Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/06/2022

I nuovi italiani alla salsa afroislamica festeggiano la Repubblica

Continuano a moltiplicarsi in rete le pubblicazioni di video, immagini tratte da telecamere di sorveglianza e foto dei disordini andati in scena lo scorso giovedì 2 giugno a Peschiera del Garda.

https://twitter.com/i/status/1533081193775759361

Grazie ai filmati raccolti dalle forze dell'ordine, infatti, i giovani responsabili degli episodi di devastazione, alcuni dei quali dovranno rispondere anche della grave accusa di violenza sessuale per gli atti compiuti ai danni di 5 ragazze a bordo del treno regionale in servizio lungo la tratta Verona – Milano, dovrebbero essere oramai all'angolo e in via di identificazione. I video che da giorni girano sui principali social network, ripresi soprattutto alla stazione ferroviaria e sul lungolago, luogo in cui è avvenuto il "raduno" di giovani nordafricani dello scorso giovedì, avrebbe permesso agli inquirenti di individuare almeno una trentina di responsabili.

Stando alle notizie diffuse dalla procura della Repubblica di Verona sono due i fascicoli aperti. Il primo è quello relativo ai disordini e agli atti di vandalismo compiuti dai giovani nordafricani tra Peschiera del Garda e Castelnuovo, tanto in spiaggia quanto in città: numerose le auto danneggiate, come si evince dalle immagini, dai ragazzini che, approfittando del traffico e della confusione, sono letteralmente saltati sulle vetture in transito. Le ipotesi di reato al vaglio degli inquirenti sono, in questo caso, quelle di rissa aggravata, danneggiamenti e tentata rapina. L'altro fascicolo, ovviamente, è invece quello relativo alle molestie sessuali compiute dai responsabili sul treno Verona – Milano. Per quanto concerne quest'ultimo episodio, non è escluso che la procura della Repubblica di Verona, avendo valutato attentamente le dichiarazioni delle cinque vittime, non decida di valutare anche l'aggravante dell'odio razziale. "Mentre ci toccavano senza lasciarci scampo ci urlavano 'qui non vogliamo italiani'", ha infatti dichiarato una delle giovani agli investigatori nel corso dell'interrogatorio.Il padre di una delle vittime dell'aggressione, come riportato da Libero, ha espresso tutta la propria rabbia e frustrazione per l'episodio. "Quando mi ha detto che era bloccata, che le stavano tutti addosso e non riusciva nemmeno a respirare sono impazzito", ha dichiarato infatti l'uomo, "mia figlia era in balia di gente senza scrupoli e io ero a casa impotente. Se non fosse riuscita a scendere a Desenzano quelli non so cosa le avrebbero fatto". Oltre a ciò, l'attenzione si sposta anche sulla pressoché totale inefficienza mostrata dai soccorsi alle ferrovie. "Ho chiamato prima la Polizia Ferroviaria di Peschiera, ma non rispondeva nessuno, poi il 112, che mi ha passato i Carabinieri di Peschiera, che mi hanno detto di chiamare la Polizia ferroviaria", ha proseguito con amarezza l'uomo."A quel punto sono salito in macchina. Mezz'ora dopo mi hanno chiamato i Carabinieri ma mia figlia era riuscita a scendere a Desenzano", ha concluso.

Più che il ministro dell'Interno Luciana Lamorgese sembra il ministro dell'occhio bendato. Pur chiudendo sempre una palpebra sui fatti di sua competenza e sulle lacune gestionali generali dal punto di vista delle garanzie di sicurezza del nostro Paese, la Lamorgese riesce sempre a rimanere salda al suo posto.

All'indomani dei fatti scioccanti di Peschiera del Garda, sintomatici di una realtà, la nostra, non certo in salute per non dire fuori controllo, la procura di Verona ha aperto un fascicolo per violenze sessuali ancora contro ignoti. Proseguono in generale le indagini sulle devastazioni e sugli scontri tra gang, con possibile inserimento per alcuni reati dell'aggravante dell'odio razziale.

