08/03/2009
Oumma:le Darfour ne vaut pas Gaza
Omar El-Béchir ne semble pas être impressionné par les menaces internationales. Il a déclaré que rien ne changerait, ni même sa décision d'expulser plusieurs ONG humanitaires, qui jouent pourtant un rôle crucial pour les centaines de milliers de réfugiés du Darfour.
"La décision de la CPI ne va rien changer aux plans et aux programmes du gouvernement", a déclaré le président soudanais Omar El-Béchir à des membres de son parti et de l'opposition lors d'une réunion tard jeudi soir et dont le compte-rendu a été publié vendredi par l'agence officielle Suna.
Arrivé au pouvoir en 1989 à la faveur d'un coup d'Etat militaire, M. Béchir a depuis remporté l'élection présidentielle de 2000 avec près de 87% des voix dans un scrutin considéré comme une mascarade par l'opposition. Il a néanmoins réitéré son engagement en faveur "d'élections libres et justes" au Soudan. Des élections générales sont prévues cette année, mais la date du scrutin n'a pas encore été déterminée. Selon plusieurs analystes, Omar el-Béchir, 65 ans, devrait briguer un nouveau mandat.
La situation humanitaire inquiète
Par ailleurs, le président sous mandat d'arrêt de la CPI a réitéré son exigence de voir disparaître de son territoire treize ONG internationales actives au Darfour, région de l'ouest du pays en proie à une guerre civile complexe qui a fait 300.000 morts selon l'Onu, mais 10.000 selon les autorités soudanaises, et entraîné le déplacement de 2,7 millions de personnes.
A ce sujet, une responsable de l'Onu a affirmé jeudi que cette décision était contraire aux assurances données par Khartoum que l'aide humanitaire ne serait pas affectée en cas de mandat d'arrêt contre le président Omar el-Béchir. Cette décision "est en contradiction avec les assurances que nous avions reçues selon lesquelles les opérations humanitaires se poursuivraient et seraient protégées", a déclaré à la presse Katherine Bragg, responsable adjointe des opérations humanitaires à l'Onu.
Mme Bragg a indiqué que l'Onu avait pris certaines dispositions de précaution pour le cas où des ONG seraient forcées de partir mais a reconnu que l'ampleur de la mesure décidée par Khartoum avait surpris l'Organisation internationale. "L'échelle (de cette mesure) et son caractère immédiat sont un peu une surprise".
Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, les Etats-Unis et l'Union européenne ont exhorté Khartoum à revenir sur sa décision, qui menace l'acheminement d'une aide humanitaire vitale pour des centaines de milliers de civils. Le porte-parole de la Commission européenne pour les questions d'aide humanitaire a indiqué que "la Commission est sérieusement préoccupée par la décision du gouvernement soudanais". "Si les ONG ne voient pas leur statut et l'accès (au pays) réinstaurés immédiatement, cela affecterait gravement la poursuite des opérations humanitaires visant à sauver des vies au Darfour", a-t-il poursuivi. "Des centaines de milliers de vies sont en jeu".
Pour Médecins sans frontières (MSF), dont la moitié des équipes présentes au Darfour a été expulsée, "le gouvernement de Khartoum a une responsabilité énorme. Il prive d'assistance des centaines de milliers de personnes".
Le directeur des opérations de MSF, Stephan Goetghebuer, a expliqué comment l'ordre d'expulsion leur était parvenu: "Nous n'avons reçu aucune explication des autorités. L'expulsion a été immédiate et dure, le matériel a été saisi. Nos équipes ont eu l'impression d'être traitées comme des criminels". Des zones entières et des populations qui dépendent exclusivement de l'aide humanitaire se retrouvent ainsi totalement privées d'assistance, dénonce MSF qui parle d'une expulsion "choquante et révoltante". "Par ces actes, le gouvernement organise un désert sanitaire. L'absence totale d'assistance pour plus de 400.000 personnes", lance Christopher Stokes, directeur général de la section belge de MSF.
MSF tient a rappeler que leur organisation est indépendante. "Nous ne sommes pas liés à la CPI et nous n'avons pas fourni d'informations à celle-ci. Il n'y a pas de raison valable pour expulser de cette manière la moitié des activités de MSF sur place".
Jusqu'à présent, la section de MSF Belgique (qui compte 27 expatriés) n'a pas reçu un tel ordre d'expulsion, de même que les sections suisses et espagnoles. "MSF Belgique entend rester sur place si la situation le permet, mais l'incertitude persiste car des ONG se font encore expulser actuellement et la situation évolue d'heure en heure sur le terrain", conclut MSF.
LeVif.be, avec Belga
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05/03/2009
L'Italia boicottera' la conferenza islamo-razzista di Ginevra
Bruxelles - Anche l'Italia, dopo gli Usa, ha deciso di ritirare la propria delegazione dalla Conferenza Onu sul razzismo e la xenofobia, nota anche come "Durban II", che si terrà in aprile a Ginevra, per via di parti del testo "aggressive (contro Israele) e antisemite".
Frattini: non parteciperemo È quanto ha annunciato il ministro degli Esteri Franco Frattini, a Bruxelles per partecipare al Consiglio Atlantico della Nato a livello ministeriale. "La delegazione italiana - ha dichiarato il ministro - non parteciperà alla conferenza, in presenza di un testo che contiene almeno due parti inaccettabili". Roma, ha aggiunto, cambierà idea solo se "tesi aggressive e antisemite saranno rimosse". Frattini ha affermato che "anche altri paesi europei" hanno intenzione di seguire la stessa decisione. Si parla di Francia, Olanda, Belgio, Danimarca e, fuori dal Vecchio Continente, anche del Canada.
www.ilgiornale.it
19:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
04/03/2009
Jordanie, un beau Pays musulman moderne
La maltraitance envers les immigrées employées de maison est très courante en Jordanie ; elle se traduit souvent par une forme ou une autre d’exploitation économique. Ainsi, beaucoup d’entre elles ne perçoivent pas la totalité de leur maigre salaire, ou ne sont pas du tout rémunérées, parfois pendant des années.
Le ministère du Travail jordanien recense plus de 40 000 immigrés employés de maison, en provenance notamment d’Indonésie, des Philippines et de Sri Lanka. La grande majorité d’entre eux sont des femmes.
Les violences physiques et sexuelles sont courantes. Les récits des immigrées employées de maison font état de claques, coups de toutes sortes, crachats, menaces physiques, violences sexuelles et viols.
T., une Philippine de 27 ans, raconte qu’elle était obligée de travailler 17 heures par jour, sept jours sur sept. Son passeport lui avait été confisqué. Elle a confié à Amnesty International qu’elle n’était pas suffisamment nourrie et que « chaque fois que la famille quittait la maison, ils l’enfermaient à l’intérieur ». Elle raconte qu’on a omis de lui payer l’équivalent de presque un an de salaire.
T. a fini par sauter d’une fenêtre du deuxième étage et s’est blessée à la jambe. Son employeur a porté plainte pour vol, manifestement pour ne pas avoir à payer le salaire dû. La jeune femme demande aujourd’hui réparation auprès de son ambassade et des tribunaux.
