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28/10/2015

Pas de souveraineté sans frontières territoriales

Jacques Sapir:

La question de la "mondialisation" est donc aujourd’hui posée. Un ancien ministre français, M. Montebourg pour ne pas le nommer, a fait de cette question, à travers le concept de démondialisation et le thème du "produire français", l’un des thèmes politiques les plus en vogue du moment.

 On peut d'ailleurs constater que ceci ne se limite pas à la France. De nombreux pays, dont en particulier la Russie, prennent conscience aujourd'hui qu'une trop grande exposition au commerce international et à la concurrence "mondiale" présente bien plus d'inconvénients que d'avantages.

Cette question met en lumière le rôle des frontières, et ceci alors que leur importance est de plus en plus évidente, même en Europe, du fait de la crise migratoire. Or, la question des frontières a été abordée par Régis Debray il y a de cela déjà quelques années. Il montre, avec son talent et sa plume élégante, que les frontières sont un rempart indispensable contre la tentation de certain pays à constituer un empire. Voilà ce qui remet aussi au centre du jeu la notion de souveraineté.

Frontières et mondialisation
Le fait que les pays d'Asie qui connaissent la plus forte croissance ont systématiquement violé les règles de la globalisation établies et codifiées par la Banque mondiale et le FMI a été établi par Dani Rodrik (3). Ceci renvoie à la question des politiques nationales et à la problématique de l'État développeur qui renaît dans le débat, depuis quelques années (4). Cette problématique est en réalité au cœur du réveil industriel de l'Asie (5). En fait, ce sont ces politiques nationales qui constituent les véritables variables critiques pour la croissance et le développement, et non l'existence ou non de mesures de libéralisation du commerce international. Mais admettre cela revient à devoir reconsidérer le rôle de l'État dans les politiques économiques et le rôle du nationalisme comme idéologie associée au développement (6). On touche ici à de puissants tabous de la pensée orthodoxe en économie comme en politique.

Pourtant, il est clair que ce protectionnisme, ces politiques de développement national, n'interdisent nullement le commerce international. Le protectionnisme n'est pas l'autarcie. Ceci devrait être évident pour tout le monde. Mais, quand François Hollande, Président de la République, appelle, à l'occasion du soulèvement récent des agriculteurs en France, à "manger français", ne se fait-il pas, lui, l'apôtre de l'autarcie? Sa formule relève en effet de ce qui s'appelle l'autarcie, ce qu'aucun économiste ne peut recommander. En réalité, des formes de protectionnisme, égalisant les conditions tant sociales qu'écologiques dans lesquelles les biens sont produits, sont absolument nécessaires. Ces formes de protectionnisme seraient plus efficaces si nous pouvions arriver à un accord commun avec certains de nos partenaires. Mais, même sans cet accord, elles seraient incontestablement efficaces.

Du rôle modérateur de la notion de frontière
Il faut aussi se souvenir du petit livre publié en 2010 par Régis Debray et qui s'intitulait Eloge des Frontières (7). Il faut donc lire ou relire ce petit livre qui dit une grande chose. La frontière, parce qu'elle distingue un intérieur d'un extérieur, permet le contact avec l'autre comme elle permet la démocratie, cette combinaison de pouvoir et de responsabilité. Dans une interview qu'il donne à l'occasion de la sortie de ce livre au JDD, Régis Debray dit aussi: "La frontière, c'est la modestie: je ne suis pas partout chez moi. J'accepte qu'il y ait de l'autre et pour faire bon accueil à un étranger, il faut avoir une porte à ouvrir et un seuil où se tenir, sinon ce n'est plus un hôte mais un intrus. Un monde sans frontières serait un monde où personne ne pourrait échapper aux exécuteurs de fatwas ou aux kidnappeurs de la CIA. (…)La méconnaissance des frontières relève d'un narcissisme dangereux, qui débouche sur son contraire: les défenses paranoïaques. Une frontière invite à un partage du monde et décourage son annexion par un seul" (8).

On voit que le propos est large. Il faut en tenir compte. Sans l'existence de frontières, la distinction entre l'invitant et l'invité cesserait d'exister. Dès lors, ne pourrait plus être pensée l'obligation morale qu'il y a à accueillir un étranger poursuivi par un pouvoir tyrannique sur son sol natal, obligation qui — il faut le rappeler — existe dans la déclaration des Droits de l'Homme et dans le préambule de la Constitution en France. Mais, ce que dit Régis Debray va encore plus loin. L'existence de frontières permet de penser la pluralité du monde. Elle s'oppose à la vision unifiante — et terrifiante — de l'empire universel. C'est l'existence de frontières, parce qu'elle permet l'existence de nations, qui permet l'internationalisme et non, comme le confondent beaucoup aujourd'hui, un a-nationalisme, une généralisation du statut d'apatride pour tous.

Frontières et souveraineté
Mais, parler de frontière est une autre manière de parler de la souveraineté.
Dès lors, on peut définir le souverainisme étymologiquement comme l'attachement de quelqu'un à la souveraineté de son pays, et donc l'attachement à ses frontières. Cela pourrait en faire un équivalent du patriotisme. Mais, dans sa signification actuelle, le souverainisme définit en réalité un attachement et une défense de la souveraineté du peuple, qui est le fondement principal de la démocratie. Le souverainisme est donc ce qui permet l'expression de la volonté d'une communauté politique (le peuple) à pouvoir décider de lui-même, par lui-même et pour lui-même sur les questions importantes (9).

C'est donc une notion qui s'enracine profondément dans une vision de gauche de la société. C'est ce qui explique, sans doute, le succès grandissant des idées souverainistes car elles sont les seules qui permettent de rattacher l'aspiration au progrès social à des mécanismes concrets, car fonctionnant au sein d'espaces territorialisés clairement définis.
 
Ce souverainisme ne relève pas d'une quelconque xénophobie. Il permet au contraire de penser la libre disposition d'un peuple de prendre son destin en main.

Le souverainisme est donc la position logique, et même la position nécessaire, de tous ceux qui veulent penser la démocratie, non pas comme un rite formel mais comme une pratique réelle. Qu'il y ait, à partir du moment où la souveraineté est établie et la démocratie réelle rétablie, des oppositions entre courants se réclamant du souverainisme est chose normale. On peut même dire qu'elle fait partie intégrante du processus démocratique. Mais, ces différents courants doivent être unis quand il s'agit de défendre la souveraineté et la démocratie. De ce point de vue, et contrairement à ce que d'aucuns écrivent (10), il n'existe pas de souverainisme "de gauche" ou "de droite". Il existe des opinions, de droite ou de gauche, tenues par des souverainistes. Mais, l'ensemble des "anti-souverainistes" sont en réalité des gens que l'on peut qualifier comme "de droite" car ils se prononcent contre les bases mêmes de la démocratie.

