Lorsqu’il était journaliste à la Repubblica, il a soutenu la guerre en Irak, ce qui n’était pas précisément la ligne de son journal. Il l’a donc quitté pour rejoindre le Corriere della Sera et il est devenu de plus en plus critique à l’égard de la religion musulmane, jusqu’à sa conversion… Gageons qu’il va mettre de l’animation lors des débats sur l’immigration.
11/07/2009
Pas d'émeutes pour Fatima!
Fatima, tuée par son musulman de frère parce qu'il la trouvait "trop libre", suivant les preceptes coraniques enseignés par son assassin de pseudo-prophète...
Pas d'émeutes, bien sûr, ni de mise en cause de l'islam...circulez...il n'y a rien à voir!
Le drapeau au croissant peut continuer à flotter sur Lyon et la France
http://www.lyoncapitale.fr/index.php?menu=01&article=...
En avant la prochaine victime, Allah akbar!
08:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
09/07/2009
Elles ont eu le courage de le dire haut et fort!
Talisma NASREEN (Bengladesh), médecin gynécologue, écrivain, réfugiée en France depuis le 3 janvier 2009 à cause d’une fatwa prononcée à son encontre.
« Les êtres humains sont égaux. Les cultures ne le sont pas. Une culture qui célèbre la féminité n’est pas égale à une culture qui coupe les organes génitaux de ses filles. Une culture qui tient la porte ouverte pour ses femmes n’est pas égale à une culture qui les confine derrière des murs et des voiles. Aujourd’hui, les sociétés libres sont menacées par l’islamisme, qui se réfère à un homme nommé Muhammad Abdullah ayant vécu au VIIe siècle, et considéré comme un prophète.(…) Il existe un mouvement islamiste qui rejette les libertés démocratiques et fait tout pour les détruire. Ces islamistes cherchent à convaincre que leur façon de vivre est la meilleure.
Quand ceux qui s’opposent à l’islamisme dénoncent les aspects fallacieux des enseignements de Mahomet, on les accuse d’être offensants, blasphématoires, irresponsables – voire islamophobes ou racistes. »
Aayan HIRSI ALI (Somalie), ex-député néerlandaise, refugiée en France à cause d’une fatwa.
“Comment croire qu’une religion née il y a mille quatre cents ans en Arabie, et dont toute l’architecture repose sur le caractère immuable des lois qui la constituent, puisse être une religion progressiste ?” Quant à savoir si les dogmes islamiques sont, dans une société moderne, “compatible(s) avec la démocratie : la réponse est non ! (…). Entre la burka et le foulard coloré, la signification est la même. Parler de foulard, de bandeau n’est qu’une lâcheté sémantique, c’est une misérable ruse rhétorique. De plus porter le foulard, ici, est un appui aux dictatures islamistes qui imposent la burka là-bas. Le voile est l’emblème même du dogme islamiste. L’islam peut tout à fait vivre sans, mais il n’y a pas de pays islamistes sans le voile. ” Quoi de plus injuste, de plus aliénant, que d’infliger à une adolescente l’enfermement sous le noir et la honte de son corps parce qu’il est féminin. Le voile n’est pas moins grave que l’excision. Il n’y a pas de jour avec et de jour sans, la jeune fille devient un “être sous le voile”. Ca fait partie de son être social, psychologique, sexuel, personnel. En voilant une fille, on lui inculque son infériorité, la culpabilité de sa sexualité et, surtout, on lui dit qu’elle n’est pas dans le droit, qu’elle n’a pas le droit. Et puis, si les hommes “adorent tant le voile, ils n’ont qu’à le porter eux-mêmes.” Où sont ces intellectuels de salon complices de la barbarie islamique quand, en France, on force des fillettes à se murer dans une prison portative ? Face à un islamiste de l’UOIF, j’ai l’impression de revenir en arrière et de me retrouver en Iran. C’est ça qui me met hors de moi ! Aujourd’hui en France, il y a des hommes plus dangereux que les islamistes dans les pays musulmans. Et ils sont les interlocuteurs des pouvoirs publics ! Voiler les femmes, c’est diffuser la vision du monde islamiste. »
Chahdortt DJAVANN (Iran), refugiée avec sa famille à Paris depuis 1993.
« Pour moi, un musulman qui est insatisfait parce qu’il ne peut pas imposer le hidjab à sa jeune fille n’a qu’à aller vivre en Arabie Saoudite », « Comment un gouvernement européen et laïc, s’interroge-t-elle, peut-il permettre à une religion de s’ingérer de cette manière dans la vie de tous les jours de ses citoyens ? Il faut arrêter la construction massive des mosquées, le port du voile par des écolières, les crimes ‘d’honneur’. Il faut réveiller les consciences contre les dangers que représente l’islam »
Mina AHADI (Iran), réfugiée en Allemagne à cause d’une fatwa.
“L’islam, bien qu’il soit présent en Europe depuis 1 400 ans, n’a jamais pu prendre racine. Il s’agit d’une religion arabe, même si elle se veut universelle. L’islam ne connaît aucune individualité, sa vision de l’humanité n’est pas adaptée à la modernité, qui réclame des individus responsables d’eux-mêmes ; l’islam suit un autre modèle de société, collectiviste celui-là. Il a non seulement la prétention d’être une croyance, mais il se pose en religion de l’unité de la vie, de la foi, de la loi et de la politique. Cela va à l’encontre de la laïcité. L’islam tente d’imposer des droits collectifs, alors qu’une société éclairée défend avant tout le droit de l’individu. »
Necla KELEK (Turquie) vit en Allemagne.