SOURCE http://www.amnesty-international-audio.fr/spip.php?articl...
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Padroni arabo-musulmani e genocidio di Africani nel Darfur
L'Aja - La Corte penale internazionale dell’Aja (Cpi) ha spiccato un mandato di arresto contro il presidente sudanese Omar al Bashir, accusato di crimini di guerra e contro l’umanità per i massacri nel Darfur. Si tratta del primo capo di Stato ad essere incriminato dalla Cpi. Per il consigliere presidenziale del Sudan, Mustafa Osman Ismail, l’ordine d’arresto rientra in un piano di neocolonialismo: "Non vogliono che il Sudan si stabilizzi". E il vice ministro della Giustizia andava confermando che il presidente sudanese Omar al Bashir non rischia di essere arrestato come ha chiesto il tribunale internazionale. Alla diffusione della notizia centinaia di dimostranti sono scesi nelle strade di Khartoum per protestare (ALLAH AKBAR!!!!!NDR).
I capi di accusa La Corte dell’Aia ha riconosciuto al Bashir colpevole di aver orchestrato le atrocità commesse nella regione occidentale del Darfur, dove è in corso dal 2003 una guerra civile( guerra civile? Diciamo un genocidio arabo-musulmano nei confronti delle popolazioni nere autoctone NDR). Tuttavia, la Corte ha ritenuto insufficienti ( INSUFFICENTI!!!!NDR) le prove a sostegno dell’accusa di genocidio mossa dal procuratore della Cpi, Luis Moreno-Ocampo, contro il leader sudanese (Mai incriminare un leader musulmano, loro sono sempre le vittime, mai i carnefici NDR). Stando a quanto precisato dalla portavoce della Cpi, Laurence Blairon, il mandato di arresto riguarda cinque capi di accusa per crimini contro l’umanità e due per crimini di guerra, tra cui omicidio, sterminio, trasferimenti forzati, tortura e stupro. Rifiutata l'imputazione per genocidio (sic!).
Al Bashir: "Andrò al vertice di Doha" Nonostante il mandato di cattura della corte penale internazionale il presidente sudanese parteciperà al prossimo vertice della Lega araba di Doha. Lo ha annunciato il sottosegretario agli Esteri sudanese, Mutrif Siddiq, alla tv satellitare al Arabiya. L’esponente del governo di Khartoum non teme quindi che a Doha possa essere applicato l’ordine di arresto emanato dalla corte dell’Aja. Per questo ha reso noto che "il presidente sarà presente al summit del 30 marzo e parteciperà a tutti i vertici della Lega araba e dell’Unione africana".
Il Darfur e la guerra La richiesta d’arresto per il presidente sudanese era stata avanzata lo scorso 14 luglio dal procuratore capo della Corte, Luis Moreno Ocampo, il quale ieri aveva ribadito che, a carico di Bashir, esistono "gravi elementi di prova". Ocampo vuole processare Bashir dinanzi al tribunale internazionale per i massacri nella regione sudanese, iniziati nel 2003 e che hanno causato circa 300mila morti e 2,5 milioni di sfollati. È la prima volta che tribunale internazionale processa un capo di Stato in carica. Bashir è alla guida del Sudan, dal colpo di Stato militare del 30 giugno 1989.
La Cpi: "L'arresto spetta agli Stati" La Corte penale internazionale trasmetterà "immediatamente" al Sudan, agli Stati membri della corte e ai membri del consiglio di sicurezza dell’Onu la richiesta di cooperazione per l’arresto e il trasferimento del presidente sudanese Omar al Bashir, riconosciuto colpevole di crimini di guerra e contro l’umanità in Darfur. "La responsabilità di arrestarlo e trasferirlo spetta agli Stati" ha detto il cancelliere della Cpi, Silvana Arbia. La corte non dispone di una forza di polizia. Il presidente al Bashir è il primo capo di Stato in carica a essere incriminato dalla Cpi, da quando è diventata operativa, nel 2002. "Bashir è sospettato di essere responsabile di aver intenzionalmente diretto attacchi contro la popolazione civile del Darfur, uccidendo, sterminando, stuprando e trasferendo con la forza un gran numero di civili, e di saccheggiando le loro proprietà" ha detto la portavoce della Cpi Laurence Blairon.
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03/03/2009
L'Italie rend hommage à Wilders
« Le 19 février dernier, Geert Wilders a fait une conférence à Rome, au Grand Hotel Palatino. Il était invité par des militants anti-fondamentalistes italiens. Fitna, a été projeté, et un débat a eu lieu avec l’auditoire. A l’issue de ce débat, Radu Stoenescu a pu s’entretenir avec Geert Wilders, et obtenir cette interview exclusive pour Riposte Laïque ».
Geert Wilders : Je n’ai rien à voir avec Le Pen, je suis ami avec Ayaan Hirsi Ali, et je ne veux pas que l’islam impose sa loi, propos recueillis par Radu Stoenescu, Riposte Laïque, Numéro 78, lundi 2 mars 2009
Riposte Laïque : Dans votre film, Fitna, vous avez comparé le Coran à Mein Kampf, pourquoi ?
Geert Wilders : Je pense que l’islam ne devrait pas être considéré une religion comme une autre. Bien sûr, c’est une religion dans le sens où il y a un Dieu, des symboles religieux, des lieux de culte, mais c’est avant tout une idéologie totalitaire. Nous pensons que l’islam est incapable de s’adapter ou de s’intégrer dans une société non islamique. C’est une idéologie suprématiste, qui veut régir non seulement la vie de ses fidèles, mais aussi la société même. On devrait la comparer au stalinisme ou au fascisme, non au christianisme ou au bouddhisme. C’est pourquoi je compare le Coran à Mein Kampf, et je n’ai pas été le seul. Winston Churchill l’a fait dans un livre pour lequel il a reçu le prix Nobel en 1953.
L’islam est une menace pour toutes nos valeurs. Croyez-moi, si l’islam réussit à s’imposer, il n’y aura plus de place pour rien d’autre que lui. Il n’y aura pas de place pour les athées, pour les apostats, pour les chrétiens, car c’est une idéologie totalitaire. Cependant, je fais une distinction entre l’idéologie et les personnes : je vois l’islam comme une menace barbare, mais je n’ai rien contre les musulmans. Je ne hais personne. En effet, la majorité des musulmans de mon pays respectent la loi, et s’occupent de leurs vies, mais si l’importance de l’islam croît, notre société changera. Selon la conception musulmane de la « takkya », les musulmans peuvent mentir sur la nature de leurs idées quand ils vivent dans un pays non musulman.
C’est pourquoi mon parti propose de stopper l’immigration venant des pays musulmans. Les Pays-Bas ne sont pas un pays musulman. La plus grande maladie actuelle de l’Europe, c’est le relativisme culturel. Non pas le multiculturalisme, mais cette fausse idée politiquement correcte et gauchiste, qui prétend que toutes les cultures sont égales, ce qui est absurde. Quand on compare la culture chrétienne avec la culture musulmane, on peut constater énormément de différences. Comme Wafa Sultan l’a dit : comparer le christianisme à l’islam, c’est comparer la rationalité à la barbarie.
