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16/10/2019

Histoire de l'islamisation française

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A l'instar de l'excellent livre de Yves Mamou, chez le même éditeur, " Le grand abandon ", ce nouvel ouvrage choc, Histoire de l'islamisation française 1979-2019, jette une lumière crue sur le déni abyssal qui frappe la France. Les auteurs de ce livre ont fait le choix de partir d'un fait marquant année après année pour développer les preuves de ce qu'il faut bien appeler une mise à sac de la France, tant au niveau culturel, que historique et social. Avec le concours des universitaires, des journalistes, des intellectuels, des artistes, des religieux chrétiens et des hommes politiques de tous bords, c'est un monde orwellien qui est mis en place, une véritable dictature anti-anti-islam. De nombreux penseurs en ont fait les frais : Robert Redeker, Sylvain Gouguenheim, Lorant Deutsch, pour ne citer qu'eux. Penser différemment, dire la vérité sur une religion en s'opposant à la " vulgate " ambiante, fait de vous à coup sûr un paria. Déni, mensonge, falsification sont devenus les maîtres mots de cette nouvelle France multiculturaliste.

Lorsqu'un pays se met à réécrire son histoire, tel Patrick Boucheron avec son " Histoire mondiale de la France ", la décadence de ce pays est accélérée et sa chute proche. Lorsque les lois du pays sont niées, comme par exemple au sujet de la polygamie ou de l'excision des fillettes, le relativisme triomphe, la soumission totale à une culture, qui est tout sauf tolérante envers les non-musulmans, n'est pas loin. Cette inversion permanente - ce sont eux les meilleurs et nous les arriérés - cette fascination devant une culture, qui pourtant traine avec elle un absolutisme qui confine au totalitarisme, fait penser que de nombreux francais sont atteints de myopie, ou au pire du syndrome de Stockholm. Le renoncement collectif au nom d'un anti-racisme, brandi comme une nouvelle foi, fait de la France une nation de dhimmis. Le déni et le mensonge au profit des nouveaux arrivants touche tout. Je suis surpris par les réflexions de certains religieux musulmans sur les dogmes et les mystères chrétiens, auxquels ils ne comprennent rien, si ce n'est pour les falsifier et les dénigrer. La position des prélats catholiques, prônant l'oecuménisme, est déplorable de naïveté et de trahison des chrétiens. Ne savent-ils pas qu'il y a incompatibilité idéologique entre Chrétienté et Islam ? L'islamisation s'insinue partout : la nourriture, l'éducation, le vestimentaire, la culture, en témoigne le musée national des arts et traditions populaires ( Paris ) abandonné au profit d'un musée de l'immigration. A force de faire rentrer les loups dans la bergerie, la bergerie flambe. Les politiques et les intellectuels français, dont la responsabilité est grande, payeront cher leur refus de voir que la France est en face d'un bloc massif qui ne s'assimilera jamais à ses valeurs. C'est plutôt l'inverse qui se produit : une culture dévore une autre culture, elle s'installe, grignote lentement, gagne patiemment du terrain, inexorablement ! Ce gauchisme qui préfère, avec une admiration béate, une civilisation islamique à deux mille ans de grandeur occidentale chrétienne, relève de la maladie mentale. Avoir abandonné les français à une culture antagoniste, c'est criminel, minable, désespérant !

Ce livre ne s'attaque pas qu'à une religion, qui est bien plus qu'une religion, mais aussi à l'incroyable bêtise généralisée d'une partie des français, qui se rendent par ce fait complice d'une dictature qui ne dit pas son nom. Que la France ait des valeurs et des traditions d'accueil, je veux bien. Mais pas au prix du saccage de sa culture et de son histoire.

 

SOURCE : www.amazon.fr

14/10/2019

La presse turque salue le massacre d'Hevrin Khalaf

La presse turque, très majoritairement favorable à l’offensive en cours contre les forces kurdes des SDF (forces démocratiques syriennes) dans le nord de la Syrie, n’hésite pas à applaudir aussi l’exécution de civils. “À la suite d’une opération réussie, la secrétaire générale du Parti du Futur de la Syrie, liée au parti politique terroriste PYD, a été mise hors d’état de nuirese félicitait ainsi le quotidien islamo-nationaliste Yeni Safak.

Dimanche 13 octobre dans l’après-midi, le tweet et l’article du journal avaient été supprimés, mais des journaux turcs reprenaient toujours l’information sur le même ton : “L’organisation terroriste en état de choc : une de leurs responsables exécutés titrait encore le journal Yeni Akit.

Une référence à l’exécution, samedi 12 octobre de la femme politique kurde syrienne Hevrin Khalaf, membre du Parti du Futur de la Syrie. Sa voiture a été arrêtée sur une autoroute syrienne par des membres des milices pro-turques, qui l’ont tuée ainsi que son chauffeur. Une vidéo diffusée sur internet et authentifiée montre sa voiture criblée d’impact entourée d’hommes en armes et le corps du chauffeur mort à terre, on entend à l’arrière-plan une voix féminine attribuée à Hevrin Khalaf dire “c’est le chauffeur du parti”........