« Le problème de l’islam est profondément enraciné dans ses enseignements : l’islam n’est pas seulement une religion, l’islam est aussi une idéologie politique, qui prêche la violence et applique son programme par la force. Je ne crois pas qu’il y ait de musulman modéré. Je crois qu’il y a des modérés en terme de culture, des musulmans culturels modérés, mais pas en ce qui concerne la religion. Parce qu’en islam, vous devez croire à tous les préceptes comme étant sacrés. Vous ne pouvez pas les changer, vous devez les accepter comme ils sont, sinon vous n’êtes tout simplement pas musulman. Nous devons extirper la politique de l’islam, et confiner l’islam aux lieux de culte et aux foyers. C’est la seule solution. »
Wafa SULTAN (Syrie) réfugiée aux Etats-Unis.
« Voilà, Mesdames et Messieurs les députés, je souhaite que ces quelques lignes vous éclairent. Toutes ces femmes ont vécu l’oppression de l’islam. Certaines d’entre elles risquent leur vie et sont en permanence sous protection policière. Toutes ont du fuir leur pays parce qu’elles ont osé prendre la parole et s’opposer à une religion et à ses pratiques humiliantes pour les femmes. Toutes dénoncent la soumission des femmes musulmanes, toutes veulent en finir avec cet asservissement à une religion qui nie la moitié de l’humanité. La burqa, qui fait débat en France actuellement, est bien un signe religieux contrairement à ce que certains porte-paroles du CFCM veulent nous faire croire. La burqa est bien une prison pour les femmes qui la portent même si on veut nous faire « gober » que c’est un libre choix pour certaines. Si des femmes veulent porter cet accoutrement qu’elles le fassent dans leur domicile, mais qu’elles ne l’imposent pas aux autres dans la sphère publique. Cette tenue refuse le partage et la sociabilité. Elle les coupe du reste du monde et c’est bien un symbole politique qu’elles arborent. N’ayons pas peur que ces femmes emburquées deviennent des recluses, elles le sont déjà ! Avant la loi sur les signes religieux à l’école, certains déclamaient que les fillettes musulmanes seraient déscolarisées, or avec cinq ans de recul, nous voyons bien qu’il n’en est rien. Les valeurs de la France doivent être réaffirmées haut et fort. La France est le pays où fut écrite la déclaration des Droits de l’Homme. La France est le premier pays à avoir condamné l’excision. La France doit être le premier pays à refuser la burqa . De l’audace, Mesdames et Messieurs les députés, allez jusqu’au bout de votre mission parlementaire et faites une loi. »
Riposte Laïque
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06/07/2009
Magdi Allam, un eurodéputé sous haute surveillance
Lorsqu’il était journaliste à la Repubblica, il a soutenu la guerre en Irak, ce qui n’était pas précisément la ligne de son journal. Il l’a donc quitté pour rejoindre le Corriere della Sera et il est devenu de plus en plus critique à l’égard de la religion musulmane, jusqu’à sa conversion… Gageons qu’il va mettre de l’animation lors des débats sur l’immigration.
22:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
Est-ce que l'Algerie va demander pardon?
Le massacre des sept moines de Tibehirine en 1996, longtemps imputé à un groupe islamiste, résulte d'une "bavure" de l'armée algérienne, ensuite tue par Paris, selon le témoignage d'un ancien attaché de Défense français à Alger devant le juge antiterroriste chargé de l'enquête.
Révélé par Le Figaro, Mediapart et L'Express, ce témoignage constitue la preuve qu'il y a eu "dissimulation de la part des autorités algériennes et certainement de la part des autorités françaises" sur les circonstances de la mort des sept religieux français au printemps 1996, pour l'avocat des parties civiles, Patrick Baudouin.
Selon ce témoin, le général François Buchwalter, les moines ont été tués peu après leur enlèvement par des tirs depuis des hélicoptères militaires alors qu'ils se trouvaient dans ce qui semblait être un bivouac de djihadistes.
"Les hélicoptères ont vu un bivouac. Comme cette zone était vidée, ça ne pouvait être qu'un groupe armé. Ils ont donc tiré sur le bivouac. (...) Une fois posés, ils ont découverts qu'ils avaient tiré notamment sur les moines. Les corps des moines étaient criblés de balles", a déclaré le général Buchwalter dans sa déposition que l'AFP a pu consulter.
L'officier général, qui a quitté le service actif, a affirmé au magistrat tenir ses informations d'un ancien camarade algérien de l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr dont le frère, commandant d'une escadrille d'hélicoptères à Blida, à mi-chemin entre Tibehirine et Alger, avait participé à cette "bavure".
Les sept moines avaient été enlevés dans la nuit du 26 au 27 mars 1996 dans leur monastère isolé Notre-Dame de l'Atlas, au sud d'Alger, ceinturé de maquis contrôlés par les groupes armés islamistes et où les tueries étaient alors fréquentes. Le Groupe islamique armé (GIA) avait revendiqué cet enlèvement.
Le 30 mai, l'armée algérienne affirmait avoir découvert les dépouilles des moines. Seules les têtes avaient en fait été retrouvées.
Les corps auraient-ils été démembrés pour ne pas identifier les balles à l'origine de leur mort, s'est-on interrogé de source proche du dossier.
Avant ces révélations du général Buchwalter, d'autres témoignages d'officiers algériens en rupture de ban avaient relevé le rôle trouble des autorités algériennes, accusant Alger d'avoir manipulé le groupe armé ayant revendiqué l'enlèvement des moines.
L'ancien attaché de défense, à l'époque colonel, a affirmé avoir eu connaissance du raid d'hélicoptères "quelques jours après les obsèques" des moines et en avoir informé dans un rapport les autorités françaises: le chef d'état-major des armées et l'ambassadeur.
Selon lui, "il n'y a pas eu de suite, ils ont observé le +black-out+ demandé par l'ambassadeur".
21:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Burqa (Niquab), immigration : la fin du politiquement correct?
Trois événements ont retenu mon attention, cette semaine. D’abord, la proposition de commission parlementaire d’André Gérin, sur l’interdiction de la burqa, reprenant les premières propositions de Jacques Myard(1), continue à faire parler et les conséquences sont limpides : plus rien ne sera comme avant, la chape de plomb a sauté, la loi du silence a été brisée, 90 % des Français interrogés s’affirment favorables à cette interdiction et une vraie question se pose : pourquoi, pendant ces dernières années, aucune organisation laïque et seulement quelques rares organisations féministes (Ligue du Droit des Femmes, Regards de Femmes, Sos Sexisme, Ligue du Droit Internationale des Femmes) ont-elles soutenu le député des Yvelines, et l’initiative pétitionnaire de Riposte Laïque et de Regards de Femmes ? La réponse est claire : le conformisme militant et la peur d’affronter le politiquement correct sont responsables de ce silence assourdissant.
Il a fallu qu’André Gérin et 60 parlementaires, repris en écho par Nicolas Sarkozy, alertent l’opinion pour qu’aussitôt pleuvent spontanément des communiqués exigeant l’interdiction de cette tenue, parfois avec des acrobaties dialecticiennes surprenantes. Mais que de louvoiements chez ces responsables de gauche comme de droite qui nous disent, à l’instar des hypocrisies de Moussaoui, grand chef du CFCM, qu’ils sont bien sûr contre la burqa, mais aussi contre la loi ! Nous avons entendu mille fois ces arguments en 2003, lors du débat sur les signes religieux à l’école. Si on avait écouté ces jésuites, le voile envahirait aujourd’hui la plupart des écoles de la République, et nous aurions des fonctionnaires voilées aux guichets de nos administrations.
Il faut qu’un vrai débat s’installe, à la rentrée, et qu’il ne se cantonne pas seulement à la burqa, mais qu’il se penche sur toutes les situations, à l’école, à l’hôpital, dans la rue, dans les écoles coraniques, où l’islam continue son offensive contre la République, avec la bienveillance complice de tous les adeptes du politiquement correct, et la compassion stupide de tous ceux, majoritairement de gauche, qui pleurnichent sur la stigmatisation de la religion des pauvres.
Le deuxième événement a été l’expulsion, par le service d’ordre de la CGT, de plusieurs centaines de clandestins qui occupaient la Bourse du Travail depuis… plus d’un an ! (1) Là encore, le politiquement correct se déchaîne contre la centrale dirigée par Bernard Thibault. Que la CGT, souvent aux côtés des sans-papiers, soit l’arroseur arrosé peut amuser. A condition qu’on n’occulte pas le fond du débat, et des questions dérangeantes. Comment des personnes en situation irrégulière peuvent-elles, pendant plus d’un an, à la vue de tout le monde, occuper un local syndical ? Pourquoi les clandestins, et surtout ceux qui les manipulent, envahissent-ils toujours des locaux syndicaux, et jamais des locaux patronaux ? Pourquoi toujours des mairies de gauche, et jamais des mairies de droite ? Pourquoi toujours des églises, et jamais des mosquées ? Pourquoi le service d’ordre de la CGT a-t-il dû utiliser des matraques et des gaz lacrymogènes pour déloger ces clandestins ? Comment, dans notre pays, en est-on arrivé, en période de chômage de masse, à ce que l’expulsion de personnes en situation irrégulière soit devenue un véritable parcours du combattant ? Comment ces personnes peuvent-elles réclamer des droits, comme si le simple fait d’entrer en France illégalement devait forcément se terminer par la carte de séjour ? Comment une gauche qui se réclame de la défense des salariés peut-elle contribuer, pour le plus grand bonheur du patronat, à jeter sur le marché du travail une nouvelle main-d’œuvre qui contribuera forcément à tirer les acquis sociaux vers le bas ? Comment, au-delà des discours électoralistes et des effets d’annonce de Sarkozy, la droite a-t-elle exactement la même attitude ? Pourquoi aucun débat n’est-il possible sur cette question ? Est-il vraiment honteux, quand on voit la gravité de la situation sociale, et sociétale de notre pays, de se dire qu’un arrêt provisoire de l’immigration est indispensable, et que des mesures sur l’intégration doivent être mises en place, d’urgence, pour mettre un coup d’arrêt à la dérive communautariste qui frappe notre pays ? Est-il impossible de dire que ceux qui ne veulent pas respecter les lois de la République, et qui veulent y imposer l’islam, ou des pratiques coutumières venues d’ailleurs, n’ont rien à faire en France, et ne doivent pas y rester ? Là encore, faisons fi de la dictature du politiquement correct, et imposons un vrai débat, dans le mouvement syndical, dans les partis, dans les associations, et dans toute la société française.
