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22/06/2009

La valise ou le c...oran

burka-france3.jpgSi on m’empèche de porter la burqa (ou plutot le Niqab) je ne sors plus ou je retourne dans un pays musulman”C’est la réponse d’une femme à burqa (niqab! ) interwievée ce matin sur France infos.

Cette phrase a été entendue aussi, ici au Canada.

Elle est le fruit d’une manipulation, Effectivement, ils savent que nos Pays sont soucieux de tolerance, alors ils menacent.

Ils pensent que nos Pays ne les laisseront pas partir, mais à un moment il va falloir faire des choix.

Ces femmes voilées font-elles tourner le Pays? Éduquent-elles leurs enfants avec l'amour pour la Patrie dans laquelle elles vivent? Peuvent-elles suivre les Pays dans leur démarche de démocratisation et de liberté? Quels sont les apports bienfaisants qu’elles apportent à leur Pays d’accueil? Seront-elles en mesure d’aller travailler afin de contribuer aux caisses de retraite et aux autres caisses qui fournissent plus de confort aux populations occidentales (pensons sécurité sociale, médecine, logements sociaux, routes, ponts, écoles, gestion des villes, distribution de l’eau et maintien des aqueducs, éducation? Parce qu’en fin de compte, tous ces services que l’on pense gratuits, ils sont payants d’une manière ou d’une autre.

La réponse est : NON

Ces islamistes profitent de tous les bienfaits de l’Occident (alloc en tout genre, soins de santé, système éducatif, transport, démocratie, liberté, etc.) maisi sont incapables de lever le petit doigt pour venir au secours des Pays industrialisés. Au lieu d’améliorer l’état de santé des Pays d’accueil, elles le rendent encore plus malade. Elles le détournent de son chemin vers une vie meilleure. Elles lui volent son avenir. L’étouffent, le tuent.

LE CORAN A ETRANGLE LES PAYS ISLAMISES: IL NE PEUT EN AUCUN CAS SAUVER NOS PAYS.

En plus, ces islamistes sont des lâches, Ce qu’ils viennent réclamer dans nos Pays occidentaux, ils ne peuvent pas en réclamer la moitié d’un quart dans leur pays d’origine. Au lieu de vivre et d’essayer d’évoluer dans leur pays d’origine, ils viennent ici, se disant libres, pour essayer de nous imposer leur vision du futur alors que chez eux, après l’ère du pétrole, ils rentreront dans l’ère des subventions internationales, car comme d’habitude, ils sont incapables de créer de la richesse materielle ou culturelle que ce soit pour eux ou pour les autres.

Les Iraniens, aujourd’hui se battent dans les rues pour essayer d’acquérir cette liberté qu’ils ont perdu ou n’ont jamais eue.

L’islam n’a pas sa place dans aucune société composee d’Étres Humains qui se respectent.

PS: Tournez tous les sujets au masculin, le resultat sera le meme!

 

Democratie versus islam

NEDA_a1.jpgMir Hossein Moussavi, rival malheureux de Mahmoud Ahmadinejad à la présidentielle en Iran, a affirmé dimanche que la contestation contre la fraude était un droit, tout en appelant ses partisans à la "retenue", après la mort d'au moins dix personnes dans une manifestation.

Plus tôt, Téhéran a durci le ton contre l'Occident et en particulier contre la Grande-Bretagne, accusée d'avoir voulu saboter le scrutin présidentiel du 12 juin, alors que la crise la plus grave depuis la fondation de la République islamique en 1979 est entrée dans sa deuxième semaine.

"En tant que personne endeuillée" par les morts de la manifestation de samedi, "j'invite mon cher peuple à la retenue", écrit M. Moussavi, un ancien Premier ministre, dans un communiqué publié par le site internet de son journal Kalemeh.

"Protester contre le mensonge et la fraude est votre droit", poursuit M. Moussavi qui conteste les résultats de l'élection et réclame son annulation.

"Espérez obtenir vos droits et ne permettez pas que ceux qui veulent vous mettre en colère réussissent", déclare le candidat conservateur modéré, disant aussi souhaiter "que la police et l'armée n'agissent pas de manière irréparable envers le peuple".