Inchieste parallele di enorme gravità, con la prima comunque indubbiamente più delicata, proprio perché le vittime di violenza sessuale sarebbero state aggredite perché "bianche" o comunque italiane. A far montare ancora di più l'indignazione, sono arrivate le parole del sindaco di Peschiera, Orietta Gaiulli (lista civica di centrodestra), la quale sostiene che le avvisaglie ci fossero già tutte e che "già nel 2020 avevamo avuto un centinaio di ragazzi africani sulla spiaggia libera di Castelnuovo, poi diventati 5-600 l'anno dopo, con disordini e un annegamento. Allora il prefetto introdusse un filtro nelle stazioni per prevenire nuovi disordini: identificazioni, video, controllo del biglietto. E il problema sembrava risolto".

Fonte : www.ilgiornale.it

12/05/2022

Eric Piolle: un "id... utile" de plus

L'annonce a fait polémique : l'autorisation du port du burkini dans les piscines dépendra du vote du Conseil municipal de Grenoble, qui aura lieu le 16 mai prochain. Ce, a expliqué le maire Éric Piolle (Europe Écologie Les Verts), afin «d'assurer l'égalité (sic!!!) d'accès aux services publics, et la liberté de se vêtir ou se dévêtir, dans le respect de l'hygiène et de la sécurité».

SOURCE : www.figaro.fr

Les meilleurs s'en vont.....

Ils ne reconnaissent plus la France. Celle de leur jeunesse ou celle que leur racontent leurs parents. Agressions, cambriolages, incivilités, trafics, montée du communautarisme, mais aussi la «fracture de la société», dénoncent-ils, ou cette «cancel culture» qui fait table rase de leur passé… Inquiets d’une «grande métamorphose» - bien décrite par Jérôme Fourquet dans L’Archipel français ou La France sous nos yeux (1) -, ce pays qu’ils aiment, ils ont pourtant choisi de le quitter. «L’une des conséquences de la mondialisation, c’est qu’une part croissante de nos concitoyens s’expatrie, analyse le directeur du département opinion à l’Ifop. Leurs motivations sont très différentes: économiques, fiscales, et puis aussi des questions de qualité de vie, de sécurité, d’identité. Typiquement, dans certaines destinations touristiques, comme Bangkok, Manille, Miami ou Lisbonne, on remarque un vote Zemmour très supérieur à sa moyenne nationale: le vote d’une petite communauté française plus ou moins âgée, expatriée par dépit, qui pense que notre pays fout le camp…».

Des filles «qui se font violer en pleine rue», des gamins «qui se tuent à coups de couteau», des policiers, des pompiers, qui se font attaquer, des cités qui s’enflamment, une adolescente comme Mila «sous protection policière», une femme «brûlée vive parce qu’elle voulait vivre normalement», le burkini «qui devient un “non-sujet” (pour le maire de Grenoble, NDLR)», sans parler des attentats… «Ce qui fait peur, c’est qu’il n’y a plus de limites, qu’on a l’impression que tout peut arriver», se tourmente Christophe, 60 ans, conseil en finances. «Je crois qu’ici notre mode de vie est menacé: les “murs porteurs de notre civilisation”, comme le dit Philippe de Villiers, commencent à trembler, nos élites sont déconnectées, affirme-t-il. Le corps préfectoral a été démantelé, le corps diplomatique aussi. Regardez l’effondrement de la France dans le classement Pisa! Élève à Sciences Po, avec des profs comme Alfred Grosser ou Georges Vedel, je me suis senti hissé vers le haut. Qu’est devenu cet établissement, qui reprend la ligne des facs américaines?» En 2019, ce Parisien se fait agresser dans le métro. «J’ai réalisé que même le 16e arrondissement de Paris n’était plus un sanctuaire, regrette-t-il. Originaire de Nantes, j’ai vu cette ville sombrer dans la délinquance

Sensibilisé par des campagnes de presse pour le Portugal, il y passe ses vacances, et jette les premiers jalons. «Je me suis senti en phase avec les Portugais, très francophiles, attachés à la préservation de leurs traditions et dotés d’une identité très forte, énumère-t-il. Catholique pratiquant, j’ai retrouvé un aspect de la France que je ne voyais plus chez moi: celle des Trente Glorieuses, marquée par une vie paisible, une culture, une école solide, l’importance de la famille. La beauté de la ville aux sept collines, les petits troquets, la mer et les azulejos ont fait le reste. Alors que, au début de ma vie active, j’avais privilégié le salaire et l’évolution de carrière, aujourd’hui, je privilégie la qualité de vie: si une opportunité de travail à Lisbonne ou de télétravail se présentait, je la prendrais tout de suite.»

