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07/11/2008

Il etait une fois la LICRA

Laïcité à la carte pour «certains ou pour beaucoup» ?

Il était une fois une très respectable Ligue des Droits de l’Homme, créée dans la foulée de l’inique condamnation du capitaine Dreyfus par un tribunal militaire se comportant comme un Etat dans l’Etat et au dessus des lois ; elle avait pour vocation de défendre l’homme et le citoyen contre l’arbitraire. Pervertie par l’entrisme des nantis trotskistes, saupoudrés d’un humanisme de pacotille, elle est devenue entre leurs mains une arme au service d’une idéologie d’essence totalitaire.

Il était une fois une LICRA, née dans la foulée des pogroms perpétrés en Russie, en Ukraine et en Pologne à peine ressuscitée. Je la croyais, jusqu’à récemment, immunisée contre les idéologies puisque, ne pouvant la noyauter, le parti communiste stalinien, mobilisant ses compagnons de route et ses idiots utiles, finit par créer de toutes pièces, dans la foulée de l’émotion suscitée par la découverte des indicibles crimes nazis, un Mouvement contre le Racisme, l’Antisémitisme et pour la Paix(MRAP). 

Ce prétendu Mouvement contre le Racisme dont le A ne se prononce plus «antisémitisme» mais désormais «amitié» et le P ne se lit plus «paix» mais désormais «peuples», est avec le régime Nord Coréen de Kim Jong-il et le régime cubain de Fidel Castro, l’une des dernières métastases de l’empire stalinien. N’en attendant rien d’honnête, le MRAP a au moins le mérite de ne m’avoir jamais déçu. Orphelin du totalitarisme stalinien, son actuel leader s’est vite consolé de la disparition de son géniteur en se mettant au service d’une autre idéologie totalitaire, l’islamisme. Que voulez-vous, on ne se refait pas. Au nom du droit à la différence, Mouloud Aounit a le droit d’être comme il est. Et puis un poste de leader d’un business antiraciste, de surcroît subventionné par le contribuable, offre quelques avantages dont le moindre n’est pas de favoriser son élection au Conseil Général, voire au Parlement, fonctions qui, en une seule législature, assure une retraite d’un montant qu’un simple prolétaire ne touchera pas au terme d’une vie entière de travail. La Nuit du quatre août n’est pas encore passée par là.

La LICRA succombe à son tour à la contamination Mrapiste en se faisant l’avocat de toute cause identitaire pour peu qu’elle ne soit pas française ou européenne. J’aurais déjà dû m’en douter lorsqu’elle s’est acoquinée avec le MRAP dans sa grotesque plainte contre Jean Raspail, l’un des plus grands écrivains français vivants, «coupable» de fidélité à son identité française et, plus récemment, dans son soutien à une militante «oummaïste» islamiste pro voile contre l’infortunée Fanny Truchelut, naïve citoyenne attachée à la laïcité, c'est-à-dire à la loi de la République et à ses valeurs. Il ne reste plus à la LICRA, qu’à fusionner ou, pour le moins, à se fédérer avec ses deux compères de la partie civile : LDH et MRAP, ardents pourfendeurs de l’antisémitisme pour peu qu’il émane d’un européen, si possible d’extrême droite. Le MRAP, aux basques duquel la Licra s’accroche, est au dessus de tout soupçon. Son président n’a-t-il pas naguère gagné son procès en diffamation contre son «confrère» de SOS-Racisme coupable d’avoir dénoncé les cris de «Mort aux Juifs» hurlés derrière la banderole du MRAP ? Pour une fois, je crois que Mouloud Aounit dit vrai en affirmant que ces vociférateurs antisémites venus des «banlieues défavorisées» n’étaient pas membres du MRAP. Dont acte. Mais on peut alors se demander qui était diffamé : le MRAP ou les «Jeunes» des «banlieues défavorisées», portant ainsi atteinte à leur posture de discriminés institutionnels ? Quoi qu’il en soit on peut seulement se demander pourquoi le service d’ordre musclé du MRAP n’a pas aussitôt chassé ces trublions et pourquoi le MRAP, si vigilent contre le racisme des «Souchiens», n’a pas aussitôt déposé plainte contre ces racistes d’importation. Mais comme je l’ai dit plus haut, je ne me suis jamais fait d’illusions sur ce mouvement. Je constate seulement que la LICRA n’est pas très regardante sur ses alliances au point d’en arriver à d’étranges compromissions.

Je profite de cette évocation pour relever un curieux dénominateur commun à toutes ces organisations précitées qui se disputent ou se partagent le juteux marché bien verrouillé du business antiraciste. Combien de plaintes ont-elles déposées contre les auteurs de propos, actes, écrits, blogs, sites, voire actes de violence et de vandalisme de caractère raciste visant les «souchiens» hommes, femmes ou adolescents ? Ne répondez pas tous à la fois ! A croire qu’il suffit d’être originaire d’outre Méditerranée pour échapper à toute sanction visant les actes ou propos injurieux et diffamatoires portant atteinte à l’honneur et à la dignité des hommes et des femmes pour l’unique raison qu’ils sont les «Autres», les «Différents». N’est-ce pas ça le racisme ?

Mais que peut-on attendre de mieux des idéologues formés à l’école du totalitarisme dont l’antiracisme ne serait que le cadet de leurs préoccupations si cela ne leur permettait pas de s’ériger en commissaires politiques ? Et puis voilà que l’un de mes amis, adhérent à la LICRA, m’envoie un papier de la section de Neuilly informant le public d’un cycle de conférences autour du thème : «Laïcité, Démocratie, république Française, Valeurs et Religions». Constatons dores et déjà que tous ces substantifs ont une initiale majuscule, sauf «république». Mais bon, je ne vais pas jouer au psychologue de bistrot pour une coquille. Je n’en conclurai donc pas qu’à la Licra on manifeste plus de déférence à la Religion qu’à la «république».

Bien que maîtrisant normalement la langue française, je cherche un décodeur pour m’aider à traduire en français commun ce texte sibyllin rédigé en Lingua Tertii Imperii. Tout ce qui y semble clair, c’est que la première conférence de la section de Neuilly-la Défense de la LICRA, aura lieu le 25 novembre 2008 à 20h15 à la Maison des Associations, salle A, 2 bis, rue du Château, Neuilly-sur-Seine (Entrée gratuite, se renseigner à licraneuillyladefense@noos.fr).

Je vous en livre la note d’introduction telle que je l’ai sous les yeux. 

«Le multiculturalisme est désormais présent en France par les migrations intra-européennes, par les migrations extra-européennes au premier titre desquelles les migrations de la Méditerranée. Face à ce multiculturalisme, il est hautement souhaitable d’éviter deux voies :

- Celles (sic) du communautarisme
- Celles (re-sic) du laïcisme qui exclue (re-re-sic) toute religion et qui ne considère toute personne que comme citoyen et non dans son intégrité d’homme avec ses autres caractéristiques.

L’une ou l’autre de ces voies conduit soit à la non-reconnaissance de l’Etat ou de la Nation par certains, ou beaucoup, soit au fait que certains, ou beaucoup, ne se sentent reconnus ni par l’Etat, ni par la Nation».


