conferenza.
E' così chiara, stridente, palese l'assurdità di questa posizione condivisa da tutto io centrosinistra, che se ne dovrebbero trarre immediate conseguenze.
Invece no.
Invece si offre al mondo uno spettacolo indecente di una presenza in Afghanistan a fare no si sa cosa, non si dotano i nostri reparti di difese adeguate, si fa parte del fronte europeo degli irresponsabili, con Zapatero, che si rifiutano di mandare nuovi soldati a Kabul e si offre ai Talebani la netta indicazione che serviva loro.
Volete colpire l'anello debole della catena, l'alleato degli americani in Afghanistan che può cedere subito? Rapite un italiano, colpite l'Italia.
I Talebani ragionano come i nazisti. Questo è il punto.Solo Prodi & C., sino ad oggi, non se ne erano accorti.
Leggete ''Il cacciatore d'aquiloni'' di Khaled Husseini!
Chiunque voglia comprendere perché è giusto e sacrosanto che anche i soldati italiani combattano, armi alla mano, contro i Talebani, legga questo fantastico best seller.
E' un romanzo, non ha nessuna pretesa ideologica, ma racconta, con uno stile perfetto, storie vere sull'Afghanistan dei Talebani.
I colori, gli odori, i personaggi, le strade, i bus, le scudisciate, le violenze, tutto, tutto è perfetto. Un libro che è l'Afghanistan.
Un libro che prende l'anima
20:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Battisti, un criminel protégé par Mitterrand et ses disciples
L'éditorial de Stéphane Marchand
À Rome, hier, le gouvernement de Romano Prodi se félicitait de la « brillante opération », à laquelle a participé la police française. L'affaire avait longtemps empoisonné les relations entre Paris et Rome, après que François Mitterrand eut offert l'asile en 1985 à l'ancien terroriste, en échange d'une vague promesse de renonciation à la violence et en dépit des charges extrêmement graves qui pesaient sur lui. Il a fallu attendre 2004 pour voir Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin effacer l'insulte faite à l'Italie et signer enfin l'extradition de Battisti vers son pays natal. L'intéressé prenait aussitôt la fuite, assuré du soutien sonore d'une bonne partie de la gauche française, fascinée par cette résurgence inespérée des émotions guerrières de sa jeunesse.
Qu'on nous pardonne de ne pas y céder. S'offusquer que la promesse faite par Mitterrand n'ait pas été tenue permet à nos beaux esprits de masquer une réalité historique. Les violences des années 1970 en Italie n'étaient nullement une guerre juste contre un « état fasciste », comme on l'entend parfois encore à Saint-Germain-des-Prés. Les dirigeants démocrates-chrétiens qui tombaient sous les balles des activistes essayaient simplement de sauver l'Italie du naufrage. Alors, le Paris radical chic a le droit de vibrer de romantisme révolutionnaire, on lui concédera aussi que les crimes de Battisti ne dispensent en rien l'Italie d'appliquer à celui-ci une justice exemplaire, mais les diatribes du Tout-Paris de la plume et de la scène au nom du fugitif avaient l'allure d'une farce ? Fallait-il que Bernard-Henri Lévy, suivi de Guy Bedos et précédant Georges Moustaki, ose mettre sur le même plan les meurtres des PAC et les déboires judiciaires de Silvio Berlusconi ? Quel besoin Bertrand Delanoë avait-il de placer Battisti sous « la protection de la Ville de Paris », si tant est que la formule ait le moindre sens ? Au nom de quoi les Verts exigeaient-ils que lui soit octroyée la distinction de « citoyen d'honneur » ?
On pourra vérifier dans les prochains jours si les groupies du terroriste ont repris leurs esprits. Faisons le pari que, à un mois du premier tour de la présidentielle, Julien Dray, un proche de Ségolène Royal, hésitera cette fois à déclarer qu'« au nom du PS », il faut voler au secours de Battisti pour « défendre l'honneur de la République ».
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16/03/2007
Islam laïque: un fantasme intellectuel qui rassure
Les 4 et 5 mars 2007, en Floride, s’est tenu le premier sommet mondial de l’islam laïque.
Parmi les intervenants, on note la présence (entre autres) de Ibn Warraq, auteur de “Pourquoi je ne suis pas musulman”, de Wafa Sultan ou Ayaan Hirsi Ali.
A l’issue des débats, les intervenants ont publié la “Déclaration de Saint Petersburg”:
"Nous sommes des musulmans laïques, et des laïcs issus de sociétés musulmanes. Nous sommes des croyants, des sceptiques, et des non-croyants, qui nous sommes rassemblés en raison du grand combat qui a lieu actuellement. Ce combat ne se déroule pas entre l’islam et l’occident, mais entre ceux qui sont libres et ceux qui ne le sont pas.