Le troisième événement est la possible victoire du Front national à Hénin-Beaumont. Inutile de traiter les électeurs de racistes, de fascistes, ou de nostalgiques d’Hitler, d’abord c’est faux et ensuite, cela ne servirait à rien. Je relisais le livre de Claude Askolovich, « Voyage au bout de la France, le Front national tel qu’il est » (éditions Grasset), écrit il y a maintenant dix ans. Il décrivait, dans un chapitre complet, le parcours de Steeve Briois, et de son complice de toujours, Laurent Brice. Deux gamins du cru, de vrais militants de terrain, qui auraient pu être communistes dans les années 1950. Issus de familles ouvrières, évoluant comme des poissons dans l’eau dans leur région, s’opposant depuis toujours à l’Europe de Bruxelles, aux délocalisations, aux conséquences d’une immigration incontrôlée, dénonçant le refus d’intégration, et la nature d’une nouvelle délinquance juvénile, ils surfaient sur la réalité du vécu des citoyens. S’ajoutent à cette élection la personnalité d’une Marine Le Pen, qui, contrairement à son père, sait éviter les provocations inutiles, et a compris que le discours républicain et laïque (surtout contre l’islam) pouvait être porteur, et la gestion frauduleuse de la municipalité socialiste, qui a laissé une ville dans un état de faillite, et on comprend que le front républicain, si efficace pendant des années contre le FN, aura du mal à prendre, cette fois, dans cette ville. Surtout si on se souvient des propos de Lionel Jospin, assurant que l’anti-fascisme n’avait été que du théâtre ! (3)
Burqa, symbole de l’offensive de l’islam contre les droits des femmes et la laïcité, immigration clandestine, symbole de la complicité du patronat, de la droite et de la gauche contre le salariat, et crise sociale où l’UMPS montre que son discours ne fait pas le poids, dans une ville ravagée par le chômage et la corruption, face à celui, déterminé, du Front national, nous avons, sur ces trois exemples, un exemple éclatant du rejet du discours officiel et politiquement correct par le peuple.
Les citoyens de notre pays en ont assez de l’offensive et de l’arrogance de l’islam, et de ceux qui se couchent devant. Ils en ont marre du discours immigrationiste, dans une période de chômage de masse, et que notre pays ne soit pas capable de faire respecter ses lois. Ils en ont assez des discours aseptisés et serviles de ceux qui laissent les technocrates de Bruxelles, leur politique de libre-échange et de délocalisations ruiner des régions entières.
Le score de Geert Wilders aux Pays-Bas, le sondage sur la burqa, en France, la réaction de la CGT face à une situation intolérable, dont elle était cette fois la victime, et les 60 % d’abstention aux dernières européennes, montrent que quelque chose peut bouger, et que le politiquement correct, de gauche comme de droite, responsable de la catastrophe de ces trente dernières années, est de plus en plus rejeté.
Aux républicains de gauche comme de droite de saisir cette situation, et de convaincre les électeurs qu’ils ont une réponse à opposer à Sarkozy-Aubry-Cohn-Bendit-Bayrou-Buffet. Qu’ils n’aient pas peur d’être populistes ! Qu’ils ne craignent surtout pas d’être résolument non conformistes, au contraire !
C’est ce que répète Christine Tasin dans ses vidéos (qui lui valent insultes et menaces) et nos débatteurs des "Dessous du voile", Pascal Hilout, Annie Sugier, Guylain Chevrier, Pierre Cassen, Anne Zelensky, Maurice Vidal, Brigitte Bré Bayle, Rosa Valentini, Robert Albarèdes, Gabrielle Desarbres, Marie-José Letailleur et tous nos collaborateurs, quand on les invite à des débats télévisés, ou à des conférences. Nous apprécions les commentaires qui suivent souvent nos interventions. Nous savons que ce que dit Riposte Laïque, sur l’islam, sur l’immigration, sur le retour souhaité des Etats-Nations souverains, est partagé par l’immense majorité du peuple français. Nous savons que ceux qui lisent « Les dessous du voile », tel Ivan Rioufol (4), le recommandent à leurs amis. Nous savons que sommes dans le sens de l’Histoire. Et nous espérons être de plus en plus fréquemment invités sur des plateaux de télévision, où nous ferons passer un autre discours que celui, édulcoré, qui nous y est distillé, y compris par des intervenants se réclamant de la laïcité.
C’est par un discours clair, sans complaisance avec le politiquement correct, que les laïques pourront proposer une reconquête républicaine qui évitera aux désespérés de la crise de se jeter dans les bras du Front national de Jean-Marie Le Pen, qui soutient l’Iran des ayatollahs, ou du Nouveau Parti Anticapitaliste de Besancenot, qui soutient le Hamas et le Hezbollah.
SOURCE: www.ripostelaique.com
(1) http://www.islamisation.fr/archive/2009/06/27/burqa-debat...
(2) http://www.mediapart.fr/club/blog/marc-tori/250609/avec-m...
(3) http://www.youtube.com/watch ?v=xY3jUuFBWIM
(4) http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2009/06/bloc-notes-pourqu...
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05/07/2009
Vuole divorziare: il marito musulmano la uccide in nome di Allah
BRUXELLES — Da lontano, al telefono, si sente un bambino piccolo che piange, o strilla per gioco, da qualche parte nella stanza alle spalle di Kadidja Lalembaidje: «È Maxime, il mio nipotino, il figlioletto di Claudia. Ha 8 mesi. Otto mesi, capito? Mia figlia avrebbe voluto crescerlo secondo i suoi valori: considerare sempre gli altri degli essere umani come noi, cercare di comprendere le loro ragioni. Ma è capitata con quello là, il talebano, l'ha sposato, gli ha dato un figlio. Lui la picchiava, ha cercato 3 volte di strangolarla perché non voleva che uscisse, che si vestisse normalmente. Le diceva: attenta, le donne devono essere sottomesse all'uomo. Citava sempre il Corano. E quando lei ha chiesto il divorzio, lui le ha risposto: ricordalo, in Pakistan il matrimonio è per la vita o per la morte. Così è stato, l'ha uccisa. Lui e i suoi due fratelli, in tre l'hanno uccisa. Come già avevano ucciso la moglie di un quarto fratello in Pakistan, buttandola nel fiume. Anche lei nel fiume, come mia figlia. E proprio per quello erano poi fuggiti in Europa. Ma che ne sapevamo, noi?».
