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17/02/2015

Islam: civilisation et progrès

Ce dimanche, l'État islamique a diffusé une vidéo qui revendique la décapitation de 21 coptes égyptiens enlevés en Libye. Dans cette vidéo intitulée «Un message signé avec le sang à la nation de la Croix», un bandeau explique que les djihadistes s'adressent au «Peuple de la Croix fidèles à l'Église égyptienne ennemie».

Quelle est l'histoire des chrétiens d'Égypte?

Le christianisme a été introduit très tôt en Égypte, en 60 après Jésus-Christ par Marc, l'un des quatre rédacteurs des Évangiles. Il est considéré comme le premier pape dans une succession ininterrompue de papes ou patriarches d'Alexandrie. (Actuellement, Tawadros II est le 118e et a remplacé Chenouda III décédé en 2012 après 40 ans de siège). L'acceptation de la nouvelle de l'Évangile a été rapide, facilitée par des croyances pharaoniques identiques telles que la résurrection, la vie éternelle, et l'équivalence entre femmes et hommes.

Aux premiers siècles, l'Église d'Égypte très influente, fut l'une des cinq Églises, avec Alexandrie, Antioche (Syrie), Constantinople (Turquie), Jérusalem et Rome à avoir établi les fondements de la doctrine chrétienne. La confession de foi, dite d'Athanase le 20e patriarche d'Alexandrie, est encore utilisée aujourd'hui par toutes les confessions catholique, orthodoxe et protestante. Le monachisme et les règles des moines ont été institués en Égypte.

Au VIIe siècle, à l'arrivée des Arabes, l'Égypte était entièrement chrétienne. Ceux-ci ont appelé ses habitants les «Coptes», dérivé de Keck-Ptah le nom pharaonique du pays. Depuis l'introduction de l'islam et le remplacement progressif de la langue copte, dernière version de la langue pharaonique, par la langue arabe, les chrétiens ont traversé des traitements divers sous les règnes de califes, soit en citoyens à part entière, soit en citoyens de deuxième classe durant des périodes de persécution. Les 150 ans du règne du calife Mohammed Ali en 1800, jusqu'à l'arrivée de Nasser en 1952, furent la période la plus rayonnante.

À partir des régimes de Nasser puis Sadate, les coptes ont perdu leurs statuts, et ont été progressivement écartés des fonctions stratégiques de l'État. Durant trente ans sous le régime Moubarak, la société a été lâchée entre les griffes des intégristes islamistes, l'influence de la confrérie de Frères Musulmans et d'un nouveau courant salafiste qui prônent le retour du califat islamique et l'application de la charia. Toutes les institutions, éducation, justice, police, armée, etc. ont été infiltrées par un enseignement de haine accompagné d'un discours religieux fanatique. La différenciation communautaire entre musulmans et chrétiens s'est accrue, et les coptes, marginalisés, sont presque exclus d'une participation citoyenne dans l'État. La fin du règne Moubarak s'est soldée par une division sociétaire entre chrétiens et musulmans, avec des institutions infestées d'idéologie fanatique.

Quelle est la situation des coptes depuis la révolution égyptienne de 2011?

Cette révolution du 25 janvier 2011, soulevée par les jeunes réclamant liberté et égalité, devait mettre fin à cet état de fanatisme. Mais, avec la bénédiction de l'administration américaine qui a préféré faire alliance avec les islamistes, le pays est tombé entre les mains de la Confrérie des Frères. Durant un an de règne (2012-2013) de l'islamiste Mohammed Morsi, toutes les prémices d'un génocide à l'arménienne pour les coptes étaient là: radicalisation des discours dans les mosquées, incendie d'églises, déportation forcée de villages, destruction de commerces, kidnapping des filles mineures avec conversion et mariage forcés, humiliation de l'image symbolique du pape, appels à quitter le pays. La deuxième révolution du 30 juin 2013 avec plus de 20 millions d'Égyptiens dans les rues pour réclamer le départ de Morsi et sa confrérie, a mis fin à cet état chaotique. Musulmans et chrétiens se sont unis contre l'idéologie extrémiste fanatique et violente de la Confrérie et des salafistes. Le grand imam Ahmed el-Tayeb de la Mosquée d'al-Azhar, et le patriarche Tawadros II se retrouvent ainsi côte à côte dans différentes démarches communes.