SOURCE www.courrierinternational.com

 

PS: il n'y a pas si longtemps les bobos progressistes plaidaient pour la Turquie dans l'UE

C'est déjà un énorme scandale qu'elle soit dans l'OTAN

Hevrin Khalaf : vittima dei turco sunniti

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QAMISHLI (Siria nord-orientale) - Sono andati quasi tutti i massimi esponenti politici e militari curdi ieri al suo funerale a Derek, un villaggio lungo il confine con l’Iraq. Nonostante la guerra, nonostante Rojava sia a rischio di essere sconfitta per sempre dall’esercito turco assieme ai suoi alleati tra le milizie sunnite siriane, alcune di esse in odore di qaedismo, non era possibile non renderle un ultimo saluto.

Così, la 35enne Hevrin Khalaf ha ricevuto l’estremo addio con tutti gli onori. La sua morte due giorni fa sulla strada tra Hasakah e Qamishli è stata una crudele cartina al tornasole di quanto l’intera regione sia destabilizzata e sull’orlo del collasso.

Curda, donna forte, attivista per la difesa dei diritti civili, impegnata a garantire i deboli. La conoscevano tutti tra Qamishli, Kobane e Raqqa. Aveva imparato l’inglese sin da giovanissima, era diventata ingegnere, quindi si era impegnata ad aiutare le donne. Amava la politica a tempo pieno. «Era sempre presente alle riunioni con le delegazioni straniere. Elegante, sobria, teneva rapporti diretti con i diplomatici americani ed europei», raccontano i suoi collaboratori.

I social media locali rivelano dettagli terrificanti, con foto crude. Secondo alcuni pare sia stata vittima di un’imboscata ben pianificata. Doveva partecipare a una riunione ad Hasakah con alcuni attivisti del suo nuovo partito, di cui era anche segretaria generale, il «Partito Siriano del Futuro». Ma la sua macchina è stata presa di mira a colpi di mitra. Assassinati subito l’autista e un suo collaboratore. Lei trascinata giù dalla vettura, forse violentata, prima di essere uccisa a pietrate. Una lapidazione vera e propria.

I curdi accusano le milizie arabe mercenarie di Ankara. I comandi turchi negano, affermano di non essere neppure arrivati così nel profondo di Rojava. Ma le cronache delle ultime ore provano il contrario. Ispirati dai turchi, i miliziani dell’Isis, i jihadisti arabi, lo stesso regime di Damasco, alzano la testa. I curdi sono sulla difensiva. Non si capisce più quali strade siano sicure e quali no. E nella terra di nessuno tutto diventa possibile. Anche assassinare una giovane donne innamorata della libertà e dei diritti umani.

FONTE : www.corriere.it

 

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Djihadisti sunniti al fianco delle truppe di Erdogan

 

PER APPROFONDIRE:

https://it.insideover.com/guerra/il-sangue-di-hevrin-khalaf-sulle-mani-dei-jihadisti-filo-turchi.html?utm_source=ilGiornale&utm_medium=article&utm_campaign=article_redirect

09/10/2019

La France sur la voie de la guerre civile

.....«C’est une honte, un véritable scandale!» La tenue d’une manifestation en faveur du terroriste Mickaël Harpon, ce jeudi, à Gonesse, crée un vif émoi. Et pas seulement chez les policiers en deuil qui seront chargés d’encadrer ce rassemblement.

Pour son organisateur, Hadama Traoré, qui s’était fait connaître en mai comme le «candidat des banlieues» lors des européennes, il s’agit de «communiquer différemment sur Mickaël»qui«n’est pas un terroriste!», clame-t-il. Alors que le président de la République a appelé mardi à «un combat sans relâche» contre «l’hydre islamiste», le militant prévoit «une mobilisation devant la mairie de Gonesse», où résidait le meurtrier. «On a le bras long!, assène-t-il dans une vidéo publiée sur sa page Facebook. Toutes les communautés persécutées, on va faire la guerre ensemble, aux politiques et aux médias. Et on commence ce jeudi.»

"La personne qui ose dire que Mickaël Harpon était un terroriste animé par des revendications religieuses, je lui traite sa mère et je lui crache à la gueule"

Hadama Traoré

Mickaël Harpon? «C’était une crème!», scande-t-il dans sa vidéo, tout en condamnant «ce qu’il a fait». «J’ai la haine, éructe-t-il...........

 
Source : www.figaro.fr du 09.10.2019
 

 

 
 

30/09/2019

La voix de la verité

....Par contre messieurs (et mesdames) qui n’aimez pas la France, imaginez un seul instant qu’il y ait la même proportion d’européens qui vivent sur votre sol d’origine et affirmez nous que vous seriez aussi patients et aussi gentils que nous, les peuples européens.

