Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/11/2015

Coran: source du mal!!!

Aucune lutte contre le terrorisme islamique ne pourra être suivie d'effet si on n'interdit pas la diffusion des idées haineuses et meurtrières contenues dans le Coran

Mais Cazeneuve dit: "Ce n'est pas un délit de prôner le djihad"

A vous de voir

Les médias parlent de terreur mais ils omettent de dire quelle est sa source : le coran.

Capturre.JPG

Ils ne vous diront pas dans quelles mosquées de l’UOIF ces terroristes priaient, quels sermons de quels imams ils écoutaient.

Les médias rapportent que François Hollande a déclaré que les attentats de vendredi sont un acte de guerre. Ils se gardent bien de développer. Faisons-le : cela veut dire que les guerriers sont sur le sol français. Cela veut dire que les guérriers sont français. Cela veut dire que c’est une guerre civile, déclenchée par l’Etat islamique (il vient de revendiquer les attentats, voir la revendication ci-dessous) sur le sol français où ils ont des combattants entraînés, qu’ils soient revenus du front syrien, irakien, ou arrivés parmi les réfugiés

Les médias disent que le couvre-feu a été décrété à Paris. Ils évitent de rappeler que la dernière fois que cela s’est produit, c’était face aux nazis pour que vous n’associez pas nazi à islam, alors que vous devriez clairement le faire.

Les médias affirment que le Bataclan était une prise d’otages. Ils mentent

Les médias affirment que le Bataclan était une prise d’otages. Ils mentent. L’Etat islamique ne prend pas d’otages, il les brûle vifs, les décapite, les réduit à l’esclavage. Les preneurs d’otages sont des gens qui réclament des choses, de l’argent, la libération de combattants, ils ont des demandes. Les « preneurs d’otages » du Bataclan n’avaient aucune demande. Des spectateurs ont tenté de négocier avec eux, ils n’avaient rien à négocier, ne demandaient rien. Il s’agissait non d’une prise d’otages, mais d’un acte terroriste destiné à tuer le plus possible des 1500 spectateurs.

Ces attentats n’étaient rien de plus qu’une répétition pour étudier le terrain et les réactions françaises

Les médias veulent que vous pensiez qu’une pareille attaque ne se reproduira plus. Ils ne vous disent pas que ces attentats n’étaient rien de plus qu’une répétition, pour l’Etat islamique. Ces attentats étaient destinés à être analysés par les stratèges de l’Etat islamique, afin de comprendre comment les Français réagissent, quels sont leurs points faibles et leurs points forts, afin que la prochaine attaque soit plus sanglante, plus mortelle, plus destructrice encore.

Les médias indiquent que François Hollande a fermé les frontières. Cela veut dire quoi ? Nous avons laissé entrer trop de terroristes, nous n’en voulons plus ? 

Les médias indiquent que François Hollande a fermé les frontières. Cela veut dire quoi ? Nous avons laissé entrer trop de terroristes, nous n’en voulons plus ? Aucun journaliste ne vous dit pourquoi Hollande a fermé les frontières. Pourquoi les fermer puisque depuis 2 mois les migrants et réfugiés sont présentés comme des innocentes victimes à qui une main humanitaire doit être tendue, voire même des médecins et diplômés qui sont une chance pour la France ?

La réalité est que le gouvernement sait que des djihadistes infiltrent les flots de migrants.

L’avouer est impensable : ce serait avouer qu’il ne contrôle pas la situation, qu’il ne sait pas qui sont les terroristes et qui sont les réfugiés. Ce serait avouer que des centaines, des milliers, sont déjà là.

Mais posons-nous la question : sans ces horribles attentats, les frontières seraient donc restées ouvertes ? Ceux que la France veut maintenant bloquer seraient donc entrés …

Pourquoi le couvre feu ? Les médias ont-ils indiqué que la police se rend chez les musulmans soupçonnés d’affinités avec l’islam radical, et confisquent les armes qu’ils découvrent ? Faire cela maintenant au lieu d’hier a coûté la vie à 160 personnes, fait 200 blessés. Voilà pourquoi les médias restent discrets sur la question

Les médias ont rapporté que deux explosions suicides se sont produites à l’extérieur du stade où se trouvait François Hollande. Ils n’ont pas cité les analyses des services de renseignements, qui pensent qu’il s’agissait d’une diversion pour faire sortir le président du stade et le faire assassiner, projet qui a avorté pour une raison pour l’instant inconnue.

Les médias ont-ils révélé que la police recherche les têtes pensantes derrière cette attaque ?

Ont-ils expliqué que l’Etat islamique a commis cet attentat en partie pour faire sa publicité et éliminer le rival al Qaïda ? Ont-ils dit que l’Etat islamique regarde les émissions de télévision française, voit les médias affirmer que l’islam est une religion de paix, que les mises en garde de l’extrême droite sur le danger islamique sont du populisme, et qu’il ne faut surtout rien faire contre ces braves salafistes qui ne sont là que pour rapporter un message d’amour. Ils ont compris la faiblesse de l’occident, ont compris qu’il est passif, qu’il ne réagira pas, alors ils frappent les plus faibles, les plus faciles à atteindre, ceux qui refusent d’affronter la réalité et se cachent la tête dans le sable politiquement correct.