Le président Sissi a pris la défense des chrétiens d'Égypte contre le fanatisme insoutenable des Frères musulmans et leurs alliés terroristes. Par un geste historique, symbolique et courageux, il aura été le premier dirigeant musulman dans l'histoire égyptienne à venir à la messe de minuit du Noël oriental du 6 janvier pour féliciter les coptes et leur apporter un message de paix et d'union nationale. Sa demande récente aux imams et experts d'al-Azhar, à revoir le discours religieux, à épurer les idéologies de violence, et à concevoir une révolution religieuse, est un appel inédit. Il devrait recevoir le soutien mondial à la fois moral et matériel pour atteindre ces objectifs si ambitieux. Sa fermeté et sa prise de position suite aux décapitations des 21 coptes en Libye est fortement saluée. Sa résistance devrait être perçue comme un solide rempart contre l'extrémisme religieux qui se répand dans la région, et dans l'Occident qui ne saurait être épargné.

L'Église d'Égypte a-t-elle mené des actions particulières contre Daech?

L'Église d'Égypte n'a ni la capacité ni le pouvoir de mener des actions particulières en dehors des prières, d'appels au calme pour les jeunes qui seraient en colère contre les persécutions et l'injustice, et d'initiatives auprès les dirigeants du régime au pouvoir pour intervenir. Contrairement aux chrétiens du Liban, il n'y a pas de chrétiens armés ni de milices. Depuis les premiers siècles, elle est appelée «L'Église des Martyrs» suite aux persécutions diverses. Son rôle reste spirituel sans s'isoler du contact avec les hommes politiques du pouvoir.

L'État islamique a indiqué avoir agi notamment en réponse à un incident survenu il y a quelques années: l'enlèvement par l'Église d'Égypte de deux chrétiennes coptes qui auraient voulu se convertir à l'islam. Cette affaire n'a de cesse d'attiser les tensions et dans la vidéo de ce week-end, les djihadistes ont déclaré que leur incursion dans le Sinaï leur permettra «la mise en œuvre facile des attaques de représailles contre les chrétiens en Égypte». Ces positions révèlent-elles une véritable volonté d'anéantir les coptes ou tiennent-elles plus d'un prétexte pour s'attaquer à l'Égypte et déstabiliser la région?

Il s'agit de l'un des «montages» habituels des islamistes:

- une bagarre entre un chrétien et un musulman pour qu'elle se solde par la demande de départ de tous les chrétiens du village.

- une femme qui, selon eux, s'est convertie à l'islam mais en a été empêchée par l'Église, dans le but d'humilier les chrétiens et l'image du Pape et en réalité pour faire silence sur les milliers de filles mineures chrétiennes enlevées, converties mariées de force, puis interdites de tout contact avec leur famille.

- une histoire d'amour entre un garçon copte et une musulmane qui n'est pas autorisée, (l'inverse, un garçon musulman et une fille chrétienne n'est pas interdit et plutôt encouragé) se solde par le massacre de la famille entière.

D'ailleurs, l'une des deux femmes en question, Kamelia Shehata, est apparue à la télévision, en annonçant qu'elle avait quitté sa maison suite à une mésentente avec son mari mais qu'ils s'étaient réconciliés et qu'elle était retournée chez elle. Elle a ajouté qu'elle était chrétienne et ne connaissait rien de l'islam. Mais des islamistes continuent leur version, réclamant le retour de leur sœur convertie Kamelia, enlevée et torturée par l'Église....

Ces positions sont à la fois l'expression d'une menace permanente pour les coptes, et le prétexte pour maintenir la division communautaire pour la déstabilisation du pouvoir.

Les djihadistes utilisent le qualificatif de «croisés» pour désigner leurs victimes coptes. Peut-on y voir le signe d'une «nouvelle croisade»?

Il s'agit d'un terme «péjoratif» qui cache plusieurs significations concernant les chrétiens:

1 Identification: ils ne sont pas les habitants d'origine du pays mais sont les héritiers des «croisades», donc d'une importation occidentale.

2 Kafara: des adeptes de la «croix» alors que, pour eux, Jésus n'a pas été crucifié, donc ce sont des impies et infidèles (Kafara, pluriel de Kafer).

3 Humiliation: chrétien en arabe se dit «Masihi» en terme respectueux. Les islamistes utilisent «croisé lié à la croix et aux croisades» ou «Nasara» avec le noun de Daech en Irak en termes d'humiliation.

Il ne s'agit donc pas d'une nouvelle croisade mais des attributs donnés aux chrétiens pour justifier le djihad contre ces infidèles.

