12/11/2020
Islam (politico): l'Austria finalmente agisce!
Istituire il reato di islam politico nel tentativo di proteggere il suo Stato da eventuali pericoli derivanti dal radicalismo religioso e dal terrorismo internazionale di matrice jihadista, questo l'obiettivo dichiarato dal cancelliere austriaco Sebastian Kurz.
Il pacchetto di riforme annunciato dal leader del Partito popolare arriva ad una settimana circa dall'attacco terroristico che ha colpito il cuore della capitale Vienna, con un bilancio complessivo di 5 morti e 23 feriti. Lo scopo delle misure previste, che dovrebbero essere adottate a partire dal prossimo mese di dicembre, è quello di contrastare ogni genere di estremismo, a partire da quello islamico. "Questa non è una lotta tra cristiani e musulmani o tra austriaci e migranti. Questa è una lotta tra le tante persone che credono nella pace e quelle poche che vogliono la guerra", ha twittato il cancelliere austriaco, introducendo alcuni punti cardine delle riforme.
In Austria, quindi, si verrà a delineare"il reato di 'Islam politico' per poter procedere contro coloro che non sono terroristi, ma che creano loro il terreno fertile", ha spiegato Sebastian Kurz.
Sarà compresa in tali misure inoltre "un'estensione delle possibilità di chiudere luoghi di culto", laddove siano riscontrabili delle minacce o rischi di infiltrazioni, e l'introduzione di un vero e proprio registro degli imam diffusi nel paese, oltre che un forte inasprimento sulle leggi riguardanti le associazioni ed i simboli. Come annunciato ancora su Twitter, un aspetto fondamentale della lotta contro l'estremismo islamico sarà quello di adottare dei provvedimenti in grado di "prosciugare i flussi finanziari a sostegno del terrorismo".
Come rilanciato anche dai principali media nazionali, si parla poi della possibilità di introdurre una detenzione a vita, di revocare la cittadinanza austriaca ai condannati e di utilizzare lo strumento della sorveglianza elettronica dopo un eventuale rilascio. Con l'introduzione del reato di Islam politico, inoltre, sarà istituita una Procura anti terrorismo creata ad hoc.
"Finché non saranno de-radicalizzati e anche se avranno scontato la loro pena, creeremo la possibilità di rinchiudere queste persone per proteggere la popolazione", ha spiegato ai giornalisti lo stesso Sebastian Kurz. "Per coloro che sono appena stati rilasciati, ci sarà la sorveglianza elettronica. Questa è una forte interferenza, ma a mio parere è un passo necessario per ridurre al minimo la minaccia per la nostra popolazione", ha concluso il cancelliere.
FONTE: www.ilgiornale.it
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27/10/2020
Marion Maréchal: «Ce ne sont pas les valeurs de la République qui sont attaquées mais bien les valeurs françaises»
FIGARO VOX/TRIBUNE - Le droit et la laïcité sont insuffisants pour lutter contre l’islamisme radical, estime l’ancienne députée (RN) du Vaucluse.
Marion Maréchal est ancienne députée (RN) et directrice de l’Institut des Sciences Sociales et Politique (ISSEP), établissement privé qu’elle a fondé.
Voici donc la 267e victime de l’islamisme depuis 2012. Après les enfants, les militaires, les policiers égorgés devant leur petit garçon, les journalistes, les adolescentes à Marseille, le chef d’entreprise décapité, le curé dans son église, les innombrables victimes du Bataclan ou de Nice, c’est au tour du professeur.
L’histoire semble se répéter dans l’horreur mais celle-ci se distingue en ce qu’elle met en exergue les multiples complicités, la chaîne humaine qui a désigné la cible à abattre, la fatwa 2.0 avant que l’assassin ne passe à l’acte. On y découvre des élèves, des profs, des associations locales, des imams, de multiples relais anonymes sur le net. Un cas de dénonciation qui ne semble pas isolé dans l’Éducation nationale mais qui, cette fois, a trouvé le bourreau pour la mise à mort.
On parle à leur encontre de «séparatisme» pour éviter de rappeler que le terme «islamisme» découle du mot «islam». Le mot est impropre et révèle l’approximation de l’analyse: le séparatisme désigne le mécanisme politique d’un peuple qui vise l’indépendance. Les islamistes ne cherchent pas l’indépendance d’une partie du territoire ; ils veulent soumettre l’ensemble de la société française aux règles de la charia.
C’est une œuvre de subversion organisée de l’intérieur et souvent alimentée par l’extérieur. Cette influence extérieure trouve prise dans les allégeances multiples des individus ; en l’occurrence, pour une grande partie des musulmans, dans l’attache à leur pays d’origine, à l’Oumma (l’assemblée des croyants), au sunnisme, etc.