Nous voulons affirmer ici l’inviolable liberté de conscience de chacun, et notre croyance en l’égalité entre tous.
Nous insistons sur la nécessité de la séparation entre l’église et l’état et sur la nécessité du respect des droits de l’homme. Nous pensons qu’il existe une tradition de liberté, de raison, de tolérance dans l’histoire des sociétés islamiques et pré-islamiques, et que ces valeurs n’appartiennent ni à l’occident ni à l’orient ; elles sont l’héritage commun de l’humanité.
Nous ne voyons aucun colonialisme, aucun racisme ou aucune soit-disant islamophobie dans le fait de critiquer les pratiques de l’islam ou dans le fait de les condamner lorsqu’elles violent la raison ou les droits humains.
Aux gouvernements du monde entier, nous demandons :
- de rejeter la charia, les tribunaux islamiques, la loi cléricale et la religion d’état sous toutes leurs formes
- de s’élever contre toute condamnation pour blasphème ou apostasie, en vertu de l’article 18 de la déclaration des droits de l’homme
- d’ éliminer toutes les pratiques qui contribuent à l’oppression des femmes : excision, meurtres pour l’honneur, voile obligatoire, mariages forcés.
- de protéger les minorités sexuelles contre toute forme de persécution et de violence
- de reformer les programmes scolaires sectaire qui enseignent l’intolérance et les préjugés à l’égard des non-musulmans
- d’entretenir et de développer une sphère publique où tout les questions puissent être soulevées sans coercition et sans intimidation.
Nous exigeons que l’islam soit libéré de la captivité dans laquelle une orthodoxie rigide et des ambitions totalitaires le tiennent enfermé.
Nous encourageons les intellectuels et les chercheurs du monde entier à enquêter avec détermination sur les origines et les sources de l’islam, et à diffuser largement les principes de la démarche scientifique et spirituelle libre, grâce à des traductions et des publications croisées.
Nous voulons dire aux croyants musulmans : l’islam a un bel avenir en tant que foi privée, mais pas en tant que doctrine politique.
A tous les Chrétiens, Juifs, bouddhistes, hindus, bahias, à tous et à tous les croyants non musulmans, nous dison : nous sommes a vos cotés , en citoyens libres et égaux.E t à tous les non croyants, nous disons : nous défendrons votre liberté inaliénable de douter et de ne pas croire.
Avant d’être membre de l’umma, du corps du chirst, ou du peuple élu, nous sommes tous membres d’une même communauté , la communauté de ceux qui décident par eux-mêmes"
Les premiers signataires sont : Ayaan Hirsi Ali, Magdi Allam, Mithal Al-Alusi, Shaker Al-Nabulsi, Nonie Darwish, Afhin Ellian, Tawfik Hamid, Shahriar Kabir, Hasan Mahmud, Wafa Sultan, Amir Taheri, Ibn Warraq, Manda Zand Ervin, Banafsheh Zand-Bonazzi
COMMENTAIRE: L'intelligence, la culture et le courage de ces signataires ne font pas de doute. Dommage que le terme islam ne puisse pas s'accomoder d'une quelconque civilisation humaniste, car les fondations sont minées. L'islam sans Mahomet, sans coran et sans hadits reste à INVENTER!
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15/03/2007
Cet islam dit "modéré"
Le procès des caricatures est à bien des égards un révélateur montrant que sur l’essentiel, les principaux acteurs de l’islam en France convergent vers une même voie : celle qui demain, espèrent-ils, mènera la France à faire sienne une nouvelle identité islamique, affirmée et protégée.
Depuis des années, les médias s’évertuent tant bien que mal à opérer des distinctions artificielles entre «des» islams. D’un côté, l’islam intégriste wahhabite et salafiste, respectivement incarnés par l’Arabie Saoudite et les Frères musulmans. De l’autre «l’islam modéré», «du juste milieu», incarné par le Maghreb et donc Dalil Boubakeur. Postulat permettant de ne pas jeter le bébé islamiste avec l’eau du bain de l’islam qui, nous dit-on, peut parfaitement s’intégrer à la civilisation française.