Les terroristes étaient 8. 7 d’entre eux se sont fait exploser. Cela, les médias l’ont publié. Ils sont restés très discrets en revanche sur les liens entre ces attentats et celui contre l’avion russe qui a fait 224 morts il y a 15 jours en Egypte. Ils ont caché que dans les deux cas, c’est l’économie du tourisme qui est visé, Paris étant la ville la plus visitée au monde par les touristes et l’Egypte vivant du tourisme. Pourquoi ? Pour minimiser le niveau d’organisation et d’expertise, de préparation et surtout des réseaux que l’Etat islamique a créé.

Les terroristes étaient 8 oui. Mais combien de personnes ont assisté à la logistique ? La fourniture de l’armement, des munitions, les artificiers pour la préparation des ceintures d’explosif, les planques, les moyens de transport, la surveillance, les repérages, les communications. Rien de tout cela n’a été détecté par la DGSI ! Des dizaines de terroristes, vivant sur le sol français, de nationalité française pour certains, ont participé à ces attentats sans soulever le moindre soupçon. Comment les services de renseignement français ont-ils pu à ce point, et une nouvelle fois, faillir ?

Screen Shot 2015-11-14 at 12.50.42

Annonce de Daech

 

Comme le cheval de Troie, l’ennemi est sur place. Votre ennemi, votre bourreau de demain. Dans les banlieues, hier soir, on faisait la fête. A Calais, les migrants au lieu de partager la peine de leurs hôtes français se réjouissaient et hurlaient de joie dans les rues.

Enfin, si les responsables des attentats sont bien l’Etat islamique, les médias ne vous diront pas que cela représente pour eux une immense publicité positive, c’est à dire des vagues de recrutements spontanées, des dons supplémentaires de riches arabes, certains qui possèdent des hôtels et ont investis leurs capitaux en France…

Pour terminer, les victimes de ces attentats sont les nouvelles victimes du pacifisme. L’histoire n’enseigne jamais rien à ceux qui prônent l’apaisement face aux barbares : l’apaisement envoie toujours un signe de faiblesse qui encourage les tueurs.

Disons encore que de nombreux musulmans ont été victimes de ces attentats. Dire qu’ils sont l’islam est un mensonge qui coutera beaucoup d’autres vies car c’est pointer le doigt dans la mauvaise direction. Le vrai islam est celui qui a tué. Le faux islam est celui des musulmans qui ne respectent pas la lettre du coran, qui préfèrent suivre les lois démocratiques plutôt que la charia, et ceux-là méritent notre respect car s’ils tombent entre les mains des vrais musulmans, le coran leur donne l’ordre de les tuer.

Disons enfin que sur les forums, des messages de l’Etat islamique expliquent qu’ils espèrent que les « infidèles » vont s’en prendre aux musulmans de France, ceux qui sont modérés à nos yeux, mais apostats aux leurs, et les forcer à choisir leur camp : soit l’occident, soit l’islam, dans l’espoir de pousser les mauvais musulmans vers l’islam du djihad.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

 

Capture.JPG

02/11/2015

Les criminels islamo nazis "modérés" syriens enferment des civils alaouites

Les criminels islamo nazis "modérés" syriens enferment des civils alaouites dans des camions pour servir de boucliers humains

Les ordures islamo wahhabites ( soutenues par la coalition arabo occidentale) enferment des civils alaouites, hommes et femmes, voire enfants, dans des cages métalliques placées sur des camions pour les amener sur des cibles stratégiques susceptibles d'être frappées par l'aviation Russe ou les troupes d'Assad

Ils en font étalage sur TWITTER

Propagande de destruction et de mort mahométaine sur internet

C'est beau le progrès...islamique!

CSuX2R_WcAERquh.jpg large.jpg

CSutxb9XAAI3Ztd.jpg

L'Etat Islamique cherche à éliminer Viktor Orban

Le rétablissement des frontières par Viktor Orban a provoqué l’ire de l’Etat Islamique. S’il fallait des preuves que l’invasion est observée et peut-être organisée par l’organisation islamique, nous l’avons désormais.

Epoch Times, (lien en bas de page), nous rapporte qu’en raison du succès de la clôture de la frontière entre son pays et la Serbie, le Premier Ministre hongrois et sa famille sont désormais sous haute protection anti-terroriste.

Depuis la mise en place du mur de barbelés, l’Etat Islamique considère le Premier ministre hongrois comme son ennemi

Le quotidien de Budapest, Magyar Idök, informe que la politique de rétablissement des frontières par Viktor Orban, aurait provoqué l’ire de l’Etat Islamique. En conséquence, depuis peu, le Premier ministre est sous protection des services anti terroriste, TEK, ainsi que sa famille. L’ancien adjoint au ministre de la Défense Hongrois, Jozsef Horvath, a déclaré que depuis la mise en place du mur de barbelés, l’Etat Islamique considère le premier Ministre et son entourage comme des ennemis. Il n’y a pratiquement plus de migrants qui arrivent à passer la frontière hongroise depuis la mise en place de ces barbelés. Ce qui a dévié la route de l’invasion par la Croatie et la Slovénie, à travers l’Autriche. Des clôtures barbelées seraient désormais prévues également à la frontière autrichienne.

