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08/09/2015

Menaces explicites,.... sous forme de mise en garde !!!

Mécréants en général, et juifs en particulier: préparez vous au châtiment islamique!

 

Tout un programme (click)

 

Rassurez vous: c'est n'est pas une farce, il parle très au sérieux!

Don't worry: Hollande , Valls et Cazeneuve veuillent sur vous!!!

 

07/09/2015

Identité et accueil:quel point de bascule?

La crise migratoire met en jeu, pour reprendre les mots du Pape François, notre conception même de la dignité humaine. Les images de ces hommes fuyant la misère ou la souffrance pour une autre misère et souffrance un peu plus supportables ne peuvent qu'ébranler notre conscience au plus profond d'elle-même.

De façon plus politique, cette crise nous oblige aussi à reposer la question de l'universel. Deux positions s'affrontent en effet: d'un côté celle qui considère que les migrants font partie de la même humanité que la nôtre et qu'il faut donc les accueillir (vatican, franc maçonnerie ndr) de l'autre celle qui soutient que l'accueil des migrants met en péril la singularité culturelle des nations européennes (une position défendue récemment par Viktor Orban).

L'universalisme d'un côté, qui suppose la subordination des nations à des règles universelles communes à chaque homme (les fameux «droits de l'homme») ; le traditionalisme de l'autre, qui fait de chaque homme le produit d'une histoire particulière, d'une culture et d'un passé. L'Homme n'existe pas, affirmait Joseph de Maistre dans sa célèbre apostrophe, mais il y a des Français, des Italiens, des Suédois etc.

Sous l'impulsion du moment révolutionnaire de 1789 et de ses illustres penseurs, l'option universelle a progressivement emporté la bataille en Europe (idées franc maçonniques n.d.r.).

Sous l'impulsion du moment révolutionnaire de 1789 et de ses illustres penseurs, l'option universelle a progressivement emporté la bataille en Europe. Elle a conduit, par ses dérives, au malaise européen contemporain qui touche la majorité de nos nations: disparition du sentiment national, primauté des droits individuels sur la dimension spirituelle héritée de la tradition, dilution du patrimoine culturel national sous les coups d'une immigration excessive (dont une partie de la responsabilité incombe, soulignons-le, aux crimes colonialistes européens et plus récemment à l'ingérence occidentale au Moyen-Orient).

L'ouverture des frontières nous a jetés dans une angoisse insaisissable mais en même temps très réelle. Le fait que la question migratoire soit devenue, devant le chômage, l'inquiétude principale des Européens est à cet égard extrêmement révélateur.

La fusion progressive de populations jusqu'alors séparées par la distance géographique, ainsi que par des barrières linguistiques et culturelles, marquait la fin d'un monde qui fut celui des hommes pendant des centaines de millénaires, quand ils vivaient en petits groupes durablement séparés les uns des autres et qui évoluaient chacun de façon différente, tant sur le plan biologique que sur le plan culturel.

Claude Lévi-Strauss

L'anthropologue Claude Lévi-Strauss nous aide à mettre des mots sur ce phénomène. De façon prophétique, il avait mis en garde contre les conséquences de l'effritement des frontières au nom d'un universalisme et multiculturalisme destructeur: «La fusion progressive de populations jusqu'alors séparées par la distance géographique, ainsi que par des barrières linguistiques et culturelles, marquait la fin d'un monde qui fut celui des hommes pendant des centaines de millénaires, quand ils vivaient en petits groupes durablement séparés les uns des autres et qui évoluaient chacun de façon différente, tant sur le plan biologique que sur le plan culturel». Et Lévi-Strauss de s'en prendre au «mouvement qui entraîne l'humanité vers une civilisation mondiale, destructrice de ces vieux particularismes auxquels revient l'honneur d'avoir créé les valeurs esthétiques et spirituelles qui donnent son prix à la vie et que nous recueillons précieusement dans les bibliothèques et dans les musées parce que nous nous sentons de moins en moins certains d'être capables d'en produire d'aussi évidentes». Pour l'anthropologue, «toute création véritable implique une certaine surdité à l'appel d'autres valeurs, pouvant aller jusqu'à leur refus, sinon même leur négation. Car on ne peut, à la fois, se fondre dans la jouissance de l'autre, s'identifier à lui, et se maintenir différent» . Cette réflexion, d'une grande radicalité mais aussi particulièrement lucide, lui fut durablement reprochée à une époque où l'antiracisme et le «sans-frontiérisme» régnaient en maîtres.