Claudia Lalembaidje, 32 anni, emigrata a Bruxelles dal Ciad era da poco diventata mamma. È stata ritrovata seminuda con le mani e i piedi legati e il volto sfigurato dentro una valigia sul fiume Escaut. Incriminato per l’omicidio il marito pachistano, dal quale la donna voleva divorziare. L’uomo la picchiava spesso: la madre di lei ha riferito che lui non tollerava che lei uscisseAlla fine, il pianto soffoca la voce: «Ora ci hanno detto che quel quarto fratello si è suicidato. Ecco che famiglia aveva incontrato Claudia, ecco che destino ha avuto». Claudia era scomparsa il 14 giugno, la sua foto era finita sul sito del Chi l'ha visto? belga. L'altro ieri, nel fiume Escaut che va dalla Francia al Belgio, trovano una valigia chiusa: dentro, un corpo seminudo, mani e piedi legati, il viso sfigurato. È lei, c'è il tremendo sospetto di uno stupro per sfregio. Il marito ora è in cella, come il secondo fratello. Il terzo è in fuga. Questa è una storia che non giunge da un remoto villaggio, ma da Bruxelles, capitale d'Europa. Dal quartiere di Schaerbeek, abitato da una vasta e pacifica comunità di immigrati. Come Claudia Lalembaidje, 32 anni, vissuta fino ai 15 nel nativo Ciad, poi emigrata con la madre e le sorelle (il padre, colpito dalle sofferenze della guerra, vive ancora nel Ciad). Dopo aver fatto studi teatrali e aver preso un diploma da infermiera, Claudia aveva lavorato alla Croce Rossa. «Ora, diventata madre, aveva un sogno: aprire un asilo per bambini. Ecco, questo era lei, una persona luminosa»: parla Daniele Cardella, funzionario italiano del Parlamento europeo ed ex-fidanzato della giovane, con la quale ha convissuto per 3 anni e mezzo. «Prima Claudia aveva aiutato a crescere i figli piccoli delle sorelle, e poi aveva pensato a sé. Noi ci eravamo lasciati, come capita, ma eravamo rimasti amici, e sua mamma si confidava spesso con la mia. Così abbiamo saputo di quel pachistano. Per esempio, di quando nacque Maxime e lui annunciò: a 5 anni dovrà avere in pugno il Corano».
«Quel pachistano» è Alì, alias Hammad Raza Syed, immigrato clandestino in Belgio con i fratelli. Voci di quartiere: nomi falsi, traffici di passaporti, forse qualcosa di più. Lui sposa Claudia nel luglio 2008: ma subito si scopre che, più che alla moglie, è interessato al permesso di soggiorno, da ottenere attraverso le nozze. Non è però tanto facile, e poi Claudia continua a lavorare, non rinuncia alla sua personalità. Così ecco le botte, e il resto: «La vedevamo sempre più sciupata e preoccupata», racconta ancora Daniele. Finché, una sera, Claudia annuncia al marito che ha chiesto il divorzio («È scandalo», urla Hammad) e che avrà lei la custodia del bambino. Poco dopo, alla porta di casa compaiono i due cognati: «Perché in Pakistan ci si sposa per la vita o per la morte».
Luigi Offeddu
loffeddu@rcs.it
05 luglio 2009
www.corriere.it
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22/06/2009
Voici comment l'islam traite les minorites
Quelle coïncidence ! Lorsque, ce dimanche, 16 juifs du Yémen ont atterri en Israël pour s'y établir et faire leur Aliyah (organisée par l'Agence Juive), la cour de cassation du Yémen a prononcé la sanction de la peine capitale contre El Abad El Aziz El Abadi, qui a assassiné son compatriote juif, Moshé Yaish-Nahari, en décembre dernier dans un marché de la ville de Raïda, dans le nord du pays, sous prétexte que "tous les juifs doivent se convertir à l’islam".
Le recours de la famille du défunt a ainsi été accepté par la Cour suprême, après qu'un premier verdict du tribunal n'ait condamné le meurtrier à ne verser que des indemnités, sans même devoir encourir une peine de prison.
La peine de mort prononcée ce dimanche contre l'assassin de Moshé Yaish intervient après que le président Saleh se soit engagé à prendre des mesures concrètes pour la protection des Juifs. Au Yémen le harcèlement, les pressions et les attaques se multiplient dans ce pays où l’islam radical a le vent en poupe.
Il est quand même incroyable que ce pays arabe ne puisse tolérer ou protéger la petite communauté juive y vivant alors qu'Israël a deux millions d'arabes sur son sol !
Ces derniers mois, une trentaine ont émigré en Israël, à la faveur d’opérations spéciales de l’Agence juive. Dix juifs yéménites sont arrivés le 19 février dernier en Israël à la faveur d'une "opération spéciale" de l'Agence juive, à la suite d'agressions contre leur petite communauté au Yémen. Aujourd'hui il n'y a pratiquement plus de juifs en pays arabe du Moyen Orient sauf au Yémen où quelques centaines de personnes sont à nouveau persécutées.
Au lendemain de la Shoah, entre 1945 et 1970, une civilisation de vingt siècles a disparu.
Du Maroc à l’Iran en passant par l’Algérie, l’Égypte, le Liban, l’Irak et le Yémen, les Juifs du monde arabo-musulman se sont retrouvés sur les routes de l’exil. Installées pour la plupart avant l’instauration de l’islam, leurs communautés ont vu leur univers s’effondrer dans la violence ou au terme d’une pression plus sournoise. Tel fut le destin d’environ 900 000 personnes, originaires de onze pays, confrontées à l’extrémisme et au nationalisme arabe du lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Des Juifs avaient fui ou avaient été expulsés, après l’application de lois discriminatoires, des extorsions, des arrestations, des internements et des exécutions. Ceux qui sont restés sont devenus assujettis, otages politiques dans le conflit israélo-arabe. Aujourd’hui, en dehors de quelques 4500 Juifs âgés, les pays arabes sont "nettoyés" de leurs Juifs. Il faut noter qu’en 60 ans les pays arabes ont été vidés de leurs Juifs, alors qu’en Israël et les territoires autonomes, la population musulmane a été multipliée par six.
