15/04/2010
L' empire du croissant donne le "tempo"
Un hôtel, haut de 817 mètres, en construction près de la Grande mosquée de La Mecque, en Arabie saoudite, sera surmonté d'une horloge, dédiée aux musulmans, six fois plus grande que Big Ben de Londres, ont annoncé aujuord'hui ses promoteurs.
Makkah Clock Royal Tower ouvrira partiellement ses portes fin juin, et son horloge sera mise en service un mois plus tard, en prévision du ramadan, le mois de jeûne musulman, prévu vers le 10 août, a indiqué lors d'une conférence de presse à Dubaï son directeur général, Mohamed al-Arkobi.
La tour sera la deuxième plus haute tour en construction au monde, après Burj Khalifa (828 m) de Dubaï.
L'horloge, de 45 m de long et 43 m de large, sera l'icone d'un complexe de sept tours, en construction par le géant immobilier saoudien BinLaden Group et le groupe hôtelier Fairmont pour le compte du gouvernement saoudien, a-t-il ajouté.
Présentée comme "la plus grande au monde", cette horloge, de fabrication allemande (il ne sont pas assez intelligents et travailleurs pour se le construire eux mêmes avec l'aide d'allah NDR), sera visible à 17 km à la ronde le soir et 11 à 12 km le jour, a-t-il indiqué.
L'objectif, a-t-il dit, c'est que les quelque 1,5 milliard de musulmans dans le monde se réfèrent désormais à l'Islamic Mean Time (IMT), plus qu'à la Greenwich Mean Time (GMT).
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30/03/2010
Le recul de la Civilisation des Lumières
Le Salon de l'alimentation hallal (« licite » pour la religion musulmane) ouvre ses portes pour la troisième année consécutive aujourd'hui à Paris, Porte de Versailles. Et cela n'est sans doute pas un hasard car la France compte la plus forte communauté musulmane d'Europe (5,3 millions de personnes) au sein de laquelle neuf personnes sur dix achètent des produits alimentaires hallal, selon le cabinet Solis, spécialisé dans le marketing ethnique.
Résultat, ce marché a pris une ampleur qui suscite bien des convoitises. De l'ordre de 4 milliards d'euros en 2008, il devrait atteindre 5,5 milliards cette année. Affaire identitaire ? « Oui, dans certains cas, cela correspond à une forme de repli sur soi. Dans d'autres, à la nostalgie des spécialités culinaires du Maghreb. Pour les plus jeunes, c'est l'expression d'un triple désir de modernité, d'intégration et d'affirmation de ses origines, dit Abbas Bendali, le directeur de Solis. La première génération arrivée du Maghreb n'osait pas revendiquer une alimentation spécifique. La troisième, née en France, veut avoir accès à tous les produits occidentaux, tout en ayant certaines garanties. »
Les jeunes Français musulmans veulent manger de la tartiflette, des hot-dogs, des hamburgers, boire des sodas et manger des bonbons tout en appréciant qu'ils soient conformes à leurs préceptes religieux. Les produits hallal ne doivent pas contenir de viande de porc ou de gélatine de porc (cela peut être le cas dans la confiserie), ni d'alcool - même de simples traces. Quant aux jeunes femmes musulmanes, « les contraintes horaires sont les mêmes pour elles pour les autres. Elles veulent donc trouver des plats préparés hallal », dit Abbas Bendali.
Nestlé, Fleury-Michon, Labeyrie, LDC, Panzani..., les industriels de l'agroalimentaire ont bien compris cette nouvelle donne et développent leur offre avec succès. Les grandes surfaces suivent. Casino a ainsi lancé l'an dernier la première marque de distributeur (Wassila).
Sacrificateurs habilités
Nestlé a commercialisé ses premiers produits hallal en 2006, soupes et bouillons, très prisés en période de ramadan, surgelés et pizzas, saucisses de volailles Herta et Knackis. La mosquée de Paris garantit leur caractère hallal après visite des usines, indique le chef du département ethnique de Nestlé, Bruno Elkasri. Deux autres mosquées interviennent dans le processus de certification, Courcouronne et Lyon. Ces trois autorités mises à part, personne n'est vraiment habilité à garantir le caractère hallal.
« L'étiquette hallal est un choix de celui qui commercialise », explique le ministère de l'Agriculture. Les premières entreprises qui ont créé des chaînes spécifiques et recruté des sacrificateurs habilités sont les abattoirs (Doux, Socopa). C'est à la viande que les musulmans veillent le plus. Ils ont obtenu une dérogation aux règles françaises qui imposent l'étourdissement préalable de l'animal, pour qu'il soit saigné selon leurs codes.
MARIE-JOSÉE COUGARD, Les Echos
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24/03/2010
On ne conteste pas l'enseignement d'Allah!
Quand elle est montée dans un taxi, ce mardi matin, Nojoud Ali a fièrement dit au chauffeur : «Emmenez-moi au Parlement !». Accompagnée de son grand frère Mohammad, elle a rejoint, vers 9 heures, les quelques centaines de protestataires rassemblés devant le Majlis an-Nuwad, pour dire «non» au mariage des fillettes yéménites. Dans la foule, elle s'est sentie toute petite, et pourtant si fière. «Je ne veux pas que d'autres enfants souffrent comme je l'ai fait», nous confie, par téléphone, la plus jeune divorcée de ce pays de la péninsule arabique où la tradition des noces précoces suscite actuellement une vive controverse.