Mardi, la ministre de l’Intérieur autrichienne, Johanna Mikl-Leitner, qui était en visite à la frontière, prêt de Spielfeld, où l’on a pu voir les impressionnantes images de l’invasion traverser le petit village, a évoqué la possibilité d’une construction de « barrières techniques ». Cependant, à la Chancellerie, on ne veut pas entendre parler de « clôtures » : « En ce qui concerne les ‘barrières techniques’, l’on pourrait appliquer de simples barrières » estime aujourd’hui le quotidien Autrichien Krone.

L’Autriche a atteint ses limites du nombre des « réfugiés ». Les camps d’urgence se remplissent de plus en plus, et le flux en provenance du sud est désormais plus important que celui qui vient du nord, déclare Mikl-Leitner. La situation pourrait encore être maitrisée, cependant l’escalade est aussi possible. Ceci « dépendrait de la météo ». « Nous devons nous préparer à cette éventualité » déclare Mikl-Leitner.

Des groupes de migrants de plus en plus agressifs

Des groupes de migrants sont de plus en plus agressifs. C’est la raison pour laquelle il faut prendre des mesures de sécurité à la frontière du sud afin de contrôler une entrée ordonnée vers l’Autriche, a estimé la ministre de l’Intérieur au journal Krone.at.

Concernant la politique migratoire de la Hongrie, la vice-présidente du PE, la responsable de la délégation des Verts, Ulrike Lunacek, alerte contre « l’orbanisation du Parti Populaire Autrichien ». De manière récurrente, cette dernière s’oppose à l’établissement de clôtures et de murs aux frontières. Elles seraient « l’expression de l’échec ». Les fonds seraient mieux utilisés en mettant en place des villages provisoires de containers pour héberger les migrants.

Ai-je besoin de commenter davantage les faits ?

Il est clair que ce tsunami migratoire, outre ceux qui fuient vraiment les guerres, est le fait de l’Etat Islamique, qui voit dans ce chaos une manière expéditive de conquérir l’Europe par la force.

Ils l’ont annoncé, ils passent à l’action, pendant que l’on tergiverse sur les murs, clôtures ou non.

Hildegard von Hessen am Rhein

epochtimes.de

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hildegard von Hessen am Rhein pour Dreuz.info.

L'islam non rispetta nulla, neppure i morti

Non solo la tomba dimenticata di Vittorio Emanuele III, il Re Soldato che è sepolto in Egitto, sotto il tiro dell'Isis, come ci ha ricordato ieri, in una lettera accorata e composta, sua nipote Maria Gabriella di Savoia.

Ci sono anche i resti di 7.800 italiani, abbandonati al cimitero di Tripoli, nella Libia lacerata dalla guerra civile e in alcune aree sotto il controllo degli integralisti islamici. Bruno Dalmasso, ultimo custode italiano del cimitero di Hammangi, fuggito in Italia, fa sentire la sua voce dopo le profanazioni dei seguaci dei tagliagole islamici: «Portiamo in Italia quei resti. Gli estremisti islamici li hanno profanati due volte».

Di fronte ai tagliagole bisogna pensare ai vivi minacciati dagli estremisti islamici, ma non vanno dimenticati i morti che rischiano di venir dissacrati dai seguaci delle bandiere nere. Un mese fa gli integralisti sono entrati nel cimitero italiano di Tripoli con un bulldozer, che ha sfondato il muro di cinta e profanato, per l'ennesima volta, l'ultimo luogo di riposo di quasi 8mila connazionali.

«Portiamoli via, in Italia. Non è neanche tanto difficile. I resti sono in piccole cassette che possono venir stivate nei container. Altrimenti non resterà più nulla» lancia l'appello Bruno Dalmasso, ultimo custode del cimitero di Hammangi. Per 40 anni è rimasto in Libia fra colpi di stato, bombardamenti, rivolte e ha lasciato Tripoli solo nel 2014 quando l'ambasciata italiana ha chiuso i battenti. «Dalla capitale libica mi hanno informato che un mese fa quelli con le barbe lunghe (i salafiti, estremisti islamici nda) hanno sfondato il muro entrando nel cimitero con un bulldozer. Lo hanno profanato e devastato già due volte. Prima i ladri e adesso gli islamici» racconta il veterano d'Africa che ha 81 anni e vive in provincia di Imperia.

Il regime di Gheddafi aveva fatto togliere il Cristo all'ingresso della parte monumentale progettata da Paolo Caccia Dominioni. «Era rimasto il grande crocifisso, ma una sera, dopo la caduta del colonnello, sono venuti e hanno portato via pure quello. Le altre croci sono state tutte spezzate e diverse cassette profanate con le ossa sparse per terra - spinge Dalmasso - Oramai non si tratta più di livore contro gli italiani, ma di rabbia religiosa. Sono islamici estremisti, che odiano i cristiani». Lo strazio del cimitero di Tripoli gli ha cancellato un pezzo di vita: «Cosa aspettiamo? Bisogna portare via i nostri morti. Se non lo faremo raderanno tutto al suolo».

