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14/10/2011

Mitterrand et les magouilles socialo-massoniques

En 1988, la campagne du président fut en partie payée grâce à des sociétés qui servirent de "pompe à fric". Un système révélé par l'inspecteur de police Antoine Gaudino. Souvenirs. 

La droite n'a jamais eu le monopole des dérives financières. La gauche, elle aussi, a parfois eu recours à des circuits occultes. A la fin des années 1980, le Parti socialiste se retrouva ainsi au coeur d'une enquête conduite à Marseille par deux inspecteurs de la section financière du service régional de police judiciaire. L'un d'eux, Antoine Gaudino, en fit l'affaire d'une vie et le thème d'un best-seller, "L'Enquête impossible" (Albin Michel, 1990). Un homme y tient un rôle central: le président de la République François Mitterrand. En toile de fond: sa campagne victorieuse de 1988, en partie financée par de l'argent noir. 

Les faits sont anciens, mais l'ex-policier en garde un souvenir très vif. Cet homme de 67 ans demeure à jamais le "flic" qui fit trembler la Mitterrandie. "A l'époque, se souvient-il, il y avait une hypocrisie totale, à droite comme à gauche, sur la corruption. Pour sa campagne, Mitterrand a bénéficié de 25 millions de francs, et il n'a jamais été poursuivi! Ces dérives m'ont d'autant plus choqué qu'à titre personnel j'avais l'habitude de voter socialiste."  

Sur des cahiers, les comptes occultes.

La campagne présidentielle de François Mitterrand en 1988 mobilisa les "bureaux d'études" considérés comme les "pompes à fric" du PS. Les enquêteurs en eurent la preuve l'année suivante lors d'une perquisition dans les locaux d'un de ces bureaux, Urba-Gracco, à Marseille. Ils saisirent alors des cahiers d'écolier dans lesquels un cadre, Joseph Delcroix, avait noté, réunion après réunion, tous les éléments liés au financement occulte: les dates, les sommes, les noms des personnalités socialistes concernées. L'Elysée est omniprésent dans ces documents. Dès le 30 mars 1987, Delcroix écrit: "Maintenant, il faut penser aux présidentielles." Le 11 mai de la même année, les besoins sont chiffrés: 100 millions de francs, dont 25 millions à la charge d'Urba-Gracco. Le 26 octobre, il dresse une liste d'entreprises auxquelles, dit-il, "on pourrait soutirer de l'argent" : Bouygues, Spie Batignolles, Compagnie générale des eaux...  

Tout commence en 1989, à Marseille, au détour d'investigations menées par Gaudino et son collègue Alain Mayot. Alors qu'ils travaillent sur un dossier de fausses factures impliquant des entreprises de la région, ils mettent au jour une technique de financement politique: diverses sociétés, présentées comme des "bureaux d'études", sont en réalité des "pompes à fric" du PS. Leur rôle consiste à démarcher les patrons afin de collecter des fonds par un système d'études fantaisistes et de surfacturations. En échange, les plus généreux pourront compter sur l'appui d'élus locaux pour décrocher des contrats. Dans tout autre pays, on parlerait de corruption. En France, il est pudiquement question de "soutien" politique. Un soutien dont a su profiter Mitterrand. "Il avait lui-même mis en place ce système dès le congrès d'Epinay, en 1971", rappelle l'ex-policier. 

Deux lois d'amnistie, votées en 1988 et 1989, permettent aux dirigeants socialistes de s'en tirer in extremis dans le volet marseillais du scandale. Gaudino, lui, est écarté de la police après la publication de son livre. "Sous le contrôle de l'Elysée, le travail de la justice a été entravé", poursuit-il. Les verrous finiront tout de même par sauter au début des années 1990. L'affaire rebondit alors dans l'ouest de la France, sous l'impulsion de juges très pugnaces, d'abord Thierry Jean-Pierre, puis un certain Renaud Van Ruymbeke, aujourd'hui chargé d'enquêter sur la campagne d'Edouard Balladur en 1995. 

Extrait de www.lexpress.fr

10/10/2011

Tunisie: les salaphistes mettent le feu

La tension demeurait vive dimanche 9 octobre à Tunis, où des policiers anti-émeutes ont fait usage de gaz lacrymogènes pour tenter de disperser plusieurs centaines d'islamistes qui les attaquaient à coups de pierres, de couteaux et de bâtons.