Les islamistes ne cherchent pas l’indépendance d’une partie du territoire ; ils veulent soumettre l’ensemble de la société française aux règles de la charia
Leurs armes: le nombre, la jeunesse, des alliés objectifs islamo-gauchistes qui cultivent la repentance occidentale, l’injonction au vivre-ensemble, les droits de l’Homme dévoyés, un islam en expansion au niveau mondial.
Les nôtres? La laïcité et pas grand-chose de plus
La laïcité n’est pas une réponse suffisante
Je suis convaincue que ceux qui invoquent «la République» comme une formule magique et brandissent la laïcité à tout va n’utilisent pas les bonnes armes et passent à côté de l’essentiel. La laïcité a sa place dans une riposte globale mais elle n’est pas suffisante. Nous demandons à la laïcité l’impossible. Nous invoquons comme une évidence un concept parfaitement assimilé en Europe mais inconnu de l’islam et des civilisations islamiques: la séparation du public et du privé, du spirituel et du temporel, du politique et du religieux, de Dieu et de César.
La rhétorique est inopérante en particulier auprès d’une grande partie de la jeunesse française musulmane dont je rappelle que 74 % font passer leurs convictions religieuses avant les «valeurs de la Républiques» et 26 % ne condamnent pas les djihadistes (sondage Ifop réalisé en 2020 sur les 15-24 ans).
En appeler uniquement à la laïcité pour traiter la question de l’islamisme, c’est une manière de réduire le débat à la question religieuse et d’ignorer le fait social qu’est l’Islam. C’est détourner le regard du sujet de la politique d’immigration, de la délinquance endémique qui est le terreau de la radicalité, du communautarisme islamique lié au nombre, de l’échec de l’assimilation ; bref de la dimension civilisationnelle du problème.
Arrêtons les fausses pudeurs et les vieilles lunes anticléricales: il n’y a pas de problème en France avec le catholicisme, le protestantisme, le judaïsme ou le bouddhisme. Nous avons un problème avec l’islam radical et uniquement lui. Ce n’est pas en renvoyant dos à dos tous les cultes, pour se donner bonne conscience, et en les pénalisant tous au passage, notamment sur la question de l’école privée hors contrat, que nous endiguerons le phénomène.
Il n’y a pas de problème en France avec le catholicisme, le protestantisme, le judaïsme ou le bouddhisme. Nous avons un problème avec l’islam radical et uniquement lui.
Il est tout aussi inefficace de s’épuiser à vouloir constituer un islam de France. Comme le dit le politologue Frédéric Saint-Clair: «le rôle de la République n’est pas de distinguer le bon islam du mauvais islam, ou de faciliter un islam des lumières. C’est aux musulmans de le faire, s’ils le souhaitent. La République, elle, doit définir le cadre politique et culturel de la nation».
Il est donc illusoire de la part de l’État de vouloir faire de la théologie, de chercher à contrôler l’islam en favorisant des courants par rapport à d’autres, de fabriquer des interlocuteurs artificiels puisque l’Islam n’a pas de clergé ou de chercher à faire disparaître la religion de la société et de l’espace public. L’État est laïc, et doit le rester, mais la société ne l’est pas.
Se contenter de brandir la laïcité, c’est, selon moi, une lâcheté qui se fait passer pour de la fermeté. C’est une façon politiquement acceptable de se protéger de la critique du «pas d’amalgame» qui tétanise les esprits, cadenasse le débat et empêche toute réflexion sur le sujet. Que les choses soient dites: si des musulmans modérés se sentent concernés quand on dénonce l’islamisme alors c’est que l’ambiguïté vient de leur côté. Pas du nôtre. Même les complices d’hier (Licra, SOS racisme et compagnie) retournent leur veste en dénonçant aujourd’hui le collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), proche des Frères musulmans.
Un modèle en panne
Quelle image leur renvoyons-nous? Pour eux nous sommes des mécréants, des jouisseurs, des consuméristes, des athées qui méprisons le sacré ; nous sommes la société du vide, de l’individualisme et du relativisme. Pour eux nous avons tué Dieu, la patrie, la famille. Ils voient une société sans courage, juste bonne à faire des marches blanches, à allumer des bougies et à crier «vous n’aurez pas ma haine». Contrairement à eux, nous avons oublié qu’islam et Europe n’ont cessé de s’affronter depuis 13 siècles.
Nos gouvernants ont espéré susciter le respect et l’adhésion par le modèle du «vivre ensemble». Ses promoteurs imaginaient, et imaginent toujours, qu’en effaçant toute trace de la nation historique française, en abandonnant l’exigence d’assimilation, en refusant la prééminence de nos traditions, en abordant toutes les cultures de manière égale, en appliquant la loi avec «magnanimité», en concédant des «accommodements raisonnables», on éviterait que les étrangers se sentent «exclus» et nous contribuerions ainsi à leur insertion dans la société française.