La "Nakba" juive ou catastrophe en arabe, n’a pas seulement vidé des capitales comme Bagdad, qui était juive pour un tiers, des ses Juifs, elle a aussi déchiré le tissu culturel, social et économique de ces terres arabes. Les Juifs ont perdu leurs maisons, leurs synagogues, hôpitaux, écoles, cimetières et des terres ayant comme superficie 5 fois la terre d’Israël. Cet héritage ancien, datant de plus de 1000 ans avant l’arrivée de l’Islam, a été entièrement détruit.
Ftouh Souhail
http://adnauseam.hautetfort.com/archive/2009/06/22/fin-de...
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Si tu respectes les Droits de l'Homme, alors refuse l'islam!
Notre collaboratrice Christine Tasin a reçu, sur son blog, de la part d’un lecteur de RL, Pascal Olivier, une réaction dont j’extrais ce passage.
« La critique de gauche de l’islam que j’appelais de mes vœux, ne peut plus attendre si nous voulons retrouver le peuple. Nous ne pouvons pas continuer à laisser seul “Riposte Laïque” sauver l’honneur de la gauche.
Il n’y a rien de plus droitier, de plus efficace contre la gauche, de plus gauchicide que l’islam et dans les périodes troubles qui s’annoncent, grande pourrait être la tentation de nos oligarchies d’utiliser ce formidable instrument de coercition qu’est l’islam.
Il faut faire vite avant qu’Obama-Caracalla ne se transforme en Obama-Constantin et n’organise l’islam en religion de l’Empire. L’obscène révérence d’Obama devant le roi d’Arabie Saoudite et le discours du Caire, ne sont qu’un début. »
Dans le même temps, un autre de nos lecteurs, Georges Brousse, membre de la Libre Pensée, se faisait traiter de « bouffeur d’arabe », donc de raciste, par un militant trotskiste de son organisation, pour avoir osé défendre notre journal, dans une réunion interne (1).
Pour rester chez les trotskistes, Alain Bleuzet nous informe que sur le site des amis de la LCR, la rubrique la plus volumineuse s’intitule « La LCR et Riposte Laïque », et nous apprend que notre journal s’y fait régulièrement injurier (2).
Nous n’avons pas oublié, dans un autre registre, certains qualificatifs aimables délivrés à notre encontre par quelques « camarades laïques », qui, à Saint-Denis, nous qualifiaient, eux aussi, de « racistes », pour justifier l’interdiction faite à l’Union des Athées de Saint-Denis de vendre notre livre (3). Nous n’oublions pas davantage les propos de ce philosophe, qui a osé écrire que notre position lors des bombardements de Gaza (condamnation sans réserve du Hamas) était indigne de la laïcité, et que nous encouragions le fameux « choc des civilisations » (4).
Pourtant, quel réconfort de lire, sous la plume de Mohamed Sifaoui, un texte magnifique de courage et de lucidité, qui va encore plus loin que les écrits de Riposte Laïque, lors des événements de Gaza. (5) Pour ce musulman, qui se reconnaît dans les principes laïques et républicains de notre pays, et se dit de gauche, l’ennemi numéro un n’est pas Israël, c’est le Hamas, le vrai danger, c’est bien le fascisme islamique. Un pavé dans la marre de toute une partie de la gauche, qui a osé se joindre aux partisans du Hamas, imposant slogans haineux contre Israël et prières dans la rue, lors des manifestations parisiennes.
Les derniers événements ne donnent-ils pas entièrement raison à l’analyse de Pascal Olivier ? L’islamo-fasciste Ahmadinejab vient d’être élu au premier tour (écoutez la vidéo de Christine Tasin), en Iran. (6) Le Hamas, lui, n’hésite pas à se féliciter du discours d’Obama, au Caire. Comment ne pas approuver la réaction très critique de Wafa Sultan, psychiatre d’origine syrienne vivant aux Etats-Unis, qui affirme vouloir combattre l’islam, et pas l’islamisme ? (7)
Qui peut croire une seule seconde que les islamistes les plus radicaux, après les propos d’Obama, défendant le droit à porter le voile partout, ne vont pas accentuer leur harcèlement contre les démocraties européennes ?
Qui peut croire que le discours de Sarkozy, oubliant carrément de défendre la loi du 15 mars 2004 (qu’il a toujours combattue) dans sa réponse à Obama, ne va pas encourager les islamistes à accentuer les pressions communautaristes, en France ?
Nous sommes agressés depuis vingt ans par une offensive sans précédent contre la laïcité, de la part d’un fascisme politico-religieux qui annonce la couleur : imposer la charia à toute l’Europe. Quand on voit la situation de villes comme Rotterdam, Bruxelles, et de nombreux quartiers français, l’évolution, en vingt ans, est effrayante. Et le président du plus grand pays du monde, dont la complaisance avec l’islam est préoccupante, leur envoie ouvertement ses encouragements, relayé par un président français qui oublie de défendre les principes laïques de son pays.
Pascal Olivier a raison, la gauche devrait être au premier rang, face à l’islam, ses voiles, ses mosquées, son communautarisme et ses demandes permanentes d’accommodements raisonnables avec la laïcité. Ce sont ses valeurs qui sont agressées. Pourtant, elle est, depuis plus de vingt ans, au mieux aux abonnés absents, au pire aux côtés des islamistes, en croyant faire de l’antiracisme !