Les islamistes protestaient contre l'interdiction faite aux femmes portant le niqab, ou voile intégral, de s'inscrire à l'université, mais aussi contre la décision d'une chaîne de télévision privée tunisienne d'avoir diffusé vendredi le film d'animation franco-iranien Persepolis, où figure une représentation d'Allah, ce qu'interdit l'islam. La diffusion était suivie d'un débat sur l'intégrisme religieux. Les islamistes se sont rassemblés devant le principal campus universitaire de la capitale, d'où ils se sont dirigés vers le quartier populaire de Djebel El-Ahmar, au nord du centre, où ont eu lieu les échauffourées.

Le siège de la télévision privée tunisienne Nessma a été pris d'assaut dimanche par quelque deux cents salafistes. "Les salafistes, rejoints ensuite par une centaine d'autres personnes, se sont dirigés vers Nessma pour attaquer la chaîne. Les forces de l'ordre sont intervenues et ont dispersé les assaillants", a annoncé le ministère de l'intérieur.

"Après la diffusion de Persepolis il y a eu des appels sur Facebook à brûler Nessma et à tuer les journalistes, a raconté le président de la chaîne, Nebil Karoui. Nous sommes habitués aux menaces mais ce qui est grave c'est que cette fois-ci ils sont passés aux actes. Nessma est la chaîne moderniste du Maghreb, on ne se laissera pas intimider et nous continuerons à diffuser les films qu'on veut. On n'a pas chassé une dictature pour revenir à une autre."

La police protège désormais le siège de la chaîne. Plusieurs journalistes de Nessma ont fait part de leur vive inquiétude, certains craignant que les autres locaux de la chaîne en région soient également ciblés. Cette attaque menée par des intégristes intervient au lendemain de l'invasion par des hommes armés de la faculté de lettres de Sousse, ville à 150 km au sud de Tunis, après le refus d'inscription d'une étudiante en niqab conformément aux directives gouvernementales

La tension monte entre les islamistes tunisiens et les laïques, lesquels dominent l'élite dirigeante, à l'approche des élections à l'assemblée constituante le 23 octobre, lors desquelles le parti islamiste Ennahda devrait arriver en tête. Le gouvernement de transition, au pouvoir depuis la chute du président Zine El-Abidine Ben Ali en janvier, a autorisé pour la première fois les islamistes à présenter des candidats, mais les organisations laïques estiment désormais que leurs valeurs libérales, modernes, sont menacées.

Les affrontements de dimanche "sont un très mauvais signe avant la tenue d'élections démocratiques", a déclaré l'analyste Salah Attya. "Le climat n'est pas bon. Il y a certains partis ou courants qui font tout pour que la situation explose avant l'élection", a-t-il poursuivi.

Pour une cadre de la chaîne, citée anonymement par l'AFP, cette attaque doit inciter les Tunisiens à se rendre aux urnes. "J'espère que ce genre d'événement va pousser les citoyens indécis à aller voter le 23 octobre, car le danger [intégriste] est imminent", a-t-elle ajouté.

Le parti Ennahda s'était publiquement démarqué des salafistes – dont le parti Tahrir n'a pas été légalisé – après l'attaque, fin juillet, d'un cinéma de Tunis qui avait diffusé un film de Nadia El-Fani sur la laïcité. Dimanche, un de ses responsables a condamné cette nouvelle attaque. "On ne peut que condamner ce genre d'incident. Il ne faut pas brouiller les cartes et les gens doivent garder leur calme. Si les gens ont des critiques à faire contre Nessma, ils doivent s'exprimer dans la presse, pas utiliser la violence", a dit Samir Dilou, membre du bureau politique d'Ennahda, qualifiant ces attaques "d'actes isolés".

Le PDP (Parti démocrate progressiste) a également "condamné énergiquement" l'attaque de Nessma alors que le parti Ettakatol (gauche) a exprimé "sa solidarité" avec Nessma et insisté sur "le droit à la liberté d'expression". Persepolis, dont c'était la première diffusion en arabe dialectal tunisien, sera à nouveau à l'antenne de Nessma mardi soir.

www.yahoo.fr

Che gioia convivere con i musulmani!