Pourquoi adhérer à un modèle de société que même les héritiers directs ne veulent plus défendre ?
Le résultat ne s’est pas fait attendre: pourquoi adhérer à un modèle de société que même les héritiers directs ne veulent plus défendre? Pourquoi abandonner son référentiel d’origine quand la société d’accueil n’impose pas le sien et n’assume ni sa singularité, ni sa valeur propre? Au nom de la tolérance, le multiculturalisme achève de détruire une liberté de plus: la liberté d’expression et d’opinion, après avoir réduit la liberté de circulation par l’impact des violences et de l’insécurité ou encore la liberté d’enseignement par la suppression générale de l’école à la maison ou la mise au pas de toutes les écoles privées.
Ils ont cru que la société libérale, dénuée de passé, privée de morale collective et de références communes, pourrait s’organiser autour de la liberté de l’individu érigée en valeur ultime. Ils ont cru ce modèle tellement supérieur aux autres qu’ils pensaient que chaque étranger serait conduit à s’y rallier naturellement. La liberté autocentrée, le plaisir, le pouvoir d’achat devaient inéluctablement supplanter l’ «obscurantisme», de même que la raison devait nécessairement l’emporter à terme sur les croyances et la foi. Cela revient à méconnaître les tréfonds de l’âme humaine, souffrir d’amnésie historique, raisonner uniquement au travers de l’esprit français en détournant le regard des mouvements civilisationnels.
L’universalisme, les lumières, les droits de l’Homme ! Toutes ces idées ont été dévoyées selon la technique du judo dans lequell le combattant retourne la force de l’adversaire contre lui
Mais voilà, la raison européenne est contestée, l’école n’émancipe plus et la force d’attraction de la civilisation islamique supplante de loin celle de notre société. Quand même: l’universalisme, les lumières, les droits de l’Homme! , me répondrez-vous. Toutes ces idées ont été dévoyées selon la technique du judo dans lequell le combattant retourne la force de l’adversaire contre lui.
L’universalisme est devenu, dans leur esprit, une vieille lubie de colon esclavagiste convaincu de la supériorité de sa culture sur celle des autres. L’universalisme rimait avec l’exportation de la culture française dans le monde entier, dorénavant il rime avec métissage et importation des cultures étrangères sur le sol français. Les lumières? Selon eux Voltaire était un raciste. La raison promu par eux n’a rien universelle mais n’est qu’un instrument de domination des européens sur le monde.
Les droits de l’Homme? Ce texte initialement symbolique est devenu une arme juridique qui permet aujourd’hui de protéger un terroriste de l’expulsion, de sacraliser le regroupement familial ou de limiter la liberté d’expression au nom de la «paix religieuse». ( CEDH arrêt 2018)
Plus que les «valeurs de la République», défendons la France
Nous ne pourrons pas gagner qu’avec des concepts abstraits ou des «valeurs de la République» dont plus personne ne sait ce à quoi elles renvoient tant elles ont été invoquées à tort et à travers (notamment pour disqualifier moralement et politiquement les personnes lucides qui ont précisément essayé d’éviter le drame que nous vivons en ce moment).
L’obscurantisme islamiste ne se combat pas seulement par la loi, il se combat aussi dans les cœurs. Il ne s’agit pas d’opposer République et France mais de considérer la première comme un euphémisme de la seconde. Ce ne sont pas les valeurs de la République qui sont attaquées mais bien les valeurs françaises. C’est donc la France que nous devons défendre.
Il faut assumer le fait que si nous accordons une place aux Français musulmans patriotes, nous n’avons pas vocation à devenir une nation musulmane, une république islamique, même si ce scénario est désormais loin d’être improbable au regard de la courbe démographique actuelle.
Il nous faut donc mêler cette certitude avec une volonté inébranlable dans la réduction drastique de l’immigration, la réforme du code de la nationalité et du droit d’asile, l’extension des cas de déchéance de nationalité, le respect scrupuleux de la loi, la lutte contre toutes les influences étrangères qu’elles soient financières ou religieuses sur notre sol, le refus du chantage à l’islamophobie, la valorisation de notre héritage, l’association de tous les acteurs de terrain, notamment dans l’école, et la sanction implacable des récalcitrants.
C’est un combat global historique, spirituel, culturel, intellectuel, éducatif
Le combat ne peut pas être gagné uniquement par du légalisme. C’est un combat global historique, spirituel, culturel, intellectuel, éducatif. C’est un combat moral qui passera d’abord par l’affirmation et la fierté de ce que nous sommes. C’est un combat de civilisation et quiconque refusera de voir cette dimension a déjà perdu.
