03/09/2021
I seguaci del Pedofilo colpiscono in Nuova Zelanda
Sei persone sono state accoltellate in un supermercato ad Auckland, la città più popolosa della Nuova Zelanda. Il primo ministro Jacinda Ardern ha parlato di "attacco terroristico" pianificato da un "violento estremista" ispirato dall'Isis. L'attentatore, un cittadino dello Sri-Lanka, è stato ucciso a colpi di pistola dagli agenti della polizia. I feriti sono stati trasferiti in ospedale: tre sono in condizioni critiche, uno è in pericolo di vita.
L'uomo, ha aggiunto Ardern, era arrivato in Nuova Zelanda nel 2011 ed era sotto controllo delle autorità dal 2016. Non aveva legami con altri sospetti ed era dunque un lupo solitario, sorvegliato per la sua ideologia. Alle 14.40 locali, poco prima delle cinque italiane di questa mattina, è entrato nel supermercato - obiettivo scelto, probabilmente, perché la città è sottoposta a uno stringente lockdown dovuto alla diffusione della variante Delta e i negozi di prima necessità sono tra le poche attività aperte - e ha utilizzato come arma un coltello preso direttamente dagli scaffali. Il primo ministro ha aggiunto che l'uomo non poteva essere imprigionato, ma era controllato "24 ore su 24", fattore che ha permesso agli agenti di intervenire "meno di sessanta secondi doppo l'inizio dell'attacco". I video registrati all'interno del supermercato hanno registrato il suono di una decina di proiettili esplosi in rapida successione.
DOMANDA : che cazzo ci fa in Nuova Zelanda un ammiratore del Pedofilo meccano che la polizia deve prendersi carico di sorvegliare 24/24ore?
Perché non l'hanno risbattuto in Qatar o in Arabia Saudita piu' presto?
Per quale ragione alloggiarlo e nutrirlo nell'attesa che applichi gli insegnamenti del suo Pedofilo maestro?
Diritti umani? Ma vaffan....
13:14 | Lien permanent | Commentaires (0)
02/09/2021
Voici nos ennemis pour toujours
https://www.dailymotion.com/video/x83w81d
Ces êtres bestiaux qui roulent en pickup japonais, qui filment en smarphone américain, qui ne produisent rien, qui ne font rien d'autre que le MAL enseigné par leur pédophile de pseudoprophète, et qui rêvent de dominer le monde
09:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
01/09/2021
Kaboul épicentre de l'internationale terroriste, Londres capitale de l'islamisme
Après le retrait des dernières troupes américaines, les Talibans ont pris le pouvoir dans la quasi-totalité du pays - exceptée la zone tadjike sous contrôle d'Ahmed Massoud - et il contrôlent désormais l'aéroport, où l'Etat islamique a revendiqué les derniers attentats suicides qui ont fait 13 morts parmi les soldats américains. Face à cette menace de Daech, jugée plus forte que celle des Talibans (pourtant liés à Al-Qaïda) - et qui permet de banaliser par contraste le fanatisme des nouveaux maîtres de Kabul, vingt après leur éviction - les Etats-Unis, la Chine, l'Iran, la Turquie, la Russie et même l'Union européenne s'apprêtent à reconnaître le gouvernement taliban ou préparent leur opinion à composer avec l'ennemi d'hier, "allié" en devenir face à Daech".
Quant à eux, les Taliban, tout en assurant être devenus "modérés", galvanisent les islamistes du monde entier en affirmant avoir "vaincu" la première puissance du monde, ce qui annonce pour les fanatiques islamistes du monde entier la victoire future du totalitarisme vert sur l'ensemble de la terre...
La victoire des Talibans est en effet à la fois un encouragement pour le jihadisme, puisqu'elle démontre que la lutte armée islamo-terroriste contre les "Mécréants" et les "Apostats" finit par payer, mais aussi pour l'islamisme politique plus "institutionnel" à la Frères musulmans, qui est en pleine ascension dans la zone "Af-Pak", mais aussi, depuis les années 2000, en Turquie, en Asie du Sud-Est, et même... en Occident, où il est appuyé tant par la Turquie d'Erdogan que par le Qatar, double parrain des Talibans et des Frères musulmans.
Pour analyser cette situation et les liens entre ces différents fronts de l'islamisme radical - idéologie et projet totalitaires dont l'ascension doit beaucoup à la stratégie américaine d'endiguement de la Russie et de ses alliés européens et arabes sous et après la guerre froide - le philosophe et diplomate tunisien Mezri Haddad, qui analyse et combat l'islamisme sous ces deux formes ("coupeurs de langues" et "coupeurs de têtes") depuis 30 ans, tant en Tunisie qu'en Europe. Lucide, très critique à l'égard des printemps arabes, et inquiet de la progression de l'islamisme en Afghanistan ou en Libye par la violence et en Europe ou en Turquie par la subversion, il ne désespère toutefois pas du monde arabe, où, des Emirats arabes Unis jusqu'à la Tunisie, en passant par l'Egypte, la Syrie et les partisans du maréchal Haftar en Libye, la tendance est au reflux des Frères musulmans, selon lui matrice de l'islamisme moderne, politique ou jihadiste, ou les deux à la fois...
