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17/05/2009

Moschee italiane sorgenti del totalitarismo islamista

TORINO 30/04/2009 - Sei moschee su dieci, in Italia, sarebbero controllate direttamente o indirettamente dal fondamentalismo islamico. È la tesi di Alexandre Del Valle, saggista francese, ricercatore presso l’Università di Parigi e profondo conoscitore del mondo arabo. «Più del 50 per cento, forse il 60 delle moschee italiane è gestito da imam fanatici, legati all’Ucoii e ai Fratelli Musulmani» spiega lo studioso, intervenuto all’hotel Santo Stefano per la tre giorni di lavoro del gruppo europarlamentare Uen (di cui fanno parte An, Lega e La Destra). Non solo continua Del Valle, bisognerebbe diffidare anche di iniziative finanziate da stati islamici moderati, «ad esempio, anche dallo stesso Marocco».

Benzina sul fuoco per Torino, dove da giorni si discute della nascita di una nuova grande moschea, finanziata proprio da Rabat, sotto la guida dell’imam Abdelaziz Khounati. L’edificio dovrebbe sorgere in via Urbino, nei pressi di corso Principe Oddone. Con il beneplacito - ma non il sostegno economico, avevano precisato i vari assessori - delle amministrazioni locali e le polemiche di una parte del Pdl e della Lega. Carroccio che, ovviamente, ha accolto il parere dello studioso francese (fondatore oltralpe del movimento “Destra libera”) con estrema soddisfazione. «Gli esperti di livello internazionale ci confermano nei nostri sospetti in ordine al ruolo delle moschee finanziate lautamente da paesi musulmani - attacca l’europarlamentare Mario Borghezio -, in cui si predica un islam fondamentalista, solo in arabo da parte di imam non formati qui in Italia».

Il secondo allarme lanciato da Del Valle -l’incontro, moderato dall’europarlamentare Antonio Mussa, si intitolava “L’Europa e il terrorismo islamico” - riguarda le macellerie “halal”, ovvero i negozi dove si vende carne macellata secondo il rituale islamico. Se infatti le moschee sono frequentate abitualmente appena dal 5% dei musulmani immigrati, l’uso di carne “halal” è molto più diffuso. «Dietro una parte di queste macellerie si nascondono reti di finanziamento per organizzazioni estremiste - continua Del Valle -. E chi acquista il cibo non sa neppure di sovvenzionare certe organizzazioni». Dietro le insegne degli alimentari si insinuerebbero Al Qaeda o Hamas dunque? Una cosa sembra certa, conclude lo studioso «se in Europa non ci sono attentati non è perché tutti gli estremisti siano stati arrestati, ma perché nei nostri paesi è più facile per un integralista nascondersi».

Andrea Gatta

Storie di costumi turchi

ANKARA - Una ragazza turca di 23 anni è stata mutilata del naso e delle orecchie, molto probabilmente da suoi familiari, perché sospettata di adulterio. Stando a quanto riferito dalla stampa turca, l'atroce mutilazione è avvenuta sabato ad Agri, provincia orientale del Paese a maggioranza curda, alla frontiera con Iran e Armenia. Y. A., queste le iniziali della donna, è stata trovata in un campo con orecchie e naso tagliati e una ferita da taglio al ventre. La vittima è stata ricoverata in ospedale e le sue condizioni sono definite critiche dai medici.

MARITO IRREPERIBILE - La polizia ha ascoltato otto sospetti. Secondo la ricostruzione fatta dai quotidiani Milliyet e Hurriyet, sarebbero stati alcuni familiari a torturare la donna, sospettata di tradire suo marito, infliggendole le mutilazioni prima di abbandonarla nel campo. Il marito della vittima risulta introvabile, secondo la stampa. Negli ultimi anni, il governo e le associazioni hanno intensificato i loro sforzi contro la pratica dei delitti d'onore, che ogni anno fanno numerose vittime. Tuttavia, dai sondaggi emerge una forte tolleranza verso questo genere di violenze, soprattutto nel sud-est del Paese a maggioranza curda. Su pressione dell’Unione europea, la Turchia ha inasprito le pene contro i responsabili di questi delitti, che oggi possono essere puniti con il carcere a vita.


