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08/04/2020

Le muezzin et les cloches

Depuis quelques jours, de plus en plus de mosquées en France prennent prétexte de la pandémie de Covid-19 pour faire retentir l’adhan, l’appel à la prière du muezzin. Et non, contrairement à ce que d’autres ont prétendu, ce n’est pas une fake news. Et non, malgré le discours officiel, ce n’est pas un « geste de solidarité et de soutien ». Oui, c’est une démonstration de force, une manière de prendre possession d’un territoire, et plus encore d’un espace symbolique. Oui, c’est une provocation.

L’affaire semble avoir commencé à Lyon. Pour le 25 mars, fête de l’Annonciation, l’Église catholique a appelé à faire sonner les cloches des églises de France à 20h pour participer aux manifestations de soutien et de gratitude envers les soignants. La Grande Mosquée de Lyon a alors décidé de lancer du haut de son minaret l’appel à la prière du soir, son recteur Kamel Kabtane déclarant sur Twitter : « Ce soir à 19h00, la Grande Mosquée de Lyon s’illuminera et l’appel à la prière du Maghreb sera dite du haut de son minaret pour soutenir ces hommes et ces femmes des services publics et des hôpitaux, qui depuis le début en dépit de la gravité luttent avec courage et abnégation. » Comme je l’avais écrit sur le même réseau un peu après : « Je vous crois sincère, mais je suis un de ces agents du service public et je suis aussi ce que votre livre saint nomme un « associateur » et appelle à tuer. Vous voudrez bien ne pas prétendre que faire la promotion d’une idéologie qui veut ma mort a pour but de me soutenir. » Depuis, les cas similaires se multiplient, comme dimanche à Bischwiller, situation que l’Alsacien que je suis connaît bien.

Certains, par exemple et sans surprise Libération, se sont fait une joie de pointer une erreur de détail dans la lettre ouverte que Marine Le Pen a envoyée sur ce sujet à Christophe Castaner pour laisser entendre que rien ne se passerait, et que l’objet de cette lettre ne serait qu’un « appel à la prière islamique fictif ». Le président du CFCM, lui, s’est empressé de dénoncer « une campagne politico-politicienne aussi absurde qu’incompréhensible contre les musulmans de France ». Rappelons donc que tous les musulmans de France n’approuvent pas ces appels à la prière ostentatoires, et rappelons aussi que le CFCM n’a toujours pas jugé bon de relever de ses fonctions son délégué général Abdallah Zekri, qui considère que Mila « l’a bien cherché ».

Car on est loin ici d’une « absurde polémique politico-politicienne », pour la simple raison que l’on est loin, très loin, d’un authentique geste « de solidarité et de soutien ». Il y a évidemment des musulmans parmi ceux qui luttent contre la pandémie, parmi ceux qui en souffrent, parmi ceux qui en meurent. Mais il y a aussi beaucoup de non-musulmans. Or, l’adhan n’est pas juste une chanson exotique au doux parfum d’Orient. C’est un texte lourd de sens, dans lequel on entend notamment « Allahu akbar », « Allah est le plus grand » et « Lâ ilâha illa Llâh », « j’atteste qu’il n’y a de dieu qu’Allah ».

On peut le déplorer, y voir une récupération honteuse, il n’en demeure pas moins que « Allahu akbar » est devenu le cri de ralliement des jihadistes, comme il était jadis celui des armées conquérantes de l’islam. Samedi dernier, c’est ce cri qui a accompagné l’assassinat de deux de nos concitoyens au nom de l’islam, à Romans-sur-Isère. Le 10 novembre, c’est ce cri qui rythmait la manifestation de la honte « contre l’islamophobie », en réalité marche de soutien à l’emprise et aux ambitions de l’islam théocratique.

Que l’islam commence par se remettre en question

Quand à « Lâ ilâha illa Llâh », symbole de l’insistance islamique sur l’unicité divine, c’est par essence la négation de toute religion en dehors de l’islam. Et faire entendre le plus fort possible « il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah » ne saurait en aucun cas être un « geste de solidarité et de soutien » envers les croyants des autres religions, et plus généralement les non-musulmans, y compris les agnostiques et les athées.

Couplées, ces deux phrases « Allah est le plus grand » et « il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah » sont, pour reprendre la belle formule d’un ami, l’affirmation d’une primauté tout autant qu’un anathème. Personne j’espère n’oserait prétendre que diffuser par hauts-parleurs « Jésus est le seul vrai dieu, et vive les croisades ! » serait un « geste de solidarité et de soutien » envers nos concitoyens musulmans confrontés à l’épidémie, or ce serait ni plus ni moins que l’équivalent de l’adhan.

