07/09/2006
TPS: Tout le Prophète Sanguinaire
Avez-vous un abonnement à TPS?
Oui? Alors vous devriez savoir que dans ce superbe bouquet riche en culture, il existe una chaine appelée "Sharia" qui transmet depuis ce magnifique Pays qu'est l'Arabie Saudite.
Comme son nom l'indique, elle promeut les "valeurs" coraniques, à savoir la tolérance, l'anti-racisme, la communion entre les peuples et les cultures, l'ouverture aux autres réligions, l'égalité homme-femme, la non discrimination "fidèles"-"infidèles"...
Vous allez me dire qu'avec un decodeur sans abonnement on peut la recevoir sans problème, son but étant de faire connaître la RATP (Réligion d'Amour, de Tolérance et de Paix) à ces pauvres d'ésprit d'occidentaux, et de renforcer la foi des disciples mahométains.
Neanmoins il me semble très opportun qu'elle bénéficie d'une promotion à l'écoute de la part de TPS, au cas où quelqu'un ne l'aurait pas remarquée et appreciée à sa juste valeur... celle de la SHARIA, justement.
Alors, merci TPS , et à bientôt pour Al Manar!
21:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mpf, ump, islamisation
05/09/2006
Mysoginie islamique
Entretien avec Chahdortt Djavann - L' AUTEUR DE "BAS LES VOILES!"
Par Ilana Moryoussef (2003)
« Aujourd'hui en France, il y a des islamistes plus dangereux que ceux des pays musulmans. Et quand je pense qu'ils sont devenus les interlocuteurs des pouvoirs publics !..."
Un entretien choc, comme le livre-cri que Chahdortt Djavann, jeune romancière d'origine iranienne, a publié chez Gallimard . En une cinquantaine de pages, dont le premier jet a été écrit en trois jours, elle dénonce le voile et ses défenseurs en France : les islamistes et leurs complices, intellectuels « tolérants » et hommes politiques démissionnaires. Pour « proche-orient », C. Djavann livre également avec force sa vision des politiques français qui, selon elle, « laissent parler la peur au lieu de s'en tenir au droit », elle commente l'attitude la Commission Stasi sur la laïcité, pour conclure : " J'aimerais qu'on se réveille ici en France !"
Ilana Moryoussef
Chahdortt Djavann, vous êtes une femme en colère. Pourquoi ?
Chahdortt Djavann
Je suis en colère parce que nous sommes confrontés à la bêtise. Que signifie être « tolérant » quand on se trouve devant l'intolérable ? Face à un islamiste de l'UOIF, j'ai l'impression de revenir en arrière et de me retrouver en Iran. C'est ça qui me met hors de moi ! Aujourd'hui en France, il y a des hommes plus dangereux que les islamistes dans les pays musulmans. Et ils sont les interlocuteurs des pouvoirs publics !
I. Moryoussef
Que reprochez-vous au juste aux pouvoirs publics ?
C. Djavann
Ils se comportent comme s'ils découvraient aujourd'hui seulement qu'il y a des banlieues et des ghettos. Depuis plus de dix ans, on a donné une certaine autorité à des islamistes qui exercent leurs pressions dans les cités. C'est comme si on faisait de nos banlieues une sorte de protectorat ou de colonie. Au lieu de s'attaquer aux causes de la violence, on opte pour la répression. Les immigrés subissent une répression double : celle qui découle de la politique sécuritaire du gouvernement, et celle qui consiste à les placer sous une autorité religieuse pour avoir la paix. Pour l'instant, ça marche, mais ça ne tiendra pas. Je suis pessimiste. Cette politique démissionnaire fait le lit du Front national
I. Moryoussef
Comment expliquez-vous la frilosité des responsables politiques qui n'osent pas se prononcer en faveur d'une loi contre les signes religieux de peur « d'humilier » telle ou telle partie de la population ?
C. Djavann
On est en train de nous dire que les droits de l'homme seraient interprétés comme une humiliation par les musulmans ! C'est faux ! Les islamistes l'interprèteraient ainsi, mais ils représentent une infime minorité des musulmans. Il y a des dizaines d'associations de femmes d'origine maghrébine qui demandent au contraire qu'il y ait une loi. Elles disent : « Il ne faut pas accepter le voile à l'école, sinon on ne pourra plus ne pas le porter. » Je reviens de l'enregistrement d'une émission à laquelle participait une femme voilée. Elle a fait deux fois le même lapsus. Elle a dit : « Il faut lutter contre les filles qui ne veulent pas porter le voile ». C'est révélateur, non ?