Quaglio Maria, Patanè Bruno, Campagna Carmela sono i nomi incisi sulle lastre di marmo, che ti fanno scoprire come i primi commercianti italiani nel Nord Africa furono sepolti nel 1831. La salma di Italo Balbo è stata riportata in patria come i resti di 28mila militari che Gheddafi non voleva.

Nell'ufficio del custode e sulle mura del cimitero sono comparse scritte inneggianti alla rivoluzione contro Gheddafi e Allah o akbar, Dio è grande. In salvo sono finite solo le statue dei leoni all'ingresso portati nel cortile dell'ambasciata italiana. E la lapide ristrutturata di Balbo, abbattuto per sbaglio, o meno, dalla nostra contraerea sui cieli di Tobruk nel 1940. I nostri militari, che addestravano i libici a Tripoli prima dello scoppio della guerra fra milizie, l'hanno imbarcata sull'ultimo C130 per Roma.

«Per portare a casa i resti di oltre 7mila italiani da Tripoli bisognerebbe mandare i paracadutisti. Ma c'è stato un precedente. A Mogadiscio, una decina di anni fa, le Corti islamiche devastarono il nostro cimitero. I servizi con pochi soldi riuscirono a farsi consegnare i resti degli italiani» spiega Alfredo Mantica, che da sottosegretario agli Esteri aveva inaugurato il camposanto ristrutturato di Tripoli nel 2009.

Dopo il primo recupero, la rivolta contro il colonnello, ha provocato le devastazioni. Nel 2012 ci sono stati i secondi lavori di ristrutturazione, ma lo scempio è continuato a singhiozzo. «Banca Intesa aveva messo a disposizione 90mila euro per mettere in sicurezza il cimitero e recuperare le salme degli italiani sepolti in giro per la Libia. Purtroppo le devastazioni non si sono fermate» spiega Giancarlo Consolandi, dell'Associazione ex allievi delle scuole cristiane in Libia.

Pure lui conferma la storia del bulldozer: «Le poche notizie che abbiamo arrivano da chi seppellisce i migranti cristiani che muoiono a Tripoli» prima di imbarcarsi per l'Italia. Con l'avanzata delle bandiere nere «c'è forte preoccupazione per il cimitero, ma pure per i siti archeologici di Sabrata, Cirene ed Apollonia, che potrebbero venir distrutti dalla furia iconoclasta».

Giovanan Ortu storica presidente dell'Associazione italiani rimpatriati dalla Libia nel 1970 aveva preso contatti fra Roma e Latina per trovare un luogo di sepoltura adatto ai quasi 8mila defunti di Tripoli. «Dopo le continue devastazioni pensavamo di portarli in patria - conferma Ortu - Poi la situazione è precipitata. L'ambasciata è stata evacuata ed in questo momento penso ai vivi, agli stessi libici in balia del caos».

TRIPOLI, IL CIMITERO ITALIANO VIOLATO: GUARDA IL VIDEO

FONTE www.ilgiornale.it

30/10/2015

La CIA et Obama choisissent le camp des égorgeurs

En réponse à l'intervention militaire russe, la CIA et les monarchies du Golfe ont livré de nombreux missiles antichars TOW aux rebelles syriens. Avec ces nouvelles armes, ces derniers ont détruit des dizaines de blindés.

La rébellion syrienne a infligé de lourdes pertes à l'armée de Bachar el-Assad grâce aux missiles antichars américains TOW qu'elle a reçus en grand nombre ces dernières semaines. L'offensive terrestre de l'armée syrienne au nord de Hama, lancée début octobre avec le soutien aérien de la Russie, a été ralentie par la destruction de plusieurs dizaines de blindés par ces missiles sophistiqués, livrés massivement aux rebelles via la Turquie par l'Arabie saoudite et le Qatar, principaux soutiens du soulèvement armé contre Bachar el-Assad, ou par la CIA.

L'offensive du régime visait à dégager les rebelles de l'autoroute no 5, qui part vers le nord en direction d'Alep, et de la vallée de l'Oronte, au nord de la ville de Hama. «Les missiles TOW ont transformé l'opération en un “massacre de tanks” selon les commandants rebelles».......

SOURCE www.figaro.fr

 

ET VOUS? VOUS CHOISISSEZ QUOI?

Le Prince des vrais croyants fait du trafique de drogue

Au Liban, les douanes de l'aéroport de Beyrouth ont arrêté le prince saoudien Abdel Mohsen Ibn Walid Ibn Abdelaziz, avec en sa possession une quantité de drogue record, ont rapporté des responsables des services de l'ordre à Sputnik.