SOURCE: www.figaro.fr
https://www.lefigaro.fr/vox/politique/marion-marechal-ce-...
08:16 Publié dans occident versus islam | Lien permanent | Commentaires (0)
11/05/2020
Silvia Romano: quando lo schifo diventa da vomito
Eccola la nuova protagonista del reality show italiano
Si chiama Silvia Romano
Era partita per fare una missione umanitaria in Kenia
Ed é stata rapita da un gruppo terrorista maomettano infiltrato dalla Somalia
Il nostro grandioso bibitaro autodesignato Ministro degli Esteri ha negoziato senza riserve il pagamento di un lauto riscatto milionario con i soldi degli italiani
E lo ha fatto passando attraverso il Sultano Merdogan, correligionario dei terroristi, che si é sicuramente intascato la commissione
Il riscatto servirà quindi a finanziare organizzazioni terroristiche che continueranno ad operare per proseguire i massacri in Kenia ed ovunque altro
E che cosa fa questa idiota sinistrorsa liberata grazie ad un riscatto versato dal bibitaro al profitto di terroristi sanguinari?
Ritorna in Italia con il velo islamico???!!!
Con il velo imposto da Maometto il tagliagole !!
Si fa chiamare Aisha, come la bambina di 9 anni deflorata dal quel porco di pedofilo epilettico poligamo!
Ma ci stai prendendo per il culo???
Ma vuoi uscire da Auschwitz con la tenuta nazista?
Ma vuoi uscire dal Gulag con la falce ed il martello?
Ma non hai un briciolo di intelligenza e di rispetto per le vittime di questa ideologia satanica?
Ma non hai un briciolo di considerazione per la cultura del Paese che ha pagato il tuo riscatto?
Ci tocca persino sentire che l'imam di Milano vuole incontrarla?
Oramai il fondo é raggiunto, siamo nel baratro!
09:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
08/04/2020
Le muezzin et les cloches
Depuis quelques jours, de plus en plus de mosquées en France prennent prétexte de la pandémie de Covid-19 pour faire retentir l’adhan, l’appel à la prière du muezzin. Et non, contrairement à ce que d’autres ont prétendu, ce n’est pas une fake news. Et non, malgré le discours officiel, ce n’est pas un « geste de solidarité et de soutien ». Oui, c’est une démonstration de force, une manière de prendre possession d’un territoire, et plus encore d’un espace symbolique. Oui, c’est une provocation.
L’affaire semble avoir commencé à Lyon. Pour le 25 mars, fête de l’Annonciation, l’Église catholique a appelé à faire sonner les cloches des églises de France à 20h pour participer aux manifestations de soutien et de gratitude envers les soignants. La Grande Mosquée de Lyon a alors décidé de lancer du haut de son minaret l’appel à la prière du soir, son recteur Kamel Kabtane déclarant sur Twitter : « Ce soir à 19h00, la Grande Mosquée de Lyon s’illuminera et l’appel à la prière du Maghreb sera dite du haut de son minaret pour soutenir ces hommes et ces femmes des services publics et des hôpitaux, qui depuis le début en dépit de la gravité luttent avec courage et abnégation. » Comme je l’avais écrit sur le même réseau un peu après : « Je vous crois sincère, mais je suis un de ces agents du service public et je suis aussi ce que votre livre saint nomme un « associateur » et appelle à tuer. Vous voudrez bien ne pas prétendre que faire la promotion d’une idéologie qui veut ma mort a pour but de me soutenir. » Depuis, les cas similaires se multiplient, comme dimanche à Bischwiller, situation que l’Alsacien que je suis connaît bien.
Certains, par exemple et sans surprise Libération, se sont fait une joie de pointer une erreur de détail dans la lettre ouverte que Marine Le Pen a envoyée sur ce sujet à Christophe Castaner pour laisser entendre que rien ne se passerait, et que l’objet de cette lettre ne serait qu’un « appel à la prière islamique fictif ». Le président du CFCM, lui, s’est empressé de dénoncer « une campagne politico-politicienne aussi absurde qu’incompréhensible contre les musulmans de France ». Rappelons donc que tous les musulmans de France n’approuvent pas ces appels à la prière ostentatoires, et rappelons aussi que le CFCM n’a toujours pas jugé bon de relever de ses fonctions son délégué général Abdallah Zekri, qui considère que Mila « l’a bien cherché ».