J’aimerais bien que l’auteur de ce texte nous précise qui sont ces mystérieux «certains ou beaucoup» en faveur desquels la République doit retailler la loi de 1905 pour qu’ils nous fassent la faveur de reconnaître notre Etat et notre Nation. S’agirait-il des Vietnamiens ? Des Cambodgiens ? Des Bouddhistes, Des Guaranis ? Des Mexicains ? Des Costaricains ? Ce mutisme de la Licra nous oblige à conclure que ces «certains ou beaucoup» sont innommables ou ineffables. J’allais écrire que là n’est pas la question, or je crois que là est toute la question.

Ce qui m’interpelle c’est la remise en question implicite de notre système laïque instauré à l’aube du 20ème siècle à une époque où les catholiques et les autres religions, auxquels il convient d’ajouter les libres penseurs, se répartissaient les rôles des«beaucoup» et des «certains». Or tous ces «certains» comme ces «beaucoup», dans leur diversité de croyances et de sensibilités, se sont parfaitement adaptés à la laïcité, telle que définie par la Loi de 1905, dans le respect mutuel, en constatant de surcroît que cette séparation entre le Temporel et le Spirituel s’est finalement révélée bénéfique pour tous. «Gagnant, gagnant» en somme. L’égalité devant la loi, qui est le dogme d’un Etat de droit, jouait en faveur des «certains» comme des«beaucoup».

Or, depuis la seconde moitié du 20ème siècle, une «certaine» culture religieuse venue d’ailleurs, devenue «beaucoup», parce qu’entre autres, de nombreux «certains» qui, en toute illégalité ont quelque peu forcé notre porte avec la complicité des organisations prétendument antiracistes, se sentent mal à l’aise dans le cadre de cette loi à laquelle les autres religions se soumettent sans broncher, ce qui nous amène à conclure que la religion de ces «certains ou beaucoup» n’a rien d’une religion comme les autres et qu’à ce titre, elle exige avec une arrogance qui croît avec leur nombre, avec la pression politique de leur pays d’origine sans oublier celle des hystériques de l’antiracisme, un régime légal dérogatoire, c'est-à-dire un privilège. Ou, selon l’euphémisme de Nicolas Sarkozy, une discrimination positive. La Licra serait-elle chargée par Sarkozy de préparer l’opinion publique à la modification de la loi de 1905 ? Qu’en sera-t-il alors lorsque ce «beaucoup» deviendra la culture majoritaire ?

Pour y répondre, il n’est que de voir les pays d’où ces «certains devenant beaucoup» nous arrivent. Y existe-t-il une LICRA, un MRAP, une LDH ou autre SOS Racisme pour faire pression sur le gouvernement qui les subventionne, pour que les minorités culturelles, religieuses ou sexuelles puissent se sentir reconnues par l’Etat ou la Nation sur un pied de stricte égalité avec la culture dominante et que, par voie de conséquence, ils reconnaissent l’Etat et la Nation au sein desquels ils vivent.

Mais devons-nous pour autant discriminer ces «certains ou beaucoup» alors que nombre d’entre eux viennent chez nous justement pour échapper au totalitarisme politique, culturel et religieux qui sévit chez eux ? Il n’en est nullement question, encore que certains de ces hommes et de ces femmes qui renoncent à leur individualité au profit de leurs communautés, entendent, avec le soutien tapageur d’associations «antiracistes», reproduire dans le pays d’accueil le modèle de culture de leur pays d’origine, culture qui, n’en déplaise à ceux qui propagent le bobard selon lequel toutes les cultures sont équivalentes, est pourtant en grande partie la cause du sous développement de leurs pays. A titre de comparaison, qui imaginerait que les Allemands ou les Italiens qui fuyaient le national-socialisme ou le fascisme, prétendaient reproduire chez nous, et de surcroît nous les imposer, les caractéristiques idéologiques et culturelles du pays qu’ils fuyaient ?

Le ton de l’annonce en question me laisse craindre que je serais poursuivi en tant que «raciste» par la LICRA si je lui rappelle que la laïcité qui repose sur la loi de 1905 constitue la singularité de notre République. En vertu de cette singularité, la République, qui garantit à chaque homme et à chaque femme la liberté de croire ou de ne pas croire en une puissance divine, de pratiquer ou de ne pas pratiquer la religion dans laquelle il est né ou qu’il s’est choisie, ne reconnaît et ne juge que des individus, jamais des communautés culturelles, religieuses ou sexuelles. De surcroît il est désobligeant pour les institutions fondamentales de la République d’appeler «laïcisme» ce qui est tout bonnement la laïcité telle qu’elle découle de la Loi. 

Dès lors, les débats annoncés sont biaisés d’avance puisqu’ils reposent sur la prémisse tendancieuse selon laquelle notre système exclurait toute religion, ignorerait l’homme dans son intégrité et que seule l’abrogation de la Loi de 1905 ou son«assouplissement» sera le prix à payer à ces «certains ou beaucoup» pour qu’ils daignent reconnaître enfin notre Etat et notre Nation. A condition, bien entendu, de ne plus chanter la Marseillaise. 

Mais le véritable problème est ailleurs. La Licra, comme ses homologues ès antiracisme et droits de l’hommisme, laisse entendre que nous sommes responsables et coupables de la non intégration des «certains et des beaucoup» parce que nous les rejetons. 

C’est là une monstrueuse imposture qui vise à nous inhiber par un complexe de culpabilité. Ce ne son pas nous, les «Hexagonaux» ou «Souchiens» qui rejetons certains «Certains ou Beaucoup». Ceux parmi les «Certains» qui avaient l’intention de s’intégrer à la Nation y sont parvenus. La vérité est que ce sont les «certains» que le tract de la Licra n’a pas le courage de désigner, qui nous rejettent catégoriquement.

Influencés, sous couvert de religion, par une idéologie conquérante, intolérante, machiste et exclusive, fondamentalement hostile à toutes les valeurs éthiques et culturelles de l’Occident, et disposant en outre de forts soutiens financiers et d’un réseau vaste et dense «d’éducateurs» et «formateurs» venus d’ailleurs, ils usent de tous les moyens, jusqu’à la coercition pour «préserver» leur communauté de toute «contamination» par l’Occident. Selon eux, l’intégration à la Nation exige que ce soient nous, les «Occidentaux», qui devons nous plier à leur culture, à leurs valeurs, à leurs interdits. Ou alors, on ne comprendrait pas pourquoi les autres «certains», comme par exemple l’immigration asiatique majoritairement bouddhiste ou parfois chrétienne, ne nous pose aucun problème et ne nous place devant aucun dilemme.

C’est là que le «cycle de conférences» de Neuilly, comme d’ailleurs du reste, n’est qu’une aimable parlotte de bobos, certes bourrés de bons sentiments, mais «à côté de la plaque».