Or, voici que Dalil Boubakeur, a porté plainte au pénal contre Charlie Hebdo avec la Ligue islamique mondiale, organisation wahhabite, et l’UOIF, branche française des Frères musulmans, en mai 2006. Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM) est coincé. Coincé entre la volonté d’afficher un islam «ouvert et tolérant», pour le rendre comestible à l’opinion publique française, et l’obligation de prendre en considération la volonté de la oumma afin de légitimer sa représentativité. Boubakeur a tranché, mais la participation du parangon de «l’islam modéré» à ce procès d’un autre âge, relooké par l’idéologie anti-raciste, n’étonnera que les imbéciles. Le 26 mars 2005, Dalil Boubakeur rendait visite aux dirigeants l’UOIF lors de leur congrès annuel, «une amitié d’une décennie» déclara-t-il à un journaliste de oumma.com. Au journaliste, il s’expliquait sur les anicroches qu’il avait pu avoir dans le passé avec l’UOIF qui surgit renforcée en 2003 après les premières élections du CFCM. Le partage du gâteau de la représentation de l’islam avait passablement irrité le monopole tranquille de l’institutionnel Recteur. Cependant, solidarité islamique oblige, Boubakeur se garderait bien de ranger dans la case «islamiste» l’UOIF afin de s’en démarquer. La volonté d’excommunier une organisation vouant un culte au Hamas, et ayant pour guide théologique Yussuf al-Qaradawi, favorable à l’extermination physique des homosexuels et des apostats, aurait pourtant été de bon ton pour un «modéré». Non, Boubakeur, lors de la même interview, confie que «nos objectifs sont tous convergents (avec l’UOIF ndlr), seules nos méthodes peuvent différer». Au moins, c’est clair.
Dans un livre indispensable, «Quand le Maroc sera islamiste» (La découverte), Nicolas Beau et Catherine Graciet ont parfaitement exposé la vacuité des espérances de ceux qui diagnostiquent une réforme libérale de l’islam contemporain. Au Maghreb autant qu’ailleurs, les mouvements politiques islamiques conservateurs n’ont jamais été aussi puissants. Les modernes qui, par exemple, relativiseraient la pertinence de la peine bien établie du délit de blasphème, sont des traîtres roulant pour l’Occident.
Pour Boubakeur, la Ligue islamique et l’UOIF, c’est très simple, Charlie Hebdo, en osant faire un lien entre la violence, Mahomet et les islamistes, a fait preuve de «racisme». Montrer un personnage accueillant les «martyrs» au paradis en leur demandant de rebrousser chemin car le lieu est à court de vierges, est "un véritable délit d'expression de la haine raciale" pour Boubakeur, comme si l’idéologie politico-religieuse de l’islam était une race ! Ne craignant pas le ridicule, cette accusation délirante ne convaincra pas le quidam qui voit quotidiennement à la télévision des islamistes, personnifiés par le Hamas, le Djihad islamique ou les Talibans, justifiant leurs méfaits par une référence constante au Prophète.
Mohammed Sifaoui, courageux journaliste d’investigation, a simplement apporté son témoignage en faveur de l’hebdomadaire en exposant le drapeau de l’Arabie saoudite où se déroule la chahada soulignée d’un sabre. De même, il présente le blason des Frères musulmans, soit deux sabres entrecroisés. Il rappelle à juste titre que les premiers à avoir associé islam et violence sont les musulmans radicaux, et non les journaux occidentaux. Abdel Wahab Meddeb, fin connaisseur de l’islam, témoigne également en affirmant avoir ri en visionnant la caricature de Charlie Hebdo. Ces deux hommes seraient-ils donc racistes pour les représentants du Conseil français du culte musulman, Etat dans l’Etat à dissoudre d’urgence ?
La mise sur pied du CFCM est, maintenant c’est indéniable, une faute de Nicolas Sarkozy, dépassé par sa créature à laquelle il s’oppose publiquement en soutenant Charlie Hebdo. Islam «de» France ? Non, un islam conquérant «EN» France, qui a de plus l’indécence de déplorer la politisation du procès des caricatures, alors que l’islam est justement une idéologie qui politise la religion. Pour finir et éviter toute confusion, Mohamed Sifaoui, s’il se dit musulman, a gardé de l’islam «civilisationnel» le vernis culturel et non la foi militante enracinée. Considéré comme apostat, il vit sous la menace des radicaux. Meddeb, lui, le concède ouvertement, n’est pas un croyant. Ce procès aura au moins comme mérite de montrer le parfait décalage entre ces partisans –très occidentalisés- d’un «islam des lumières», mythe n’existant que dans leur esprit, flattant les désirs trop optimistes de l’Occident, et les organisations musulmanes représentatives.
Joachim Véliocas pour LibertyVox.