Deux ans, déjà, se sont écoulés depuis que cette fille au visage de poupon, mariée à un homme trois fois plus âgé qu'elle, osa se réfugier au tribunal de Sanaa, pour réclamer sa liberté volée. Elle n'avait que 10 ans. Depuis sa victoire inattendue, largement saluée par la presse locale et internationale, un tabou a été brisé. Inspirées par son courage, d'autres petites voix se sont élevées, et à ce jour deux autres épouses-enfants ont pu divorcer. Les associations yéménites se servent, elles, de l'exemple de Nojoud pour mener, village par village, une vaste campagne de sensibilisation en province. Les autorités sont également plus disertes à ce sujet. Selon un rapport du ministère des Affaires sociales publié l'année dernière, un quart des femmes yéménites se marient avant l'âge de 15 ans. Les raisons sont multiples : grande pauvreté, coutumes tribales et traditions religieuses invoquant l'exemple du prophète Mohammad, qui épousa Aïcha quand elle avait 9 ans...
À force de lobbying auprès des députés yéménites, les activistes féministes ont fini par obtenir, en février 2009, l'inimaginable : le vote, au Parlement, de l'augmentation de l'âge officiel du mariage, de 15 à 17 ans et l'imposition d'une amende d'environ 350 euros aux parents qui dérogent à la règle. Mais c'était trop beau pour durer. Sous la pression d'une minorité active, menée par d'influents députés conservateurs, une demande de réexamen de la nouvelle loi empêche sa promulgation. «La polémique, qui dure depuis un an, est soudainement revenue sur le devant de la scène alors que le Comité constitutionnel, qui a hérité du dossier, doit se prononcer le mois prochain sur la conformité de la loi avec l'islam», explique Houria Mashour, la vice-présidente du Comité national des femmes. Dimanche, ce sont d'abord les ultras du Yémen qui ont donné le ton, en organisant, devant le Parlement, un rassemblement de femmes voilées. «Ne bannissez pas ce qui a été autorisé par Allah», pouvait-on lire sur leurs pancartes. Ce mardi, c'était au tour des partisans de la réforme de riposter, à l'appel de différentes ONG militant pour les droits des femmes. «Nous sommes des enfants, nous voulons pouvoir jouer et étudier», disait l'un des slogans prononcés lors de la contre-manifestation à laquelle Nojoud s'est rendue. «Notre combat n'est pas gagné d'avance, mais l'expérience prouve que la persévérance peut finir par payer», insiste Shada Nasser, son avocate.
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07/03/2010
Dialogo islamo-cristiano
E' di almeno 200 morti il bilancio delle violenze interreligiose tra cristiani e musulmani avvenute nelle ultime ore nei pressi della città di Jos, nel centro della Nigeria. Lo riferiscono testimoni oculari. Una fonte della Croce Rossa ha riferito che centinaia di persone stanno abbandonando le proprie case a Jos a causa degli scontri.
L'ATTACCO - Secondo quanto riportano testimoni locali intorno alle tre di questa mattina i pastori islamici hanno attaccato il villaggio di Dogo Nahawa, a sud di Jos, sparando in aria e colpendo la popolazione a colpi di machete. Circa 18 cadaveri sono stati portati fuori dalla città e sotterrati, altri feriti sono stati portati in ospedale. Come detto la Croce Rossa internazionale ha fatto sapere che molte persone stanno fuggendo dalle loro case. La situazione nel Paese è sempre più tesa da quando il 9 febbraio scorso il vicepresidente Goodluck Jonathan è stato nominato presidente provvisorio in vista delle prossime elezioni presidenziali nel primo semestre 2011. Il rientro a sorpresa poi dell'ex presidente Umaru Yar'adua, musulmano del sud, ha poi accentuato il clima di violenza, dal momento che Jonathan, cristiano, ha dichiarato di non voler lasciare la carica.
Redazione online www.corriere.it
07 marzo 2010
19:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/02/2010
Aujourd'hui Malaisie, demain Europe!
Ils tendent leurs paumes vers un Christ auréolé de rose fluo et ils pleurent. De leurs prières, des mots s'échappent : «cocktail Molotov», «stupeur», «liberté religieuse menacée». La brume ne s'est pas encore dissipée sur les faubourgs de Kuala Lumpur, mais, dans l'église de l'Assomption, vandalisée il y a peu, les paroissiens sont venus nombreux pour évoquer la «querelle d'Allah».
La Malaisie est secouée par une vague de violences inédites contre ses églises. En quelques jours, onze lieux de culte ont été la cible d'attaques et de dégradations. Au départ de la polémique qui divise le pays : The Herald. Cet hebdomadaire catholique local revendique le droit d'user, pour désigner Dieu, du terme d'«Allah» dans son édition de langue malaise, destinée aux fidèles de l'île de Bornéo. À l'issue d'une longue bataille juridique, la Haute Cour de Kuala Lumpur a autorisé, le 30 décembre dernier, les non-musulmans à utiliser le nom «Allah» dans leurs écrits. Mais, face à la colère de groupes islamiques et aux pressions du gouvernement, qui a agité la menace de tensions interconfessionnelles, cette même cour a suspendu son autorisation le 6 janvier dans l'attente d'un jugement en appel.
Dans l'église de l'Assomption, sous des ventilateurs qui peinent à dissiper la moiteur de l'été tropical permanent, le ton du sermon du révérend Larry Tan est ferme : «Si nous cédons sur ce point, nous ne cesserons de perdre du terrain pour notre pratique religieuse.»