17 maggio 2009

www.corriere.it

15/05/2009

Une Europe de poltrons livrée à l'islam

Une Europe de poltrons s’est livrée à l’Islam. Version originale anglaise : Lily-livered Europe has surrendered to Islam, par Ayaan Hirsi Ali, The First Post UK, 5 mai 2009. Adaptation française : Jean-Marc Léger

Les musulmans se servent des structures démocratiques libérales de l’Europe pour renverser nos libertés durement gagnées

En 2006, j’ai débattu avec Tariq Ramadan, l’auteur du livre Les musulmans d’Occident et l’avenir de l’islam. Et je lui ai demandé, dans l’hypothèse d’une guerre entre l’Egypte et la Suisse, pour laquelle des deux sociétés il serait prêt à mourir.

Mr Ramadan a la double nationalité : il est Egyptien de naissance, et Suisse par naturalisation. Sa réponse a été une réaction de rage à divers niveaux. Par dessus tout, je pense qu’il s’est senti outragé que quelqu’un puisse poser une pareille question. Il a refusé de répondre.

Mr Ramadan, comme de nombreux autres musulmans, peut avoir deux nationalités ou plus. À voir tout ce qu’il dit, oralement et sur le papier, il est clair qu’il est avant tout loyal à l’islam. Je ne doute pas qu’il accepterait de mourir pour l’islam, comme la plupart des musulmans, et c’est son droit. Mais ce que les pays européens ont fait, c’est d’accorder la citoyenneté à des gens qui ne se sentent aucunement liés à leurs sociétés pour le meilleur et pour le pire, pour la prospérité ou la misère, et pour le sacrifice en cas de catastrophe.

Aucun débat n’est plus explosif que celui sur l’avenir de l’islam en Europe

Mais ces gens se libèrent ainsi de l’un des critères principaux qui fondent la citoyenneté. L’allégeance politique à la constitution de votre pays est le minimum exigible. C’est cet état de fait qui est au cœur du terrible livre de Christopher Caldwell, Réflexions sur la révolution en Europe : l’immigration et l’Occident (Reflections on the Revolution in Europe : Immigration and the West, Allen Lane, £17.99), qui s’ouvre sur cette phrase : « L’Europe occidentale est devenue une société multi-ethnique sous l’effet d’un accès d’égarement ».

Cet égarement, que Caldwell met à nu, se traduit dans les politiques d’immigration de l’Europe et très particulièrement dans sa réaction à l’islam. Aucun débat, aujourd’hui, n’est plus explosif, plus sensible, plus embarrassant et plus effrayant que celui sur l’avenir de l’islam en Europe.

En mars dernier, j’ai parlé du livre de Caldwell avec l’intellectuel français Pascal Bruckner. Pour lui, « les Américains [comme Caldwell] ne comprennent pas l’Europe. Il y a beaucoup de musulmans qui, dans leur vie quotidienne, sont plutôt agnostiques et même athées si on s’en tient à leur pratique, et ne sont musulmans que de nom. »

Cela paraît rassurant. Mais ces musulmans agnostiques et non pratiquants, si la situation devenait intenable, mourraient-ils pour l’islam ou pour la France ? À mon sens, le plus probable est qu’ils mourraient pour l’islam.

Caldwell aborde ce point sous un éclairage intéressant. Il ne néglige pas les Européens qui perçoivent l’islam comme un danger pour les valeurs européennes, mais il demande : « Comment peut-on se battre pour quelque chose que l’on ne peut pas définir ? ». Et c’est le problème de l’Europe : incertitude sur ce que nous sommes, sur ce que signifient nos divers drapeaux, incertitude aussi sur les raisons pour lesquelles, à chaque étape, nous réduisons nos dépenses militaires.

L’Europe est devenue le lieu de nouvelles religions, de nouvelles croyances, du multiculturalisme, du cosmopolitisme, du transnationalisme. Tout devient donc relatif. Mais cette incertitude ne touche pas les musulmans. Dans la guerre, l’éthique et l’esprit tribal des musulmans sont bien plus résistants et violents que l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme.

Les chiffres et les idées réunis par Caldwell dans ce livre sont évidents pour de nombreux Européens. Quand je vivais en Hollande, et quand j’y suis retournée, j’ai parlé à des intellectuels européens qui voient la révolution que Caldwell décrit si bien dans son ouvrage. Ils ne parlent pas toujours d’une révolution, ils ne la perçoivent pas forcément comme aussi complète, mais ils voient la crise d’identité européenne.