Auteur de "L'islamisation de la France" aux éditions Godefroy de Bouillon
13:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : islamisation
13/03/2007
Tarik Ramadan ne respecte pas les "êtres inférieurs"
Tarik Ramadan se souviendra de son dernier passage en France. Citoyen suisse (faites-moi rire!), cet "intellectuel" musulman, critiqué notamment en France pour ses déclarations sur la lapidation, se trouvait dimanche soir à Roissy-Charles-de-Gaulle, en transit pour Londres. De source policière, Tarik Ramadan aurait emprunté un itinéraire non autorisé avant qu'une fonctionnaire de police le lui fasse remarquer. Il aurait alors insulté à deux reprises la jeune femme, qui a porté plainte. Tarik Ramadan a été interpellé et placé en garde à vue par la police aux frontières. Il est poursuivi pour « outrage ». Relâché, Tarik Ramadan aurait reconnu les faits et a été convoqué le 6 avril par le parquet de Bobigny après reconnaissance préalable de culpabilité.
COMMENTAIRE : comment ces salauds de kuffars osent-ils interpeller un grand intellectuel, un docteur es sciences de son pédophile de pseudo-prophète analphabète et néanmoins petit-fils du fondateur de ce beau mouvement spirituel que sont les Frères Musulmans!?
22:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
Bayrou, le preféré d'Allah!
Il existe un "engouement" pour François Bayrou en banlieue, affirment des responsables associatifs interrogés mardi par l'AFP selon lesquels de plus en plus d'électeurs des quartiers sensibles voient dans le président de l'UDF l'homme le plus à même de battre Nicolas Sarkozy.
"C'est lui qui bénéficie du capital sympathie. Les gens en ont soupé de la droite et de la gauche et il apparaît comme un homme neuf", affirme ainsi Stéphane Ouraoui, président de l'association Pas de quartiers, tous citoyens, présente dans toute la région parisienne.
Le candidat de l'UDF, en tournée en Seine-Saint-Denis mardi, a été bien accueilli par la population. En déplacement au Val-Fourré (Yvelines) le 9 février et à Nanterre (Hauts-de-Seine) le 30 janvier, il avait reçu un accueil bienveillant.
"Son côté anti-système plaît", confirme Mohamed Chirani, président de l'association Votez banlieue.
La tendance s'est accentuée au cours de la campagne: "Bayrou est en train de gagner la confiance de la banlieue: il bénéficie de la peur engendrée d'un côté par l'agressivité de Nicolas Sarkozy et de l'autre par les maladresses et l'inexpérience de Ségolène Royal", souligne Mohamed Chirani.
La réflexion de Nicolas Sarkozy, sur TF1, sur ces personnes qui ne respectent pas la France parce qu'elles "égorgent des moutons dans des baignoires", "en a choqué plus d'un", assure Stéphane Ouraoui. "J'étais récemment à une réunion de jeunes partisans du Parti radical de Jean-Louis Borloo à Mantes-la-Jolie. Pas un ne voulait voter pour Nicolas Sarkozy", témoigne-t-il.
A contrario, François Bayrou rassure la communauté musulmane. Sa brève apparition le 16 février au dîner de l'Union des associations musulmanes de Seine-Saint-Denis, où il s'est présenté comme "un croyant" qui "respecte les croyants", a été très appréciée, selon des participants.
Hafid Rahmouni, directeur de l'association Zyva à Nanterre, l'a trouvé "très humain" lors de son passage dans cette ville. "C'est lui qui nous a semblé le plus à l'aise. Il n'y avait pas cette distance que peut provoquer la position d'un homme comme lui. Ca a vraiment fait la différence".
Selon Stéphane Ouraoui, M. Bayrou bénéficie de l'image d'un homme "honnête" et "intègre".
La gifle donnée en 2002 lors d'une visite au quartier de la Meinau à Strasbourg à un jeune garçon qui lui faisait les poches ne lui porte pas préjudice. "Perçue comme une correction de père de famille", elle est oubliée, quand elle n'est pas saluée, selon M. Chirani.
Autre atout de François Bayrou en banlieue, et non des moindres: sa position dans les sondages qui le donnent gagnant face au candidat de l'UMP s'il était présent au second tour. "La banlieue cherche un vote pragmatique, l'objectif est de battre Sarkozy et ce n'est pas avec le vote Royal qu'on y parviendra", assure M. Chirani.
Pour certains, Bayrou apparait davantage comme un moindre mal (traduisez: celui qui va nous laisser trafiquer en paix NDR)que comme une vraie solution. "On essaie de prendre le moins mauvais pour nous, franchement, on se dit, +pourquoi pas ?+ On paie pour voir, comme au poker", explique Hamza Bouguerra, président de l'association des jeunes des Tarterêts (Essonne).