Et ne comparez pas à un envahissement, le petit million d’européens qui étaient sur le sol algérien pendant la colonisation. Et ces petits européens « occupants » – maltais – français – siciliens – portugais – occupaient de nobles emplois laborieux : – petits électriciens – petits plombiers, petits commerçants – petits fonctionnaires. Les vrais colons EUX étaient éloignés des villes parce que grands propriétaires terriens vivant proches de leur lieu de production. Et les politiques français , dans leurs hauteurs, ne côtoyaient pas ces » petits laborieux ».

Connaissez-vous un « envahisseur » qui fait progresser la natalité d’un pays « colonisé » en créant des dispensaires de protection maternelle infantile? Mes yeux d’enfants ont vu un dispensaire à côté de chez nous, accueillir chaque semaine un nombre incalculable de mamans algériennes. Et les petites françaises étaient minoritaires dans notre école.

Demandez donc aux indiens d’Amérique du Nord, s’ils ont été aussi protégés lors de la conquête de l’Ouest.

Ca se passait comment pour vous sous l’empire Ottoman??? Combien de vos ancêtres ont été embarqués sur des bateaux pour participer aux pillages qui faisaient la richesse des sultans, et y ont laissé leur vie.

Ils partageaient vraiment les « trésors » de ces pillages avec les populations, ces Ottomans??? Ils créaient des écoles, ils instruisaient les petites filles?

Par ce penchant à la plainte, à la négativité qui vous caractérise vous vous empêcherez toujours de voir ce qui fut positif pendant la colonisation. Vous ne verrez toujours que le côté négatif des choses et ce penchant doit probablement être dû à une oppression qui ne vient ni de la colonisation, ni de votre installation en France mais d’une éducation plaintive, réservoir de lamentations, due à une empreinte religieuse très oppressive.

Heureusement que les européens n’ont pas cette attitude, sinon nous ne nous serions jamais relevés des guerres des puissants qui ont occasionné 60 millions de morts en Europe,du 19 ème siècle au 20 ème siècle.

Et nous n’aurions jamais construit l’Europe si nous avions fait durer notre haine de l’Allemagne.

Vous n’aimez pas la France.

On ne vous oblige pas à nous aimer malgré tout ce à quoi, financièrement, nous contribuons pour que vous ayez une vie correcte.

Mais vous ne vous apercevrez de ce que nous sommes et de ce que nous faisons pour vous que lorsque vous retournerez pour une longue période dans vos pays respectifs. Et vous constaterez alors que malgré la culture oppressive qui est LA VOTRE , la France a su insuffler en vous un » souffle de liberté » dont vous ne pourrez pas vous passer et qui vous poussera à vouloir revenir.

On vous souhaite de sortir de votre négativité, car vos enfants ne pourront pas se payer le « luxe » d’une guerre ethnique avec toutes ses horreurs dans le futur , à cause de la haine à laquelle beaucoup d’entre vous les aurez nourris......

 

SOURCE

https://lesobservateurs.ch/2019/09/10/si-la-france-est-en-guerre-demain-sur-son-sol-vous-faites-quoi-je-retourne-au-bled/

20/08/2019

Quando il cancro maomettano colpisce l' America Latina

Negli ultimi trent’anni l’America latina è divenuta un campo di battaglia georeligiosa fra le principali potenze del globo, che stanno utilizzando la fede come un instrumentum regni con il quale espandersi nel cortile di casa degli Stati Uniti. La graduale ritirata del Vaticano da quel che era conosciuto come il “continente cattolicissimo” fino al secolo scorso non è stata sfruttata soltanto dall’internazionale evangelica con sede a Washington, ma anche dai protagonisti del mondo islamico, in primis Turchia, Iran e Arabia Saudita.

Da Città del Messico a Buenos Aires è ormai comune vedere moschee, edifici con la mezzaluna e stella islamica, e uomini e donne di origine latinoamericana, ispanoparlanti, vestiti in abiti tradizionali della cultura musulmana. Il Messico è uno dei casi studio più interessanti per ciò che riguarda i frutti della predicazione dei missionari giunti dall’estero per convertire gli autoctoni alla versione dell’islam seguita nei paesi di riferimento, anche perché si è scoperto permeabile alle infiltrazioni jihadiste.

L’arrivo dell’islam nel Chiapas

L’1 gennaio 1994 un’organizzazione paramilitare nota come l’Esercito Zapatista di Liberazione Nazionale (EZLN), guidata dal subcomandante Marcos, lanciò un’insurrezione su larga scala nello stato del Chiapas per protestare contro l’entrata in vigore del North American Free Trade Agreement (NAFTA), un accordo di libero scambio siglato fra Messico, Stati Uniti e Canada, la cui implementazione aveva creato notevole opposizione nel paese.

Gli zapatisti sostenevano che l’accordo avrebbe reso la già debole economia nazionale ulteriormente succube e dipendente dai rapporti con il Nord America, favorendo gli interessi di piccoli gruppi di potere legati alla grande produzione e al latifondo a detrimento delle classi meno agiate e, in particolare, degli indigeni.