La télévision d'Etat a affirmé que 10 personnes avaient été tuées et plus de 100 blessées samedi dans des manifestations, mettant en cause des "agents terroristes" munis d'armes à feu et d'explosifs, qu'elle n'a pas identifiés. La chaîne de télévision publique en anglais Press-TV a fait état de 13 morts.

Ces décès portent à au moins 17 le nombre de personnes tuées depuis lundi dernier lors des manifestations contre la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad.

De son côté, le président ultraconservateur a demandé à Londres, mais aussi à Washington, de cesser leurs "ingérences" dans les affaires iraniennes.

"Ce n'est pas en tenant des propos hâtifs que vous entrerez dans le cercle des amis de la nation iranienne", a déclaré Mahmoud Ahmadinejad sur son site internet. "Pour cette raison, je vous demande de cesser vos ingérences."

Peu auparavant, son ministre des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a accusé Londres de complot contre l'Iran, affirmant que "des "+éléments+ liés aux services secrets britanniques" avaient afflué en Iran avant l'élection.

A Londres, ces accusations ont été balayées.

"Je rejette catégoriquement l'idée que les manifestants en Iran sont manipulés ou motivés par des pays étrangers", a déclaré le secrétaire britannique au Foreign office, David Miliband.

De même, à Washington, la démocrate Dianne Feinstein, qui dirige la commission du Renseignement au Sénat, a déclaré que les services de renseignement américains n'avaient que peu de prise sur ce qui se passe en Iran.

Au-delà des simples déclarations, les autorités iraniennes ont aussi décidé d'expulser le correspondant permanent de la BBC à Téhéran, Jon Leyne, sommé de quitter le pays sous 24 heures pour avoir "soutenu" les émeutiers, selon l'agence Fars, proche du gouvernement.

Le ministère iranien de la Culture a en outre menacé les médias britanniques de "mesures de rétorsion" s'ils continuaient "d'interférer dans les affaires intérieures de notre pays en diffusant des informations mensongères ou inexactes de l'Iran".

Selon l'organisation Reporters sans frontières, trois journalistes iraniens ont été arrêtés et incarcérés depuis samedi, portant à 33 le nombre de journalistes et cyberdissidents iraniens derrière les barreaux.

Un journaliste canadien qui travaille en Iran pour Newsweek, Maziar Bahari, a été arrêté par les autorités iraniennes, a annoncé pour sa part l'hebdomadaire américain.

La chaîne de télévision d'informations en continu à capitaux saoudiens, Al-Arabiya, a annoncé que la fermeture de son bureau de Téhéran, en vigueur depuis le 14 juin, avait été prolongée "jusqu'à nouvel ordre".

Et le gouvernement iranien a convoqué les ambassadeurs et représentants des 27 pays européens en poste à Téhéran, selon le ministre tchèque des Affaires étrangères, Jan Kohout, dont le pays assure la présidence de l'Union européenne.

Le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel ont pris dimanche la tête des critiques contre les autorités iraniennes, le premier réclamant "que la lumière soit faite" sur l'élection présidentielle, la seconde appelant à "un nouveau décompte des voix".

Tous deux ont réclamé la fin de la répression et des violences contre les manifestants.

20/06/2009

Lisez cela, tout commentaire est superflu!

Les musulmans, les non musulmans, et une MUTILATION SEXUELLE appelee CIRCONCISION:

 

http://www.mejliss.com/showthread.php?p=4028589

 

PS: appreciez: l'ouverture d'esprit, la tolerance vis-a-vis de la critique, la legitimation de la tricherie, et tout le reste.....

19/06/2009

Islam, culture des Lumieres

Le gouvernement français n'a pas exclu vendredi une loi pour interdire le port du niqab ou de la burqa, devant le débat lancé par des parlementaires qui dénoncent ce voile intégral revêtu par certaines femmes musulmanes en France.

Une enquête "doit nous permettre de voir plus clair sur le sujet", de "mesurer l'ampleur du phénomène et puis ensuite de prendre les décisions qui s'imposeront", a affirmé le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel. "Pourquoi pas" une loi, a-t-il dit.