Ventiquattro morti e oltre duecento tra militari e manifestanti durante scontri scoppiati nella notte tra domenica e lunedì nel centro del Cairo, davanti alla sede delle televisione di stato, nel corso di una protesta a cui partecipavano migliaia di copti. Secondo alcune fonti i feriti tra i manifestanti sarebbero stati vittime prima di lanci di pietre e bastoni e poi di colpi d'arma da fuoco sparati non è chiaro da chi. In un primo momento era stato riferito di elementi legati al vecchio partito dell'ex presidente Hosni Mubarak, ma poi si è parlato anche di persone legate ai Fratelli musulmani. Da notizie apprese successivamente sembra che, mentre i soldati sparavano per disperdere alcune migliaia di manifestanti radunatisi sul lungo Nilo, tra i manifestanti qualcuno avrebbe sparato contro di loro. Dal gruppo dei dimostranti sarebbero partite anche bottiglie molotov e lanci di pietre contro i soldati. Un mezzo della polizia è stato incendiato. A questo punto i militari avrebbero risposto al fuoco facendo una strage.

VIOLENZE - Gli scontri sono iniziati nel quartiere di Shoubra nel nord della capitale per poi allargarsi lungo il Nilo nella zona di Maspero davanti alla sede della di Stato e a piazza Tahrih. I copti, che protestano per una chiesa data alle fiamme la scorsa settimana nella provincia di Assuan, si sono scontrati per ore con i soldati. Alcuni copti si sarebbero impadroniti in precedenza delle armi prelevate da un veicolo militare dato alle fiamme e le avrebbero poi usate contro i militari. I copti rappresentano il 10% dei circa 80 milioni di egiziani.

BATTAGLIA CON I MUSULMANI - Gli scontri tra copti e militari sono poi degenerati in violenze interconfessionali tra musulmani e copti con centinaia di persone che si sono battute a colpi di pietre e bastoni nei quartieri del Cairo. La situazione è esplosiva. Mentre il governo è stato convocato in una riunione d'emergenza tra 200 e 300 di musulmani hanno marciato sull'ospedale dove sono stati raccolti i cadaveri degli scontri con la polizia in serata e dove sono stati curati i 156 feriti copti. Diverse auto sono state date alle fiamme e alcuni copti hanno prelevato benzina dai serbatoi di altri veicoli con cui hanno preparato bombe molotov. «Dio è con noi, Cristo è con noi. Loro vogliono che (l'Egitto sia uno Stato) islamico, ma noi non ci arrenderemo», inneggiano i copti. Sul fronte opposto i musulmani ripetono senza sosta, «Islam, Islam, Islam». Il governo ha dichiarato il coprifuoco in alcuni quartieri del Cairo.

L'APPELLO - Nella notte tra domenica e lunedì il primo ministro egiziano Essam Sharaf ha lanciato un appello alla calma con un discorso trasmesso dalla tv e con un messaggio sulla sua pagina ufficiale sul social network Facebook. «La nazione è in pericolo a seguito di questi eventi», ha detto sharaf in un discorso trasmesso dalla televisione pubblica. «Questi eventi ci hanno riportato indietro, invece di andare avanti per costruire uno Stato moderno su delle sane basi democratiche». «La cosa più pericolosa che possa minacciare la sicurezza della nazione - ha aggiunto - è di giocare con la questione dell'unità nazionale e di provocare la sedizione tra cristiani e musulmani e anche tra il popolo e l'esercito». «È questo lo scopo (di queste violenze, ndr) ma noi non cederemo a questi complotti perniciosi e non accetteremo un ritorno indietro», ha concluso, esortando gli egiziani «alla coesione e all'unione». Il prossimo 28 novembre inizieranno in Egitto le elezioni legislative, le prime del dopo Mubarak, che dureranno quattro mesi.

Redazione Online www.corriere.it
09 ottobre 2011

06/10/2011

Culture de la haine

Cinq jeunes Isérois comparaissent jeudi devant le tribunal correctionnel de Grenoble pour avoir passé à tabac et poignardé en pleine rue un géographe de 23 ans, au printemps 2010, le laissant entre la vie et la mort.

Le 9 avril 2010, vers 23H00, Martin était violemment pris à partie par une dizaine de jeunes dans le centre-ville de Grenoble alors qu'il sortait du tramway, au retour d'une soirée, en compagnie de trois amis.

Selon ses proches, un prétexte futile est à l'origine de l'altercation: la petite amie de Martin avait refusé une cigarette à l'un des agresseurs, car elle venait tout juste d'allumer la dernière de son paquet.