Reste à savoir si le candidat tiendra la distance et s'il pourra apparaître jusqu'au bout comme un homme au centre. "Certains en banlieue pourraient se souvenir que M. Bayrou a été ministre dans un gouvernement de droite, a soutenu des gouvernements de droite et a voulu financer les écoles privées", prévient Stéphane Ouraoui.(fin de citation)
COMMENTAIRE: les musulmans n'aiment pas le "juif" Sarkozy, ni même Ségolène, la "femelle" donc l' "être inférieur" (qui veut soit disant allourdir les peines pour les violences conjugales: de là à qu'elle trouve la sharia incostitutionnelle...dangereux!)
18:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mpf, ump, ps, udf
Volete l'Italia? Prendetela, é vostra!
ROMA — Già la prossima settimana il ddl delega di riforma della legge Bossi-Fini sull'immigrazione arriverà in Consiglio dei ministri. Il testo (otto pagine in tutto) a lungo lavorato dagli uffici legislativi del Viminale e della Solidarietà sociale è finalmente pronto e introduce nel sistema una serie di corsie preferenziali per l'assunzione delle colf, delle badanti e dei talenti (tecnici, professori universitari) dando comunque più possibilità di ingresso anche al lavoratore straniero generico. E a tutti quelli che parlano già italiano.
L'ultimo scoglio è stato quello dei Cpt sui quali i ministri Giuliano Amato e Paolo Ferrero hanno visioni diverse, ma poi hanno saputo raggiungere un accordo. Tuttavia, come ha avuto modo di riconoscere anche il ministro di Rifondazione, il meccanismo dei Cpt può essere superato ma non eliminato del tutto perché altrimenti l'Italia sarebbe fuori dal sistema Schengen. Così, la soluzione individuata è quella di un circuito differenziato per i clandestini che finiscono in carcere e per quelli che alla fine collaborano per la loro identificazione. Il ddl, comunque, dovrà superare grossi ostacoli soprattutto al Senato, dove la Cdl farà di tutto per fermarlo. E qualora venisse approvato, il provvedimento concederà al governo in carica dodici mesi per esercitare la delega: con l'emanazione di un decreto legislativo che modifichi il Testo unico sull'immigrazione. Il tentativo del governo, come ha ripetuto ancora una volta ieri a Firenze il ministro Amato, è anche quello di raggiungere gli «invisibili» e di combattere l'evasione dei datori di lavoro che spesso speculano sulle rigidità delle norme in vigore: «Non è ammissibile, per esempio, che ci siano contratti in nero di alloggi dove si ammassano dieci immigrati in 25 metri quadri portando via loro 300 euro a testa». E più a fondo sul lavoro nero, Amato ha aggiunto: «Siamo davanti a una piega che va fermata. Lo so, si fermerebbero anche molte costruzioni ma lo dobbiamo fare e lo stiamo già facendo».
Cambia anche il meccanismo dei flussi. La programmazione sarà triennale, spiega Ferrero nell'introduzione del libro «Viaggio nell'Italia dell'immigrazione»: «Se si ipotizza un fabbisogno di 250-300 mila persone all'anno occorre prevedere un decreto flussi di pari dimensioni». In altre parole, circa un milione di lavoratori ogni tre anni. Ferrero aggiunge che l'immigrazione, in quanto fenomeno strutturale, deve essere in tutti i modi incanalata verso la legalità: «Sottolineo questo elemento perché dei tre milioni di immigrati che oggi vivono in Italia, l'80 per cento è passato prima attraverso la clandestinità».
09:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
12/03/2007
Pourquoi l'islam est-il un problème?
L’Islam est un projet criminel avant d’être une religion
Rejeté par les siens (à La Mecque), Mahomet fit de sa religion une société secrète puis s’associa à des gens d’armes pour la diffuser. À Médine, il imposa aux Juifs une «constitution» inacceptable puis, devant leur rejet, les traita de traîtres, les chassa, les dépouilla, les massacra et réduisit les survivants en esclavage. Dès lors, tout ce qu’il consomma et utilisa provenait de butins, et c’est de ces actes qu’ont été dérivées les lois de l’Islam – les lois, donc des préceptes à caractère obligatoire. Les lois islamiques, censément divines, autorisent ainsi de fait les Musulmans à chasser, piller, massacrer des gens au prétexte qu’ils sont non-Musulmans et refusent de se soumettre à leur religion – et ils le firent, avec beaucoup d’ardeur. Au sens des lois occidentales actuelles, cela constitue une sanctification du crime organisé. Et cela le reste malgré toute la beauté fascinante des arabesques pseudo-religieuses dont s’entoure ce projet aujourd’hui.
