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04/04/2007

L'ordure persane fait son show

medium_IRAN.jpgNous y sommes. Le petit fuhrer islamique de Teheran a bien organisé son show médiatique devant toutes les télévisions du monde pour montrer avec quelle magnanimité il consent à libérer les militaires anglais après leur avoir estorqué des aveux "spontanés" publiques, ce qui est contraire aux accords de Genève.

Il nous apprend que c'est en l'honneur de son maître et model, j'ai nommé le bedouin analphabète sanguinaire, dont il serait l'heureux anniversaire!

Mieux encore,il nous fait le coup du remerciement officiel de la part de ces jeunes anglais en civil sans cravatte (interdite en république nazislamique d'Iran) ainsi bien sûr que de la part de l' "être inférieur", la femme occidentale à qui l'on impose la bâche sur la tête.

Il pense vraiment nous avoir umiliés tous en tant qu'occidentaux et s'être érigé en guide suprème du djihad islamique contre les "infideles croisés et sionistes".

Et pendant ce temps la, il continue de fabriquer la bombe atomique.

En marge de tout cela il me semble malheureux de souligner à quel point une trop grande partie de ces militaires anglais a fait preuve d'une déconcertante absence de sens de l'honneur, tant sur le plan personnel que sur le plan du Pays qu'ils representent et pour lequel ils se sont engagés volontairement.

Jamais ils n'auraient dû accepter de temoigner devant des caméras, pour prêcher le faux (comme pour le vrai).

Jamais ils n'auraient dû accepter de serrer la main de cette vermine ignoble.

Jamais cette jeune anglaise n'aurait dû accepter de mettre un torchon sur la tête contre son gré.

Il n'y a plus qu'à espérer que nos soldats valent mieux que ça, sinon pauvre occident!

medium_HUMILIATED.jpg

03/04/2007

Islam: une oumma, un djihad!

medium_HAMAS.jpg(Reuters) - Un groupe irakien détenant une Allemande et son fils a déclaré qu'il donnait encore dix jours à  l'Allemagne pour retirer ses troupes d'Afghanistan sans quoi ces otages seraient tués.

Les "Flèches de la vertu" ( j'aime bien le nom NDR) ont diffusé un enregistrement vidéo où l'on voit Hannelore Marianne Krause exhorter l'Allemagne à  céder aux exigences des activistes. Le groupe avait lancé son premier ultimatum le 10 mars, affirmant qu'il tuerait les deux otages si Berlin ne retirait pas ses troupes d'Afghanistan dans un délai de dix jours.

"J'exhorte la population allemande à  me venir en aide dans cette situation difficile", a déclaré Krause, selon une traduction en arabe de ses déclarations, dont seule une partie était audible.

"Pour la dernière fois, peut-être (...) je vous en supplie. Peut-être pouvez-vous allez voir les journaux, peut-être pouvez-vous organiser une marche de soutien (...), contactez des gens qui peuvent vous aider, s'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît", a poursuivi l'Allemande, s'adressant à  son autre fils et à  sa fille vivant en Allemagne, avant de fondre en larmes.

L'AUTRICHE VISÉE AUSSI

Un activiste hors champ prend la parole et déclare: "Nous donnons au gouvernement allemand dix jours supplémentaires pour commencer à  retirer ses troupes d'Afghanistan, sans quoi nous allons tuer cette criminelle et son fils qui travaillent pour le ministère des Affaires étrangères du gouvernement" (du Premier ministre irakien Nouri al Maliki.)

Il ajoute que Krause a été en partie prise pour cible parce qu'elle a travaillé à  l'ambassade d'Autriche. "L'Autriche a un gouvernement hostile à  l'islam et aux musulmans et elle a aussi des soldats qui tuent nos enfants en Afghanistan", argue-t-il.

Krause dit dans l'enregistrement: "J'exhorte aussi l'Autriche à  me soutenir car j'ai travaillé longtemps pour la section commerciale (autrichienne) (...). L'Autriche a elle aussi des troupes en Afghanistan et maintenant je vais être tuée à  cause de ça, je vous exhorte à  m'aider."

Agée de 61 ans et mariée à  un médecin irakien, Krause et son fils sont détenus depuis le 6 février, date à  laquelle ils ont été enlevés à  leur domicile de Ghazaliya, dans l'ouest de Bagdad. Elle vit en Irak depuis 40 ans. Son fils aurait environ 25 ans et aurait la double nationalité allemande et irakienne.

L'Allemagne, qui s'est opposée à  l'invasion de l'Irak en 2003, compte 3.000 soldats en Afghanistan dans le cadre d'une mission de l'Otan dépêchée sur place à  la suite du renversement en 2001, par des forces sous commandement américain, du régime des taliban.

Le gouvernement allemand a fait savoir qu'il s'employait à  obtenir la libération des otages mais a souligné qu'il ne se laisserait pas dicter sa politique.

L'Autriche a déclaré le mois dernier qu'elle disposait de cinq officiers en Afghanistan et qu'elle ne prévoyait pas d'y dépêcher d'autres militaires

02/04/2007

Qui pourrait bien faire ça?!

medium_islam-nazi1.jpgLe ministre de l'Intérieur François Baroin a condamné «avec la plus grande fermeté les exactions commises» dans le carré juif du cimetière de Lille-Sud.

Cinquante-trois tombes du carré juif du cimetière de Lille-Sud ont été dégradées dans la nuit de samedi à dimanche. Aucune inscription n'a été relevée dans le cimetière. Une des tombes a été cassée, mais la plupart ont été descellées entre la partie horizontale et la partie verticale, sur laquelle sont inscrits les noms et dates de naissance et de décès.
Dans le cimetière, autour des tombes abîmées, quelques membres de la police technique et scientifique ont recueilli des indices.
«Je ressens de l'effroi et de la tristesse, quand on voit ça, c'est inqualifiable», a déclaré Franck Hanoh, un membre de la communauté juive lilloise présent dans le cimetière, et dont la tombe du grand-oncle a été dégradée.
La veille de la Pâque juive
Le Conseil représentatif des Institutions juives de France (Crif) a également condamné «avec la plus grande fermeté» cette profanation. «Il ne peut s'empêcher de constater que cet acte odieux a été perpétré dans la nuit du samedi 31 mars au dimanche 1 avril, à la veille des fêtes de Pessah, la Pâque juive».
La maire PS de Lille, Martine Aubry, qui a dénoncé dans un communiqué au nom de la municipalité un «acte antisémite ignoble», s'est rendue sur place dimanche en fin de matinée, de même que le député UMP du Nord et futur candidat à la mairie de Lille, Christian Decocq.
Le ministre de l'Intérieur, François Baroin, a condamné «avec la plus grande fermeté» les «exactions commises» et souligné que «tous les moyens nécessaires» seraient mobilisés pour «retrouver au plus vite» les auteurs des faits. 
Un numéro de téléphone, le 03.20.30.37.25, a été ouvert auprès de la Police judiciaire pour les familles et d'éventuels témoins.
ON SUSPECTE DES INTEGRISTES BOUDDHISTES.....OU L'AILE MILITAIRE DU SINN FEIN...

