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11/01/2016

L'islamiste, fossoyeur du Monde

Après les horreurs du vendredi 13, la France de demain ne sera plus comme avant. Elle ne sera ni la France d’hier, ni celle d’aujourd’hui. Elle sera semblable, à quelque chose près, à l’Algérie des années 90. Paris sera Alger. Toulouse, Blida ou Média. Lyon, Ain Defla. La Kabylie, la Bretagne.

Ce n’est pas difficile à prédire. C’est même une évidence pour celui qui, comme moi,  a vécu la guerre civile, côtoyé la violence aveugle des fous de Dieu, marché sur des flaques de sang et des morceaux de chair.

Ça a débuté comme ça : en bruit de pantoufles avant que ne retentissent les kalachnikovs et les bombes.

On pensait que c’était un jeu. Comme ces pétards que les enfants faisaient exploser lors de l’aïd et de l’anniversaire de la naissance du Prophète.

On riait des qamis et des barbes hirsutes des intégristes. C’étaient nos pères Noël. Ils n’apportaient pas de cadeaux, ne distribuaient pas de bonbons, mais ils aimaient nous raconter des histoires obscures sur l’enfer et le jugement dernier.

On trouvait leur façon de s’habiller exotique. Car, à la fin des années 80, rares étaient ceux qui portaient ces accoutrements importés d’Afghanistan et d’Iran.

Puis ça a continué comme ça : par l’intimidation. Avec des mots qui, certes, étaient trop violents pour mes oreilles d’enfant, mais c’était de simples mots. Les islamistes harcelaient les femmes libres, les démocrates et les laïques. Ils traitaient les progressistes de dépravés, de suppôts des croisés.

Parfois, ils donnaient des coups de poing, de simples coups de poing.  Puis ça a progressé. Ils utilisaient des objets, de simples objets : des galets,  des cordes, des seringues d’acide, des couteaux, des haches…

Ensuite ça a basculé : les islamistes ont embarqué le peuple dans un bateau ivre, pour un long voyage au bout de la nuit…

Sans crier gare, ils ont sorti les armes à feu, les fusils à canon scié, les bonbonnes de gaz et tout leur attirail de guerriers.

Ce n’était plus un jeu. C’était sérieux. C’était la folie des hommes.

Les barbus tuaient les poètes, les fonctionnaires, les enseignants, les médecins… puis les gens ordinaires, le « petit » peuple.

Les journalistes rasaient les murs, ils étaient devenus des nécrologues. Ils n’écrivaient plus d’articles, ils comptabilisaient les morts. Les cafés et les trottoirs se vidaient, les gens se donnaient rendez-vous aux cimetières et parfois on enterrait à la pelleteuse.

Grisé par le sang, l’islamiste a redoublé de violence. On l’a vu éventrer les femmes enceintes, jeter des bébés dans des micro-ondes, égorger des villages entiers : Bentalha, Beni-Messous, Larbaa, Raïs… des toponymes qui donnent encore froid dans le dos.

L’islamiste est partout le même. Il carbure à la haine. Son vocabulaire est pauvre. Il ne maîtrise que quelques verbes, souvent équivalents : tuer, exécuter, massacrer, violer, brûler, détruire… Il ne lit qu’un seul livre, le coran. Il n’obéit qu’aux seules lois d’Allah et de son Prophète. Il dort avec un seul mot dans la bouche : vengeance. Il ne se réveille qu’avec un seul désir : éliminer un maximum de mécréants.

L’islamiste joue au sourd et au muet. C’est un dictateur.  Il a raison même s’il a tort. Toute tentative de dialogue avec lui est vouée à l’échec. Il préfère le monologue. Il refuse le débat d’idées. Car il sait qu’il va perdre. Il préfère le terrain de la menace. Gare à celui qui le contredit.

L’islamiste n’a pas d’arguments, il a des versets. Il n’a pas de cœur, il est une hydre. Il ne connaît pas la peur, il marche avec dédain. Si les balles tombent sur lui, il les affrontera avec le sourire. Sa devise : la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la mort. Pour lui, la mort, c’est l’éternel bonheur : il s’y abreuvera aux rivières de vin  interdit sur terre !  et à la tendre chair des houris.

L’islamiste n’est pas un animal de compagnie. On ne doit pas le caresser dans le sens de la barbe, ni lui faire confiance. Il a le cerveau malade. Les crocs acérés. La gâchette facile. Son entreprise s’appelle la terreur.

L’islamiste ne réfléchit pas, ne recule pas, il fonce. Il ne rafistole pas, il achève. Son objectif : soumettre l’humanité à la Oumma, la nation islamique mondiale. Son droit chemin lui a été tracé par Allah et Mahomet. Les autres voies lui sont impénétrables.