Dans le principe libéral du «moins d’Etat possible», la religion, la tendance sexuelle, l’appartenance ou le refus d’appartenance à une communauté religieuse ou culturelle, le choix d’une compagne ou d’un compagnon, d’un «hobby» ou encore les préférences culinaires ou les goûts artistiques ou littéraires, ne relèvent simplement pas, et fort heureusement, de la compétence de l’Etat ni de la Loi.

Nous ne sommes pas, par exemple, en Algérie où le fait d’abjurer la religion d’Etat, ou, pour les minorités religieuses, de pratiquer un rite au dehors des lieux strictement assignés par l’Etat, est criminalisé. Nous ne sommes pas non plus l’Arabie saoudite où toute pratique d’une religion autre que celle de l’Etat, ainsi que le port de tout signe laissant supposer l’adhésion à une croyance autre que l’islam sont interdits et sévèrement réprimés. 

Alors, Mesdames et Messieurs de la LICRA, avant de prétendre laisser une place officielle au «multiculturalisme», c'est-à-dire tout bonnement aux communautés venues d’ailleurs et parfois hostiles, songez plutôt aux hommes et aux femmes qui ont choisi notre pays justement pour se libérer du carcan religieux, culturel et communautaire qui, dans leur pays d’origine, entrave dans leur intégrité, l’homme «avec ses autres caractéristiques». Et surtout la femme (curieusement oubliée dans l’article de foi de la Licra).

Votre «multiculturalisme» de gogos ne sera pour eux qu’une nouvelle prison implantée sur le territoire de la République française. Un ghetto culturel et idéologique.

Non, Mesdames et Messieurs de la LICRA, dans le contexte mondial actuel, devant le «choc des cultures» (pas du tout équivalentes, ne vous déplaise) auquel le monde est exposé, c’est le communautarisme (que vous croyez rejeter en le baptisant «multiculturalisme») qui opprime l’homme et plus singulièrement la femme, et c’est la laïcité, fut-elle «laïciste», qui les libère. Mêlez-vous donc de la chasse aux racistes, des vrais et quels qu’ils soient, puisque c’est la raison d’être de votre association, et le contribuable vous subventionne uniquement à cette fin, en vous gardant de classer dans la rubrique «racisme» la simple critique ou même l’hostilité envers un système religieux ou idéologique. Ou alors il faudra ouvrir des vastes et nombreux goulags pour y interner tous ceux qui brocardent ou critiquent, impunément jusqu’à présent, la religion catholique. La remise en cause de la laïcité ne relève pas de votre compétence, mais «au mieux» de votre niaiserie, ou plus vraisemblablement, de votre totale irresponsabilité. 

Je sais que d’autres pays accordent un statut officiel aux communautés. Les immigrés qui viennent chez nous le savent aussi. Ce fait apporte une solution au dilemme qui tourmente la Licra, de «la non reconnaissance de l’Etat ou de la nation par certains, ou beaucoup ; soit au fait que certains, ou beaucoup, ne se sentent reconnus ni par l’Etat ni par la Nation» comme vous l’écrivez de façon tellement nébuleuse. 

Partant du principe que ce n’est pas à la Nation ou à l’Etat d’adapter sa législation à la culture des nouveaux venus, mais que c’est à ces derniers qu’il appartient de s’adapter aux valeurs, à la culture, aux normes, aux codes et aux lois du pays d’accueil, cela relève du plus élémentaire savoir vivre et tout simplement de la politesse. Au nom aussi de la liberté absolue de conscience à laquelle nous sommes attachés, tant pour nous-mêmes que pour les autres, il est toujours loisible à ceux qui ne sont pas satisfaits de notre système légal, de nos mœurs et de nos coutumes, d’aller se fixer dans les pays dont la législation, favorable au multiculturalisme, c'est-à-dire au communautarisme, répond mieux à leurs aspirations, étant entendu que toutes les autres personnes, tous les autres «certains» qui viennent légalement pour s’adapter et non pour imposer, pour vivre selon nos lois et valeurs et non pour nous soumettre aux leurs, sont les bienvenus et ont pour vocation de devenir citoyens et citoyennes de notre pays. C’est ma seule façon de comprendre et d’admettre la «discrimination positive».


© André Dufour pour LibertyVox

source:www.libertyvox.com

Jihad sur internet

Le djihadisme sur Internet a pris des proportions industrielles et menace ouvertement la France. Dans ses derniers Cahiers de la sécurité, consacrés à la criminalité numérique, l'Institut national des hautes études de sécurité (Inhes), dirigé par Pierre Monzani, se penche sur le phénomène.

Deux experts proches des milieux militaires, Walter Akmouche et Henri Hemery, ont donc analysé pour le compte de cet organisme, directement rattaché à Michèle Alliot-Marie, la propagande des islamistes radicaux. Ils révèlent dans leur étude que les sites appelant à la guerre sainte enregistrent des milliers de connexions depuis l'Hexagone. La seule adresse d'un site de soutien à la «résistance irakienne» comptabilise deux cents visites quotidiennes. Ce qui place la France en «cinquième position des pays consultants, devant l'Égypte ou l'Arabie saoudite».

Selon les auteurs, des as du marketing conseillent les djihadistes. Le discours d'al-Zawahiri, numéro deux d'al-Qaida, est mis en scène par une agence de communication. Abou Moussab al-Zarqaoui avait lui troqué ses traditionnelles invectives en dialecte jordanien pour un discours calme et posé. Il était même devenu adepte du «Web 2.0 ou Web contributif», sous forme de chats et autres forums de discussion. N'hésitant pas à multiplier les provocations face aux «mécréants et infidèles». On comptait 74 sites djihadistes en avril 2006. Ils sont sans doute «près de deux cents aujourd'hui», assure un policier spécialiste de la veille sur Internet qui reconnaît la «complexité grandissante» de son travail.

Walter Akmouche en connaît les raisons : «Les djihadistes sont désormais en mesure d'utiliser la stéganographie (logiciel permettant de camoufler un message dans un fichier photo, par exemple).» Ils ont aussi accès à des logiciels de cryptographie, téléchargeables gratuitement. Or il faut parfois «neufs jours» pour «casser» ces algorithmes.

Formations à distance

«Conscients de la relativement faible connaissance de l'arabe par les jeunes générations, des sites clairement islamistes et même djihadistes n'hésitent pas à proposer des versions françaises, allemandes, anglaises, etc.», notent Akmouche et Hemery. «L'inconvénient, ajoutent-ils, est qu'il existe aussi sur Internet des sites proposant des formations à la guérilla (urbaine notamment, comme certaines revues au format PDF), à la fabrication d'explosifs à partir de composants du commerce, au maniement des armes à feu.» On peut y lire ce type d'instructions : «Nous vous recommandons des cibles faciles au début (…) Par exemple, (…) en Algérie, les Français (…). Pour les cibles humaines», après «les juifs», les «chrétiens seront classés dans l'ordre suivant : Américains, Britanniques, Espagnols, Australiens, Canadiens et Italiens». Ce texte mais aussi d'innombrables fatwas sont actuellement disponibles d'un simple clic.