Retour des frontières ou retour des Nations?
Ce à quoi on assiste depuis maintenant plus d'une dizaine d'années, c'est au contraire à un retour des Nations (11). Ce retour a commencé avec le rétablissement de la Russie; il s'est prolongé avec les politiques des Etats d'Asie orientale. Désormais, ce processus concerne directement l'Europe. Face à ce retour des Nations, on peut soit le combattre, mais c'est un combat perdu d'avance, ou l'on peut chercher à fonder de nouvelles formes de coopération entre ces Nations.

Car, le retour des Nations n'implique nullement celui du nationalisme et du bellicisme. Les grands projets, dont les européens sont fiers, à juste titre, ont TOUS été le résultat de coopérations multinationales, et non d'un processus fédéral. Qu'il s'agisse d'Ariane ou d'Airbus, au départ ce sont quelques pays qui ont décidé de mettre en commun leurs savoir-faire et leurs compétences. D'ailleurs, Airbus n'aurait jamais existé sans l'accord franco-allemand pour la construction de l'avion de transport Transall, au début des années 1960, et sans le Concorde franco-britannique, décidé au milieu des années 1960, deux programmes qui ont permis une modernisation décisive de l'industrie française.
Aucun de ces grands projets, et de ces grandes réussites, n'est aujourd'hui possible dans le cadre étriqué et étouffant de l'Union européenne. On a tout à fait le droit de penser que les Nations sont des cadres périmés. Mais en ce cas, il faut en tirer les conséquences pour soi-même. C'est pourquoi on ne peut qu'être très choqué de certains propos tenus récemment par François Hollande lors de son discours devant le Parlement européen, non tant par les propos eux-mêmes, mais du fait qu'ils sont contradictoires avec la fonction de Président de la République qu'il occupe. S'il était cohérent, il devrait donc démissionner.

Le retour des frontières?

La crise des réfugiés en Europe et au Proche-Orient suscite aujourd'hui la montée d'un discours sur le "retour des frontières", discours suscité par des décisions spectaculaires comme celle de la Hongrie, de construire un "mur" le long de sa frontière. Ce discours est en réalité assez étonnant et ne correspond nullement à une situation où les frontières auraient disparues. Mais il décrit bien l'idéologie dominante dans une partie de la presse et chez certains commentateurs. Ce que traduit le changement de situation en Europe, c'est bien le retour des Etats, et donc des frontières. Mais ce retour était prévisible, et si la crise migratoire qui se manifeste depuis l'été 2015 le rend plus visible, il n'en existe pas moins depuis de nombreuses années.

Il faut en effet constater que les frontières existent aujourd'hui et qu'elles n'ont jamais été abolies en réalité. C'est une évidence, mais cela relève de la "découverte" pour certains. De ces frontières, certaines sont plus étanches que d'autres, mais elles sont une réalité générale. Par ailleurs, même au sein de l'Union Européenne l'accord de Schengen est aujourd'hui ouvertement remis en cause. Signe des temps: nous voici bien ramenés à la question des frontières et, par ce biais, à celle des Etats-Nations. Mais, cette question pose alors en filigrane d'autres questions, comme celle de la mondialisation ou celle de la souveraineté. Et c'est bien ce qui dérange certains.

Du rôle politique de la frontière
La véritable question n'est pas, en réalité, celle d'une abolition supposée, et donc d'un retour fantasmé aux frontières. La véritable question est à quoi ces frontières doivent-elles servir. L'une des premières choses que l'on peut dire à cet égard est que la frontière est, en réalité, la condition de la démocratie. C'est elle qui permet de relier la décision collective et la responsabilité. Sans l'existence de frontières, nous vivrions dans une indétermination territoriale qui aurait d'importantes conséquences. Nous pourrions certes avoir la possibilité de la décision en commune, mais la communauté politique, ce que l'on appelle le "peuple", ne serait pas mis devant la responsabilité de long terme qui vient de l'existence sur un territoire donné. Faute de cette responsabilité, et des conflits que cette dernière produit, il n'y aurait pas eu le développement des institutions dont l'historien et homme politique français du début du XIXème siècle, François Guizot, disait qu'il était le développement de la civilisation (1). Ce fut d'ailleurs, historiquement, le problème qui empêcha les peuples nomades de se donner des institutions sociales et politiques à l'image des peuples sédentaires.

La frontière est aussi constitutive de la démocratie en cela qu'elle détermine ce qu'est un peuple, c'est à dire une communauté politique identifiable, et non une appartenance ethnique ou religieuse. C'est la frontière qui met l'étranger voulant vivre dans un autre pays devant le choix de s'intégrer ou d'être privé de droits politiques. Elle est une séparation entre l'intérieur et l'extérieur, séparation sans laquelle aucune organisation — et je rappelle qu'un Etat est une organisation — ne saurait, tout comme tout être vivant, exister. Même les protozoaires ont une membrane qui les isole de leur environnement.

Le rôle économique des frontières

Mais, le rôle de la frontière ne s'arrête pas à la délimitation politique d'un territoire. Une frontière peut aussi jouer un rôle important en économie. Une frontière doit jouer le rôle d'un filtre laissant passer certaines choses et bloquant certaines autres. Ainsi, la question des frontières pose celle du protectionnisme. On sait que ce dernier a mauvaise presse. Pourtant, on sait bien que le "doux commerce", expression souvent associée au libre-échange (2), n'est qu'un mythe, ce qui a été souligné par de nombreux économistes (3). En fait, le libre-échange fut surtout le vecteur de tentations impériales (4).
Mais, surtout, la question du protectionnisme est indissolublement liée à celle des politiques de développement. Les travaux d'Alice Amsden (5), Robert Wade (6) ou ceux regroupés par Helleiner (7) montrent que, dans le cas des pays en voie de développement, le choix du protectionnisme, s'il est associé à de réelles politiques nationales de développement et d'industrialisation (8), fournit des taux de croissance qui sont très au-dessus de ceux des pays qui ne font pas le même choix.
Avec l'émergence de la nouvelle théorie du commerce international de Paul Krugman, on peut considérer que le protectionnisme a retrouvé en partie ses lettres de noblesse (9). Paul Krugman lui-même a récemment reconnu que la globalisation pouvait bien, malgré tout, être considérée comme coupable (10). Un exemple est le recours massif à une sous-traitance étrangère, ce qui n'avait pas été prévu et qui modifie considérablement l'approche de la mondialisation (11).

Cette question du rôle de la frontière est ouvertement posée avec ce que l'on appelle la "mondialisation". On voit bien que le processus de démondialisation (12), dont Arnault Montebourg s'était fait le chantre et qui était perceptible depuis des années, aujourd'hui s'amplifie et acquiert une nouvelle légitimité (13). Cela correspond à cette prise en compte que l'action économique de l'Etat doit se faire dans le cadre de frontières.