 

Jean MAHER sur figaro.fr

25/01/2015

Occident : Dar al-Harb

Dar al-Islam : 1600 ans de guerre, d'oppression, de vols, de viols, de kidnapping, de sous développement mental et culturel

Voici notre présent et notre futur

Ne dites surtout pas que vous ne saviez pas!

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23/01/2015

Point de vue d'un philosophe musulman (qui ne fera pas la loi, hélas!)

Pour la plupart des analystes et des politiciens, le carnage de Charlie Hebdo comme la prise d'otages de Vincennes, ces premières offensives de la guerre contre la France et la République, sont des traumatismes auxquels nul ne pouvait s'attendre. Mais pas pour l'élite franco-musulmane, ni pour les soldats de l'ombre qui luttent contre le terrorisme, ni pour les rares journalistes qui osent nommer l'innommable au risque de se faire accuser d'islamophobes. Ces derniers, comme les intellectuels musulmans éclairés, savaient que cela devait arriver un jour. Ils savent que si les gouvernants ne saisissent pas ce drame national pour revoir de fond en comble leur politique d'immigration, d'intégration, d'éducation, de réforme de l'islam et de relations avec certains émirats du Golfe, le pire serait à craindre.

Ce qui vient de se produire était en effet écrit, pas par la main d'Allah dont les islamo-fascistes ont souillé jusqu'à la magnificence et rabaissé la majesté, mais par trente années de laxisme, d'angélisme et de conformisme malséant au pays de Voltaire. Écrit par les concessions aux tenants de l'islam identitaire, holistique et totalitaire, au nom de la démocratie et de la tolérance républicaine. De la question du voile islamique au massacre tragique de Charlie Hebdo, en passant par l'affaire Redeker ou la conférence du pape Benoît XVI à Ratisbonne, que de chemin parcouru dans la capitulation, l'altération de la laïcité et la subversion de la démocratie. Que de reculs des Lumières face à l'obscurantisme! Que de coups portés au modèle de civilisation occidentale devant la barbarie islamiste! Ce modèle universaliste auquel nous avions fini par y croire, nous autres musulmans d'Orient et du Maghreb, avant de nous réveiller un jour du «printemps arabe» aux sommations de certaines voix politiques et intellectuelles occidentales: la charia, pourquoi pas? L'islamisme «modéré», qu'à cela ne tienne!

Nos zélateurs de l'islamisme «modéré» ont vite oublié que lorsqu'on le célèbre à deux heures de vol de la France, l'on risque d'en subir les assauts en plein cœur de Paris. Ils ont oublié que la Terre est devenue un village interconnecté, qu'il n'y pas de démocratie authentique sans sécularisation, que l'islamisme n'est pas la religion des musulmans mais une religion séculière dont le spectre s'étend des Frères musulmans aux néo-talibans de Daech, qui se partagent le même axiome: «Notre constitution c'est le Coran, notre modèle c'est le prophète, notre régime c'est le califat».

 Ils ont surtout oublié que la quintessence de la civilisation occidentale est dans la désacralisation du sacré et la sanctification de la liberté humaine. Parmi ceux que je vois se lamenter sur le sort des 12 morts, je reconnais certains qui s'étaient indignés que des dessinateurs aient osé toucher au «sacré» en reproduisant en 2006 les caricatures du prophète, qui ne s'est d'ailleurs jamais octroyé cette sacralité supposée, celle-ci étant exclusivement réservée à Dieu et à Lui Seul. Je reconnais même certaines figures islamiques qui avaient porté plainte contre Charlie Hebdo, notamment le sempiternel imam de la Mosquée de Paris, ainsi que l'UOIF, qui est membre du Conseil français du culte musulman (CFCM)!

 Passées les jérémiades des fonctionnaires de l'islam, les indignations sincères de la classe politique, l'heure n'est pas seulement à l'unité nationale et au rejet des amalgames, mais aussi à l'autocritique. Le rejet des amalgames ne doit pas nous dispenser de remettre en cause la dogmatique ambiante qui paralyse la pensée et tétanise l'expression. Ce qui est permis en psychanalyse ne doit pas être interdit en politique: mettre des mots sur les maux.

Même si les Kelkal, Merah, Kouachi et les centaines de sociopathes en Syrie restent minoritaires par rapport à la majorité des musulmans de France, on ne peut pas dire que le modèle d'intégration soit une réussite. Encore moins la gestion de l'islam qu'on disait une chance pour la France. La gallicanisation de l'islam a échoué. Cela vaut aussi pour les autres pays européens, notamment le Danemark, où a vu ses citoyens de la «diversité» manifester sous la bannière noire de Daech et aux cris de «A bas le régime, nous voulons le califat»!