Je redis encore l’évidence : l’adhan est l’appel à la prière d’une religion qui certes ne se résume pas à ce qu’elle a de pire, mais dont il faut se souvenir qu’aujourd’hui même, dans 13 pays du monde – ce qui est beaucoup trop pour ne pas être signifiant – elle condamne à mort les apostats, les athées, les polythéistes, les blasphémateurs, et qu’en bien plus d’endroits encore elle menace et persécute les homosexuels. Et l’appel à la prière d’une telle religion n’a rien d’un « geste de solidarité et de soutien » envers les apostats, les athées, les polythéistes, les amoureux de la liberté d’expression et les homosexuels qui, eux aussi, luttent chaque jour contre la pandémie pour le bien de tous, qui en souffrent, qui en meurent.

Occupation sonore de territoires français

Oui, ces adhan qui retentissent – de surcroît et ne l’oublions pas dans une langue étrangère – sont des démonstrations de force, des provocations, des tentatives d’occuper un territoire : occupation sonore, physique, et plus encore symbolique, ce qui est d’une importance cruciale et trop souvent négligée. N’en déplaise aux lâches qui préféreraient ne rien voir, alors que ce n’est qu’une étape, et que laisser faire aujourd’hui revient à encourager encore plus de revendications, encore plus d’ostentation, encore plus de prosélytisme demain. N’en déplaise aux irresponsables, aux hypocrites, et aux complices plus ou moins lucides de l’islam théocratique.

Un dernier point. Non, l’adhan n’est pas la même chose qu’une sonnerie de cloches, et nous devons refuser fermement toute tentative de les mettre sur le même plan.

D’abord parce que les cloches font désormais partie d’une tradition qui dépasse largement leur signification chrétienne initiale, appartenant à un paysage sonore et à un patrimoine culturel commun. Dans la France sécularisée et laïque, elles sonnent par exemple le tocsin en cas d’incendie, ce qui n’a rien de religieux. En revanche, l’adhan n’a pas d’autre signification que religieuse, et ne saurait donc être donné à entendre sans que cette signification soit présente. Et à l’heure où l’on s’écharpe sur la place des crèches de Noël dans un pays où cette fête appartient pourtant elle aussi à un patrimoine sécularisé, laisser se banaliser la diffusion dans l’espace public d’un message explicitement islamique serait catastrophique.

Il ne faut pas relativiser

Ensuite parce que les cloches ne sont pas devenues le cri de guerre d’un totalitarisme sanglant, et parce qu’elles ne sont pas non plus la négation explicite de toute croyance en dehors de celle de ceux qui les font retentir. Une fois de plus, vouloir mettre toutes les religions, et tous les courants des religions, sur le même plan serait une erreur fondamentale. C’est un piège que nous tendent tous les fanatiques, désireux de bénéficier puis d’abuser de la tolérance à laquelle ont droit les croyants qui savent placer l’éthique et la raison au-dessus des dogmes. La France et la République ont le droit et même le devoir de traiter différemment leurs alliés et leurs ennemis, de traiter différemment les religions qui respectent leurs principes fondamentaux, et celles qui les menacent. La laïcité ne doit pas être neutre, elle doit être impartiale.

Oui, le christianisme fut jadis une idéologie totalitaire, Hypatie d’Alexandrie et Giordano Bruno l’ont payé de leurs vies. Mais il a évolué. La tentation théocratique subsiste par endroits, mais elle n’est qu’à peine résiduelle (du moins en Europe). Le christianisme a fini par se plier – de force au début, plus volontiers ensuite – au respect de la liberté de pensée, de la liberté de conscience, de la liberté d’expression. Et ça, ça change tout.

 

SOURCE : Aurelien  Marq

06/04/2020

Pire que le Covid 19.......le CORANOVIRUS!

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Elle s'appelait Emilie Jones, elle avait 7 ans

Une musulmane somalienne de 30 ans l'a égorgée dans le parc communal de Manchester

Que faisait-elle cette "vraie croyante" en GB?

Pourquoi l'a-t-on autorisée à s'installer en "dar al-harb"?

Pourquoi  n'a-t-elle pas émigré en Arabie Saudite ou dans un autre de ces Pays musulmans de merde?

Pourquoi vient-elle profiter de l'hospitalité des mécréants, avec leur condescendance?

Julie est morte à cause de la stupidité, de l'ignorance et de la lâcheté des (ir)responsables politiques

Les médias internationaux ont occulté la nouvelle

 

Circulez, l'islam n'a rien à voir

https://www.manchestereveningnews.co.uk/news/greater-manc...

 

 

En France, un musulman soudanais arrivé illégalement et bénéficiant du statut de réfugié (sic!) décide d'égorger 2 mécréants français, issus du Pays qui l'avait logé, nourri et payé ses allocations

"Allah u-akhbar!"

Il a fait tout ceci pour émuler son pédophile de pseudo prophète, j'ai nommé muhammad l'égorgeur.

Pourquoi on les autorise à s'installer en "dar al-harb"?

Pourquoi vient-il profiter de l'hospitalité des mécréants?

Pourquoi  n'a-t-il pas émigré en Arabie Saudite ou un autre de ces Pays musulmans de merde?