Photo : En 2006, des musulmans manifestent à Londres contre la publication par des journaux danois de caricatures du pseudo-prophète Mahomet.

Prenons le débat sur la liberté d’expression. En 1989 et après, les provocations au nom de l’islam étaient accueillies sans inquiétude : « Pas de problème ! Nous sommes en Europe, et vous pouvez dire ce que vous voulez, écrire ce qui vous plaît », et ainsi de suite.

Vingt ans plus tard, les Européens ne sont plus tout à fait aussi certains de la valeur de la liberté d’expression. La plupart des membres des médias s’autocensurent. Les livres de classe et les manuels universitaires ont été modifiés de manière à ne pas offenser les musulmans. Et si des mesures législatives punissant le « blasphème » n’ont pas été adoptées, elles ont été envisagées dans la plupart des pays, et on réactive des lois anciennes jamais appliquées.

Aujourd’hui, on vandalise des synagogues au nom de l’islam

Prenons l’antisémitisme en Europe. La sensibilité et le sentiment de culpabilité des Européens à propos de l’Holocauste sont comparables à ceux des Américains à l’égard des Noirs américains. Il y a dix ou vingt ans, il était impensable que des juifs se fassent ouvertement insulter ou prendre pour cible au seul motif qu’ils sont juifs.

Aujourd’hui, au nom de l’islam, on vandalise des synagogues. L’Holocauste est ouvertement nié. Il existe un réseau actif d’organisations musulmanes qui poussent au retour d’Israël à ses frontières antérieures, voire à sa disparition. Des juifs sont harcelés, battus, voire tués. À tout cela ne répondent qu’un silence lugubre et des rationalisations expliquant qu’il ne s’agit pas d’antisémitisme mais de réactions anti-israéliennes. Peut-on imaginer que des choses de ce genre arrivent aujourd’hui en Amérique à des Noirs et ne rencontrent que le silence ?

Prenons l’histoire de la libération des femmes en Europe. Dans les années 1970, les femmes ont brûlé les soutien-gorges, l’avortement a été légalisé presque partout, et le viol entre époux est devenu un crime. Aujourd’hui, de plus en plus d’élites européennes, dont des féministes, nous expliquent qu’il vaudrait peut-être mieux tout simplement respecter la culture et la religion d’une minorité.

Les refuges pour femmes se sont adaptés : au lieu d’apprendre aux femmes qui se présentent comment devenir indépendantes, ils installent des salles de prière et emploient des médiateurs issus de la communauté musulmane. Toute cette médiation ne vise qu’un seul objectif, faire retourner la femme à la situation d’abus qu’elle avait fuie.

Voilà donc un système qui avait été mis sur pied pour servir d’outil d’aide à l’émancipation, et qui a été complètement dévoyé au service de l’objectif d’obéissance des musulmans. Si la femme obéit, le mari n’a plus besoin de la frapper. L’affaire est close.

C’est la même chose pour les homosexuels. Il y a dix ans, il aurait été impensable qu’un sentiment anti-gay puisse s’exprimer sans être condamné. En Hollande, par exemple, nous sommes fiers d’avoir permis aux gays de bénéficier exactement des mêmes droits que les hétérosexuels. Pourtant, aujourd’hui, ils se font agresser dans les rues d’Amsterdam. Pour rester en sécurité dans certains coins d’Europe, les gays et les lesbiennes ont intérêt à masquer leur identité sexuelle.

Les musulmans utilisent le vocabulaire de la liberté pour tenter d’abolir la liberté d’expression

Le paradoxe terrifiant, à propos de ces évolutions, c’est que les immigrants musulmans ont été admis sur le territoire européen au nom des droits et libertés universels que beaucoup d’entre eux piétinent aujourd’hui, alors que les autres se contentent d’observer passivement ou défendent exclusivement l’image de l’islam.

Pire encore, ceux qui agissent pour abolir la liberté d’expression et pour discriminer les juifs, les femmes et les homosexuels le font en utilisant le vocabulaire de la liberté et en passant par des institutions comme le parlement ou les tribunaux, qui ont été créées pour protéger les droits de tous.

Les observateurs américains comme Caldwell, Bruce Bawer, Walter Laqeur et beaucoup d’autres, qui viennent en Europe et écrivent sans œillères sur ces questions, peuvent retourner en Amérique, où ils passeront à un autre sujet et conserveront leur emploi et leur réseau social.