Alexandre Del Valle : Avant d'aborder plus longuement le dossier afghan, commençons par votre pays d'origine, la Tunisie, où, fin juillet dernier, des mesures exceptionnelles ont été prises par le président Kaïs Saïed, notamment pour réduire le pouvoir et l'influence des Frères musulmans. Plusieurs grands médias, notamment en France et aux Etats-Unis, ont parlé de coup d’Etat à l’Egyptienne et d’un retour à l’autoritarisme en Tunisie ? Craignez-vous la fin de la démocratie dans ce seul pays qui a réussi son « printemps arabe » ? Plus globalement, déplorez-vous comme certains que la lutte contre l'islamisme se fasse par une régression de la démocratie libérale via l'autoritarisme ou le militarisme?
Mezri Haddad : Je vais peut-être vous surprendre et même indigner certains grands prêtres du droit-de-l’hommisme universel, mais pour moi, les deux seuls pays qui ont réussi leur « printemps arabe » sont l’Egypte et la Syrie, malgré ses milliers de morts et ses infrastructures détruites. L’Egypte, parce qu’elle a eu, à un moment crucial de son histoire, Abdel Fattah al-Sissi, qui a su répondre à l’appel de 40 millions de ses concitoyens pour rétablir la sécurité et la concorde civile en écartant du pouvoir les Frères musulmans, qui ont été imposés par Barack Hussein Obama et Hillary Clinton. La Syrie, parce qu’elle a héroïquement résisté à une coalition d’Etats, de mercenaires étrangers et de groupes islamo-terroristes sans précédent dans l’Histoire : Al-Qaïda, Al-Nosra, Daech, Fatah Halep, Ahrar al-Sham, Nour al-Dine Zinki, les Frères musulmans, les Tchétchènes…tous financés par le Qatar et soutenus militairement et diplomatiquement par des démocraties occidentales. Fait effectivement inédit dans l’histoire, cette alliance entre la « civilisation » et la barbarie ! Je ne pense pas m’être trompé, ni avoir versé dans la provocation en écrivant un jour pour je ne sais plus quel média français, que Vladimir Poutine était le véritable défenseur des valeurs occidentales !
Vous n'êtes donc pas un chantre de la "révolution du jasmin" et vous n'êtes pas d'accord avec ceux qui disent que votre pays a offert le meilleur exemple de transition démocratique réussie et d'institutionnalisation d'un islamisme politique modéré" (Ennahdha)? .
Le refrain médiatique selon lequel la Tunisie serait « le seul pays qui aurait réussi son printemps arabe » n’amuse plus les connaisseurs, ni même d’ailleurs le peuple tunisien qui a cru à la « révolution du jasmin ». En dix ans de démantèlement de l’Etat, de destruction de l’économie, de pillage et de corruption, de clochardisation politique et parlementaire, d’anarchie et même d’ensauvagement social, d’insécurité et de criminalité, d’appauvrissement de la société…le désenchantement populaire a gagné toutes les strates sociales et il s’est massivement exprimé lorsque des milliers de Tunisiens ont manifesté le 25 juillet dernier. Kaïs Saïed n’a fait que répondre à cette exigence populaire. Il n’y a que les islamistes et leurs feudataires de la bourgeoisie tunisoise et de l’extrême-gauche tunisienne à crier au « coup d’Etat » et au « retour de l’autoritarisme ». Il ne faut donc pas s’étonner que certains médias français ou américains, islamiquement corrects ou islamo-gauchistes, relayent frénétiquement ce genre d’accusations.
Après une forte actualité concernant la Tunisie en juillet, les médias sont maintenant focalisés sur l’Afghanistan. Mais la question afghane vous intéresse depuis longtemps et vous êtes également assez impliqué dans le dossier libyen puisque vous soutenez publiquement le Maréchal Haftar contre les islamistes de Tripoli, qui sont soutenus par la Turquie. Établissez-vous un lien entre ces trois dossiers ?
Vous savez autant que moi qu’un événement se substitue à un autre et qu’une actualité chasse l’autre. Depuis des décennies, le monde arabo-musulman constitue hélas une source d’actualité intarissable ! Je ne vois cependant pas de lien de causalité entre la Tunisie, la Libye et le retour des talibans en Afghanistan. Je décèle par contre le même fil conducteur, un point commun entre ces trois pays : l’islamisme. Qu’on les appelle Frères musulmans, ou talibans, ou encore daéchiens, qu’ils siègent majoritairement au parlement ou assiègent par leurs armes les villes, que leurs adeptes portent le kamis, la burka, le voile ou le costume cravate, ces mouvements ne sont différents que par leurs appellations, dans leurs stratégies de communication et dans leurs tactiques pour conquérir et conserver le pouvoir. Quant à la stratégie, elle est exactement la même et elle traduit ce principe majeur ou dogme fondateur que toutes ces organisations islamistes partagent : "notre Constitution c’est le Coran, nos Lois c’est la Charia". Ce sont donc des mouvances qui s’abreuvent dans la même idéologie théocratique, totalitaire et terroriste, dont la naissance date de 1928 et dont les origines politico-religieuses remontent probablement à des siècles. Il n’y a que l'Europe et les Etats-Unis qui croient à des différences fallacieuses entre ces organisations islamistes. C’est le propre des esprits cartésiens ou jésuites, et c’est aussi le génie des Frères musulmans d’avoir créé et suscité autant de ramifications et de terminologies pour dérouter l’ennemi occidental et, surtout, s’auto-octroyer le titre glorieux d’islamistes « modérés » ou de « musulmans conservateurs », ou encore de « musulmans démocrates ». Pour ne prendre que ce dernier exemple, l’attentat à l’aéroport de Kaboul, la ramification de l’EI en Afghanistan, Wilayat Khorassan ("Etat islamique dans la province du Khorasan", ou EI-K, ndlr) l’a revendiqué et tous les « experts » y ont cru, chacun y allant de son savoir géopolitique et de son exégèse des mouvements islamo-terroristes. Or la question de bon sens que l’homme ordinaire et à plus forte raison l’observateur avisé doit se poser est d’une banalité désarmante : à qui profite le crime ? La réponse est évidente : essentiellement et exclusivement aux Talibans. Ces derniers ne seraient plus des obscurantistes mais des « modérés » avec lesquels il faudrait pactiser et même normaliser les relations, les fanatiques et les terroristes à combattre étant désormais l’EI en général et Wilayat Khorassan en particulier. Dans cinq ou dix ans, lorsque les « grands » stratèges du Pentagone y verront un intérêt géopolitique ou mercantiliste, l’EI ou Daech ne sera plus une organisation terroriste à éradiquer mais un mouvement conservateur et multiculturaliste, comparé au nouveau groupe qui émergera à ce moment-là pour jouer le mauvais rôle du terroriste barbare.