Le drame aujourd'hui, c'est que les politiques laissent parler la peur au lieu de s'en tenir au droit. Que dit Monsieur Sarkozy ? Qu'il ne faut pas de loi parce que ça va chauffer dans les banlieues ! Mais si on ne fait pas de loi aujourd'hui, qu'est ce que ça va être dans quelques années ?
Moi, je propose qu'on fasse un référendum. On dit qu'il y aurait cinq millions de musulmans en France. Qu'on vote ! Je suis sûre que la majorité se prononcera contre le port du voile pour les mineures. Si le gouvernement a la trouille, qu'il demande l'avis des musulmans eux-mêmes.
I. Moryoussef
Vous avez néanmoins reçu un courrier abondant de diverses personnalités politiques
C. Djavann
Laurent Fabius m'a écrit qu'il était d'accord avec moi. Je remarque cependant que la gauche n'a pas agi contre les intégristes quand elle était au pouvoir. Le Président de la République m'a écrit que mon livre allait contribuer positivement au difficile débat sur la laïcité et le voile islamique. J'ai vu Madame de Villepin, qui aimerait que je rencontre son mari (Dominique de Villepin) pour lui exposer mes observations. Des femmes députées de gauche ont souhaité me rencontrer.
I. Moryoussef
Vous avez été auditionnée par la Commission Stasi pour la laïcité (mise en place par Jacques Chirac). Vous avez reçu un accueil assez mitigé.
C. Djavann
J'ai été agressée par Hanifa Chérifi (médiatrice dans les affaires de foulard au ministère de l'Education nationale, ndlr), qui prétend qu'il y a quatre cas de conflits liés au voile islamique dans les établissements scolaires du pays. Elle m'a également reproché de n'avoir rien fait pour les femmes de mon pays et de m'occuper de la France. Mais je suis française, et je m'occupe de ce qui se passe autour de moi. Figurez-vous que Madame Hanifa Chérifi soutient que les filles voilées sont des cas individuels n'ayant aucun rapport avec l'islamisme ! Et puis, qu'est-ce que c'est que cette Commission où on fait appel à un islamologue (Mohammed Arkoun, ndlr) incapable de répondre à la question de savoir pourquoi on voile les filles ? Si, après des dizaines d'années, on n'est pas capable de répondre à une question aussi simple, il est temps de changer de métier ! Je me suis également accrochée avec le sociologue Alain Touraine qui assure que les femmes iraniennes sont heureuses du sort qui leur est fait. Il se fonde sur des enquêtes bidon. Je lui ai dit : « Vous êtes sous l'influence des islamistes ». Il m'a répondu : « Attention à votre langage ». J'ai répété : « Vous êtes sous l'influence des islamistes ». J'ai aussi été attaquée par l'avocate Nicole Guedj qui m'a demandé comment on pouvait formuler juridiquement ma proposition selon laquelle le voile est une maltraitance à l'encontre des mineures. Je pense que les Français ont le droit de savoir qu'aujourd'hui en France, dans une commission sur la laïcité, on fait appel à des personnes qui prennent le parti des intégristes.
I. Moryoussef
Vous n'appréciez guère un certain un discours sociologique qui prône la tolérance du voile au nom du droit à la différence et du respect des cultures
C. Djavann
A ceux qui tiennent ce discours, je dis : « Portez le voile pendant un an et revenez discuter avec moi ». Que connaissent-ils du voile ? Que savent-ils de l'islam ? C'est cela aussi que je reproche à certains intellectuels français. Ils abusent de leur position d'intellectuels pour se prononcer sur tout et n'importe quoi. Même dans les pays musulmans, le fait de faire porter un voile aux mineures est un comportement intégriste. À un moment de son histoire, la France a su remettre à leur place les dogmes catholiques. Pourquoi n'en ferait-on pas autant avec les dogmes de l'islam ? Quand je dis cela, ces intellectuels me regardent d'un air gêné.
I. Moryoussef
Vous avez été obligée de porter le voile de 13 à 23 ans, à cause de la révolution islamiste de 1979 en Iran. Que ressentiez-vous ?
C. Djavann
Je ressentais l'humiliation d'être femme, d'habiter un corps féminin. Pourquoi la femme devrait-elle cacher sa chevelure au regard des hommes ? Cette question, je la pose à ces intellectuels « tolérants », aux midinettes voilées influencées par Tariq Ramadan, à Monsieur Tariq Ramadan lui-même ! Les femmes seraient-elles porteuses d'un gène coupable ? Je garde le souvenir de scènes terribles. Je me souviens d'une femme en couche implorant le médecin dans un hôpital iranien : « Si c'est une fille, jetez-la à la poubelle ! Si je rentre à la maison avec une fille, mon mari me tuera ». Une fille est considérée comme une honte et un danger. Pensez donc ! Elle peut porter atteinte à l'honneur des messieurs. J'aimerais qu'on m'explique pourquoi l'homme se sent déshonoré si la femme transgresse les règles de la pudeur. Pourquoi l'honneur des hommes musulmans s'inscrit-il sur le corps des femmes musulmanes ? Qu'ils assument leur honneur tout seuls !