Si l'intégration a «échoué», l'intégrisme a en revanche conquis les cœurs. Parce qu'on a laissé la société s'ouvrir à ses ennemis, une microsociété passée de l'islam quiétiste à l'islamisme radical s'est développée grâce au microclimat culturel, éducatif, politique, médiatique et juridique. Le mal, c'est le cancer islamo-fasciste qu'on a laissé se métastaser dans les banlieues, les prisons, les mosquées, les associations, les écoles et même les universités.

 Plutôt que de ressasser pas d'amalgames, mettre des mots sur les maux, c'est reconnaitre que les terroristes qui ont commis cet abominable crime sont des musulmans. Mais leur islam n'est pas mon islam, ni celui des 5 millions de Français paisibles, ni celui des 1,700 milliards de coreligionnaires dans le monde. Leur islam génétiquement modifié est celui des Talibans, d'Al-Qaïda et de Daech.

Les musulmans de France, pourront-ils encore dire dans leur prière quotidienne, «Allah Akbar», sans s'attirer la suspicion, voire même la haine? Devront-ils bannir de leur vocabulaire cette expression qui marque la transcendance, la grandeur et l'unicité divine dans la liberté humaine? Devront-ils taire cette invocation de l'Eternel, désormais associée au nihilisme des barbares?

Ces musulmans de France que chacun prétend représenter et dont nul n'incarne le quiétisme sont doublement atteints. Ils ont été frappés au centre de leur patrie et au cœur de leur foi. Ils pleurent l'assassinat de leurs compatriotes et la mort de Dieu.

 

MEZRI HADDAD  sur www.figaro.fr

18/01/2015

Société islamique: mode d'emploi

Alors qu'on estime à près de 5 000 le nombre de femmes et d'enfants actuellement détenus comme esclaves sexuels dans les régions de Syrie et d'Irak passées sous contrôle de Daech pour former l'Etat Islamique, plusieurs documents sont venus ces dernières semaines dépeindre les terribles traitements qui leur seraient réservés. En décembre dernier, notamment, le Mail Online a relayé un document signalé par le Memri (Institut de recherche des médias du Moyen-Orient qui étudie la menace terroriste particulièrement via les médias), rédigé et diffusé par le "Département des prisonniers et des affaires de la femme", dirigé par un certain Abu Suja. Intitulé "Questions et réponses sur l'emprisonnement et les esclaves", ce mode d'emploi -qu'il reste difficile d'authentifier- à l'adresse des djihadistes présenterait en 27 points les règles de l'esclavage sexuel.

On y apprend que les femmes pouvant être traitées d'esclaves sont les "non-croyantes", autrement dit, toutes celles qui ne seraient pas de confession musulmane, c'est-à-dire, comme explicitement énuméré dans le texte, les chrétiennes, les juives et les polythéistes, mais aussi les Yézidis, cette communauté persécutée par l'EI dont les croyances (monothéistes) trouvent leur source le zoroastrisme, la religion de la Perse antique.
Une fois achetées ou attribuées à un "maître" qui peut en posséder plusieurs, celles-ci peuvent être violées à volonté, et battues et punies si elles n'obéissent pas ou si elles tentent de s'enfuir. Ce guide précise également que les jeunes filles vierges peuvent être déflorées immédiatement après leur acquisition, que les relations sexuelles avec des esclaves pré-pubères mais "aptes" sont autorisées mais que les femmes ayant déjà eu des rapports doivent d'abord avoir l'utérus "purifié", sans qu'il soit expliqué comment. Pour justifier ces règles, le texte s'appuie sur la Charia telle que l'interprète l'Etat Islamique et cite des textes soi-disant tirés du Coran comme "Allah récompense les musulmans qui sont chastes avec leurs femmes et ce qu'ils possèdent" (sous-entendu pour les djihadistes, leurs esclaves) lorsqu'il s'agit d'interdire toute relation sexuelle avec l'esclave d'un autre.

 
Si cet abject mode d'emploi, dénoncé par de nombreux médias, n'a pas pour autant été officiellement revendiqué par l'EI, il fait étrangement écho à un autre document, révélé par le site Iraqinews puis largement diffusé il y a quelques semaines et contenant la grille tarifaire des esclaves. En fonction de leur âge, de leur beauté, ou même de la couleur de leur yeux, elles seront vendues entre 30 et 2000€, le plus haut prix étant réservée aux enfants de moins de 10 ans. Plusieurs ONG et médias ont également recueilli de nombreux témoignages de jeunes filles et femmes ayant échappé à leur "maître" tandis que la situation de communauté Yézidi présente en Irak et en Syrie et dont les femmes sont réduites à l'esclavage a été décriée par ces mêmes associations et médias qui ont tiré la sonnette d'alarme et n'hésitent pas à parler de génocide.