Après un échange d'insultes, Martin avait été roué de coups de poings et de coups de pieds. Tombé au sol, il avait alors reçu deux coups de couteau. Un de ses amis avait lui aussi été blessé en tentant de s'interposer.

Souffrant d'une grave hémorragie, de lésions multiples et d'un poumon perforé, Martin ne fut sauvé que d'extrême justesse après deux interventions chirurgicales et une réanimation intensive au CHU de Grenoble.

Il n'a pu reprendre une activité professionnelle à temps plein que le 15 juillet 2010, plus de trois mois après son agression.

Ce fait divers suscita une vive émotion à Grenoble, et Brice Hortefeux, alors ministre de l'Intérieur, s'était rendu au chevet de la victime.

Eviter trois procès

La plupart des suspects furent arrêtés les jours suivant l'agression grâce aux images de vidéo-surveillance du tramway. La bande de jeunes s'était fait remarquer le soir-même par son comportement. Chahutant, proférant des insultes, buvant du pastis (?) et fumant, ils avaient été expulsés du tramway par des agents de prévention juste avant l'agression.

Sur les dix suspects mis en cause, seuls cinq sont jugés jeudi par le tribunal correctionnel. Les autres, mineurs au moment des faits, le seront ultérieurement par le tribunal des enfants.

Parmi les prévenus, Saad Bensaou, alors âgé de 19 ans, risque la plus forte peine. Déjà condamné pour violence aggravée et vol en réunion en 2009, il a été désigné par plusieurs autres prévenus comme l'auteur des coups de couteaux. Il se serait même vanté d'avoir "charclé" ou "planté" la victime auprès de ses amis, selon une source proche de l'enquête.

Bensaou a en outre été filmé dans une rame de tramway peu après l'agression en train de nettoyer la lame d'un couteau. Niant d'abord les faits, il a ensuite prétendu que la victime était tombée sur son opinel. Il a enfin affirmé qu'il l'avait blessé involontairement.

Né en Algérie d'un père maçon, Saad Bensaou n'avait pas de travail depuis plus d'un an au moment des faits, ayant abandonné sa scolarité après avoir échoué à décrocher un BEP d'électrotechnique.

Initialement mis en examen pour tentative de meurtre, ce qui est passible des assises, Bensaou a finalement été renvoyé en correctionnelle pour violences volontaires avec arme et en réunion, en accord avec la victime. Cela afin d'éviter trois procès pour une même affaire, aux assises, en correctionnelle et devant le tribunal des enfants.

Par Antoine AGASSE sur www.lesechos.fr

29/09/2011

La voie de la guerre civile est ouverte

Jugez vous mêmes ( ne dites plus que vous n'avez rien vu venir.....................)

http://www.youtube.com/v/rnInkrYrGiE&rel=0&hl=en_US&feature=player_embedded&version=3

22/09/2011

Lybie: une Réligion, un Dieu, une Nation

Un État où la loi sera inspirée par la charia ? C’est ce qu’a annoncé le président du CNTlors de son premier discours, tout en assurant que l’islam libyen restera « modéré ».
Après les républiques islamiques d’Afghanistan, d’Iran, de Mauritanie, du Pakistan ou encore des Comores (devenue l’Union des Comores), va-t-on assister à l’avènement d’une république islamiste de Libye ?

Lundi soir, le président du Conseil national de transition (CNT), Moustapha Abdeljalil, a déclaré, lors de sa première apparition à Tripoli, que « l’islam sera la principale source de la législation » de la nouvelle Libye.

Suite et source : Ouest France

21/09/2011

Heureusement il y a...l'excision!

Réfugiés clitoridiens (le pack Clit'Cut®) :

C'est la grande révolution, déjà amorcée en 2009 et qui devrait exploser en 2010. Comme tous les packs, les premiers arrivés seront les mieux servis ! Il s'agit du pack Clit'Cut®, inventé et développé au Mali. En effet :
"en 2001, l'Ofpra* accordait pour la première fois le droit d'asile à un couple de parents maliens qui craignaient pour leur vie après s'être opposés à l'excision de leur fille. Dès lors, en 2006, on comptabilisait 117 demandes de ce type. En 2007, un millier de demandes étaient exaucées. En 2008, environ 2 000 demandes similaires étaient accueillies favorablement pour les seuls Maliens."
(sources : journal Le Monde, 12/02/2009).
* OFPRA : (Office des Protection des Réfugiés et apatrides

On peut estimer pour 2010 à 5000 familles (soit de 15 à 20 000 personnes) le seuil de tolérance de l'OFPRA et des ambassades avant qu'il ne s'aperçoivent qu'il y a anguille sous roche.