Ces deux innocents sont morts à cause de la stupidité, de l'ignorance et de la lâcheté des (ir)responsables politiques

Macron n'a pas jugé utile s'étaler sur cette affaire et ses sbires non plus

 

Circulez, le coran n'a rien à voir

http://www.leparisien.fr/faits-divers/attaque-au-couteau-...

 

12/02/2020

Il Sultano alla riscossa dei tagliagole maomettani

Erdogan ha minacciato di attaccare la Siria se un solo soldato turco sarà ferito dall’esercito di Damasco che sta avanzando nell’area di Idlib, ancora in mano alla sezione siriana di al Qaeda.

Nel caso, ha detto, il suo esercito avrebbe attaccato “liberamente” il territorio siriano, cioè, esplicitando, che i suoi aerei potrebbero bombardare anche Damasco. Se accadesse, sarebbe guerra aperta.

La risposta siriana

In risposta, l’agenzia Sana pubblica le dichiarazioni di una fonte del ministero degli Esteri che ha definito il presidente turco persona “fuori dalla realtà”, le cui “vuote” minacce non fermeranno l’avanzata siriana contro i terroristi ormai allo sbando.

Propaganda, forse, ma è un dato di fatto che l’esercito siriano ha rotto le fila avversarie, tanto che i turchi sono dovuti accorrere in loro soccorso per evitarne il collasso.

Si rende esplicita così l’alleanza tra turchi e terroristi di Idlib, che succede a quella pregressa con l’Isis, il cui petrolio veniva commercializzato in Turchia (come documentato dai russi).

Le parole di Erdogan non vogliono solo dare un monito alla Siria, ma anche scuotere Putin, molto più vicino alle ragioni di Damasco che ai torti del sultano di Ankara, il quale di fatto reclama la potestà turca su un territorio non suo, controllato, per delega, dai suoi terroristi di fiducia.

Le pretese di Erdogan

Erdogan è stato protagonista principale della guerra siriana; ha sostenuto in via diretta varie milizie jihadiste anti-Assad, tra cui la feroce al Nusra (al Qaeda), diventata poi Tahrir al-Sham, che ora controlla Idlib.

Ma ha anche dato supporto logistico alle altre milizie, quelle finanziate dai Paesi del Golfo e dall’Occidente (Usa, Francia e Gran Bretagna), le cui legioni hanno usato i confini turchi per infiltrarsi in Siria.

Erdogan vuole ottenere qualcosa da tanto impegno. E ritiene che l’acquisizione di Idlib alla Turchia (solo transitoriamente in via informale) gli spetti di diritto.

Le pretese di Erdogan sono inaccettabili per Damasco, che ha trovato in Putin un interlocutore. Resta che finora la Russia era riuscita a preservare una posizione super partes, grazie all’attivazione del meccanismo di mediazione di Astana che ha coinvolto Turchia e Iran nella pacificazione della Siria.

Ma se Damasco finora si era attenuta al dettato di Astana, non ha potuto però restare inerte quando i terroristi di Idlib, sui quali Ankara si era impegnata a vigilare, hanno ripreso a lanciare missili su Aleppo.

Da qui la nuova offensiva, che ha riconsegnato a Damasco villaggi e aree chiave, ma soprattutto il controllo dell’autostrada che congiunge Damasco ad Aleppo, snodo cruciale che dal 2012 gli era stato sottratto.

L’intervento turco a fianco dei terroristi ha causato la morte di alcuni dei loro militari, caduti sotto il fuoco siriano. Da cui l’escalation.

Putin alla finestra

A complicare le cose a Erdogan, che sta dichiarando guerra a mezzo mondo (vedi Libia), la partecipazione russa all’offensiva siriana. Aerei russi e siriani ieri hanno volato ancora una volta insieme, bombardando un manipolo di terroristi.

Un segnale inequivocabile. Tanto che oggi Erdogan ha telefonato a Putin. Ma deve essergli andata malino, dato che il report del Cremlino conclude che seguiranno altri contatti.

Il presidente russo continua a ripetere il suo impegno per una de-escalation sulle prospettive aperte ad Astana, ma è chiaro che Erdogan deve accettare il nuovo assetto, cioè lasciare a Damasco quanto riconquistato, cosa che evidentemente non vuol fare.

E soprattutto che deve mettere il bavaglio ai terroristi di Idlib, cosa per lui impervia dato che non riesce ad abbandonare la prospettiva di piegare Damasco (e in tale prospettiva Idlib deve rimanere fattore di destabilizzazione permanente).

Ma Erdogan può davvero aprire una guerra, rischiando di scontrarsi con i russi? Questo il senso implicito della risposta del ministero degli Esteri siriano.

Le novità della campagna di Idlib

In attesa di sviluppi, registriamo tre novità. L’avanzata di Damasco su Idlib non ha suscitato, come in passato, appelli umanitari in Occidente. Strumentali, al di là delle intenzioni, a preservare ai terroristi la loro enclave.

Evidente che il teatrino è cambiato e che i fautori del regime-change siriano hanno meno presa sui Paesi che l’hanno spinto in vario modo.