SOURCE www.aufeminin.com

11/01/2015

Islamisme : ça pue la haine!

Voici une belle vidéo de (sous) culture islamique: anti philosophique, anti démocratique, violente (notez les gestes d'égorgement du barbu qui dirige la bande de décérébrés) et machiste

Notez bien, cet hymne à la haine n'est pas censuré par l’État Français malgré qu'il s'agisse d'une déclaration de guerre

Depuis des années nous alertons sur le fait que le premier volet de la lutte contre le totalitarisme mahométain est de nature IDEOLOGIQUE, bien avant l'aspect policier

 

https://www.youtube.com/watch?v=E7B45h_lAEk

 islam-and-violence-3.jpg

PS : aujourd'hui pas de représentant marocain à la marche pour CHARLIE!

Quant aux autres Pays arabes on sait ce qu'ils ont fait pendant la publication des caricatures

 

 

13/11/2014

Les "musulmans pacifiques" sont irrilevants

Voici l'explication:

https://www.youtube.com/embed/28d04OHyhwU

12/10/2014

Aujourd'hui les Kurdes...demain...Vous!

Cette affaire du siège de Kobané permet au moins de montrer de manière claire l'univers d'hypocrisie qui entoure l'idéologie islamo fasciste de matrice arabe

Alors que tous les jours nous avons été gavés des actualités en provenance de Sarajevo, de Gaza, de Centrafrique, car il s'agissait de "sanctifier" des pauvres "victimes" musulmanes ( indépendamment du fait que ce soit à tort ou à raison), voici que ni ce mollusque appelé Union Européenne, ni même les USA du "saint Obama" , ne jugent utile d'agir pour stopper les massacre délibéré et ignoble de ce glorieux et héroïque Peuple Kurde  AUQUEL VA TOUTE NOTRE ADMIRATION ET NOTRE  SOUTIEN et qui se bat contre l'agression des (arabes) sunnites de l'Etat Islamique abreuvés à l'eau du salafisme saoudien

Quel genre de coalition peut on espérer former avec des adorateurs de l'Egorgeur de la Mecque tels que la belle Arabie Saoudite ou le magnifique Qatar?

Des "adorateurs modérés" contre des "adorateurs radicaux"?

Pour quel objectif politique?

Exterminer chiites, yazidis, chrétiens et tout ce qui ne ressemble pas à un arabe sunnite?

Ou simplement les abaisser à devenir des êtres de deuxième rang?

Ou alors s'allier à l'ignoble Turquie de l'ignoble Erdogan, championne du Monde des génocides ethniques et religieux (jamais reconnus!) QUI TUE A L'ARME A FEU plus de 30 manifestants Kurdes, qui laisse passer les Jihadistes mais qui bloque les Kurdes et leur ravitaillement,  et contre laquelle PAS UN SEUL PAYS NE S'EST INSURGE, PAS UN SEUL !!!!

A suivre ceux qui voulaient la Turquie en Europe Kobané serait aujourd'hui la FRONTIERE DE L'UE!!!!!

Circulez il n'y a rien à voir!

Silence on extermine!

 

Arin Mirkan : portrait d'une héroine tombée pour la libérté contre la barbarie islamique

kobane-20141007-300x300.jpgArin Mirkan était capitaine des Unités populaires de défense (YPJ), la branche armée du Parti de l’unité démocratique (PYD) aux prises depuis le 16 septembre l’État islamique (EI ou Daesh), qui font le siège de la ville kurde de Kobané, dans le nord de la Syrie. Le 5 octobre, cette jeune femme, à court de munitions, encerclée dans le quartier de Mishténour, a préféré se lancer sur les jihadistes et se faire exploser plutôt que de devenir leur prisonnière et de subir leurs outrages et leur barbarie.

Justement, cette barbarie de l’EI, dont les images circulent sur les réseaux sociaux, ne serait pas un motif pour intervenir militairement contre les jihadistes, selon Edwy Plenel. Car, dans les colonnes de Libération, le fondateur de Médiapart estime que « chacun est le barbare de l’autre »… Ben voyons! D’où elle est, Arin Mirkan appréciera…

Quoi qu’il en soit, son sacrifice traduit la volonté farouche des combattant de l’YPJ de ne pas voir tomber Kobané aux mains des jihadistes.