Predicatori di odio

medium_culthaine2.jpgDobbiamo ringraziare Michele Santoro e Maria Grazia Mazzola perché ci hanno fatto sentire meno soli nella denuncia dei predicatori d'odio che pullulano in gran parte delle moschee d'Italia e della violenza contro le donne musulmane, che è una vera emergenza nazionale sottovalutata dalla classe politica. E dobbiamo ringraziare la telecamera nascosta, vera protagonista dell’inchiesta di Annozero andata in onda giovedì sera. Attraverso quella telecamera finalmente possiamo osservare la realtà dell’estremismo islamico nel nostro Paese per quella che è, senza mistificazioni.
L’unica realtà obiettiva senza la quale non è possibile la verità. Comprendendo le differenze e prendendo atto delle incompatibilità. Perché soltanto se si parte dalla verità che si fonda sulla realtà, allora diventerà possibile immaginare un percorso di autentica integrazione dei musulmani all’interno dei binari invalicabili dei principi e dei valori fondanti dell’identità nazionale italiana. Questo è il senso dell’insegnamento generale di Benedetto XVI, che è stato deformato e criminalizzato dopo il discorso di Ratisbona. Così come dovrebbe essere il fulcro della deontologia professionale del giornalismo. Le immagini di Annozero sono un documento per tutti coloro che vogliono vedere in faccia la realtà emi auguro che lo faccia soprattutto chi ha incarichi di responsabilità e nel governo, i politici che sono preposti a legiferare, i magistrati a cui spetta far rispettare la legge e le forze di sicurezza che tutelano l’ordine pubblico.
Perché ciò che emerge è semplicemente sconvolgente: all’interno del nostro Stato di diritto si annida uno Stato teocratico, che ha la sua roccaforte nella rete delle moschee dove si indottrinano i giovani in crisi d’identità al culto della guerra santa contro i cristiani e gli ebrei, rifiutando strenuamente l’integrazione nella società italiana; dove si accredita e si esercita una concezione maschilista e violenta del rapporto con le donne, legittimando e praticando i matrimoni poligamici. E sarebbe veramente ora di smetterla, da un lato, di dar vita alle ennesime commissioni d’inchiesta nell’attesa di risultati che confermino quanto si sa già e, dall’altro, di continuare a negare l’evidenza per non violare l’integrità dell’ideologia buonista che immagina la convivenza come la sommatoria delle diversità.
No signori di destra e di sinistra, non sono più sufficienti le chiacchiere e non è affatto vero che tutte le culture, le religioni, le ideologie e le civiltà sono uguali a prescindere. Dopo l’inchiesta di Annozero, che segue un’altra importante inchiesta di Corrado Formigli trasmessa da SkyTg24 lo scorso primo febbraio dal titolo «Un velo fra noi», dovrebbe essere arrivato il momento di agire. In un modo molto semplice: facendo applicare, con estremo rigore, le leggi esistenti e esigendo, senza mercanteggiamenti, il rispetto dei principi e dei valori comuni. Cominciamo con il mettere fuorilegge tutte le associazioni islamiche che fondano questo Stato illegale che mina il nostro stato di diritto.
Chiudiamo le moschee e le madrasse trasformate in covi di Al Qaeda e in centri di indottrinamento alla Jihad. Cacciamo i predicatori d’odio stranieri e sanzioniamo severamente gli apologeti del terrore nostrani. Assicuriamo ogni forma di tutela possibile per prevenire e sottrarre le donne musulmane alla violenza fisica e psicologica. Investiamo nell’emancipazione e nel riscatto delle donne musulmane, tramite l’alfabetizzazione e l’educazione culturale, civile e professionale. Facciamolo subito, prima di scoprire che i talebani non li dobbiamo combattere in Afghanistan, bensì a casa nostra.
Magdi ALLAM
31 marzo 2007