Inoltre, a questa fase bellica è stato risparmiato, almeno finora, il teatrino delle armi chimiche di Assad, manipolazione usuale in questa guerra. Segno che gli artisti di tali manipolazioni sono in certo affanno.

In terzo luogo si osserva che da alcuni mesi l’area di Idlib viene chiamata “Governatorato di Idlib”. Controllato da terroristi, è di fatto assimilabile al Califfato dell’Isis.

Ma il nome Califfato evocherebbe, appunto, quel Terrore, legittimando l’iniziativa militare di Damasco. Da qui “governatorato”, nome che evoca un ente politico senza alcuna connotazione.

Potenza dei nomi e della propaganda, che qui è riuscita a far passare per “ribelli” quelle fazioni terroriste che hanno sparso sangue anche in Occidente.

 

FONTE :http://piccolenote.ilgiornale.it/43948/idlib-erdogan-guerra-damasco

16/10/2019

Histoire de l'islamisation française

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A l'instar de l'excellent livre de Yves Mamou, chez le même éditeur, " Le grand abandon ", ce nouvel ouvrage choc, Histoire de l'islamisation française 1979-2019, jette une lumière crue sur le déni abyssal qui frappe la France. Les auteurs de ce livre ont fait le choix de partir d'un fait marquant année après année pour développer les preuves de ce qu'il faut bien appeler une mise à sac de la France, tant au niveau culturel, que historique et social. Avec le concours des universitaires, des journalistes, des intellectuels, des artistes, des religieux chrétiens et des hommes politiques de tous bords, c'est un monde orwellien qui est mis en place, une véritable dictature anti-anti-islam. De nombreux penseurs en ont fait les frais : Robert Redeker, Sylvain Gouguenheim, Lorant Deutsch, pour ne citer qu'eux. Penser différemment, dire la vérité sur une religion en s'opposant à la " vulgate " ambiante, fait de vous à coup sûr un paria. Déni, mensonge, falsification sont devenus les maîtres mots de cette nouvelle France multiculturaliste.

Lorsqu'un pays se met à réécrire son histoire, tel Patrick Boucheron avec son " Histoire mondiale de la France ", la décadence de ce pays est accélérée et sa chute proche. Lorsque les lois du pays sont niées, comme par exemple au sujet de la polygamie ou de l'excision des fillettes, le relativisme triomphe, la soumission totale à une culture, qui est tout sauf tolérante envers les non-musulmans, n'est pas loin. Cette inversion permanente - ce sont eux les meilleurs et nous les arriérés - cette fascination devant une culture, qui pourtant traine avec elle un absolutisme qui confine au totalitarisme, fait penser que de nombreux francais sont atteints de myopie, ou au pire du syndrome de Stockholm. Le renoncement collectif au nom d'un anti-racisme, brandi comme une nouvelle foi, fait de la France une nation de dhimmis. Le déni et le mensonge au profit des nouveaux arrivants touche tout. Je suis surpris par les réflexions de certains religieux musulmans sur les dogmes et les mystères chrétiens, auxquels ils ne comprennent rien, si ce n'est pour les falsifier et les dénigrer. La position des prélats catholiques, prônant l'oecuménisme, est déplorable de naïveté et de trahison des chrétiens. Ne savent-ils pas qu'il y a incompatibilité idéologique entre Chrétienté et Islam ? L'islamisation s'insinue partout : la nourriture, l'éducation, le vestimentaire, la culture, en témoigne le musée national des arts et traditions populaires ( Paris ) abandonné au profit d'un musée de l'immigration. A force de faire rentrer les loups dans la bergerie, la bergerie flambe. Les politiques et les intellectuels français, dont la responsabilité est grande, payeront cher leur refus de voir que la France est en face d'un bloc massif qui ne s'assimilera jamais à ses valeurs. C'est plutôt l'inverse qui se produit : une culture dévore une autre culture, elle s'installe, grignote lentement, gagne patiemment du terrain, inexorablement ! Ce gauchisme qui préfère, avec une admiration béate, une civilisation islamique à deux mille ans de grandeur occidentale chrétienne, relève de la maladie mentale. Avoir abandonné les français à une culture antagoniste, c'est criminel, minable, désespérant !

Ce livre ne s'attaque pas qu'à une religion, qui est bien plus qu'une religion, mais aussi à l'incroyable bêtise généralisée d'une partie des français, qui se rendent par ce fait complice d'une dictature qui ne dit pas son nom. Que la France ait des valeurs et des traditions d'accueil, je veux bien. Mais pas au prix du saccage de sa culture et de son histoire.

 

SOURCE : www.amazon.fr

14/10/2019

La presse turque salue le massacre d'Hevrin Khalaf

La presse turque, très majoritairement favorable à l’offensive en cours contre les forces kurdes des SDF (forces démocratiques syriennes) dans le nord de la Syrie, n’hésite pas à applaudir aussi l’exécution de civils. “À la suite d’une opération réussie, la secrétaire générale du Parti du Futur de la Syrie, liée au parti politique terroriste PYD, a été mise hors d’état de nuirese félicitait ainsi le quotidien islamo-nationaliste Yeni Safak.