I diversi tentativi, sia militari che diplomatici, di riportare lo stato sotto il controllo del governo centrale sono falliti, consentendo all’EZLN di esercitare de facto una parziale sovranità su di esso e realizzare un sistema sociale ed economico di tipo comunistico, basato sulla condivisione, sulla proprietà comune, sul solidarismo comunitarista e sulla produzione per autoconsumo.

Nel 1995 una piccola missione di predicatori islamici guidata dallo spagnolo Muhammad Nafia si fermò sulle montagne della Sierra Madre, nella città di san Cristobal de las Casas. L’obiettivo di Nafia, al secolo Aureliano Pérez Yruela, era di sfruttare il clima di fermento culturale prodotto dall’insurrezione zapatista per creare una piccola comunità islamica.

Gli zapatisti promossero il ritorno dei chiapanechi ai culti precolombiani, scoraggiando invece la pratica del cristianesimo in quanto ritenuto un’esportazione ideologica con cui gli spagnoli avevano sottomesso il subcontinente, e diedero a Nafia il permesso di fondare una missione nella città. La versione dell’islam veicolata dai predicatori venuti da oltreoceano era considerata, infatti, il possibile corollario spirituale della causa zapatista, in quanto antioccidentale, anticapitalistica ed indigenista, perciò possibilmente utile ad arruolare nuovi adepti e soldati.

Il proselitismo di Nafia si è concentrato sulle comunità etniche maya, in particolar modo sugli tzotzil, con ottimi risultati. Sono più di 700 gli tzotzil che hanno deciso di recitare la shahada, e in molti casi la conversione è seguita dall’arruolamento nell’esercito zapatista. La tendenza si è consolidata nel tempo e, oggi, gli tzotzil sono il gruppo etnico che registra il più alto tasso di conversioni all’islam.

Le ombre dell’emiro

Nafia non è un predicatore indipendente e il Chiapas non è stato scelto per caso. L’insurrezione zapatista era stata seguita sin dall’inizio dal Movimento Mondiale Murabitun (MMM) e, dopo un’attenta valutazione, era stata ritenuta l’occasione ideale per creare un focolare islamico in quanto l’astio verso l’accordo di libero scambio era il probabile riflesso dell’insofferenza verso l’influenza maligna dell’imperialismo nordamericano nel subcontinente.

Non appena giunto a san Cristobal de las Casas, Nafia scrisse una lettera al subcomandante Marcos, presentando il MMM come un movimento di liberazione dalla tirannide capitalistica impegnato a difendere popoli oppressi nei teatri più caldi all’epoca aperti, fra cui Cecenia e Paesi Baschi. Ciò che il predicatore propose, ed ottenne, era un patto di collaborazione militare-religiosa: gli zapatisti avrebbero permesso a lui e all’organizzazione di operare nello stato, e gli indigeni sarebbero stati convertiti e quindi convinti ad arruolarsi.

In realtà, il MMM non segue alcuna agenda anti-imperialistica, ma è un’organizzazione a vocazione religiosa regolarmente registrata a Granada, in Spagna, i cui obiettivi sono la reinstaurazione del califfato nella penisola iberica (al-Andalus) e l’islamizzazione dell’Europa. La principale attività dell’organizzazione è proprio il proselitismo verso i non-musulmani, che viene sostanzialmente effettuato attraverso iniziative culturali, lezioni di religione aperte a tutti, e missioni di predicazione in paesi ritenuti culturalmente pronti a ricevere il messaggio islamico – come il Chiapas degli anni ’90.

Il MMM predica una versione fondamentalista dell’islam, per certi versi simile al wahhabismo nella sua natura intrinsecamente antimoderna, antioccidentale e alla perenne ricerca di un ritorno all’epoca d’oro islamica. Ai seguaci viene richiesta l’adozione di uno stile di vita estremamente austero e ideologizzato, poiché l’obiettivo esistenziale è l’imitazione dei puri antenati.

Il fondatore dell’organizzazione è Abdalqadir as-Sufi, nato Ian Dallas, celebre per le sue prese di posizione discutibili sul terrorismo islamico e sulla decadenza della civiltà occidentale e, soprattutto, per aver lanciato una fatwa contro Benedetto XVI in seguito alla controversia di Ratisbona.

All’indomani degli attentati dell’11 settembre 2001 la comunità islamica del Chiapas iniziò a ricevere maggiore attenzione sia dalle autorità messicane che da quelle statunitensi, perché presumibilmente vicina ad organizzazioni terroristiche internazionali come Al Qaida e focolaio di radicalizzazione religiosa. Nel 2005 fu lo stesso presidente Vicente Fox a denunciare la possibile presenza di elementi qaedisti fra i musulmani chiapanechi. Altre piste investigative hanno tentato di stabilire se esistessero legami anche con il celebre gruppo terroristico basco Eskadi Ta Askatasuna e con cellule jihadiste con base in Spagna, per via di un continuo e sospetto movimento andirivieni.