Les Européens qui font la même chose que Caldwell doivent souvent faire face à une campagne d’ostracisme de la part de leurs compatriotes eux-mêmes. Ils courent le risque de perdre leur emploi, d’être bloqués dans leur avancement, ou de n’être plus invités dans les cercles dont ils font partie. Les plus entêtés, comme Geert Wilders, sont poursuivis en justice et on va même jusqu’à leur refuser l’accès à un pays voisin.

En réalité, si l’Europe tombe, ce n’est pas à cause de l’islam. C’est parce que les Européens d’aujourd’hui - contrairement à leurs prédécesseurs de la Deuxième guerre mondiale - n’acceptent pas de mourir pour défendre les valeurs ou l’avenir de l’Europe. Même si on leur demandait le sacrifice ultime, beaucoup de ces Européens post-modernes et trouillards se réfugieraient dans un obscur argumentaire d’objection de conscience. Il ne reste à l’islam qu’à occuper la place laissée vide.

www.pointdebasculecanada.ca

13/05/2009

L'hypocrisie de la tolerance

L’hypocrisie de la tolérance

Ida Magli

Les bonnes paroles nous conviennent toujours; il y a cependant une chose que les chrétiens ne

doivent pas oublier: la tactique de Jésus était d’agir avant de parler. Dans un monde où prédicateurs

et prophètes abondaient, sa force consistait avant tout en ceci: rompre la coutume par le geste et non

par les paroles. D’abord je détache la figue de l’arbre, même si faire ce geste un jour de sabbat comporte

la condamnation à mort, ensuite j’explique pourquoi je l’ai fait.

Pourquoi avait-il choisi cette stratégie? Pour de nombreuses raisons qu’il est par ailleurs difficile de

comprendre entièrement aujourd’hui. Pourtant, certaines raisons sont évidentes: les paroles institutionnelles

des commentateurs de l’Ecriture sainte étaient désormais affaiblies, lointaines de la réalité

de la vie vécue, des besoins des hommes et des femmes, mais, surtout, elles ne frappaient plus les

oreilles de personne, elles ne «scandalisaient» pas. On s’habitue à tout, même aux bonnes paroles.

Les scandales doivent nécessairement advenir pour que l’on puisse se débarrasser de la routine de

l’esprit, et Jésus le savait bien. C’est la raison pour laquelle sa personne est restée si vive et forte au

travers des siècles. On peut manipuler les mots mais pas les actions.

Nous devons donc nous secouer et nous débarrasser de la routine de l’esprit, une routine qui est en

train de nous tuer, sous les apparences de la bonté, de la tolérance, de la charité, car elle ne correspond

pas à la vérité. Supporter est plus facile, moins fatiguant et ne requiert pas de courage ; mais

comme nous en avons assez de la tolérance, de la charité, de la bonté, nous nous devons de causer

du scandale en criant que nous ne les avons guère en nous et que, loin de là, nous sommes convaincus

du contraire.

L’hypocrisie de la tolérance est la pire des hypocrisies: elle convenait à l’époque de Voltaire, aujourd’hui

elle est dépourvue de sens. Les immigrés, en fait, ne se soucient pas de nous convertir: ils

occupent nos terres, les places de nos villes, nos maisons et le jeu est fait. Par conséquent, nous devons

nécessairement descendre et occuper nous aussi nos places, tout simplement parce qu’elles

sont à nous et que personne n’a le droit de nous les enlever. Il ne s’agit pas de prendre les armes ou

les bâtons, mais de défendre nos biens; de défier les institutions qui ne défendent pas notre vérité ou

qui se tirent d’affaire en la défendant peu et mal. Réfléchissons-y bien: le Jésus «mielleux» n’est

pas le vrai Jésus, autrement il n’aurait pas été tué. Et, de toute façon, même pour ceux qui ne sont

pas croyants, il s’agit d’un moment décisif pour la survie de la civilisation occidentale, européenne,

italienne.