Vous vous êtes justement exprimé sur l’Afghanistan dans une tribune récemment publiée dans Causeur. Vous avez notamment préconisé la prudence quant à l’afflux des réfugiés Afghans en Europe et vous avez appelé à un soutien occidental aux forces tadjikes d'Ahmed Massoud. Mais la lutte contre la seule force structurée capable de dominer l’ensemble du pays avec le soutien du Pakistan, les talibans pachtounes en l’occurrence, ne vous semble-t-elle pas vaine ?
En politique, rien n’est jamais vain. A la guerre, rien n’est jamais définitivement perdu. Pour ce qui est d’abord de la ruée des réfugiés Afghans vers l’Europe, une sélection rigoureuse des vraies victimes potentielles des talibans - que l’Occident devrait effectivement secourir- me semble absolument nécessaire car, parmi ces milliers de candidats à l’exil politique, il y a certainement des réfugiés économiques et, plus périlleux encore, des islamo-terroristes en acte ou en puissance qui vont essayer de s’infiltrer. Le second volet de votre question, qui est d’ailleurs intimement lié à cet exode massif des Afghans, c’est le soutien aux forces d’Ahmed Massoud. Je l’ai dit dans la tribune à laquelle vous faites allusion, c’est d’abord aux Afghans de défendre leur patrie, en rejoignant dans la résistance les dignes héritiers du commandant Massoud. Si le monde occidental veut remédier à ses erreurs et ignominies, si l’Amérique veut réparer sa trahison et son fiasco historique, ils peuvent aider par les armes cette résistance afghane, l’Alliance Nationale. Ils peuvent aussi faire pression sur le Qatar, le Pakistan et la Turquie pour qu’ils cessent leur appui aux talibans dont ils partagent d’ailleurs les mêmes valeurs « démocratiques » et « morales ». Sans le soutien financier, politique, militaire et logistique du Pakistan et du Qatar, les talibans auraient disparu depuis déjà bien longtemps.
Etant connu en France et dans le monde arabe pour votre combat contre les islamistes et puisque vous vivez depuis longtemps en France, que vous défendez ses principes républicains et ses valeurs laïques, que préconisez-vous pour lutter efficacement contre la subversion islamiste ?
Franchement, je n’ai rien à préconiser d’autant plus que mes écrits et mes positions, depuis plus de trois décennies, sont publiquement connus. La France a des experts et des sécuritaires suffisamment alertes et compétents pour désamorcer les actions terroristes et protéger les Français de ce fléau global. Quant aux politiques qui sont aux commandes aujourd’hui, je pense que depuis les deux attentats de Nice et la décapitation barbare de Samuel Paty, ils sont revenus de leur rêveries multiculturalistes et ont réalisé l’ampleur de la menace pour faire face à la subversion islamiste et à l’entrisme des Frères musulmans. Les discours d’Emmanuel Macron à la Sorbonne, puis aux Mureaux, le 2 octobre 2020, ont été d’une grande lucidité et d’un courage remarquable. En conséquence, la loi contre le séparatisme a été adoptée par le Parlement et elle a été récemment validée par le Conseil constitutionnel. Malgré ses insuffisances dont le président n’est pas responsable, cette loi doit pouvoir freiner l’islamisation stratégique de la France et dissuader les multiples organisations subversives qui opéraient en toute impunité depuis trois décennies. Il faudrait espérer que cette loi soit rigoureusement et impitoyablement appliquée. Mais la lutte contre ce cancer métastasé sera un combat de longue haleine et devrait se déployer en plusieurs directions, les unes aussi importantes que les autres. Sécuritaire bien évidemment mais également politique, idéologique, culturel, éducationnel, médiatique et diplomatique. Sur ce dernier plan, la France ne doit plus se compromettre avec les islamistes dits « modérés » parvenus au pouvoir par un caprice de l’Histoire ou par le bon vouloir des Américains et des Britanniques. Ce serait trop demander aux gouvernements français de rompre leurs relations diplomatiques avec chaque pays qui tomberait dans l’escarcelle islamiste. Je demanderai en revanche à certains ministres, ou Députés ou Sénateurs de faire preuve de cohérence, de décence et même de dignité en s’abstenant de recevoir en grande pompe d’anciens islamo-terroristes que le « printemps arabe » a transformés en « hommes politiques » fréquentables et même respectables. Je n’appelle pas cela pragmatisme ou réalisme politique mais servilité politique et autisme géopolitique. Je pense ici particulièrement à l’accueil qui a été réservé au tunisien Rached Ghannouchi et au libyen Abdelhakim Belhadj. Sans parler des islamistes syriens et du « good job » d’Al-Nosra en Syrie !