Riposte Laïque : Que pensez-vous de la nouvelle administration américaine ?
Geert Wilders : C’est un peu tôt pour se prononcer. Je respecte le vote du peuple américain, mais personnellement je n’aurais pas voté pour Obama, même si 90% des Néerlandais auraient voté pour lui. Donnons lui du temps pour voir quelle sera sa politique au Moyen Orient, par rapport à l’Iran, et Israël notamment.
Riposte Laïque : En Europe, nous avons des lois qui interdisent les mouvements politiques totalitaires. Il existe une décision datant de 2001 de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, concernant un parti islamiste turc, qui dit explicitement que les associations qui font la promotion de la Charia sortent du cadre démocratique, et sont une menace pour les Etats. Pourquoi ne traduisez-vous pas en justice les groupements musulmans, si vous considérez que l’islam est un mouvement totalitaire ?
Geert Wilders : Tout d’abord parce que les groupes musulmans sont assez malins pour ne pas déclarer ouvertement qu’ils veulent instaurer la Charia. Je suis pour une totale liberté de parole, et je pense que personne ne devrait être inquiété pour ses propos. J’aimerais qu’il y ait une sorte de Premier amendement à l’américaine en Europe. La liberté d’expression devrait être totale, avec ce bémol que l’on n’a pas le droit d’inciter à la violence.
C’est vrai que promouvoir la Charia, c’est inciter à la violence, et il faut trouver les moyens légaux de combattre cela. La plus grande menace en Europe, ce sont ces groupes qui veulent instaurer des lois inspirées de la Charia. Nous avons même vu au Pays-Bas, un ministre de la justice, M. Donner, qui a déclaré au Parlement que si la majorité des Néerlandais était pour la Charia, il l’accepterait. Il n’est même pas musulman, et il a déclaré que si une majorité de Néerlandais décidait démocratiquement d’abandonner la démocratie, il l’accepterait ! C’est ce genre de dhimmi, de couard qui gouvernent nos pays aujourd’hui. Ils céderaient sur tout.
C’est pourquoi il faut certes combattre ces mouvements qui promeuvent la Charia, mais aussi et surtout combattre cette classe politique qui ignore le problème de l’islamisation de notre société, et regarde ailleurs. Il y a quelques années, lors d’un sondage aux Pays-Bas, un tiers des Marocains de moins de 21 ans qui y vivent était pour l’instauration de la Charia au lieu de la démocratie. Cela montre la gravité du problème, car ces jeunes pèseront sur notre avenir. Pour ne pas parler de Gordon Brown et de ce qu’il vient de faire : pour la première fois dans l’histoire de l’Europe, un parlementaire européen est arrêté et détenu alors qu’il est invité par un autre parlementaire. C’est pourquoi la première chose à faire, est de retrouver un sens de la fierté et de l’honneur, et de voter pour les partis qui veulent défendre la liberté.
Riposte Laïque : Est-ce que vous pensez que ces politiciens ne voient pas le problème parce qu’ils sont paresseux ou bien est-ce un aveuglement volontaire ?
Geert Wilders : Ils ignorent le problème pour plusieurs raisons : la première, c’est qu’ils ont peur. Ils ont peur d’être considérés comme politiquement incorrects, d’être qualifiés d’extrémistes, de xénophobes ou de racistes. Il y a énormément de personnes qui essaient de nous mettre, mes collègues et moi, dans cette case, et de nous marginaliser. Mais nous ne sommes pas des marginaux : un électeur néerlandais sur six voterait pour mon parti aujourd’hui.
Ensuite, beaucoup de ces politiciens et de ces partis gauchistes dépendent du vote musulman. A Rotterdam par exemple, aux dernières élections, le Parti socialiste n’a gagné que grâce au vote musulman. La troisième raison, c’est qu’on manque de dirigeants politiques véritables en Europe. Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a plus de véritable volonté politique, qui, lorsqu’elle identifie un problème, cherche à le résoudre, même si la solution n’est pas agréable ou populaire.
Cependant, le vent est en train de tourner. Pas seulement au Pays-Bas, avec mon parti, mais à travers toute l’Europe, la voix de personnes qui ne sont pas des xénophobes, mais des démocrates qui veulent arrêter l’islamisation et défendre leurs libertés, se fait de plus en plus entendre. Il est minuit moins cinq, mais c’est un signe positif tout de même. Il y a un fossé énorme entre les politiciens et le peuple. Mais la voix du peuple exprime de plus en plus souvent son souci quant à l’islamisation de la société.
Riposte Laïque : Avez-vous des problèmes judiciaires, à cause de votre film et de votre combat anti-islam ?
Geert Wilders : Oui, j’ai beaucoup de soucis, et on peut voir que ce n’est pas très payant de parler contre l’islamisation, car on devient très vite une cible. Tout d’abord, la Jordanie envisage toujours de me traduire devant ses tribunaux. C’est pourquoi à chaque fois que je vais à l’étranger, mon gouvernement demande au gouvernement du pays qui m’accueille une déclaration écrite qu’il ne me remettra pas au gouvernement jordanien, si jamais celui-ci demandait mon extradition. Pourquoi ? Parce que j’ai insulté Allah, ou Mahomet, et cela est puni selon la loi jordanienne.
Deuxièmement, un imam intégriste aux Pays-Bas m’a traduit devant les tribunaux pour avoir utilisé son image dans Fitna, et exige des centaines de milliers d’euros de dédommagement, pour l’avoir soi-disant « diffamé ». Si vous connaissiez le gars, vous verriez que c’est vraiment très difficile. Troisièmement, j’ai ce problème maintenant avec la Grande Bretagne. Je dois faire appel, voir un juge britannique, car le gouvernement néerlandais, dans sa couardise, ne veut pas passer par les instances européennes pour contester mon expulsion de Grande Bretagne. Quatrièmement, la Cour d’Appel d’Amsterdam a trouvé recevable la plainte pour incitation à la haine, que la Cour de justice avait initialement rejetée. Donc, j’ai encore un procès sur le dos. Mais je ne me laisse pas abattre, et mon parti devient plus fort chaque jour.
Riposte Laïque : En France, on vous catalogue comme raciste, comme un émule de Le Pen. Comment vous définiriez-vous ?
Geert Wilders : Je ne suis pas un extrémiste, et je n’ai rien à voir avec Le Pen. Je me bat juste pour la défense de ma culture, pour que les Pays-Bas ne deviennent pas un petit Maroc ou une petite Turquie, pour la séparation de l’Eglise et de l’Etat, pour que la Charia n’y soit pas introduite, pour l’égalité des hommes et des femmes, des homosexuels et des hétérosexuels. Je ne fais pas de distinctions basées sur la couleur de la peau ou sur le sexe. Je ne veux par exemple avoir aucun contact avec le British National Party, ce sont véritablement des racistes. Cependant, je ne suis pas un relativiste en ce qui concerne la culture. Je pense que notre culture judéo-chrétienne est meilleure que l’islam.
Riposte Laïque : Les musulmans ne sont pas des relativistes culturels non plus, non ?
Geert Wilders : Oui, en cela on devrait prendre exemple sur eux.