Negli anni, Nafia ha acquisito grande prestigio presso la comunità islamica chiapaneca, dalla quale è venerato come massima guida spirituale e da essa è stato ribattezzato “l’emiro“, ma le indagini dei servizi segreti e le denunce degli ex adepti hanno scalfito la sua immagine e contribuito a dipingere uno scenario che potrebbe rivelarsi pericoloso per la sicurezza nazionale.

Il Centro Culturale Islamico del Messico, che opera nella capitale, dopo aver ricevuto denunce da parte di musulmani chiapanechi, ha inviato alcuni esponenti nello stato per discutere di religione con gli imam e i fedeli e presiedere ai sermoni settimanali. Ciò che è emerso è che nella piccola enclave dell’emiro di San Cristobal de las Casas vengono predicate dottrine pericolose per la convivenza pacifica fra culture e religioni, che alienano, traviano e radicalizzano i fedeli, i quali vengono costretti a rompere ogni legame con conoscenti e parenti non-musulmani, a non ricevere alcun aiuto governativo, e a non mandare i figli nelle scuole pubbliche.

Il monitoraggio delle autorità messicane ha appurato che la missione di Nafia è supportata da finanziatori con base in Malesia, Indonesia ed Emirati Arabi Uniti, e negli anni si è tentato di ridurre le capacità di proselitismo – che si sono estese all’intera America Latina – ricorrendo all’espulsione dei predicatori stranieri, spagnoli nella maggior parte dei casi.

Secondo quanto dichiarato da Ibrahim Chechev, ex collaboratore dell’emiro e oggi alla guida di un’altra comune, nel corso degli anni Nafia avrebbe iniziato a ricevere denaro da organizzazioni islamiche delle petromonarchie del golfo persico. A quel punto, gli insegnamenti, e lo stesso comportamento del predicatore, sarebbero cambiati radicalmente, convincendo Chechev ed altri fedeli ad allontanarsi.

La situazione oggi

La comunità islamica chiapaneca continua a crescere, e l’enclave dell’emiro Nafia è stata affiancata da nuove realtà, che sono il prodotto delle predicazioni di nuovi missionari e di scissioni interne avvenute nell’originale comune dell’emiro. A San Cristobal de las Casas, ciascun gruppo, fra cui uno wahhabita, ha le proprie moschee – che oggi sono 4, luoghi di ritrovo, scuole coraniche e di lingua araba, ristoranti, panifici e altri punti di aggregazione dedicati all’intrattenimento; la missione di Nafia ha anche una biblioteca.

Inoltre, i leader delle comunità si occupano anche di organizzare i pellegrinaggi a La Mecca e viaggi formativi all’estero per lo studio della lingua araba e dell’islam.

Sia Chechev che Esteban Lopez Moreno, il segretario della missione di Nafia, concordano nel vedere un futuro roseo e prospero per l’islam chiapaneco: l’influenza zapatista sta lentamente scemando e gli abitanti son sempre più insofferenti verso l’ordine di Marcos, mentre le conversioni all’islam aumentano.

Le autorità continuano a monitorare con attenzione ciò che avviene nella comunità islamica chiapaneca, come palesato dall’arresto nei giorni scorsi di Mohammed Azharuddin Chhipa, un cittadino statunitense sul quale l’Interpol aveva posto un avviso blu. Chhipa era ricercato dalla Fbi perché molto attivo nella pubblicazione di materiale jihadista in rete ed è stato arrestato a Huehuetan, al confine con il Guatemala, e trasferito negli Stati Uniti con il primo volo disponibile.

Saranno le indagini ad appurare i motivi che hanno condotto il sospetto terrorista nel Chiapas, ma già il semplice fatto che si trovasse lì, in uno stato sotto osservazione per infiltrazioni jihadiste e in cui operano predicatori radicali legati alle petromonarchie del golfo, non può che alimentare legittimi dubbi su quale sia l’attuale situazione nell’area e se l’autoproclamato Stato Islamico sia riuscito a penetrare in essa.

 

FONTE https://it.insideover.com/religioni/lenclave-dellislam-radicale-nel-cuore-del-messico.html

10/04/2019

La belle réligion de Muhammad

VIDEO YOUTUBE 

https://www.youtube.com/watch?v=mOTXPuAd0Ow&feature=y...

02/04/2019

La vita secondo Muhammad

Al seguito del recente efferato crimine perpetrato a Torino da un marocchino, promosso italiano dai progressisti, in cui un innocente é stato sgozzato per la sola ragione di trovarsi al posto sbagliato nel momento sbagliato, si impongono alcune brevi considerazioni relative a questa ideologia criminale mascherata sotto le spoglie di una pseudo religione

Infatti, il sacrificio di Stefano Leo, "bianco e italiano' , non servirebbe a nulla se non si coglie l'essenza dei meccanismi mentali che conducono questi "credenti" seguaci del modello del pedofilo della Mecca a compiere tali atti

Il primo errore sarebbe quello di credere che si tratta di fatti sporadici, frutto di menti psichiatriche (il che è parzialmente vero, essendo l'islam un'idéologia schizofrenica).