26/10/2015

Germania: invasione islamica ed esplosione della criminalità

“L’Inferno è scoppiato” in Germania, registriamo una invasione di criminalità di massa nelle forme più gravi come i furti, le rapine, gli stupri, la riduzione in schiavitù, l’imposizione della sharia”, questo è stato il drammatico avvertimento che ha fatto il Presidente Federale della polizia tedesca, Rainer Wendt.

In una significativa intervista fatta la canale N24 del servizio della Televisione tedesca, Wendt ha inoltre avvertito che le attività delittuose non sono state il risultato di invasori di colore stretti in luoghi angusti, ma piuttosto opera di fanatici religiosi e di lotte di alcuni gruppi per ottenere il sopravvento sugli altri.

"Le situazioni devono sempre arrivare ad incendiarsi prima che i politici reagiscano", ha detto.

"Nei nostri accampamenti per dare asilo ai rifugiati è scoppiata tutta una situazione infernale, nella frontiera con il sud della Germania e nello Stato federale della Baviera in particolare. E' un girone infernale ed i nostri colleghi da quelle parti devono lavorare interrottamente senza neanche potersi più togliere gli stivali", ha detto riferedosi al lavoro costante e senza interruzioni che deve svolgere la polizia tedesca per cercare di fare fronte alle altre invasioni di masse di rifugiati.

"Da mesi le forze di polizia sono state sopraffatte da questa invasione ed adesso i politici stanno mostrandosi come se ne fossero totalmente sorpresi, questo però non può essere".

"Abbiamo dovuto constatare le risse fra immigrati nei campi di accoglienza, abbiamo dovuto verificare una quantità di furti nelle tende di generi alimentari. C'è una forte criminalità tra i rifugiati, il che significa che avvengono stupri di donne e bambini, uso massiccio di violenza, attività delittive come sfruttamento e schiavitù, vediamo che tutto questo avviene in quei posti. Non si tratta certo di piccoli alterchi fra persone che stanno vivendo in uno spazio ridotto, questi sono piuttosto conflitti territoriali, lotte per il dominio. Ci sono fanatici e gruppi religiosi che non si possono facilmente separare. Il nostro personale di sicurezza è del tutto sovrastato da queste situazioni".

Rispetto all'enorme numero di invasori, migranti e profughi che si sono sparsi in Germania, dopo che la cancelliera Angela Merkel li ha invitati a venire, Wendt ha detto che quelli che sono arrivati hanno portato con loro la "sharia" (legge islamica).

"Loro non ripettano le nostre leggi. Per istinto sanno che le nostre leggi sono deboli sanno che non importa come si comportano male, perchè questo non apporta nessuna conseguenza sul loro status di diritto di asilo. Possono fare più o meno quello che gli piace e lo stato appena reagisce".

"Il potere giudiziale e la parte politica dello Stato dovrebbero rendere molto chiaro a questa gente, fin dal principio, che in questo paese, la sharia come legge non si applica, o qualsiasi altra norma religiosa, ma qui si deve applicare l'obbligo delle leggi tedesche e che noi siamo pronti per far rispettare questo principio".

"Queste non sono dispute familiari; stiamo parlando di crimini gravi, delitti penali di estrema gravità, dobbiamo dimostrare che coloro che commettono tali azioni cambiano il loro status da rifugiati in persecutori ed il nostro stato di diritto deve reagire. Queste persone devono essere mandate fuori immediatamente e per questo dobbiamo riaprire un'altra volta le astrutture di deportazione. Queste persone devono essere rinviate da dove sono venute e non devono avere il diritto di attendere l'esito della procedura di asilo in libertà".

E' stato inoltre chiesto a Wendt se può essere una buona idea separare (in base al gruppo religioso/etnico) gli invasori, profughi e richiedenti asilo per cercare di ridurre la violenza: Wendt ha risposto che il ragionamento che sottintende a questa proposta è, secondo lui, un segno di impotenza della società. Sarebbe appena possibile praticare una separazione anche se per motivi religiosi.
"Chi vorreste separare? I sunniti separati dagli sciiti, i salafiti moderati dai salafiti radicali? Quando alla fine sono tutti seguaci delle credenze mussulmane, questo non risulta possibile", ha dichiarato Wendt.

Nota: Questa intervista non è stata divulgata dalla maggior parte dei media intenti a dare una versione "buonista" e caritatevole dell'arrivo delle masse di profughi in Europa dei quali, una buona parte si professano siriani, anche se è noto che i documenti siriani si acquistano sul mercato nero ad un prezzo fra i 500 ed i 1500 dollari (secondo il tipo di documento) e questo permette a molti pakistani, Afghani e di altre etnie, di farsi passare per siriani.

Quello che dice fuori dai denti il responsabile della Polizia Federale tedesca è molto indicativo ed attesta quello che si sapeva: l'invasione non è casuale ma è pianificata, con la complicità della Turchia e di varie organizzazioni ONG che finanziano ed incentivano i viaggi, vi sono prove documentate di questo ed hanno indagato su tale aspetto anche i servizi di intelligence dell'Austria che hanno documentato queste complicità. L'invasione non è pacifica ma finalizzata a prendere piede per un futuro di dominio di masse islamiche wahabite e salafite, radicalizzate su parti del territorio dei paesi europei, come già si riscontra in vari paesi del Nord Europa dove, in alcune zone, è vigente la saharia come norma applicata di fatto fra gli immigrati. Vedi: InfoDirekt, Vienna: gli Usa finanziano il traffico di migranti

Dietro questa invasione ci sono i finanziamenti dell'Arabia Saudita, paese da sempre ispiratore e istigatore del radicalismo islamico di impronta wahabita, intollerante e assolutista, portatore di violenza e sopraffazione verso le altre confessioni. L'Arabia Saudita si è già offerta di finanziare la realizzazione di altre 200 moschee in Germania. L'Arabia S. è un paese alleato di ferro con gli Stati Uniti e con Israele ed al centro di tutte le trame (incluso il finanziamento dei gruppi terroristi) nel Medio Oriente per rovesciare i regimi laici, nazionalisti o di fede sciita ed alawita (vedi Libia, Iraq, Siria). "I paesi occidentali si sono inchinati al potere ed al denaro della dinastia dei Saud (detto dal patriarca cattolico siriano,Ignatius Joseph III Younan).