Riposte Laïque : Les chantres du relativisme culturel disent aux immigrants d’être fiers de leurs racines. Ne sommes-nous pas, les autochtones, les seuls « immigrants » à ne pas être autorisés à être fiers de leurs racines ?
Geert Wilders : Vous avez totalement raison.
Riposte Laïque : Comment votre vie a-t-elle changé après être devenu la cible des musulmans ?
Geert Wilders : En fait, j’ai totalement perdu ma liberté : j’ai vécu dans des baraques de l’armée pendant six mois, j’ai même dormi en prison. Depuis un an, depuis la sortie de Fitna, c’est encore pire, car j’ai aussi reçu des menaces d’Al Qaïda. Certains musulmans sont fanatiques. Et certains sont vraiment dérangés. Ils ne veulent pas débattre, mais juste vous tuer. Quelques jours avant l’assassinat de Théo van Gogh, j’ai été placé sous protection policière 24 heures sur 24.
Quelques semaines après la sortie de Fitna, j’ai invité six imams à un débat public, trois modérés et trois intégristes, et aucun n’est venu. Un m’a traduit devant les tribunaux, un autre a dit que je devais m’excuser pour mon film, et les autres n’ont donné aucun signe. Malheureusement, ils ne sont pas capables de supporter la critique. Je suis donc toujours entouré par beaucoup de forces de police. Je dois prévenir les forces de sécurité deux jours à l’avance de tous mes déplacements et de mes rendez-vous. On perd toute vie privée.
Riposte Laïque : Vous vivez donc en fait comme dans un régime totalitaire, puisque vous avez perdu toute vie privée ?
Geert Wilders : Oui, j’ai démarré le Parti de la Liberté, mais j’ai perdu la mienne. Je suis content de vivre dans un pays qui assure ma protection.
Riposte Laïque : Quelles sont vos relations avec Ayaan Hirsi Ali ?
Geert Wilders : Nous étions collègues dans le même parti. Nous avons écrit des articles ensemble, organisé des conférences ensemble, nous avons même vécu dans les mêmes baraques de l’armée. Nous sommes de très bons amis. J’ai un peu perdu le contact avec elle depuis qu’elle est partie aux Etats-Unis, mais elle me soutient, je pense qu’elle est d’accord avec 90% de ce que je dis.
Riposte Laïque : A votre avis, quelles sont les raison pour lesquelles la presse française en a fait une icône, tandis qu’elle vous diabolisait ?
Geert Wilders : C’est plus facile de faire une icône d’une immigrée somalienne, qui défend les droits des femmes, ce pourquoi je la soutiens intégralement, que d’un politicien blond, qui parle d’une manière directe et sans fioritures, mais cependant honnête. L’élite politique est effrayée par cela car ils savent que cela peut leur coûter des voix, et qu’il se pourrait aussi que j’aie raison sur nombre de points qu’ils ne veulent pas changer. Donc leur tactique, c’est de dire que vous êtes un xénophobe, et si cela ne marche pas auprès du public, de vous copier. Mais les gens, au moins au Pays-Bas, ne sont pas dupes. En France, on ne me connaît pas.
Riposte Laïque : Est-ce que vous serez candidat aux élections européennes ?
Geert Wilders : Mon parti se présente à ces élections, oui. Mon parti est nouveau, il y a quelques années, nous avons participé pour la première fois aux élections néerlandaises, et nous avons eu 6% des voix, c’est-à-dire neuf sièges sur les cent cinquante de la chambre basse de notre parlement. Aujourd’hui, si on regarde les sondages aux Pays-Bas, on nous crédite de 15% d’intentions de vote, ce qui fait de nous la seconde force politique du pays. Donc oui, nous participerons aux élections européennes, et je pense que nous ferons un très bon résultat.
Riposte Laïque : Quelle sera votre politique au niveau européen ?
Geert Wilders : Notre parti n’est pas très favorable à la manière dont l’UE fonctionne aujourd’hui. D’abord, nous pensons qu’il doit y avoir moins d’Europe, moins de décisions supranationales, et plus de souveraineté nationale. Nous sommes contre le traité de Lisbonne, car il nous ferait perdrait encore plus de souveraineté, par exemple en ce qui concerne les décisions à propos de l’immigration. Nous voulons que ce soit le gouvernement néerlandais qui décide qui peut entrer sur le territoire national, et non Bruxelles. Ensuite, nous voulons une UE plus petite. Nous voulons laisser des pays comme la Roumanie ou la Bulgarie quitter l’UE. Je pense que ce sont des pays corrompus, et qu’ils n’auraient jamais dû entrer dans l’Union. Les Pays-Bas sont un des plus grands contributeurs nets au budget de l’UE : nous y versons environ 4,5 milliards d’euros par an. Et spécialement en ces temps de crise, je pense que cet argent devrait être dépensé dans notre pays. Au niveau européen donc, nous voulons maintenir un coopération économique, mais nous ne voulons pas d’une Europe politique.
Riposte Laïque : Au niveau européen, avec quelles forces politiques travailleriez-vous ?
Geert Wilders : Peut-être que nous serons indépendants. En tout cas, nous ne serons pas dans le groupe de Le Pen, de Mussolini, ou de Vadim Tudor. Il y a des possibilités d’alliance, avec le Parti du peuple danois par exemple, qui nous ressemble. On verra notre force après les élections.
Riposte Laïque : Quelles sont les mesures que vous prendriez pour arrêter l’islamisation de la société ?
Geert Wilders : La première, c’est d’arrêter l’immigration. Il y a déjà eu deux invasions islamiques : la première a été arrêtée à Poitiers, l’autre à Vienne en 1683. Aujourd’hui, on assiste à la troisième invasion, et ce n’est pas par une guerre, mais par l’immigration. Parfois, j’aimerais que ce soit une guerre ouverte, car alors, on verrait l’ennemi en face, alors qu’aujourd’hui l’invasion se fait légalement, par l’immigration et la natalité. Deuxièmement, mettre l’accent sur une politique de retour des immigrés dans leurs pays d’origine. Rendre plus attractive cette option volontaire, car je ne veux mettre personne dehors par la force. Troisièmement, on voit que les personnes de culture musulmane sont surreprésentées dans les statistiques criminelles, et je suis favorable au renvoi dans le pays d’origine des immigrés délinquants. Même si elles ont la double nationalité, on étudiera des moyens de les déchoir de leur nationalité néerlandaise. Bien sûr, pas pour n’importe quel délits, mais pour les crimes. Sarkozy n’aurait pas dû abolir la « double peine ». Quatrièmement, il faut restreindre la présence des symboles musulmans dans la sphère publique.
Riposte Laïque : Etes-vous optimiste pour l’avenir ?
Geert Wilders : Je suis un réaliste, mais quand je vois les gouvernements européens actuels je suis assez pessimiste. Cependant, lorsque je regarde les personnes, les électeurs, je vois un changement. Les gens en ont marre.
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18/02/2009
Djihad a Lampedusa
Lampedusa - La situazione di tensione che covava da alcuni giorni nel Cie di di Lampedusa è sfociata questa mattina in alcuni scontri tra gli immigrati ospiti delle struttura e le forze dell’ordine, che hanno immediatamente chiamato rinforzi. Secondo le prime informazioni almeno 24 persone sarebbero rimaste ferite.