Changement de décor : à la sortie de la mosquée Asy-Shyakirin, à deux pas des tours jumelles Petronas, emblème de la modernité malaisienne, Muhammad Faisal Abdul Aziz, président d'une association d'étudiants musulmans, explique que l'emploi du terme «Allah» par les chrétiens est susceptible de «créer la confusion et favoriser le prosélytisme». «Où s'arrêteront les chrétiens ? Bientôt, ils vont appeler leur église la maison d'Allah et leur Bible, les versets d'Allah». Derrière lui, un homme bedonnant, ne décolère pas : «Allah n'appartient qu'aux musulmans.» Peu lui importe que dans la plupart des pays arabophones, le mot «Allah» désigne à la fois le mot «dieu» et le Dieu de l'islam et qu'il soit utilisé par les non-musulmans. «En Malaisie, l'usage du nom d'Allah est une exclusivité musulmane», insiste-t-il.
«La religion est devenue un facteur de division de notre société», estime l'analyste politique, Chandra Muzaffar. La Malaisie qui était autrefois une nation multiraciale unie est aujourd'hui tiraillée entre ses trois communautés ethniques : les Malais musulmans (60 % des 28 millions d'habitants du pays) et les minorités chinoises et indiennes, réparties entre chrétiens (9 %), bouddhistes et hindouistes.
Derrière «l'absurdité de cette histoire de sémantique», c'est l'islamisation de la société et du débat public qui inquiète le père Lawrence Andrew, directeur du journal catholique au cœur de la polémique. «Cette mainmise sur le mot d'"Allah" est une façon de réaffirmer l'identité et la prééminence politique des Malais, estime-t-il. C'est dans la même veine que la notion de "suprématie malaise", dont le gouvernement nous rebat les oreilles.»
Anwar Ibrahim, principal opposant du pays, y voit également «une manipulation de la question religieuse». «Ce rigorisme affiché par l'Umno, la coalition gouvernementale sclérosée et gangrenée par la corruption, est une tentative désespérée de se faire passer pour un parti islamique et récupérer l'électorat malais conservateur qui l'a déserté au dernier scrutin», explique le chef de l'opposition parlementaire.
Pour Aziz Bari, spécialiste de droit constitutionnel, l'explication tient aussi dans la Constitution du pays, un texte quelque peu ambigu qui garantit la liberté de religion, mais qualifie l'islam de religion officielle. «Dans un pays où la Constitution met en équation les identités malaise et musulmane, la ligne de démarcation entre la race et la religion ne peut être que floue», estime l'universitaire.
Dans cette ambiance délétère, la Malaisie a du mal à échapper au poids des divisions communautaires : sur le campus de l'université islamique internationale, les discussions sur la supériorité et l'identité malaises nourrissent la haine contre les «pilleurs chrétiens». Et l'ostracisme des non-musulmans est tel qu'ils perdent leur sentiment d'appartenance à ce pays qu'ils considéraient jadis comme le leur. L'implosion guette un pays, dévoré par le démon identitaire.
SOURCE de l'article : www.figaro.fr
ndr : ISLAM = RACISME COMMUNAUTARISTE, PARTOUT DANS LE MONDE
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Djihad contre la Suisse
Mouammar Kadhafi a encore frappé. Le guide de la révolution libyenne, adepte des déclarations provocatrices, a appelé jeudi à la guerre sainte contre la Suisse. Il a également demandé aux pays musulmans du monde entier de boycotter les produits suisses d'interdire les avions et navires helvètes dans leurs ports et aéroports.
La raison de cette nouvelle diatribe ? L'interdiction de la construction de nouveaux minarets en Suisse, décidée par référendum en novembre dernier. «Ceux qui détruisent les mosquées de Dieu méritent d'être attaqués par le djihad et si la Suisse était à nos frontières, nous la combattrions», a déclaré Kadhafi qui s'exprimait avant un rassemblement marquant l'anniversaire de la naissance du prophète Mahomet. Avant de reprendre: «Boycottez la Suisse. Boycottez ses marchandises, boycottez ses avions, ses navires, ses ambassades, boycottez cette race mécréante, apostate, qui agresse des maisons d'Allah». Une tirade d'une violence rare chez un chef d'Etat, généralement réservée aux réseaux terroristes islamistes.
Vendredi, l'ONU a répondu aux menaces de Kadhafi par la voix de son directeur général, basé au siège européen de Genève. Serguei Ordzhonikidze a déclaré que «de telles déclarations de la part d'un chef d'Etat sont inadmissibles dans le cadre des relations internationales». Paris juge de son côté «inacceptable» l'appel du dirigeant libyen. Côté suisse, la réaction officielle se fait toujours attendre. Jeudi, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Lars Knuchel n'a pas voulu commenter ces déclarations. Sur cette affaire, Berne semble vouloir faire preuve de prudence et de diplomatie.
Il faut dire que les relations entre la Libye et la Suisse sont particulièrement tendues depuis 2008 et l'arrestation à Genève de l'un des fils du dirigeant libyen. Hannibal Kadhafi et son épouse avaient été appréhendés dans un hôtel de luxe de Genève, après des accusations de mauvais traitements sur leurs domestiques. Ils avaient été relâchés au bout de deux jours, mais la Libye avait riposté en rappelant ses diplomates, reprenant ses fonds dans les coffres suisses et interrompant ses livraisons de pétrole au pays.