Jouer avec lui, c’est comme badiner avec un serpent. Il glisse. Il mord. On ne peut pas le dompter, il tue. En voulant l’instrumentaliser dans leur stratégie contre les démocrates, les dirigeants algériens l’ont payé cher lors de la décennie noire. Le serpent leur a échappé des mains. Bilan : plus de 200 000 morts.

L’islamiste est perfide. Il affectionne la ruse. Il brouille les pistes. Il peut être un loup solitaire, mais il chasse souvent en meute. Il n’aime pas la démocratie, mais il s’en sert. Il déteste la liberté, mais il en abuse pour propager son idéologie. Il n’aime pas les technologies, mais il en détourne l’usage afin de faire avancer sa cause.

L’islamiste a repéré les failles des démocraties occidentales. Il sait qu’il est un bourreau, mais il joue à la victime. S’il brandit le spectre de l’islamophobie, c’est pour culpabiliser le démocrate et le pousser à céder du terrain où il sèmera ses graines.

L’islamiste gagne chaque jour des batailles contre l’Occident. Il a réussi à restreindre la liberté de pensée, à séparer les femmes des hommes dans les piscines, à halaliser les menus scolaires, à fragiliser la laïcité, à ouvrir des mosquées dans les universités, à gagner des procès contre des États, à verrouiller plusieurs institutions internationales…

L’islamiste a deviné le gouffre spirituel dans lequel est plongé l’Occident. Il compte le combler. Il sait que le capitalisme sauvage crée des solitudes et que celles-ci tuent dans les villes. Il a trouvé un remède au stress et à l’ennui : son prosélytisme et sa fausse fraternité.

L’Occident est en train de perdre sa guerre contre l’islamisme.

Sans courage et lucidité, il perdra aussi son âme.

La France, quant à elle, risque de devenir très vite l’Algérie des années 90.

 

SOURCE :http://www.causeur.fr/islam-daech-algerie-36188.html

17/12/2015

Se questi sono uomini......

La realtà supera ogni immaginazione!

Immagini insopportabili....ma questa é la realtà dello Stato Islamico

16/12/2015

La pourriture Saudite declare combattre le terrorisme

L’Arabie Saoudite annonce la formation d’une grande coalition de pays musulmans pour lutter contre le terrorisme. 34 pays réunis autour de Riyad (tous champions des droits de l'homme NDR), dont la grande rivale, Téhéran, est absente.

 

Mardi 15 Décembre, l'Arabie Saoudite a annoncé, par la voix de son ministre de la Défense et futur prince héritier, Mohamed bin Salman, la formation d'une « coalition islamique antiterroriste »: Une coalition qui regroupe 34 pays, musulmans, aussi bien du Moyen et Proche Orient que du continent Africain. Des pays tous unis autour d'un même objectif; celui de « combattre le terrorisme » (cela ne s'invente pas NDR!).

 Riyad annonce ainsi la création d'une nouvelle alliance militaire internationale, dont le centre névralgique sera basé dans la capitale saoudienne. Dans une interview accordée à Sputnik Arabic, Anwar Ashqi, un ancien général de division de l'armée saoudienne aujourd'hui à la tête du Centre Moyen-Oriental d'études politiques et stratégiques de Jeddah, nous a donné un avant-gout des prérogatives du futur centre opérationnel:

« Le centre d'opération à Riyad, sera responsable de coordonner et de mener à bien les opérations militaires. Il pourrait demander à la Turquie de l'armement et différents moyens pour combattre les organisations de la terreur qui utilisent l'Islam, avec lequel elles tentent de justifier leurs besoins et leurs crimes ».

De nombreux médias présentent cette mesure comme la réponse à une demande par les Etats Unis d'une plus grande implication des pays arabes dans la lutte contre Daech, sur les fronts Syrien et Irakien. On notera que l'Arabie Saoudite est déjà engagée dans ce domaine sous la houlette des américains, il s'agirait donc là de l'opportunité pour le royaume de se démarquer de son parrain américain.

Notamment sur un plan opérationnel, comme le fait remarquer le général de brigade aérienne Jean-Vincent Brisset, directeur de recherche à l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS):

« Cette coalition est dirigée, pilotée, par les USA; donc l'Arabie Saoudite n'est pas à la tête de la coalition. Alors que là, cette nouvelle organisation "anti-terroriste" permettrait de créer des circuits, en particulier des circuits d'échanges de renseignements et d'informations variées, qui seraient différents de ceux qui passent par les Etats-Unis. Cela permettrait d'échanger sans que les Etats-Unis soient forcément au courant ».