31/03/2007

Coercizione, umiliazione, segregazione: la trinità islamica

medium_FAYE_TURNEY.jpgI denigratori dell'ayatollah Khomeini facevano girare la storiella che l'Imam passasse il suo tempo a guardare i cartoni animati. In realtà la Guida islamica e i suoi uomini sapevano quanto fossero importanti i media. La Rivoluzione si poteva costruire sulla punta delle baionette ma anche su quella delle antenne. E allora, nei giorni dell'esilio francese, Khomeini registrava delle audiocassette con le quali incitava alla rivolta. Al suo fianco un fedele segretario, Sadegh Ghotbzadeh, che smanettava sul registratore e poi affidava ad altri l'ultimo sermone. Una volta spodestata la monarchia, Ghotbzadeh viene ricompensato a dovere. Guida la Radiotelevisione e ricopre anche la carica di ministro degli Esteri, ma la Rivoluzione lo divora. Accusato di complotto, viene costretto a una confessione pubblica alla televisione: «Mi vergogno davanti alla nazione. Liberatemi o giustiziatemi», sono le sue parole d'addio. All'alba del 15 settembre 1982 passa nelle mani del boia. Un anno dopo, i protagonisti della parata sotto le telecamere sono tre alti dirigenti del Tudeh, il partito comunista iraniano. Di nuovo, le vittime fanno un mea culpa in diretta, confermando di aver compiuto ogni tipo di deviazione politica. Evitano il patibolo ma finiscono comunque in galera tredici iraniani di religione ebraica. Li arrestano nel 1999 con l'accusa classica: spionaggio. Due degli accusati ammettono le loro responsabilità in tv. Una gogna per documentare le manovre clandestine contro Teheran. Il caso si trascina fino al 2003 e si chiude con una serie di condanne. Il sistema piace molto ai giudici con il turbante, che esibiscono, in occasione di processi farsa o detenzioni arbitrarie, lettere firmate dagli stessi imputati, siano dissidenti che funzionari caduti in disgrazia. Verbali estorti con la tortura e la coercizione.
I continuatori di Khomeini altro non fanno che proseguire sulla strada indicata dal loro leader. Un cammino apertosi come una frattura traumatica con il mondo esterno: l'occupazione dell'ambasciata Usa a Teheran nel 1979, seguita dalla lunga detenzione degli ostaggi. Una catena di episodi che rivela le capacità degli ayatollah nel mescolare i ricatti veri a quelli mediatici. Non hanno nulla da imparare dai macabri show di Al Zarkawi o del talebano Dadullah. Piuttosto sono quest'ultimi che hanno imitato il regime khomeinista. La «confessione» di Ghotbzadeh torna oggi alla memoria con i marines ripresi dalla televisione iraniana, costretti a riconoscere non solo le loro «colpe» ma a denunciare gli errori della politica britannica in Medio Oriente. Se i tagliagole di Bagdad usano il coltello, i ricattatori di Teheran utilizzano le immagini come lame affilate. E riescono a incidere nel tessuto internazionale. Le manipolazioni dei mullah uniscono la tradizionale guerra di propaganda — ormai una costante nello scacchiere — a manovre legate alla situazione interna. Con diversi obiettivi. Primo: dimostrano di mantenere l'iniziativa nel braccio di ferro con Londra. Secondo: segnalano ai loro seguaci determinazione e dimostrano di essere in grado di tener testa alle potenze occidentali. Un messaggio rivolto anche alle opinioni pubbliche non sciite della regione. Terzo: fanno da sponda alle iniziative degli ambienti più radicali e in particolare modo ai pasdaran, ritenuti i burattinai dell'operazione ostaggi. C'è chi pensa che i guardiani stiano giocando una loro partita nei confronti dell'establishment. Quarto: umiliano l'avversario, aumentano la frustrazione e il senso di impotenza, sperando di indurlo all'errore. Quinto: si nascondono dietro alla questione dello sconfinamento per cercare di ottenere in cambio i loro uomini catturati dagli Usa in Iraq. Un gioco pericoloso? Certo, ma in fondo è così che la Repubblica islamica si comporta fin dai primi giorni della sua nascita. E dunque ci riprova.
Guido Olimpio
31 marzo 2007 www.corriere.it
COMMENTO: IN MARGINE A QUESTO ECCELLENTE ARTICOLO, SOTTOLINEIAMO L'UMILIAZIONE DELLA SOLDATESSA INGLESE COSTRETTA AD ESIBIRSI CON UNO STROFINACCIO SULLA TESTA SIMBOLO ESPLICITO DEL DISPREZZO CHE L'ISLAM RISERVA AL SESSO FEMMINILE, COME A TUTTO CIO' CHE GLI E' ESTRANEO.
TUTTO QUESTO IN UNA FASE IN CUI IL DOMINIO MONDIALE DI QUESTA PSEUDO-RELIGIONE SATANICA NON E' ANCORA CONSOLIDATO, IMMAGINATEVI COME SARA' IL GIORNO IN CUI L'INTERO PIANETA SARA' PROSTRATO A TERRA CON IL CULO IN ARIA

29/03/2007

La politique des Sudètes

medium_naziislam5.jpgPeu à peu s’éteint la génération témoin des lâchetés et des compromissions face à Hitler qui ont conduit à la catastrophe des années 1939-45. Peu à peu, et le récent décès de Lucie Aubrac nous le rappelle, s’éteint la génération de Résistants qui ont au moins sauvé l’honneur de la France et notre foi en l’humanité. La voie et la voix redeviennent ainsi libres pour les crédules et les naïfs mais surtout, pour les coquins, les lâches, les magouilleurs, les combinards, les défaitistes et collabos en tous genres.

Voici peu, la France chiraquienne déléguait officieusement à Téhéran l’un des Eurabiens les plus corrompus de notre société que Mitterrand en fin de règne avait placés à des postes qui, pour être prestigieux et juteux, leur assurait surtout l’immunité. Nul ne croira en effet que Roland Dumas, ce «socialiste» pervers, inventeur du «caduque» d’Arafat et qui, pour être pourri jusqu’à la moelle, n’en est pas moins un homme cultivé, se rend là-bas juste pour y admirer les chefs d’œuvres de la période Achéménide. Cela doit donc s’inscrire dans le cadre d’une politique d’opposition systématique et de finasseries que le chiraquisme a imprimée à l’Union Européenne face à la fermeté dont les Etats-Unis font preuve à l’encontre du National islamisme chiite et de la barbarie djihadiste sunnite (ce qui n'a malheureusement pas toujours été le cas NDR)

. Nous ne savons pas ce qui s’y est concocté mais en déclarant que l’Iran a le droit de se doter d’un armement nucléaire, Roland Dumas se révèle tel qu’il est, une sorte de Talleyrand de bas de gamme mais, comme son devancier, une merde dans… des souliers de luxe naguère payés par la Putain de la République.

Ainsi, l’UE et la France d’aujourd’hui ne se comportent pas autrement, face au péril djihadiste, que les états européens des années 30 face au péril nazi. À cette époque, au lieu de s’unir face à l’Allemagne qui les menaçait tous sans distinction, chaque pays, muré dans son égoïsme national, finassait, négociait de son côté et essayait de détourner sur d’autres pays la fureur du Führer. Jusqu’au communiste Staline, ce Petit Père des Peuples, qui s’alliait à Hitler pour se partager les dépouilles de la Pologne et lui laissait le champ libre contre les Alliés franco britanniques. Comme quoi «totalitaires de tous les pays, unissez-vous» remplaçait le «Prolétaires de tous les pays, unissez-vous» du Manifeste Communiste naguère pondu par Marx et Engels. Nos Daladier et Chamberlain n’avaient pas fait mieux à Munich en sacrifiant la Tchécoslovaquie, «État de merde» qui, accusée de nous entraîner dans la guerre en s’apprêtant à résister et en voulant que nous respections notre alliance, se voyait sommée de céder à Hitler les territoires sudètes. Quelques semaines ont ensuite suffi pour voir ce pays encombrant rayé de la carte, ce qui n’a pas empêché notre pays de se faire engloutir à son tour. Mais le monde se comporte comme si ce passé n’avait jamais eu lieu.

C’est dans cette lamentable foulée que ce bouffon de guignol qu'est Javier Solana, «ministre» des affaires étrangères de l’Europe, réédite l’exploit de Munich en déclarant au dictateur syrien qu’Israël doit sans préalable «restituer» le Golan à la Syrie. Nous ne sommes décidemment pas rancuniers puisque si Israël tient jusqu’à présent la Syrie terroriste en respect, notre gouvernement qui est le moteur de la politique étrangère européenne au Proche-Orient, tourne la page sur tous les actes de terrorisme dont furent victimes nos otages, nos soldats, nos diplomates et les amis de la France. À croire que notre armée et notre diplomatie sont prêtes à défendre tout le monde, sauf les Français, sauf les Européens. Et tout ça, dans quel autre but que d’affaiblir la position des USA au Proche-Orient ?