L’Islam est entièrement défini en termes autoritaristes et superlatifs
L’Islam serait la dernière religion révélée, Mahomet serait le «sceau» des prophètes, le Coran serait la parole même de Dieu, l’action de l’Islam n’est limitée que par la réussite totale, c’est-à-dire l’imposition de l’Islam partout sur Terre. Aucune autre religion ne doit subsister – les autres religions du livre sont tolérées mais humiliées. Si ces éléments n’ont pas été si visibles ces dernières décennies, c’est que l’Islam a raté le tournant des lumières et a été vaincu sur tous les plans par l’Occident, tourné lui vers le progrès. L’Occident a commis bien des erreurs, mais il les a dépassées, notamment en s’orientant sur les droits de l’homme, sur la valeur de l’individu – créature de Dieu pour les uns ou simple réussite de l’évolution pour les autres, mais digne en elle-même de respect. L’Islam a gardé ses lois rigides visant la suprématie ultime et fondées sur la séparation inéluctable entre Musulmans et incroyants.
Les textes islamiques sont abjects et chaque Musulman est censé les respecter
L’Islam n’est pas défini par les Musulmans que nous côtoyons, mais par ses textes sacrés. Et ceux-ci sont fort clairs. Mahomet et ses compagnons n’usaient pas de paraboles – ils utilisaient les termes les plus démonstratifs possibles. Ainsi, le comportement des Musulmans, malgré l’apparence de désordre créée par le schisme et le fractionnement qui s’ensuivit, est parfaitement cohérent envers les non-Musulmans. En se tenant aux textes, au Coran et aux traditions du prophète, les Musulmans doivent faire la guerre aux non-Musulmans qui refusent de se soumettre. Ils doivent massacrer, couper la tête des combattants, puis attacher solidement les victimes survivantes (les non-combattants) devant ce spectacle puis faire des esclaves de ces gens psychologiquement brisés, ce qui explique la diffusion de vidéos de décapitation. Car c’est-là la méthode de Mahomet. Que cela soit historique ou mythique joue ici un rôle bien moindre que la foi placée en la véracité de ces textes – par définition, un Musulman est quelqu’un qui les croit véridiques et doit en perpétuer le message.
L’Islam est un appel à un éternel retour au barbarisme médiéval
Mahomet a résolu tous ses problèmes par la violence – adversaires politiques, poètes insolents, peuples rétifs – tous ont été soumis à force de tueries. Jamais cet homme n’a résolu ses conflits par la conciliation autrement que pour se préparer à rompre ses engagements dès que les circonstances lui étaient à nouveau favorables. C’est le cas de nombreux souverains médiévaux, certes, mais Mahomet est le seul qui ait fondé une religion sur cette base. Les Musulmans qui étudient leurs textes originaux avec foi, et ils sont de plus en plus nombreux de nos jours, sont irrésistiblement attirés vers la manière expéditive du prophète de résoudre ses problèmes. Et, évidemment, de mentir aux non-Musulmans à leur propos lorsque cela est judicieux, comme l’a autorisé le prophète.
Le Coran lui-même est une terrible incitation à la haine
Aucun autre thème n’est plus présent dans le Coran que la haine de l’autre, de celui qui ne croit pas. L’Islam s’assimile à la volonté de Dieu et considère tous ceux qui lui résistent comme fondamentalement opposés à cette volonté. Le Coran prononce d’innombrables malédictions à leur encontre, les déclare perdus à jamais et depuis toujours, les voue aux gémonies dans la majorité de ses sourates, en insistant, même, pour dire que rien ne pourra les sauver, que personne, jamais, ne prendra leur défense. Le Coran prononce également des ordres meurtriers concrets à leur égard. Les Musulmans apologistes, parfois par ignorance, mais plutôt par malhonnêteté lorsqu’ils sont érudits, affirment volontiers que ces ordres doivent être compris dans un certain contexte. Mais celui-ci n’est pas dans le Coran, il est déduit des traditions du prophète, et tous les juristes islamiques classiques ont considéré ces actes comme faisant autorité dans des situations analogues. Car aucune autre déduction n’est possible si l’on croit aux malédictions proférées de manière répétitive, routinière, par ce livre censé contenir la parole même de Dieu.