Seriez-vous d’accord avec un ami commun égyptien, Ahmed Youssef, qui assure dans ses livres que l’Égypte et d’autres pays musulmans comme l’Égypte ou la Tunisie se débarrasseront de l'islamisme quand nous serons, nous autres, submergés par lui en Europe ?
Je vous avoue être agréablement surpris que vous citiez Ahmed Youssef (Directeur du CEMO, Centre d'Etudes du Moyen-Orient, et auteur de nombreux ouvrages sur l'islam, l'Egypte, Napoléon, ndlr) , car les intellectuels, les universitaires et les journalistes Français n’accordent généralement pas une grande importance aux écrits et aux propos de l’intelligentsia arabe ou africaine. Ils ont pourtant beaucoup à apprendre des anciens colonisés, comme ils disent !
Je suis d’autant plus d’accord avec Ahmed Youssef que j’ai été parmi les premiers et rares intellectuels arabes à l’écrire voilà 30 ans et à le réitérer en 2011, dans mon livre La face cachée de la révolution tunisienne. Islamisme et Occident : une alliance à haut risque. Aujourd’hui, je pense au contraire que la fragilisation du corps européen par le virus islamiste entrainera ipso facto l’écroulement du Maghreb arabe et d’une bonne partie du Proche-Orient. Il s’agit donc d’un combat commun que l’Occident et l’Orient doivent mener ensemble dans l’intérêt de tous. En parlant du christianisme qui s’est bien assagi depuis, Diderot disait que « Le fanatisme est une peste qui reproduit de temps en temps des germes capables d’infester la terre ». Nul donc n’est à l’abri du fanatisme islamique.
Maintenant que certains hauts dirigeants européens semblent prendre conscience de la propagation périlleuse de l’islamisme chez eux, je ne souhaite franchement pas que l’Europe et tout particulièrement la France soient « submergés » par l’obscurantisme islamiste pour que nous en soyons, nous autres Tunisiens et Egyptiens, délivrés. Grace au réveil patriotique des Egyptiens et à la détermination inflexible d’Abdel Fattah al-Sissi, l’Egypte s’est d’ailleurs déjà débarrassée des Frères musulmans au grand dam des Etats-Unis et de certaines démocraties occidentales, très sensibles aux droits-de-l’homme… islamiste. Quant à mon pays, la Tunisie, j’ose encore espérer que le tournant du 25 juillet n’est pas tactique mais stratégique et que le virage pris à l’encontre d’Ennahdha sera un coup de grâce et non pas un coup de semonce. En politique, les demi-mesures sont toujours dommageables. A l’égard des islamistes et à l’instar de Bourguiba et de Nasser, j’ai toujours cru à la manière forte parce que c’est la seule grammaire qu’ils comprennent. Et que je vous le dise sans détour et sans litote, je ne combats pas les islamistes par marxisme ou par laïcisme ou par athéisme. Je les ai toujours combattus et je les combattrai encore parce que je suis profondément croyant et irrémédiablement nationaliste.
Ma dernière question évoque précisément le nationalisme arabe. Vous avez été aussi l’un des rares à appuyer ma thèse de 1997 sur l’alliance entre les États Unis et l’islamisme contre l’Europe et les nationalismes arabes laïques, en allant parfois encore plus loin que moi. Les crises syrienne, égyptienne, libyenne et récemment afghane vous ont-elles conforté dans cette thèse et ce constat ?
Oui, je me souviens très bien de votre premier essai géopolitique, L’islamisme et les Etats-Unis : une alliance contre l’Europe. Je me souviens aussi de l’accueil qui lui a été réservé par certains islamologues suffisants ou d’autres au philo-islamisme bien prononcé. Je me souviens surtout du traitement que les médias mainstream lui ont réservé et de quelle façon ignoble ils ont traité son auteur. Ces gens là ont passé leur vie à se tromper de diagnostic, d’analyse et de prospective et ils ne supportent pas que d’autres, il est vrai très rares, eussent raison.
Pour répondre maintenant à votre question, l’alliance entre l’islamisme et l’impérialisme américain - que Jean-Pierre Péroncel-Hugoz qualifiait très justement « d’islamérique » dans la préface à votre essai - est devenue aujourd’hui un secret de polichinelle. Cette alliance est antérieure au projet européen, dont les pères fondateurs, principalement Jean Monnet et Robert Schuman étaient d’ailleurs très proches des Etats-Unis et admiratifs de son modèle politique et économique. Je pense que c’est après la fin de la guerre froide et l’implosion de l’URSS que l’UE a cessé d’être une priorité géopolitique aux yeux des Américains. Celui qui a acté ce tournant décisif n’est pas Trump mais Obama et Hillary Clinton avec l’impératif du « pivot asiatique » : basculement du centre de gravité de la diplomatie américaine vers la zone Asie pacifique.