La Hongrie a elle aussi ses attraits. Tout a commencé après une petite phrase prononcée par Viktor Orban en 2017: «Nous laisserons entrer, évidemment, les vrais réfugiés: les Allemands, les Néerlandais, les Français, les Italiens, les politiciens et les journalistes terrorisés, s’était exclamé le premier ministre hongrois. Des chrétiens contraints de fuir leur pays, qui veulent retrouver chez nous l’Europe qu’ils ont perdue chez eux.» Rédacteur en chef au Visegrad Post, un site d’informations conservateur, Ferenc Almássy reçoit régulièrement des «demandes de renseignement» de Français envisageant de s’installer en pays magyar. «Ces cinq dernières années, j’en connais une douzaine qui sont venus pour des raisons de sécurité, assure-t-il. Un phénomène mineur mais révélateur. En Hongrie, nous ne sommes pas confrontés à l’immigration. Il n’y a pas d’attentats. Avoir peur de prendre le bus la nuit, on ne connaît pas. Mais je mets toujours en garde: changer de vie, apprendre le hongrois, reprendre sa carrière à zéro, c’est parfois très dur! Il y a aussi des gens qui reviennent sur leurs pas…»

Laure (2), en tout cas, n’est «pas près de revenir». «C’est la France qui m’a obligée à partir!, fulmine cette native d’Aix-en-Provence. Je suis très en colère contre mon pays… Y a plein de gens qui ne veulent pas respecter nos lois, mais c’est nous les parias: on aime la France, et il faut qu’on s’en aille!». À 48 ans, mariée en deuxièmes noces à un Franco-Hongrois, Laure s’est installée en Hongrie fin 2019. «On pensait éventuellement y emménager pour nos vieux jours, raconte la mère de famille. Mais, à Nîmes, on a subi plusieurs tentatives de cambriolage. Mon fils s’est fait voler son scooter. Il ne pouvait pas prendre le bus seul. Ma fille se faisait interpeller par une bande de racailles qui la poursuivait en lui lançant: “T’es bonne!”… Je ne vivais plus.» L’été dernier, ses enfants sont rentrés en France pour quinze jours. L’aînée s’étant fait agresser, les vacances ont été écourtées. Aujourd’hui, les deux jeunes se voient faire leur vie à Budapest: «Ma fille de 23 ans a trouvé un bon job dans un groupe américain, indique Laure, qui elle, est devenue prof de français. Tandis que mon fils poursuit ses études d’informatique. Et tout ce poids que j’avais en tant que maman dès qu’ils avaient dix minutes de retard, tout ce poids s’est évaporé! Quand on regarde les infos sur les chaînes françaises, on ne regrette absolument pas notre choix.»

SOURCE www.figaro.fr

03/05/2022

Islam: un problème ubiquitaire

85cbf973ca9f5ddb9344411c903ea82a81d82bced5e86715489328c53ff9b1b8.jpg

La social-démocrate Magdalena Andersson a annoncé jeudi une série de mesures visant à endiguer la criminalité, qui est selon elle une conséquence de la «faiblesse» de l'État régalien alors que le pays est confronté à une immigration de masse.

Après quinze jours d'émeutes qui ont secoué violemment le pays et fait déjà une centaine de blessés parmi les forces de l'ordre, la première ministre suédoise Magdalena Andersson s'est exprimée jeudi, annonçant notamment un plan et des moyens visant à combattre la criminalité en Suède. La cheffe du gouvernement veut s'en prendre en particulier à la criminalité juvénile, qu'elle souhaite enrayer grâce à une collaboration plus étroite entre la police et les services sociaux, et des outils de contrôle pour s'assurer que les enfants restent à l'école et ne traînent pas dehors sans l'accord de leurs parents.