Le Sénégal fait partie de la liste des pays pratiquant notoirement l'excision (particulièrement dans les régions du Boundou et du Fouladou). Vos chances d'obtenir l'asile avec le statut protecteur et rémunérateur de réfugié sont donc totales. Le statut de réfugié est la garantie d'une installation durable en France (ou en Europe) et de conditions matérielles privilégiées.

Dans tous les cas, ne limitez pas seulement votre tentative à la France ou la Belgique. Même si ces deux pays sont les plus accueillants et les plus rémunérateurs, d'autres peuvent s'avérer intéressants. L'éternel Zapatero qui a fait de l'Espagne un paradis est toujours au pouvoir. Berlusconi, malgré quelques unes de ses célèbres tirades a fait de l'Italie également un Eden pour l'émigré sénégalais.

Le mode d'emploi du pack Clit'Cut® n'est cependant pas forcément évident. L'idéal étant bien-sûr de vous rendre en famille en séjour en France ou en Europe et de demander sur place le statut de réfugié clitoridien. Hélas, on le sait, voyager en Europe est devenu très difficile et il est peu probable que l'on vous accorde un visa de tourisme. Si néanmoins tel est le cas, le taux de réussite est de 100%. En effet, une fois sur place le statut de réfugié vous sera forcément accordé.

L'autre solution est plus aléatoire et dépend de l'ambassade choisie. Elle consiste à pénétrer dans une ambassade en famille (avec la mineure dont vous affirmerez craindre l'excision) et, sur place, de demander l'asile. Il est important évidemment de coordonner vos versions et d'inventer une histoire qui se tient. Si les fonctionnaires d'ambassades et de l'OFPRA ne sont pas des génies, ils ne sont pas non plus totalement idiots. Il est donc primordial que votre histoire tienne la route et que votre crainte de l'excision de la mineure semble vraiment justifiée. Avoir l'air apeuré, pauvre, voir ahuri est un gage de succès. La visite en famille dans l'atelier d'une exciseuse peut éventuellement permettre de donner plus de poids à votre histoire car la petite fille n'aura pas à simuler sa peur. Si votre demande d'asile est acceptée, vous serez alors expédiés en Europe GRATUITEMENT, en vol régulier, et ferez l'économie de coûteux billets d'avion.

ATTENTION : si l'on tente de vous expulser de l'ambassade, n'hésitez pas à crier et vous débattre. Généralement les fonctionnaires de l'ambassade feront tout pour éviter le scandale et votre histoire n'en tiendra que plus la route. Si néanmoins vous vous faites expulser avec violence, arrangez-vous pour qu'un membre de la famille filme la scène avec son téléphone mobile. Grâce à Youtube, le monde entier pourra avoir pitié de vous et voir la sauvagerie des fonctionnaires de l'ambassade.

Notre conseil malin : n'hésitez pas tenter le coup dans les petites ambassades suisse, hollandaise ou luxembourgeoises. Evitez évidemment les ambassades de pays tels que l'Iran ou le Mali.

Taux de réussite : 100% si la demande est faite sur le seul européen, 50% si la demande est faite dans une ambassade.

Comparatif : LONASE/PMU : 1 chance sur 2 869 320 - Pack Clit'Cut: 50 à 100% réussite

Avantages >>>
- L'adhésion aux principes de base du pays d'accueil et la maîtrise de sa langue ne sont pas obligatoires
- Technique non risquée, rapide, sûre et peu coûteuse
- Prestations et protection sociales instantanées (CMU, allocations etc..), allocation d'attente temporaire puis allocations demandeurs d'asile, logement prioritaire, possibilité immédiate de travailler (si les quelques milliers d'euros mensuel d'allocations et d'avantages en nature ne suffisent pas).
- Possibilité d'émigrer en famille
- Même si votre fille est excisée, cela ne pose pas de problème (aucune visite médicale n'est imposée, car c'est contre les droits de l'homme, comme les tests ADN)

Inconvénients >>>
- Nécéssité d'avoir une fille mineure
- Nécessité de payer plusieurs billets d'avion (sauf en cas de demande d'asile à l'ambassade)

ESTIMATION DU COÛT DU PACK CLIT'CUT® :
- 640€ (billet charter + visa + passeport) si vous demandez l'asile une fois en Europe
- gratuit, si vous demandez l'asile sur place au Sénégal dans une ambassade

SOURCE :  http://www.senegalaisement.com/senegal/immigration_france.php

18/08/2011

Imam poligami si, Papa no!