Dimanche 13 octobre dans l’après-midi, le tweet et l’article du journal avaient été supprimés, mais des journaux turcs reprenaient toujours l’information sur le même ton : “L’organisation terroriste en état de choc : une de leurs responsables exécutés titrait encore le journal Yeni Akit.

Une référence à l’exécution, samedi 12 octobre de la femme politique kurde syrienne Hevrin Khalaf, membre du Parti du Futur de la Syrie. Sa voiture a été arrêtée sur une autoroute syrienne par des membres des milices pro-turques, qui l’ont tuée ainsi que son chauffeur. Une vidéo diffusée sur internet et authentifiée montre sa voiture criblée d’impact entourée d’hommes en armes et le corps du chauffeur mort à terre, on entend à l’arrière-plan une voix féminine attribuée à Hevrin Khalaf dire “c’est le chauffeur du parti”........

SOURCE www.courrierinternational.com

 

PS: il n'y a pas si longtemps les bobos progressistes plaidaient pour la Turquie dans l'UE

C'est déjà un énorme scandale qu'elle soit dans l'OTAN

Hevrin Khalaf : vittima dei turco sunniti

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QAMISHLI (Siria nord-orientale) - Sono andati quasi tutti i massimi esponenti politici e militari curdi ieri al suo funerale a Derek, un villaggio lungo il confine con l’Iraq. Nonostante la guerra, nonostante Rojava sia a rischio di essere sconfitta per sempre dall’esercito turco assieme ai suoi alleati tra le milizie sunnite siriane, alcune di esse in odore di qaedismo, non era possibile non renderle un ultimo saluto.

Così, la 35enne Hevrin Khalaf ha ricevuto l’estremo addio con tutti gli onori. La sua morte due giorni fa sulla strada tra Hasakah e Qamishli è stata una crudele cartina al tornasole di quanto l’intera regione sia destabilizzata e sull’orlo del collasso.

Curda, donna forte, attivista per la difesa dei diritti civili, impegnata a garantire i deboli. La conoscevano tutti tra Qamishli, Kobane e Raqqa. Aveva imparato l’inglese sin da giovanissima, era diventata ingegnere, quindi si era impegnata ad aiutare le donne. Amava la politica a tempo pieno. «Era sempre presente alle riunioni con le delegazioni straniere. Elegante, sobria, teneva rapporti diretti con i diplomatici americani ed europei», raccontano i suoi collaboratori.

I social media locali rivelano dettagli terrificanti, con foto crude. Secondo alcuni pare sia stata vittima di un’imboscata ben pianificata. Doveva partecipare a una riunione ad Hasakah con alcuni attivisti del suo nuovo partito, di cui era anche segretaria generale, il «Partito Siriano del Futuro». Ma la sua macchina è stata presa di mira a colpi di mitra. Assassinati subito l’autista e un suo collaboratore. Lei trascinata giù dalla vettura, forse violentata, prima di essere uccisa a pietrate. Una lapidazione vera e propria.

I curdi accusano le milizie arabe mercenarie di Ankara. I comandi turchi negano, affermano di non essere neppure arrivati così nel profondo di Rojava. Ma le cronache delle ultime ore provano il contrario. Ispirati dai turchi, i miliziani dell’Isis, i jihadisti arabi, lo stesso regime di Damasco, alzano la testa. I curdi sono sulla difensiva. Non si capisce più quali strade siano sicure e quali no. E nella terra di nessuno tutto diventa possibile. Anche assassinare una giovane donne innamorata della libertà e dei diritti umani.

FONTE : www.corriere.it

 

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Djihadisti sunniti al fianco delle truppe di Erdogan

 

PER APPROFONDIRE:

https://it.insideover.com/guerra/il-sangue-di-hevrin-khalaf-sulle-mani-dei-jihadisti-filo-turchi.html?utm_source=ilGiornale&utm_medium=article&utm_campaign=article_redirect

09/10/2019

La France sur la voie de la guerre civile

.....«C’est une honte, un véritable scandale!» La tenue d’une manifestation en faveur du terroriste Mickaël Harpon, ce jeudi, à Gonesse, crée un vif émoi. Et pas seulement chez les policiers en deuil qui seront chargés d’encadrer ce rassemblement.

Pour son organisateur, Hadama Traoré, qui s’était fait connaître en mai comme le «candidat des banlieues» lors des européennes, il s’agit de «communiquer différemment sur Mickaël»qui«n’est pas un terroriste!», clame-t-il. Alors que le président de la République a appelé mardi à «un combat sans relâche» contre «l’hydre islamiste», le militant prévoit «une mobilisation devant la mairie de Gonesse», où résidait le meurtrier. «On a le bras long!, assène-t-il dans une vidéo publiée sur sa page Facebook. Toutes les communautés persécutées, on va faire la guerre ensemble, aux politiques et aux médias. Et on commence ce jeudi.»