Pour « être soi » et ainsi préserver la diversité du monde (et donc sa richesse culturelle), il faut non pas rejeter l'autre mais accepter une certaine séparation, car « pour être soi » il faut nécessairement « ne pas être l'autre ».

La position de Lévi-Strauss, que nous défendons ici, est pourtant authentiquement antiraciste. Elle découle de la haute idée que nous nous faisons des cultures qui ne sont pas les nôtres. Pour «être soi» et ainsi préserver la diversité du monde (et donc sa richesse culturelle), il faut non pas rejeter l'autre mais accepter une certaine séparation, car «pour être soi» il faut nécessairement «ne pas être l'autre». «On doit reconnaître», conclut Lévi-Strauss, «que cette diversité [du monde] résulte pour une grande part du désir de chaque culture de s'opposer à celles qui l'environnent, de se distinguer d'elles, en un mot d'être soi: elles ne s'ignorent pas, s'empruntent à l'occasion, mais pour ne pas périr, il faut que persiste entre elles une certaine imperméabilité».

Faut-il pour autant renoncer, au nom de la préservation de ce qui subsiste de notre originalité culturelle, à porter secours aux migrants? Cette position est difficilement soutenable au regard du devoir de charité qui incombe à chacun d'entre nous. Mais ce devoir ne peut impliquer d'accueillir, pour le long terme, un nombre important de migrants dans un pays et un continent déjà minés par le délitement culturel (sans parler du chômage de masse). Le cas des réfugiés - notamment venus de Syrie - doit faire l'objet d'un traitement particulier, évidemment. Il ne s'agit pas d'intolérance et encore moins de repli sur soi, mais de préservation du peu qui nous reste à conserver - à moins qu'il ne soit déjà trop tard.

SOURCE: www.figaro.fr

Europistan

DA LEGGERE REGOLARMENTE:

http://www.ilgiornale.it/static/reportage/europistan/euro...

La politica criminale dell'UE

siria,profughi,erdogan,islamismo,terrorismoMentre i terroristi dello «Stato islamico» dell'Isis sono a 8 chilometri dal centro di Damasco, pronti a dare la spallata finale al regime laico di Assad e prossimi a perpetrare il genocidio di cristiani, alauiti e curdi, l'Unione Europea, da un lato, fa finta di niente per non inimicarsi la Turchia, dall'altro sembra essersi rassegnata ad accogliere decine di migliaia di siriani in fuga dalla guerra.

Da una guerra che è stata voluta nel 2012 da Unione Europea, Stati Uniti, Turchia, Qatar, Arabia Saudita e Kuwait, nel culmine del fervore per la menzogna mediatica della «Primavera araba», che ha disintegrato il territorio della Siria, posto fine ad uno Stato sovrano, provocato finora oltre 215.000 morti.

Il comportamento dell'Unione Europea non è solo ipocrita, ma è criminale.

Perché dopo aver sostenuto non solo politicamente, ma anche finanziariamente e militarmente, una coalizione di terroristi islamici che hanno scatenato la sanguinosissima guerra civile, tra cui ci sono i Fratelli Musulmani, il Fronte Al Nusra (alleato di Al Qaeda, da cui è sorto prima lo «Stato islamico dell'Iraq» nel 2006, poi l'Isis nel 2013 e infine lo «Stato islamico» nel 2014), l'Esercito dei Mujahidin, il Fronte islamico, la Brigata Ahfad al Rasul (Discendenti di Maometto), ebbene l'Unione Europea continua a perseguire lo stesso obiettivo dei terroristi islamici, Isis compreso, ossia la caduta del regime laico di Assad.

Ci rendiamo conto che, se oggi quest'Europa si divide sull'accoglienza di decine di migliaia di siriani, cosa accadrà quando diventeranno centinaia di migliaia e poi milioni, nel momento in cui l'Isis controllerà tutta la Siria e poi l'Iraq, con il proliferare delle teste mozzate e il fuggi fuggi generale?