À en croire les deux experts, la propagande se double parfois de «formations à distance («e-learning») des internautes susceptibles de passer à l'acte». Un danger loin d'être virtuel. Les membres de la filière irakienne de Montpellier condamnés jeudi à Paris comptaient parmi leurs complices un certain Shraidi, que l'Algérie vient de condamner à douze ans de prison. Il avait pris directement contact, via sa messagerie d'ordinateur, avec l'ex-GSPC pour lui proposer ses services.

Les modérateurs des forums extrémistes, invitent désormais leurs «frères internautes» à plus de prudence dans l'évocation de leurs projets. Mais un juge antiterroriste le dit : «Sur ces sites, les jeunes finissent par se monter la tête.»

» ETUDE - La propagande jihadiste sur Internet (pdf)

SOURCE: www.figaro.fr

13/10/2008

Islamisme et nazisme : une convergence occultée

couverture.jpgLa convergence entre certains aspects de l’islamisme contemporain et le nazisme n’est pas fortuite, et elle permet de comprendre plusieurs dimensions largement occultées du mouvement islamiste. Le chercheur allemand Matthias Küntzel a observé que les deux mouvements – l’islamisme et le nazisme – sont apparus à la même époque, et qu’ils représentaient tous les deux une tentative de répondre à la crise économique mondiale de 1929 et à la crise politique du capitalisme libéral. Cette coïncidence historique s’accompagne d’une convergence idéologique, soulignée par Küntzel, mais très souvent passée sous silence par les spécialistes de l’islamisme.

Dans mon livre Le Sabre et le Coran, j’ai abordé le thème de la connivence idéologique entre le fondateur des Frères musulmans, Hassan Al-Banna, le grand Mufti de Jérusalem Hadj Amin Al-Husseini, et le nazisme. Trop souvent, les liens entre le Mufti – organisateur de la « révolte arabe » en Palestine mandataire dans les années 1936-1939 – et l’Allemagne nazie sont attribués à une pure alliance de circonstance, en vertu du principe selon lequel « les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». En réalité, comme je l’ai souligné et comme l’ont montré différents auteurs, ces liens traduisaient une profonde convergence idéologique et politique, qui s’est perpétuée depuis, alors même que le nazisme a été vaincu en tant que régime politique et que son idéologie a été apparemment éradiquée. Matthias Küntzel - auteur d’un ouvrage pionnier sur ce sujet (Matthias Küntzel, Jihad and Jew-Hatred : Islamism, Nazism and the Roots of 9/11, Telos, 2007.)- et d’autres chercheurs ont abordé ce sujet tabou, en montrant comment l’idéologie nazie et son corollaire, la haine des Juifs, se sont perpétuées après 1945 au sein du monde arabe, et comment l’antisémitisme européen a été transféré au sein du monde musulman par la propagande nazie, dont le Mufti Al-Husseini a été un acteur important (notamment par le biais de son émission en arabe sur les ondes de Radio Berlin). (Pierre-André Taguieff aborde ce thème à travers l’exemple du mythe des « Sages de Sion », dans son livre Prêcheurs de haine. Traversée de la judéophobie planétaire, Fayard 2004.)

Pour expliquer le phénomène des conversions à l’islam radical, Farhad Khosrokhavar souligne un autre aspect important : celui du culte de la mort. Elément fondamental de l’islamisme jihadiste, le culte de la mort – qui se traduit notamment par le recours aux attentats-suicides – est devenu de manière paradoxale un facteur d’attraction pour de nombreux convertis qui veulent échapper à la monotonie et à la vacuité de l’existence dans la société de consommation occidentale. Comme l’explique Khosrokhavar :

Mourir pour la cause sacrée est un stratagème qui permet de surmonter le sentiment de vide qui habite les classes moyennes des sociétés occidentales où la perspective d’une guerre généralisée s’éloigne des esprits et où aucune solution héroïque ne pointe à l’horizon.

Ainsi, la conversion à l’islam radical est à la fois, comme le fut autrefois la conversion à l’islam mystique que nous avons évoquée plus haut, un moyen de fuir l’ennui occidental (le fameux « spleen » dont parlait Baudelaire), et aussi une porte d’entrée dans un monde nouveau, d’où n’a pas été évacuée la dimension héroïque de l’existence. Cette « solution héroïque » dont parle Khosrokhavar, et qui prend la forme de l’engagement dans le djihad « sur le sentier d’Allah », correspond aussi à la soif d’aventure, présente chez certains convertis, qui est épanchée par la dimension guerrière et apocalyptique de l’islam contemporain.

La dimension apocalyptique de l’islam radical

Celle-ci est en effet un aspect important et peu connu du réveil de l’islam dans le monde contemporain. Elle traverse tous les clivages du monde musulman : entre sunnisme et chiisme, entre islam traditionnel et islamisme. Toutes les composantes de la mouvance islamiste contemporaine, depuis les Frères musulmans jusqu’au Hamas et à la nébuleuse Al-Qaida, partagent en effet l’espoir de voir le Califat islamique rétabli, et considèrent le « renouveau de l’islam » actuel – dont une des manifestations est la multiplication des conversions – comme le signe manifeste de la véracité des prophéties sur la victoire finale de l’islam et sa propagation dans le monde entier.

Ces croyances eschatologiques sont intrinsèquement liées à la dimension guerrière de l’islam contemporain, c’est-à-dire au djihad. En effet, dans la vision apocalyptique de la fin des temps, la victoire de l’islam doit être précédée par un affrontement généralisé entre l’islam et ses ennemis, c’est-à-dire l’Occident en général, et l’Amérique et Israël en particulier. Cette croyance est illustrée par le hadith cité à l’article 7 de la Charte du Hamas, passage essentiel qui éclaire la vision du monde du mouvement islamiste palestinien :

L’Heure ne viendra pas avant que les Musulmans ne combattent les Juifs et les tuent ; jusqu’à ce que les Juifs se cachent derrière des rochers et des arbres, et ceux-ci appelleront : Ô Musulman, il y a un Juif qui se cache derrière moi, viens et tue-le !

Ce hadith, cité sur d’innombrables sites Internet musulmans, signifie que le « combat contre les Juifs » constitue pour le Hamas un impératif non seulement politique, mais eschatologique. L’affrontement avec Israël n’est pas seulement le moyen de conquérir la terre de Palestine, mais il est la condition sine qua non à la venue de la fin des temps… Cette remarque s’applique également au combat entre Al-Qaida et l’Occident, qui s’inscrit lui aussi dans une vision apocalyptique de la fin des temps.

Farhad Khosrokhavar montre comment cette conception apocalyptique du djihad est précisément l’élément qui attire les convertis à l’islam radical, en proie à l’ennui et au vide existentiel de la société occidentale :

En l’absence de lutte majeure qui puisse galvaniser les esprits, reste le spectacle dérisoire d’une vie quotidienne que rien ne ragaillardit si ce n’est des faits divers dépourvus de sens ou des guerres lointaines qui se vivent par procuration à l’écran, dans une irréalité qui tranche avec l’ennui du réel…
Adhérer, de la part des convertis, à une vision djihadiste donne sens à la vie en lui assignant une fin tangible, une forme de défi qui consume dans la mort ce sentiment d’un temps quasiment immobile et d’une immanence qui nivelle tout . (F. Khosrokhavar, Les nouveaux martyrs d’Allah, op. cit., p. 314-315.)