MADRID: LA MANIFESTAZIONE ANTI-PAPA - Tesa, però la situazione tra indignados e pellegrini della Giornata Mondiale della Gioventù su Puerta del Sol. Diverse centinaia di indignados, al termine della manifestazione organizzata per protestare contro il costo eccessive della visita del Papa, hanno occupato la emblematica piazza madrilena, che ha visto nascere in maggio il loro movimento. Dopo diversi scambi accesi con i numerosi pellegrini presenti, questi ultimi sono stati invitati dalla polizia ad allontanarsi dalla piazza. Gli indignados hanno circondato una delle uscite della metropolitana, coprendo di fischi e gridando «Fuera» (Andatevene), «Verguenza» (Vergogna) e «Non siete i benvenuti» ai numerosi giovani cattolici che ne uscivano, molti tenendosi per mano, protetti da un cordone di polizia. Ci sono stati spintonamenti, ma senza gravità. Numerosi furgoni della polizia sono stati fatti confluire nella zona. Gli agenti, in tenuta antisommossa, hanno caricato due volte i giovani indignados per cercare di allontanarli dalla piazza. Un giovane accusato di avere lanciato una bottiglia contro gli agenti è stato fermato, identificato e poi rilasciato.................[]

 

www.corriere.it

PS: immaginate una manifestazione anti "barbuti" con cartelli tipo "islam no!", "poligami fuori" ecc...

Reazione dei Burocrati Massoni di Bruxelles e Strasburgo?

Razzisti! Fascisti! Intolleranti! E' uno scandalo!.............

17/08/2011

Les Grands Maîtres sont nus!

Ne sous-estimons pas ce qui est en train de se passer en Europe. Ce que l’on voit aujourd’hui, c’est une sorte de super-volcan financier, qui crache sa vapeur depuis 18 mois maintenant. L’an dernier, le souci principal était les déficits budgétaires en périphérie de l’Union européenne. Aujourd’hui, il s’agit plutôt de déterminer si le projet européen dans son ensemble est en mesure de survivre.

Eh oui. Vous pensez peut-être que je dramatise… Mais on ne prend pas un super-volcan à la légère. La solvabilité du projet européen n’est plus garantie. Quoi qu’il se passe en Europe au cours des prochains mois, les effets tectoniques seront ressentis dans le monde entier.

La possibilité d’une éruption immédiate semble avoir diminué. La Banque centrale européenne (BCE) a réactivé son marché d’obligations souveraines (SMP, pour Securities Market Programme) la semaine dernière. Le SMP a acheté près de 31 milliards de dollars d’obligations gouvernementales à 10 ans auprès des gouvernements espagnol et italien. Les taux d’intérêts ont ainsi diminué, passant de 6% à 5% environ pour la dette espagnole à 10 ans

Mais il suffit de jeter un oeil aux chiffres pour constater qu’il va bien falloir que quelque chose finisse par sauter en Europe. L’Union monétaire européenne pourrait être rayée de la carte. Les politiques budgétaires nationales pourraient exploser, si l’Eurobond entre en jeu. Sans parler des nerfs de millions d’Allemands et de Français, qui pourraient bien se mettre très en colère si l’Europe devait collectiviser son passif.

Le problème, ce n’est plus la Grèce. Le Fonds européen de stabilité financière d’origine (FESF) était tout à fait capable de financer le second renflouage, de 109 milliards d’euros. Ce fonds était financé jusqu’à 750 milliards d’euros. Sur cette somme, environ 420 milliards ont déjà été promis au Portugal, à l’Irlande et à la Grèce. Ce qui nous laisse 300 milliards d’euros. A une époque, il s’agissait d’une grosse somme d’argent.