Le président français Nicolas Sarkozy a fait savoir qu'il s'exprimerait sur le sujet lundi, lors d'un discours devant le Parlement, destiné à présenter de nouvelles réformes.

Une demande de commission d'enquête parlementaire sur le port de la burqa, signée par une soixantaine de députés a ravivé ces derniers jours la polémique sur la laïcité en France, seul pays européen à avoir légiféré, en 2004, pour interdire le voile islamique à l'école.

Signe de la sensibilité du sujet en France, où vivent 5 millions de musulmans, la question divise les associations, la classe politique, et jusqu'au gouvernement.

La secrétaire d'Etat à la Ville Fadela Amara, d'origine algérienne, a prôné vendredi "l'interdiction totale de la burqa" et qualifié le niqab de "cercueil qui tue les libertés fondamentales".

En revanche, le ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale Eric Besson a réaffirmé son "scepticisme" face à une loi qui serait "inefficace". La veille, il avait déjà jugé "inopportun de relancer une polémique" sur les signes religieux et "dangereux" de remettre en cause l'équilibre trouvé par la loi de 2004.

D'autant que le port du voile intégral est considéré comme "très marginal" par les organisations musulmanes. Quelque 2.500 femmes, se réclamant du salafisme, un islam puritain et ritualiste, seraient concernées, selon des enquêtes récentes.

L'opposition socialiste a appelé à éviter les solutions "simplistes". "Bien sûr qu'on est opposés à la burqa, au voile intégral, mais ce que je souhaite d'abord c'est qu'on s'occupe de l'insertion de ces populations", a expliqué sa dirigeante Martine Aubry, faisant référence au chômage qui frappe particulièrement les banlieues défavorisées à forte population musulmane.

C'est dans la périphérie des grandes villes, comme Paris et Lyon (centre-est), que le phénomène du niqab est le plus visible et en augmentation, selon les parlementaires favorables à son interdiction.

Le Conseil français du culte musulman (CFCM), organe représentatif de la communauté, s'est élevé contre l'idée d'une enquête parlementaire, craignant un "amalgame" et la "stigmatisation des musulmans".

Une idée partagée par Cyrille Aillet, spécialiste de l'islam à l'université de Lyon II: "ce débat n'a pas lieu d'être dans la mesure ou c'est un phénomène ultra-minoritaire et ou il y a déjà un dispositif législatif en France".

"Légiférer sur ce point c'est faire le jeu des extrémismes car quand ce type d'insigne (burqa, niqab) est porté c'est le signe d'une pratique puritaine de la religion", dit-il.

Pour Dounia Bouzar, ex-membre du CFCM spécialiste de l'islam en France, poser le débat sur le niqab dans des termes religieux est une erreur. Elle estime que "l'argument sécuritaire" doit être utilisé, comme en Belgique, où dans certaines villes toute personne qui masque son visage hors période de carnavals est passible d'amende. "C'est du droit commun. Cela ne stigmatise pas de religion", dit-elle à l'AFP.

 

13/06/2009

Gheddafi a Roma: per il petrolio l'Occidente vende la sua dignita'

GHE.jpgIncredibile ma vero! Dopo la visita trionfale a Parigi alla corte dell'imperatore Nicolas I Sarko, dopo i tappeti rossi (o meglio verdi) spiegati a Madrid da Zapatero, ecco che il dittatore criminale Muhammar Gheddafi, mandante della strage di Lockerbie, alleato del genocidario Omar Al Bechir, paladino notorio dei diritti umani e delle minoranze etniche e religiose, viene ricevuto in gran pompa in Italia. Palazzo Chigi, Quirinale, Parlamento, ci manca solo il Vaticano, ma di quello Muhammar se ne frega, almeno finche' non sia trasformato in moschea, come Santa Sofia ad Istanbul.
Le innumerevoli vittime di questo lurido assassino si rigirano nella tomba, ma poco importa...Paris vaut bien une messe, ed il petrolio Agip vale almeno una leccatina di piedi...anzi due,tre,...

GHEDDAFI GO TO HELL, YOU AND YOUR FAMILY!!!!!!!!