Le culte de la mort est indissociable de cette dimension apocalyptique de l’islam djihadiste. Pour l’illustrer, plusieurs observateurs citent une affirmation récurrente dans la bouche de nombreux militants et dirigeants islamistes, du Hamas palestinien à Al-Qaida : celle de l’amour de la mort. « Nous sommes entièrement dévoués à la cause de l’islam. Nous aimons la mort tout autant que vous aimez la vie », déclare ainsi un des auteurs des attentats du 7 juillet 2005 à Londres, cité par Matthias Küntzel. Mais en réalité, c’est un véritable leitmotiv du discours islamiste, que l’on retrouve notamment chez Arafat, chez le dirigeant du Hezbollah Hassan Nasrallah, chez les terroristes de Madrid et de Londres, ou chez Oussama Ben Laden. L’origine de cette affirmation est peu souvent mentionnée : il s’agit d’une citation d’un hadith qui qualifie de faiblesse l’amour de la vie :

Un jour, les nations vous assiègeront de tous côtés, comme des convives affamés autour d’une seule jatte… Vous serez telle l’écume du torrent, Dieu fera que vos ennemis ne vous craindront plus, et il insinuera la faiblesse dans vos cœurs – Qu’est-ce à dire, ô Envoyé de Dieu ? – L’amour de ce monde et l’aversion de la mort. (Cité par G. Kepel [dir.], Al-Qaida dans le texte, op. cit., p.154.)

Le thème de l’amour de la mort et du « martyre dans le sentier d’Allah » est ainsi devenu un élément central du discours islamiste contemporain, que l’on retrouve tant chez les djihadistes d’Al-Qaida que chez les représentants du courant « centriste » comme Qaradawi. Il joue un rôle important dans la conversion à l’islam radical de jeunes Occidentaux en quête d’aventure, en proie à une haine farouche de leur pays natal, devenus des soldats et des cadres de la mouvance djihadiste, à l’instar du porte-parole américain d’Al-Qaida, « Azzam l’Américain ». Ces jeunes Occidentaux, convertis à l’islam sous sa forme la plus radicale et guerrière, sont prêts à sacrifier leur vie pour leur nouvelle foi, à l’instar des djihadistes nés musulmans, en suivant le « sentier d’Allah » jusqu’à la mort.


© Paul Landau pour LibertyVox

«Pour Allah jusqu'a la mort, Enquête sur les convertis a l'islam radical» : http://www.editionsdurocher.fr/index.php?page=ouvrage_roc...

11/09/2008

11 septembre: anniversaire du nihilisme musulman

Aujourd’hui, 2008, cela fait sept ans que l’islam a marqué l’humanité au fer rouge, c’est une date qu’il nous faut commémorer tant en souvenir des victimes de la barbarie idéologique islamique que du courage de ceux qui luttèrent contre, ce jour-là, avant et depuis.

À cette date près de trois mille résidents des États-Unis d’Amérique moururent du fait d’attaques terroristes islamiques, certains y voient la marque des Talibans, d’Oussama Ben Laden, de l’Iraq, du Salafisme, du Wahhabisme, d’autres cachant mal leur antisémitisme sous le masque de l’anti-sionisme, hurlent au complot et dénoncent le Mossad , d’autres encore, mais souvent alliés des précédents et souffrant d’une « occidentalophobie » masochiste accusent les États-Unis d’Amérique d’être responsables de ces attentats.

Pour ma part, mais je sais que je ne suis pas seul, je fais porter la responsabilité de ces attaques à une idéologie et à une partie de ses adhérents ; cette idéologie c’est la religion islamique et si tous ceux qui se disent musulmans n’approuvent pas ces attaques, elles sont pourtant bel et bien justifiées par les préceptes de la religion islamique.

C’est aussi une autre date qu’il convient de se rappeler aujourd’hui, celle du 1683, mes collègues de Point de Bascule l’ayant fait de manière brillante, je leur laisse la parole.1  

J’entends déjà des voix, hurler à l’islamophobie, à l’amalgame, à l’injustice, à l’essentialisation, pourtant à lire les textes canons de l’islam, le Coran (le livre sacré des musulmans), le hadith (les rapports des faits et dires de Mahomet, le prophète de l’islam), le fiqh (la jurisprudence islamique), la sira (la biographie de Mahomet), l’on peut y trouver sans difficulté et sans risque d’erreur d’interprétation l’appel et la justification de la guerre, sous toutes ces formes, contre ceux qui n’adhèrent pas à cette idéologie.

Outre les textes, qui sont longs et fastidieux à lire et à analyser, l’histoire nous montre également ce qu’il en est de cette idéologie que l’on ne cesse de nous présenter comme pacifique et tolérante alors que tant d’éléments factuels nous montrent le contraire.

Depuis le 2001 ce ne sont pas moins de 11.800 attaques terroristes2 que le monde a subi de la part des adeptes mahométans.

Sur la trentaine de conflits qui embrasent le monde en ce moment, la très grande majorité impliquent des pays musulmans.

Au cours de sa vie Mahomet conquit par les armes l’ensemble de la Péninsule Arabe, dans le siècle qui suivit sa mort ses adeptes avaient conquis le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord, la Péninsule Ibérique et se faisaient refouler par Charles Martel à Poitiers à l’ouest et jusqu’à l’Asie centrale à l’Est où ils furent arrêtés par les Chinois.

L’histoire de l’islam, c’est l’anéantissement de l’empire berbère, de l’empire byzantin, de l’empire indo-persan, c’est une trace sanglante dans toute l’histoire de l’humanité.
L’histoire de toute l’humanité est sanglante, elle est faite de guerres, mais dans toute cette histoire on ne retrouve qu’un seul exemple ayant amené à de tels comportements à un tel déferlement de haine de l’autre.

Cette idéologie c’est le nazisme, là, à nouveau, j’entends, ceux qui n’ont pas étudié le sujet se gausser et parler de point Godwin3.
Pourtant le nazisme et l’idéologie islamique présentent bien trois points communs majeurs, si je mentionne l’antisémitisme, l’hégémonisme et le suprématisme aryen du Nazional-Socialisme je n’ai nul besoin de m’expliquer quiconque n’a ne fut-ce que quelques vagues notions de l’histoire du XXème siècle sait de quoi je parle.

Ces trois éléments font également partie de la doctrine islamique.

Antisémitisme

Dans le Coran :

2.75. - Eh bien, espérez-vous [Musulmans], que des pareils gens (les juifs) vous partageront la foi ? Alors qu’un groupe d’entre eux, après avoir entendu et compris la parole d’Allah, la falsifièrent sciemment.

5. 51. Ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes.

5. 72. Ce sont, certes, des mécréants ceux qui disent : « En vérité, Allah c’est le Messie, fils de Marie.» Alors que le Messie a dit : « enfants d’Israël, adorez Allah, mon Seigneur et votre Seigneur.» Quiconque associe à Allah (d’autres divinités) Allah lui interdit le Paradis; et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes, pas de secoureurs !