Tafferugli nel Cie I tafferugli sono scoppiati dopo che ieri un gruppo di circa 300 tunisini aveva cominciato lo sciopero della fame per protesta contro il trasferimento di 107 loro connazionali a Roma, in vista del rimpatrio coatto. Nella struttura, trasformata nelle settimane scorse dal Viminale da "Centro di prima accoglienza e soccorso" a "Centro di identificazione ed espulsione", si trovano in questo momento 863 immigrati, in gran parte tunisini.
Gli immigrati appiccano l'incendio In mattinata è poi divampato un incendio. Una nuvola di fumo si leva alta dai capannoni di Contrada Imbriacola, dove ha sede il centro, ed è visibile anche dal paese. La struttura è stata subito presidiata da polizia e carabinieri in assetto antisommossa. Secondo una prima ricostruzione della polizia ad appiccare l’incendio sarebbero stati gli stessi immigrati. Un centinaio di tunisini hanno prima cercato senza riuscirci di sfondare dall’interno i cancelli della struttura e poi hanno ammassato materassi, cuscini e carta straccia appiccando le fiamme. Una palazzina del centro sarebbe interamente distrutta. Le forze dell’ordine stanno cercando di riportare la calma all’interno della struttura. Nei tafferugli sarebbero rimasti feriti sia alcuni extracomunitari, sia alcuni poliziotti.
Almeno 24 feriti Salgono complessivamente a 24 le persone rimaste ferite negli scontri tra extracomunitari e forze dell’ordine e nell’incendio scoppiato nel Cie di Lampedusa. Ventidue, tra poliziotti e carabinieri, hanno riportato contusioni provocate dagli oggetti lanciati dagli extracomunitari o sono rimasti intossicati; due immigrati sono invece ricoverati per le esalazioni del fumo sprigionate dalle fiamme.
Centro distrutto "Gli immigrati hanno dato fuoco al centro di accoglienza. Le fiamme sono alte 10 metri", ha detto il sindaco di Lampedusa, Bernardino De Rubeis. L’immobile centrale del Cie è andato distrutto, molti migranti sono stati messi in sicurezza, distanti dalle fiamme ma una decina di poliziotti sono rimasti intossicati e sono stati portati al Poliambulatorio. Per domare le fiamme di grosse proporzioni ed evitare che si propagassero nelle strutture vicine, sono dovuti intervenire 7 mezzi e 30 vigili del fuoco sono stati richiamati in servizio d’urgenza. Uno dei vigili è ricoverato al Poliambulatorio con una grave intossicazione.
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12/02/2009
L'ideologie islamique est fasciste
La Grande Bretagne viens d'insulter son histoire et son Peuple en refusant l'entree sur son territoire de Geert Wilders !!!!
Que personne ne se fasse d'illusions, toute verite, meme refoulee refait toujours surface!
Voici sa derniere interview au Figaro.fr:
Geert WILDERS. Personne n'est autant que moi conscient de la menace. Mais si j'avais dû m'arrêter, je l'aurais fait il y a trois ans. J'ai vécu dans des prisons, dans des baraquements militaires, et la pression a encore grandi ces derniers mois. Mais je suis un élu et je mène mon combat sous la bannière de la loi. Si je devais renoncer à dire ce que je pense, les adversaires de la démocratie auraient alors gagné.
Votre pays est inquiet des retombées diplomatiques et économiques que pourrait causer votre film.
Mon film n'est pas encore sorti, personne ne l'a vu, mais déjà des muftis l'ont condamné, prédit que le sang sera versé, des pays arabes menacent les Pays-Bas d'embargo ! Et mon pays, plutôt que de demander à quelques imams de se taire, plutôt que de rappeler nos principes démocratiques et celui de la liberté d'expression, par un ridicule et indigne aveu de faiblesse, cède à la menace et prépare nos ambassades au pire !
Selon vous les valeurs islamiques et les valeurs démocratiques sont inconciliables, irrémédiablement. Comment les Pays-Bas peuvent-ils intégrer leur population d'origine musulmane ?
Je ne veux plus de nouveaux immigrés. Je n'ai rien contre les individus, mais nous avons un problème avec l'idéologie islamique. Je ne veux pas renvoyer ceux qui sont ici et veulent s'assimiler, mais je leur dis de se débarrasser de cette idéologie, que je qualifie de fasciste.
Quel est le choix que vous offrez à un musulman hollandais ?
C'est vrai que selon le Coran, ce livre terrible, vous ne pouvez pas renoncer à être musulman. À moins de risquer la mort. S'ils veulent s'appeler musulmans, nouveaux musulmans ou comme ils veulent, cela ne me dérange pas. Ce qui m'importe c'est qu'ils se séparent de cette part de violence et d'intolérance qui est dans le Coran.
Pensez-vous que la provocation et les slogans à l'emporte-pièce font avancer les choses ?
À la différence des autres, nous, au Parti de la liberté, nous ne mâchons pas nos mots. Un million de musulmans pour 16 millions de Hollandais, c'est trop. Nous sommes les seuls à nous élever contre l'immigration musulmane, les projets de mosquées, d'écoles coraniques. Certains disent également vouloir refuser le relativisme culturel. Mais moi je le dis de manière plus claire : ma culture est meilleure que la culture islamique. Nous ne traitons pas les femmes, les homosexuels, les relations politiques au sein de la société, comme cette culture retardée. Les individus sont égaux. Mais toutes les cultures ne se valent pas.
Avez-vous vraiment peur pour votre identité et l'identité des Pays-Bas ?
Je crois vraiment que notre liberté est menacée par ce que j'appelle le tsunami islamique. Si dans le futur, les musulmans approchent ou arrivent à la majorité aux Pays-Bas, nous perdrons tout ce pourquoi nous nous sommes battus : notre démocratie, notre liberté, nos lois. Le chauvinisme n'est pas un vilain mot.
MERCI MONSIEUR WILDERS
18:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/01/2009
Cosi' Hamas ha utilizzato i civili come bersagli
GAZA - «Andatevene, andatevene via di qui! Volete che gli israeliani ci uccidano tutti? Volete veder morire sotto le bombe i nostri bambini? Portate via le vostre armi e i missili», gridavano in tanti tra gli abitanti della striscia di Gaza ai miliziani di Hamas e ai loro alleati della Jihad islamica. I più coraggiosi si erano organizzati e avevano sbarrato le porte di accesso ai loro cortili, inchiodato assi a quelle dei palazzi, bloccato in fretta e furia le scale per i tetti più alti. Ma per lo più la guerriglia non dava ascolto a nessuno. «Traditori. Collaborazionisti di Israele. Spie di Fatah, codardi. I soldati della guerra santa vi puniranno. E in ogni caso morirete tutti, come noi. Combattendo gli ebrei sionisti siamo tutti destinati al paradiso, non siete contenti di morire assieme?». E così, urlando furiosi, abbattevano porte e finestre, si nascondevano ai piani alti, negli orti, usavano le ambulanze, si barricavano vicino a ospedali, scuole, edifici dell’Onu.