Se riprendiamo i fatti salienti successi intorno a noi nel corso degli ultimi 2 anni, oltre al caso torinese, troviamo la strage del Batclan, lo sgozzamento delle due diciottenni della stazione di Marsiglia, lo sgozzamento delle altre due giovani donne scandinave nell'Atlas marocchino, lo sgozzamento del prete di Rouen, la strage del mercato di Natale di Strasburgo,la strage di Berlino, il massacro di Nizza, l'attacco alla scuola ebrea di Tolosa, la strage del treno olandese,....ecc

Secondo voi, eccezion fatta dell'impregnazione massiccia dell'ideologia criminale maomettana, quali sono gli elementi costituenti che hanno trasformato queste povere vittime in agnelli sacrificali dei combattenti maomettani?

Si tratta di donne occidentali socialmente emancipate

Si tratta di persone di varia età che desiderano festeggiare nella pace e nella serenità

Si tratta di rappresentanti di culti considerati miscredenti

Si tratta di giovani occidentali che amano la vita, la musica ed i sani piaceri della vita

Ebbene tutto cio',e molto altro, è riprovevole nel modello coranico maomettano

Conseguentemente è giusto punirli, che dico punirli....sacrificarli!

Si sacrificarli perché se in altri culti non musulmani l'espiazione dei peccati si fa con la preghiera, per i cristiani con la confessione, nella setta di Allah il perdono di Dio si conquista altrimenti, si riscatta!

Lo si acquisisce rendendo onore ad Allah nella persona del suo "messaggero" Mohammed

In primis lo si ottiene con il sacrificio degli infedeli, poco importa se innocenti, ma comunque infedeli!

E questa è la via coranica del paradiso, non quella dell'inferno, come nelle altre culture mondiali

L'inversione della scala del bene e del male opera nell'islam un ribaltamento perfetto

La nostra cultura occidentale ci impone di tutelare la vita, foss'anche quella di un assassino

La cultura maomettana non si cura della vita in se, l'individuo non ha valore, conta solo la Oumma, la comunità dei "credenti"

Ed è cosi che sopprimere la vita di chi espone su se stesso un modo di essere e di pensare diametralmente opposto alla visione maomettana.....diventa il cammino dell'espiazione, la via verso il paradiso delle vergini

In conclusione, fintanto che non si capirà chiaramente che per evitare i crimini di domani occorre arginare e impedire in tutti i modi leciti il diffondersi della predicazione musulmana, con la quale ineluttabilmente si creeranno le premesse del modello balcanico di domani, che non sarà la Croazia, la Serbia e la Bosnia, ma l'Europa intera

Eccezion fatta, forse, dei Paesi "islamolucidi": Ungheria, Polonia, Repubblica Ceca....

La parola d'ordine è una sola:resistenza, mobilizzazione civile, politica, culturale!

04/10/2017

Islam terrorista: l'ipocrisia dei Media

Dunque riepiloghiamo: la Cia aveva avvertito i servizi spagnoli sul rischio di un attentato proprio alla Rambla. L’Isis già in febbraio aveva minacciato azioni terroristiche nelle aree frequentate dai turisti e il rischio era così elevato che, come ha sottolineato ieri Germano Dottori durante lo speciale su Rai3, alcuni tour operator hanno reclutato in segreto più di 100 ex membri delle truppe speciali britanniche, affinché controllassero siti sensibili, come le spiagge di Ibiza.

Sulla strage di Barcellona è già stato detto quasi tutto, mi limito a due osservazioni.

La prima. Considerato l’altissimo livello di allarme era così difficile blindare le Ramblas con delle protezioni anti intrusione, come avviene in molte piazze europee? Purtroppo siamo di fronte, come già avvenuto a Parigi e a Nizza, a un clamoroso fallimento dei servizi di intelligence, in questo caso spagnoli.

La seconda. E’ giunto il momento di smascherare l’ossimoro dietro a cui si trincerano le autorità dopo fatti come questi. Il refrain è sempre lo stesso: orrore per gli attentati, ma noi siamo migliori, noi non dobbiamo aver paura; dunque dobbiamo continuare a mantenere le frontiere aperte e ad accogliere gli immigrati islamici. Paradossalmente fino ad oggi questo approccio è stato vincente, ma razionalmente non sta in piedi.

Anche l’ultimo attentato in Finlandia è avvenuto al grido di Allah Akbar.