9. 30. Les Juifs disent : « Uzayr est fils d’Allah » et les Chrétiens disent : « Le Christ est fils d’Allah ». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu’Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ?

Dans le hadith :

Le Messager de Dieu a dit: « Ne soyez pas les premiers à saluer les juifs ou les chrétiens. Si vous rencontrez l’un d’eux sur votre chemin, acculez-le à sa partie la plus étroite ». (Rapporté par Mouslim)

Le Jour du Jugement dernier ne viendra pas avant que les musulmans ne combattent les juifs, quand les juifs se cacheront derrière les rochers et les arbres. Les rochers et les arbres diront, Ô Musulmans, Ô Abdallah, il y a un juif derrière moi, vient le tuer. Seul l’arbre du Gharkad ne le dira pas, parce que c’est un arbre des juifs. (Rapporté par Boukhari 2926 et Mouslim 2921)

Tout juif qui vous tombe sous la main, tuez-le !
Ibn Hichâm (savant musulman mort en 834), La biographie du prophète Mahomet, traduction française de l’historien musulman Wahib Atallah, Paris, Fayard, 2004, p.232.

Historiquement :

624 : Après la victoire de Badr, début de l’élimination des juifs.
626 : Massacre des juifs Banu Khazradj et partage des familles et du butin.
626 : Expédition contre les juifs Banu Qoraizha, insultés par Mahomet: « Ô vous, singes et cochons… ».
626 : Massacre des 700 juifs Banu Qoraïzha, liés pendant trois jours, puis égorgés au dessus d’un fossé, avec les jeunes garçons.
626 : Expédition contre les juifs de Kaihbar.
626 : Meurtre sur ordre de Mahomet du juif Sallam Abou Rafi.
626 : Mahomet fait couper les palmiers de l’oasis des juifs Banu Nadhir.
627 : Élimination du clan juif des Qurayza à Médine.
627 : Massacre des juifs de Médine; partage des familles et des biens.
628 : Mahomet aux juifs Banu Qainoqa: « si vous n’embrassez par l’islam, je vous déclare la guerre ».
628 : Attaque des juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers.
628 : Prise de l’oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet.
628 : Soumission des juifs de Wadil Qora.
630 : Soumission des juifs et chrétiens de Makna, Eilat, Jarba4.

Alors quand certains analystes prétendent que l’antisémitisme chez les musulmans, aujourd’hui, est dû au comportement des Israéliens, il y a de quoi se poser des questions sur la validité de leurs analyses, surtout quand on regarde le verset suivant du coran :

33.21 En effet, vous avez dans le Messager d’Allah [Mahomet] un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment.

Hégémonisme

Dans le Coran :

9.29. Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés.

9.33 C’est Lui qui a envoyé Son messager avec la bonne direction et la Religion de la Vérité, afin qu’elle triomphe sur toute autre religion, quelque répulsion qu’en aient les associateurs.

Dans le Hadith :

D’après Ibnou Omar, l`Envoyé de Dieu, a dit:

Il m’a été ordonné de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils témoignent qu’il n’est d’autre divinité qu’Allah, et que Mohammed est Son Envoyé, qu’ils accomplissent la prière rituelle, qu’ils acquittent la zakat [aumône]. S’ils exécutent ces choses, ils seront, à mon égard, garantis quant à leurs personnes et à leurs richesses, à moins qu’ils ne transgressent (ouvertement) la loi de l’Islâm, mais Dieu réglera le compte de leurs (intentions vraies).

Ce hadith fait partie de ce que les musulmans appellent communément les quarante hadiths5, ce sont ceux dont l’authenticité ne fait aucun doute, afin d’en comprendre la portée pour nous occidentaux de culture judéo-chrétienne, il est assez pertinent de les rapprocher des « Dix commandements »

Historiquement :

Extrait du préambule de la constitution iranienne6

L’armée idéologique
Dans l’organisation et l’équipement des forces défensives du pays, l’attention se porte sur la foi et l’idéologie de façon à ce qu’elles soient le fondement et la règle. Pour cette raison, l’armée de la République Islamique et le corps des Gardiens de la Révolution sont organisés en conformité avec cet objectif et seront chargés, non seulement de la sauvegarde et de la protection des frontières, mais également du fardeau de la mission idéologique, c’est-à-dire le Djihad dans la voie de Dieu et la lutte dans la voie de l’expansion de la souveraineté de la loi de Dieu dans le monde.

Article onze de la charte du Hamas
[…]Cependant, la propriété véritable et la terre même doit être consacrée aux seuls musulmans jusqu’au Jour du Jugement Dernier. […]

(Il s’agit de la Terre entière et si le Hamas est bel et bien classé comme organisation terroriste par de nombreux pays, sa charte est conforme aux textes canons de l’islam.

Suprématisme

Dans le Coran :

1. 7. le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés.

La sourate un est récitée, par le musulman, chaque jour, lors de chacune des cinq prières quotidiennes, « ceux qui ont encouru ta colère » désigne les juifs, « les égarés » désigne les chrétiens, il s’agit pour le moins de propos infâmants envers ces deux communautés, mais cela n’est jamais relevé !

3.110. Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers.

Dans le Hadith :

Aboû Horeîra Abd-er-Rah`mân ben Çakhr) a dit: J`ai entendu l`Envoyé de Dieu, dire:
Ce que je vous ai défendu de faire évitez-le, et ce que je vous ai ordonné, accomplissez- le dans la mesure où cela vous est possible. Ceux qui vous ont précédé ont péri seulement par l’abondance de leurs questions et leurs divergences d`opinions à l’égard de leurs Prophètes.

Ceci est un autre des quarante hadiths, qui lui aussi, bien qu’indirectement, montre le peu de considération dû aux non-musulmans.

Historiquement :

Le pacte d’Omar est sans doute le texte qui montre et justifie le mieux le mépris du musulman pour le non-musulman, à la suite de sa première promulgation il fut appliqué aux juifs et aux chrétiens dans tous les territoires conquis par les musulmans, y compris en Andalousie :

Quand les musulmans ont occupé la Grande Syrie, Omar ibn Al-Khattab a fixé les conditions suivantes à l´attention des chrétiens :