En 2009, l'ancien président suisse Hans-Rudolf Merz avait présenté des excuses à Tripoli et accepté de possibles demandes de dédommagement. Mais la Suisse avait fait marche arrière après l'arrestation de deux hommes d'affaires helvètes pour «séjour illégal». L'un d'eux, Rachid Hamdani, a pu quitter la Libye lundi après avoir passé plus de 19 mois dans l'ambassade suisse de Tripoli. Quant à Max Göldi, condamné à quatre mois de prison par la justice libyenne pour séjour illégal, il s'est plié aux exigences libyennes et s'est constitué prisonnier.
Début février, Tripoli avait répondu à une interdiction de voyage en Suisse visant Khadafi, sa famille et ses ministres en refusant des visas aux ressortissants des 25 pays de l'espace Schengen. Des médiations menées par l'Italie et l'Espagne ont permis d'alléger ces restrictions qui menaçaient l'activité des ressortissants européens travaillant pour l'industrie pétrolière et gazière florissante en Libye.
SOURCE:www.figaro.fr
ISLAM ENCORE ET TOUJOURS: CIVILISATION DE PROGRES TOLERANCE ET PAIX! AMEN
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24/02/2010
Crime et châtiment
« L'homme s'habitue à tout, le lâche », écrivait Dostoïevski dans son chef d'oeuvre de 1866. Et l'accoutumance, en effet, est, pour le meilleur et pour le pire, un trait essentiel de l'esprit humain. Le meilleur en ce qu'il permet de supporter temporairement les pires privations et les pires servitudes. Le pire en ce qu'il permet, également, de se résigner à les accepter.
Aujourd'hui, seuls les bien-pensants de gauche (et de droite, il y en a beaucoup...) peuvent se permettre de nier l'étendue de la pénétration islamique en Europe en général, et en France en particulier, pénétration « pacifique » tout à fait inédite dans notre histoire.
Il se trouve que la politique d'immigration depuis une trentaine d'années n'a obéi qu'à un seul impératif, d'ordre purement idéologique : surtout, ne rien dire, ne rien faire, ne rien exiger qui ressemblerait de près ou de loin à une politique d'assimilation. Les ressorts de cette idéologie tiennent en quelques notions simples : dénigrement de toute idée nationale et patriotique, relativisme culturel, tiers-mondisme.
Pour en comprendre les raisons, il faut revenir un peu en arrière. Le marxisme a perdu sa bataille dans le monde réel quand le Mur de Berlin est tombé, et que l'ancienne Russie elle-même s'est débarrassée des bandelettes soviétiques qui l'enserraient, au cours d'une révolution spontanée et pacifique. Seulement, penser que le communisme disparaitrait à l'Ouest serait sous-estimer totalement la capacité du système idéologique à se reformer (et non réformer) de lui-même, et en circuit fermé. Que la réalité de tous les « paradis socialistes » n'ait été synonyme que de génocides, répression et goulags, voilà qui importe peu, dans la mesure où cette idéologie, par nature, refuse toute confrontation avec le réel. D'où la « grande parade » évoquée naguère par feu Jean-François Revel, qui a consisté, pour le marxisme ouest-européen, et particulièrement français, à nier les fruits pour mieux glorifier les graines purement intellectuelles.
En somme, il s'est opéré la répétition du tour de passe-passe khrouchtchévien : charger les dirigeants réels du communisme pour sauver l'Idée, nécessairement mal appliquée. Accabler Staline pour, surtout, sauver Lénine. D'où la formidable et inquiétante vitalité des partis trotskistes, s'engouffrant dans la brèche et avançant la figure de martyr de leur chef de file, en en faisant la victime pure et innocente du « mauvais » communisme stalinien, oubliant au passage le rôle prépondérant de Léon Trotski dans l'établissement du régime totalitaire soviétique. Mais si ce tour de prestidigitation politique a pu réussir, c'est qu'il a croisé la route d'un autre courant idéologique, celui du tiers-mondisme issu de la décolonisation (et nourri par le parti soviétique...), courant qui a fini par se fondre en lui, au point qu'on puisse dire aujourd'hui, sans se tromper, que le néo-marxisme est un marxisme mutant, ayant conservé ses grilles d'analyse en changeant seulement le contenu des cases idéologiques qui le font fonctionner.
Ainsi, pour figurer le rôle indispensable de l'opprimé, et puisque le prolétaire avait décidé de ne pas jouer le jeu (préférant infiniment se trouver une place au soleil de la consommation capitaliste), il a été convenu de remplacer ce dernier par un autre « perdant de l'histoire » tout trouvé : le décolonisé, l'immigré du Tiers-Monde. « L'anti-racisme est le communisme du XXIème siècle », dit justement Finkielkraut.
La définition de l'oppresseur, également indispensable à la théorie, déborde donc naturellement du cadre étroit que constituait le grand bourgeois industriel pour devenir, tout simplement, l'Européen, accablé de la plupart des maux de la terre : « exploitation » de l'Afrique, massacre des Indiens d'Amérique, pollution et trou dans la couche d'ozone, esclavagisme patenté, impérialisme assoiffé de pouvoir et de domination, initiation de tous les génocides, jusqu'à celui du Rwanda.
Or, c'est seulement en ayant en tête cette toile de fond que l'on peut s'expliquer les succès non-contredits de l'offensive islamique ici et maintenant. Car l'islam, n'est-ce pas, c'est la religion du pauvre. Victime innocente des Croisades, victime innocente de la Reconquista, lui qui avait démontré la supériorité de sa civilisation si tolérante en Espagne. Victime innocente de la colonisation, évidemment, et, nécessairement, héros célébré des indépendances nord-africaines.