La carte des droits universels, dont se vantent tant nos gouvernants, affirme qu’il ne faut pas accomplir

d’actions qui puissent peser sur les générations futures. Mais quelles actions pèseront davantage

sur les prochaines générations que celles que l’on accomplit à l’heure actuelle en transformant notre

pays en un pays musulman? Le clergé revendique l’universalité du message chrétien. Bien qu’il

s’agisse là d’une assertion que l’expérience historique aurait dû corriger, les sacerdotes sont libres

de le penser. Mais puisque les sacerdotes italiens agissent contre les intérêts et la vie même de la société

et de la culture italienne en favorisant l’immigration, ils doivent honnêtement renoncer à être

citoyens italiens et prendre la nationalité des pays qu’ils préfèrent ou bien celle de l’Etat du Vatican.

Ainsi devront-ils eux aussi faire face à la difficile tâche de comprendre ex novo le message de Jésus,

en se dépouillant de l’habitude trop aisée des oeuvres de bien avec l’argent des Italiens.

On dit que Dieu «vomit les tièdes». Il doit nous avoir vomis depuis longtemps.

Ida Magli Rome, 18 Janvier 2009

Il Giornale © SOCIETÀ EUROPEA DI EDIZIONI SPA - Via G. Negri 4 - 20123 Milano

08/05/2009

Reporter canadese ridotta a schiava sessuale dei rapitori musulmani

 

0KJA486H--140x180.jpgNAIROBI - Un reporter locale contatta to dal Corriere, Yussuf Hassan, li ha visti da lontano in una casa di Bakara Market, la zona centrale e più pericolosa di Moga discio. «Non mi hanno fatto avvicinare. Lei aveva il velo e la pelle molto bianca, lui era seduto un po’ più distante». Yussuf è certo che fossero loro, ma a Mogadiscio quelli della tribù Rer Hammar sono di scendenti dagli arabi e si possono confon dere facilmente con gli occidentali. E Mo gadiscio è piena di sciacalli.

La giornalista canadese Amanda Lindhout e il suo colle ga australiano Nigel Brennan, sono stati rapiti il 23 agosto scorso sulla strada che unisce Mogadiscio a Afgoi da un commando di banditi. Volevano visitare un campo di profughi, uno di quei gironi infernali dove vivono migliaia di persone in fuga da una guerra che dura da 18 anni. Da allo ra si sono perse le loro tracce. Notizie non confermate pubblicate dai siti somali raccontano cose raccapriccianti. Maareg, per esempio, scrive che un po’ di settimane fa i due reporter sono riusciti a fuggire dalla loro prigione. Si sono rifu giati in una moschea dove però sono stati riacciuffati. Chi li ha visti in quei momen ti sostiene che Amanda avesse il pancio ne. Da allora le notizie sulla sua sorte si so no moltiplicate. Amanda, pelle bianchissi ma, esile, capelli biondi, 28 anni, sarebbe diventata una schiava del sesso, violenta ta ogni giorno a turno dai suoi rapitori. Ni gel invece sarebbe stato costretto a sposa re un paio di donne somale, naturalmente dopo essersi convertito all’Islam. La ver­sione del sito internazionale Jihad Watch invece è che uno dei suoi rapitori l’avreb be costretta a diventare sua moglie, dopo averla violentata e messa incinta. 

www.corriere.it

 