"La personne qui ose dire que Mickaël Harpon était un terroriste animé par des revendications religieuses, je lui traite sa mère et je lui crache à la gueule"

Hadama Traoré

Mickaël Harpon? «C’était une crème!», scande-t-il dans sa vidéo, tout en condamnant «ce qu’il a fait». «J’ai la haine, éructe-t-il...........

 
Source : www.figaro.fr du 09.10.2019
 

 

 
 

30/09/2019

La voix de la verité

....Par contre messieurs (et mesdames) qui n’aimez pas la France, imaginez un seul instant qu’il y ait la même proportion d’européens qui vivent sur votre sol d’origine et affirmez nous que vous seriez aussi patients et aussi gentils que nous, les peuples européens.

Et ne comparez pas à un envahissement, le petit million d’européens qui étaient sur le sol algérien pendant la colonisation. Et ces petits européens « occupants » – maltais – français – siciliens – portugais – occupaient de nobles emplois laborieux : – petits électriciens – petits plombiers, petits commerçants – petits fonctionnaires. Les vrais colons EUX étaient éloignés des villes parce que grands propriétaires terriens vivant proches de leur lieu de production. Et les politiques français , dans leurs hauteurs, ne côtoyaient pas ces » petits laborieux ».

Connaissez-vous un « envahisseur » qui fait progresser la natalité d’un pays « colonisé » en créant des dispensaires de protection maternelle infantile? Mes yeux d’enfants ont vu un dispensaire à côté de chez nous, accueillir chaque semaine un nombre incalculable de mamans algériennes. Et les petites françaises étaient minoritaires dans notre école.

Demandez donc aux indiens d’Amérique du Nord, s’ils ont été aussi protégés lors de la conquête de l’Ouest.

Ca se passait comment pour vous sous l’empire Ottoman??? Combien de vos ancêtres ont été embarqués sur des bateaux pour participer aux pillages qui faisaient la richesse des sultans, et y ont laissé leur vie.

Ils partageaient vraiment les « trésors » de ces pillages avec les populations, ces Ottomans??? Ils créaient des écoles, ils instruisaient les petites filles?

Par ce penchant à la plainte, à la négativité qui vous caractérise vous vous empêcherez toujours de voir ce qui fut positif pendant la colonisation. Vous ne verrez toujours que le côté négatif des choses et ce penchant doit probablement être dû à une oppression qui ne vient ni de la colonisation, ni de votre installation en France mais d’une éducation plaintive, réservoir de lamentations, due à une empreinte religieuse très oppressive.

Heureusement que les européens n’ont pas cette attitude, sinon nous ne nous serions jamais relevés des guerres des puissants qui ont occasionné 60 millions de morts en Europe,du 19 ème siècle au 20 ème siècle.

Et nous n’aurions jamais construit l’Europe si nous avions fait durer notre haine de l’Allemagne.

Vous n’aimez pas la France.

On ne vous oblige pas à nous aimer malgré tout ce à quoi, financièrement, nous contribuons pour que vous ayez une vie correcte.

Mais vous ne vous apercevrez de ce que nous sommes et de ce que nous faisons pour vous que lorsque vous retournerez pour une longue période dans vos pays respectifs. Et vous constaterez alors que malgré la culture oppressive qui est LA VOTRE , la France a su insuffler en vous un » souffle de liberté » dont vous ne pourrez pas vous passer et qui vous poussera à vouloir revenir.

On vous souhaite de sortir de votre négativité, car vos enfants ne pourront pas se payer le « luxe » d’une guerre ethnique avec toutes ses horreurs dans le futur , à cause de la haine à laquelle beaucoup d’entre vous les aurez nourris......

 

SOURCE

https://lesobservateurs.ch/2019/09/10/si-la-france-est-en-guerre-demain-sur-son-sol-vous-faites-quoi-je-retourne-au-bled/

20/08/2019

Quando il cancro maomettano colpisce l' America Latina

Negli ultimi trent’anni l’America latina è divenuta un campo di battaglia georeligiosa fra le principali potenze del globo, che stanno utilizzando la fede come un instrumentum regni con il quale espandersi nel cortile di casa degli Stati Uniti. La graduale ritirata del Vaticano da quel che era conosciuto come il “continente cattolicissimo” fino al secolo scorso non è stata sfruttata soltanto dall’internazionale evangelica con sede a Washington, ma anche dai protagonisti del mondo islamico, in primis Turchia, Iran e Arabia Saudita.

Da Città del Messico a Buenos Aires è ormai comune vedere moschee, edifici con la mezzaluna e stella islamica, e uomini e donne di origine latinoamericana, ispanoparlanti, vestiti in abiti tradizionali della cultura musulmana. Il Messico è uno dei casi studio più interessanti per ciò che riguarda i frutti della predicazione dei missionari giunti dall’estero per convertire gli autoctoni alla versione dell’islam seguita nei paesi di riferimento, anche perché si è scoperto permeabile alle infiltrazioni jihadiste.