La cancelliera Angela Merkel, la stessa che pochi mesi prima aveva negato (durante una diretta TV) ad una profuga palestinese radicata in Germania, la possibilità di rimanere, provocando il pianto della ragazzina, ha deciso improvvisamente di aprire le porte all'invasione dichiarando che la Germania avrebbe accolto tutti i siriani, scatenando una invasione di massa che ha messo in crisi paesi come la Serbia, l'Ungheria, la Croazia e la Slovenia. Un comportamento apparentemente strano ma che trova la sua spiegazione in un preciso ordine o direttiva a cui la Merkel ha voluto obbedire ed adeguarsi.
Possiamo indovinare da quale centrale sia arrivata tale direttiva. Niente avviene per caso.
La stessa cancelliera Merkel si è recata, la scorsa settimana, ad Ankara dal presidente turco Erdogan (il nuovo "sultano") per trattare con lui di detenere il flusso dei migranti in cambio di concessioni, aiuti finanziari ed il possibile ingresso della Turchia nella UE. 
Naturalmente tratta la questione lei per conto di tutti i "sudditi" europei che non hanno voce in capitolo. Anche di queste eventuali decisioni se ne vedranno presto gli esiti negli stessi paesi europei.

Originariamente pubblicato sul sito Controinformazione.info

22/10/2015

Une cooperante anglaise morte chez le Sultan à Istanbul

La chercheuse britannique Jacky Sutton a été retrouvée pendue samedi soir dans les toilettes de l'aéroport d'Istanbul alors qu'elle se rendait au Kurdistan irakien. Son amie Susan Hutchinson réfute auprès de France 24 la thèse du suicide.

Que s’est-il passé dans les toilettes de l’aéroport d'Istanbul-Ataturk samedi 17 octobre ? La chercheuse britannique Jacky Sutton, spécialiste de l'Irak au sein de l'Institute for War and Peace Reporting (institut de reportage sur la guerre et la paix-IWPR), y a été retrouvée pendue.

Les médias turcs rapportent que l'ancienne journaliste de la BBC, qui a atterri à l'aéroport d'Istanbul vers 22 heures par le vol TK-1986 en provenance de Londres, s’est donnée la mort après avoir raté sa correspondance pour Erbil, la capitale du Kurdistan irakien. Selon l’agence de presse turque Anatolie, qui ne cite pas de sources, la Britannique âgée de 50 ans s’est affolée quand elle a réalisé qu’elle n’avait pas d’argent pour acheter un nouveau billet. Quelques instants plus tard, trois passagers russes ont retrouvé son corps dans les toilettes de l’aéroport.

"Le problème d’argent est inconcevable"

 La version qu'Ankara avance semble peu crédible aux yeux de ses proches. "La théorie selon laquelle elle se serait suicidée à cause d’un avion manqué ne tient pas debout", affirme à France 24 son amie de longue date et collègue à l'Australian National University, Susan Hutchinson. La directrice du Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM) en Irak Jane Pearce a également émis des doutes sur cette théorie. "Je pleure la disparition de mon amie et collègue. Je ne crois pas à ce que racontent les médias [turcs]". "À moins d'avoir des preuves de son suicide, je suis convaincue que Jacky Sutton a été tuée", a tweeté de son côté, Hiwa Osman, un journaliste irakien.

L’IWPR, qui s’est dit "devasté" par sa disparition, a également qualifié d’"obscures" les circonstances de la mort de la quinquagénaire. "Ce problème d’argent était inconcevable. On est régulièrement amené à payer de nouveaux billets d’avion en cas de retard", a affirmé à l'agence AP Anthony Borden, le directeur de l'institut.

De plus, Ankara affirme qu’"elle se serait suicidée avec des lacets au porte-manteau d’une porte de toilettes". Pourtant, Susan Hutchinson assure qu'"elle ne portait jamais de chaussures avec des lacets".

"Forte et combattive"

Jacky Sutton a occupé différents postes au sein d'organisations humanitaires et des Nations unies. Elle est décrite par ses collègues comme une brillante chercheuse "qui a soif de justice". "Ce n’est pas le genre de personnes à se faire déborder par des petits problèmes", poursuit Susan Hutchinson. Lors de leur dernière conversation téléphonique début octobre, Jacky Sutton lui est apparue toujours aussi "forte et combattive".

Dans un article autobiographique publié sur un blog australien, Jacky Sutton racontait avoir été "prise pour une espionne et jetée en prison" lors d’une mission en Érythrée dans les années 1990, avant d’être "expulsée" du pays. Cette expérience douloureuse lui a valu de souffrir d’un trouble de stress post-traumatique. Mais Susan Hutchinson affirme que "cet épisode douloureux était terminé et qu’elle avait repris toute possession de ses moyens".

"Il y a quelque chose qui cloche"

La spécialiste de l’Irak se rendait dans les bureaux de l’institut au Kurdistan irakien pour avancer son travail de recherche sur la position des femmes journalistes dans le pays. "Jacky était passionnée par son travail et toujours aussi motivée pour passer son doctorat à l’université d’Australie", assure son amie.

Cette femme divorcée et sans enfant "avait pertinemment conscience des risques de son métier", estime son amie Susan Hutchinson. Son prédécesseur à l’institut, Ammar al-Shahbander, avait été tué en mai 2015 dans une attaque à la bombe à Bagdad. L’IWPR, qui aide les journalistes locaux à exercer leur métier dans les pays en guerre, estime qu’"il n’y a aucune raison de penser que les deux morts sont liées".

"Jacky Sutton avait des jouets dans son sac pour les enfants des salariés à Erbil", poursuit Anthony Borden. "Il y a quelque chose qui cloche. Je ne comprends pas", a-t-il poursuivi, avant d’ajouter : "L’institut a besoin d’en savoir plus".

Plusieurs collègues et anciens confrères appellent les autorités britanniques à mener une autopsie du corps. "J’espère que le ministère des Affaires étrangères britanniques sera en mesure de mener sa propre enquête afin de faire toute la lumière sur les circonstances de sa mort", ajoute Susan Hutchinson. Les autorités britanniques, qui ont confirmé "la mort d'un citoyen anglais à Istanbul", ont indiqué être en contact étroit avec Ankara.

SOURCE  France 24 news

Lo sporco gioco del Sultano Erdogan

Il New York Times (NYT) ammette finalmente che “i ribelli della CIA” in Siria, che hanno ricevuto tonnellate di armi e missili anticarro TOW (made in USA), operano sul campo sotto il comando del gruppo di Al-Nusra/al-Qaeda: i comandanti dei ribelli si presero burla quando venne domandato loro di dare informazioni circa la avvenuta consegna di 500 esemplari dall’Arabia Saudita, dicendo che era un numero insignificante a paragone con quello che era effettivamente disponibile.

L'Arabia Saudita nel 2013 aveva ordinato più di 13.000 esemplari di quei missili. Visto che i contratti di vendita delle armi esigono che sia conosciuto "l'utilizzatore finale", i ribelli dissero che dovevano essere consegnati con il beneplacito di Washington. Tuttavia si può essere sicuri che questi "ribelli della CIA" si sentono male quando vengono definiti "ribelli moderati". 

L'avanzata sul terreno fatta ad opera dei gruppi islamisti takfiri, a volte in aiuto di quelli, è stata fatta dai vari gruppi, relativamente "laici", come l'Esercito Siriano Libero (ESL) che ha ottenuto un nuovo protagonismo per la sua disponibilità delle ultime armi consegnate.