• Ils ne doivent pas construire de nouveaux monastères, églises ou cellules de moines dans leurs villes et leurs alentours
• Ils ne doivent pas reconstruire ceux qui ont été détruits
• Ils ne doivent repousser aucun musulman qui souhaite passer trois jours dans une église, et ont l´obligation de le nourrir
• Ils ne doivent pas héberger d´espions
• Ils ne doivent pas être secrètement déloyaux envers les musulmans
• Ils ne doivent pas enseigner le Coran à leurs enfants
• Ils ne doivent pas faire preuve de polythéisme en public
• Ils ne doivent pas empêcher les membres de leurs familles de se convertir à l´islam s´ils le souhaitent
• Ils doivent faire preuve de déférence face aux musulmans
• Ils doivent céder leurs places assises aux musulmans qui souhaitent s´asseoir
• Ils doivent se différencier des musulmans par leurs tenues vestimentaires
• Ils ne doivent pas porter de noms musulmans
• Ils ne doivent pas conduire sur une selle
• Ils ne doivent pas porter d´épées
• Ils ne doivent pas vendre de vin
• Ils ne doivent pas se couper court la frange
• Ils doivent se revêtir de leur habit chrétien où qu´ils se trouvent
• Ils doivent se ceindre la taille d´une écharpe
• Ils ne doivent pas porter de crucifix ou l´un de leurs livres saints sur le chemin des musulmans
• Ils ne doivent pas enterrer leurs morts à proximité des musulmans
• Ils ne peuvent faire sonner leurs cloches que doucement
• Ils ne doivent pas lire à haute voix dans leurs églises en présence de musulmans
• Ils ne doivent pas porter de rameaux le dimanche des rameaux
• Ils ne doivent pas lever la voix pendant le deuil ne doivent pas porter de bougies pendant leurs funérailles
• Ils ne peuvent pas acheter des esclaves capturés par les musulmans en temps de guerre
• S´ils enfreignent le moindre de ces interdits, ils ne seront plus protégés, et les musulmans pourront disposer d´eux comme ils disposent de ceux qui leur résistent.

Je me suis volontairement limité dans les références aux textes canons afin de ne pas trop alourdir ce texte, il va de soi qu’il y a des centaines d’autres passages de ceux-ci justifiant le mépris des non-musulmans ou la guerre contre ceux-ci.

Cependant ce sont les non-musulmans qui se voient intentés des procès pour intolérance ou discrimination religieuse, il s’agit là aussi d’un moyen de faire progresser la foi islamique, d’en empêcher la critique rationnelle. Critique qui est pourtant étayée, non pas par des paroles oiseuses, par des raisonnements alambiqués mais tout simplement au moyen d’éléments factuels sur le plan historique et des textes fondateurs de l’islam. Cette critique est un devoir pour tout citoyen qui veut sauvegarder les acquis sociaux et la liberté dans nos démocraties.

Il y a un peu plus de deux ans dans un autre texte que j’avais rédigé lors du cinq millième islamique commis depuis le 2001, je posais la question suivante :

Alors encore combien d’ dans le monde avant que nos politiciens ouvrent les yeux et agissent avec un peu plus de conséquence ?

Cinq mille ?
Cinquante mille ?
Cinq cent mille ?

Nous en sommes aujourd’hui à plus de 11.800, nos politiciens ont-ils changé leur fusil d’épaule ?
La grande presse, dans son ensemble, a-t-elle changé d’attitude envers les tenants de cette idéologie ?

Je ne le pense pas, ce qui est sûr par contre c’est que le citoyen lui a commencé à comprendre, la situation économique y est sans doute pour quelque chose, mais ce n’est pas là la seule raison…

Alors je le dis à tous, si vous ne voulez pas que votre pays ressemble à l’ex-Yougoslavie ou au Liban (deux pays qui paient très cher la naïveté occidentale envers l’idéologie islamique), interpellez vos élus pour qu’ils fassent le travail pour lequel ils sont payés, ce travail étant, entre autre de veiller à notre sécurité et à la sauvegarde de nos droits. Les deux étant clairement mis en péril par l’idéologie islamique, pas uniquement par les terroristes.

SOURCE: http://www.bivouac-id.com/2008/09/11/7-ans-et-pourtant-pa...

04/09/2008

Arabo-musulmans: champions du monde de l'esclavagisme genocidaire

CLICK : http://fr.youtube.com/watch?v=5bNtpv7fIJY

 

J'oubliais un truc: EN FAIT, COMBIEN DE VOUS SAVENT QU'UN NOIR CONVERTI A L'ISLAM EST UN PEU COMME UN JUIF......INSCRIT AU PARTI NATIONALSOCIALISTE HITLERIEN!?

19/08/2008

Comment les arabo-musulmans ont contribue a la culture humaine

EXTRAIT DE WIKIPEDIA.COM

Un autre récit (que l'on trouve dès 1203 chez Abd al-Latif7, puis Ibn al Kifti8, et plus tard Ibn Khaldoun9) impute la destruction de la bibliothèque (d' Alexandrie) au calife Omar qui aurait donné en 642 l'ordre de détruire la bibliothèque à son chef militaire 'Amr Ibn al-'As. Cette dernière hypothèse continue de faire l'objet d'une forte controverse, certains la soutenant10,11, d'autres la rejetant12.

Ibn Khaldoun reconstitue pour sa part le récit suivant :

« Que sont devenues les sciences des Perses dont les écrits, à l’époque de la conquête, furent anéantis par ordre d’Omar ? Où sont les sciences des Chaldéens, des Assyriens, des habitants de Babylone ? […] Où sont les sciences qui, plus anciennement, ont régné chez les Coptes ? Il est une seule nation, celle des Grecs, dont nous possédons exclusivement les productions scientifiques, et cela grâce aux soins que prit El-Mamoun de faire traduire ces ouvrages.
[…] Les Musulmans, lors de la conquête de la Perse, trouvèrent dans ce pays, une quantité innombrable de livres et de recueils scientifiques et [leur général] Saad ibn Abi Oueccas demanda par écrit au khalife Omar ibn al-Khattab s’il lui serait permis de les distribuer aux vrais croyants avec le reste du butin. Omar lui répondit en ces termes : "Jette-les à l’eau ; s’ils renferment ce qui peut guider vers la vérité, nous tenons de Dieu ce 'qui nous y guide encore mieux' ; s’ils renferment des tromperies, nous en serons débarrassés, grâce à Dieu !" En conséquence de cet ordre, on jeta les livres à l’eau et dans le feu, et dès lors les sciences des Perses disparurent. »
    — Prolégomènes, 3e partie, éd. Quatremère, trad. de Slane, pages 89-90 et 125.

12/07/2008

Mariage temporaire islamique: le marché aux bestiaux

Adjugé, vendu. C’est un commerce en pleine expansion qui rappelle les marchés d’esclaves d’antan. À la saison touristique, des milliers d’Arabes viennent passer leurs vacances en Égypte et en profitent pour consommer un mariage temporaire islamique. Puis ils disparaissent dans la nature, laissant derrière eux le fruit de quelques nuits d’amour et une femme désemparée ne sachant quoi faire de cet enfant, qu’elle finit par vendre au plus offrant.

Avec l’institution des mariages temporaires (chiites) ou sans obligations (sunnites), du coup le tourisme sexuel islamiquement correct (halal) devient possible et il connaît une vogue grandissante. Malheureusement il ne tombe pas sous le coup de la loi puisqu’il s’agit de mariage légal en bonne et due forme respectant en tous points la charia.