Lundi 26 septembre, le prince saoudien tentait d'embarquer pour Riyad avec près de deux tonnes de cocaïne et de Captagon, une drogue à base d'amphétamine. Cette quantité énorme de pilules de Captagon et de cocaïne rangées dans des caisses a été découverte à bord de l'avion privé du prince, qui devait se rendre en Arabie saoudite.

Le prince était accompagné de quatre autres Saoudiens, Bandar Ben Saleh el-Chirali, Yahahja Ben Chtchaïm Ben Chtchumari, Sijad Ben Samir el-Hakim et Mubarak Ben Ali el-Harisi, a précisé l'interlocuteur de Sputnik. Les cinq hommes se trouvent actuellement à l'aéroport et sont interrogés par la douane.

La production de pilules d'amphétamine est une affaire florissante au Liban et en Syrie, principaux pays sur cette route de la drogue moyen-orientale. De là, le flux de drogue s'achemine vers d'autres pays du Moyen-Orient et vers des pays du Golfe.

 
 
PS  POUR LUI.... PAS DE DÉCAPITATION!

29/10/2015

L'asse del male sunnita si mobilita a favore dei tagliagole

Il ministro degli Esteri del Qatar Khalid al-Attiyah ha affermato che il suo Paese non esclude un intervento militare in Siria. La dichiarazione sembra propagandistica, perché il Qatar è un Paese piccolo, ma molto ricco. Ma il Qatar sta già fornendo sostegno militare, finanziario e politico all'opposizione sunnita che si oppone a Bashar Assad.

In precedenza avevano esternato le loro intenzioni di impegnarsi in una guerra contro il governo di Damasco la Turchia e l'Arabia Saudita. Pertanto dovrebbero essere prese sul serio le parole del ministro degli Esteri del Qatar sulla prontezza insieme ai suoi alleati di intervenire in Siria. Alcuni media temono che la dichiarazione apra la possibilità di una terza guerra mondiale, scrive "Nezavisimaya Gazeta".

 
A metà ottobre durante i colloqui tra il presidente Vladimir Putin e il ministro della Difesa dell'Arabia Saudita Muhammad bin Salman, il principe saudita ha avvertito delle "conseguenze pericolose" dell'intervento militare di Mosca nel conflitto siriano dalla parte di Assad. Finora sono solo parole. Tuttavia il Qatar è stato spesso accusato di sostenere i movimenti islamici radicali come "Al Qaeda", i "Fratelli Musulmani", i "Talebani", lo "Stato Islamico" e il "Fronte Al Nusra." Proprio questi gruppi bombarda oggi l'Aviazione russa.

La situazione in Siria è legata agli interessi geopolitici di vari Paesi in Medio Oriente. Il successo delle truppe governative, sostenute dai raid dell'Aviazione russa, testimoniano che Mosca difende attivamente i suoi interessi nella regione. Il sito "Surya al-Ain" ha riferito che nella giornata di ieri le truppe siriane hanno liberato 5 città nella periferia sud-occidentale di Aleppo, la capitale economica del Paese (355 km a nord di Damasco).

"I ribelli si stanno ritirando in preda al panico, le loro linee difensive sono state sfondate. Le forze di Assad stanno riprendendo il controllo sulle aree adiacenti alla strategica autostrada Damasco-Aleppo," — scrivono i media filo-governativi siriani.

Un comandante dell'esercito di Damasco afferma che se queste operazioni avranno successo, "le comunicazioni che collegano i gruppi terroristici nelle province di Aleppo, Latakia e Idlib saranno tagliate e gli approvvigionamenti d'armi ed equipaggiamenti attraverso il confine turco verranno completamente interrotti." Secondo lui, se l'operazione di "pulizia" nella parte sud-occidentale di Aleppo, a nord di Idlib e ad Hama si concluderanno con successo, diventerà sicura la strada principale che collega la Siria centrale al nord del Paese. Di conseguenza l'invio e il trasferimento delle truppe saranno più veloci e i terroristi in Siria orientale e occidentale rimarranno completamente isolati.

Questo piano sarà attuato, se le truppe di Arabia Saudita, Turchia e Stati Uniti non inizieranno a sostenere più attivamente i gruppi che combattono le forze di Assad. In questo caso non sarà scontato che Assad ottenga rapidamente la vittoria finale, prosegue il giornale russo.

"Per la Russia è molto importante tramite i canali diplomatici convincere i Paesi che sostengono ISIS ed altri gruppi terroristici di smetterla. Pertanto serve sostenere tutte le iniziative per discutere i problemi legati alla crisi siriana. Questi problemi sono ora discussi a Vienna tra i rappresentanti dei dicasteri delle diplomazie di Russia, Stati Uniti, Arabia Saudita e Turchia. Ma qui è quasi impossibile attendersi un pieno successo,"- ritiene l'analista militare del giornale, il generale Yury Netkachev.

E' sicuro: al momento non ci sarà alcuna terza guerra mondiale.

"L'Arabia Saudita e la Turchia non oseranno avventurarsi in un intervento in Siria — è convinto l'esperto. — Anche se, a quanto pare, continueranno a sostenere i gruppi ribelli con armi e denaro".

Varoufakis: le socialo guignol d'Athènes se fait payer 1000 euros la minute!