Les Musulmans sont incapables de résister à l’incitation de leurs textes
Le Musulman qui met en doute le bien-fondé de l’Islam se met en position d’apostasie. Or cela est extrêmement difficile, pour plusieurs raisons. D’abord, être musulman, c’est croire appartenir à la meilleure religion, croire notamment, donc, que le sang versé l’a toujours été pour de bonnes raisons. Même l’abattage au sabre d’une centaine de milliers de non-Musulmans sans défense en une seule journée a pu paraître parfaitement légitime à des Musulmans, et même, s’il faut en croire les récits des Musulmans eux-mêmes, à ceux d’entre eux qui, sinon, répugnaient à se battre. Cesser de croire en la perfection de ces lois, c’est faire face, d’une part, au risque de s’en retrouver la victime – menacé par sa propre famille, rejeté par les siens, dénigré par tout l’établissement musulman – et, d’autre part, à la culpabilité accumulée par les pensées et les actes que cette religion a inspirés. Certains franchissent ce pas tout de même – ce sont des héros. Mais la grande majorité d’entre eux ont besoin pour cela d’un coup de main. Une interdiction assortie d’une amnistie totale à l’issue d’une réforme pourrait apporter à ceux qui ne trouveraient pas en eux-mêmes le courage nécessaire la motivation à jeter enfin un regard objectif sur les préceptes de leur religion. Et cela seul suffirait.
Il est illusoire d’espérer réformer l’Islam par le contact avec l’Occident
L’Islam semble avoir fait des progrès – l’esclavagisme n’y est plus officiellement autorisé, par exemple, et de nombreux pays «musulmans» ont des lois proches des codes occidentaux. Mais ces progrès ne sont pas dus à une remise en question des bases légales islamiques par des Musulmans – ce sont les résultats de contraintes exercées par des puissances coloniales et des despotes inspirés par l’Occident. Et aussi longtemps que Mahomet sera considéré comme un modèle, tous les Musulmans qui connaissent leurs textes sacrés seront tenus de se comporter comme ce que nous appelons aujourd’hui des terroristes. L’Islam modéré, occidentalisé, n’est en fait qu’une très mince couche de vernis. En favorisant l’Islam, en acceptant sa légitimité, malgré toutes les belles paroles dont nous pouvons enrober cette louable intention, nous donnons en fait un regain d’impact aux raisons mêmes pour lesquelles les Musulmans deviennent «islamistes».
La solution réside dans l’examen à froid des textes par les Musulmans
Les textes qui dictent aux Musulmans de se comporter comme des criminels envers les incroyants (ou les mauvais croyants) sont, en dépit de toute la sacralité qui leur est attribuée, ou peut-être justement à cause de celle-ci, extrêmement fragiles devant un examen scientifique objectif. Les seules écritures dont l’origine est censée remonter directement à Mahomet sont celles contenues dans le Coran. La totalité du reste n’est reliée aux faits que par une masse formidable de ouï-dire sans aucune crédibilité valable en regard des critères ordinaires des historiens dignes de ce nom. Contrairement à l’impression donnée par la profusion de détails avec laquelle les textes sacrés islamiques décrivent Mahomet et ses compagnons, les historiens ne disposent d’aucune confirmation solide des événements en question. Tout repose sur des sources dont nous n’avons que les noms, des noms que personne d’autre ne mentionne sinon les collecteurs de traditions et les biographes musulmans, tous se citant les uns les autres et s’abreuvant aux mêmes sources, lesquelles, de manière symptomatique, livrent d’autant plus de détails sur les événements originaux qu’elles en sont éloignées dans le temps. Et quant au Coran, il contient tant d’erreurs, de contradictions, de contre-vérités flagrantes, de propos haineux excessifs, de décisions visiblement dictées par des considérations terre-à-terre, bref tant de choses médiocres qu’un esprit clair, libéré de la fascination artificielle créée par le rituel et la terreur, ne peut qu’en rejeter le message.
Il faut donc, en plus de l’interdiction de la pratique de l’Islam partout où cela est possible, favoriser la recherche et surtout la vulgarisation de l’examen des textes islamiques au sein même de l’Islam – autant que possible directement à La Mecque. Or cet effort de recherche est déjà en cours, et même déjà fort bien avancé, voire pour ainsi dire achevé. Le gros du matériel nécessaire à ladite vulgarisation est déjà recensé, connu, étudié, classé, traduit, compris, assimilé, par des gens qui y ont consacré des efforts des plus méritoires. Il ne reste plus, donc, qu’à mettre en place un dispositif qui permettra aux Musulmans d’ouvrir les yeux. C’est là avant tout un travail politique. Un travail auquel l’interdiction de l’Islam en Occident peut fournir une impulsion déterminante. Et c’est pour cela surtout qu’il faut interdire l’Islam.
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11/03/2007
Le "pire d'entre nous" nous quitte
Ca y est, Chirac nous fait grâce de ne pas se représenter à la prochaine élection Présidentielle!