Or, loin d’amadouer les totalitaires islamiques qui ont repris le flambeau des nazis, mais dans lesquels nos politiciens voient néanmoins des alliés contre l’Amérique, nous les encourageons à se montrer de plus en plus exigeants, encouragés en cela par notre complaisance à leur égard. Cette politique antiaméricaine initiée par la Vème République et menée par ses Jobert, Dumas, Védrine et autres Villepin de service est comparable au coureur qui, incapable de rivaliser avec un champion, espère gagner la course en lui cassant une jambe. Il ne restera pas moins un coureur médiocre et un perdant. Est-ce là l’illustration de notre «grandeur» ?

Un adage prêté au roi Salomon dit pourtant que «mieux vaut être la queue du lion que la tête du renard» ou du chacal en l’occurrence dont, au train où vont les choses, la France risque même de devenir la queue.

Pour se disculper de leur lâcheté, nos collabos des années 40 répondaient invariablement aux critiques: «que voulez-vous, nous sommes vaincus». Avec l’accélération de l’Histoire, nos modernes collabos n’attendent même pas la défaite pour collaborer avec les ennemis de notre civilisation, de nos valeurs, de notre liberté, de notre dignité et de tout ce qui fait notre identité. Mais comme leurs prédécesseurs, ça leur rapporte gros. Pouah !Beurk !

Palestine, vache sacrée ?

À part le Figaro, sous la signature de l’excellent Ian Riouffol, et nos confrères de France-Echos et Occidentalis, aucun grand quotidien ne semble avoir parlé de la scandaleuse affaire Belmer. Pourquoi ce silence assourdissant ? Or, de quoi s’agit-il ?

Après Louis Chagnon et Robert Redecker, c’est au tour de Christian Belmer de payer son opinion à contre-courant. Mais cette fois-ci, le rituel terrorisme islamiste n’a même plus besoin d’intervenir, ses porteurs de valises de plus en plus actifs dans l’enseignement s’en acquittant fort bien. Pour avoir exprimé sur un blog et sous un pseudonyme une critique contre un tract pro palestinien qu’il a reçu comme tous ses collègues enseignants du Lycée Robert Schuman du Havre, le professeur Christian Belmer se voit poursuivi devant la Justice par le citoyen Croise. Je ne sais pas ce que ce délateur, zélé gardien de la vache sacrée palestinienne a bien pu raconter mais sa victime, en attendant sa comparution devant un tribunal le 24 avril, a subi une humiliante garde à vue et a été suspendu de ses fonctions pour quatre mois. Faut-il croire qu’en République française, on prend désormais moins de risques à tabasser un prof que de blasphémer la Palestine ? On attend la suite. Mais une question s’impose : alors que toute manifestation religieuse est interdite dans nos écoles, comment se fait-il que des tracts à caractère idéologique ou politique puissent circuler librement dans une école laïque ? Ne sont-ce pas les diffuseurs du tract et non celui qui proteste qui devraient être suspendus ?

Mais puisque l’intégration est devenue un thème de la campagne présidentielle, faudrait-il commencer par intégrer nos enseignants du Havre et d’ailleurs à l’identité française faite de valeurs républicaines, de laïcité, de liberté absolue de conscience et d’expression ?

Intégration contre identité ?

Comme il fallait s’y attendre, l’idée de créer un ministère de l’immigration et de l’identité française soulève un tollé dans «l’intelligentsia» bobo. Comme si la gestion de l’immigration massive et non sélective que nous subissons ne devait pas être prise en main et gérée ; comme si rien ne devait être fait devant un tel bouleversement démographique et culturel provoqué par une population venue, souvent frauduleusement, en France pour ses valeurs économiques et sociales tout en rejetant ses valeurs culturelles et éthiques.

Simone Veil, pourtant favorable à Sarkozy, fait la moue et prend ses distances. Elle aurait préféré le terme «intégration» à «identité». À se demander si l’intégration ne doit pas déboucher sur l’identification à la langue, à la culture, aux moeurs et aux valeurs du pays d’accueil. «Identité ?» «Cachez-moi ce mot que je ne saurais entendre…». La position de Simone Veil serait presque admissible, mais avec tout le respect et toute la compréhension que je dois à la sensibilité d’une rescapée des camps d’extermination, je crois qu’elle retarde d’une guerre.

C’est immédiatement dans les années d’après guerre, et plus particulièrement durant les «trente glorieuses», alors que l’immigration ne passait pas encore à la vitesse supérieure, qu’il aurait fallu créer un ministère de l’immigration et de l’intégration, sachant que les immigrés, dont l’admission doit être de toute façon sélective, ont vocation de rester en France. Or ni la droite ni la gauche qui se sont relayées au pouvoir ne l’ont envisagé et, comme si Le Pen a été inventé pour ça, nulle n’osait émettre une idée dans ce sens de crainte d’être identifié à la pensée «borgne» du F.N.

Maintenant que la situation est devenue catastrophique face à une communauté majoritairement travaillée par l’islamisme et qui, tout en préservant farouchement son identité, ses valeurs et ses moeurs, combat notre identité et nos valeurs, nous sommes désormais acculés à la défensive. Des mesures de sauvegarde s’imposent d’urgence si nous voulons préserver ce qu’il nous reste de cette identité qui a fait la France. Après avoir été bien veules devant les exigences et dictats identitaires communautaristes, c’est donc bien l’identité tant bafouée de la France qu’il faut sauver, et non, si respectables soient-elles dans leur pays, celles du Maghreb et autres pays musulmans d’Afrique Noire.

Force est pourtant de croire que cette fois-ci, Sarkozy a visé juste, puisque son idée semble rallier la majorité des citoyens et que la Royal, changeant de cap, y va de ses petits drapeaux tricolores et Marseillaises tandis que Bayrou, dont on ne sait trop s’il est lard ou cochon, préconise la remise en cause du droit du sol en Guyane ou à Mayotte où les femmes arrivent illégalement juste pour y accoucher et, en tant que mères d’un enfant français deviennent inexpulsables. On ne voit seulement pas pourquoi cette mesure qu’il juge bonne pour ces DOM ne le serait pas pour la France entière, à croire que l’Hexagone ne connaît pas cette immigration obstétrique venue du continent africain.