​​Mais également sur un plan géopolitique, comme nous l'explique Romain Mielcarek, journaliste indépendant et chercheur associé à l'Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE):

« L'objectif de l'Arabie Saoudite est de se positionner comme un acteur incontournable sur la scène internationale. Un positionnement en tant que leader régional; on va essayer d'emmener un certains nombres de pays de la région, […] de pays musulmans et essayer de peser sur l'échiquier global. En disant voilà, il y a un certain nombre de puissances qui ont réussi à se positionner en leaders: les Etats-Unis, la Russie, pourquoi pas l'Iran ou la France et bien nous aussi saoudiens, on est capable d'emporter un certain nombre de pays, qui vont choisir d'adhérer à nos objectifs, qui vont pousser nos objectifs, et de cette manière-là on va pouvoir peser sur l'agenda international. Nous, ce que l'on veut c'est supprimer tels types d'ennemis, réduire l'influence de tels types de pays et tous ces pays mobilisés sont d'accord avec nous; donc quand l'Arabie Saoudite s'exprime ce n'est pas que l'Arabie Saoudite ce sont tous ces pays-là ».

 Réduire l'influence de certains pays…L'un d'entre eux semble se dégager assez facilement… l'Iran. Car dans la poursuite de cette noble cause, qui est la lutte contre "toute organisation terroriste", pour reprendre les mots du prince Mohamed, plusieurs pays actuellement déstabilisés par ces derniers, manquent à l'appel: la Syrie et l'Irak, qui sont sous le feu de Daech.

Une absence qui n'en surprendra certainement pas beaucoup; la République Islamique étant considérée comme le principal rival religieux mais aussi géopolitique de l'Arabie Saoudite. Mohammad Ali Mohtadi, chercheur à l'institut stratégique du Moyen Orient à Téhéran a, dans une interview accordée à Sputnik Persian, expliqué que pour lui, la lutte contre le terrorisme n'est vraisemblablement qu'une couverture, et que l'alliance répond avant tout aux intérêts politiques saoudiens. Car il relève que les pays qui luttent aujourd'hui contre des groupes extrémistes, terroristes, adhérant au Wahhabisme, ne sont pas intégrés dans la coalition.

​Quant à la république irakienne, certainement victime de sa proximité avec Téhéran, elle voit depuis 2005 se succéder à la tête de son gouvernement, des premiers ministres issus du Parti islamique Dawa, un parti politique d'engeance chiite. Parallèlement, Jean-Vincent Brisset relève une autre absence: « Quelque chose aussi d'intéressant à noter, c'est qu'Oman n'a pas l'air de faire partie de cette organisation, alors qu'Oman se positionne résolument contre le terrorisme, mais le fait de manière beaucoup plus neutre que l'Arabie Saoudite ».

Une absence iranienne d'autant plus incompréhensible dans le cadre d'une lutte contre le terrorisme pour Thierry Coville, directeur de recherche à l'IRIS et spécialiste de l'Iran. Car la république islamique est certainement le pays qui depuis quatre ans s'est le plus impliqué sur le terrain dans la lutte contre Daech.

Si on est tenté de faire le parallèle entre la levée progressive des sanctions internationales contre l'Iran suite aux accords de Vienne, l'expert rappelle que de nombreux incidents ont exacerbé l'animosité entre les deux pays, notamment avec la mort à la Mecque de plusieurs centaines de pèlerins iraniens lors d'une bousculade.

​Cependant, Thierry Coville s'inquiète de la manière dont, avec une certaine indulgence des pays occidentaux, l'Arabie Saoudite joue ouvertement sur les dissensions religieuses du Moyen-Orient afin de rallier à elle d'autres pays:

« Leur façon de retrouver un statut de puissance régionale, en utilisant la carte sunnite, à mon avis est quand même très dangereux. Du côté de l'Iran ils sont chiites à 90%, mais généralement quand vous lisez la presse iranienne, de la lecture qu'ils font des conflits: ils parlent toujours de positions stratégiques et ne mettent jamais les raisons religieuses en premier… je ne dis pas qu'elles ne sont pas importantes, mais le fait qu'à Riyad on ait une lecture aussi religieuse des conflits est à mon avis une partie du problème ».

Reste à savoir qui sera considéré comme « terroriste » par cette coalition?

La semaine passée à Riyad, se sont rassemblées des composantes de « l'opposition syrienne ». Sur les bancs de cette opposition conviée par l'Arabie Saoudite, figuraient de nombreux groupes, salafistes notamment, tels qu'Ahrar al-Sham, proche du front Al-Nosra, ou Jaysh al-Islam, qui figure sur la liste américaine des organisations terroristes. Un soutien à des composantes du Front Islamique que nous explique Romain Mielcarek:

« On sait qu'une bonne partie de ces groupes, pas Al Norsa directement, mais ceux qui font partie du Front Islamique, sont soutenus par un certain nombre de pays du Golfe. Dans le cas d'Ahrar al-Sham, on sait que le Qatar et la Turquie les soutiennent très directement. Ce groupe a d'ailleurs remercié ces pays pour l'aide apportée. On sait également que l'Arabie Saoudite a plutôt tendance à soutenir leurs actions, mais tout simplement parce qu'ils ont un objectif commun, leur objectif commun c'est de faire tomber Bachar al-Assad. A partir du moment où il y a une convergence des intérêts, il n'y a effectivement pas de raison pour l'Arabie Saoudite de vouloir les cibler ».