In casi estremi sparavano contro chi cercava di bloccare loro la strada per salvare le proprie famiglie, oppure picchiavano selvaggiamente. «I miliziani di Hamas cercavano a bella posta di provocare gli israeliani. Erano spesso ragazzini, 16 o 17 anni, armati di mitra. Non potevano fare nulla contro tank e jet. Sapevano di essere molto più deboli. Ma volevano che sparassero sulle nostre case per accusarli poi di crimini di guerra», sostiene Abu Issa, 42 anni, abitante nel quartiere di Tel Awa. «Praticamente tutti i palazzi più alti di Gaza che sono stato colpiti dalle bombe israeliane, come lo Dogmoush, Andalous, Jawarah, Siussi e tanti altri avevano sul tetto le rampe lanciarazzi, oppure punti di osservazione di Hamas. Li avevano messi anche vicino al grande deposito Onu poi andato in fiamme E lo stesso vale per i villaggi lungo la linea di frontiera poi più devastati dalla furia folle e punitiva dei sionisti», le fa eco la cugina, Um Abdallah, 48 anni. Usano i soprannomi di famiglia. Ma forniscono dettagli ben circostanziati. E’ stato difficile raccogliere queste testimonianze. In generale qui trionfa la paura di Hamas e imperano i tabù ideologici alimentati da un secolo di guerre con il «nemico sionista».
Chi racconta una versione diversa dalla narrativa imposta dalla «muhamawa» (la resistenza) è automaticamente un «amil», un collaborazionista e rischia la vita. Aiuta però il recente scontro fratricida tra Hamas e Olp. Se Israele o l’Egitto avessero permesso ai giornalisti stranieri di entrare subito sarebbe stato più facile. Quelli locali sono spesso minacciati da Hamas. «Non è un fatto nuovo, in Medio Oriente tra le società arabe manca la tradizione culturale dei diritti umani. Avveniva sotto il regime di Arafat che la stampa venisse perseguitata e censurata. Con Hamas è anche peggio», sostiene Eyad Sarraj, noto psichiatra di Gaza city. E c’è un altro dato che sta emergendo sempre più evidente visitando cliniche, ospedali e le famiglie delle vittime del fuoco israeliano. In verità il loro numero appare molto più basso dei quasi 1.300 morti, oltre a circa 5.000 feriti, riportati dagli uomini di Hamas e ripetuti da ufficiali Onu e della Croce Rossa locale. «I morti potrebbero essere non più di 500 o 600. Per lo più ragazzi tra i 17 e 23 anni reclutati tra le fila di Hamas che li ha mandati letteralmente al massacro», ci dice un medico dell’ospedale Shifah che non vuole assolutamente essere citato, è a rischio la sua vita. Un dato però confermato anche dai giornalisti locali: «Lo abbiamo già segnalato ai capi di Hamas. Perché insistono nel gonfiare le cifre delle vittime? Strano tra l’altro che le organizzazioni non governative, anche occidentali, le riportino senza verifica. Alla fine la verità potrebbe venire a galla. E potrebbe essere come a Jenin nel 2002. Inizialmente si parlò di 1.500 morti. Poi venne fuori che erano solo 54, di cui almeno 45 guerriglieri caduti combattendo».
Come si è giunti a queste cifre? «Prendiano il caso del massacro della famiglia Al Samoun del quartiere di Zeitun. Quando le bombe hanno colpito le loro abitazioni hanno riportato che avevano avuto 31 morti. E così sono stati registrati dagli ufficiali del ministero della Sanità controllato da Hamas. Ma poi, quando i corpi sono stati effettivamente recuperati, la somma totale è raddoppiata a 62 e così sono passati al computo dei bilanci totali», spiega Masoda Al Samoun di 24 anni. E aggiunge un dettaglio interessante: «A confondere le acque ci si erano messe anche le squadre speciali israeliane. I loro uomini erano travestiti da guerriglieri di Hamas, con tanto di bandana verde legata in fronte con la scritta consueta: non c’è altro Dio oltre Allah e Maometto è il suo Profeta. Si intrufolavano nei vicoli per creare caos. A noi è capitato di gridare loro di andarsene, temevamo le rappresaglie. Più tardi abbiamo capito che erano israeliani». E’ sufficiente visitare qualche ospedale per capire che i conti non tornano. Molti letti sono liberi all’Ospedale Europeo di Rafah, uno di quelli che pure dovrebbe essere più coinvolto nelle vittime della «guerra dei tunnel» israeliana. Lo stesso vale per il “Nasser” di Khan Yunis. Solo 5 letti dei 150 dell’Ospedale privato Al-Amal sono occupati. A Gaza city è stato evacuato lo Wafa, costruito con le donazioni «caritative islamiche» di Arabia Saudita, Qatar e altri Paesi del Golfo, e bombardato da Israele e fine dicembre. L’istituto è noto per essere una roccaforte di Hamas, qui vennero ricoverati i suoi combattenti feriti nella guerra civile con Fatah nel 2007. Gli altri stavano invece allo Al Quds, a sua volta bombardato la seconda metà settimana di gennaio.
Dice di questo fatto Magah al Rachmah, 25 anni, abitante a poche decine di metri dai quattro grandi palazzi del complesso sanitario oggi seriamente danneggiato. «Gli uomini di Hamas si erano rifugiati soprattutto nel palazzo che ospita gli uffici amministrativi dello Al Quds. Usavano le ambulanze e avevano costretto ambulanzieri e infermieri a togliersi le uniformi con i simboli dei paramedici, così potevano confondersi meglio e sfuggire ai cecchini israeliani». Tutto ciò ha ridotto di parecchio il numero di letti disponibili tra gli istituti sanitari di Gaza. Pure, lo Shifah, il più grande ospedale della città, resta ben lontano dal registrare il tutto esaurito. Sembra fossero invece densamente occupati i suoi sotterranei. «Hamas vi aveva nascosto le celle d’emergenza e la stanza degli interrogatori per i prigionieri di Fatah e del fronte della sinistra laica che erano stato evacuati dalla prigione bombardata di Saraja», dicono i militanti del Fronte Democratico per la Liberazione della Palestina. E’ stata una guerra nella guerra questa tra Fatah e Hamas. Le organizzazioni umanitarie locali, per lo più controllate dall’Olp, raccontano di «decine di esecuzioni, casi di tortura, rapimenti nelle ultime tre settimane» perpetrati da Hamas. Uno dei casi più noti è quello di Achmad Shakhura, 47 anni, abitante di Khan Yunis e fratello di Khaled, braccio destro di Mohammad Dahlan (ex capo dei servizi di sicurezza di Yasser Arafat oggi in esilio) che è stato rapito per ordine del capo della polizia segreta locale di Hamas, Abu Abdallah Al Kidra, quindi torturato, gli sarebbe stato strappato l’occhio sinistro, e infine sarebbe stato ucciso il 15 gennaio.