La Turchia è lo specchio fedele dell'ipocrisia e del crimine.

Erdogan è il grande burattinaio del terrorismo islamico dei tagliagole dell'Isis e dei taglialingue dei Fratelli Musulmani. Lo «Stato islamico» dell'Isis non potrebbe sopravvivere 24 ore senza la disponibilità della Turchia ad acquistare il suo greggio, a fornirgli armi e a far transitare decine di migliaia di terroristi islamici lungo la propria frontiera. Al tempo stesso la Turchia è diventata la roccaforte dei Fratelli Musulmani, ancor prima che venissero estromessi dal potere nel 2013 in Egitto, dove nacquero nel 1928. Ebbene, è un dato di fatto che non solo l'Unione Europea ma anche gli Stati Uniti, sono sottomessi alla strategia della Turchia. Che, da un lato, sostiene i terroristi islamici e obbliga i siriani a fuggire, dall'altro favorisce l'invasione della Grecia, il nemico storico, da parte di decine di migliaia di siriani a partire dalle proprie coste.

Quest'Europa ipocrita e criminale ha l'ultima opportunità per impedire la caduta di Damasco e la fine del regime laico di Assad. Solo un'aspirante suicida può continuare a sostenere e condividere la strategia dei terroristi islamici e favorire la propria invasione da parte di milioni di persone in fuga da Siria e Iraq. Svegliamoci!

MAGDI ALLAM  su www.giornale.it

03/09/2015

Orban, le seul qui parle clair et vrai

L'afflux de réfugiés menace les racines chrétiennes de l'Europe et les Etats du «vieux continent» doivent contrôler leurs frontières avant de décider combien de candidats à l'asile ils peuvent accepter sur leur sol, déclare le Premier ministre hongrois, Viktor Orban. Dans une tribune que publie jeudi le journal allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, Viktor Orban estime que les peuples européens sont en désaccord avec la majorité des gouvernements sur la crise des migrants.

«Les populations souhaitent que nous maîtrisions la situation et protégions nos frontières», écrit-il. «C'est seulement lorsque nos frontières seront protégées que nous pourrons nous poser la question du nombre de personnes que nous sommes en mesure d'accepter, et de savoir s'il doit y avoir des quotas». La Hongrie met en place une clôture de 175 km de long à sa frontière avec la Serbie pour contenir les migrants qui affluent par le sud.

Selon Orban, la Hongrie est «envahie» par les réfugiés, dont la majorité ne sont pas des chrétiens mais des musulmans. «C'est une question importante, parce que l'Europe et la culture européenne ont des racines chrétiennes.

Et n'est-il pas déjà en soi alarmant que la culture chrétienne de l'Europe soit à peine en mesure de maintenir ses propres valeurs chrétiennes?», s'interroge-t-il.

www.figaro.fr

 

On peut ajouter que les SUNNITES DOIVENT PARTIR AU QATAR AU KUWAIT OU EN ARABIE SAOUDITE, ou tout autre PAYS ISLAMO TOTALITAIRE, car la tradition ISLAMIQUE est INCOMPATIBLE avec la TRADITION DEMOCRATIQUE OCCIDENTALE!

POUR SUIVRE L'UTOPIE MAÇONNIQUE, L'EUROPE N'A PAS VOCATION A DEVENIR UN NOUVEAU LIBAN!!

01/09/2015

Dei COLONI (erroneamente detti "rifugiati") esigono pasti hallal

 

NIENTE CROCE ROSSA: VOGLIAMO PASTI HALLAL (click)

 

Ecco un filmato che NESSUN MEDIA EUROPEO vi mostrerà:

Dei COLONI (in questo caso erroneamente chiamati rifugiati) "affamati' (!!!???) ed "impauriti" (!!!???) che RECLAMANO pasti  HALLAL e rifiutano i pasti sostitutivi perche vi appare la CROCE ROSSA!!!!!!!!!

Neppure arrivati..... E GIA DI UN ARROGANZA IMPENSABILE!!!!!!!!!!