L'islam est le simple contenu d'une case idéologique, comme le furent en leur temps les Juifs. Sortant d'Auschwitz et victime de la barbarie nazie, le Juif était en effet un prétexte et une caution de toute la haine marxiste des sociétés européennes traditionnelles, assimilées, par le gigantesque contresens de la reductio ad hitlerum, au régime national-socialiste. Toutefois, le Juif a cessé de servir les intérêts de l'idéologie quand il s'est permis, contre toute attente, d'imiter les réflexes de défense qui étaient naguère celui des Européens, et, jusqu'à aujourd'hui, celui de l'Amérique tant honnie. Le Juif a cessé d'être caution idéologique quand il s'est permis, en Israël, de passer de l'autre côté de la barrière pour devenir un « oppresseur » enraciné dans sa terre, et prêt à défendre cette dernière les armes à la main. Le Juif devient donc sioniste, et le sionisme, à l'instar des patriotismes d'Europe, est lui aussi assigné à une case du système idéologique, celle de l'oppresseur à abattre.
Or, par nature, l'histoire de la décolonisation, croisée à celle d'Israël (et cristallisée dans la crise de Suez tant combattue par l'Union Soviétique), a permis de faire entendre la voix d'un islam jusque là assoupi. Islam, religion des colonisés, religion des opprimés, religion des pauvres, donc religion intouchable...
Il n'y a donc pas lieu de s'étonner de la mansuétude coupable avec laquelle nos élites, sans exception formées ou domptées par l'idéologie de gauche (jusqu'à un Sarkozy qui prétendait, pour la galerie, s'en défendre...), entourent les progrès de l'islam en France.
L'assimilation étant rejetée comme étant par nature d'essence raciste, l'intégration n'étant qu'un magma de demi-mesures, on en arrive mécaniquement au communautarisme, paradoxalement attelé à l'hystérie dominante du métissage. Car évidemment, l'idéologie bien-pensante n'en est pas à une contradiction près, elle qui nie l'existence des races humaines en commandant instamment qu'elles se mélangent ! Et on nous demande, que dis-je ? On exige de nous le multi-culturalisme, le métissage, en glorifiant de manière totalement déplacée et délirante l'élection de Barack Obama aux Etats-Unis. McCain, voyez-vous, était trop républicain et, surtout, trop blanc. Il ne souffrait pas une seconde la comparaison avec la figure messianique du candidat démocrate, paré de toutes les vertus métissolâtres en raison de la couleur de sa peau (car sinon, comment expliquer le vote proprement ethnique de la communauté noire américaine ; comment expliquer l'unanimisme total des médias français pour Obama ?) ! Où l'on voit que l'idéologie du métissage est purement et simplement raciste...
Mais au moment même où on demande au Méchant de l'Histoire, c'est-à-dire au petit Blanc ,forcément aigri et figé dans ses certitudes identitaires, de s'ouvrir à la « diversité », on lui demande également de s'habituer, sans mot dire, à la transformation progressive de son pays que constitue l'arrivée massive de l'islam et ses revendications.
Le cas tout récent du désormais célèbre « Quick hallal » n'en est qu'un exemple grotesque parmi d'autres. Ainsi, au coeur de la France, un restaurant propose à sa clientèle une nourriture exclusivement estampillée « islamiquement correcte ». Le choeur des bien-pensants les plus engagés, légèrement mal-à-l'aise devant le caractère un peu trop ostentatoire de la démarche, nous assurent pourtant : « En quoi cela vous gêne-t-il ? Vous pouvez manger hallal, vous, alors que les musulmans, les pauvres, ne peuvent consommer des aliments jugés impurs par leur religion... ». Et qui sommes-nous, pauvres mécréants, pour oser critiquer une telle religion ? S'il s'était agi du christianisme, certes, la question eût été différente. Mais l'islam ! La religion des pauvres... Pensez donc ! Vous risqueriez, au pire, une fatwa, au mieux les remontrances croisées (si l'on peut dire...) de Dalil Boubakeur et Malek Chebel !
De même, on nous apprend, en plein faux débat sur la burqa, qu'un agent féminin des forces de police de Paris vient depuis quelques années à son travail en portant le voile intégral (1). Ailleurs, on nous rapporte le cas d'une autre femme, employée d'une crèche d'Ile-de-France, renvoyée car elle refuse de quitter son tchador (2). Rassurons-nous, pour ce dernier cas au moins, la HALDE, scandaleux appareil administratif inquisitorial aux pouvoirs judiciaires, veille et vient intimider la direction de la crèche, donnant raison à l'employée musulmane, forcément persécutée dans ses croyances.
Du reste, dans cette histoire de voile, où est le problème ? N'est-ce pas l'inénarrable Gérard Miller qui nous demande de ne pas stigmatiser toutes ces féministes en puissance (« foutez-leur la paix! », dit-il), prévoyant avec naturel l'avènement prochain d'un âge enfin vraiment anti-raciste où « le niqab deviendra un truc très classe complètement intégré dans la société » ? (3) Evidemment, ici comme ailleurs, Gérard Miller se trompe lourdement. Ce n'est pas le niqab qui sera intégré à la société, mais, si on n'y prend pas garde (et on n'y prend pas garde !) la société qui sera intégrée au niqab... Mais je suis conscient, par ces seules lignes, pourtant anodines, de m'exposer aux foudres de la HALDE, qui veille, comme d'autres polices politiques en leur temps...