Lorenzo Cremonesi
21 gennaio 2009(ultima modifica: 22 gennaio 2009) su www.corriere.it
13:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/01/2009
Musulmans versus Juifs
A faire suivre surtout aux antisemites et aux gauchistes (les
>> Arabes connaissent leurs valeurs), le plaisir sera décuplé
>>
>> JUSTE POUR SE FAIRE PLAISIR, c'est sans commentaire...
>>
>> Les Juifs et l'Islam…
>> La population musulmane mondiale est approximativement de
>> 1.200.000.000 (un milliard deux cent millions) soit 20% de la
>> population mondiale.
>> Ils ont reçu les prix Nobel de suivants :
>>
>> Littérature:
>> > 1988 - Najib Mahfooz
>>
>> Paix:
>> > 1978 - Mohamed Anwar El-Sadat
>> > 1994 - Yaser Arafat
>>
>> Physique:
>> > 1999 - Ahmed Zewail
>>
>> Médecine:
>> >Vide
>>
>> La population juive mondiale est approximativement de 14.000.000
>> (14millions) soit 0.02% de la population mondiale.
>> Ils ont reçu les prix Nobel suivants :
>>
>> Littérature:
>> > 1910 - Paul Heyse
>> > 1927 - Henri Bergson
>> > 1958 - Boris Pasternak
>> > 1966 - Shmuel Yosef Agnon
>> > 1966 - Nelly Sachs
>> > 1976 - Saul Bellow
>> > 1978 - Isaac Bashevis Singer
>> > 1981 - Elias Canetti
>> > 1987 - Joseph Brodsky
>> > 1991 - Nadine Gordimer
>>
>>
>> Paix:
>> > 1911 - Alfred Fried
>> > 1911 - Tobias Michael Carel Asser
>> > 1968 - Rene Cassin
>> > 1973 - Henry Kissinger
>> > 1978 - Menachem Begin
>> > 1986 - Elie Wiesel
>> > 1994 - Shimon Peres
>> > 1994 - Yitzhak Rabin
>>
>>
>> Physique:
>> > 1905 - Adolph Von Baeyer
>> > 1906 - Henri Moissan
>> > 1907 - Albert Abraham Michelson
>> > 1908 - Gabriel Lippmann
>> > 1910 - Otto Wallach
>> > 1915 - Richard Willstaetter
>> > 1918 - Fritz Haber
>> > 1921 - Albert Einstein
>> > 1922 - Niels Bohr
>> > 1925 - James Franck
>> > 1925 - Gustav Hertz
>> > 1943 - Gustav Stern
>> > 1943 - George Charles de Hevesy
>> > 1944 - Isidor Issac Rabi
>> > 1952 - Felix Bloch
>> > 1954 - Max Born
>> > 1958 - Igor Tamm
>> > 1959 - Emilio Segre
>> > 1960 - Donald A. Glaser
>> > 1961 - Robert Hofstadter
>> > 1961 - Melvin Calvin
>> > 1962 - Lev Davidovich Landau
>> > 1962 - Max Ferdinand Perutz
>> > 1965 - Richard Phillips Feynman
>> > 1965 - Julian Schwinger
>> > 1969 - Murray Gell-Mann
>> > 1971 - Dennis Gabor
>> > 1972 - William Howard Stein
>> > 1973 - Brian David Josephson
>> > 1975 - Benjamin Mottleson
>> > 1976 - Burton Richter
>> > 1977 - Ilya Prigogine
>> > 1978 - Arno Allan Penzias
>> > 1978 - Peter L Kapitza
>> > 1979 - Stephen Weinberg
>> > 1979 - Sheldon Glashow
>> > 1979 - Herbert Charle s Brown
>> > 1980 - Paul Berg
>> > 1980 - Walter Gilbert
>> > 1981 - Roald Hoffmann
>> > 1982 - Aaron Klug
>> > 1985 - Albert A. Hauptman
>> > 1985 - Jerome Karle
>> > 1986 - Dudley R. Herschbach
>> > 1988 - Robert Huber
>> > 1988 - Leon Lederman
>> > 1988 - Melvin Schwartz
>> > 1988 - Jack Steinberger
>> > 1989 - Sidney Altman
>> > 1990 - Jerome Friedman
>> > 1992 - Rudolph Marcus
>> > 1995 - Martin Perl
>> > 2000 - Alan J. Heeger
>>
>>
>> Economie:
>> > 1970 - Paul Anthony Samuelson
>> > 1971 - Simon Kuznets
>> > 1972 - Kenneth Joseph Arrow
>> > 1975 - Leonid Kantorovich
>> > 1976 - Milton Friedman
>> > 1978 - Herbert A. Simon
>> > 1980 - Lawrence Robert Klein
>> > 1985 - Franco Modigliani
>> > 1987 - Robert M. Solow
>> > 1990 - Harry Markowitz
>> > 1990 - Merton Miller
>> > 1992 - Gary Becker
>> > 1993 - Robert Fogel
>>
>>
>> Médecine:
>> > 1908 - Elie Metchnikoff
>> > 1908 - Paul Erlich
>> > 1914 - Robert Barany
>> > 1922 - Otto Meyerhof
>> > 1930 - Karl Landsteiner
>> > 1931 - Otto Warburg
>> > 1936 - Otto Loewi
>> > 1944 - Joseph Erlanger
>> > 1944 - Herbert Spencer Gasser
>> > 1945 - Ernst Boris Chain
>> > 1946 - Hermann Joseph Muller
>> > 1950 - Tadeus Reichstein
>> > 1952 - Selman Abraham Waksman
>> > 1953 - Hans Krebs
>> > 1953 - Fritz Albert Lipmann
>> > 1958 - Joshua Lederberg
>> > 1959 - Arthur Kornberg
>> > 1964 - Konrad Bloch
>> > 1965 - Francois Jacob
>> > 1965 - Andre Lwoff
>> > 1967 - George Wald
>> > 1968 - Marshall W. Nirenberg
>> > 1969 - Salvador Luria
>> > 1970 - Julius Axelrod
>> > 1970 - Sir Bernard Katz
>> > 1972 - Gerald Maurice Edelman
>> > 1975 - Howard Martin Temin
>> > 1976 - Baruch S. Blumberg
>> > 1977 - Roselyn Sussman Yalow
>> > 1978 - Daniel Nathans
>> > 1980 - Baruj Benacerraf
>> > 1984 - Cesar Milstein
>> > 1985 - Michael Stuart Brown
>> > 1985 - Joseph L. Goldstein
>> > 1986 - Stanley Cohen [& Rita Levi-Montalcini]
>> > 1988 - Gertrude Elion
>> > 1989 - Harold Varmus
>> > 1991 - Erwin Neher
>> > 1991 - Bert Sakmann
>> > 1993 - Richard J. Roberts
>> > 1993 - Phillip Sharp
>> > 1994 - Alfred Gilman
>> > 1995 - Edward B. Lewis
>>
>> Les juifs ne manifestent pas dans les rues exposants leurs
>> cadavres, criant et chantant pour demander revanche.
>>
>> Les juifs ne pratiquent pas le lavage de cerveau de leurs enfants
>> dans des camps militaires, leur enseignant à se faire exploser en
>> causant le maximum de morts parmi les non croyants.