L’arrivo dell’islam nel Chiapas

L’1 gennaio 1994 un’organizzazione paramilitare nota come l’Esercito Zapatista di Liberazione Nazionale (EZLN), guidata dal subcomandante Marcos, lanciò un’insurrezione su larga scala nello stato del Chiapas per protestare contro l’entrata in vigore del North American Free Trade Agreement (NAFTA), un accordo di libero scambio siglato fra Messico, Stati Uniti e Canada, la cui implementazione aveva creato notevole opposizione nel paese.

Gli zapatisti sostenevano che l’accordo avrebbe reso la già debole economia nazionale ulteriormente succube e dipendente dai rapporti con il Nord America, favorendo gli interessi di piccoli gruppi di potere legati alla grande produzione e al latifondo a detrimento delle classi meno agiate e, in particolare, degli indigeni.

I diversi tentativi, sia militari che diplomatici, di riportare lo stato sotto il controllo del governo centrale sono falliti, consentendo all’EZLN di esercitare de facto una parziale sovranità su di esso e realizzare un sistema sociale ed economico di tipo comunistico, basato sulla condivisione, sulla proprietà comune, sul solidarismo comunitarista e sulla produzione per autoconsumo.

Nel 1995 una piccola missione di predicatori islamici guidata dallo spagnolo Muhammad Nafia si fermò sulle montagne della Sierra Madre, nella città di san Cristobal de las Casas. L’obiettivo di Nafia, al secolo Aureliano Pérez Yruela, era di sfruttare il clima di fermento culturale prodotto dall’insurrezione zapatista per creare una piccola comunità islamica.

Gli zapatisti promossero il ritorno dei chiapanechi ai culti precolombiani, scoraggiando invece la pratica del cristianesimo in quanto ritenuto un’esportazione ideologica con cui gli spagnoli avevano sottomesso il subcontinente, e diedero a Nafia il permesso di fondare una missione nella città. La versione dell’islam veicolata dai predicatori venuti da oltreoceano era considerata, infatti, il possibile corollario spirituale della causa zapatista, in quanto antioccidentale, anticapitalistica ed indigenista, perciò possibilmente utile ad arruolare nuovi adepti e soldati.

Il proselitismo di Nafia si è concentrato sulle comunità etniche maya, in particolar modo sugli tzotzil, con ottimi risultati. Sono più di 700 gli tzotzil che hanno deciso di recitare la shahada, e in molti casi la conversione è seguita dall’arruolamento nell’esercito zapatista. La tendenza si è consolidata nel tempo e, oggi, gli tzotzil sono il gruppo etnico che registra il più alto tasso di conversioni all’islam.

Le ombre dell’emiro

Nafia non è un predicatore indipendente e il Chiapas non è stato scelto per caso. L’insurrezione zapatista era stata seguita sin dall’inizio dal Movimento Mondiale Murabitun (MMM) e, dopo un’attenta valutazione, era stata ritenuta l’occasione ideale per creare un focolare islamico in quanto l’astio verso l’accordo di libero scambio era il probabile riflesso dell’insofferenza verso l’influenza maligna dell’imperialismo nordamericano nel subcontinente.

Non appena giunto a san Cristobal de las Casas, Nafia scrisse una lettera al subcomandante Marcos, presentando il MMM come un movimento di liberazione dalla tirannide capitalistica impegnato a difendere popoli oppressi nei teatri più caldi all’epoca aperti, fra cui Cecenia e Paesi Baschi. Ciò che il predicatore propose, ed ottenne, era un patto di collaborazione militare-religiosa: gli zapatisti avrebbero permesso a lui e all’organizzazione di operare nello stato, e gli indigeni sarebbero stati convertiti e quindi convinti ad arruolarsi.

In realtà, il MMM non segue alcuna agenda anti-imperialistica, ma è un’organizzazione a vocazione religiosa regolarmente registrata a Granada, in Spagna, i cui obiettivi sono la reinstaurazione del califfato nella penisola iberica (al-Andalus) e l’islamizzazione dell’Europa. La principale attività dell’organizzazione è proprio il proselitismo verso i non-musulmani, che viene sostanzialmente effettuato attraverso iniziative culturali, lezioni di religione aperte a tutti, e missioni di predicazione in paesi ritenuti culturalmente pronti a ricevere il messaggio islamico – come il Chiapas degli anni ’90.

Il MMM predica una versione fondamentalista dell’islam, per certi versi simile al wahhabismo nella sua natura intrinsecamente antimoderna, antioccidentale e alla perenne ricerca di un ritorno all’epoca d’oro islamica. Ai seguaci viene richiesta l’adozione di uno stile di vita estremamente austero e ideologizzato, poiché l’obiettivo esistenziale è l’imitazione dei puri antenati.

Il fondatore dell’organizzazione è Abdalqadir as-Sufi, nato Ian Dallas, celebre per le sue prese di posizione discutibili sul terrorismo islamico e sulla decadenza della civiltà occidentale e, soprattutto, per aver lanciato una fatwa contro Benedetto XVI in seguito alla controversia di Ratisbona.