07/05/2009

Un boia chiamato Omar Al Beshir

 
Omar al Beshir non è un criminale, è altro e peggio: è la figura contemporanea più forte di raìs jhadista, che racchiude nel suo regime tutti gli elementi fondanti l’Islam fondamentalista. Non è un pazzoide come l’ugandese Ida Amin Dada, o un despota sanguinario come Robert Mugabe: è un politico a tutto tondo, che ha scatenato guerre civili che hanno mietuto milioni di morti nel nome dell’Islam, di un progetto legittimato dai più accreditati teologi del fondamentalismo contemporaneo. Per questo, oltre che per la sua impraticabilità (come si vede dalla solidarietà che ha ricevuto da Cina, Russia, Sudafrica, Iran e da tutti gli Stati africani), il mandato di cattura emesso a suo carico dal Tpi si rivelerà un boomerang. E’ infatti troppo e troppo poco. Troppo, perché addensa sulla sua testa le responsabilità che sono di un intero gruppo dirigente fondamentalista che l’accompagna dal 1989, con molti alleati (incluso Yasser Arafat), troppo poco, perché incendia la prateria (e 200.000 sudanesi assistiti dalle Ong internazionali da lui subito espulse, da ieri sono alla fame e senza cure), senza che nessuno abbia idea di come fermare le fiamme. Il suo progetto può essere definito criminale, ma altri non è, se non quello della costruzione di uno Stato islamico fondamentalista. Il suo golpe del 1989 ebbe solo uno scopo: portare a compimento la guerra contro i cristiani e animisti del sud, che rifiutavano l’imposizione della shari’a stabilita dal Jafar Nymeiri nel 1981. Tutti sanno del disastro umanitario prodotto da quel conflitto, ma nessuno ricorda che è stata la prima guerra civile per imporre la shari’a nella modernità (una sentenza una sentenza della Corte Suprema sudanese definì “lecita la crocifissione di cristiani quali apostati dell’Islam”). Al Beshir, che estese la shari’a al campo penale nel 1991, la condusse con competenza militare (era stato generale nella guerra del Kippur del 1973), e in piena alleanza con i Fratelli Musulmani e col loro leader, Hassan al Turabi, che fornì al suo regime l’apporto di una vasta élite politico-amministrativa. Il tutto in sintonia con l’Iran khomeinista con cui concluse nel 1991 un patto militare segreto. Sempre all’interno di questa ottica, al Beshir costituì nel 1990-91 il nucleo duro e jihadista di contrapposizione alla Lega Araba che aveva promosso l’intervento Onu e Usa per impedire l’annessione del Kuwait da parte di Saddam Hussein. Di nuovo, non solo una scelta jihadista, ma anche l’impegno, sempre assieme ai Fratelli Musulmani, per fare del Sudan il punto di riferimento politico dell’opzione fondamentalista. La successiva ospitalità e collaborazione con al Qaida e Osama bin Laden (che ripagò costruendo un’autostrada da Khartum al mare), fino al 1996 erano omogenei a quel progetto. Stesso contesto anche dietro la guerra in Darfur, condotta nel nome della superiorità dei musulmani arabi su quei musulmani delle etnie africane che ancora oggi vengono chiamati “gli schiavi” a Khartum. Una guerra per imporre la struttura centralista dello stato islamico, per stroncare tutte le spinte centrifughe nel momento in cui l’accordo di pace del 2005 con i cristiani e gli animisti del Sud (grande successo diplomatico di George W. Bush), rischia di fallire. Gli Janjaweed di Al Beshir hanno provocato 300.000 vittime in Darfur, essenzialmente per impedire che si crei un asse secessionista tra l’ovest del paese (il Darfur) e il sud che di nuovo minaccia la secessione, là dove si pompa quel petrolio che ha garantito ad al Beshir l’alleanza della Cina (che ne acquista il 65%) e della Russia. Un quadro tutto politico, complesso, che le procedure legali già ridicolizzate dal processo a Milosevic del Tpi, non potranno mai dominare e che rischia oggi di consegnare ad al Beshir la straordinaria vittoria politica di una solidarietà africana totale e forse anche la beffa, già preannunciata, di una sua trionfale partecipazione al prossimo vertice della Lega Araba, là dove nessuno –Onu o non Onu- oserà mettergli certo le manette.

www.carlopanella.it

Il vero ed unico volto dell'islam!

MILANO - I talebani hanno invitato papa Benedetto XVI ad impedire il proselitismo religioso in Afghanistan minacciando «gravi conseguenze» in caso contrario. L'avvertimento è comparso oggi su un sito web vicino ai talebani, alemarah1.org. Nel comunicato gli estremisti islamici esortano i musulmani afghani a «resistere» ai tentativi di conversione, dopo le immagini trasmesse da Al Jazeera, in cui si vedevano soldati Usa con bibbie tradotte in lingua locale.

«FERMATE I CROCIATI» - «L'Emirato islamico in Afghanistan (i talebani, ndr) chiede al papa cristiano Benedetto XVI di impegnarsi per impedire che le sciocche e irresponsabili azioni dei crociati turbino i sentimenti dei ribelli musulmani, senza attendere le conseguenze di una severa reazione», si legge nel testo, tradotto in inglese dall'edizione in arabo del sito web. «I talebani esortano con forza i mujaheddin, gli studiosi e tutti i circoli religiosi a controllare le attività degli invasori e dei crociati, e a non permettere a nessuno di fare proselitismo con le religioni abolite, eccetto quella islamica», conclude il comunicato.