En effet, pour Romain Mielcarek, il est important afin de comprendre la perception des acteurs étatiques qui régissent aujourd'hui le Proche et le Moyen-Orient, tels que l'Arabie Saoudite, de sortir de notre perception, qui peut parfois être trop manichéenne.

« Désigner un acteur comme étant terroriste, d'un point de vue scientifique, d'un point de vue juridique, ça ne donne malheureusement pas grand-chose, ça ne veut pas dire grand-chose… Parce que tout le monde n'est pas d'accord sur la définition que l'on donne à ce terme, donc là je pense qu'il faut bien comprendre quelles sont les priorités stratégiques, quel est l'agenda que chacun essaie de mettre en place, et du coup comment son action s'inscrit, se construit, pour atteindre ces objectifs. Et tant qu'on voudra essayer de comparer tous les pays, comme s'il y avait un agenda commun pour tout le monde qui coulait de source, comme s'il y'avait de manière caricaturale des gentils et des méchants, on ne pourra pas comprendre ce qui se passe dans la zone irako-syrienne ».

Pour Jean-Vincent Brisset, contrairement à ses homologues occidentaux, l'Arabie Saoudite n'est pas prête de définir les organisations terroristes… « Alors, avant que Riyad publie une liste des organisations terroristes, je crois qu'on a un certain temps à attendre, et ça serait intéressant de voir si Riyad ose le faire, ça m'étonnerait car ça les obligerait à se démarquer ou à condamner des choses qu'ils ont soutenues; ça parait peu probable ».

Rappelons que l'Arabie Saoudite a engagé des opérations extérieures de grandes ampleurs, au Yémen voisin où, comme nous le rappelle Jean-Vincent Brisset, les rebelles Houthis, issus de la minorité chiite zaydite, sont clairement définis par Riyad comme des terroristes…

02/12/2015

Turquie, pays de l'olocauste arménien et des amis de l'Etat Islamique

FAITES VOUS UNE CULTURE SUR UN PAYS DE MERDE QUE LES USA ET LES FRANCS MACONS DE BRUXELLES VEULENT FAIRE RENTRER DE FORCE EN U.E.

http://fr.sputniknews.com/international/20151202/10199713...

LES MEDIAS OCCIDENTAUX ONT INTERDICTION DE VOUS RÉVÉLER TOUT CELA

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Kosovo: un "état" mafieux, fabrique de terroristes

Près de 120 djihadistes de l'Etat islamique (Daech) sont revenus au Kosovo après avoir combattu en Syrie et en Irak, selon la police kosovare. En Macédoine, ils étaient 70 avant les attentats de Paris. Personne ne peut citer le nombre exact de ceux qui ont fait la guerre aux côtés de Daech.

L'instabilité politique qui règne à Pristina suscite la crainte que les djihadistes regagnant leur foyer puissent déstabiliser davantage la situation.

"Ce risque existe réellement, et il ne faut pas le sous-estimer. Surtout, si l'on tient compte des liens existant entre les djihadistes, les milieux criminels albanais et les anciens membres de l'Armée de libération du Kosovo (UCK), organisation officiellement dissoute mais qui, de facto, continue d'exister", a déclaré Milovan Drecun, président de la commission pour le Kosovo-et-Métochie au parlement serbe, dans une interview à l'agence Sputnik.

"Ces liens existent depuis la visite d'Oussama Ben Laden en Albanie dans les années 1990. L'islamisme radical a considérablement renforcé ses positions au Kosovo et a même accédé à un certain degré d'autonomie. Nous connaissons leurs contacts avec les chefs de l'ex-UCK, du Corps de protection du Kosovo [qui a constitué le noyau des forces armées kosovares, ndlr] et du Groupe de Drinica [structure criminelle au sein de l'UCK, ndlr] dirigé par l'ex-premier ministre kosovar Hashim Thaçi", a indiqué le parlementaire serbe.

 Selon lui, la présence d'anciens combattants de Daech dans les Balkans constitue une menace potentielle pour la sécurité de la région et "donne lieu de craindre des attentats terroristes, dont ceux perpétrés par des kamikazes".

L'expert a rappelé que dans leur récent message vidéo, les djihadistes avaient cité les Balkans, y compris la Serbie, parmi les cibles de leurs futures attaques.