Mais derrière les tartufferies, ce sont les cohortes des commissaires politiques, des policiers de la pensée et de leurs indics qui montent en ligne, armés de leur habituel arsenal de mensonges, de désinformation et d’impostures. Même ceux qui font de l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme, même ceux qui professent le négationnisme font soudain preuve de sollicitude envers les Juifs pour peu qu’ils aient été préalablement exterminés. Les Juifs sont certainement les premiers étonnés de se découvrir subitement tant d’amis. L’agitprop de gauche à l’unisson avec les officines islamistes n’ont en effet trouvé rien de mieux que de comparer le projet de Sarkozy au Statut des Juifs et au Commissariat aux affaires Juives de Vichy.

Sans défendre le candidat Sarkozy qui nous laisse bien d’autres sujets d’inquiétude, faut-il rappeler que dans notre langue française «intégration» et «exclusion» ou «rejet» sont antinomiques ?

Faut-il rappeler que le Statut des Juifs les excluait de la communauté nationale française, les privait de tout droit et préparait leur déportation ? Tout à l’opposé, un ministère de «l’immigration et de l’identité nationale» aura pour mission d’intégrer les immigrés et surtout leurs enfants au sein de la communauté nationale à laquelle ils ont vocation de s’identifier. Où donc est le mal ?

Or, l’amalgame entre une chose et son contraire est l’arme des imposteurs.

Nous devinons aisément leurs objectifs. Alors que la France n’a cessé au cours de son histoire d’intégrer ses immigrés, elle n’échoue que devant la soudaine et massive immigration musulmane nourrie, dès le départ, de préventions contre les valeurs de l’Occident. En France, ces communautés sont «travaillées» par des missionnaires agitateurs fondamentalistes souvent venus du Proche-Orient ou du Maghreb où les autorités cherchent parfois à s’en débarrasser. Tout leur est alors bon pour instaurer des barrières pour préserver les musulmans de toute «contamination» occidentale. Dès lors, chaque fois par exemple que nos autorités, sous couvert de tolérance qui n’est jamais réciproque, favorisent l’édification d’une mosquée en lui en donnant le terrain quasi gratuitement et en pleine infraction à la loi de 1905, elles entrent dans la stratégie séparatiste des islamistes dont ce n’est qu’une première étape. Ce n’est pas la pratique religieuse qui est en cause mais la scandaleuse entorse faite en «haut lieu» à nos lois et à nos principes.

Faudrait-il ensuite nous résigner à renoncer à notre façon de vivre à nos libertés, à nos valeurs, à nos mœurs et à adapter nos institutions, notre enseignement, nos équipement collectifs et nos lois à l’islam et à la culture et aux mœurs que cette pseudo-religion véhicule ? Faudrait-il que par un prétendu «respect» toujours unilatéral, nous capitulions devant toutes les phobies, interdits et schizophrénies de l’Islam ? Or non seulement nos «maîtres à penser» l’admettent au nom du multiculturalisme et voient dans ce communautarisme qui s’implante un élément valorisant, mais notre ministre de l’Intérieur fait pression sur Alain Morvan, recteur de Lyon et finit par le faire limoger. Normal, les fondamentalistes islamistes voulaient sa peau, ils l’ont eue ; ça lui apprendra et, à travers lui, ça apprendra aux autres responsables universitaires ce qu’il en coûte de vouloir imposer aux islamistes les règlements que l’on impose habituellement à tout un chacun en matière de qualité de l’enseignement et des normes de sécurité des établissements scolaires. Peu à peu, cette «discrimination positive» instaure sur le territoire de la République deux systèmes de lois. Celle appliquée dans toute sa rigueur à tous les Français et celle, à l’usage des adeptes de Mahomet, faite de dérogations et de passes droits. La France n’est hélas pas seule dans ce processus de dégradation. Nous avons vu que, se fondant sur la loi coranique, une juge de Francfort avait débouté une marocaine qui demandait le divorce en raison des brutalités dont elle était l’objet de la part de son mari. Mais les Allemands, sans être plus «racistes» que nous, n’ont pas manqué de dessaisir cette magistrate et lui rappeler que la loi allemande est applicable à tous ses habitants sans exception.

Mais revenons en France

Si un Français qui, lui, n’a pas de patrie de rechange, demande que la loi française s’impose à tous, sans discrimination ou dérogation, s’il demande à être respecté dans son pays et estime que ce n’est pas à lui de s’adapter à une culture d’importation mais aux immigrés de s’adapter aux valeurs du pays d’accueil et de s’y soumettre, comme tout un chacun, aux lois et règlements en vigueur, serait-il aussitôt catalogué comme raciste et poursuivi pour ce délit ? Résistons donc à ce jugement de bas de gamme.

Nous ignorons comment fonctionnerait un ministère de l’immigration et de l’identité française ou de l’intégration. Il faudrait déjà que soit élaborée une charte de l’immigration. Chaque candidat à l’immigration devrait savoir qu’il est le bienvenu en France s’il y vient pour vivre de son travail mais qu’il doit y respecter les valeurs, mœurs, coutumes et lois et s’y adapter, à l’exclusion de toute autre loi, code et système de valeurs. Il doit savoir que tout manquement, constituant une rupture de pacte, entraînera son expulsion (ce qui implique l’acceptation de la prétendue double peine). Moyennant quoi, au moment venu, il aura vocation de devenir français et bâtir avec nous un avenir commun. Dans le cas contraire, il doit être invité à déguerpir dare-dare ; il trouvera toujours assez de pays et assez d’espace où son comportement, ses mœurs et ses lois se fondront dans le paysage.

Nous n’avons pas d’autre choix si nous ne voulons pas voir une France truffée de zones de non droit.

Mais nos «zélites» et autres nantis de gauche ou de droite parlent-ils encore le français ? Il est déjà notoire que nombre de Français titulaires d’un bac +, voire sortis des grandes écoles, ne connaissent plus la grammaire, ni l’orthographe ni même le sens des mots. Alors oui, il est grand temps de reconquérir notre propre identité, il est temps de la faire respecter par ceux qui veulent vivre avec nous. Mais encore faudrait-il que celui qui inscrit l’identité française dans son programme commence par se souvenir que dans une démocratie, a fortiori dans une république laïque, tous les hommes sont égaux devant la loi. Ni plus égal ni moins égal. Sans discrimination négative ou positive. Même Ségolène Royal, qui est allergique au mot «intégration», même Nicolas Sarkozy, maniaque de la discrimination positive, même Bayrou qui en est à chercher d’où souffle le vent, devraient le prendre en compte et s’y engager sans équivoque.

Fascination ou fascisation des bobos ?