L’Égypte connaît une vague sans précédent d’enfants abandonnés. Les mères victimes de ces mariages temporaires (contractés le plus souvent avec des saoudiens se dépêchent d’abandonner leurs bébés peu de temps après la naissance. D’autres se font littéralement acheter leur nouveaux-nés pendant leur séjour en maternité, c’est souvent les infirmières qui servent d’intermédiaires dans ce commerce d’enfants. Les destinataires sont habituellement des femmes arabes aisées de l’Arabie saoudite, du Koweït ou des Émirats. Atteintes de stérilité, elles vivent dans la hantise de voir leur mari épouser une seconde femme. Elles feignent donc d’être enceintes, prétextent un voyage d’agrément ou pour passer des examens médicaux, se rendent en Égypte où elles se procurent à bon compte un bébé nouveau-né (un garçon dans la totalité des cas) qu’elles enregistrent à leur nom (les certificats de naissance de complaisance s’achètent) et le tour est joué.

Ce n’est ni plus ni moins que le rapt d’enfants et la fraude érigés en système. D’autres sont vendus aux enchères, loués, cédés au plus offrant, dans un commerce qui rappelle les marchés d’esclaves d’antan.

Extraits de l’article « Nulle part ailleurs, 30 000 L.E., adjugé, vendu », par Chahinaz Gheith, paru dans Al-Haram Hebdo, le 24 octobre 2007

Les amitiés sanglantes de Besancenot

On savait que le nouveau parti anticapitaliste d'Olivier Besancenot s'inscrivait sous le signe de l'extrême. On apprend maintenant que, à la manière de certaines civilisations disparues, il ne dédaigne pas de l'illustrer par des références aux sacrifices humains. Des responsables de la LCR ont en effet reconnu avoir eu récemment des contacts avec Jean-Marc Rouillan, et Besancenot aurait même déjeuné avec lui. Or ce Rouillan est le fondateur du groupe terroriste Action directe, arrêté puis amnistié par Mitterrand en 1981, puis assassin en 1982 d'un indicateur de police, ensuite du général Audran en 1985, et du PDG de Renault, Georges Besse, en 1986. Condamné pour cela à perpétuité en 1989, il est en semi-liberté depuis 2007 et travaille dans une maison d'édition. A l'image du terroriste italien Battisti, bénéficiaire en son temps de la part du même président d'un droit d'asile en forme d'affront au mandat d'arrêt international lancé contre lui par la justice italienne, pour assassinat là encore. On retrouve la fascination récurrente d'une certaine gauche française pour le rouge, en l'occurrence le rouge sang. Mais ce qui, chez Mitterrand, était une posture couvrant un calcul électoral (pas d'ennemi à gauche) correspond chez Besancenot à une logique qui veut que l'extrémisme ne se divise pas. A ce compte, la transgression devient un principe sacré. Et à ce titre, les valeurs de la vie peuvent elles-mêmes être récusées, dès lors qu'elles sont reconnues aussi par la « morale bourgeoise ». Par ses emportements répétés contre la société, le discours d'extrémisme acclimate une culture du « non » qui séduit tout ce qu'elle compte d'utopistes, de malchanceux, d'aigris, ou simplement de rétifs aux servitudes de l'action concrète. De fil en aiguille, quiconque en transgresse les règles, y compris dans le crime, peut bénéficier d'une présomption de légitimité. Ce fond de pathologie dialectique asseyant, à l'expérience, un fonds de commerce électoral, on comprend que les socialistes s'en inquiètent.
Le malheur est qu'à force de contester tous les repères, il n'y a plus de repères. Le LCR Alain Krivine vient de déclarer que Rouillan peut rejoindre leurs rangs, et « qu'on ne demande pas aux gens leur passé ». Un peu plus prudent, car à la tête d'un petit capital de popularité, Besancenot a rappelé dans un souffle qu'il désapprouvait les méthodes d'Action directe de l'époque. Flairant le danger, il a fait cette petite concession à la vertu bourgeoise de la gestion. Mais ce service minimum de la gêne est sans commune mesure avec les cadavres encombrants de ce forcené, dont on dit au surplus qu'il ne regrette rien. Il est vrai que le succès même du nouveau leader anticapitaliste ne doit rien à la cohérence, au contraire.

SOURCE: www.lesechos.fr

07/07/2008

Cani con gli stivali

esterne071102310707110748_big.jpgLONDRA
La polizia britannica sta valutando la possibilità di adottare degli speciali stivaletti da far indossare ai cani durante le perquisizioni nelle moschee e nelle case degli islamici per non offendere la loro sensibilità religiosa. Lo rivela ieri il Sunday Times, ricordando che molti musulmani considerano i cani animali impuri ed evitano ogni contatto con loro.                                    

Secondo il domenicale britannico la Association of Chief Police Officers (Acpo), sta preparando un codice di condotta per gli agenti che utilizzano i cani teso a rispettare le diverse sensibilità culturali. Ma uno degli più importanti imam britannici, Ibrahim Mogra, definisce la misura come non necessaria: «so che all’interno della comunità islamica c’è un pregiudizio contro i cani - ha detto al Sunday Times - ma è una cosa culturale. Del resto sappiamo che i britannici amano i cani, noi musulmani dovremmo cercare di cambiare il nostro atteggiamento».

Nei giorni scorsi il Sunday Times aveva ripreso anche la protesta di alcuni cittadini britannici di fede musulmana contro la pubblicità di un nuovo numero per le segnalazioni alla polizia locale. Il volantino, distribuito nella primavera scorsa, aveva come "testimonial" un cucciolo nero di pastore tedesco che secondo alcuni musulmani era da considerarsi "offensivo" e "impuro": sebbene infatti i cani possano essere utilizzati per la caccia e come "guardiani", secondo la tradizione musulmana i cani non possono essere considerati come animali domestici.immagine.jpg

www.lastampa.it

 

 

 

COMMENTO: SAPEVAMO GIA ' CHE L'ISLAM E' LA RELIGIONE LA PIU' ALIENANTE CHE ESISTA, MA GLI EURABICI INGLESI SI DIMOSTRANO VERAMENTE ZELANTI NEL SOTTOLINEARLO!

05/07/2008

Quand le pourrissement idéologique touche le fond

Le Syndicat de la magistrature (SM, gauche) a appelé aujourd'hui le gouvernement français "à faire preuve d'humanité" en n'extradant pas vers l'Italie l'ancienne membre des Brigades rouges Marina Petrella.

Incarcérée depuis août 2007, visée par un arrêté d'extradition, Marina Petrella "présente, selon ses médecins, un +état dépressif gravissime+" et "avec cette extradition, (elle) est poussée vers la mort (sic,sic,sic!!!!!!!NDLR) dans l'indifférence glaciale de l'administration française", a écrit le SM dans un communiqué.

Le SM "ne peut se résoudre à un tel traitement et appelle le gouvernement, s'il est encore possible d'être entendu, à faire preuve d'humanité".

Marina Petrella a été condamnée en Italie en 1992 en son absence à la réclusion criminelle à perpétuité, notamment pour le meurtre d'un commissaire de police en 1981. La Ligue des droits de l'Homme (LDH) a également demandé à Nicolas Sarkozy de renoncer à l'extradition de l'ancienne membre des Brigades rouges, au moment où il se dit prêt à accueillir les guérilleros colombiens des Farc qui renonceraient à la violence.

SOURCE www.figaro.fr

CECI SE PASSE DE TOUT AUTRE COMMENTAIRE

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