Pour une interview de 22 minutes sur la Rai, la télévision publique italienne, Yanis Varoufakis, ancien ministre grec des Finances, a touché 1 000 euros la minute.

Une somme qui a suscité un tollé en Italie. Le montant a été dévoilé par l'ex-ministre lui-même, qui a indiqué sur son blog les honoraires reçus lors des diverses conférences et interviews tenues ces derniers temps. L'entretien de Yanis Varoufakis avec la Rai a eu lieu le 27 septembre dernier. Selon plusieurs médias italiens, il aurait également reçu un billet d'avion en première classe.

"C'est extrêmement grave, du jamais-vu", a réagi Renato Brunetta, chef des députés de Forza Italia (FI), le parti de Silvio Berlusconi. "Mais les Italiens versent l'abonnement à la Rai pour payer Varoufakis? J'espère que non", a écrit sur Twitter Mara Carfagna, porte-parole de FI à la Chambre des députés.

Le plus douloureux pour les Italiens est que Yanis Varoufakis, à en croire son blog cité par les médias italiens, avait participé trois jours avant l'interview à la Rai à un débat de 60 minutes sur la BBC pour lequel il n'avait reçu qu'un billet d'avion... en classe économique.

La Rai s'est défendue en affirmant que l'ex-ministre grec avait été contacté par la société produisant le programme, Endemol, cette dernière ayant négocié directement le montant du cachet.

www.lepoint.fr

 

PS   Tous pareils les "solidaires": cœur à gauche.....portefeuille à droite!

Chantage à l'image

On m’a proposé de participer à l’émission Infrarouge de la Télévision suisse romande le 8 septembre pour débattre d’une brûlante question d’éthique : la diffusion de la photo du petit noyé Aylan Kurdi échoué sur une plage. J’ai dû décliner à cause d’un voyage, mais j’ai rarement autant regretté de ne pas pouvoir m’exprimer sur un sujet. Ne pouvant le faire en télévision, je résume ma position par écrit et en deux mots : outrage et manipulation ! En voyant la photographie de cet enfant, j’ai senti comme tout un chacun mon menton se mettre à trembler. La position du corps, les petits vêtements, les petites chaussures aux semelles arrondies : tout était rondelet, mignon, enfantin, tout appelait la caresse et la protection. Et tout était mort ! Comme l’a dit un écrivain, on a envie d’entrer dans l’image et de retourner ce corps, de le ramener à la vie. Cette photographie est une perfection. Elle remue nos instincts les plus sacrés. Elle donne un visage à la tragédie du Moyen-Orient chassé de ses foyers, tout comme le sourire candide d’Anne Frank incarne la Shoah, comme la grimace de douleur de Kim Phuc, la fillette brûlée au Napalm résume le désastre du Vietnam.

Elle dit tout, cette photographie. Tout, sauf l’essentiel. Elle nous fait oublier la nature du rapport entre la tragédie de cette famille syrienne échouée en Turquie et notre culpabilité, à nous, citoyens européens, cette culpabilité qu’elle sert pourtant à attiser. On nous la flanque à la figure pour nous faire baisser la garde, à nous, non à ceux qui sont directement responsables de la mort d’Aylan Kurdi. Comme si l’on avait imputé la mort d’Anne Frank au manque de solidarité des habitants d’Amsterdam en omettant de mentionner qu’elle était expressément traquée par un État tiers, l’Allemagne, et l’idéologie meurtrière qui s’était emparée de cet État, le nazisme. Le père d’Aylan avait vu onze proches assassinés par l’État islamique. S’il a embarqué sa famille dans cet exode, est-ce à cause de nous, citoyens d’Europe, ou à cause de Daech et de ses sponsors ? Comment se fait-il que les mêmes instances qui nous demandent aujourd’hui d’accueillir tous ces malheureux soient celles-là mêmes qui, par leur politique du chaos, ont provoqué leur exode, qui n’ont pas levé le petit doigt contre la filière des passeurs en Méditerranée et qui aujourd’hui encore s’opposent à toute intervention armée décisive contre l’État islamique ?

Le petit corps d’Aylan Kurdi s’est échoué à point devant l’objectif du photographe pour nous faire ravaler les questions qui se pressaient au bout de notre langue.