I CRISTIANI, I KURDI, GLI ALAOUITI E GLI YAZIDI SONO MASSACRATI ED ELIMINATI DALLA PURIFICAZIONE ETNICA E RELIGIOSA DAL MEDIO ORIENTE,

MA NOI COSA RICEVIAMO?:

INVASIONE DI COLONI SUNNITI !!!!

I PERSECUTORI VENGONO, I PERSEGUITATI MUOIONO!

L'occidente scava la sua tomba!!!

 

L' UNIONE EUROPEA ED OBAMA

VI STANNO PRENDENDO PER IDIOTI !!!!!!!!

09/08/2015

Mafia islamica, narcotraffico et djihad

Guerriglie e formazioni terroristiche si finanziano (anche) con il traffico degli stupefacenti, dopo aver stretto alleanze reciprocamente vantaggiose con le organizzazioni dei narcotrafficanti.

Assicurano loro “servizi” logistici essenziali: il transito della “merce” sui territori controllati, la vigilanza sulle coltivazioni illegali, l’agibilità delle piste clandestine su cui atterrano piccoli aerei con i carichi di droga.

In alcuni casi, abbandonata l’iniziale ideologia rivoluzionaria, gruppi della guerriglia sono diventati veri e propri cartelli del narcotraffico. Già nel 2009 Antonio Maria Costa, direttore esecutivo dell’Unodc, scriveva: “..oggi il traffico di droga è diventato la causa principale di un altro problema:il finanziamento del terrorismo. È diventato sempre più difficile distinguere chiaramente i gruppi terroristici dalle comuni organizzazioni criminali perché le loro strategie tendono sempre più a sovrapporsi. Se non recidiamo il legame tra crimine, droga e terrorismo, il mondo assisterà alla nascita di un ibrido e cioè di organizzazioni terroristiche della criminalità organizzata”.

È il caso delle Farc (Forze armate rivoluzionarie della Colombia) e in parte dell’Eln (Esercito di liberazione nazionale). Queste guerriglie, per sostenere un conflitto che in Colombia va avanti da mezzo secolo contro le forze di sicurezza governative e i paramilitari, da un ventennio a questa parte hanno privilegiato i rapporti con i narcotrafficanti, talvolta rimpiazzandoli, per garantirsi adeguate risorse finanziarie. Rapporti d’affari che sono riusciti a tessere anche oltreoceano, come emerso dal sequestro l’estate scorsa al largo delle Canarie di circa 200 kg di cocaina proveniente dalla Colombia e diretta in Europa.

Le indagini sul caso avrebbero evidenziato collegamenti tra le Farc e gruppi quaedisti che, per assicurare il transito della cocaina, riscuoterebbero una tassa del 15%. Aspetto da non sottovalutare nel contesto africano, diventato una vera polveriera con le guerre civili e le rivolte che stanno devastando molti paesi e con le note presenze di gruppi terroristi di varia matrice, che necessitano di continue e sostanziose risorse finanziarie per l’acquisto di armi e la logistica. C’è di più.

A giugno 2015, nel contesto dell’operazione antidroga “Santa Fè” coordinata dalla Dda di Reggio Calabria, sono emersi collegamenti ancora tra le Farc e alcune ‘ndrine, tra cui quella degli Acquino-Colucci, per un traffico di cocaina verso l’Italia. In Perù, vengono segnalate ancora frange residue di Sendero Luminoso, che sicuramente non rappresentano più una minaccia come negli anni passati, ma costituirebbero il braccio armato dei trafficanti di droga: garantiscono protezione e sicurezza nelle piantagioni, trasportano pasta base di cocaina e precursori nei punti di raccolta, addestrano i contadini nella semina e raccolta delle foglie di coca.

La situazione è problematica anche in altri paesi dove per sostenere la lotta armata c’è bisogno di consistenti fondi che solo i traffici di droghe riescono a garantire. Il traffico dell’eroina, per esempio, è la principale fonte di finanziamento del Movimento Islamico dell’Uzbekistan (Imu). Sorto nel 1992, dopo che l’opposizione al regime del presidente Karimov (appena rieletto per la quarta volta consecutiva) era stata dichiarata fuorilegge, il gruppo si è accorpato con altri terroristi in Afghanistan. Senza contare la presenza di un nucleo uzbeko (Katibat al-Imam Bukhari, KiB) tra le fazioni segnalate in Siria che, nel settembre 2014 ha annunciato la sua alleanza con l’Isis.