I. Moryoussef
C'est cela qui vous a décidée à écrire ce pamphlet ?
C. Djavann
Je me suis décidée quand j'ai vu des gamines de 12 ans commencer à porter le voile et quand j'ai entendu certains intellectuels dire que renvoyer de l'école les élèves voilées ne fait qu'aggraver leur situation. Ces personnes bien intentionnées n'ont pas pensé que le fait de tolérer des jeunes filles voilées à l'école ne ferait qu'accroître la pression sur les adolescentes musulmanes.
I. Moryoussef
Certains défenseurs du voile expliquent que c'est une façon pour les filles des cités de se protéger des garçons
C. Djavann
C'est inadmissible. Cela revient à s'incliner devant la violence. D'ailleurs, permettez-moi de vous dire que c'est dans les pays où les femmes sont voilées qu'il y a le plus de prostitution et de pédophilie ! Moi, ce que je demande, c'est qu'on interdise le port du voile pour les mineures.
I. Moryoussef
Votre argumentation est nouvelle. Vous ne placez pas le débat sur le terrain de la laïcité, mais sur celui de la protection des mineures.
C. Djavann
Il faut savoir que, dans l'islam, une fille voilée est considérée comme nubile. Autrement dit, c'est une fille qu'on met sur le marché du mariage et, par conséquent, sur le marché du sexe. Quand on voit des fillettes de 9 ans porter le voile, on est quasiment dans la pédophilie ! Il y a des lois en France pour protéger les mineurs de toute forme d'abus sexuels. Voilà pourquoi je réclame l'interdiction de faire porter le voile aux mineures. Le voile est une violence physique et psycho-sexuelle infligée aux filles. Il équivaut à disposer de leur corps, à définir l'adolescente comme un objet sexuel destiné à satisfaire le désir des hommes. C'est de la barbarie !
Moryoussef
L'avocate iranienne Chirine Ebadi vient de recevoir le prix Nobel de la paix. 10 000 personnes l'attendaient à l'aéroport de Téhéran. Est-ce le signe que quelque chose change en Iran ?
C. Djavann
Je vais vous dire ce qui a changé. La compagnie Total a obtenu un contrat pour créer la raffinerie la plus importante du golfe persique à Bandar Abbas. Une plage a été créée pour les touristes occidentaux. Rien d'autre n'a bougé dans cette société. Il faut qu'il y ait des moments de détente et des moments de reprise en main. C'est le propre de tout système répressif. Si on tire trop sur une corde, elle risque de se casser.
I. Moryoussef
Est-ce que vous vous définissez comme musulmane ?
C. Djavann
Dans mon premier roman (ndlr :« Je viens d'ailleurs », éditions Autrement), j'écris : « Avant qu'on me décrétât musulmane, j'étais génétiquement athée ». Aujourd'hui, je dis : « Dieu merci, je ne suis même pas athée ». Je n'ai aucune indulgence pour les religions, quelles qu'elles soient. Alors Dieu, Allah, ou Yahvé, qu'ils me foutent la paix !
I. Moryoussef
Êtes-vous inquiète ?
C. Djavann
J'aimerais que ce livre serve à quelque chose. J'aimerais qu'on se réveille ici en France !
18:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mpf, ump, islamisation
03/09/2006
Famiglia "italiana" con niqab
19:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
Guerre contro l'Europa (download)
Scarica il PDF del libro di Alexandre Del Valle (download libero tratto dal sito www.alexandredelvalle.com):
del_valle-Guerre_contro_leuropa.2.pdf
NOTA BENE: il libro é stato scritto prima dell' 11 settembre 2001
19:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ahmed Rami, le mentor naziste de radioislam, et ses potes
Ahmed Rami, alors jeune officier de l'armée marocaine, a participé à l'été 1971 à un coup de force militaire qui échoua. En fait, au dernier moment, alors qu'il était à la tête d'un convoi volant « au secours d'une victoire qu'il croyait acquise », Rami retourne sa veste et se range au coté du général Oufkir, alors homme fort d'Hassan II. Pendant un an Rami sera un proche d'Oufkir, qu'il « arabisa ». Raouf Oufkir, le fils du général, rapporte que Rami était « un fou furieux, un jeune Kadhafi », dont l'idole était Nasser. C'était aussi un antisémite virulent: « Il mêle des convictions panarabes et une ardente foi musulmane à un antisémitisme viscéral ». Ahmed Rami disait d'Hitler qu'il « aurait du achever son oeuvre » d'extermination des Juifs. D'ailleurs, en 1997, Ahmed Rami a répété, lors d'une interview à un magazine musical néo-nazi, Nordland, que, concernant les Juifs, Hitler était « le seul leader européen à avoir compris de quoi il s'agit ». En 1972, le général Oufkir tente d'assassiner Hassan II. Il sera suicidé. Rami s'exile en Suède et prétend avoir participé à la tentative de coup d'état d'Oufkir, afin d'obtenir l'asile politique. Il est cru et a aujourd'hui la nationalité suédoise mais, en 1992, le très sérieux journal suédois Expressen a révélé que les informations données par Rami pour sa demande d'asile étaient erronées. Rami a porté plainte contre Expressen mais a été débouté. L'Expressen a également révélé les liens étroits, principalement financiers entre Rami et l'Iran, et certaines ambassades arabes.
Depuis son arrivée en Suède, Rami est très lié à l'islamiste pro-nazi suisse, Ahmed Huber. Converti à l'Islam au début des années 1960, Ahmed Huber cotoie dans l'Égypte nasserienne d'anciens nazis dont, principalement, l'ancien bras droit de Goebbels pour la propagande antisémite, Johann von Leers, lui aussi converti à l'Islam sous le nom d'Omar Amin von Leers. En 1987, Ahmed Rami fonde Radio Islam avec David Janzon, membre du Sveriges Nationella Förbund, un vieux groupuscule nazi. Il y diffuse en continu de la propagande antisémite, néo-nazie et négationniste. Certaines des émissions de Rami reprennent mot pour mot des articles du journal ultra-antisémite du nazi Julius Streicher, der Stürmer. Rami travaille avec les néo-nazis de tous horizons.
En 1990, Ahmed Rami est condamné à six mois de prison. L'organe d'un parti nazi international (le NSDAP-AO), The New Order, le présente alors comme un « white power prisonner », un martyr de la cause nationale-socialiste. A sa sortie de prison, il se rend en Iran pour une « conférence internationale pour le soutien de la révolution palestinienne » où il s'exprime devant des centaines de journalistes arabes et iraniens. Rami a d'ailleurs refait une tournée dans les pays arabes en 1999. Il se rend également aux conférences de l'IHR. En 1997, Rami accusait sur les ondes les Juifs et leurs descendants de la responsabilité de la mort de Jésus, et d'avoir incité Néron à tuer des Chrétiens. En 1996, Rami inaugure son site web, Radio Islam. Antisémitisme fanatique, néo-nazisme, négationnisme, le programme est le même que celui de sa radio, ou de la revue du même nom créée en 1994. Rami héberge même un temps un site web catholique intégriste violemment antisémite, « holywar », ou le site du parti d'extrême droite russe ultra-nationaliste, le Pamyat, voire des pages de néo-nazis espagnols, etc.
Valérie Igounet écrit: « L'imbrication de la propagande négationniste et de la propagande fondamentaliste antisioniste est exemplaire. Les soubassements rhétoriques d'Ahmed Rami, nouvel héros de cette contestation, intègrent des thèses islamistes ultra-radicales imprégnées d'antisionisme et d'antisémitisme». Le tout est d'une violence inouïe. On y trouve la panoplie complète de l'antisémite moderne: Protocoles des sages de Sion (en huit langues), le pamphlet antisémite d'Henry Ford, The International Jew, des extraits des délires antisémites de Luther, ceux du leader noir américain Farrakhan, mais aussi La Question juive de Karl Marx, et des listes de Juifs (dans la finance, dans les médias, dans la diplomatie), d'innombrables caricatures antisémites dignes des pires heures de l'antisémitisme nazi et des discours de Drumont, des dénonciations paranoïaques de la « domination juive mondiale », etc.
Rami publie sur son site, en 1997, la version électronique d'un tract, publié et co-signé avec La Vieille Taupe, du négationniste Pierre Guillaume, prenant la « défense » de Brigitte Bardot (poursuivie pour propos racistes par la justice française!), et dont la version originale appelait au meurtre de Mouloud Aounit, alors président du MRAP, en souhaitant qu'Allah lui réserve le même sort qu'aux moutons de l'Aid, c'est-à-dire l'égorgement...