Le crime fascine la gauche bobo, la gauche caviar. Oh, non pas n’importe quel crime crapuleux, encore que celui-ci soit aussitôt imputé à une société injuste dont le criminel est lui-même victime et mérite plus de sollicitude que la personne assassinée. Non, la gauche, hostile à la peine de mort lorsqu’elle est prononcée par un tribunal dans le cadre de la loi, entre en pâmoison devant un assassinat à motivation idéologique. Et le terrorisme entre dans cette honorable catégorie absolutoire.

Ainsi en allait-il de l’attentat terroriste palestinien commis en septembre 1972 aux Jeux Olympiques de Munich par l’organisation Septembre Noir. Cette action devait coûter la vie aux athlètes israéliens pris en otage et à un policier allemand. Pour une fois, toute la classe politique, y compris les Maos condamnait cet acte criminel. Mais pas Jean-Paul Sartre, père spirituel du quotidien Libération. Celui qui, pour ne pas désespérer Billancourt, mentait ou «au mieux», couvrait de son silence complice les crimes du régime communiste dont il était le compagnon de route, s’extasiait en ces termes : «C’est une guerre entre un État et un peuple, entre Israël et les Palestiniens … La seule arme dont disposent les Palestiniens est le terrorisme».

Passons sur le fait que pour Sartre, qui n’était pas connu pour professer l’antisémitisme, le peuple juif n’existe pas, les Juifs n’existant que dans le regard des autres. Donc seuls les Palestiniens sont un peuple, de sorte que les otages n’étaient pas des hommes avec ce que cela comporte de singularité, d’unique et d’irremplaçable pour chacun d’entre eux, mais un État.

À force de manier des concepts globaux tels que peuple, masse, État, classe ou Cause, l’homme dans sa singularité humaine n’existe plus chez les idéologues. L’homme devenant une abstraction, seuls le «Peuple», la «Cause», la «Classe», les «masses» sont des réalités.

Dès lors, un militant, un terroriste ne tue, ne déchiquette pas un être humain, il frappe un État ou une classe sociale. Il n’a donc pas à en répondre devant un tribunal puisqu’il n’y a pas homicide pour une abstraction. C’est ainsi que l’Italie, la France, l’Allemagne, le Japon, ont connu dans les années 70 les Brigades Rouges, «Prolétaires armés pour le peuple» par ci, ou la «Rote Armee Fraction» et autres organisations de même inspiration, mais toutes vouées aux enlèvements, aux prises d’otage et assassinats «révolutionnaires».

En nous en tenant à la logique sartrienne, Cesare Battisti n’avait donc pas à comparaître devant un tribunal pour quelque «prétendus» homicides commis durant les «années de plomb». Sa condamnation par contumace dans un procès où il bénéficiait de l’assistance d’avocats et de toutes les garanties légales n’a donc aucune valeur. Soit. Mais le scandale n’est pas dans cette «logique» qui n’est pas l’apanage de la seule gauche, n’est pas cette «logique» qui nous scandalise le plus. Le scandale, c’est la mansuétude dont il a bénéficié en se réfugiant en France où le «socialiste» Mitterrand l’a accueilli comme un réfugié politique persécuté par des «méchants» et lui a accordé sa protection, manifestant par là un profond mépris pour les Italiens, y compris ceux de gauche. Les crapuleries et perversions d’un Mitterrand qui a également protégé son ami Bousquet, maître d’œuvre des grandes rafles de Juifs, engagent-elles la République Française ? A cette aune, nous devrons aussi respecter les engagements du gouvernement de Vichy.

Battisti, ne s’estimant pas criminel, avait pris le large et ne pouvait donc être jugé que par contumace, ce qui le privait d’un procès normal où, contrairement à ses victimes, il aurait pu se défendre et être défendu. Il l’a du reste été ; il ne s’agit donc pas d’un jugement arbitraire et expéditif rendu par un tribunal d’exception. Son arrestation au Brésil et, espérons le, son extradition vers l’Italie permettront sans doute de faire enfin appliquer une décision de la justice d’un pays qui a rompu avec le fascisme. La peine de mort y étant de surcroît abolie, son sort restera de toute façon plus enviable que celui de ses victimes. Et dans le débat soulevé par le réseau mafieux idéologique qui soutient ce criminel, la vie des victimes et les conséquences dramatiques pour leurs familles comptent pour zéro.

Tout le reste n’est que tartufferies, vaines polémiques, procès d’intention et parfaite mauvaise foi. Tel est le cas d’un «intellectuel» membre du comité de soutien à Battisti, qui, dans un débat sur France Culture, déclarait que la société doit savoir pardonner. Mais le pardon, notion qui nous est léguée par le Judéo-christianisme, a pour préalable le repentir. Or, à ma connaissance, aucun criminel condamné pour ses assassinats «révolutionnaires» n’a regretté son crime ou manifesté le moindre repentir.

Je disais plus haut que le fait de voir dans les hommes une abstraction n’est pas spécifique à la seule gauche. Monsieur Raymond Barre, dans le soutien qu’il apporte à Papon resté en poste sous Vichy, estime que «l’Etat doit fonctionner» envers et contre tout, quitte à ce que ses fonctionnaires prêtent main forte à la machine d’extermination de Juifs «puisque leur sort ne relève pas de l’intérêt supérieur de l’Etat» ; il n’a pas besoin d’être antisémite pour autant, encore que ça aide ; il est simplement inhumain, au même titre que les idéologues «de gauche». À ses yeux, seul l’Etat est quelque chose de concret et tout doit lui être sacrifié (sauf la vie de Barre et de ses amis hauts fonctionnaires sans doute puisque nécessaires au fonctionnement de l’Etat) alors que les êtres humains, Juifs en l’occurrence mais pas exclusivement, ne sont que des abstractions. L’homme n’est qu’un «consommable» dont les restes sont jetables après usage, un carburant dont l’Etat Moloch a besoin pour tourner. Mais puisque vous et moi faisons partie de ces «consommables» de la machine Etat, de la machine Idéologie, de la machine Grande Cause, il nous est permis de voir tous ces individus «abstractionnistes», ces Barre, ces Papon, ces Sartre, ces Battisti et consorts tels qu’ils sont à la lumière du plein jour : des ordures.