Mais même 300 milliards d’euros sont loin d’être suffisants pour couvrir les besoins de l’Italie et de l’Espagne en termes de refinancement. Ces deux pays auront besoin de près de 750 milliards d’euros de refinancement et de nouveaux déficits budgétaires au cours des deux années qui viennent. Sans oublier que les banques européennes — bourrées d’obligations gouvernementales — pourraient bien avoir besoin de près de 250 milliards d’euros pour disposer d’un capital suffisant, selon le journal britannique Telegraph.

Le FESF n’est pas capable de renflouer l’Espagne, l’Italie et toutes les banques européennes en difficulté. Leurs déficits dépassent les capacités des nations européennes à s’autofinancer. Elles doivent devenir ensemble un seul et unique emprunteur, en tous cas en termes financiers, pour réussir à abaisser le coût de l’emprunt et à atteindre leur but.

▪ L’Europe est une économie de 13 000 milliards de dollars. Si on choisit de collectiviser la dette des divers gouvernements nationaux, celle-ci s’élève à environ 87% du PIB. C’est un chiffre important. Mais le seuil de 90%, désigné par Rogoff et Reinhart comme étant le moment où la dette commence à être un handicap pour l’économie, n’est pas encore atteint. Et les déficits fiscaux cumulés ne sont que de 4,4% du PIB, grâce à des politiques fiscales plus saines en Allemagne.

Bien entendu, ce n’est là qu’un miroir aux alouettes. Le seul moyen de minimiser un peu les problèmes de l’Italie et de l’Espagne, c’est de les exprimer en pourcentages de l’économie européenne. C’est un tour de passe-passe. C’est également l’ultime extension logique de l’idée d’une Europe collective.

Nous n’appuyons pas là où ça fait mal parce que nous nous réjouissons du chômage, de la faim et de la pauvreté. Nous insistons sur ces points parce que l’idée même au coeur des démocraties socialistes — à savoir le fait que tout le monde peut vivre aux dépens de tout le monde — est, littéralement, en faillite. En Europe, “égalité” équivaut aujourd’hui à “devenir pauvre tous ensemble”. Faire ensemble des sacrifices signifie aujourd’hui que l’Etat doit confisquer des biens privés pour les rationner jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien.

On pourrait s’attendre à ce qu’au moins un pays décide de mettre un terme au projet dans son ensemble avant que les choses n’aillent aussi loin. Ce sera ça ou boire la coupe jusqu’à la lie et se joindre au suicide économique de masse. Hmm…

Et d’ailleurs, tous ces discours sur l’austérité ? Ce n’est que du vent. Dans la plupart des cas, les politiciens parlent en termes de réduction du taux de croissance de la dette et pas en termes de réduction absolue. Ce sont des clowns, qui manquent à la fois de sérieux et d’humour. La plupart d’entre eux regrettent sans doute déjà de s’être présentés, et espèrent avoir siphonné suffisamment d’argent sur leurs comptes bancaires en Suisse pour pouvoir s’échapper avant que le désastre ne soit total.

Author Image for Dan Denning

Dan Denning

Rédacteur en Chef de Strategic Investor

www.lachroniqueagora.com

Rachid va payer!

Il avait promis de régler toutes les amendes des femmes  qui seraient verbalisées pour port du voile intégral, alors que la loi  interdisant le port du niqab dans les lieux publics est entrée en vigueur le 4 avril dernier. L’homme d’affaire Rachid Nekkaz va devoir mettre la main au  portefeuille ce mercredi au tribunal de Roubaix, pour payer la première contravention de ce type, selon Nord-Eclair. Le quotidien signale que cette  amende a été dressée le 18 mai dernier, et concerne une femme qui portait le  niqab dans une rue de la  ville. Elle a été condamnée à 75 euros d’amende par le tribunal  de police.

Création d’un fonds d’un million  d’euros

Rachid Nekkaz avait déjà été sollicité pour régler deux  amendes à Nice et Cergy-Pontoise, mais elles avaient été annulées à cause d’une  erreur de procédure. Si l’homme d’affaire s’est ouvertement déclaré contre le  port du voile intégral, il est en revanche défavorable à son interdiction sur la  voie publique. L’an passé, il avait donc créé un fonds « de défense de la  laïcité et de la liberté », qu’il avait doté d’un million d’euros, lui  permettant de payer chaque contravention infligées aux femmes qui porteraient le  niqab en France, mais aussi en Belgique.

www.elle.fr