Surtout, la dirigeante issue des rangs du Parti social-démocrate suédois des travailleurs a reconnu publiquement en conférence de presse, sur un ton direct jugé «inhabituel» par les observateurs de la vie politique suédoise, l'insuffisance et les ratés des politiques d'intégration des nouveaux immigrés dans son pays. Elle a alors renvoyé dos à dos l'islamisme et l'extrême droite, qui selon elle «enveniment» la vie politique suédoise et empêchent cette intégration.

Alors que le nombre de personnes nées à l'étranger et résidant aujourd'hui en Suède a doublé en vingt ans, pour atteindre désormais deux millions (un cinquième de la population de ce pays scandinave), Magdalena Andersson a donc fait son autocritique et celle de son parti, au pouvoir depuis huit ans (et, au total, près d'une trentaine d'années depuis quarante ans). «L'intégration a été trop faible tandis que nous avons connu dans le même temps une immigration massive. Notre société a été trop inconséquente sur cette question, et les moyens alloués à la police et aux services sociaux, trop légers», a-t-elle notamment déclaré, d'après l'agence Reuters. Ajoutant : «une telle ségrégation s'est installée dans le pays que, désormais, la Suède est compartimentée en sociétés parallèles. Nous vivons dans le même pays, mais dans des réalités complètement différentes».

Alors qu'elle fut le pays d'Europe à supporter le plus large afflux de migrants (relativement à la taille de sa population) depuis la crise migratoire de 2015, la Suède a, depuis, restreint drastiquement sa politique d'accueil. La venue dans le pays en avril du leader d'un parti danois d'extrême droite, Rasmus Paludan, a été le prétexte d'un déchaînement de violences à l'égard des autorités suédoises.

SOURCE: ww.figaro.fr

04/04/2022

Islam + educazione comunista sovietica = crimini contro l'umanità

Fonti dei media ucraini hanno diffuso stamattina informazioni sull'identità del presunto comandante delle truppe russe a Bucha, responsabili del massacro nella città appena liberata. Secondo gli attivisti di InformNapalm l'unità militare 51460, 64ma brigata di artiglieria motorizzata coinvolta in crimini di guerra a Bucha, sarebbe stata comandata dal tenente colonnello Omurbekov Asanbekovich, del quale si riportano anche i recapiti privati. A breve saranno diffusi i dettagli che hanno portato a questa indicazione. A Bucha sono ormai centinaia le vittime - per lo più civili, uccisi a sangue freddo - scoperte in quello che è al momento il massacro più grave dall'invasione russa del 24 febbraio scorso.......

 

.....Ci sono due comandanti ceceni che hanno operato nella zona di Bucha, entrambi famosi e crudeli. Uno è Hussein Mezhidov, comandante del battaglione Sud della Rosgvardia cecena. L’altro è Anzor Bisaev, meno famoso e con lo stesso compito di ''pulizia'' del territorio. Il primo è stato geolocalizzato lì dall’inizio dell’invasione, perché ha preso parte alla riconquista dell’aeroporto di Hostomel. poi, secondo alcune fonti si sarebbe spostato in Donbass intorno al 25 marzo. Bisaev è arrivato nella zona ai primi giorni di marzo e sarebbe rimasto più a lungo. Il 23 marzo infatti c’è stato un summit tra i comandanti ceceni, in cui si è deciso – stando a Kadyrov – di renderli parte della liberazione dell’intera Ucraina, ossia il trasferimento in altre zone dove sarebbero stati più utili: Donbass e Mariupol. Alla riunione erano presenti Mezhidov, Bisaev, Magomed Tushaev e il grande capo Sharip Delimkhanov. ......

 

FONTE: www.repubblica.it

23/03/2022

L'Islam remet les pendules à l'heure

Quelques heures seulement après avoir annoncé la réouverture des collèges et lycées pour les filles, les Taliban ont finalement prié le même jour les élèves de rentrer chez elles.

Les Taliban sont revenus sur leur décision. Les filles qui avaient repris mercredi 23 mars le chemin du lycée à Kaboul, la capitale de l'Afghanistan, après la décision des Taliban de rouvrir l'école secondaire aux filles dans le pays, plus de sept mois après l'arrivée au pouvoir des islamistes, ont dû rebrousser chemin. Les Taliban ont ordonné dans la même journée la fermeture des collèges et lycées pour les filles en Afghanistan, quelques heures seulement après leur réouverture, a confirmé un responsable taliban.