"Ce n'est qu'une question de temps", a conclu Milovan Drecun.

D'après les médias britanniques, la république autoproclamée du Kosovo arrive en cinquième position pour le nombre de combattants étrangers ayant rejoint l'Etat islamique. Les trois premières places dans cette liste sont détenues par la Jordanie, la Tunisie et l'Arabie Saoudite.

30/11/2015

Il sultano Erdogan si vendica per i suoi camion cisterna

“Fra i 520 camion-cisterna inceneriti dall’aviazione di Mosca, “circa un quarto erano di una società di facciata finanziata dalla famiglia Erdogan, ed alleata all’ambiente della criminalità organizzata turca (una delle mafie più pericolose del pianeta) e le sue ramificazioni

Riporto questo retroscena da un sito, Strategica 51, che pare una emanazione di qualche servizio segreto. Valga quel che vale, ma ormai il coinvolgimento della famiglia Erdogan nel traffico di petrolio di Daesh è ammesso anche dai media mainstream.

Bilal Erdogan, 35 anni, terzo figlio del presidente turco, laureato in Usa, è concordemente indicato come il mediatore che trasporta il petrolio e gli altri beni (fosfati eccetera) che l'ISIS ruba a Irak e Siria ai mercati europei e internazionali, lucrando nell'affare centinaia di milioni di dollari.


Bilal possiede diverse compagnie di navigazione, che hanno i loro propri moli a Beirut e nel porto turco di Ceyhan e dove il greggio rubato viene venduto per conto di Daesh, quasi alla luce del sole, a compagnie europee con cui il Figlio ha firmato contratti, diciamo, regolari. Queste compagnie inoltrano la merce a paesi asiatici, specie il Giappone.

Il presidente Erdogan ha naturalmente sostenuto che il commercio internazionale del figlio prediletto non ha nulla di illecito; sicché finché il Papà resta sulla più alta poltrona di Ankara, Bilal è immune da ogni guaio giudiziario. D'altra parte, la compagnia maggiore di Bilal, la BMZ Ltd, "è una ditta di famiglia in cui vari parenti stretti del presidente detengono quote azionarie, ed è in grado di ottenere fondi pubblici nonché finanziamenti illeciti dalle banche turche": così Gürsel Tekin, vice-presidente del partito turco d'opposizione CHP in una recente intervista.

Magari è per questo che Sumeyye Erdogan, la figlia (educata a Londra), gestisce un ospedale da campo proprio a ridosso del confine siriano, dove camion dell'esercito turco portano ogni giorno carichi di jihadisti di Daesh feriti da rimettere in piedi e rimandare a fare la guerra santa ed ottomana contro Assad.

L'agosto scorso i curdi dello YPG hanno catturato un ventiquattrenne turco di Konia, Ramazan Başol mentre cercava di unirsi ai guerriglieri di Daesh. Egli ha raccontato di essere stato arruolato e spedito dalla setta islamista ‘İsmail Ağa, notoriamente vicina a Erdogan.

Del resto sono i Lupi Grigi che combattono in Siria contro Assad. Alparsian Celik s'è vantato di aver sparato coi suoi uomini al pilota russo mentre scendeva col paracadute; è il figlio di uno storico esponente dei Lupi Grigi, Ramadan Celik.

Thierry Meyssan, accusa Erdogan di "aver organizzato il saccheggio della Siria, smantellato tutte le imprese di Aleppo (la capitale economica) rubando fino le macchine utensili. Ha spacciato i beni archeologici per i quali ha allestito un "mercato" internazionale ad Antiochia". E non basta: "Con l'aiuto del generale Benoit Puga, capo dello staff dell'Eliseo, ha organizzato l'operazione false-flag il cui scopo era provocare l'intervento NATO: le bombe chimiche di Ghoutta, Damasco, dell'agosto 2013, di cui furono accusate le forze di Assad".

Ve la do per quel che vale, giusto per far capire che gioco gioca Hollande. Anzi secondo Meyssan è stato Alain Juppé, ministro degli Esteri, a convincere Erdogan — attraverso l'allora collega Davutoglu agli Esteri — di attaccare il regime di Assad, promettendogli un sostegno francese all'accettazione della Turchia come membro della UE. Era il 2011. Erdogan all'inizio esitava. Poi l'appetito gli è venuto mangiando. Adesso sogna di ritagliarsi una zona della lacerata Siria e di distruggere i curdi e la loro speranza di costituirsi uno stato curdo fra Siria, Irak e Turchia. Una parte dei neocon americani gli ha tenuto bordone, promuovendo la sua idea di creare una "no fly zone" nel territorio che avrebbe poi annesso alla Turchia, per farne un santuario per i terroristi: il generale John Allen capo diplomatico della pretesa coalizione "anti-ISIL" lo stava facendo, ha dovuto essere richiamato all'ordine da Obama.