Le mouvement laïque devrait être au premier rang. C’est la laïcité qui est agressée. Pourtant, à l’exception de l’ADLPF, au mieux, les associations laïques font des diversions sur le Vatican et Sarkozy (même si ce qu’ils disent est vrai) pour mieux dissimuler leur silence honteux sur l’islam. Au pire, elles nous insultent, et boycottent, par sectarisme, un ouvrage comme « Les dessous du voile », qui pourtant, devrait susciter un vrai débat, chez des gens se réclamant libres d’esprit. Fait accablant : à notre connaissance, aucune n’a protesté contre les propos d’Obama, ni ceux de Sarkozy !
Le mouvement féministe devrait être au premier rang. Là encore, mis à part notre collaboratrice Annie Sugier et Sihem Habchi, présidentes de la Ligue du Droit International des Femmes et de Ni Putes Ni Soumises, on n’entend guère le Collectif du Droit des Femmes (CNDF) ou les différents collectifs de province, noyautés par des bureaucrates gauchisants, qui, pour la plupart, approuvaient le voile à l’école, et ont combattu la loi du 15 mars 2004.
Le mouvement républicain devrait être au premier rang, c’est la République qui est agressée. Or, qu’il s’agisse de Jean-Pierre Chevènement, qui a, le premier impulsé le création du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), en capitulant sur l’apostasie devant les islamistes, de Jean-Luc Mélenchon, qui ne parle laïcité que contre le dalaï lama ou le Vatican, mais fort rarement contre les fous d’Allah, ou de Nicolas Dupont-Aignan, bien discret sur cette question, nous avons droit à un silence assourdissant.
Pascal Oliver dit que nous sauvons l’honneur de la gauche. Nous sommes flattés. Mais nous ne considérons pas que le combat laïque et républicain appartienne à la seule gauche. Nous connaissons de vrais laïques, qui ne votent pas à gauche, et qui pourtant défendent bec et ongles la séparation du religieux et du politique, et l’esprit de la loi de 1905, avec bien plus de pugnacité que nombre d’élus socialistes, communistes ou écologistes.
Nous ne nous satisfaisons pas de la situation actuelle. Nous sommes convaincus que le cœur des militants de gauche ne peut se reconnaître dans le silence complice de la majorité de ses dirigeants. Nous savons que le combat mené par nos ancêtres contre l’emprise de l’Eglise catholique a laissé des traces, qu’il fait partie de notre histoire, qu’il est dans nos veines. Et, parce que nous avons des amis, dans toutes les organisations, nous savons que les insultes lancées contre notre journal masquent le malaise et la mauvaise conscience de ceux qui les profèrent, car les positions deRiposte Laïque sont populaires chez beaucoup de militants de base.
Nous ne cherchons pas à être seulement « l’honneur de la gauche », comme nous le dit de manière si sympathique Pascal Olivier, nous cherchons surtout, avec d’autres, à susciter le réveil du peuple français, qui a besoin, pour défendre ses valeurs, d’une gauche républicaine et laïque… à l’opposée de celle incarnée par Cohn-Bendit, Aubry, Buffet ou Besancenot.
Donc, quitte à provoquer quelques nouvelles insultes, nous continuerons à écrire ce que nous disons depuis bientôt deux ans : la gauche ne pourra pas reconquérir le peuple si elle ne s’empare pas de la laïcité. Elle devra le faire clairement, sans faux-fuyant, et dire ce que chaque citoyen lucide constate : il faut en finir avec l’offensive islamique contre les valeurs de notre pays, et réaffirmer la République, sinon, c’est l’islam qui va triompher.
Nous encourageons tous ceux qui, comme Georges Brousse, en ont marre des insultes à notre égard, à ne pas se laisser intimider par les petits marquis du politiquement correct, et à leur répondre avec toute l’insolence et la gouaille dont la culture de gauche, forcément frondeuse et rebelle, est capable.
« Le seul esprit libre et indépendant est celui qui ne se soucie pas des conséquences quand il a la certitude d’avoir été fidèle à ses valeurs »
Laurent Martinez
(1) http://www.ripostelaique.com/Militant-de-la-Libre-Pensee-...
(2) http://www.ripostelaique.com/Le-forum-des-amis-de-la-LCR-...
(3) http://www.ripostelaique.com/Comment-j-ai-ete-empeche-de-...
(4) http://www.ripostelaique.com/Aux-responsables-de-Riposte-...
(5) http://www.ripostelaique.com/A-lire-Gaza-le-grand-mensong...
22:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
La valise ou le c...oran
Si on m’empèche de porter la burqa (ou plutot le Niqab) je ne sors plus ou je retourne dans un pays musulman”C’est la réponse d’une femme à burqa (niqab! ) interwievée ce matin sur France infos.
Cette phrase a été entendue aussi, ici au Canada.
Elle est le fruit d’une manipulation, Effectivement, ils savent que nos Pays sont soucieux de tolerance, alors ils menacent.
Ils pensent que nos Pays ne les laisseront pas partir, mais à un moment il va falloir faire des choix.
Ces femmes voilées font-elles tourner le Pays? Éduquent-elles leurs enfants avec l'amour pour la Patrie dans laquelle elles vivent? Peuvent-elles suivre les Pays dans leur démarche de démocratisation et de liberté? Quels sont les apports bienfaisants qu’elles apportent à leur Pays d’accueil? Seront-elles en mesure d’aller travailler afin de contribuer aux caisses de retraite et aux autres caisses qui fournissent plus de confort aux populations occidentales (pensons sécurité sociale, médecine, logements sociaux, routes, ponts, écoles, gestion des villes, distribution de l’eau et maintien des aqueducs, éducation? Parce qu’en fin de compte, tous ces services que l’on pense gratuits, ils sont payants d’une manière ou d’une autre.