Si tratta di una alleanza tattica che i comandanti dell'ESL descrivono come un matrimonio di necessità perché non potrebbe funzionare senza il consenso del fronte al-Nusra, il gruppo dei miliziani più forte e numeroso.

Tuttavia Assad ed i suoi alleati citano questa come prova che non c'è differenza fra questo e gli altri gruppi dei miliziani takfiri, definendoli tutti terroristi come obiettivo legittimo dei bombardamenti e dell'offensiva dell'Esercito siriano. Il fatto che questi miliziani "laici" stiano minacciando di effettuare attacchi suicidi contro i russi, conferma soltanto il loro "laicismo".

A giudicare dai commenti dei lettori su questo pezzo pubblicato dal NYT l'opinione pubblica degli USA è rimasta abbastanza scandalizzata da questo che ammette apertamente la cooperazione USA con Al-Qaeda.

Adesso un reporter realista del NYT chiede apertamente la cooperazione con le autorità siriane e con la Russia.

Ci sarà più cooperazione fra Russia e Stati Uniti di quella che possiamo vedere. Per lo meno questo è quello che percepisce il presidente turco Erdogan, visto che ieri gli aerei USA hanno paracadutato 50 tonnellate di armi e munizioni ai ribelli curdi in Siria dell'est e del nord. Secondo la spiegazione statunitense i curdi ed alcune tribù siriani dovrebbero attaccare l'ISIS ad al- Raqqa. (Le tribù arabe di sicuro sono soltanto un gruppo di predoni inutili. Questo secondo la Voice of America).

Tuttavia i curdi non sembra che siano al corrente dei piani su Al Raqqa. Loro hanno obiettivi diversi:
I funzionari USA sperano che il gruppo curdo YPG concentri la sua attenzione sulla città siriana di Raqqa, la capitale dello Stato Islamico che si trova a sole 60 miglia a sud da Tal Abyad, una città di frontiera di cui il YPG si è impadronito in giugno, strappandola all'ISIS con l'aiuto degli USA. Tuttavia il portavoce del YPG ha riferito che la prima priorità del gruppo curdo è quella di creare il collegamento fra la citta di Afrin, al nord est di Aleppo, con Kobani, l'enclave curdo al nord est di Aleppo. Questo significherebbe chiudere l'ISIS dai paesi lungo la frontiera turco siriana per 60 Km. ed in particolare dalla città di frontiera di Jarablus.

"Il nostro primo e più importante obiettivo è quello di liberare Jarablus e collegare Kobani con Afrin, ha detto al corrispondente McClatchy. Catturare Raqqa, una città araba, non è realmente un obiettivo del YPG, per lo meno per adesso", ha detto.

Questo è esattamente quella che si sospettava come reazione dei curdi ma non si capisce perchè i funzionari USA affermino che i curdi e le tribù dei predoni dovrebbero attaccare Raqqa. Il fatto che non si vogliano coordinare con questi curdi può essere una astuzia del comando USA?

I turchi sembra che vogliano assumere questa spiegazione affermando che gli USA e la Russia sarebbero d'accordo per chiudere la frontiera tra la Turchia e la Siria. Le autorità di Ankara avvertono gli USA e la Russia circa la costituzione di una milizia curda ai confini con la Turchia.

La Turchia ha avvisato gli USA che non tollererà garanzie territoriali per le milizie curde alle sue fontiere con la Siria nel nord est del paese, hanno riferito due alti funzionari. "questo è chiaro per noi e su questo non vogliamo scherzi", ha detto l'alto funzionario turco circa la possibilità che i curdi siriani possano varcare l'Eufrate per ampliare il controllo delle frontiere dalla regione Kurdistan iracheno fino alla costa mediterranea. "Il PYD (partito curdo) si è avvicinato tanto agli USA quanto alle posizioni della Russia, noi lo consideraimo un gruppo terrorista e vogliamo che tutti i paesi considerino le conseguenze di una cooperazione con questo gruppo", ha riferito il funzionario turco.

La Turchia sospetta che la Russia abbia lanciato gli attacchi aerei da due settimane prestando appoggio ai gruppi curdi. "Con l'appoggio della Russia il PYD sta cercando di ottenere territori tra Jarablus e Azaz, ad ovest dell'Eufrate. Non accetteremo mai il fatto compiuto", ha detto il funzionario turco.

Adesso ci si chiede se esista un coordinamento reale tra USA e Russia per chiudere la frontiera turca, tagliare la strada all'ISIS ma anche ad i ribelli CIA di Al Qaeda ed alle loro forniture. 

Questo demolirebbe tutti i piani della Turchia in Siria, quelli di ottenere una "zona sicura" in Siria sotto controllo turcomanno, la possibile annessione di Aleppo alla Turchia, un corridoio sunnita che vada dal Qatar all'Europa, con la possibilità di un gasdotto che passi sul territorio sotto controllo turco.

Gli sviluppi della situazione adesso spingono la Turchia in un ruolo secondario.

La domanda che molti osservatori si pongono è quella se USA e Russia vogliano fare causa comune e decidere di far avvitare Erdogan. Questo avrebbe senso se ci fosse un obiettivo comune della distruzione dello Stato islamico e di tutti gli altri gruppi terroristi in Siria ma sarebbe un deciso cambiamento politico dell'Amministrazione Obama. Fino al momento attuale questa ammministrazione ha soltanto favorito la crescita di un "califfato salafita" e non lo ha mai seriamente attaccato.

Se esistesse questa cooperazione perchè gli USA continuano a fornire tonnellate di armi ad Al Qaeda che hanno effetto soltanto di prolungare la guerra ed uccidere ancora più siriani?……..

Originariamente pubblicato sul sito Controimformazione.info

15/10/2015

Renzi, ovvero il buffone delle COOP che sopprime la democrazia

Se le istituzioni europee nel loro attuale assetto rappresentano un pallido simulacro di democrazia, l'Italia è riuscita a creare qualcosa di peggiore: le modifiche costituzionali, che sono contenute nel cosiddetto DDL Boschi e che disegnano il nuovo Senato appena varato dal governo Renzi, sono la pietra tombale per la sovranità popolare in Italia.

Lo affermiamo serenamente,  riferendoci sia al metodo utilizzato per portare a compimento l'opera sia al suo orribile contenuto.