Dans ce pacte conclu entre impérialisme et islamisme, les Américains ont en réalité pris le relais des Britanniques, qui ont d’ailleurs été leur cheval de Troie, pas dans le Sud des Dardanelles (!) mais au cœur de l’Europe, et qui sont par ailleurs les responsables historiques de tous les drames et conflits à connotation ethnique ou confessionnelle que le monde moderne a connus : Inde-Pakistan-Cachemire, Israël-Palestine, Turquie-Grèce-Chypre, l’apartheid en Afrique du Sud… Beaucoup savent maintenant que la secte politico-religieuse des Frères musulmans est le produit du génie stratégique et cynique anglais. Leur naissance en 1928 est conçue pour, sinon détruire, du moins réduire l’influence grandissante du premier parti nationaliste égyptien, Al-Wafd, qui réunissait sous la direction de Saad Zaghloul les chrétiens et les musulmans contre la présence coloniale britannique. Une fois l’indépendance acquise, les Frères musulmans sont restés au service exclusif des intérêts britanniques. C’est ainsi qu’ils se sont opposés à Nasser et qu’ils ont essayé de l’assassiner à maintes reprises. Si Kaboul a été à un certain moment l’épicentre de l’internationale terroriste offshore, Londres a été et reste jusqu’à ce jour la capitale de l’islamisme universel.
Les crises syrienne, égyptienne, libyenne, afghane et j’ajouterai tunisienne m’ont effectivement conforté dans cette thèse suivant laquelle l’alliance entre l’islamisme et les Etats-Unis n’est pas fantasmagorique (les idiots diraient complotiste) mais stratégique. Dès 2011, alors que le monde entier célébrait le triomphe de la démocratie au Maghreb et au Proche-Orient, je qualifiais le « printemps arabe » d’hiver islamo-atlantiste et de Sykes-Picot2. C’était dans l’interview que je vous ai accordée et qui a été publiée dans France-Soir le 22 novembre 2011. A la même époque, dans un essai collectif sous la direction d’Eric Denécé, titré La face cachée des révolutions arabes, j’avais aussi évoqué le projet de Grand Moyen-Orient cher à Bush père et fils. En 2011, sous la chefferie de Barack Hussein Obama et Hillary Clinton, et avec la sous-traitance du Qatar et de la Turquie, ce n’était plus un projet en puissance mais une « feuille de route » en acte, dont on mesure aujourd’hui les conséquences chaotiques sur certains pays arabes et les effets terroristes et migratoires sur l’Europe occidentale.
SOURCE:
https://atlantico.fr/article/decryptage/si-kaboul-a-ete-l...
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19/08/2021
Taquiya: mentire per l'islam é una tattica di guerra
Harold Rhode, uno degli allievi preferiti del maggiore storico del Medio Oriente, Bernard Lewis, ha lavorato per 28 anni al Pentagono nell'Ufficio del Dipartimento per la Difesa come consigliere sulla cultura Islamica. Esplicito e anticonformista, autore di molti libri, membro del Gatestone Institute e del Jerusalem Center for Public Affairs, la sua idea è che niente potrà dissuadere i talebani dal loro disegno originario, una guerra totale all'Occidente tramite il terrorismo.
Ma oggi, dottor Rhode promettono che non verrà torto un capello a nessuno e che la loro «inclusività» verrà confermata dalla politica prossima ventura.
«Chi mostra di crederci, coltiva inutili speranze. Non c'è la minima chance al mondo che i talebani cambino la loro determinazione a un governo totalitario della Sharia, oggi sul loro popolo e domani su tutto il mondo, è solo la prudenza. Trump aveva indicato una via d'uscita diversa da quello di Biden».
Ma è Trump che ha gettato le basi del disastro.
«Trump aveva detto: ce ne andiamo, ma se osate tornare a spadroneggiare, a uccidere, a torturare, di voi non resterà traccia. L'unica cosa che può fermare una forza integralista e shariatica come i talebani, è la paura di essere annientati, che è andata sparendo con Biden. E la deterrenza è l'unico sistema per bloccarli».
L'idea di abbandonare il campo come soluzione di pace è molto frequentata dall'Occidente.
«Innanzitutto, quando si occupa un Paese straniero per eliminare, come fece Israele col Libano, milizie terroriste che ti minacciano, si deve agire e poi uscire dal campo. Restare sul terreno a lungo costa denaro e vite umane».
E quindi? Lasciare che poi i terroristi costruiscano il loro potere?
«Niente affatto: le loro piramidi vanno destrutturate con la forza, poi si deve lasciare il campo, e se restano residui, avvertirli chiaramente che non osino riprendere quella strada. L'abbandono israeliano del Libano senza toccare il vertice degli Hezbollah, ha lasciato che essi diventassero i padroni del Paese; a Gaza lo stesso è successo con Hamas. Le strutture jihadiste, sciite e sunnite, vivono la loro guerra per la sharia e la jihad mondiale come una raison d'etre fondamentale. Come i talebani».
Questo significa che torneranno a colpire gli Usa?
«Questa è certamente la loro intenzione. La loro grande eccitazione non è determinata dal fatto che gli americani se ne siano andati, ma da come se ne sono andati, di corsa, senza colpo ferire. Ci pensi, i talebani hanno sconfitto tre imperi, quello inglese, quello russo, quello americano».
E tuttavia stanno cercando di apparire diversi, dando speranza a molti leader occidentali, a Guterrez, alla Merkel, anche agli italiani..