Car on est loin ici d’une « absurde polémique politico-politicienne », pour la simple raison que l’on est loin, très loin, d’un authentique geste « de solidarité et de soutien ». Il y a évidemment des musulmans parmi ceux qui luttent contre la pandémie, parmi ceux qui en souffrent, parmi ceux qui en meurent. Mais il y a aussi beaucoup de non-musulmans. Or, l’adhan n’est pas juste une chanson exotique au doux parfum d’Orient. C’est un texte lourd de sens, dans lequel on entend notamment « Allahu akbar », « Allah est le plus grand » et « Lâ ilâha illa Llâh », « j’atteste qu’il n’y a de dieu qu’Allah ».
On peut le déplorer, y voir une récupération honteuse, il n’en demeure pas moins que « Allahu akbar » est devenu le cri de ralliement des jihadistes, comme il était jadis celui des armées conquérantes de l’islam. Samedi dernier, c’est ce cri qui a accompagné l’assassinat de deux de nos concitoyens au nom de l’islam, à Romans-sur-Isère. Le 10 novembre, c’est ce cri qui rythmait la manifestation de la honte « contre l’islamophobie », en réalité marche de soutien à l’emprise et aux ambitions de l’islam théocratique.
Que l’islam commence par se remettre en question
Quand à « Lâ ilâha illa Llâh », symbole de l’insistance islamique sur l’unicité divine, c’est par essence la négation de toute religion en dehors de l’islam. Et faire entendre le plus fort possible « il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah » ne saurait en aucun cas être un « geste de solidarité et de soutien » envers les croyants des autres religions, et plus généralement les non-musulmans, y compris les agnostiques et les athées.
Couplées, ces deux phrases « Allah est le plus grand » et « il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah » sont, pour reprendre la belle formule d’un ami, l’affirmation d’une primauté tout autant qu’un anathème. Personne j’espère n’oserait prétendre que diffuser par hauts-parleurs « Jésus est le seul vrai dieu, et vive les croisades ! » serait un « geste de solidarité et de soutien » envers nos concitoyens musulmans confrontés à l’épidémie, or ce serait ni plus ni moins que l’équivalent de l’adhan.
Je redis encore l’évidence : l’adhan est l’appel à la prière d’une religion qui certes ne se résume pas à ce qu’elle a de pire, mais dont il faut se souvenir qu’aujourd’hui même, dans 13 pays du monde – ce qui est beaucoup trop pour ne pas être signifiant – elle condamne à mort les apostats, les athées, les polythéistes, les blasphémateurs, et qu’en bien plus d’endroits encore elle menace et persécute les homosexuels. Et l’appel à la prière d’une telle religion n’a rien d’un « geste de solidarité et de soutien » envers les apostats, les athées, les polythéistes, les amoureux de la liberté d’expression et les homosexuels qui, eux aussi, luttent chaque jour contre la pandémie pour le bien de tous, qui en souffrent, qui en meurent.
Occupation sonore de territoires français
Oui, ces adhan qui retentissent – de surcroît et ne l’oublions pas dans une langue étrangère – sont des démonstrations de force, des provocations, des tentatives d’occuper un territoire : occupation sonore, physique, et plus encore symbolique, ce qui est d’une importance cruciale et trop souvent négligée. N’en déplaise aux lâches qui préféreraient ne rien voir, alors que ce n’est qu’une étape, et que laisser faire aujourd’hui revient à encourager encore plus de revendications, encore plus d’ostentation, encore plus de prosélytisme demain. N’en déplaise aux irresponsables, aux hypocrites, et aux complices plus ou moins lucides de l’islam théocratique.
Un dernier point. Non, l’adhan n’est pas la même chose qu’une sonnerie de cloches, et nous devons refuser fermement toute tentative de les mettre sur le même plan.
D’abord parce que les cloches font désormais partie d’une tradition qui dépasse largement leur signification chrétienne initiale, appartenant à un paysage sonore et à un patrimoine culturel commun. Dans la France sécularisée et laïque, elles sonnent par exemple le tocsin en cas d’incendie, ce qui n’a rien de religieux. En revanche, l’adhan n’a pas d’autre signification que religieuse, et ne saurait donc être donné à entendre sans que cette signification soit présente. Et à l’heure où l’on s’écharpe sur la place des crèches de Noël dans un pays où cette fête appartient pourtant elle aussi à un patrimoine sécularisé, laisser se banaliser la diffusion dans l’espace public d’un message explicitement islamique serait catastrophique.