10/06/2009

SOS racisme + Socialos = mise en cause pour abus de biens sociaux

Le président de SOS Racisme, Dominique Sopo, a été placé en garde à vue mardi par les policiers de la Brigade financière qui ont également perquisitionné le siège de l'association dans l'enquête sur des mouvements de fonds suspects sur les comptes du socialiste Julien Dray.

M. Sopo et cinq membres de SOS Racisme sont entendus depuis mardi matin par les policiers dans les locaux de la rue du Château des Rentiers (XIIIe), a indiqué une source judiciaire.

"Certains de ces six membres de SOS Racisme, dont le président, sont entendus sous le régime de la garde de vue", a-t-on précisé de même source.

Leur garde à vue est susceptible de durer 48 heures.

Une perquisition était également "en cours" mardi en fin de journée au siège de SOS Racisme, situé avenue de Flandre (XIXe arrondissement), selon cette source, sans fournir plus de précisions.

Ni SOS Racisme ni l'avocat de l'association, Me Jacky Benazerah, n'avaient pu être joints mardi par l'AFP.

Les policiers enquêtent, sous la direction du parquet de Paris, sur de mouvements de fonds suspects décelés sur des comptes bancaires du député (PS) de l'Essonne par la cellule antiblanchiment de Bercy, Tracfin.

Ils soupçonnent l'élu socialiste, âgé de 54 ans, d'avoir bénéficié, par l'intermédiaire de proches collaborateurs, de fonds issus de comptes de l'association Les Parrains de SOS Racisme et de l'organisation lycéenne Fidl, depuis janvier 2006.

M. Dray, qui est un des co-fondateurs de SOS Racisme et de la Fidl, aurait bénéficié d'une partie d'une somme estimée à 351.027 euros.

Depuis l'ouverture de cette enquête le 10 décembre pour "abus de confiance", plusieurs membres de SOS Racisme, notamment du département de l'Essonne, ont été entendus par la police.

Outre les liens historiques qui unissent M. Dray à l'association, celle-ci a employé ses deux plus proches collaborateurs par lesquels aurait transité une partie des sommes.

Selon plusieurs sources proches de l'enquête, d'autres auditions pourraient être menées "prochainement", les enquêteurs ayant attendu la fin de la campagne des élections européennes pour entendre les principaux protagonistes de l'affaire, éventuellement sous le régime de la garde à vue......

 

SOURCE :http://news.fr.msn.com/article.aspx?cp-documentid=147878316

07/06/2009

Obama: retorica e ignoranza in pasto alle masse

Sarebbe bello vivere nel mondo disegnato ieri da Obama al Cairo, ma il senso di realtà suggerisce che non sarà possibile. Tralasciamo le ovvie parole di apprezzamento per la volontà di pace e per il coraggio politico del presidente americano: chi potrebbe negarli. Obama ha tentato al Cairo di creare con la forza della sua magia una svolta epocale, quella in cui non esiste il conflitto fra islam e Occidente. Ne è risultato il ritratto un po’ banale di un giovane presidente buono. Obama immagina il mondo a partire dalla sua autobiografia: non a caso non ha nemmeno citato la parola terrorismo. Il presidente americano si è presentato come la prova vivente della negazione del conflitto di civiltà, un giovane uomo cresciuto senza conflitto fra islam e cristianesimo, il padre e il nonno musulmani, la madre cristiana e bianca, gli Stati Uniti il porto d’arrivo, dove anche l’islam è una componente indispensabile. Obama ha parlato un’ora intera, ma il mondo ha sentito bene solo alcune cose: la prima riguarda il tono apologetico, in fondo abbiamo principi simili, quelli dei diritti umani. Ma non è andata così.

Prima di tutto la storia dei diritti umani è saldamente ancorata all’Europa e agli Usa, non giace anche in qualche anfratto delle satrapie mediorientali pronta a saltare fuori. In secondo luogo la storia delle due culture è sempre stata conflittuale, e mentre le nostre masse lo hanno dimenticato quelle islamiche invece ne fanno la bandiera di ogni giorno, a scuola, in piazza. Non si tratta di fenomeni marginali: lo testimoniano le enormi piazze di Hamas e degli hezbollah, la determinazione dei talebani e di Al Qaida, la laboriosa strategia atomica e terrorista dell’Iran che dal 2005 minaccia prima di tutto gli arabi moderati (per poco Mubarak non veniva deposto da una recente sovversione). Il più grande problema musulmano è la guerra intraislamica, non quella con gli Usa. Gli Usa, come Israele, non sono in guerra con l’islam, ne sono attaccati. Dal ’79, attacco all’ambasciata americana a Teheran, poi Nairobi nel ’98, la Tanzania, giù fino all’11 settembre, l’islam radicale ha attaccato, mentre si creava intorno agli attacchi un consenso di massa.