Rami a invité plusieurs fois Faurisson en Suède. Ils sont devenus amis. Faurisson exprime « toute sa considération » à son « ami Ahmed Rami » de retour de son premier séjour, en mars 1992. Faurisson lui rend de nouveau hommage en décembre de la même année à la suite d'une deuxième visite. Robert Faurisson voit en Ahmed Rami le digne continuateur de Ditlieb Felderer, un antisémite et négationniste suédois spécialisé dans des dérives abjectes. S'il y a une certaine lucidité dans cette constatation on serait bien en peine de prendre cela pour un compliment... Faurisson n'a jamais eu le moindre commentaire sur la haine pathologique et la propagande ignoble de Rami. Au contraire, il n'a cessé de faire l'éloge de Rami depuis le début des années 1990...
Source: http://www.phdn.org/negation/faurisson/rami.html
COMMENTAIRE: voici encore un exemple de comment l'occident donne asile politique à des rats d'égout qui profitent de la manne financière des petrodollars pour cracher leurs venin sur toute la planète.Lien pour le site du mensonge et de la haine:
09:40 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mpf, ump, islamisation, Israel, Liban, Hezbollah, Hamas
Odio razzista nazislamico in provenienza da...Stoccolma
Ecco cosa si puo' leggere impunemente sul web.
Mein Kampf era ieri od oggi?
Ancora piu' drammatico é il fatto che la sede di questi ratti di fogna si trova a Stoccolma.
E nessuno reagisce.
Edificante.
09:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
02/09/2006
M. Aunit (MRAP) qualifie le Hezbollah de "mouvement de résistance"
21:50 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mpf, Israël, Liban, Hezbollah, Hamas, islamisation, ump
N. Sarkozy qualifie le Hezbollah de "mouvement terroriste"
Le ministre français de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, candidat déclaré à l'élection présidentielle de 2007, affirme que le Hezbollah est un mouvement «terroriste» dans un entretien devant être publié par un magazine français.
À la question «Le Hezbollah est-il un mouvement terroriste?», M. Sarkozy répond: «Oui. L'attitude qui consiste à envoyer des roquettes sur le nord d'Israël sans se demander sur qui vont tomber ces roquettes est une opération terroriste».
«Accepter d'être financé par l'Iran dont on sait ce que disent ses dirigeants revient à se situer dans le camp des terroristes», ajoute-t-il dans une interview au Figaro Magazine daté du 2 septembre.
C'est la première fois qu'un responsable du gouvernement actuel qualifie en ces termes le Hezbollah. M. Sarkozy est le numéro deux du gouvernement.
Le mouvement chiite libanais est considéré par les États-Unis comme une «organisation terroriste» mais pas par l'Union européenne.
Le président français Jacques Chirac a qualifié en juillet d'«absolument irresponsables» [propos hypocrite, NDR] le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais, peu après l'enlèvement de trois soldats israéliens. Paris va déployer au total 2000 soldats au sein de la Finul élargie au Liban.
Selon le ministre de l'Intérieur, «le droit à la sécurité pour Israël est un droit sur lequel on ne peut pas transiger. Israël est une démocratie. Israël est née dans les conditions que l'on sait. C'est une responsabilité essentielle pour tous les pays libres, d'assurer sa survie».
«Est-ce que, pour autant, je considère que le gouvernement israélien a eu en se défendant, je dis bien en se défendant, la réponse appropriée ? Je n'en suis pas sûr. J'ajoute que si je suis l'ami d'Israël, je suis aussi celui du Liban, qui doit devenir un pays véritablement souverain», affirme-t-il.
Avant M. Sarkozy, Lionel Jospin, alors premier ministre socialiste, avait qualifié en mars 2000 d'«organisation terroriste» le Hezbollah pendant un voyage en Israël et dans les territoires palestiniens.
Le propos avait suscité de très vives réactions dans le monde arabe et avait valu au chef du gouvernement d'être la cible de jets de pierre à l'université palestinienne de Bir Zeit.
Sources : Cyberpesse
COMMENTAIRES: Sarko semble vouloir appeler les choses par son nom, à la différence de Pinocchio Chirac
21:10 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mpf, Israël, Liban, Hezbollah, Hamas, islamisation, ump
La democrazia é una forza
La guerra di difesa dalla pioggia di katiusha degli hezbollah ha dimostrato ancora una volta la grande forza di Israele. Non quella militare dello Tsahal, invincibile fino a quando ha dovuto fronteggiare i terroristi ignominiosamente mescolati ai civili. Ma la forza ben più significativa della democrazia in un Paese che, in una situazione drammatica, ha salvaguardato le istituzioni libere e la dialettica delle posizioni conflittuali, ed ha tutelato il pluralismo democratico in una difficile società aperta e multietnica. In quale altro Paese assediato sarebbero state possibili le manifestazioni in piazza dei riservisti e degli oppositori politici, sarebbe stata permessa l'aperta critica al premier per la conduzione della guerra e, addirittura, la contestazione del presidente della Repubblica e di un ministro per scandaletti sessuali minori?