L'ESERCITO E LE BIBBIE - Il servizio del network panarabo Al Jazira mostrava soldati americani di servizio a Bagram, una cittadina non lontana da Kabul, con una pila di Bibbie tradotte nelle due lingue locali. L'Esercito Usa ha ribadito che è «proibita alle truppe qualunque attività di proselitismo religioso», le bibbie «sono state confiscate e distrutte». Il proselitismo religioso nei confronti dei musulmani è un crimine in Afghanistan e in altri Paesi islamici.


07 maggio 2009

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05/05/2009

Iran: lapidato per adulterio

TEHERAN - Un uomo è stato lapidato in Iran perché riconosciuto colpevole di adulterio. Sale così a cinque il numero delle persone giustiziato con queste genere di supplizio negli ultimi due anni in Iran, nonostante il capo della magistratura, ayatollah Mahmud Hashemi Shahrudi, avesse ordinato fin dal 2002 una sospensione della lapidazione. L'ultima esecuzione di questo genere era avvenuto in gran segreto a Rasht, nel nord dell'Iran, nel marzo scorso.

A MORTE UN TRENTENNE - Dell'uomo messo a morte ora non si conosce il nome, ma solo l'inziale, V. Si sa però che aveva trenta anni e che lavorava per un ufficio provinciale del ministero del Commercio. Il condannato viveva nella città di Parsabad Moghan, vicino al confine con l'Azerbaigian. Secondo il quotidiano riformista Aftab Yazd, la donna con la quale V. avrebbe avuto la relazione proibita non è stata condannata a morte.

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Svezia: islam= sottosviluppo, violenza, incompatibilita' culturale

MALMÖ — «Io? Sono di Gaza». Rani, 15 an ni, strizza l’occhio agli amici che gli si fanno intorno a semicerchio, come se volessero proteggerlo da una minaccia incombente. Si chiamano Mohammed, Ali, Hata, Isak. Tutti coeta nei. Età da medie, al massimo liceo. «A scuola? Ma no, nessuno di noi ci va. Tempo perso». La stessa domanda, provoca identica risposta: so no di Ramallah, Il Cairo, Sarajevo. Bisogna insi stere. E allora rispondono con le voci che si so vrappongono, in una primavera nordica solo annunciata: «Certo che siamo nati a Rosen gard: ma questa non è mica casa nostra».



Periferia orientale di Malmö. Palazzi gettati come mattoncini a formare isole tanto ordina te quanto slegate l’una dall’altra, cemento a vi sta: uno dei tanti progetti che, sulla carta, ne gli anni Sessanta e Settanta, dovevano risolve re una volta per tutte il «problema casa» della classe operaia più viziata d’Europa. Oggi i lavo ratori svedesi sono una minoranza minacciata più dall’incedere dell’immigrazione islamica che dalla crisi economica. «Non c’è più posto per noi», spiega con un sorriso a mezza bocca Anders Püschel, al momento «disoccupato». Non c’è più posto per nessuno, a giudicare da gli ultimi eventi. A Rosengard, dove Ibrahimo vic ha imparato prima a fare a botte poi a cal ciare il pallone, la sera, non si esce di casa. I poliziotti sono diventati il bersaglio preferito di Intifade istantanee: sassaiole sulle auto di pattuglia che tornano in rimessa ammaccate, come se avessero attraversato un campo profu ghi palestinese con le insegne dell’esercito di Israele bene in vista.

Ogni sera, da mesi, casso netti, cabine, e qualunque struttura pensata per la città si trasformano in roghi appiccati da molotov lanciate direttamente dal salotto di casa. I vigili del fuoco, stanchi di diventare il bersaglio preferito dopo gli agenti, hanno de ciso di ritirarsi dal loro Forte Apache, la caser ma di Rosengard. Henrik Persson, il coman dante della stazione dei pompieri del quartie re, si è appena dimesso: «Nessuno mi ascolta, nessuno ci aiuta. Non ha senso continuare co sì ». Persson ha raccontato che, a una recente riunione operativa, un dirigente della polizia lo ha messo in guardia: «Preparatevi a vedere lanciare le molotov contro di voi». Ma a una richiesta di fondi e rinforzi, spiega ancora Pers son, «ho ricevuto un netto rifiuto». Dall’oppo sizione, la consigliera centrista Anja Sonesson chiede «l’imposizione immediata di un copri fuoco per arginare l’ondata di violenza. I ragaz zini con meno di 18 anni non dovrebbero usci re dopo le 9 di sera». Per il momento, i social democratici, la maggioranza, resistono: «Sa rebbe la fine della democrazia, del sistema sve dese ». Il sindaco Ilmar Reepalu è convinto che una misura così drastica accentuerebbe «il ca rattere di enclave a se stante del quartiere. Al contrario noi dobbiamo cercare di unire Ro sengard al resto della città, farne un zona resi denziale come le altre».