E questo perbenismo porta a inaccettabili forme di autocensura. Guardate queste immagini:

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Vi ricordano qualcosa? La prima la conoscete tutti. I media non si sono fatti scrupoli nel mostrare l’immagine del piccolo Aylan, perché serviva a giustificare moralmente l’immigrazione, ma la seconda immagine, segnalata su twitter, non diventerà una hit mondiale. La maggior parte del pubblico non la vedrà mai, eppure mostra un altro bambino di tre anni ucciso assieme alla madre dei terroristi islamici sulla Rambla. Viene censurata. Perché se venisse diffusa susciterebbe un’altra ondata emotiva ma nel senso contrario a quello desiderato dal mainstream multiculturale e globalizzante. E’ un’ipocrisia, ma rivelatrice. Così si gestisce l’opinione pubblica.

Sia chiaro: sebbene le cause del terrorismo non possano essere banalizzate e ha ragione chi sostiene che a destabilizzare il Medio Oriente siamo stati noi occidentali, in primis gli americani in Irak, Afghanistan, Libia e Siria, è innegabile che l’immigrazione incontrollata a cui stiamo assistendo da mesi e che riguarda principalmente l’Italia, sia fonte di destabilizzazione sociale, per la mancata integrazione di masse enormi di migranti a cui è impossibile garantire un lavoro e una normale accoglienza, e dunque di fenomeni estremi, come l’aumento della violenza, della criminalità, dell’estremismo religioso e, infine, del terrorismo.

Ecco perché ha ragione chi manifesta gridando “io non ho paura”. Ma quel grido andrebbe accompagnato con l’urlo: “Enough is enough” come dicono gli inglesi. Ovvero l’immigrazione incontrollata, soprattutto quella islamica, non è più accettabile. Ovvero, in italiano, abbiamo sopportato abbastanza.

FONTE http://blog.ilgiornale.it/foa/2017/08/18/immigrati-islamici-e-terrorismo-questa-foto-smaschera-lipocrisia-dei-media/

Islamisme : Le dénis continue

LE FIGARO. - Un attentat a eu lieu, dimanche, à la gare Saint-Charles à Marseille. Deux femmes ont été tuées…

Jeannette BOUGRAB. - L'horreur à l'état brut! Viser les femmes par égorgement et éventration, comme dans les montagnes de Blida, en Algérie, dans les années 1990, n'est pas anodin. Cela a une signification politique. Selon Ali Harb, un philosophe libanais, la violence dans l'islam est démultipliée parce que sa doxa religieuse se structure autour de deux notions: la pureté et la souillure. Dans l'islam, les femmes sont considérées comme impures. S'attaquer aux femmes, c'est répondre à une lecture littérale du Coran. Lorsque la communauté internationale s'est indignée des viols commis par l'État islamique, leurs dirigeants ont objecté qu'ils répondaient à une prescription: «Chacun doit se rappeler que réduire en esclavage les familles kuffars et prendre leurs femmes comme concubines est un aspect fermement établi par la charia. Et qu'en le niant ou le moquant, on nierait ou on moquerait les versets du Coran.» Même une femme musulmane n'existe pas seule. Mariée, on la soupçonne d'exciter les instincts masculins. Aussi doit-elle se cacher sous des voiles plus ou moins intégraux. Quant à l'égalité à laquelle le droit français nous a habitués, elle n'existe pas dans les pays musulmans. La femme est par nature inférieure. Le plus inouï, c'est qu'il y a des féministes françaises pour le justifier. Comment leur prose peut-elle être publiée dans des journaux qui hissent la cause des femmes comme étendard?

On mesure le degré de civilisation d'un pays à son respect des femmes. Or, on assiste en France à une escalade: des femmes sont chassées des rues et des cafés et désormais égorgées et éventrées. Ce qui me glace le sang au lendemain de cette boucherie de Marseille, c'est le tournant symbolique très important que cela amorce. On pensait que cette barbarie s'arrêterait aux frontières de l'Algérie, de l'Irak ou de la Syrie. Aujourd'hui, elle touche la France. Demain d'autres femmes se feront assassiner dans des conditions atroces. Il faudrait descendre dans la rue pour crier que meurtrir les femmes, c'est meurtrier le corps même de la France.

«Ce qui me glace le sang au lendemain de cette boucherie de Marseille, c'est le tournant symbolique très important que cela amorce»

Jeannette Bougrab

Depuis 2015, on ne compte plus ce type d'attentats. Assiste-t-on à une banalisation? Une résignation?

Il suffisait de regarder dimanche les chaînes d'information: cette barbarie inouïe était reléguée au second plan par rapport à la Catalogne. Plus que de la résignation ou de la banalisation, il faut parler de déni.

On n'ose pas nommer le mal de peur d'être accusé de racisme ou d'«islamophobie». L'égorgement et l'éventration de ces femmes me rappelle le début des violences du FIS en Algérie à la fin des années 1980 et le discours de François Mitterrand qui expliquait ces violences par l'absence de processus démocratique dans ce pays. À l'époque, les élites françaises n'ont pas voulu voir la réalité dans sa monstruosité. Cela s'est soldé par 300.000 morts en 10 ans. De même, après les émeutes de banlieue en 2005, on expliquait qu'à Marseille, il y avait un modèle d'intégration qui fonctionnait, un vouloir vivre ensemble à travers l'identité marseillaise. Et on se rend compte aujourd'hui qu'aucune partie du territoire national n'est protégée de la barbarie islamiste.