Il était une fois

Il était une fois la Rhodésie, pays prospère. Mais c’était une colonie dont la population autochtone était subordonnée à quelques centaines de milliers de colons britanniques. Le colonialisme est une bien vilaine chose, c’est entendu. Par bonheur, la résistance Mau Mau a accéléré le processus de décolonisation que la Grande Bretagne avait déjà entamée et voilà le pays enfin libéré qui rejette son appellation qui perpétue le nom de Cecil Rhodes, ce colonialiste british. La Rhodésie est morte, vive le Zimbabwe. Et vive les Zimbabwinais enfin libérés du joug colonialiste. Le hic c’est qu’au lieu d’être gouvernés par des administrateurs importés du Royaume Uni, pas toujours commodes mais au moins responsables devant le gouvernement de Sa Majesté, ils ont un dirigeant bien de chez eux, mais un psychopathe idéologue (c’est presque un pléonasme). Commence la chasse aux Blancs généralement nés de parents également nés dans ce pays. N’en concluez pas que c’est du racisme. Le racisme est anti-noir, anti-jaune, anti-musulman, anti-arabe mais jamais anti-blanc, jamais anti-français ; ça n’existe pas. Beaucoup de descendants des «colons» de Rhodésie fuient leur pays natal, en y abandonnant leurs biens. Majoritairement cultivateurs, leurs fermes et leurs terres sont confisquées. Mais au moins redistribuées aux paysans sans terres ? Ne rêvons pas. Ces terres son distribuées aux apparatchiks du régime qui, n’étant pas des paysans, sont incapables d’y produire quoi que ce soit. La pénurie et la famine s’installent dans ce pays naguère prospère et exportateur de produits agricoles. Le peuple ne voit pas ce qu’il a gagné dans l’indépendance mais il sait déjà ce qu’il a perdu. Encore une conséquence de l’abstraction. Mais ne me faites pas dire ce que je ne pense pas. Le colonialisme devait impérativement être aboli, mais par quoi est-il donc remplacé ? Une dernière question : comment qualifierait-on la France si elle spoliait et expulsait sa population d’origine africaine ?


André Dufour pour LibertyVox

28/03/2007

Un concours pour changer "La Marseillaise"

medium_anticom2.gifLe candidat altermondialiste à la présidentielle José Bové a affirmé aujourd'hui que les paroles "guerrières" de La Marseillaise le "choquent" et a annoncé que, s'il était élu chef de l'Etat, il lancerait un "grand concours" pour en modifier les paroles.

(Avec AFP).
OUAIS, JE VOIS, ON COMMENCE PAR LA MARSEILLAISE ET ON POURSUIT EN SUPPRIMANT LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE.
ET LES VERSETS DU CORAN T'EN FAIS QUOI PETIT STALINE?
LE BOLSCEVIQUE "PACIFISTE" QUI FRACASSE LES McDO ET ARRACHE LES CULTURES (au sense propre et figuré)  QUI NE LUI CONVIENNENT PAS!
VAS-Y FAIRE LA LOI CHEZ LES TORCHONNES DE RYAD!
ET N'OUBLIES PAS D'Y AMENER LE POSTIER, ARLETTE ET MARIE-FRANCE.
QUI SE RESSEMBLE...S'ASSEMBLE.
 

27/03/2007

Les albanais peuvent enfin achèver le nettoyage ethnico-réligieux des serbes

L'OTAN a réussi à surmonter ses divergences internes pour apporter un soutien unanime au plan des Nations unies prévoyant pour le Kosovo une indépendance sous supervision internationale. Par le passé, l'OTAN avait davantage manifesté son soutien au ''processus'' onusien qu'au contenu du plan lui-même. Cette prudence prenait en compte l'inquiétude suscitée par l'accession de la province serbe à l'indépendance chez des pays membres comme l'Espagne et la Grèce.

www.figaro.fr

LA CASSE DE LA REPUBLIQUE SERBE SE POURSUIT SANS FIN AVEC LA LEGALISATION DE LA LOI DU NOMBRE ET DANS L'INDIFFERENCE GENERALE:  L'ANCIEN ENVAHISSEUR OTTOMAN ETANT DEVENU MAJORITAIRE LE POUVOIR LUI REVIENT DE DROIT ET A JAMAIS!

DEMAIN CE SERA L'INDEPENDANCE DU 93, du 95, du 69, du 59....

LA FIN DE LA CIVILISATION CHRETIENNE EN VIDEO: http://www.youtube.com/watch?v=fkgHkxIfgBc

Mekka-Deutschland= Islamland

medium_mekka.jpgLa berlinese Porta di Brandeburgo, simbolo della storia tedesca, è sovrastata da una luminosa mezzaluna musulmana: «Mecca Germania, la silenziosa islamizzazione». A lanciare l’allarme in copertina non è la conservatrice die Welt o la tradizionale Frankfurter Allgemeine. A parlare di slittamento «strisciante» verso valori estranei alla società tedesca è l’organo ufficiale del giornalismo liberal, il settimanale amburghese Der Spiegel, bibbia della Germania che conta, più o meno un milione di copie alla settimana. E nel numero apparso ieri in edicola il titolo delle pagine interne è, se possibile, ancora più allarmante: «Ma qui è già in vigore la sharia?».

Il quesito che appassiona i giornalisti del settimanale è semplice: fino a che punto lo stato di diritto può e deve piegarsi alle richieste dei gruppi di immigrati, anche se queste fanno a pugni con i principi fondamentali di cultura e diritto occidentali? E fino a che punto può farlo senza danneggiare chi, tra quegli immigrati cerca l’integrazione, favorendo invece i fondamentalisti? A segnare le contraddizioni più profonde tra identità culturali sono state, dice il settimanale, molte decisioni della magistratura, spesso inadeguata ad affrontare la complessità della situazione. L’ultima sentenza, che ha suscitato una sorta di sollevazione dell’opinione pubblica, è anche tra le più clamorose: riguarda una donna, 26 anni e madre di due bambini, quotidianamente maltrattata e picchiata dal marito, un marocchino. Nonostante le premesse il giudice incaricato del caso ha rifiutato la richiesta di divorzio immediato presentata dalla donna, anche se l'uomo l'aveva addirittura minacciata di morte. Il motivo? Il giudice l’ha spiegato così: «Nel Corano, alla Sura quarta verso 34, è previsto che l'uomo possa punire la moglie». Un riferimento spiegato con il fatto che la coppia si era sposata con rito islamico. Il caso è estremo ma fa seguito a una serie di sentenze degne di una giurisprudenza da Paese del Maghreb.

Già dal 2002 un magistrato aveva stabilito che i dipendenti musulmani possano fermarsi a pregare in orario di lavoro (sia pure in accordo con l’azienda). Nello stesso anno un altro tribunale stabilì la legittimità del rito di macellazione islamico (in deroga alle rigidissime norme previste dalla legge tedesca). Una battaglia durissima durata 15 anni è stata quella sulle preghiere dei muezzin. Nel 1992 la Corte costituzionale stabilì un principio: i centri di preghiera islamici hanno il diritto di diffondere con gli altoparlanti le loro preghiere. Per le rituali cinque volte al giorno e a partire dal levar del sole. Qualche anno fa una cittadina dell’Assia, Dillenburg, cercò di proteggere il sonno degli abitanti ricorrendo a un cavillo: il disturbo potenziale alla sicurezza della circolazione creato dal rumore. Il tribunale amministrativo bocciò anche questo tentativo. In nome del principio di uguaglianza chi vuole far tacere i muezzin dai minareti deve emettere un’ordinanza che zittisca anche campane e campanili. Commento di Der Spiegel: «Evidentemente da queste parti il principio di uguaglianza vale anche per quelli che con l’uguaglianza non vogliono avere nulla a che fare».