Tutto ciò fa di Israele una parte integrante del migliore Occidente. È bene ricordarlo nel momento in cui in Italia il ministro degli Esteri, definito filo-arabo, misura la sproporzione della reazione difensiva israeliana, ed accade che nella consulta islamica sia legittimata l'Ucoii di cui non era difficile prevedere l'atteggiamento antisemita per le sue note ascendenze dai fratelli musulmani. O, ancora, è all'opera un governo che poco si preoccupa delle regole d'ingaggio per quel che riguarda la risposta al fuoco degli hezbollah, dato che, secondo il presidente Cossiga, è ispirato in maggioranza dall'anti-israelismo che maschera il più profondo antisionismo.
Lo Stato di Israele con i 7 milioni di abitanti anche arabi è sotto scacco permanente da parte di un miliardo di islamici e di quasi tutti gli Stati che lo circondano. Il folle presidente Ahmadinejad, che ripete di avere come obiettivo la sua cancellazione, è in procinto di costruire la Bomba e i relativi missili per lanciarla. L'asse terroristico Iran-Siria-Hezbollah-Hamas-Al Qaida mantiene una minaccia permanente, tutt'altro che teorica. E tutte le volte che gli israeliani tentano un compromesso pacifico (con il ritiro unilaterale dal Libano, con Arafat a Camp David, con Sharon e Abu Mazen) vengono puntualmente respinti al punto di partenza dalle contromosse dei fondamentalisti. Il quadro non sarebbe completo se non si ricordasse il completo isolamento della piccola nazione, appoggiata solo dagli Stati Uniti ma guardata con indifferenza quando non con ostilità dall'Europa.
È perciò che in queste ore l'accettazione della risoluzione Onu 1701 è un'altra prova di buona volontà israeliana, dopo che la risoluzione 1559 è rimasta carta straccia per il disarmo degli hezbollah e la missione Unifil non si è dimostrata neppure capace di impedire la costruzione di un'enorme fortificazione terrorista a due passi dal suo quartiere generale. Malgrado ciò Israele sta dando credito al tentativo messo in atto dagli europei, quindi anche dagli italiani.
Ma a casa nostra, nonostante la retorica della portata storica sui nostri soldati sempre bravissimi, non c'è da stare allegri. L'atmosfera dominante nel nuovo governo è assai ambigua sul punto cruciale: la difesa a qualsiasi costo dell'esistenza di Israele. Ed è proprio ciò che vanno ripetendo due coraggiosi e fantasiosi politici di rango. Francesco Cossiga che da «democratico, cristiano e occidentale» è andato a testimoniare il suo impegno in quella martoriata terra. E Marco Pannella che con l'accanimento dell'utopia, nonostante il muro di silenzio che circonda il suo Satyagraha, continua a proporre l'ingresso di Israele nell'Unione Europea come garanzia di difesa e sicurezza.
Massimo Teodori
www.ilgiornale.it
20:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
31/08/2006
Le chantage à l'islamophobie
L’islam est intouchable: le critiquer ou le soupçonner, c’est faire preuve de racisme. Telle est la nouvelle vulgate que tente d’accréditer le Mrap, un certain nombre de médias et de chercheurs et une partie des dirigeants politiques. De quoi s’agit-il en l’occurrence? De soustraire la religion coranique à l’épreuve que subissent, depuis longtemps, les deux autres monothéismes existants: l’épreuve de la remise en cause. Un petit brûlot rédigé par un «spécialiste» (1) tente d’accréditer cette thèse: l’islam ferait l’objet d’amalgames scandaleux.
Attaqué par des écrivains, tel Michel Houellebecq, ou des journalistes, telle Oriana Fallaci, il constituerait le paria des confessions et la confession des parias.
Or ceux qui l’incriminent ne le connaissent pas et leur virulence serait proportionnelle à leur ignorance: «fantasme» des fous d’Allah invoqué par des «intellectuels médiatiques», «fantasmes sécuritaires» dirigés contre les nouvelles classes dangereuses que sont les jeunes de banlieue; fantasme, enfin, de l’asservissement des femmes islamiques qui n’est rien d’autre qu’un «cliché». Conclusion: vilipendé, caricaturé, l’islam doit être protégé par tous les moyens, et ceux qui médisent de lui, traînés devant les tribunaux.