«Guai a cadere nella trappola della taqiyya, la dissimulazione per cui per il bene dell'Islam si può, anzi si deve, parlare il linguaggio del nemico, sorridere, trovare accordi. L'Iran è un perfetto esempio, i suoi rappresentanti non si peritano di condurre amichevoli trattative e di scambiare simpatetici punti di vista con tutti i rappresentanti occidentali. La verità è che il nostro mondo, per fedeltà alla sua cultura di pace, non vede l'ora di cascarci, anche quando si discutono questioni vitali come il nucleare su cui, appunto, l'Iran seguita a prendere il mondo per il naso da decenni. Il guaio è che così mettiamo a gran rischio la nostra civiltà».
L'Iran e i talebani hanno interesse a unire le loro forze per l'Islam. Pensa che questo sia possibile anche uno è sunnita e l'altro sciita?
«E già successo, come quando i figli di Bin Laden sono stati ospitati a Teheran, o quando Ismail Hanyye va a trovare gli ayatollah. Ma alla lunga il rapporto non regge, e contiene sempre un velato ricatto».
La Cina si avvantaggerà della situazione?
«L'Afganistan è ricco di metalli e di altre risorse che la Cina desidera, e Pechino ha un buon rapporto coi talebani ma loro sanno cosa fanno i cinesi ai loro fratelli musulmani nello Xinjang e anche la Cina non è fuori dai programmi talebani di islamizzazione del mondo. Anche qui la cultura ha il suo ruolo da giocare».
E in Medio Oriente?
«In Medio Oriente molti degli alleati degli americani, gli Emirati, i Sauditi, l'Egitto, Israele.. si stanno certo chiedendo se ci si può fidare degli americani in caso di bisogno. Mi sembra di sentire echeggiare un sonoro "no"».
Si può fare qualcosa?
«Salvare chi ha aiutato gli Usa in questi anni. Certo, purtroppo non si può immaginare di aprire i confini a tutti i musulmani del mondo».
FONTE: https://www.ilgiornale.it/news/politica/mentire-lislam-tattica-guerra-lesperto-guai-cadere-nella-1969819.html
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18/08/2021
Talebani: una merda maomettana sostenuta dal Qatar, dal Pakistan e dall'Arabia Saudita
I nuovi, veri padroni dell'Afghanistan potrebbero anche non mettere piede a Kabul. E accontentarsi di governare da dietro le quinte di un gabinetto, apparentemente inclusivo, i cui esponenti saranno, in realtà, semplici marionette. L'ambigua prospettiva sta prendendo corpo in queste ore. A confermarla contribuiscono le voci secondo cui Amir Khan Muttaqi, ex-ministro dell'educazione nel primo emirato talebano è nella capitale per trattare con l'ex-presidente filo-americano Hamid Karzai e Abdullah Abdullah , già presidente di quel Consiglio per il Dialogo incaricato, fino a domenica scorsa, dei colloqui con gli insorti. E alle discussioni parteciperebbe da remoto anche Zalmay Khalilzad, l'enigmatico inviato americano di origini afghane, già ambasciatore a Kabul e Baghdad, che ha trattato per conto di Trump e di Biden il ritiro americano. Ma quel che ne uscirà non sarà certo un vero governo.
E, come già avvertono i leader talebani, non si ispirerà ai precetti della democrazia, ma a quelli della legge islamica. Sarà dunque una finzione istituzionale utile sia al potere talebano, sia all'amministrazione Biden. I primi potranno esibirla per sostenere di esser cambiati e ambire a riconoscimenti e aiuti internazionali. Biden potrà invece usarla per dribblare le accuse di fallimento e difendere un ritiro che ha permesso la nascita di un esecutivo di compromesso. Ma la verità sarà ben diversa
Per capirlo basta esaminare i vertici del potere talebano. Il 61enne emiro Hibatulla Akhunzada nominato comandante supremo nel 2016 con il titolo, ereditato dal Mullah Omar, di «comandante dei fedeli», probabilmente continuerà ad indirizzare dall'ombra le scelte del movimento. Esponente della magistratura islamica nel primo emirato è non solo il leader politico- spirituale del movimento, ma anche il più entusiasta sostenitore del martirio religioso. Non a caso ha sostenuto la scelta del figlio 23enne Abdul Rahman offertosi, nel 2017, come volontario per un attentato suicida nella provincia di Helmand. A rendere ancora più impenetrabile la nebulosa del potere talebano s'aggiunge la figura del Mullah Muhammad Yaqoob, figlio del Mullah Omar. Se del padre circolava un'antica e sfocata immagine in bianco e nero di lui non esiste neppure quella. Nessuno, al di fuori di una ristretta cerchia di comandanti, può dire d'averlo mai incontrato. Eppure il poco più che trentenne, Yaqoob è oggi il vero comandante militare del movimento.