Une circulaire locale de l'Education Nationale, rédigée à la fois en arabe et en français (que dit pourtant le premier alinéa de l'article 2 de la Constitution à ce sujet ?), demande instamment aux parents d'élèves s'ils acceptent que leurs enfants, en classes de primaire, apprennent l'arabe ? Habituons-nous... Après tout, n'est-ce pas un enrichissement culturel ? Et d'ailleurs, la langue française n'est-elle pas un peu fasciste, comme nous le révélait jadis Roland Barthes ?
Des musulmans en prière bloquent littéralement des rues de Paris ? Habituons-nous... Après tout, qui sommes-nous pour juger leur piété ? Et d'ailleurs, ce sont les racistes qui leur refusent des mosquées qui créent cet état de fait. Construisons donc des mosquées (mais avec minarets vertigineux, rien que pour contredire ces fascistes que sont les Suisses !), même sans le dire, à l'instar du maire de Drancy, Jean-Christophe Lagarde qui déclare sans rougir à ses administrés : « Oui, je vous ai caché que ce serait une mosquée. [...] Je n'ai pas voulu l'annoncer à la population car cela aurait forcément créé des tensions. ». Quelle révélation ! Un maire ment pour favoriser la construction d'une mosquée, car il sait qu'en cas de débat public à ce sujet, une partie sans doute non négligeable de ses électeurs auraient des réticences. Alors, il dissimule et passe en force. Car des réticences à l'égard d'une construction de mosquée, pour nos élites, cela ne veut dire qu'une chose, exprimée par cent mots éculés : racisme, intolérance, islamophobie...
Alors il faut « donner des gages à la communauté musulmane ». Réfléchir, par exemple, à la possibilité de reconnaissance officielle de ses fêtes religieuses, comme l'Aïd-el-Kébir. (4) J'entends quelques voix qui osent braver l'ordre du politiquement correct, et qui me chuchotent : « Aïd-el-Kébir, fête non-française ». Mais la France n'a pas d'identité propre, voyons ! N'est-ce pas la conclusion du pseudo « débat sur l'identité nationale » confié au socialiste Besson, lui qui, comme tant d'autres, ne parle de notre pays que comme un vaste couloir ouvert à tous les vents, et riche uniquement, depuis quinze siècles, de la culture des autres ?
Et puis n'oublions pas que l'islam est « en France depuis 3000 ans », selon Djamel Debouzze. Que « les racines de l'Europe sont autant chrétiennes que musulmanes », d'après Chirac. Alors il faut s'habituer. S'habituer à la transformation du paysage culturel, social, religieux et démographique français vers les formes de l'islam, inévitables, de la même manière que l'avènement du communisme était inéluctable, car dans le sens de l'histoire... De toute manière, rester entre nous, nous dit doctement Mme de Fontenay, c'est se condamner à la « dégénérescence ». Et sans se rendre compte du caractère totalement raciste de ses déclarations, elle assène : « Il y a des régions où il n y a pas assez de brassage, où il faudrait amener des Maghrébins, où il faudrait mélanger un peu ». (5)
Entendez les paroles d'une prophétesse de l'ordre médiatique, Français bêtement « de souche » : c'est votre patrimoine génétique lui-même qui est pourri, moisi, et qu'il faut absolument revivifier par un apport nouveau ! Ce n'est pas de l'anti-racisme, c'est tout simplement du contre-racisme. Mais que vous soyez pour ou contre, peu importe, il faut s'y habituer. Vous avez tant à vous faire pardonner, que votre disparition seule dans le paradoxe insoluble de la communautarisation métissée et islamisée est votre seule option !
Oh, l'islam n'est pas le premier responsable. Il s'engouffre aujourd'hui dans nos renoncements comme il l'a fait à chaque fois qu'il l'a pu dans les siècles passés. C'est là son programme, son but, son objet même. Il veut dominer le monde (« Islam will dominate the world », nous disent les pancartes des manifestants islamistes outre-Manche) et joue sa partie d'échec avec cohérence. Les vrais responsables sont nos élites qui, ayant renoncé depuis longtemps à oeuvrer pour l'intérêt général, se replient vers la facilité et le confort de l'idéologie sans nom (c'est sa force) qui a repoussé sur le moignon fumant du communisme du XXème siècle.
Nos idéologues, qui ne sont unis entre eux que par une commune haine de tout ce qui constitue l'identité française, ont évolué, ou plutôt, comme je le disais plus haut, muté. Avant, ils voulaient changer le peuple. Cela n'a pas fonctionné. Alors aujourd'hui, ils veulent changer de peuple. Mais ce sont les mêmes apprentis sorciers, et les potions qu'ils préparent dans leurs chaudrons auront le même goût amer que celles qui ont dévasté le siècle précédent.
Alors, certes, au regard de l'histoire, au regard du peuple français et des autres peuples d'Europe, c'est un crime. Un crime commis sciemment, lucidement et, glaçante ironie, un crime commis en notre nom. Hélas ! L'histoire nous apprend que le châtiment qui suivra inévitablement ne s'abattra jamais que sur nous-mêmes, le peuple, et pas sur les coupables réels, bien à l'abri sous les ors de la République.
© Mattheus pour LibertyVox sur www.libertyvox.com
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23/02/2010
La nazificazione delle coscienze arabo-islamiche
Le fonti «endogene dell'islamismo e della giudeofobia arabo-islamista sono relativamente conosciute, benché in parte sbagliate in nome di una politica garantista» giustificata dal filoislamismo diffuso dall'intelligentsija di sinistra e legata da una union sacrée di tipo terzomondista e antimperialista. Meno note sono le fonti nazificanti del fanatismo delle masse arabo-musulmane contro Israele, gli ebrei e il Mondo Libero.