Quelle bonté et quelle grandeur!!
Fabuleux bilan de cet "immense" homme politique: 40 ans de pouvoir avec la droite comme avec la gauche, pourvu qu'on ait du pouvoir!
Celui qui n'a jamait été condamné pour differentes affaires de detournement d'argent publique, celui des frais de bouche impériaux à la Maîrie de Paris, celui qui a explosé le budget de l'Elisée au frais du contribuable, celui qui voulait faire de l'Europe une province de l'axe franco-allemand, parce que "nous" sommes les meilleurs.
Celui qui delivrait des leçons de conduite à tout le monde.
Celui dont la femme avait trois secrétaires à l'Elysée, et qui collectionnait les "pièces jaunes".
Celui qui soit disant était de droite mais condamnait le libéralisme.
Celui qui n' a rien reformé et qui nous laisse plus de milles milliards d'euros de dettes à payer.
Celui qui a été un des maîtres principaux de l'invasion généralisée "desintégrée" de la France et porte drapeau du rélativisme culturel.
Celui qui a contribué par ses choix démagogiques à faire en sorte que l'extrème droite passe de 2% à 25% en l'espace de quinze ans.
Celui du monument aux morts "musulmans" de Verdun, aussi gros ou presque que celui de tous les "autres" morts, ceux sans confession, tout simplement morts pour la France. (*)
Le grand pôte à tous les dictateus Africains et Proches Orientaux, pourvu qu'on fasse "business" ensemble (My god, horreur, un mot anglais, je m'en vais!).
Celui qui s'est mis à égale distance entre les totalitaristes et les Etats Unis, faisant de la France un Pays non aligné
Celui qui pense qu'on peut négocier avec Hezbollah et Hamas.
Celui qui a refusé d'admettre les racines chrétiennes de l'Europe, vrai dénominateur commun de nos valeurs humaines universelles.
Celui qui a affirmé que l'Europe avait aussi des racines musulmanes! Comme si on disait que la France avait des racines nazies parce qu'elle a été envahie par Hitler.
Le paladin de l'entrée de la Turquie dans l'UE, parce que les affaires sont les affaires, et tout se negocie.
Adieu Monsieur Chirac, la France ne vous regrettera pas.
L' Europe encore moins!
(*) http://valeursoccidentales.hautetfort.com/archive/2006/06/25/la-honte-de-verdun.html
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Liberatelo, il fronte marxislamico ve lo domanda!
L'imam rapito dalla Cia in Italia nel 2003 chiede dall'Egitto ai talebani la liberazione del giornalista di «Repubblica» |
MILANO - Abu Omar, l’imam rapito dalla Cia in Italia nel 2003 e di recente riparato in Egitto, chiede la liberazione dell'inviato di «Repubblica» Daniele Mastrogiacomo, rapito dai talebani in Afghanistan. Attraverso i microfoni di Sky Tg24, Abu Omar si rivolge così ai suoi sequestratori: «Generosi Fratelli ho appreso tramite le agenzia di stampa che avete sequestrato il giornalista italiano di origini pachistane Daniele Mastrogiacomo, corrispondente del quotidiano italiano la Repubblica, accusato di spionaggio a favore della Gran Bretagna. «L’associazione Reporters senza Frontiere e il direttore del quotidiano italiano hanno negato che egli sia una spia - dice ancora Abu Omar - Anzi, giovedì 8 marzo, persino lo sceicco Samialhaq vi ha rivolto un appello per la sua liberazione attraverso le agenzie di stampa italiane. Per onorare me stesso e per misericordia verso i vostri fratelli musulmani residenti in Italia, se l’accusa di spionaggio nei confronti di Mastrogiacomo non viene confermata, io mi appello a voi per la sua immediata liberazione. Fratelli membri del Movimento Talebano - ricorda Abu Omar - il popolo italiano ha aperto il suo cuore a me ed ai musulmani residenti in Italia. Ci ha dato da mangiare e da bere e ci ha offerto luogo sicuro e lavoro permanente. Il popolo italiano, inoltre, è contro la partecipazione del suo governo all’invasione dell’Iraq e dell’Afghanistan». 11 marzo 2007 www.corriere.it |
COMMENTO: se un grande uomo, un democratico, un pluralista, un progressista, come il "povero" Abu Omar vi chiede di liberare il marxigiornalista di Repubblica, liberatelo dunque.
In cambio vi offriamo il ritiro dall'Afganistan, mille nuove moschee al posto delle nostre Cattedrali, ed il diritto di trombare le nostre donne a vostro piacimento.
Italiani, brava gente!
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