>>
>> Les juifs ne prennent pas les avions en otage, ni ne tuent les
>> athlètes des jeux olympiques.
>>
>> Les juifs ne font pas la traite des esclaves, et n'ont pas de
>> leaders appelant au Jihad et à la mort de tous les infidèles.
>>
>> Les juifs n'ont pas de ressources économiques dans le pétrole.
>> Peut être que les musulmans du monde devraient considérer investir
>> plus dans l'éducation de leurs enfants plutôt que de blâmer les
>> Juifs comme la cause de tous leurs problèmes....
>>
>> Quelles que soient vos ressentiments vis-à-vis de la crise entre
>> Israël et les Palestiniens et les pays arabes voisins, même si
>> vous pensez qu'il y a plus de culpabilité du coté Israélien, les
>> deux phrases suivantes parlent d'elles-mêmes :
>>
>> Si les arabes du monde déposaient leurs armes aujourd'hui, il n'y
>> aurait plus de violence !
>>
>> Si les Juifs déposaient leurs armes aujourd'hui, il n'y aurait
>> plus d'Israël !
>>
>>
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19/01/2009
La Sarkokratie franchit toutes les bornes
En présentant ses vœux aux forces de l’ordre, ce mercredi, à Orléans, le chef de l’Etat a voulu tenir des propos forts contre le risque d’importation du conflit israélo-palestinien en France. Cela, nul ne peut le lui reprocher, il est dans son rôle. Mais il a prononcé cette phrase terrible : « L’antisémitisme et l’islamophobie seront condamnés avec la même sévérité », il n’y a pas de place dans la République pour des antisémites ou des islamophobes ». (1)
(NDR :Il condamne, il condamne,.... mais donne l'asile politique a une ordure de terroriste assassine comme Petrella, et permet la fuite au Bresil de l'autre ordure Battisti en s'arrangeant avec Lula pour lui faire avoir son asile politique: LA HONTE!)
Le 7 décembre 2007, Nicolas Sarkozy avait tenu des propos semblables à Alger, où il avait emmené Dalil Boubakeur, on se demande encore à quel titre. (2)
Ce n’est donc absolument pas un dérapage verbal, une maladresse, mais une ligne politique. En amalgamant le racisme qu’est l’antisémitisme, et le droit de ne pas apprécier une religion, ce qu’est l’islamophobie, Sarkozy attaque frontalement un principe laïque : le droit à la libre critique de toutes les religions, le droit au blasphème.
Peut-être plus grave encore, il dit clairement à tous : « Critiquer un homme parce qu’il est juif c’est la même chose que montrer les conséquences nuisibles à tous d’une religion ». Non seulement il ose, de cette façon, minimiser l’antisémitisme mais il donne à l’islam des lettres de noblesse ! C’est une réécriture criminelle de l’Histoire. Il fait des amalgames honteux entre Drumont, Charles Maurras ou Hitler, hier, antisémites notoires, comme les islamistes radicaux aujourd’hui, et des militantes comme Ayaan Hirsi Ali, Wafa Sultan ou Taslima Nasreen, qui ne cachent pas leur islamophobie. Les premiers appelaient, et appellent encore à la haine et l’extermination de tout un peuple, sur des bases racistes. Les secondes appellent les populations, et notamment les femmes, à s’émanciper d’une tutelle religieuse qu’elles jugent liberticide, sexiste et totalitaire, et elles se revendiquent des Lumières. Comment le président de la République peut-il renvoyer les deux dos-à-dos ?
Il cède ainsi à la pression des islamistes qui, à l’Onu (3), et partout dans le monde, entendent interdire tout dessin insolent sur le prophète, toute vérité déplaisante sur l’islam. Signalons à nos amis altermondialistes qu’ils reçoivent, entre autres, le soutien de Chavez et de Castro.
L’homme qui disait, avant son élection, « plutôt un excès de caricature qu’un excès de censure » et défendait le journal Charlie Hebdo, donne aujourd’hui des gages à ceux qui, de Mouloud Aounit à Dalil Boubakeur, voulaient interdire les caricatures danoises.
L’homme qui voulait « toiletter la loi de 1905 » instrumentalise le conflit israélo-palestinien pour attaquer frontalement la laïcité, et la liberté d’expression. En faisant un parallèle aussi scandaleux, il envoie un message fort aux dignitaires religieux musulmans :« Aidez-moi à faire régner l’ordre dans les banlieues, pendant cette période chaude, et je vous envoie un message fort, pour limiter la critique de votre religion, ce qui est une de vos revendications ».
Il se montre prêt à brader le combat historique de nos anciens, qui ont payé de leur sang le droit de s’émanciper de la tutelle religieuse, notamment catholique, en France.
Qu’aurait-on dit, dans les années 1990, si, cédant aux demandes des intégristes catholiques, et de leur association l’Agrif, dirigée par Romain Marie, du Front national, on avait répondu positivement à leurs exigeces, qui considéraient que toute critique de la religion catholique était une marque de racisme anti-français ? Toute la gauche serait, à juste titre, montée au créneau.
Pourtant, cette fois, on attend avec impatience les protestations de ceux qui, en soutenant l’offensive du voile, et les revendications communautaristes des islamistes, ont préparé le terrain au discours de Sarkozy. D’autres qui, imprudemment, ont parlé de racisme anti-musulman, ont également donné des verges pour se faire fouetter.
Si Nicolas Sarkozy veut réellement tout faire pour que le conflit israélo-palestinien ne soit pas importé en France, qu’il cesse de donner des gages aux religieux, qu’il cesse de parler de « bondieuseries » dans ses discours officiels, qu’il cesse de faire le signe de croix quand il représente l’ensemble des Français, et qu’il tienne enfin des propos dignes du président d’une République laïque, qui ne reconnaît pas les communautés, religieuses ou autres, mais les individus, à égalité de droits et de devoirs.
Bien entendu, nous serons toujours aux côtés de tous les combats anti-racistes : racisme contre les Juifs, contre les Arabes, contre les Noirs, contre les Blancs…
Bien entendu, nous serons toujours aux côtés de tous ceux qui se donnent le droit de critiquer toutes les religions, catholique, protestante, musulmane, juive, orthodoxe, bouddhiste, hindouiste, etc.
Pour soutenir les dessinateurs danois, des journaux comme France-Soir ou Charlie Hebdo ont reproduit leurs dessins.
Pour défendre le droit à la liberté d’expression, et surtout celui de critiquer l’islam, nous reproduisons les propos de Mustapha Kemal, fondateur de la République laïque de Turquie : « Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’Islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. »
Si l’on en croit les propos présidentiels, qui a même évoqué la « tolérance zéro », nous sommes donc devenus des délinquants. Nous devons donc nous attendre à être poursuivis pour pour avoir relayé les propos de ce dangereux islamophobe, forcément raciste, selon Aounit, Tubiana, Sarkozy, Ramadan, Boubakeur et consorts.
En attendant, nous encourageons tous nos amis laïques à faire de même, à à défendre le droit à être islamophobe, et même à ajouter le mot phobe aux autres religions de leur choix.
SOURCE: www.ripostelaique.com
19:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : islam, islamisation, christianisme, laicité, mpf, ump, ps