Dans votre nouveau livre, vous faites un parallèle avec la guerre d'Algérie. Pourquoi?

La guerre d'Algérie a représenté un tournant car la terreur a été semée délibérément dans la population civile. Les combattants du FLN s'attaquaient aussi bien aux soldats qu'aux enfants et même aux femmes enceintes. Le terrorisme contemporain puise pour partie ses origines dans la guerre d'Algérie, plus précisément dans la dimension religieuse de la lutte pour l'indépendance - dimension longtemps occultée au profit de la seule dimension nationaliste à laquelle elle ne se réduisait pourtant pas. En 2016, dans un livre courageux, Jean Birnbaum, homme de gauche, a critiqué sa propre famille politique pour ce qu'il appelle son «silence religieux». À ses yeux, la gauche refuse d'admettre le fondement religieux des attentats frappant la France de peur de susciter un amalgame entre islam et terrorisme qui pourrait faire le jeu du Front national. Selon lui, ce réflexe quasi pavlovien trouve son explication dans les non-dits de la guerre d'Algérie dont, en particulier, l'occultation de la nature réelle du FLN, à savoir l'enracinement de ce mouvement dans la foi islamique. «La révolution algérienne est fondée et bâtie sur le respect des principes de l'islam», proclamait à l'époque le FLN. Ce mouvement imposait à ses combattants un rigorisme religieux: interdiction du tabac, de l'alcool, des jeux d'argent et nez coupé à ceux qui étaient surpris en train de fumer pendant le ramadan! De crainte de disqualifier ce mouvement politico-militaire indépendantiste, la gauche a préféré taire la dimension religieuse du nationalisme algérien. Pourtant une violence qui s'exerce au nom de Dieu n'est pas n'importe quelle violence. Elle est loin d'être anodine. Nous sommes les héritiers de ce non-dit.

Que faire alors pour éviter que l'histoire ne se répète?

Il y a des choses très concrètes à faire au-delà des incantations. Comment se fait-il qu'un jeune délinquant, qui a tenté à plusieurs reprises d'aller en Syrie, soit remis en liberté avec un bracelet électronique et qu'il puisse, sans être inquiété, aller égorger le père Hamel dans une église? Que faisait sur le territoire le Tunisien qui a assassiné ces deux jeunes femmes à Marseille? Non seulement il était en situation irrégulière, mais également connu des services de police! Ce genre de cas ne devrait pas exister. Il faut, au nom du principe de précaution, pouvoir priver de liberté toute personne liée de près ou de loin à une organisation terroriste. Nous devons réduire le pouvoir d'appréciation des juges qui sont susceptibles de remettre en liberté des individus radicalisés. Cela demande un changement de mentalité de la part des magistrats. Par ailleurs, comme le juge Trévidic lui-même le dit très bien, les textes juridiques ne sont plus adaptés à la situation. Et ce qui est dramatique en France, c'est qu'il y a toujours une explication pour justifier et dédouaner les auteurs d'attentats ou les islamistes qui nourrissent le terrorisme. Lorsque Danièle Obono, députée de Paris (Les Insoumis), explique qu'un chauffeur RATP qui refuse de conduire un bus après une femme n'est pas nécessairement radicalisé, mais peut être simplement «sexiste», elle se fait l'idiote utile, pour ne pas dire la complice, des islamistes. De même que les dix-neuf intellectuels supposés qui, dans Le Monde, ont mené la charge contre Kamel Daoud, coupable d'avoir dénoncé la misère sexuelle du monde musulman - intellectuels qui excusaient les auteurs des agressions sexuelles de Cologne. Depuis Sartre, cette «complicité» est propre à l'intellectuel de gauche de Saint-Germain-des-Prés ou d'ailleurs. Jadis, Alain Badiou a salué l'arrivée des Khmers rouges à Phnom Penh, qui ont causé la mort de deux millions de personnes. Aujourd'hui, les intellectuels français devraient s'instruire auprès des intellectuels de culture musulmane qui ont subi l'horreur de la guerre civile en Algérie: Kamel Daoud, mais aussi Boualem Sansal, qui malgré les menaces sur sa vie ne se laisse impressionner ni par les imams qui appellent au meurtre, ni par les meneurs d'une certaine gauche française qui a corrompu le mouvement antiraciste pour en faire un outil d'oppression.

* Vient de publier «Lettre d'exil: la barbarie et nous» (Editions du Cerf, 2017, 224 p., 18 €).

SOURCE http://premium.lefigaro.fr/vox/societe/2017/10/02/31003-20171002ARTFIG00267-jeannette-bougrab-malgre-l-attentat-islamiste-de-marseille-le-deni-continue.php