Un altro caso famoso riguarda una polemica tra un Imam estremista di origine turca, Yaukub Tasci e la Zdf, il secondo canale della tv. Quest’ultima fu condannata e obbligata a togliere dal suo sito la definizione di «predicatore d’odio» usata per Tasci. Al processo fu dimostrato che durante le sue prediche l’Imam definiva i tedeschi «schifosi infedeli». Nessun provvedimento, anche minimo, fu preso contro di lui. Tutte sentenze emesse nel nome del rispetto delle differenze culturali. Che coinvolgono spesso anche minorenni.

 Abbastanza comuni sono, per esempio, i ricorsi delle famiglie islamiche contro la partecipazione delle figlie a lezioni di ginnastica (o, peggio, di nuoto) e a gite scolastiche. Di solito i ricorsi vengono accettati e le ragazze esentate, a meno che le lezioni e le gite non vengano effettuate a sessi rigorosamente separati. Il risultato, secondo le organizzazioni che si occupano di uguaglianza tra uomo e donna, è che sempre meno ragazze di religione islamica partecipano alle attività sportive o alle attività comuni delle classi. Un problema ancora da poco, sottolinea Der Spiegel, di fronte a una decisione del ministero della Sicurezza sociale che dal 2004 ha di fatto riconosciuto la poligamia in Germania. Le prestazioni del servizio sanitario, ha chiarito a suo tempo il ministero, si estendono a tutte le mogli del lavoratore che paga i contributi. L’unica condizione è che a riconoscere il diritto a più mogli sia il Paese (islamico) di provenienza.

 

www.giornale.it

26/03/2007

Sharia e diritto occidentale

medium_arton9943.jpgDeve proprio essergli caduto un traliccio sulle sinapsi, quei tentacoli nervosi che collegano i neuroni e compongono il mosaico del pensiero cosciente ed intelligente !
Anzi, no: l’impalcatura dev’essere caduta sull’unica particella di sodio, quella che nella craniocaverna passeggia solitaria gridando "C'è nessunooooooo ?"...uno..no..ooo ( questo è l’eco, la ricevuta di ritorno ).
M’è scappato l’occhio sul sito di un’amica e chi ti trovo ?
L’ocone giulivo, il vispo tereso, il giuggiolone di turno è l’imam di Vénissieux - zona Lione in quel di Francia - che surriscalda l’isolata particella, a farla ingolfare nell’esagerata aspirazione d’aria che, entrando dalle orecchie, gonfia il palloncino.
Cheikh Abdelkader, algerino, nel paese della Liberté, Égalité, Fraternité cioè Libertà, Uguaglianza e Fratellanza, non s’adegua ma, in casa d’altri, vuole stravolgere e negare alla donna, come fosse a vivere per nutrire le sue piattole !
Vediamo come il nostro professionista usa quest’oggetto, "fodero" per il suo "creapopoli": poligamo, padre di ben sedici figli, dei quali 14 cittadini francesi, vive dal 1980 nella bambagia de la France.
Il Corano autorizza in certi casi un musulmano a battere la propria moglie, la donna deve essere sottomessa al marito e, men che mai, sarà pari al "masculo".
Quest’ultima affermazione è una comodità che permette al più infimo ed infame degli asini - ma con innesto di stecco e biglie - di vivere di rendita.
Una donna che arriva al Nobel, in letteratura, scienze e quant’altro, comunque è subordinata ad ogni pitocco analfabeta, poco più di una linea binaria ad encefalogramma piatto: acceso, spento; on, off.
L’autorizzazione, la presunta legittimazione, per un troglodita pari a questi, a poter battere e signoreggiare sulla moglie, risulterebbe dalla postilla, un comodo addendum, con nota a piè di pagina: "Come da investitura divina" (corano dixit NDR).
Mi rifiuto credere che un qualsivoglia "profeta", visionario, inspirato od unto dal Signore, esaltato o fumato, con presunta o assunta delega, traduca delle voci, che sente solo lui o sogna e ci attacca dei Post it posticci;
e, guarda caso, sempre pro domo sua.
Non oso insultare l’intelligenza e le opportunità di un Dio nel solo pensarlo così sprovveduto da "sbagliare" e creare l’impuro e l’impurità, l’esubero, l’imperfezione, lo scarto, il cascame e pattume vario.
Il maiale non va bene ? Il cane m’è venuto male ? La donna così, così ?
E che cavolo...non metterli in produzione, ed è belle che fatto !
Dio - padre, prima di tutto, non padrone ! - ha disegnato un mosaico di RUOLI e compiti, dotando ognuno di un copione che deve recitare per rappresentare la bellezza della vita ( non della morte, tanto cara a certi "deviati" ), e non un panino imbottito a strati, dove quello sopra poggia le chiappe e schiaccia chi sta sotto !
Ci vuole RISPETTO delle parti e personaggi, disegnati dalla matita di un così alto e abile personaggio, PERFETTO nell’INTERA OPERA divina !
Perciò è valido e dev’essere difesa la sacralità della vita, e non la bauscia di chi brama la morte, sua e degli altri !
Povera donna.
- "[...] non ha il diritto di lavorare insieme agli uomini: potrebbe essere tentata d’adulterio".
Si, ma quella cosa va fatta in due e non sono cazzi tuoi, guardone !
- "[...] un musulmano può avere più mogli...non più di quattro !".
Bene, pari opportunità: quattro donne x quattro uomini cadauna = sedici EGUAGLIANZA ed...equivicinanza !
Allarga la casa, piffero !
- "[...] non si saprà più chi è il padre dei figli !".
Fortuna loro, a non dover additare un somaro come te a capostipite !
Se uno spiritello fantasioso ci avesse messo briciole di suo, nella Bibbia, nel Corano - un po’ qua, un po’ là - affermando che gli asini volano, eppoi arriva uno come Cheikh a mettere sigillo di garanzia, quest’ultimo sarebbe ora a guardare in aria...ed io in faccia a lui !
Accidenti, dove sta l’interruttore della luce ?!


Giuseppe Fontana

www.corriere.it (forum allam)