La diffusion d’images de cadavres est un outrage à la paix des morts, qui est en réalité la paix des vivants. Quelle sérénité nous reste-t-il à l’idée de notre propre mort, si notre corps déserté doit servir demain à on ne sait quelle représentation, au profit d’on ne sait qui ? Quel moyen avons-nous de nous y opposer ? C’est un outrage à la raison elle-même, court-circuitée par des réactions émotives primaires délibérément aiguillonnées. Et c’est lorsqu’on réduit ainsi les cerveaux à des cervelets que l’outrage vire à la manipulation de masse dans sa forme la plus sommaire et la plus cynique. Ce n’est sans doute pas ainsi que les rédactions conçoivent leur « mission d’information ». Conçoivent-elles quoi que ce soit, du reste, dans ces minutes décisives où le seul impératif qui compte est de « faire plus fort » que la concurrence ? Qui a résisté à l’envie de choquer ? Personne. Les palinodies déontologiques sont reléguées en deuxième semaine. Elles contribuent à la vente presque autant que le scandale qui les a suscitées. Pour preuve, l’émission elle-même à laquelle j’aurais dû participer. « Fallait-il ? Fallait-il pas ? Et comment ne pas ?…» Simples répliques de théâtre. Bien sûr qu’il fallait ! Bien sûr qu’on recommencera, en pire si possible ! Pas pour vendre du scandale : pour « sensibiliser » les opinions, bien entendu ! Cela encore est un mensonge. L’excès de sensibilisation accélère la désensibilisation. Le Figaro a interrogé ses lecteurs le 4 septembre pour savoir si cette photo « modifie [leur] vision de la crise des migrants ». Sur 58 200 réponses, 18 % seulement sont positives. Encore ne sait-on pas dans quel sens la vision des gens a été modifiée. Il n’empêche à partir de l’instant précis où cette photo est parue, les opinions des pays d’accueil font officiellement l’objet d’un conditionnement systématique et délibéré. Le but n’est pas de les convaincre — on s’en fout —, mais de les intimider et de les faire taire. À l’exception partielle des Suisses, les citoyens européens n’ont aucun moyen de se prononcer démocratiquement sur cette présence qui leur est imposée au nom de l’émotion et de l’éthique humanitaire. La photo du petit noyé leur interdit même d’exprimer en privé leurs préoccupations. Pour ma part, j’aurais répondu oui à la question du Figaro. Oui, la diffusion massive de cette photographie obscène a modifié ma vision de la crise (non des migrants eux-mêmes). Ce n’est plus une fatalité « naturelle » à quoi nous avons affaire, l’équivalent d’un tsunami ou d’un tremblement de terre. C’est un levier politique installé à demeure en Europe et que nos autorités — le système politico-médiatique — exploitent contre leur propre population. Mais pas au profit des nouveaux arrivés, non. Ceux-ci déchanteront bien vite en voyant à quoi ils auront servi.

Quant à nous, toute notre vie publique va désormais, et pour longtemps, s’articuler autour de notre attitude, bienveillante ou hostile, face à eux. Nous serons jugés à chaque pas, chaque mot, plus que nous ne l’avons jamais été. Pourquoi ces mêmes médias n’ont-ils jamais diffusé les photographies de djihadistes manifestement non européens exhibant des têtes coupées de Serbes en Bosnie dans les années 1992-1995 ? Pourquoi ne montrent-ils pas à la Une les chrétiens horriblement crucifiés pratiquement chaque jour en Syrie ou en Irak par Daech ? Pourquoi occultent-ils les centaines d’heures de vidéo, les milliers de photographies sanglantes documentant le bombardement délibéré des populations civiles d’Ukraine orientale par l’armée du gouvernement putschiste de Kiev ? En tant qu’éditeur et chroniqueur, j’ai reçu dès 1992 les photographies des têtes coupées en Bosnie et je reçois constamment, via e-mail et Twitter, les photographies de la boucherie dans le Donbass. Je n’ai jamais rien rediffusé de tout cela. Le plus insoutenable était la vidéo de cette jeune et belle mère de famille, Inna Kukurudza, filmée dans ses derniers instants de vie, le corps scindé en deux par une bombe ukrainienne en plein centre de Lugansk le 5 juin 2014. Si les télévisions occidentales avaient passé ces trente secondes sans autre commentaire que la date, le lieu et les circonstances, le régime de Kiev se serait sans doute effondré. Elles s’en sont bien gardées, pensez-vous. Le levier de la bronca émotionnelle est une arme de blitzkrieg à un seul coup. On ne l’actionne jamais gratuitement. Passée la première vague de sentiment, il ne fait aucun doute que les populations européennes retrouveront leurs réflexes de méfiance et de peur. Le malheureux garçonnet sur sa plage sera oublié dans un an, mais pas la promiscuité, l’effort imposé à des économies chevrotantes, le développement du travail au noir, l’accroissement réel ou fantasmé de l’insécurité et l’expansion inévitable du djihadisme.