Ciò spiega la voce, insistente, che per anni sono stati i servizi francesi ad avvicinare giovani francesi di famiglia musulmana, spesso piccoli delinquenti comuni, e convincerli a riscattarsi andando a combattere per Daesh…anzi, non si escludano i servizi belgi, tradizionalmente in ottimi rapporti coi colleghi del DGSE. Secondo Strategika, Salah Abdeslam, il ricercatissimo dal governo belga come uno degli attentatori di Parigi, un giovanotto nato nel 1989 a Bruxelles da genitori marocchini, fu "avvicinato" da almeno due agenti reclutatori per conto della Sureté belga."Aveva anche, a sua insaputa, un agente ‘formatore' uscito dallo stesso ambiente sociale, che lavorava per il SGRS (i servizi militari belgi), dunque con altri servizi interessati specialmente a un flusso migratorio in zone di conflitto per ragioni inconfessabili".

Ve la do per quel che vale. Anche se questa indiscrezione di servizi (russi? Algerini? Marocchini?) spiegherebbe benissimo la gigantesca e molto affannosa caccia all'uomo organizzata dal governo belga nella stessa capitale, così come le cacce all'uomo contro i fuggiaschi terroristi organizzate dai francesi: devono essere presi ed ammazzati tutti, perché non si mettano a raccontare da chi è veramente nutrito Daesh?

"Se i russi non avessero preso in contropiede i progetti di Washington nel Levante — dice il sito — non si sarebbero dovuti subire attentati kamikaze un po' dappetutto (in Europa) perché a giocare col fuoco…anche Londra con Parigi rioschia di vedere i suoi piccoli contingenti creati per la guerra di procura tornare a seminare il casino a colpi di cinture esplosive. Da cui la necessità di creare un ministero della Paura Permanente, utile al controllo sociale negli anni prossimi".

Vi lascio questa enigmatica conclusione per quel che vale. Insieme con l'ultima delle notizie del sito: ricordate l'attentato — con presa di ostaggi —all'hotel Radisson Blu di Bamako? Un attentato "islamico" senza dubbio, infatti rivendicato da Al-Morabitun, un gruppo vagamente collegato ad Al Qaeda. Ma molto professionale e con qualche stranezza: i terroristi sono arrivati su un'auto con targa diplomatica, e si sono concentrati "sul settimo piano", dove era in corso una riunione importante, ed hanno trucidato meticolosamente personaggi come l'addetta del Dipartimento di Stato Anika Ashok Datar (origine indiana), un belga che lavorava per il Parlamento belga, e un israeliano…la cui morte è stata confermata da Sion, senza farne il nome. Come non sono stati resi i nomi dei francesi partecipanti alla riunione e vittime.

Commento di Strategika: "Mokhtar Belmokhtar (1) sembra essere stato benissimo informato. Come ha saputo che il Capo di una delle direzioni dei servizi esteri algerini (DDSE-Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure) in compagnia di una delegazione civile e militare di alto rango al Radisson? In casi simili l'Algeria avrebbe dovuto inviare il suo "servizio-azione"; ma il servizio è stato smantellato quest'anno e i suoi membri invitati a tornare nell'esercito regolare in seguito a una piccole guerricciola interna". In Algeria!

Ve la do per quel che vale. Giusto per far intuire quali grovigli di doppiezze, contorte relazioni, false amicizie e luridi contorcimenti siano in atto per distruggere la Siria. Non ci sarà mai una pace senza una gigantesca operazione-verità in questa matassa dove non si capisce più qual è il filo, chi combatte per chi. Non ci sarà mai.

Oggi, il Corriere intervista per ben due pagine John Bolton — ebreo, neocon, che fu ambasciatore all'Onu ai tempi di Bush jr., quando i neocon guidarono la superpotenza per Sion — e Bolton propone che cosa? "Uno stato sunnita per battere l'ISIS": Ossia: uno stato dell'ISIS per battere l'ISIS. Bolton naturalmente concede che nella Siria smembrata vi sarà un "Alawistan", una stretta striscia sulla costa con il porto russo di Latakia e Tartus", dove forse potrà sopravvivere Assad; poi un "Kurdistan" ritagliato da Siria e Irak (Israele gliel'ha promesso, ai curdi) e un "Irak sciita" diviso dal "Sunnistan", la parte del leone, in mano al Califfato. Insomma è  pari pari il piano Kivunim, lo smembramento degli stati attorno ad Israele secondo linee di frattura etnico-religiose. Nel groviglio inestricabile, questo capo del filo almeno è chiaro. Il piano Kivunim si sta realizzando, fra fiumi di sangue e di odio.