Notons d’abord à quel point cette notion est calquée terme à terme sur celle de judéophobie comme s’il s’agissait en quelque sorte de rétablir le principe d’équivalence, de se lancer dans une compétition victimaire et de ne pas laisser aux seuls Juifs la couronne du martyre.
Or, après le 11 septembre 2001, déclaration de guerre adressée aux infidèles du monde entier, on n’a pas en France, que je sache, brûlé des mosquées ou saccagé des lieux de culte musulmans, et c’est tant mieux : hormis quelques incidents, les Français, dans leur majorité, savent faire la différence entre les croyants ordinaires et les terroristes qui défigurent la foi.
Ceux qui veulent, en se drapant dans l’uniforme du réprouvé, protéger l’islam du moindre jugement dépréciatif, semblent oublier l’extraordinaire virulence du combat anticlérical en France et en Europe qui confina parfois à la barbarie : églises, temples, couvents brûlés et rasés, objets de culte dégradés, prêtres, évêques, religieuses guillotinés, pendus, massacrés. La violence de cette réaction fut à l’image de celle exercée par les Églises pendant tant de siècles sur les populations. Ce fut un prix terrible à payer, une lutte d’un sectarisme outrancier, mais qui nous a libérés de la tutelle ecclésiastique et a contraint Rome et les divers protestantismes à des révisions déchirantes quant à leur prétention à diriger l’ordre social.
Car le catholicisme [*] et l’islam ont en commun d’être deux religions impérialistes, persuadées de détenir la vérité et toujours prêtes à faire le salut des hommes par le sabre, le bûcher ou l’autodafé. Au nom de Dieu miséricordieux, elles ont tué et liquidé, directement ou indirectement, des millions d’individus. Mais le christianisme, miné par quatre siècles d’opposition en Europe, a dû céder du terrain et admettre le principe de laïcité, d’ailleurs inscrit dans les Évangiles ; il a dû, aussi, faire son aggiornamento couronné pour les catholiques par le concile de Vatican II et poursuivi par Jean-Paul II. Ce long travail de remise en question reste à accomplir pour l’islam habité par la certitude d’être la dernière religion révélée, donc la seule authentique.
En France, on peut chaque jour, notamment aux «Guignols de l’info» «bouffer du curé», se moquer du Pape, de Mère Teresa, du dalaï lama, mais jamais de l’islam, sous peine d’être accusé de racisme. Pourquoi ce «deux poids, deux mesures» ? Ajoutons que les intégrismes juif et chrétien sont eux aussi grotesques et obscurantistes ; mais outre qu’ils ne débouchent pas sur des foules haineuses et hurlantes ou des tueries de masse, ils restent minoritaires et sont contenus par la prépondérance des laïcs, de libéraux, des conservateurs. Enfin, contester un système de pensée ou de croyances, rejeter des idées, des convictions que l’on juge, à tort ou à raison, fausses ou dangereuses, est à la base même de la vie intellectuelle et de la libre délibération.
Faut-il parler alors de racisme anticapitaliste, antilibéral, antisocialiste, antimarxiste ? On a parfaitement le droit, jusqu’à preuve du contraire, de vomir les religions dans leur ensemble, de les juger mensongères, abrutissantes, abêtissantes. Ou alors faut-il rétablir le crime de blasphème comme il y a peu avec Salman Rushdie ? Il y a plus grave, toutefois, et que prouve le libelle de Vincent Geisser : il vise avant tout à pénaliser ces musulmans dits modérés ou agnostiques qui souhaitent s’émanciper de l’intégrisme.
C’est là que le concept d’islamophobie se révèle une machine de guerre pernicieuse au service d’intérêts particuliers : elle consiste à stigmatiser ceux des intellectuels, religieux, journalistes, philosophes d’origine maghrébine qui osent critiquer les principes de leur foi, en appellent à une relecture du Coran ou plaident pour une séparation des pouvoirs temporel et spirituel. Cela permet de les désigner à la vindicte de leurs coreligionnaires extrémistes en dressant une véritable liste de proscription (où l’on retrouve pêle-mêle Dalil Boubakeur, Soheib Bencheikh, Malek Boutih, Rachid Kaci, Latifa Ben Mansour, Mahammed Sifaoui, Abdelwahab Meddeb et beaucoup d’autres).
Le livre de Vincent Geisser constitue ce qu’il faut appeler une opération de basse police intellectuelle digne de l’ère stalinienne : en traitant ces démocrates de vilains poujadistes, d’opportunistes, de carriéristes, de laïcards, de persécutés d’opérette, il fait d’eux des quasi-apostats, des traîtres à leur religion, voire des harkis, des collabos, des ennemis de l’islam (même si ces mots ne sont jamais utilisés).