Il ne faut pas relativiser
Ensuite parce que les cloches ne sont pas devenues le cri de guerre d’un totalitarisme sanglant, et parce qu’elles ne sont pas non plus la négation explicite de toute croyance en dehors de celle de ceux qui les font retentir. Une fois de plus, vouloir mettre toutes les religions, et tous les courants des religions, sur le même plan serait une erreur fondamentale. C’est un piège que nous tendent tous les fanatiques, désireux de bénéficier puis d’abuser de la tolérance à laquelle ont droit les croyants qui savent placer l’éthique et la raison au-dessus des dogmes. La France et la République ont le droit et même le devoir de traiter différemment leurs alliés et leurs ennemis, de traiter différemment les religions qui respectent leurs principes fondamentaux, et celles qui les menacent. La laïcité ne doit pas être neutre, elle doit être impartiale.
Oui, le christianisme fut jadis une idéologie totalitaire, Hypatie d’Alexandrie et Giordano Bruno l’ont payé de leurs vies. Mais il a évolué. La tentation théocratique subsiste par endroits, mais elle n’est qu’à peine résiduelle (du moins en Europe). Le christianisme a fini par se plier – de force au début, plus volontiers ensuite – au respect de la liberté de pensée, de la liberté de conscience, de la liberté d’expression. Et ça, ça change tout.
SOURCE : Aurelien Marq
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06/04/2020
Pire que le Covid 19.......le CORANOVIRUS!
Elle s'appelait Emilie Jones, elle avait 7 ans
Une musulmane somalienne de 30 ans l'a égorgée dans le parc communal de Manchester
Que faisait-elle cette "vraie croyante" en GB?
Pourquoi l'a-t-on autorisée à s'installer en "dar al-harb"?
Pourquoi n'a-t-elle pas émigré en Arabie Saudite ou dans un autre de ces Pays musulmans de merde?
Pourquoi vient-elle profiter de l'hospitalité des mécréants, avec leur condescendance?
Julie est morte à cause de la stupidité, de l'ignorance et de la lâcheté des (ir)responsables politiques
Les médias internationaux ont occulté la nouvelle
Circulez, l'islam n'a rien à voir
https://www.manchestereveningnews.co.uk/news/greater-manc...
En France, un musulman soudanais arrivé illégalement et bénéficiant du statut de réfugié (sic!) décide d'égorger 2 mécréants français, issus du Pays qui l'avait logé, nourri et payé ses allocations
"Allah u-akhbar!"
Il a fait tout ceci pour émuler son pédophile de pseudo prophète, j'ai nommé muhammad l'égorgeur.
Pourquoi on les autorise à s'installer en "dar al-harb"?
Pourquoi vient-il profiter de l'hospitalité des mécréants?
Pourquoi n'a-t-il pas émigré en Arabie Saudite ou un autre de ces Pays musulmans de merde?
Ces deux innocents sont morts à cause de la stupidité, de l'ignorance et de la lâcheté des (ir)responsables politiques
Macron n'a pas jugé utile s'étaler sur cette affaire et ses sbires non plus
Circulez, le coran n'a rien à voir
http://www.leparisien.fr/faits-divers/attaque-au-couteau-...
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12/02/2020
Il Sultano alla riscossa dei tagliagole maomettani
Erdogan ha minacciato di attaccare la Siria se un solo soldato turco sarà ferito dall’esercito di Damasco che sta avanzando nell’area di Idlib, ancora in mano alla sezione siriana di al Qaeda.
Nel caso, ha detto, il suo esercito avrebbe attaccato “liberamente” il territorio siriano, cioè, esplicitando, che i suoi aerei potrebbero bombardare anche Damasco. Se accadesse, sarebbe guerra aperta.
La risposta siriana
In risposta, l’agenzia Sana pubblica le dichiarazioni di una fonte del ministero degli Esteri che ha definito il presidente turco persona “fuori dalla realtà”, le cui “vuote” minacce non fermeranno l’avanzata siriana contro i terroristi ormai allo sbando.
Propaganda, forse, ma è un dato di fatto che l’esercito siriano ha rotto le fila avversarie, tanto che i turchi sono dovuti accorrere in loro soccorso per evitarne il collasso.
Si rende esplicita così l’alleanza tra turchi e terroristi di Idlib, che succede a quella pregressa con l’Isis, il cui petrolio veniva commercializzato in Turchia (come documentato dai russi).
Le parole di Erdogan non vogliono solo dare un monito alla Siria, ma anche scuotere Putin, molto più vicino alle ragioni di Damasco che ai torti del sultano di Ankara, il quale di fatto reclama la potestà turca su un territorio non suo, controllato, per delega, dai suoi terroristi di fiducia.
Le pretese di Erdogan
Erdogan è stato protagonista principale della guerra siriana; ha sostenuto in via diretta varie milizie jihadiste anti-Assad, tra cui la feroce al Nusra (al Qaeda), diventata poi Tahrir al-Sham, che ora controlla Idlib.