Solo in uno Paese sciagurato come il nostro si può tollerare che un presidente del Consiglio arrivato al potere restando al riparo dal processo elettorale (per usare l'ipocrita espressione del suo predecessore Monti), faccia passare con l'inganno — ricordiamo il giochetto fatto col Patto del Nazareno sull'accordo per il presidente della Repubblica — una riforma costruita a immagine e somiglianza del proprio partito. (click)

Perchè sia chiaro se il Porcellum fu una legge studiata dal centrodestra per tentare di agguantare il pareggio nelle elezioni politiche del 2006, tutte le riforme istituzionali fino ad oggi varate da Renzi sono figlie del medesimo scopo fazioso. Basta guardare a come sono stati delineati i nuovi collegi uninominali, che riescono a smembrare zone omogenee dal punto di vista socio-economico. E' sufficiente pensare che nel Senato, in quelle Regioni che daranno un massimo di due deputati, entrambi toccheranno alla maggioranza: caso strano, porzioni di territorio che storicamente esprimono governatori del PD. Ci sono addirittura collegi che transitano in altri cambiando la Provincia di appartenenza.

D'altronde cosa ci potremmo attendere da chi fa votare una riforma costituzionale attingendo a piene mani dai gruppi parlamentari degli altri partiti? In questi mesi il premier italiota, da consumato giocatore di poker — o meglio da imbonitore delle tre carte — ha infatti raccolto voti un po' qua un po' là. Qualunque sostegno gli ha fatto comodo, per il bene dell'Italia naturalmente. E anche per il bene del Partito Democratico. Vi sono stati transfughi dal Movimento Cinque Stelle, da Forza Italia e pure dalla Lega Nord. Renzi deve essere di bocca buona! Poi si sa, l'appetito vien mangiando… e alla fine è riuscito a chiudere con 179 voti. Sarebbe interessante capire se le transumanze — più o meno a gettone — valgano processualmente parlando solo per una parte politica oppure per tutte.

Come ci insegnano i casi Monte Paschi di Siena e Unipol, i processi hanno velocità diverse a seconda dei soggetti coinvolti. A parte questo, resta il contenuto di una riforma salutata da alcuni opinionisti come la soluzione di tutti i mali della nostra politica. Finalmente è stato superato il bicameralismo perfetto. Perbacco, che grande balzo in avanti! Peccato che sull'altare di un radioso avvenire sia stato sacrificato il diritto di voto dei cittadini: i senatori non verranno più votati dagli italiani, ma scelti da altri eletti. Scusate, ma l'Italicum non era stato fatto da Renzi anche con la scusa di mettere mano all'odiosa selezione delle segreterie di partiti? Miracoli della democrazia ad uso e consumo del PD, il cui stesso leader, dopo aver utilizzato le primarie come un Freccia Rossa per giungere velocemente a Palazzo Chigi, ora vorrebbe scegliere in solitaria i nomi dei candidati sindaco delle principali città italiane, Roma in testa. 

Il Senato della Repubblica disegnato da Renzi diventerà insomma una sorta di dopolavoro per alcuni consiglieri regionali,

Tornando al fastidio che Renzi prova verso il diritto al voto, non c'è nulla di cui stupirsi. Le avvisaglie c'erano già state con la pseudo abrogazione delle province, confezionate dal suo sodale Delrio. Anche lì la forma elettorale scelta per i Consigli provinciali fu quella dell'elezione indiretta: di fatto si tengono in piedi i centri di spesa, fingendo tuttavia che gli esecrandi palazzi — i quali drenano a piene mani i soldi pubblici — non esistano più. Però l'apparato è ancora lì e anzi continua ad accumulare debito agendo sempre più indisturbato.

Il Senato della Repubblica disegnato da Renzi diventerà insomma una sorta di dopolavoro per alcuni consiglieri regionali, un circolo Pickwick dove fare qualche apparizione senza lasciare il segno. C'è veramente da domandarsi se non sarebbe stato meglio tramutare il Senato in un museo, come hanno detto alcuni, invece che ridurlo a tali macerie.

I senatori non verranno più votati dagli italiani, ma scelti da altri eletti

In un contesto del genere sorridiamo amaramente ripensando alla riforma costituzionale varata dal Governo di centrodestra nel 2005/06, che avrebbe introdotto già allora la fine del bicameralismo perfetto, mantenendo però un Senato elettivo e soprattutto realmente rappresentativo delle varie Regioni. Rimane aperta la ferita dei senatori a vita, i quali seppur revisionati, resisteranno come figura: un sberleffo vero e proprio, uno sfregio alla spending review che ha riempito la bocca di Monti, Letta e Renzi dal 2010 ad oggi.

La bestialité sunnite orthodoxe en images (attention choquant)

http://www.dreuz.info/2015/01/22/video-voila-comment-on-d...

François , Manuel, Jack et Barack approuvent!

13/10/2015

L'holocauste mahométain expliqué pour les nuls

https://www.youtube.com/watch?v=xMRR7B5q70A

TOUT EST DIT !

Au Yemen des crimes de guerres Saoudiens dans l'indifference générale

Amnesty International a dénoncé dans un rapport de multiples violations du droit international par la coalition menée par l'Arabie Saoudite. Dans ce pays en proie depuis six mois à un conflit complexe, c'est un désastre humanitaire qui se joue à huis clos.

C'est la guerre oubliée. Celle qui échappe aux radars journalistiques, braqués vers la Syrie où s'étend l'ombre de l'État islamique. Pourtant, depuis six mois, les bombes pleuvent sur le Yémen. «Des bombes tombent du ciel jour et nuit»: c'est même le titre du rapport publié par Amnesty International le 7 octobre, qui dénonce des crimes de guerre commis par la coalition menée par l'Arabie saoudite.

Six mois de conflits

Ce pays de 27 millions d'habitants, le plus pauvre du monde arabe, n'a jamais été véritablement unifié, et Nord et Sud s'écharpent depuis plus de trente ans. Au Nord, la rébellion chiite des Houthis monte en puissance depuis 2004. Un conflit avant tout politique et économique qui s'habille d'un vernis confessionnel.

En mars 2015, à la demande du président du Yémen Abd Rabbu Mansour Hadi, l'Arabie saoudite déclenche l'opération «Tempête décisive» pour contrer les rebelles Houthis qui progressent dans le pays et se sont emparés en janvier du palais présidentiel à Sanaa, la capitale. L'Arabie saoudite accuse les Houtis d'être aidés en sous-main par l'Iran chiite. Ce conflit entre sunnites et chiites, entre Nord et Sud, est complexifié par la présence d'acteurs terroristes: fief d'al-Qaïda depuis toujours, le Yémen a vu naître sur son sol une branche de l'État islamique, qui a revendiqué un attentat faisant plus de 30 morts à Sanaa le 17 juin dernier. C'est bien le problème lorsqu'on parle du Yémen: il faut une longue introduction pour expliquer même sommairement un conflit dont la complexité ferait passer l'enfer syrien pour un jeu de quilles.