La protezione nel traffico illecito – anche delle droghe - è assicurata nell’effervescente regione caucasica (Cecenia, Daghestan Inguscezia, Ossezia) da gruppi separatisti in lotta da anni. Anche in Tajikistan diverse cellule di terroristi si sostengono con i proventi derivanti dal narcotraffico: tra queste, vengono segnalate quelle di Hib-ut-Takhir, Jamat Ansarulloh e Tbligi Jamaat.

Fonti dell’intelligence europea segnalano la presenza di alcuni gruppi armati wahhabiti in Macedonia, evidenziando la loro complicità nell’assicurare il transito di cocaina di provenienza afghana in cambio di denaro. A marzo in Libano sono riemersi collegamenti tra Hezbollah e i narcos messicani. Nel dicembre 2010 era toccato alla Dea (l’agenzia antidroga americana) e all’Ofac (Department of the Treasury’s Office of Foreign Assets Control) individuare una rete di malavitosi attivi nel riciclaggio e nel traffico di droga tra il Libano e gli Usa con a capo Ayman Saied Joumaa – inserito nel 2011 nel Kingpin Act quale boss della droga.

Joumaa, attraverso i dirigenti della Lebanese Canadian Bank (Lcb) in rapporti privilegiati con Addallah Safieddine, rappresentante del movimento sciita a Teheran, avrebbe finanziato Hezbollah con i profitti derivati da ingenti quantitativi di stupefacenti dal Sudamerica in Europa e Medio Oriente, attraverso la rotte dell’Africa Occidentale. Altro denaro “ripulito” sarebbe transitato nella Prime Bank – consociata con la LCB – con sede in Gambia, posseduta da un miliardario libanese, noto finanziatore di Hezbollah. Finanziamenti a Hezbollah arrivano anche dalla Guinea Bissau dove, secondo fonti attendibili, sarebbe attiva una potente rete illegale libanese che gestisce i proventi derivanti dal traffico di droga. Sempre in Guinea Bissau va ricordato il coinvolgimento, nel 2013, del capo di stato maggiore dell’esercito gen. Antonio Indjai, accusato di aver agevolato per conto delle Farc lo stoccaggio di quantitativi di cocaina destinata al mercato americano.

Che dire poi dei talebani (“sempre più vasto e in espansione” secondo il rapporto 2014 del Dipartimento della Difesa americano) che, per finanziare le loro operazioni militari in Afghanistan vigilano e proteggono le coltivazioni di papavero, trasportano l’oppio e controllano i laboratori per la produzione di eroina? Gruppi della galassia talebana e tribali sono coinvolti nel traffico dell’eroina, nelle zone confinarie del Pakistan. Tutti, nella regione, si dividono parte dei circa 40 miliardi di dollari ricavati dalla vendita dell’eroina sul mercato europeo.

La Turchia, alle prese con i noti problemi di politica interna, deve fare i conti con il gruppo terroristico del Pkk/Kck. Secondo la Direzione Centrale dell’Intelligence (Idb) della polizia turca, il Pkk – esercitando un controllo ai valichi di confine con l’Iran e l’Iraq – applicherebbe un dazio alle merci di contrabbando in transito, comprese le droghe, richiedendo 25 dollari per ogni chilogrammo di eroina grezza e 65 dollari per quella raffinata.

In Iran, nella zona confinaria del Sistan Baluchistan, è operativo dalla metà del 2012 il gruppo indipendentista Jaish-ul-Ad (Esercito della Giustizia). Questa organizzazione, composta da alcune centinaia di beluci, pakistani e fuoriusciti di altri gruppi terroristi (per esempio Jundallah, i Soldati di Dio), garantirebbe il transito di carichi di eroina provenienti dal vicino Afghanistan, ricavandone profitti da impiegare nella lotta per l’indipendenza della provincia.