Ma ha anche dato supporto logistico alle altre milizie, quelle finanziate dai Paesi del Golfo e dall’Occidente (Usa, Francia e Gran Bretagna), le cui legioni hanno usato i confini turchi per infiltrarsi in Siria.
Erdogan vuole ottenere qualcosa da tanto impegno. E ritiene che l’acquisizione di Idlib alla Turchia (solo transitoriamente in via informale) gli spetti di diritto.
Le pretese di Erdogan sono inaccettabili per Damasco, che ha trovato in Putin un interlocutore. Resta che finora la Russia era riuscita a preservare una posizione super partes, grazie all’attivazione del meccanismo di mediazione di Astana che ha coinvolto Turchia e Iran nella pacificazione della Siria.
Ma se Damasco finora si era attenuta al dettato di Astana, non ha potuto però restare inerte quando i terroristi di Idlib, sui quali Ankara si era impegnata a vigilare, hanno ripreso a lanciare missili su Aleppo.
Da qui la nuova offensiva, che ha riconsegnato a Damasco villaggi e aree chiave, ma soprattutto il controllo dell’autostrada che congiunge Damasco ad Aleppo, snodo cruciale che dal 2012 gli era stato sottratto.
L’intervento turco a fianco dei terroristi ha causato la morte di alcuni dei loro militari, caduti sotto il fuoco siriano. Da cui l’escalation.
Putin alla finestra
A complicare le cose a Erdogan, che sta dichiarando guerra a mezzo mondo (vedi Libia), la partecipazione russa all’offensiva siriana. Aerei russi e siriani ieri hanno volato ancora una volta insieme, bombardando un manipolo di terroristi.
Un segnale inequivocabile. Tanto che oggi Erdogan ha telefonato a Putin. Ma deve essergli andata malino, dato che il report del Cremlino conclude che seguiranno altri contatti.
Il presidente russo continua a ripetere il suo impegno per una de-escalation sulle prospettive aperte ad Astana, ma è chiaro che Erdogan deve accettare il nuovo assetto, cioè lasciare a Damasco quanto riconquistato, cosa che evidentemente non vuol fare.
E soprattutto che deve mettere il bavaglio ai terroristi di Idlib, cosa per lui impervia dato che non riesce ad abbandonare la prospettiva di piegare Damasco (e in tale prospettiva Idlib deve rimanere fattore di destabilizzazione permanente).
Ma Erdogan può davvero aprire una guerra, rischiando di scontrarsi con i russi? Questo il senso implicito della risposta del ministero degli Esteri siriano.
Le novità della campagna di Idlib
In attesa di sviluppi, registriamo tre novità. L’avanzata di Damasco su Idlib non ha suscitato, come in passato, appelli umanitari in Occidente. Strumentali, al di là delle intenzioni, a preservare ai terroristi la loro enclave.
Evidente che il teatrino è cambiato e che i fautori del regime-change siriano hanno meno presa sui Paesi che l’hanno spinto in vario modo.
Inoltre, a questa fase bellica è stato risparmiato, almeno finora, il teatrino delle armi chimiche di Assad, manipolazione usuale in questa guerra. Segno che gli artisti di tali manipolazioni sono in certo affanno.
In terzo luogo si osserva che da alcuni mesi l’area di Idlib viene chiamata “Governatorato di Idlib”. Controllato da terroristi, è di fatto assimilabile al Califfato dell’Isis.
Ma il nome Califfato evocherebbe, appunto, quel Terrore, legittimando l’iniziativa militare di Damasco. Da qui “governatorato”, nome che evoca un ente politico senza alcuna connotazione.
Potenza dei nomi e della propaganda, che qui è riuscita a far passare per “ribelli” quelle fazioni terroriste che hanno sparso sangue anche in Occidente.
FONTE :http://piccolenote.ilgiornale.it/43948/idlib-erdogan-guerra-damasco
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16/10/2019
Histoire de l'islamisation française
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14/10/2019
La presse turque salue le massacre d'Hevrin Khalaf
La presse turque, très majoritairement favorable à l’offensive en cours contre les forces kurdes des SDF (forces démocratiques syriennes) dans le nord de la Syrie, n’hésite pas à applaudir aussi l’exécution de civils. “À la suite d’une opération réussie, la secrétaire générale du Parti du Futur de la Syrie, liée au parti politique terroriste PYD, a été mise hors d’état de nuire” se félicitait ainsi le quotidien islamo-nationaliste Yeni Safak.
Dimanche 13 octobre dans l’après-midi, le tweet et l’article du journal avaient été supprimés, mais des journaux turcs reprenaient toujours l’information sur le même ton : “L’organisation terroriste en état de choc : une de leurs responsables exécutés” titrait encore le journal Yeni Akit.