• 2000 civils tués, des armes interdites utilisées

En tout, le conflit a fait près de 5000 morts dont 2000 civils parmi lesquels 400 enfants. Il y a également 1.5 millions de déplacés à l'intérieur du pays. Ce sont les bombes de la coalition qui tuent le plus de civils. Dans son rapport, Amnesty dénonce «le mépris flagrant pour la vie des civils dont fait preuve la coalition militaire conduite par l'Arabie saoudite». La coalition «Restaurer l'espoir» en marche depuis avril 2015 est composée également du Bahrein, du Qatar, des Émirats arabes unis et reçoit l'appui des Etats-Unis. Amnesty, qui a analysé plus précisemment 13 frappes de la coalition ayant eu lieu entre mai et juillet 2015, met en évidence plusieurs violations du droit international: désignation de villes à large densité de population comme cibles militaires, attaques disproportionnées et indiscriminées, usage d'armes bannies par la communauté internationale.

«Les raids aériens sont fréquents, et utilisent des armes interdites par la communauté internationale» comme les bombes à sous-munitions qui permettent de couvrir d'explosifs l'équivalent d'un terrain de football. Certaines de ces armes auraient été fournies par les États-Unis, indique Amnesty.

Amnesty demande l'établissement d'une enquête internationale indépendante pour faire la lumière des violations par les parties du conflit. Car la résolution déposée par l'Arabie saoudite adoptée par l'ONU à Genève au début du mois d'octobre ne mentionne pas les exactions de la coalition. L'ONG demande également la suspension des transferts d'armes à la coalition. «Les États-Unis et les États qui exportent des armes à l'une des parties au conflit au Yémen sont tenus de veiller à ce que les transferts qu'ils autorisent ne facilitent pas de graves violations du droit international humanitaire.», a ainsi déclaré Donatella Rovera conseillère principale à Amnesty International pour les situations de crise, qui a conduit une mission d'établissement des faits au Yémen.

• Chaos humanitaire

«C'est la première fois en 10 ans de missions que je suis plongé dans un tel climat de violence. Même à Gaza, en Côté d'Ivoire, en Somalie ou en Centrafrique, je n'ai jamais vu pareille situation où le conflit ne s'arrête jamais. Les trêves ne sont jamais respectées plus de deux heures. Le quotidien est rythmé par les cris, les pleurs, le sang et les morts.» témoigne Thierry Goffeay, responsable MSF à Aden, sur France Inter.

Guillaume Binet est un des rares photographes à s'être rendu dans un pays hors des radars de l'actualité depuis des mois. Il raconte au Figaro un pays dévasté, en proie à une crise humanitaire sans précédents. «Dans les villes ravagées par les combats, la population est exangue et souffre de malnutrition. Le typhus et la rage sont réapparus. Il n'y a pas d'électricité, pas de téléphone. L'essence est vendue au marché noir, son prix a été multiplié par 400. Seules quelques voitures roulent encore.»

Selon Amnesty, la moitié de la population serait en «insécurité alimentaire», et près de 15 millions de personnes n'auraient pas accès aux soins. Dans le Nord, l'Arabie saoudite bloque les convois humanitaires.

• Le patrimoine de l'humanité en danger

Les destructions ne touchent pas seulement les civils, mais aussi le patrimoine mondial de l'humanité. Lemonde entier s'indigne de la destruction de Palmyre par Daech, mais depuis six mois au Yémen, un patrimoine tout aussi extraordinaire est mis en péril par le conflit. Les Houthis ont pilonné Aden, al-Qaïda détruit les tombeaux soufis. La ville de Sanaa, vieille de 3000 ans et inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco a été abimée.

Certains estiment que les destructions saoudiennes sont délibérées et systématiques et visent à éradiquer le patrimoine antéislamique. «Ce qui est troublant, explique-t-il, c'est que ce patrimoine est très visible et connu. Des destructions intentionnelles de la part des Saoudiens ne seraient pas surprenantes étant donné qu'ils détruisent leur propre patrimoine religieux» expliquait ainsi un archéologue anonyme sur Slate.

•Pourquoi tant d'indifférence?

Contrairement à la Syrie qui passionne les journalistes et fait régulièrement la une de l'actualité, le conflit au Yémen est quasiment inexistant dans les médias. «Le Yémen est très peu couvert par les médias. Personne ne connait le Yémen, très peu de journalistes y ont déjà été, contrairement à la Syrie.» explique Nina Walch, responsable d'Amnesty, qui s'agace que la seule indignation médiatique ait eu lieu pour les destructions de patrimoine.

«Le silence médiatique vient sans doute de la grande difficulté à expliquer un conflit extrêmement complexe, voire incompréhensible, mais aussi du danger qu'il y a pour les journalistes à se rendre sur place.», analyse pour sa part Guillaume Binet. «Il n'y a quasiment aucun journaliste. On ne sait pas ce qui se passe, hormis à travers les chaînes arabes (al-Jazeera) qui ont un biais anti-chiite. La seule association humanitaire encore active sur place est MSF. Le CICR (Comité international de la Croix-Rouge) est parti après que deux de ses membres soient tués» explique Guillaume Binet.

Rapport Amnesty International Yémen

SOURCE www.figaro.fr

PS Pendant ce temps MANUEL et FRANCOIS signent des accords de prostitution franco sunnite à tour de bras

Mais pas question de vendre les MISTRAL à la Russie.....embargo sur les méchants!

Gli USA non vogliono realmente l'eliminazione di ISIS e AL NUSRA

Navigando su internet ho trovato un documento molto interessante, anche perché la fonte è insospettabile: il Council on Foreign Relations, ovvero il think tank di altissimo livello che forma le élites sia del partito democratico che di quello repubblicano destinate a governare il Paese. Molti lo considerano, non a torto, il vero pensatoio della politica estera statunitense.

Uno dei suoi ricercatori Mikah Zenko ha paragonato i bombardamenti degli americani nelle grandi missioni militari degli ultimi vent’anni  con quelli in Siria. Vediamoli. 

Da quando un anno fa è stata lanciata la campagna militare contro l’Isis il Pentagono ha sganciato 43 bombe al giorno, mentre in Irak nel 2003 ne lanciò 1039, in Afghanistan 230, in Kosovo 364 e nel 1991 nella prima guerra addirittura 6123.

E ricordatevi la polemica di qualche mese fa, di cui ho dato conto su questo blog, quando i piloti statunitensi protestarono con il Pentagono per le regole di ingaggio a cui dovevano sottostare, regole così  assurde e burocratiche che di fatto vanificavano la possibilità di colpire seriamente ed efficacemente le truppe del califfato islamico.

Quando gli Usa fanno sul serio la loro force de frappe è devastante per intensità e potenza; invece quando, come accade in Siria contro l’Isis,  si limita a dei raid dimostrativi, significa che la vittoria finale non è la vera priorità e le operazioni hanno più che altro fini mediatici.