Questo elemento, troppo spesso taciuto, permette però di capire meglio perché la violenza in nome di questa causa è tanto sistematica, legittimata, priva di ogni scrupolo, metodica, fredda e giustificata; nonostante ciò altri popoli privi di una loro terra, come i Curdi, gli Armeni o i Tibetani, non sono mai stati tanto lontani da una simile barbarie pur soffrendo molto di più e potendo accampare molti meno diritti sul loro paese d'origine. In una conferenza tenuta all'Università di Leeds il 10 ottobre 2007, il professore Matthias Küntzel ricorda che: «L'invenzione europea della cospirazione ebraica mondiale era inizialmente estranea alla concezione che in origine gli islamici avevano degli ebrei. [...] Non c'era la paura della cospirazione o della dominazione ebraica, né si accusava il male diabolico. Gli ebrei venivano trattati con disprezzo o con accondiscendente tolleranza». Per Küntzel, nessuno ha dubbi su ciò che avvenne «sotto l'impatto della propaganda nazista» ed è in virtù del processo di progressiva nazificazione delle coscienze arabo-musulmane, a partire dagli anni '30, che si è assistito al «passaggio dell'antisemitismo europeo al mondo musulmano» e che «l'antisemitismo è diventato sempre più parte dell'identità musulmana [...], il termine "nazi" veniva usato come complimento». Una fanatizzazione antiebraica orchestrata dalla duplice azione dei Fratelli Musulmani e dei movimenti panarabi filonazisti che hanno importato dall'Europa la demonologia giudeofoba nazista con il pretesto che tutto era lecito pur di «difendere» la causa palestinese contro i «sionisti» e i loro complici «imperialisti». Analizzeremo nel corso del capitolo il modo in cui la vulgata antisemita e nazista è stata riproposta nel mondo arabo-musulmano sin dagli anni '30 e ha progressivamente influenzato le coscienze islamiche precedentemente imbarbarite in modo inversamente proporzionale alla denazificazione in atto nella vecchia Europa. Assieme alle giustificazioni teologiche di Al-Azhar e della Medina, l'Arabia Saudita si è impegnata per anni a pubblicare in tutto il mondo musulmano migliaia di versioni del Main Kampf e dei Protocolli dei Savi di Sion.
Il 30 aprile 1987 si leggeva nel giornale saudita Ozak la seguente professione di fede giudeofoba verde-bruna: «L'influenza degli ebrei non ha smesso di crescere nell'Europa moderna, fino a renderli capaci di opprimere gli innocenti. Questa situazione ha provocato in Germania lo sviluppo del partito del III Reich, capeggiato da Hitler. Quest'ultimo ha preso la direzione del movimento antisemitico e ha tentato di liquidare gli ebrei. Alla fine si è arenato [...]. Ma il Dio combatterà gli ebrei e manterrà la sua promessa di distruggerli e di annientarli». Allo stesso modo, il 24 ottobre 2004 sul canale televisivo Al-Majd, di proprietà degli emirati arabi e dell'Arabia Saudita, Nawaf al-Zaro, presentato come un «esperto di Israele e degli ebrei», ha spiegato in maniera serafica che: «La politica degli omicidi è opera dei sionisti da almeno un secolo. A prescindere dalla religiosità della Torah, che autorizza a versare il sangue degli altri, dei non-ebrei [...], in particolare quello dei palestinesi, abbiamo quindi a che fare con uno Stato sionista che, in generale, è uno Stato terroristico e omicida che non ha precedenti nella storia dell'Umanità e sulla faccia della terra». Citiamo anche il dibattito ritrasmesso alla televisione dall'Autorità palestinese, il 12 settembre 2004, nel corso del quale lo sceicco islamico Ibrahim Maadi invitava a «seguire la lezione del Profeta, in particolare nella nostra difficile lotta contro i fratelli delle scimmie e dei maiali, gli ebrei, i figli di Sion». Il suo interlocutore salafita, Ismail al-Radhwan replicava: «O musulmani, preparatevi a diventare il fattore decisivo nel conflitto contro l'ebraismo mondiale». Intenzioni che non lasciano dubbi sul fatto che la difesa dei Palestinesi è, per il nazionalismo in movimento, un pretesto per riattivare un progetto di sterminio planetario che ha come obiettivo la Nuova Soluzione Finale di tutti gli ebrei e non solo quelli di Israele, così come pensano gli antisionisti che credono che l'odio antiebraico degli islamisti non costituisca una nuova giudeofobia ma una «reazione» agli errori commessi dal Satana ebraico contro le Vittime palestinesi. Un fenomeno di fanatizzazione collettiva e di semplificazione delle idee naziste che negli ultimi anni è aumentato anche in Turchia; paese che nonostante tutto è un alleato strategico di Israele e degli Stati Uniti, ma dove il Mein Kampf e i Protocolli dei Savi di Sion sono best-seller sminuiti su un sottofondo di odio anticristiano, antiebraico e antioccidentale e di teorie dei «complotti ebraico-massonici» e «imperialisti» orditi contro la Turchia.
Tratto da Alexandre Del Valle
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19/02/2010
La barbarie musulmana entra alla Coop di Roma
Prodotti "Halal" e commesse con il velo all'Ipercoop di via Casilina, in un quartiere multietnico della periferia romana. L'area dell'ipermercato Coop inaugurata oggi, in collaborazione con Minareti.it, alla presenza di diversi esponenti della comunità islamica di Roma, l'imam di Firenze Izzeddin Elzir e l'esponente dell'associazione islamica Aman di Ravenna Mustapha Toumi. Inoltre tra i presenti all'evento di inaugurazione anche il presidente del VI municipio Gianmarco Palmieri, il segretario generale dell'associazione interreligiosa "Religioni per la Pace" (sic!!!) Luigi De Salvia, e i dirigenti di UniCoop Tirreno.