Altrettanto inquietante è la figura del 48enne Sirajuddin Haqqani indicato come il braccio destro di Akhundzada. Figlio di un leggendario leader dei mujaheddin antisovietici il 48enne Sirajuddin guida una formazione terrorista parallela al movimento talebano che rappresenta la vera interconnessione con Al Qaida. E comanda una rete di alleanze tribali con cui controlla scuole religiose e centri commerciali a cavallo di quella frontiera pakistana dove mantiene stretti contatti con i servizi segreti di Islamabad. In questa inquietante galleria di fantasmi la figura più conosciuta resta quella di un Mullah Abdul Ghani Baradar su cui tutti scommettono come futuro presidente dell'Afghanistan. Amico d'infanzia del Mullah Omar, che lo chiamava con il soprannome di Baradar (fratello), il mullah Abdul Ghani è stato uno dei fondatori del movimento per poi diventare governatore della provincia di Herat e vice ministro della difesa nel primo Emirato. Più ambiguo il suo ruolo dopo il 2001 quando - pur partecipando alla shura di Quetta ovvero all'organo decisionale del nuovo movimento talebano - è anche protagonista, dopo il 2006, di una serie di negoziati segreti con l'ex presidente Karzai. Proprio questi negoziati, malvisti dall'ala più dura del movimento, avrebbero spinto - nel 2009 - i servizi segreti pakistani ad arrestarlo. Liberato su richiesta degli americani nel 2018 è diventato l'interlocutore fisso di Khalilzad in quei colloqui di Doha al termine dei quali ha avuto persino un colloquio telefonico con Trump. I suoi trascorsi negoziali lo rendono il candidato perfetto per la presidenza di un governo di coalizione in cui gli esponenti dei passati governi, come Karzai e Abdullah, rappresenteranno la foglia di fico del nuovo emirato.
FONTE DEL TESTO :https://www.ilgiornale.it/news/politica/qaedista-reduce-e-guida-spirituale-ecco-i-tagliagole-governo-1969818.html
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05/05/2021
Hier Liban, demain Europe
https://www.youtube.com/watch?v=VPhbqY_lgAA
L'histoire enseigne à ceux qui savent la comprendre
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29/04/2021
Comment traiter la vermine islamiste?
Encore une pauvre femme victime de la schizophrénie mahométane et voila les têtes bien pensantes du Gouvernement qui se tracassent à trouver des nouvelles modalités de surveillance, de prévention, etc
En réalité rien de tout cela ne pourra marcher car on ne fait pas barrière à l'irrationnel avec le "rationnel"
Il faut donc descendre sur leur terrain, transgresser leurs interdits, s’asseoir sur nos soit disant droits de l'homme qui ne sont rien d'autre que nos droits bafoués par ceux qui ne les respectent pas
Transgresser leurs interdit cela signifie leur faire subir ce qu'il doivent à tout prix éviter pour accéder au paradis du Pédophile Mahomet:
Deux règles:
1 Il ne faut plus rendre les corps des terroristes tués, il faut les incinérer d'office et disperser les cendres dans des terrains vagues, car le Pédophile veut qu'on lave et qu'on embaume les corps avant de les enterrer avec la tête vers la Mecque. Donc l'accès aux vierges et aux rivières de miel serait compromis
2 Il faut étudier toute sorte de rétorsions (raisonnables) envers la famille, surtout les parents, car le Pédophile a dit qu'il ne faut pas créer des problèmes à ses parents et à ses proches. Donc saisie des biens de famille pour indemnisation des victimes et expulsion des parents étrangers sans sommation
Rien que l'application stricte et constante de ces 2 règles permettrait de diviser la vermine islamiste par 10!!
Seul le résultat compte et seuls les droits des innocents doivent être préservés!!
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16/03/2021
Les beaux Pays des droits de l'homme
À Madagascar, c’est une courte vidéo qui n’arrête pas de tourner sur les réseaux sociaux, depuis ce week-end. Il s’agit de l’inhumation d’une jeune travailleuse domestique dans le cimetière pour non-musulman de Jubai en Arabie Saoudite. Le corps de la jeune femme, enveloppé dans un simple drap blanc, est mis en terre à l’aide d’un bulldozer. Des images qui ont suscité émoi et indignation chez une population très respectueuse des rites funéraires et qui relancent une nouvelle fois le débat sur la migration -interdite depuis 2013- de ces travailleuses dans les pays du Golfe.
Avec notre correspondante à Antananarivo, Sarah Tétaud
La vidéo, filmée par une Malgache, dure un peu plus d’une minute. Sur un terrain de terre qui s’étend à perte de vue, un engin de chantier s’attèle à recouvrir de terre un trou au fond duquel a été déposé la dépouille. On y voit plusieurs femmes vêtues du tchador noir, filmant elles-aussi la scène en pleurs. « Arrête, arrête, calme toi, relève toi, il y a plein de poussière », dit la femme qui filme à celle effondrée, à côté d’elle.
Nous sommes le 11 mars. Ces travailleuses malgaches viennent d’assister à l’inhumation du corps de leur compatriote. La défunte, originaire de Sambava, dans le nord de Madagascar, est décédée en septembre dernier, d’une mort brutale, alors qu’elle venait de rompre son contrat d’employée de maison. Faute d’argent, sa famille n’a pas réussi à faire rapatrier son corps sur la Grande Île.