Malmö, terza città della Svezia, capoluogo della prospera Scania, porto sull’Öresundcon un passato di traffici che non torneranno più, ha 270 mila abitanti, centomila dei quali stra nieri, per lo più concentrati a Rosengard e din torni. Come dire, un residente su tre è musul mano. Molti vengono dai Balcani, dall’Africa, dall’Asia centrale. «Ci sono cento e più nazio nalità nel quartiere — spiega Stefan Alfelt, cor rispondente locale di Aftonbladet, uno dei principali quotidiani nazionali —. Pochi di lo ro hanno un’occupazione. In alcune zone i sen za lavoro sono addirittura l’86% degli adulti. I giovani crescono osservando i genitori che vi vono di carità pubblica. Sanno di essere senza speranza e si comportano di conseguenza: fan no la guerra». Curiosamente, non è un conflit to «Rosengard contro gli altri». «Gli scontri ra ramente superano i confini del quartiere — di ce ancora Alfelt —. È una guerra civile locale: tutti contro tutti». In realtà, qualche volta la violenza lascia Ro sengard e si sposta verso il centro elegante, l’isola pedonale dove si affacciano vetrine e ri storanti ancora affollati nonostante la crisi.

Ai primi di marzo è bastato l’arrivo della naziona le israeliana di tennis, impegnata in Coppa Da vis contro la Svezia, proprio a Malmö, a far in sorgere la comunità islamica, in quell’occasio­ne alleata dei centri sociali svedesi e i black blok di tutta Europa. Un mix esplosivo che la polizia ha affrontato a modo suo. Con le manie re forti: cariche a cavallo, botte da orbi e pisto le impugnate contro i dimostranti. Inutile par lare di integrazione, a Rosengard. Il modello sociale svedese? «Non spetta a me interpretare la politica del governo», ci ha detto il sindaco Ilmar Reepalu, socialdemocratico, facendo in tendere che lui, la sua città, vuole continuare ad amministrarla come se il welfare scandina vo non fosse superato dalla realtà. Certo «dob biamo iniziare a progettare qualcosa di diver so. Ne va della tranquillità di tutti». Solo una questione di ordine pubblico, allo ra? La polizia, conclude il portavoce Lars-Hakan Lindholm, «sa esattamente cosa fare e lo farà». Il punto è: per quanto, ancora?

Paolo Salom
05 maggio 2009

www.corriere.it

03/05/2009

Delara Darabi: uccisa come una bestia

TEHERAN - Un'ultima disperata richiesta di aiuto alle persone più care. «Mi impiccano fra pochi secondi, aiutatemi!»: così, alle 06.00 di venerdì mattina Delara Darabi, la 23enne pittrice iraniana condannata a morte per un omicidio commesso a 17 anni, ha informato per telefono i genitori che la stavano portando sul patibolo. Poco dopo, è stata giustiziata. Ora, come ha raccontato il suo avvocato, Abdolsamad Khorramshahi, il padre della ragazza è ricoverato in ospedale in stato di choc.

NIENTE PERDONO - A mettere personalmente la corda intorno al collo di Delara, scrive il quotidiano Etemad, è stato un figlio della donna per la cui uccisione la pittrice è stata condannata, nonostante avesse accettato le condizioni poste dalla famiglia della vittima per concedere il perdono che le avrebbe salvato la vita: dichiararsi colpevole e cambiare avvocato. L'esecuzione è avvenuta a sorpresa venerdì nel carcere di Rasht, nel nord dell'Iran, anche se il capo dell'apparato giudiziario, ayatollah Mahmud Hashemi Shahrudi, aveva annunciato il 19 aprile scorso un rinvio di due mesi dell'impiccagione. La ragazza è stata messa a morte senza che nemmeno il suo avvocato venisse informato, come invece vorrebbe la legge.

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COMMENTO: UCCISA NELL' INDIFFERENZA GENERALE!  www.savedelara.com