Une référence à l’exécution, samedi 12 octobre de la femme politique kurde syrienne Hevrin Khalaf, membre du Parti du Futur de la Syrie. Sa voiture a été arrêtée sur une autoroute syrienne par des membres des milices pro-turques, qui l’ont tuée ainsi que son chauffeur. Une vidéo diffusée sur internet et authentifiée montre sa voiture criblée d’impact entourée d’hommes en armes et le corps du chauffeur mort à terre, on entend à l’arrière-plan une voix féminine attribuée à Hevrin Khalaf dire “c’est le chauffeur du parti”........
SOURCE www.courrierinternational.com
PS: il n'y a pas si longtemps les bobos progressistes plaidaient pour la Turquie dans l'UE
C'est déjà un énorme scandale qu'elle soit dans l'OTAN
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Hevrin Khalaf : vittima dei turco sunniti
QAMISHLI (Siria nord-orientale) - Sono andati quasi tutti i massimi esponenti politici e militari curdi ieri al suo funerale a Derek, un villaggio lungo il confine con l’Iraq. Nonostante la guerra, nonostante Rojava sia a rischio di essere sconfitta per sempre dall’esercito turco assieme ai suoi alleati tra le milizie sunnite siriane, alcune di esse in odore di qaedismo, non era possibile non renderle un ultimo saluto.
Così, la 35enne Hevrin Khalaf ha ricevuto l’estremo addio con tutti gli onori. La sua morte due giorni fa sulla strada tra Hasakah e Qamishli è stata una crudele cartina al tornasole di quanto l’intera regione sia destabilizzata e sull’orlo del collasso.
Curda, donna forte, attivista per la difesa dei diritti civili, impegnata a garantire i deboli. La conoscevano tutti tra Qamishli, Kobane e Raqqa. Aveva imparato l’inglese sin da giovanissima, era diventata ingegnere, quindi si era impegnata ad aiutare le donne. Amava la politica a tempo pieno. «Era sempre presente alle riunioni con le delegazioni straniere. Elegante, sobria, teneva rapporti diretti con i diplomatici americani ed europei», raccontano i suoi collaboratori.
I social media locali rivelano dettagli terrificanti, con foto crude. Secondo alcuni pare sia stata vittima di un’imboscata ben pianificata. Doveva partecipare a una riunione ad Hasakah con alcuni attivisti del suo nuovo partito, di cui era anche segretaria generale, il «Partito Siriano del Futuro». Ma la sua macchina è stata presa di mira a colpi di mitra. Assassinati subito l’autista e un suo collaboratore. Lei trascinata giù dalla vettura, forse violentata, prima di essere uccisa a pietrate. Una lapidazione vera e propria.
I curdi accusano le milizie arabe mercenarie di Ankara. I comandi turchi negano, affermano di non essere neppure arrivati così nel profondo di Rojava. Ma le cronache delle ultime ore provano il contrario. Ispirati dai turchi, i miliziani dell’Isis, i jihadisti arabi, lo stesso regime di Damasco, alzano la testa. I curdi sono sulla difensiva. Non si capisce più quali strade siano sicure e quali no. E nella terra di nessuno tutto diventa possibile. Anche assassinare una giovane donne innamorata della libertà e dei diritti umani.
FONTE : www.corriere.it
Djihadisti sunniti al fianco delle truppe di Erdogan
PER APPROFONDIRE:
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09/10/2019
La France sur la voie de la guerre civile
.....«C’est une honte, un véritable scandale!» La tenue d’une manifestation en faveur du terroriste Mickaël Harpon, ce jeudi, à Gonesse, crée un vif émoi. Et pas seulement chez les policiers en deuil qui seront chargés d’encadrer ce rassemblement.
Pour son organisateur, Hadama Traoré, qui s’était fait connaître en mai comme le «candidat des banlieues» lors des européennes, il s’agit de «communiquer différemment sur Mickaël»qui«n’est pas un terroriste!», clame-t-il. Alors que le président de la République a appelé mardi à «un combat sans relâche» contre «l’hydre islamiste», le militant prévoit «une mobilisation devant la mairie de Gonesse», où résidait le meurtrier. «On a le bras long!, assène-t-il dans une vidéo publiée sur sa page Facebook. Toutes les communautés persécutées, on va faire la guerre ensemble, aux politiques et aux médias. Et on commence ce jeudi.»
"La personne qui ose dire que Mickaël Harpon était un terroriste animé par des revendications religieuses, je lui traite sa mère et je lui crache à la gueule"
Hadama Traoré
Mickaël Harpon? «C’était une crème!», scande-t-il dans sa vidéo, tout en condamnant «ce qu’il a fait». «J’ai la haine, éructe-t-il...........
08:14 | Lien permanent | Commentaires (0)