Au moins 500 Malgaches en Arabie saoudite
Après la diffusion de la vidéo, la réaction au pays a été immédiate. Mais pour l’agence onusienne de l’Organisation internationale du travail (OIT) et Noémie Razafimandimby l’administratrice nationale du projet Reframe visant à améliorer le cadre de recrutement des travailleurs migrants, s’insurger ne suffit plus : « Ca choque la société, mais le problème reste le même : les filles continuent à partir et à chercher par tous les moyens, parfois, à quitter leur village pour rejoindre ces pays-là. Et ça restera la même situation tant que des mesures n’auront pas été prises pour présenter des alternatives à ces femmes qui souhaitent aujourd’hui migrer et espèrent avoir une vie meilleure dans ces pays, tant que les partenaires sociaux et les organisations de la société civile n’auront pas renforcé leurs interventions pour la sensibilisation contre la traite des personnes et contre le recrutement clandestin et tant que les médias ne contribueront pas à la pérennisation de la réflexion et de l’information objective sur ce phénomène-là. »
Aujourd’hui, le ministère des Affaires étrangères comptabilise au moins 500 ressortissantes en Arabie saoudite. Presque toutes sont des travailleuses domestiques. Toutefois, les statistiques exactes n’existent pas. Depuis 2013, Madagascar a mis en place un décret suspendant la migration de ces travailleurs vers les pays dits « à haut risque » et régulièrement pointés du doigt pour l’exploitation des travailleuses étrangères. Mais grâce à des réseaux clandestins, beaucoup de jeunes femmes, peu informées, arrivent à rejoindre les pays du Golfe pour y être embauchées, rendant ainsi le décompte impossible pour l’État malgache.
Des plaintes pour mauvais traitements
À l’heure actuelle, le Liban, le Koweït et l’Arabie saoudite sont les pays desquels émanent le plus de plaintes déposées par de jeunes femmes malgaches pour exploitation, abus et mauvais traitements. Ces mouvements migratoires vers les pays du Golfe ont démarré dans les années 90. La situation a commencé à dégénérer quand des recruteurs peu scrupuleux ont proliféré sur le territoire malgache, promettant à de jeunes femmes peu éduquées un salaire et une vie plus décente.
L'OIT se bat pour lutter contre la corruption au sein des administrations malgaches qui facilitent de manière illégale le départ de ces jeunes filles et au sein des agences de recrutement, qui malgré leur absence d’agrément, continuent à d’envoyer des travailleuses de manière clandestine dans ces pays-là. L’OIT œuvre également pour mettre en place des mécanismes de plaintes et de réparation efficaces pour les victimes d’abus et de traite humaine.
SOURCE: RFI
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12/11/2020
Islam: amour, tolérance, respect et paix
À l’annonce d’un cessez-le-feu accablant pour les Arméniens du Karabakh et la République d’Arménie, le président de l’Azerbaïdjan, Ilham Aliev, a eu cette phrase: «J’avais dit qu’on chasserait [les Arméniens] comme des chiens, nous l’avons fait.» Ce n’est, effectivement, que la répétition de la promesse d’anéantissement qu’il a faite dès l’agression azerbaïdjanaise, le 27 septembre dernier, à l’égard des «chiens» de chrétiens qui avaient reconquis leur terre ancestrale du Karabakh ainsi que 7 districts environnants enlevés à la République d’Azerbaïdjan au terme de la guerre de 1992-1994......
Source: www.figaro.fr
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La civilisation islamique avance au Mozambique
Ces derniers jours, des djihadistes ont massacrés des dizaines de personnes au Mozambique, un pays de l'Est de l'Afrique. Le président de la République Emmanuel Macron a réagi vertement à ces agissements. Europe 1 fait le point sur ce que l'on sait.
Des hommes et des adolescents décapités et des villages pillés
Plusieurs dizaines de personnes ont perdu la vie dans des massacres perpétrés dans le nord du Mozambique au cours des derniers jours. Mercredi 4 novembre, l'AFP faisait état de la découverte le lundi précédent des corps mutilés d'au moins cinq adultes et quinze adolescents dans une forêt du district de Muidumbe. Dans un tweet publié ce mercredi, le président de la République Emmanuel Macron a de son côté indiqué que "plus de 50 personnes ont été décapitées, des femmes kidnappées, des villages pillés puis incendiés".
Les djihadistes sont arrivés dans cette zone, près de la frontière tanzanienne, au moment d'une cérémonie d'initiation auxquels participaient des hommes et des adolescents. Ce rite est dénoncé par les djihadistes, pour lesquels il doit être puni de la peine capitale. Les dizaines d'hommes et adolescents qui participaient à la cérémonie ont donc été rassemblés sur le terrain de football, pour y être décapités puis démembrés à coups de machettes. Les djihadistes ont ensuite pillé les habitations avant d'y mettre le feu. Ils sont repartis en kidnappant les femmes et les jeunes filles.
Les djihadistes, qui ont prêté allégeance au groupe Etat islamique (EI), sont actifs depuis trois ans dans la région de Cabo Delgado. Ils attaquent villages et villageois dans le but d'y semer la terreur et de tenter d'y implanter un califat. La plupart du temps, les combattants islamistes restent pourtant cachés dans les forêts, mais ils en sont sortis au début du mois, pour s’approvisionner en pillant les communautés agricoles locales, comme à leur habitude. En avril, ils avaient déjà décapité une cinquantaine de jeunes gens qui refusaient de rejoindre leurs rangs.
Selon une ONG basée aux Etats-Unis, cette nouvelle branche de l'EI a fait au moins deux mille morts et provoqué le déplacement de plus de 400.000 personnes depuis 2017. Face à ces combattants, l'armée mozambicaine semble impuissante. Elle semble avoir lancé une opération d"assez grande envergure contre les bases arrière de ce mouvement. Mais elle progresse très lentement en raison de difficultés pour accéder à ces zones
Dans son tweet, Emmanuel Macron a dénoncé l'action de "barbares" qui "détournent une religion de paix pour semer la terreur". "Le terrorisme islamiste est une menace internationale qui appelle une réponse internationale", a-t-il conclu.
Source:www.europe1.fr
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