Nella vasta regione del Sahel e in particolare in Algeria, Mauritania, Mali, Ciad, Niger, è forte l’influenza di Aqmi (Al-Qaida nel Maghreb islamico). Oltre ai rapimenti a scopo estorsivo, secondo informazioni di esperti europei presenti nell’area, l’organizzazione trae benefici anche dai trafficanti di droga. Tale coinvolgimento non viene però alla luce, perché sarebbe una pessima pubblicità per arruolare nuove reclute, in quanto l’abuso di droghe contrasta con i principi fondamentali dell’Islam.

In Marocco, a marzo 2010, Tahieb Cherkaoui, all’epoca ministro dell’Interno, intervenendo alla riunione dei ministri arabi che si teneva a Tunisi ricordava le strette relazioni emerse tra gruppi terroristici e trafficanti di droga; il riferimento era alla cellula Fath Al Andalous (Conquista dell’Andalusia) e alla condanna di quattordici suoi componenti inflitta dal tribunale di Salè.

In Nigeria, secondo alcuni indizi i “talebani nigeriani” della cellula islamista di Boko Haram (in lingua houssa significa “l’educazione occidentale è un peccato”), grazie al controllo di molti territori al confine agevolerebbero per denaro  il passaggio delle droghe (oltre che di armi e farmaci contraffatti) verso le località costiere dell’Algeria, Tunisia, Libia e Marocco, per il loro successivo smistamento via mare o via aerea verso il mercato europeo.

Il traffico di hashish dal Marocco (stimato in circa 15 miliardi di dollari), è stato ritenuto la principale fonte di finanziamento degli attacchi terroristici del 2002 (attentato sventato a Gibilterra contro alcune navi militari Usa), del 2003 a Casablanca e del 2004 a Madrid.

Le forze ribelli del Movimento della Forze Democratiche della Casamance (Mfdc), regione del Senegal al confine con la Guinea Bissau e il Gambia, sarebbero coinvolte anche nella gestione del commercio dello “yamba”, una droga simile all’hashish che si ricava da una pianta che cresce un po’ dappertutto. Nella penisola del Sinai, i contrasti che di tanto in tanto esplodono tra bande di trafficanti di droga, forze di sicurezza e cellule di Al Quaeda fanno intendere come quel territorio sia un vero nido di attività illecite e violente fuori da ogni controllo.

Occorrerebbe infine esaminare il sistema internazionale del riciclaggio di denaro proveniente dal narcotraffico e reinvestito per finanziare i movimenti terroristici. Emblematica la vicenda della banca Hsbc, con sede a Londra e filiali in una novantina di paesi nel mondo, sospettata di aver facilitato il finanziamento a gruppi terroristici riciclando denaro sporco proveniente dal narcotraffico (cfr. il rapporto 2013 della Sottocommissione permanente del Senato Usa “Vulnerabilità degli Stati Uniti al riciclaggio di denaro, droga e terrorismo finanziario: il caso Hsbc”).

Questi pochi cenni sui legami e sulle complicità che sono emerse, in diversi paesi, fra i trafficanti di droghe, cellule terroristiche, bande di ribelli e sistema bancario, possono aiutarci a capire come sia oltremodo difficile contrastare il commercio di droghe, che continua a essere uno straordinario “bancomat”- senza rischio di chiusure – per molte organizzazioni terroristiche.

Articolo originariamente pubblicato su Narcomafie

Da www.limesonline.it

24/07/2015

Mahomet: le Mal(e) absolu

http://www.dailymotion.com/video/xuatja_mahomet-le-pere-createur-de-l-islam_news

 

NOTA

Copier le lien ci dessus puis ouvrir dans une autre fenêtre  merci

 

Nardella marionetta utile dell 'islam

Il pessimo sindaco di Firenze Nardella, che la popolazione "apprezza" per la sua inefficenza e per il degrado in cui versa sempre di piu quella che fu la culla dell 'umanesimo,ha deciso, con l'accordo dell'intellighenzia legata al catto comunismo, endemico sin dal 1945, che Firenze ha bisogno della sua bella moschea con il suo bel minareto, anzi forse due minareti 

Effettivamente i venditori abusivi di oggetti contraffatti e di poster sui marciapiedi hanno un bisogno urgente di preghiera

Ed hanno anche i soldi (svariate decine di milioni) per costruire la loro bella ed imponente moschea, che si accordera ' perfettamente con la tradizione umanistica e culturale fiorentina 

Insomma ,forse il contrabbando stampo camorristico e la frode fiscale non rendono abbastanza per fare questa bella moschea di cui i neo coloni toscani hanno tanto bisogno,ma non c è problema!