On a malheureusement eu l’occasion de voir le sort que ces derniers réservent à ceux qu’ils ont vaincu.

Cet acte héroïque de cette fille de ce Peuple Kurde fier et courageux  lui fait honneur et nous prions pour que Dieu la reçoit parmi les Anges dans cette lutte contre le Démon Mahométain  

01/10/2014

Le resumé parfait d'Ivan Rioufol

Vu sur Figaro.fr et absolument parfait dans son analyse:

Une constatation : nombreux sont ceux qui, cet été en France, sont descendus dans les rues pour montrer leur solidarité avec le Hamas et son idéologie islamiste, en guerre contre Israël et les juifs. Or ceux-là jugent inutile de montrer leur distance avec l’Etat islamique, qui a égorgé Hervé Gourdel au nom d’Allah. En 2012, seule une centaine de Français musulmans avait répondu à l’appel de l’imam Chalghoumi, pour dénoncer les tueries de Mohamed Merah (mon blog, ici). Vendredi, cinq cents personnes se sont retrouvées devant la Mosquée de Paris pour dire "Non au terrorisme". Mais le recteur Boubakeur lui-même a refusé de parler "d’islam ou d’islamisme", pour désigner la décapitation commise en Algérie. "Les musulmans sont éloignés de tous les extrémismes, de tous les radicalismes", a-t-il déclaré. Une position reprise par Valérie Pécresse (UMP) : "Non, l’islam n’a rien à voir". "Redressez la tête ! Soyez fiers de ce que vous êtes", a dit Mgr Michel Dubost. Abderrahmane Dahmane, du parti des démocrates musulmans de France, a même lancé : "Le djihad c’est la volonté d’être un musulman de paix". Dimanche, place de la République, ce dernier a organisé un maigre contre-rassemblement, avec drapeaux algériens, pour se dissocier du meeting organisé à cinquante mètres par SOS-Racisme, la Licra, le Mrap, Le PCF, etc, qui a regroupé un millier de personnes. Mais là encore, les discours ont justifié le refus de se désolidariser des djihadistes. Dominique Sopo (SOS Racisme ) : "Pour se désolidariser , encore faudrait-il avoir été solidaires". La novlangue et le sophisme sont sortis grands vainqueurs de ces mobilisations.

Les fanatiques du califat peuvent se féliciter du fiasco des dénonciations. La déstabilisation des démocraties ouvertes, recherchée par l’Etat islamique, consiste à séparer de plus en plus les musulmans d’Europe des sociétés déjà méfiantes à leur égard. La confrontation civile est l’objectif final, singulièrement en France. Or, en refusant de faire une distinction entre l’islam et l’islamisme, qui permettrait d’accuser uniquement ce dernier des dérives totalitaires qui caricaturent la religion, les représentants de la communauté et les belles-âmes rendent service à ces croyants bas du front qu’ils disent vouloir combattre. En effet, ils rendent, aux yeux de l’opinion, les musulmans solidaires.La dialectique déployée ces jours-ci par le gratin du politiquement correct, dans sa tentative de récupération et d’étouffement de l'indignation collective, vise au bout du compte à voir le méchant dans celui qui invite le musulman à se dissocier de l’islam radical, et le gentil dans celui qui se dit victime d’islamophobie parce que sa passivité serait suspecte . Dimanche, il a plus été question des musulmans traumatisés d’avoir à dénoncer des égorgeurs, que du martyre des chrétiens d’Orient et du sort des Français désormais désignés comme cibles. Les salafistes, qui investissent les cités et s’adonnent aux lectures littérales du Coran, n’ont rien à craindre de ces faux résistants. Ils ne cherchent qu’à disculper l’islam et ses avatars de leurs responsabilités.