Articolo originariamente pubblicato su maurizioblondet.it

27/11/2015

Erdogan: comment faire des affaires en famille avec Daech

Deux  jours  après l'attaque contre un avion russe en Syrie, le président turc Recep Tayyip Erdogan poursuit son offensive contre la Russie dans l'espace médiatique: il affirme que l'aviation turque n'était pas au courant de l'appartenance de l'avion et appelle à "ne pas dramatiser la situation", écrit jeudi le quotidien Interpolit.
 
Cette pirouette politique d'Erdogan et sa volonté de se protéger sont parfaitement compréhensibles. Hier, en commentant la tragédie, le président russe Vladimir Poutine a ouvertement accusé la Turquie d'implication dans le financement de Daech via l'achat de pétrole illégal auprès de l'organisation.


Pétrole de l'EI ou lutte antiterroriste: la Turquie doit choisir

​La participation de certains membres du G20 au financement de Daech a été également évoquée lors du dernier sommet de l'organisation à Antalya. Quelque temps après, le public a pu également prendre connaissance de l'envergure du trafic créé par les djihadistes. Suite à cet avertissement lancé à Antalya, les forces aériennes russes ont lancé une chasse aux colonnes de camions-citernes transportant du pétrole de Daech. 

Jusqu'à récemment, ces actions étaient un secret de polichinelle. Les alliés occidentaux de la Turquie taisaient pudiquement l'implication d'Ankara dans le trafic pétrolier de Daech, mais la presse a tout de même pu publier certaines informations.

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​​D'après la presse turque, Bilal Erdogan possède la société de transport maritime BMZ Group qui a des amarrages spéciaux dans les ports de Beyrouth et de Ceyhan, depuis lesquels le pétrole de contrebande est transporté vers les consommateurs japonais.

L'opposition turque est aux abois avec le fils du président et rêve de le voir un jour derrière les barreaux. Mais bien que Bilal Erdogan soit mouillé dans l'activité des terroristes, il sera protégé contre toute poursuite judiciaire tant que son père sera chef de l'État. 

La fille du président, Sümeyye, mène une activité aussi intense que son père et son frère. Selon les médias, elle parraine un hôpital militaire dans le sud-est de la Turquie qui soigne des combattants de Daech transportés depuis la Syrie.

Global Research News a obtenu ces informations d'une employée de l'hôpital sous couvert d'anonymat. La fille du président turc est également une personnalité politique connue.


​​Ainsi, les intérêts commerciaux et politiques des Erdogan sont liés à Daech de manière assez particulière. Le soutien politique de la Turquie a longtemps permis à l'organisation terroriste d'élargir son influence et d'occuper des territoires des pays voisins, alors que les revenus "blanchis" par les Erdogan revenaient dans le budget des djihadistes, les aidant à poursuivre leur expansion.

Il est évident que l'intérêt du président turc ne réside pas que dans le banal enrichissement. L'agent n'est ici qu'un moyen d'atteindre un objectif majeur qui est, selon les experts, rien d'autre que la reconstruction de l'Empire ottoman. Erdogan rêve de détrôner l'héritage de Kemal Ataturk pour lever sur la Turquie le drapeau vert de l'islam. C'est pourquoi il a besoin de Daech et du pétrole. Et la Russie a perturbé ses plans, ce qui explique sa colère.

Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/presse/20151126/1019838757/erdogan-daech-petrole-ei.html#ixzz3sfoTAG3E

François Pays Bas rends hommage aux victimes de l'islam

Ce n'est pas un photo montage !

François Hollande, recouvert du drapeau vert de l'islam wahhabite en  Arabie Saoudite décembre 2013

Tout commentaire semble superflu!!

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26/11/2015

Les banlieues françaises de Daech

Après ce vendredi noir, je ne vois pas comment le gouvernement français va pouvoir continuer à dire “ni Daech ni Bachar” et rester aligné sur les puissances sunnites du Moyen-Orient. Les terroristes ont été formatés par l’idéologie salafiste sponsorisée par l’Arabie Saoudite, indirectement financés par le Qatar et autres “donateurs privés”, soutenus militairement par la Turquie, pays par lequel ils transitent sans problème. Les intellectuels islamo-gauchistes nous expliqueront que c’est la faute à Bachar Al-Assad car s’il avait quitté le pouvoir en 2011, la Syrie serait aujourd’hui une démocratie laïque (bien sûr, on les croit sur parole). Si Bachar Al-Assad n’existait pas, il faudrait l’inventer car il résume pour toute une classe intellectuelle française l’origine du mal.