Altri pagheranno

D altro canto il loro rappresentante autoproclamato et membro di spicco dell' UCOI è venuto a Firenze specificamente con questa missione: gettare le basi della colonizzazione della terra degli infedeli  

L'Arabia Saudita, il Qatar ed il Koweït, noti per la loro tolleranza, apertura di spirito ed ecumenismo, e principale  sostegno à Daech, metteranno la mano al portamonete con molto piacere e tutto cio 'era previsto sin dall'inizio perché non sono i fedeli ad aver bisogno della moschea ma è la moschea che ha bisogno dei fedeli

A condizione tuttavia  che le prediche nella moschea sottolineino bene la differenza fra i veri credenti e gli infedeli, gettando le basi della società comunitaristica che sta fallendo OVUNQUE

I figli dei neo coloni (il termine immigrati non é corretto, si tratta di "coloni"), italiani per caso e di diritto, andranno à cercare moglie(i) o marito nei paesi di origine, come succede oggi in tutti i Paesi nord europei, generando nuovi neo fiorentini intrisi di spirito umanistico rinascimentale

La decisione dei catto comunisti affiliati alle coop è ispirata dall'idiozia la piu' abietta e dall'ignoranza la piu ' profonda, ma dall'interesse finanziario e elettorale piu' sfacciato

Nardella ( diciamo Renzi ) ha opposto il suo rifiuto di fare un référendum, come si è fatto in Svizzera 

Ma lui ha deciso che TU non hai il diritto di esprimerti

Ma lui pretende che l'islam è una"religione " come le altre

Ma lui ha deciso che malgrado i problemi enormi posti dall'islam  già oggi  in ogni Paese occidentale, il lupo deve entrare nell'ovile e farci la sua tana

La quinta colonna del totalitarismo verde mette radici nella culla del cristianesimo

La cultura dell individuo dotato di ragione sara sostituita con quella della oumma che recita, obbedisce ai testi sanguinari coranici e si CONTRAPPONE alla cultura occidentale

Persino Dante ha posto Maometto all'inferno fra i generatori di discordia, ma non fa nulla Nardella e la sua cricca sono gente colta ed intelligente  

Per rispetto verso la Setta del Beduino bisognera bruciare la Divina Commedia o smettere di leggerla nei licei

Oriana apprezzera' da lassu'

I fiorentini anche da quaggiu

Arrivederci alle elezioni, noi non dimenticheremo mai

 

Piero Messeri 

08/07/2015

La religion du prophète est obligatoire, vous dis-je!!

Cinq jeunes Marocains ont été arrêtés dans la ville touristique de Marrakech pour ne pas avoir respecté le jeûne du ramadan, a indiqué aujourd'hui une organisation de défense des droits de l'Homme.

"Ces jeunes accompagnaient un de leurs amis (...) à l'aéroport de Marrakech. Et il semble que la chaleur les ait poussés à boire du jus de fruit en public à côté de vendeurs de la place Jamaa El Fna", a déclaré le président de l'association marocaine des droits de l'Homme à Marrakech, Omar Arrib. "La température s'élevait à près de 48 degrés quand ils ont été arrêtés hier" à Marrakech, principale destination touristique au Maroc, a-t-il ajouté.

Selon Omar Arrib, le geste des cinq jeunes a attiré l'attention des vendeurs de la place qui ont alerté la police. Les jeunes gens doivent être présentés devant la justice demain en présence de l'avocat de l'association marocaine des droits de l'Homme.

Ils encourent entre un  et six mois de prison.

www.figaro.fr

MAROC : Pays islamo "modéré",(n'ayant pas condamné la tuerie de Charlie Hebdo) et grand ami du Pays des Droits de l'Homme par excellence: la France