IVAN RIOUFOL  www.figaro.fr

26/09/2014

La valse des menteurs et des hypocrites se poursuit

A l'occasion du meurtre barbare et inhumain d'Hervé Gourdel et des autres otages en Syrie ainsi que de tous ceux qui ne se se plient pas à cette idéologie de génocide et de terreur qui s'appelle ISLAM, en réponse à l'attitude écœurante de certaines organisations pour la défense et la diffusion de l'islamo fascisme  qui ont cru devoir se désolidariser (sic!) de cette parade de bons propos, cet article de LIBERTIVOX désormais ancien retrouve toute son actualité

Cela fais des années que ce blog alerte sur le danger MORTEL de cette idéologie INCOMPATIBLE AVEC LES VALEURS DE CIVILISATION OCCIDENTALE

Nos pires mais hélas prévisibles scénarios sont en train de se réaliser avec la complicité des COLLABOS au pouvoir

 

Touche-pas-prophete.jpeg

 

"Le 19 mars 2012, Hollande, candidat à la Présidence de la République, apprenant que trois enfants juifs avaient été froidement assassinés dans leur école à Toulouse, qu’un quatrième avait été gravement blessé et qu’un de leurs maîtres avait été abattu, bilan qui aurait été plus tragique si l’arme automatique du tueur ne s’était pas enrayée, a montré du doigt l’Elysée, accusant le Président encore en exercice d’avoir inspiré par ses propos, opinions, discours, façons d’être ou de faire, etc. ces ignobles assassinats. Rendre responsable de la mort de quatre juifs un « métèque » qui a des ancêtres juifs, il fallait oser. Hollande l’a fait : c’est à cela qu’on le reconnaît.

Il est juste de rappeler, pour ne pas trop accabler celui qui, entre autres manigances, grâce à ces accusations, préside aux destinées de la France, que, le 19 mars 2012, la police, qui ne parvenait à dresser le profil du tueur (trois soldats et quatre civils assassinés, dont trois enfants), avait fait savoir aux autorités que ces crimes pourraient avoir été commis par un antisémite de « droite ». Hollande s’est jeté comme un mort-de-faim sur ce pain béni. Le lendemain, la maigre hypothèse a été démentie, quand les enquêteurs ont enfin identifié le tueur. Il ne s’appelait ni Charles, ni Martel, ce qui aurait bien arrangé Hollande et sa clique, mais Mohammed Merah, musulman pur sucre et algérien de lignée. Il est juste aussi de noter, non pas pour atténuer la stupidité de Hollande, mais pour l’aggraver, qu’à « gauche », les socialos, écolos, gauchos et cocos sont mus par un réflexe conditionné qui consiste à accuser, sans preuve évidemment, sans indices concordants et même sans l’ombre du moindre soupçon, les prétendus fascistes, les simulacres d’extrême-droite, les présumés nazis ou néo-nazis, qu’ils aient ou non le crâne rasé, de tous les crimes ignobles qui se commettent en France ou ailleurs dans le monde. C’est ainsi que le sociologue de service, dont le nom commence comme fasciste et rime avec Tassin, l’abruti de la 7e Compagnie, et qui, en France, est le seul à croire aux races ou à la race, a fait porter sur la « droite » et sur l’hebdomadaire « Valeurs actuelles » la responsabilité du lynchage d’un jeune rom à Pierrefitte-sur-Seine. Ce stalinien et maoïste, ou bourdivin (ce qui est pis), a refait le coup de Hollande de mars 2012. Pourtant il n’est candidat à rien - seulement au titre fort disputé de « sociologue troupier ».

De Hollande, on dit qu’il est social-démocrate ou social-libéral. « On », c’est-à-dire les journaleux, les expertueux, les cultureux, les consciencieux, sa petite cour des médias, etc. Or, ce supposé social-démocrate a les mêmes réflexes conditionnés que les brutes staliniennes de la pire espèce, au point de s’échanger explications, éléments de langage, fragments de discours, comme s’ils avaient été formatés dans le même cul-de-basse-fosse de l’obscurantisme soviétique. Staline a inventé la reductio ad bestiam immundam. Pendant 80 ans, ils ont récité la leçon. 80 ans plus tard, elle leur est passée dans les gènes : surtout ne pas réfléchir, ni penser, mais éructer, sortir les crocs, baver, vilipender, stigmatiser, désigner le bouc émissaire, toujours le même : le juif, le sioniste, le « nationaliste », le peuple.