Obama misura dentro di sé l’equilibrio delle sue componenti e le proietta in un universo pacificato. Fa così anche sul conflitto israelo-palestinese che ha citato prima della questione iraniana, lasciando Israele di stucco: ha ribadito la forza del rapporto con Israele, ma ha anche messo sullo stesso piano il comportamento di due popoli di cui in realtà uno ha offerto molte volte di sgomberare i territori occupati per fare spazio a uno Stato palestinese e l’altro ha fatto del rifiuto la sua bandiera. Ed è difficile immaginare che proprio a Hamas, che fa della distruzione di Israele la sua ragione sociale, la proposta di Obama di due Stati possa suonare realistica. Non lo è stata ieri quando Arafat ha rifiutato tutte le offerte, non lo è stata poco fa quando Abu Mazen ha detto no a Olmert. Oggi che c’è di nuovo? Quanto all’Iran, troppe poche parole ha dedicato Obama a quello che è oggi il Paese più pericoloso del mondo, l’islam più aggressivo e feroce. Forse è proprio la sua inconciliabilità con l’islam obamocentrico che lo ha spinto a dire che il Paese degli ayatollah può farsi la sua energia atomica per usi domestici. Risibile ipotesi. Manca lo sfondo: Obama quando parla della tolleranza islamica percorre luoghi comuni. La sua citazione della Spagna era sbagliata: Cordoba, Granada furono testimoni di eccidi musulmani di ebrei, come anche il Marocco, l’Algeria, la Libia, l’Irak, la Siria, l’Iran, lo Yemen, l’Egitto.

Lo scontro con il cristianesimo, poi, è così lungo e profondo che non basterà il viso contrito e deciso di Obama a portare pace. Abbiamo già visto Shimon Peres proclamare ai tempi dell’accordo di Oslo che il Nuovo Medio Oriente era stato realizzato. Ma l’attrattiva dei vantaggi della stabilità non ferma l’aspirazione islamica a primeggiare. Obama ha sbagliato a non farne una promessa all’Egitto: forse solo l’aiuto concreto contro l’estremismo iraniano potrebbe confederare l’islam in un sogno di pace.
Fiamma Nirenstein  www.ilgiornale.it

05/06/2009

Germania presa in ostaggio dai Turchi

 

 

thumb_turchia_germania.jpg

In Italia la Turchia non è al centro di dibattito politico, perlomeno non in questo periodo, ma in Germania sì; soprattutto da quando la Merkel, d’intesa con Sarkozy, si è detta contraria all’adesione della Turchia all’Unione europea. Eppure in questi giorni anche in Germania il tema è sparito dal dibattito e su iniziativa proprio della Merkel, come spiega il New York Times in questa corrispondenza.

La cancelliera si è accorta che ben 690 mila degli oltre due milioni di turchi residenti, sono naturalizzati tedeschi e che le loro preferenze vanno al partito socialdemocratico e per i verdi. Ma a settembre si vota per le legislative e, come nel 2005, la Cdu-Csu e i liberali rischiano di non superare il 50% dei seggi. In settembre conterà ogni voto. Anche quello dei turchi; per questo la Merkel ha dato ordine di cancellare la parola Turchia dai comizi elettorali e, anzi, di iniziare a corteggiare un elettorato finora ignorato.

Potrebbero essere loro a decidere se la Germania avrà un governo di centro-destra o un’altra Grosse Koalition; a conferma che quando una minoranza diventa consistente riesce sovente a esercitare un potere di condizionamento politico superiore alla sua forza numerica. Oggi Berlino è costretta ad annacquare la sua posizione antiturca, fra non molto capiteranno situazioni analoghe in altri Paesi europei, come l’Italia, con l’elettorato di origine maghrebina o sudamericano.