All’indomani degli attentati dell’11 settembre 2001 la comunità islamica del Chiapas iniziò a ricevere maggiore attenzione sia dalle autorità messicane che da quelle statunitensi, perché presumibilmente vicina ad organizzazioni terroristiche internazionali come Al Qaida e focolaio di radicalizzazione religiosa. Nel 2005 fu lo stesso presidente Vicente Fox a denunciare la possibile presenza di elementi qaedisti fra i musulmani chiapanechi. Altre piste investigative hanno tentato di stabilire se esistessero legami anche con il celebre gruppo terroristico basco Eskadi Ta Askatasuna e con cellule jihadiste con base in Spagna, per via di un continuo e sospetto movimento andirivieni.

Negli anni, Nafia ha acquisito grande prestigio presso la comunità islamica chiapaneca, dalla quale è venerato come massima guida spirituale e da essa è stato ribattezzato “l’emiro“, ma le indagini dei servizi segreti e le denunce degli ex adepti hanno scalfito la sua immagine e contribuito a dipingere uno scenario che potrebbe rivelarsi pericoloso per la sicurezza nazionale.

Il Centro Culturale Islamico del Messico, che opera nella capitale, dopo aver ricevuto denunce da parte di musulmani chiapanechi, ha inviato alcuni esponenti nello stato per discutere di religione con gli imam e i fedeli e presiedere ai sermoni settimanali. Ciò che è emerso è che nella piccola enclave dell’emiro di San Cristobal de las Casas vengono predicate dottrine pericolose per la convivenza pacifica fra culture e religioni, che alienano, traviano e radicalizzano i fedeli, i quali vengono costretti a rompere ogni legame con conoscenti e parenti non-musulmani, a non ricevere alcun aiuto governativo, e a non mandare i figli nelle scuole pubbliche.

Il monitoraggio delle autorità messicane ha appurato che la missione di Nafia è supportata da finanziatori con base in Malesia, Indonesia ed Emirati Arabi Uniti, e negli anni si è tentato di ridurre le capacità di proselitismo – che si sono estese all’intera America Latina – ricorrendo all’espulsione dei predicatori stranieri, spagnoli nella maggior parte dei casi.

Secondo quanto dichiarato da Ibrahim Chechev, ex collaboratore dell’emiro e oggi alla guida di un’altra comune, nel corso degli anni Nafia avrebbe iniziato a ricevere denaro da organizzazioni islamiche delle petromonarchie del golfo persico. A quel punto, gli insegnamenti, e lo stesso comportamento del predicatore, sarebbero cambiati radicalmente, convincendo Chechev ed altri fedeli ad allontanarsi.

La situazione oggi

La comunità islamica chiapaneca continua a crescere, e l’enclave dell’emiro Nafia è stata affiancata da nuove realtà, che sono il prodotto delle predicazioni di nuovi missionari e di scissioni interne avvenute nell’originale comune dell’emiro. A San Cristobal de las Casas, ciascun gruppo, fra cui uno wahhabita, ha le proprie moschee – che oggi sono 4, luoghi di ritrovo, scuole coraniche e di lingua araba, ristoranti, panifici e altri punti di aggregazione dedicati all’intrattenimento; la missione di Nafia ha anche una biblioteca.

Inoltre, i leader delle comunità si occupano anche di organizzare i pellegrinaggi a La Mecca e viaggi formativi all’estero per lo studio della lingua araba e dell’islam.

Sia Chechev che Esteban Lopez Moreno, il segretario della missione di Nafia, concordano nel vedere un futuro roseo e prospero per l’islam chiapaneco: l’influenza zapatista sta lentamente scemando e gli abitanti son sempre più insofferenti verso l’ordine di Marcos, mentre le conversioni all’islam aumentano.

Le autorità continuano a monitorare con attenzione ciò che avviene nella comunità islamica chiapaneca, come palesato dall’arresto nei giorni scorsi di Mohammed Azharuddin Chhipa, un cittadino statunitense sul quale l’Interpol aveva posto un avviso blu. Chhipa era ricercato dalla Fbi perché molto attivo nella pubblicazione di materiale jihadista in rete ed è stato arrestato a Huehuetan, al confine con il Guatemala, e trasferito negli Stati Uniti con il primo volo disponibile.

Saranno le indagini ad appurare i motivi che hanno condotto il sospetto terrorista nel Chiapas, ma già il semplice fatto che si trovasse lì, in uno stato sotto osservazione per infiltrazioni jihadiste e in cui operano predicatori radicali legati alle petromonarchie del golfo, non può che alimentare legittimi dubbi su quale sia l’attuale situazione nell’area e se l’autoproclamato Stato Islamico sia riuscito a penetrare in essa.

 

FONTE https://it.insideover.com/religioni/lenclave-dellislam-radicale-nel-cuore-del-messico.html

10/04/2019

La belle réligion de Muhammad

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