Ironie du calendrier, le G20 a eu lieu en Turquie, chez Erdogan le sponsor de Daech, celui qui après deux attentats meurtriers commis par l’Etat islamique cette année en Turquie, sans doute avec l’assentiment de ses services de sécurité, frappent les Kurdes, ceux-là même qui combattent Daech. Nul doute que Laurent Fabius a été très à l’aise dans cette réunion où l’hypocrisie fut de rigueur, Fabius qui est responsable de l’impasse totale dans laquelle la France se trouve au Moyen-Orient. Heureusement que sa maladie va l’obliger à quitter ses fonctions de ministre des Affaires étrangères, après le désastre des régionales qui s’annonce. Son départ pour raison de santé tombe à pic pour changer de politique au Moyen-Orient.

Malheureusement, je doute que la politique de complaisance à l’égard de l’Islam radical ne change vraiment sur le plan intérieur. On peut arrêter quelques imams, mais on ne touchera pas aux fondamentaux. Tant qu’il existera en banlieue des zones de non-droit où les trafiquants de drogue, les gangs et les fondamentalistes pourront prospérer en toute liberté, nous ne réglerons pas le problème principal : ce sont les territoires français de Daech, tout comme Raqqa, Al-Anbar ou le Sinaï. La France possède elle aussi des zones grises où s’implante le terrorisme islamique.

Il faut commencer par réhabiliter l’école dans tous ces quartiers, cesser de dispenser un enseignement au rabais, cesser de faire passer les élèves dans les classes supérieures pour s’en débarrasser plus vite, cesser de réduire l’autorité au minimum pour éviter l’émeute. Dans les collèges de ZEP, les enseignants cumulent les congés maladie avec l’aval du rectorat qui ne veut pas de vague. C’est à ce prix que nous maintenons du personnel dans les ZEP, parce que le ministère de l’Education Nationale ne veut pas faire preuve d’autorité. Parce que la gauche caviar méprise les classes populaires en leur offrant un enseignement au rabais pendant que ses enfants fréquentent Henri IV. Najat Vallaud Belkacem, avec sa réforme du collège, est à l’Education Nationale ce que Laurent Fabius est à la politique étrangère.

SOURCE :  http://www.causeur.fr/syrie-daech-banlieues-attentats-par...

25/11/2015

Turquie: une pourriture au coeur de l' OTAN

La Turquie est hostile à l'alliance russo-syrienne qui a donné des résultats positifs en deux mois.

 L'attaque de la Turquie contre un bombardier russe Su-24 engagé dans une opération en Syrie est une attaque contre la souveraineté syrienne, a déclaré à l'agence Sputnik un membre de la direction régionale du parti Baas et ancien assistant du ministre syrien de l'Information, Khalaf al-Muftakh.

"Il s'agit d'un crime contre les avions russes participant à une opération autorisée par le gouvernement de Damas contre l'Etat islamique (Daech). Cette attaque peut être considérée comme un acte d'agression contre la souveraineté syrienne. L'avion russe volait dans l'espace aérien de la Syrie, et la Turquie n'avait aucune raison de l'abattre", a indiqué l'expert.

Selon lui, la destruction du Su-24 montre qu'Ankara désapprouve l'opération russe contre les terroristes.

"La Turquie est hostile à l'alliance russo-syrienne qui a donné des résultats positifs en deux mois. Elle savait que l'avion ne la menaçait pas, mais qu'il constituait une menace pour les groupes terroristes", a déclaré Khalaf al-Muftakh.

Il est persuadé qu'Ankara soutient les terroristes en Syrie, surtout les djihadistes de Daech.

"La Turquie a tout intérêt à avoir une telle organisation dans le pays voisin, car les usines et les équipements industriels situés dans le nord de la Syrie ont été transférés en Turquie. Faut-il parler du trafic pétrolier pratiqué par les terroristes de Daech via la Turquie? Ajoutez-y la tendance de cette dernière à détourner l'électricité produite dans le nord de la Syrie. Les frappes visant ces sources de revenus illicites turcs, surtout les colonnes pétrolières de Daech, ont poussé la Turquie à attaquer l'avion russe", estime le responsable du parti Baas.

"Des hommes d'affaires turcs sont des intermédiaires entre Daech et le marché mondial du pétrole. Ils achètent à petit prix le pétrole volé par l'Etat islamique et le revendent à des pays tiers", affirme Khalaf al-Muftakh.

 

D'après lui, Ankara s'efforce de provoquer un conflit entre la Russie et l'Otan pour offrir aux terroristes en Syrie la possibilité de renforcer et de propager leur influence.

"Lors du sommet du G20 à Antalya, Vladimir Poutine a déclaré que le terrorisme était soutenu par une quarantaine de pays. Il pensait, entre autres, à la Turquie, à l'Arabie saoudite et au Qatar. L'attaque contre le Su-24 a montré qu'il avait raison. Cette agression ne restera pas impunie. La Russie va intensifier ses frappes contre les terroristes", a conclu le responsable syrien.