Quanto tempo sarà necessario? Dieci, quindici anni? A vantaggio, com’è logico, della sinistra…

FONTE : blog di Marcello Foa / ilgiornale.it

 

04/06/2009

Ieri stragi nere, oggi stragi verdi!!

 

I carabinieri del Ros hanno arrestato nei giorni scorsi quattro nordafricani, mentre un quinto è irreperibile, accusati di aver tentato di organizzare attentati contro la chiesa di San Petronio a Bologna e la metropolitana di Milano nella primavera del 2006.

Lo hanno riferito i carabinieri oggi precisando che i cinque -- di cui tre già in carcere in Algeria e Marocco -- facevano parte in un primo momento del gruppo salafita per la predicazione e il combattimento, confluito poi in al Qaeda.

Le ordinanze di custodia cautelare nei confronti dei membri del gruppo -- attivo, oltre che in Italia, anche in Algeria, Marocco e Siria -- sono state emesse dal gip su richiesta della procura di Milano.

Tra i cinque, Houcine Tarkhani, tunisino del 1967 che aveva già in passato subìto condanne in Tunisia per questioni di terrorismo, è stato arrestato e interrogato dal gip di Milano, Simone Luerti, davanti al quale si è proclamato innocente.

Oltre a un marocchino attualmente irreperibile, gli altri destinatari dell'ordinanza sono già tutti detenuti: si tratta di Mohammed ben Hedi M'sahel -- tunisino del 1969 detenuto in Marocco -- di Amine Ghayour -- marocchino del 1980 attualmente in carcere in Marocco -- e di Laredj Ameur -- algerino del 1980 in carcere in Algeria.

Secondo quanto riferito, Hedi M'sahel, allora in carcere in Marocco disse, in dichiarazioni rese agli inquirenti nel 2006, che la scelta di compiere un attentato a Milano era stata motivata dal fatto che "Silvio Berlusconi proveniva da questa città".

Commentando i progetti degli attentati messi a punto dai cinque arrestati, il pm di Milano Armando Spataro ha detto che "è un dato da non enfatizzare e non è il più importante perché era un progetto molto vago e non concreto...non c'è stato alcuno sviluppo concreto".

"Siamo venuti a conoscenza di questo progetto attraverso le dichiarazioni rese all'autorità giudiziaria marocchina da uno degli indagati", ha spiegato Spataro, coordinatore del Dipartimento anti-terrorismo della procura milanese.

Per tutti e cinque le accuse sono di associazione con finalità di terrorismo in Italia ed all'estero, di finanziamento del terrorismo internazionale, di reclutamento ed addestramento di numerose persone inviate in Iraq ed Afghanistan al fine di compiere attentati contro obiettivi civili e militari.

Secondo quanto riferito dai carabinieri, la minaccia individuata all'epoca dalle indagini -- condotte dai pm Nicola Piacente e Massimo Meroni tra il 2005 e il 2006 -- era stata ritenuta così concreta ed imminente "da suggerire un provvedimento immediato di espulsione di alcuni fiancheggiatori da parte del Ministro dell'Interno".

I carabinieri hanno precisato anche che nel mirino della vasta organizzazione transnazionale, oltre all'Italia, c'erano anche la Francia -- in particolare organi di polizia -- , la Spagna e la Danimarca.

FONTE : REUTERS

PS: Sapete perche' volevano distruggere San Petronio? No? Perche' c'e' l'affresco di Giovanni da Modena raffigurante quella schifezza di Maometto all'inferno in mezzo ai demoni! ( consultate il mio album foto) . I "muslims" si sa', sono gente suscettibile!

GUARDATEVI IL VIDEO   http://video.corriere.it/?vxSiteId=404a0ad6-6216-4e10-abfe-f4f6959487fd&vxChannel=Milano%20Cronaca%20e%20Costume&vxClipId=2524_96c46b76-50e2-11de-89ad-00144f02aabc&vxBitrate=300

 

03/06/2009

Mali: i discepoli di Muhammad "giustiziano" un turista inglese

 

http://www.thesun.co.uk/sol/homepage/news/2462380/Al-Qaed...