La réponse est : NON
Ces islamistes profitent de tous les bienfaits de l’Occident (alloc en tout genre, soins de santé, système éducatif, transport, démocratie, liberté, etc.) maisi sont incapables de lever le petit doigt pour venir au secours des Pays industrialisés. Au lieu d’améliorer l’état de santé des Pays d’accueil, elles le rendent encore plus malade. Elles le détournent de son chemin vers une vie meilleure. Elles lui volent son avenir. L’étouffent, le tuent.
LE CORAN A ETRANGLE LES PAYS ISLAMISES: IL NE PEUT EN AUCUN CAS SAUVER NOS PAYS.
En plus, ces islamistes sont des lâches, Ce qu’ils viennent réclamer dans nos Pays occidentaux, ils ne peuvent pas en réclamer la moitié d’un quart dans leur pays d’origine. Au lieu de vivre et d’essayer d’évoluer dans leur pays d’origine, ils viennent ici, se disant libres, pour essayer de nous imposer leur vision du futur alors que chez eux, après l’ère du pétrole, ils rentreront dans l’ère des subventions internationales, car comme d’habitude, ils sont incapables de créer de la richesse materielle ou culturelle que ce soit pour eux ou pour les autres.
Les Iraniens, aujourd’hui se battent dans les rues pour essayer d’acquérir cette liberté qu’ils ont perdu ou n’ont jamais eue.
L’islam n’a pas sa place dans aucune société composee d’Étres Humains qui se respectent.
PS: Tournez tous les sujets au masculin, le resultat sera le meme!
21:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
Democratie versus islam
Mir Hossein Moussavi, rival malheureux de Mahmoud Ahmadinejad à la présidentielle en Iran, a affirmé dimanche que la contestation contre la fraude était un droit, tout en appelant ses partisans à la "retenue", après la mort d'au moins dix personnes dans une manifestation.
"En tant que personne endeuillée" par les morts de la manifestation de samedi, "j'invite mon cher peuple à la retenue", écrit M. Moussavi, un ancien Premier ministre, dans un communiqué publié par le site internet de son journal Kalemeh.
"Protester contre le mensonge et la fraude est votre droit", poursuit M. Moussavi qui conteste les résultats de l'élection et réclame son annulation.
"Espérez obtenir vos droits et ne permettez pas que ceux qui veulent vous mettre en colère réussissent", déclare le candidat conservateur modéré, disant aussi souhaiter "que la police et l'armée n'agissent pas de manière irréparable envers le peuple".
La télévision d'Etat a affirmé que 10 personnes avaient été tuées et plus de 100 blessées samedi dans des manifestations, mettant en cause des "agents terroristes" munis d'armes à feu et d'explosifs, qu'elle n'a pas identifiés. La chaîne de télévision publique en anglais Press-TV a fait état de 13 morts.
Ces décès portent à au moins 17 le nombre de personnes tuées depuis lundi dernier lors des manifestations contre la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad.
De son côté, le président ultraconservateur a demandé à Londres, mais aussi à Washington, de cesser leurs "ingérences" dans les affaires iraniennes.
"Ce n'est pas en tenant des propos hâtifs que vous entrerez dans le cercle des amis de la nation iranienne", a déclaré Mahmoud Ahmadinejad sur son site internet. "Pour cette raison, je vous demande de cesser vos ingérences."
Peu auparavant, son ministre des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a accusé Londres de complot contre l'Iran, affirmant que "des "+éléments+ liés aux services secrets britanniques" avaient afflué en Iran avant l'élection.
A Londres, ces accusations ont été balayées.
"Je rejette catégoriquement l'idée que les manifestants en Iran sont manipulés ou motivés par des pays étrangers", a déclaré le secrétaire britannique au Foreign office, David Miliband.
De même, à Washington, la démocrate Dianne Feinstein, qui dirige la commission du Renseignement au Sénat, a déclaré que les services de renseignement américains n'avaient que peu de prise sur ce qui se passe en Iran.
Au-delà des simples déclarations, les autorités iraniennes ont aussi décidé d'expulser le correspondant permanent de la BBC à Téhéran, Jon Leyne, sommé de quitter le pays sous 24 heures pour avoir "soutenu" les émeutiers, selon l'agence Fars, proche du gouvernement.
Le ministère iranien de la Culture a en outre menacé les médias britanniques de "mesures de rétorsion" s'ils continuaient "d'interférer dans les affaires intérieures de notre pays en diffusant des informations mensongères ou inexactes de l'Iran".
Selon l'organisation Reporters sans frontières, trois journalistes iraniens ont été arrêtés et incarcérés depuis samedi, portant à 33 le nombre de journalistes et cyberdissidents iraniens derrière les barreaux.
Un journaliste canadien qui travaille en Iran pour Newsweek, Maziar Bahari, a été arrêté par les autorités iraniennes, a annoncé pour sa part l'hebdomadaire américain.
La chaîne de télévision d'informations en continu à capitaux saoudiens, Al-Arabiya, a annoncé que la fermeture de son bureau de Téhéran, en vigueur depuis le 14 juin, avait été prolongée "jusqu'à nouvel ordre".
Et le gouvernement iranien a convoqué les ambassadeurs et représentants des 27 pays européens en poste à Téhéran, selon le ministre tchèque des Affaires étrangères, Jan Kohout, dont le pays assure la présidence de l'Union européenne.
Le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel ont pris dimanche la tête des critiques contre les autorités iraniennes, le premier réclamant "que la lumière soit faite" sur l'élection présidentielle, la seconde appelant à "un nouveau décompte des voix".
Tous deux ont réclamé la fin de la répression et des violences contre les manifestants.
12:46 | Lien permanent | Commentaires (0)