Coupables, donc, les beurettes qui veulent s’affranchir du voile, coupables tous ces enfants d’immigrés qui réclament le droit à l’indifférence religieuse, le droit de ne croire en rien et ne se sentent pas automatiquement musulmans parce qu’ils sont d’ascendance marocaine, algérienne ou tunisienne ?
L’invention de l’islamophobie remplit plusieurs fonctions : nier, pour mieux la légitimer, la réalité d’une offensive islamiste en Europe, intimider, faire taire les mauvais musulmans, les impies soucieux de changement et au final bloquer tout espoir d’une mutation religieuse en terre d’islam.
Il s’agit donc de réhabiliter le délit d’opinion afin de clouer le bec aux contradicteurs et déplacer la question du plan intellectuel au plan pénal, toute objection ou réticence étant immédiatement passible de poursuites. Nous assistons bien à la fabrication d’un nouveau délit analogue à ce qui se faisait jadis dans l’ex-Union soviétique contre les ennemis du peuple (2). Or l’assimilation de l’esprit d’examen avec le racisme est trompeuse : autant ce dernier s’adresse aux personnes en tant qu’elles existent et pour ce qu’elles sont, le Juif, le Noir, l’Arabe, autant la discussion critique porte sur de notions mobiles, variables, les idées, les dogmes, les principes, toujours susceptibles de transformations.
Tout le fond de l’affaire est là. Car Vincent Geisser comme Le Pen, (...) et l’universitaire américain Samuel Huntigton, sont, malgré leurs différences, des essentialistes imprégnés de pessimisme culturel : ils voient les religions, les cultures, les races comme des blocs qu’on ne saurait modifier d’un iota sous peine de les détruire et encore moins mélanger. L’on sait pourtant, comme l’a dit l’Iranienne Cherine Ebadi, récent Prix Nobel de la paix, que la démocratisation des sociétés musulmanes passe par les femmes et le changement de statut de ces dernières par la réinterprétation des textes canoniques.
Or l’islam, surtout depuis la révolution kémaliste en Turquie, est une maison divisée: les intégristes voudraient refermer cette blessure en l’imputant aux croisés, à l’Occident, aux mécréants, les laïcs l’ouvrir plus encore afin de provoquer une crise salutaire. Ceux qui salissent la religion du Prophète, ce sont d’abord les «martyrs» qui commettent des attentats monstrueux, les clercs ou les théologiens qui les justifient et les idiots utiles ou les idiots tout court qui défendent ces derniers.
L’islam fait partie du paysage français ; il a droit à ce titre à la reconnaissance publique à condition qu’il respecte les règles républicaines et ne réclame pas des droits séparés, dérogations pour les femmes, faveurs et privilèges divers. Ce qu’on peut lui souhaiter de mieux, ce n’est pas la «phobie» ou la «philie» mais l’indifférence bienveillante dans un marché de la spiritualité ouvert à toutes les croyances. S’il ne veut plus souffrir de suspicion, il devra s’engager dans un type de réforme aussi radicale que celle opérée par les catholiques et les protestants au cours du siècle écoulé. Jusque-là, il restera, y compris pour les musulmans modérés, l’objet d’une prudence légitime. Il y a quelque chose d’ahurissant à voir une «organisation antiraciste» criminaliser les adversaires du fanatisme et de la superstition. Si Voltaire vivait aujourd’hui, gageons que certains «antiracistes» le feraient jeter en prison.
Pascal Bruckner
(1) La Nouvelle Islamophobie, Ed. La Découverte, 122 p.
(2) Si l’extrême gauche manifeste une telle indulgence pour les fondamentalistes du Coran ce n’est pas simple accident ; elle voit ce collectivisme théocratique avec bienveillance puisqu’elle n’a jamais fait son deuil du totalitarisme et que sa vraie passion n’est pas la liberté ou la justice, mais la servitude
[*] Le parallelisme entre catholicisme (christianisme dans le texte original) et l'islam me paraît trop poussé. En effet, s'il est vrai qu'au nom du Christ et sourtout de l'Eglise, des fait abominables ont été commis, il est tout aussi vrai que RIEN dans le NOUVEAU TESTAMENT ne justifie le mal fait à autrui, y compris à ceux qui nous font du mal. En contrepartie le coran et les hadits regorgent d'appels à la violence et à la soumission d'autrui, ce qui constitue une difference incommensurable avec le Christianisme.L'orthodoxie chrétienne ne peux se concevoir que dans l'amour et la paix, tandis que l'orthodoxie islamique colporte forcement le germe de la violence et de la haine
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