N’y avait-il pas une manière plus civilisée de le préparer à la cohabitation qui les attend ? Le reportage primé, puis adapté au cinéma, de Maria Pace Ottieri sur les naufragés de Lampedusa, Une fois que tu es né, tu ne peux plus te cacher, dont j’ai eu la chance de publier la traduction française, décrit cette migration avec profondeur et lucidité, en dépit de la sensibilité de gauche affirmée de son auteure. Ottieri n’a pas pris la mer avec les garde-côtes pour filmer des cadavres — et Dieu sait si elle aurait pu —, mais pour intercepter des êtres vivants à l’instant précis de leur arrivée en cette terre promise européenne. Elle les a écoutés, interrogés avec tact et empathie. Elle a suivi leur cheminement ultérieur. On l’oublie à trop regarder la télévision, mais ces gens ne sont pas une masse affamée et stupide. Ce sont des individus humains à part entière, tout comme nous, et parfois un peu davantage. Un chagrin immense se dégage de son livre. Le chagrin pour tant de vies perdues ou détournées par une odyssée tissée d’illusions. Pour une fois, ce n’est pas notre peur qui nous est donnée à sentir face à eux, mais leur déboussolement face à nous, leur rancœur face aux images idylliques qui leur étaient servies sur notre réalité, leur angoisse, souvent, au milieu d’un monde dont les codes leur sont étrangers — et paradoxalement plus froid et plus dur, à plus d’un titre, que celui d’où ils sont venus. Pour la couverture de l’édition Xenia, nous avons choisi un corps échoué, déjà, mais recouvert d’un drap. Et, surtout, un corps dessiné, non photographié. Ce choix avait fait l’objet de plusieurs jours de discussion. La médiation artistique, tout comme le récit, ôte aux scènes horribles cette crudité de la photographie qui titille les pulsions voyeuristes. La chair photographiée est étalée dans sa pseudo-matérialité objective. On oublie que ce ne sont que taches d’encre sur du papier ou pixels sur un écran, et l’on oublie la présence déterminante du photographe dont le « clic » constitue le coup d’envoi de la mise en scène. Et, surtout l’on s’épargne l’épouvantable puanteur, le toucher immonde de la chair raidie ou déjà décomposée. Voire, le cas échéant, les cris de douleur insupportable des proches présents. Le spectateur d’une photo de cadavre est exactement comme le mateur d’un spectacle pornographique protégé par sa vitre.

Les témoignages et les enquêtes de fond sur le phénomène migratoire n’ont pas vraiment la cote. Ottieri fut distinguée dans son pays parce qu’on ne pouvait faire autrement, mais cela n’a rien changé. Les migrants sont demeurés des statistiques désagréables. La traduction française de son livre, parue en 2007, n’a eu droit à aucun compte rendu dans aucun média significatif du monde francophone. Les Européens à qui on veut faire avaler sans broncher un des mouvements de population les plus colossaux de l’histoire ne sont pas des citoyens qu’on veut convaincre, mais des chiens de Pavlov qu’on s’emploie à dresser.

SOURCE : SLOBODAN DESPOT sur  www.causeur.fr

28/10/2015

Invasion de l'Europe = guerre non conventionnelle

Le président du Conseil européen décrit le chantage exercé par les pays qui aident les migrants à transiter vers l’Europe comme une sorte de guerre non-conventionnelle (‘hybrid warfare’)

Par | on octobre 7, 2015 |

ORIGINAL ENGLISH VERSION ON THE TELEGRAPH’S WEBSITE

 http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/eu/11915...

Des migrants arrivent à l’île grecque de Lesbos en provenance de la côte turque. Tous les passagers de l’embarcation semblent être des jeunes hommes d’âge militaire.


TRADUCTION FRANÇAISE DE POINT DE BASCULE

Auteur : Matthew Holehouse
Référence : The Telegraph, 6 octobre 2015

Titre original : EU chief: Migrant influx is ‘campaign of hybrid warfare’ by neighbours to force concessions / WebArchiveArchive.Today

[EXTRAITS] Le président du Conseil européen, Donald Tusk, soutient que les voisins de l’Europe utilisent les migrants comme une ‘arme’ et il ridiculise la décision d’Angela Merkel d’avoir ouvert les portes de l’Allemagne aux chercheurs d’asile syriens.

Les migrants sont envoyés vers l’Europe dans le cadre d’une sorte de guerre non-conventionnelle (‘hybrid warfare’) pour forcer l’Europe à faire des concessions, a affirmé le président du Conseil européen Donald Tusk.

L’afflux de centaines de milliers de personnes est une ‘arme’ et un ‘outil de marchandage’ utilisé par les voisins de l’Europe pour nuire au continent, a affirmé M. Tusk.

Il a fait ses commentaires incendiaires au moment où l’Union européenne vient d’annoncer qu’elle allait donner un milliard d’euros en aide supplémentaire et qu’elle songe de permettre aux Turcs de voyager sans visa afin d’inciter le pays à fermer ses frontières et à mettre fin au transit des migrants sur son territoire.

Selon des proches de M. Tusk, ses remarques ne visaient pas spécifiquement la Turquie mais des leaders de la région, incluant l’ancien dictateur Khadafi (décédé) qui avait menacé de transformer l’Europe en un continent noir à moins qu’on ne lui verse des milliards en aide.

Cependant, la frustration grandit à Bruxelles à l’égard du président turc Erdogan en raison de son refus de sécuriser les côtes de son pays et la frontière qu’elle partage avec la Grèce. La police turque a stoppé à peine 1/7 des 350 000 personnes qui ont traversé le territoire turc depuis janvier, depuis la Syrie en route vers l’Europe. Les leaders européens sont convaincus qu’il pourrait facilement faire plus.

Le président du Conseil européen, M. Tusk, a déclaré aux membres du Parlement européen que «plusieurs de nos voisins contemplent nos problèmes avec satisfaction» et s’apprêtent à demander des faveurs pour faire cesser le flot migratoire.