Sont établis en France des soldats aguerris qui ne portent pas d’uniforme. Ils font le djihad partout dans le monde, sauf en Arabie saoudite ou au Qatar, pays qu’un bon et vrai djihad pourrait peut-être régénérer. En France, ces soldats sont des tueurs de juifs, des lyncheurs de roms, des massacreurs de chrétiens et de mécréants ; ailleurs dans le monde aussi. A leur sujet, pour savoir qui ils sont vraiment, il est aisé d’établir, puisque leur nom est connu, dans quel quartier ils habitent ou ont habité avec leur famille, dans quelle école ou dans quel collège ils ont été formés, de quoi ils ont vécu et de quoi vit leur famille, etc. Pour cerner leur profil, il suffit de consulter les résultats électoraux des bureaux de vote où sont inscrits les membres de leur famille. Ce sont Bellefontaine et Le Mirail à Toulouse, capitale de l’Occitanie et de la gauche cassoulet vin des Corbières ; Bagneux, ville dirigée par les communistes depuis plus d’un demi-siècle (collèges Barbusse, Joliot-Curie, Romain Rolland, plaine des jeux Maurice Thorez, gymnases Eluard, Cachin, Wallon) ; le quartier Bourgogne à Tourcoing, ville génétiquement administrée par les socialos ; Pierrefitte-sur-Seine, commune de « gauche » depuis toujours, communiste et socialiste (bâtiments publics aux noms de Louise Michel, Ethel Rosenberg, Jaurès, France – pas la France, mais Anatole -, Neruda, Aubrac, Varlin, Courbet), etc. Dans les quartiers où vivent les familles Merah, Fofana, Nemmouche, Moussaoui, en 2012, Hollande a obtenu entre 80 et 90% des voix, peut-être davantage, et aux élections législatives qui ont suivi son triomphe, les socialos et leurs comparses écolos, gauchos, cocos, ont fait aussi bien.

Les tueurs de juifs, les lyncheurs de roms, les massacreurs de chrétiens et de mécréants vivent comme des poissons dans l’eau dans les fiefs de Hollande. Ce ne sont pas ses électeurs, mais ses électueurs. S’ils ne votent pas, leur famille vote, toujours pour les amis et complices des protecteurs saoudiens, qataris, algériens, musulmans, etc. Autrement dit, c’est dans le terreau (ou sur le fumier) où les socialos, gauchos, écolos et cocos achètent les suffrages à coups d’aides, de subventions, de passe-droits que sont formés les tueurs de juifs, les lyncheurs de roms, les massacreurs de chrétiens et de mécréants. Les socialos croient respecter les différences, favoriser le « vivre-ensemble », orner la voûte céleste d’arcs-en-ciel multicolores ; ils mettent bas des tueurs de juifs, des lyncheurs de roms, des massacreurs de chrétiens et de mécréants.

En 1956, le Président socialo du Conseil des Ministres, Guy Mollet, réduisait (déjà la reductio ad bestiam immundam) Nasser à Hitler pour justifier l’expédition de Suez et l’intensification de la guerre en Algérie. Ses successeurs font repentance. Ils se sont acoquinés à l’islam, tout en faisant servir la reductio ad bestiam immundam contre ceux qui doutent de leur politique. Les quarante dernières années ont été une litanie de connivences, complicités, aveuglements. En autorisant les étrangers à créer des associations politiques, Mitterrand a porté sur les fonts baptismaux l’ignoble UOIF ; pour sauver son régime aux abois, il a sollicité les milliards de l’islam et, en échange de ce sauvetage, les Saoudiens ont obtenu d’innombrables privilèges et avantages divers pour les musulmans ; le journal Le Monde a mis au placard un très grand journaliste, dont le crime était de ne pas partager l’enthousiasme des journaleux pour l’islam, et, pour le remplacer, il a ouvert grand ses colonnes au « sociologue troupier » Kepel ; Mitterrand a chassé Jean-Claude Barreau de la direction de l’Office des Migrations internationales, à la demande des ambassadeurs musulmans en poste à Paris qui tenaient pour un blasphème un livre dont Jean-Claude Barreau était l’auteur ; à peine nommé Premier Ministre, Jospin a levé l’interdiction de séjour en France qui frappait le nazislamiste Ramadan, ce qui a donné le coup d’envoi d’une nouvelle campagne de réislamisation des banlieues de France ; le Nouvel Observateur a accordé son soutien total à l’imam Daffé, propagandiste de l’islam wahhabite grâce à l’argent saoudien, pour ré-islamiser les quartiers de Bellefontaine et du Mirail, où ont été formés les Merah et leurs complices en haine des juifs ; etc. etc. etc.

C’est à cela que se résument le « changement », « l’inversion », le « retournement » de Hollande. La « gauche » petite bourgeoise bohémienne et toute confite en islamisme a renié ses engagements envers les prolétaires et les libertés publiques pour abandonner la France aux tueurs de juifs, aux lyncheurs de roms, aux massacreurs de chrétiens et de mécréants.  Collabos, la France a de bonnes raisons de vous haïr ! "

© Baro Tinderbert pour LibertyVox

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