"Oui c'est vrai", a déclaré sans autre commentaire à l'AFP Inamullah Samangani, porte-parole des Taliban, en confirmant des informations selon lesquelles les filles avaient été priées de retourner chez elles.

Une équipe de l'AFP-TV filmait mercredi matin un cours dans une classe du lycée Zarghona pour filles, à Kaboul, lorsqu'un enseignant est entré et a ordonné aux élèves de rentrer chez elles.

 

Ces dernières, qui se réjouissaient de leur retour à l'école pour la première fois depuis la prise de pouvoir en août dernier des fondamentalistes islamistes, ont fermé leurs livres, emballé leurs affaires et quitté en larmes la classe.

La communauté internationale a fait du droit à l'éducation pour tous une pierre d'achoppement dans les négociations sur l'aide et la reconnaissance du régime des islamistes fondamentalistes. Plusieurs pays et des organisations ont proposé de rémunérer les enseignants.

Avec AFP

21/03/2022

Putin you will pay for that!

At Zaporizhzhia's Children's Hospital, I came across one grief-stricken, inconsolable father whose family had been completely torn apart.

His daughter Natasha, who was 26, and his 4-year-old granddaughter Dominica, were killed when a Russian shell landed near the shelter where the whole family was seeking refugee from the bombardment of Mariupol.

"I looked at the ground and there lay my little granddaughter with her head completely torn to pieces," says Vladimir. "She lay there without a single breath and right next to her was my daughter with her legs fractured, open fractures."

Vladimir with his family before the warImage source, Family handout/BBC
Image caption,
Vladimir with his family before the war

Dominica - whose pictures her grandfather almost caresses on his phone - was killed instantly. Her mother died from her injuries the next day.

As broken as he is, Vladimir is trying to stay strong for his second daughter, Diana. She was also critically wounded in the blast and was about to undergo emergency surgery.

But he could not hide his pain. "God, why would you bring all this upon me? I was not supposed to bury my children, my lovely girls, I failed to protect you."

Il genocidio degli Ucraini

«La città di Mariupol sta vivendo un vero genocidio. La gente muore non solo a causa delle armi nemiche ma anche per l'odio... Centinaia di persone muoiono di fame, e non solo nella città ma anche nei suoi dintorni». Lo denuncia l'arcivescovo di Kiev Sviatoslav Shevchuk nel 26esimo giorno di guerra in Ucraina. «Sui territori temporaneamente occupati si stanno perpetrando veri crimini contro l'umanità. Riceviamo quotidianamente notizie di una vera catastrofe umanitaria, di omicidi, saccheggi, stupri», denuncia ancora Shevchuk. Nel quotidiano videomessaggio, l'arcivescovo di Kiev racconta: «Stanotte in Ucraina il sangue è stato versato nuovamente. Le nostre città e i nostri villaggi hanno di nuovo tremato per i bombardamenti. E ancora una volta, fino ai cieli, alle orecchie di Dio, dalla terra ucraina si sono alzate le grida, i gemiti, il pianto». «Le persone - racconta Shevchuk stanno protestando contro i loro stupratori e assassini. E fanno capire che Kherson e le altre città dell'Ucraina, che sono oggi occupate, sono l'Ucraina e vogliono vivere in uno stato ucraino indipendente e libero. Chiedo a tutti noi di pregare per quelle persone che, con la forza, vengono deportate dall'Ucraina in Russia. Siamo di nuovo testimoni di un'ondata di deportazione forzata dei cittadini ucraini in un altro stato. Nessuno di noi sa quale destino li attende perché loro non lo possono decidere da soli».

 

FONTE:www.lastampa.it

18/03/2022

Putin, la fine augurata di un criminale post comunista sovietico

Capture.JPG

17/03/2022

USA come back ......Put off Putin

Devant l'inaction des Européens, c'est encore une fois les USA qui viendront nous délivrer de la barbarie

 

Capture d’écran 2022-03-17 122213.jpg