Chi invece vuole vincere è Putin. E la differenza è evidente. Il Cremlino sta colpendo molto duramente i gruppi armati salafiti in Siria,  persino con missili di lunga gittata. E che tali gruppi appartengano all’Isis o al Qaida o ad altre organizzazioni islamiche è francamente risibile: i ribelli armati moderati in Siria di fatto non esistono, sono tutti estremisti islamici della peggior risma.

Sia chiaro: al sottoscritto non piacciono né le bombe americane né quelle russe e vorrei, come ha scritto Ron Paul, che nessun ordigno insanguinasse la Siria. Sun Tzu insegna che la guerra è la soluzione estrema, a cui bisogna ricorrere solo in casi estremi e il fatto che si sia arrivato a tanto rappresenta una sconfitta per tutti i grandi Paesi, a cominciare da quelli occidentali, dall’Arabia Saudita e dalla Turchia, responsabili per la destabilizzazione della regione.

Ma una volta che è dichiarata va combattuta senza se e senza ma, soprattutto avendo ben chiari gli obiettivi: l’America dice di voler sconfiggere l’Isis ma la sua priorità è di far cadere Assad ovvero l’uomo che si oppone all’Isis. E non sembra per nulla preoccupata dalla conseguenza ultima delle sue manovre che è quella di consegnare al neocaliffato e/o ad Al Qaida l’area tra Siria e gran parte dell’Iraq ovvero a un regime violento, settario, retrogrado; il peggio che si possa immaginare e ben lontano dai valori di democrazia, libertà, diritto che Washington difende e promuove in altre parti del mondo.

Capire le logiche di questa America è davvero molto difficile.

FONTE http://blog.ilgiornale.it/foa/2015/10/08/ecco-la-prova-che-lamerica-non-sta-bombardano-lisis/

Barack Hussein, nobel della pace, soffia sul vento della guerra

Il conflitto in Siria diventa sempre più una guerra per procura tra Russa e Stati Uniti, che hanno ripreso ad armare con maggior determinazione e armi pesanti i ribelli che combattono contro il governo di Bashar al Assad.

Il flusso di armi che da Washington arriva ai ribelli attraverso Riad si è fatto molto consistente dall’inizio dell’intervento russo, perfino "superiore a quello necessario", ha spiegato al New York Times uno dei capi delle milizie ribelli impegnati a fronteggiare le forze armate di Damasco ad Hama, nella Siria centrale, una delle prime province colpite dai raid aerei di Mosca e Damasco. "Abbiamo ciò che chiediamo in pochissimo tempo", racconta Ahmad al-Sud, comandante dei ribelli, entusiasta dei successi ottenuti in due giorni dal suo gruppo, la Divisione 13, che è riuscito a centrare con i missili anticarro Tow "sette blindati su sette". Blindati, detto per inciso, costruiti e forniti dai russi.

Gli Stati Uniti starebbero rifornendo missili anticarro ai ribelli siriani che combattono contro Assad. Il New York Times parla di missili anticarro di tipo Tow, di fabbricazione americana.

La fornitura non sarebbe iniziata da poco, ma dal 2013, attraverso un programma segreto gestito dagli Stati Uniti, dall'Arabia Saudita e da altri alleati con lo scopo di aiutare alcuni gruppi di insorti controllati dalla Cia contro il governo siriano.

Tuttavia, fa notare il New York Times, la fornitura si sarebbe intensificata in seguito agli aiuti forniti da Vladimir Putin ad Assad. Le armi verrebbero consegnate sul campo dagli alleati americani, ma gli Stati Uniti approvano la loro destinazione, avendo di fatto almeno la tacita approvazione degli Stati Uniti, ora che la forza aerea russa sta sostenendo Assad. L'iniziativa di trasferimento delle armi sarebbe coordinata dalla Cia, e non dal Pentagono, e, più ampia nel numero di armi, sembra avere più successo di quella varata dal ministero della Difesa, fallita perché i missili venivano utilizzati solo in funzione anti-Isis e non per combattere le truppe di Assad.

FONTE: www.ilgiornale.it

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Dall'inizio dei raid delle forze aeree russe in Siria, l'opposizione siriana ha iniziato a ricevere dagli Stati Uniti grandi quantità di armi anticarro, scrive il “New York Times”. Secondo il prestigioso giornale americano, i ribelli hanno inoltre chiesto a Washington armamenti per abbattere gli aerei.

I comandanti dell'opposizione siriana armata affermano che con l'inizio delle operazioni russe nel Paese hanno cominciato a ricevere grandi quantità di armi anticarro dagli Stati Uniti, scrive il "New York Times".

"In tempi brevi riceviamo quello che chiediamo," — ha detto il comandante di uno dei gruppi ribelli.

Il giornale rileva che le forniture nella regione dei missili anti-carro "Tow" sono iniziate nel 2013 nell'ambito di un programma segreto di USA, Arabia Saudita ed altri alleati di Washington nel Golfo. Secondo quanto rivelato dagli stessi ribelli, nel 2013 l'Arabia Saudita aveva acquistato dagli Stati Uniti più di 13mila complessi "Tow". Si evidenzia come l'operazione sia gestita dalla CIA, non dal Pentagono, che la scorsa settimana aveva chiuso il programma di addestramento dei combattenti dell'opposizione siriana.

Al momento le spedizioni sono aumentate notevolmente.

"Possiamo ottenere quanto è necessario e quando è necessario. Bisogna solo specificare la quantità," — ha detto il rappresentante di uno dei gruppi armati dell'opposizione.

Secondo lui, questi cambiamenti sono legati all'intervento russo nel conflitto.

Tenendo conto di questo fatto, cresce il rischio che il conflitto siriano degeneri in una guerra "per procura" tra la Russia e gli Stati Uniti, ritiene il "New York Times".

Il giornale scrive che i ribelli siriani chiedono a Washington e ai suoi alleati armi contraeree per usarle contro i caccia di Damasco e dell'Aviazione russa. L'ultima volta che una richiesta simile era stata inoltrata è avvenuta 10 giorni fa tramite una centrale operativa in Turchia. Secondo il "New York Times", gli Stati Uniti non hanno fretta di concretizzare queste richieste, temendo che le armi finiscano nelle mani degli estremisti.

Dal 30 settembre, su richiesta del presidente siriano Bashar Assad, la Russia conduce raid aerei di precisione contro le posizioni dello "Stato Islamico" in Siria. I raid hanno compromesso significativamente il funzionamento dei centri di comando e logistici dei fondamentalisti, così come hanno seriamente danneggiato le infrastrutture usate per la preparazione degli esplosivi usate dagli attentatori suicidi. Gli obiettivi sono selezionati sulla base delle informazioni d'intelligence di Russia e Siria.

L'ambasciatore della Siria in Russia Riyad Haddad ha confermato che gli attacchi aerei sono diretti contro i gruppi armati terroristici, non contro l'opposizione e i civili, e l'esercito siriano ha le coordinate esatte delle posizioni dei terroristi.