Testimonial e ospite d'onore dell'iniziativa il noto giornalista di origine senegale Idriss Sanneh.
Nello spazio dell'ipermercato della Coop ci sono frigoriferi con carni, indicazioni in italiano e arabo sui prodotti confezionati e depliant. A fianco al reparto carni del supermercato e all'entrata, nelle prime settimane ci saranno delle speciali commesse musulmane con il velo che inviteranno i clienti ad acquistare la carne preparata con le specifiche usanze musulmane e spiegheranno il significato dell'iniziativa ai clienti musulmani e non musulmani.
Per vedere le foto dell'evento: http://www.repubblica.it/cronaca/2010/02/06/foto/coop_com...
http://espresso.repubblica.it/food/multimedia/home/229126...
http://www.photoshelter.com/c/openversus/gallery/Carne-HA...
(6/02/2010) www.minareti.it
RICORDIAMO COS'E' LA BARBARIE HALAL ( KASHER ):
Macellazione rituale-religiosa (wikpedia)
Alcune culture, come l'Islam e l'Ebraismo, prescrivono che gli animali siano macellati senza preventivo stordimento. In Italia questo tipo di macellazione è stato per la prima volta autorizzato con il decreto ministeriale congiunto (Sanità e Interni) dell' 11/06/1980 e tale deroga è stata confermata da tutti gli atti legislativi successivi in materia.
La legge islamica, cioè l'insieme dei precetti del Corano e dei Hadith, prescrivono una serie di regole per la macellazione del bestiame affinché la carne sia considerata commestibile. Per i musulmani tali regole appaiono mutuate dalla tradizione ebraica del cibo Kosher e di fatto coincidono nelle due culture: quanto segue elenca i precetti del Corano, ma vale anche per la religione ebraica.
Condizioni del bestiame prima della macellazione
- Tutti gli animali e il bestiame devono essere in salute, senza segni di malattia, non devono essere feriti né sfigurati in alcun modo;
- È espressamente proibito picchiare gli animali da macellare o impaurirli: gli animali in attesa della macellazione devono essere trattati accuratamente.
- È proibito ferirli o comunque danneggiarli fisicamente in qualunque modo.
Condizioni di uccisione
- L'uccisione halal (cioè lecita) di animali deve essere effettuata in locali, con utensili e personale separati e diversi da quelli impiegati per l'uccisione non Halal;
- L'uccisore deve essere un musulmano adulto, sano di mente (SIC !!!!) e a conoscenza di tutti i precetti della religione islamica e sulla macellazione halal;
- Gli animali da uccidere devono essere animali halal e devono poter essere mangiati da un musulmano senza commettere peccato;
- Gli animali devono essere coscienti al momento dell'uccisione.
- L'uccisione deve avvenire recidendo la trachea e l'esofago: i principali vasi sanguigni verranno recisi di conseguenza. La colonna vertebrale non deve invece essere recisa: la testa dell'animale non deve essere staccata durante l'uccisione.
- L'uccisione deve essere fatta in una sola volta: il movimento di taglio deve essere continuo e cessa quando il coltello viene sollevato dall'animale. Non è permesso un altro taglio: un secondo atto di uccisione sull'animale ferito rende la carcassa non halal.
- Il dissanguamento deve essere spontaneo e completo.
- La macellazione deve iniziare solo dopo aver accertato la morte dell'animale.
- Gli utensili per l'uccisione e la macellazione halal devono essere usati solo ed esclusivamente per animali leciti.
Stordimento
Lo stordimento degli animali prima della macellazione non è contemplato dai precetti dell'Islam: tuttavia in alcuni Stati islamici (per esempio in Malesia) è permesso, come misura di gentilezza verso gli animali, a condizioni ben precise:
- Lo stordimento deve essere temporaneo e non deve provocare danni permanenti.
- Lo storditore deve essere musulmano, o deve essere sorvegliato da un musulmano o da una autorità di certificazione Halal.
- I dispositivi usati per stordire animali non halal non devono essere usati per stordire animali halal.
ALLORA IO MI CHIEDO, COM' E' POSSIBILE CHE UNO STATO "CIVILE" POSSA AUTORIZZARE UNA SIMILE BARBARIE SUL SUO TERRITORIO?
LA CIVILTA' NON E' SOLTANTO RISPETTO DEGLI ESSERI UMANI MA ANCHE DEGLI ANIMALI!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
SCARICARE QUESTO (VECCHIO) ARTICOLO DELLA LEGANORD Artmacellazioneislamica.PDF
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La 5° colonna musulmana in Occidente
WASHINGTON - Cinque soldati musulmani di stanza a Fort Jackson, nel South Carolina, sono stati arrestati prima di Natale scorso. I cinque, riferisce la rete CBN citando una fonte investigativa contattata dal giornalista Erick Stakelbeck, avrebbero tentato di avvelenare il cibo destinato ai commilitoni, addestrati per il combattimento in Iraq e in Afghanistan. I cinque erano interpreti di arabo e sarebbero stati in contatto con il gruppo di americani musulmani che a dicembre viaggiò in Pakistan per alimentare la jihad contro gli americani. I componenti di quel gruppo furono arrestati nel Paese asiatico.
19 febbraio 2010 www.corriere.it
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